Dans ce monde duel, nous sommes toujours confrontés à la question de Objectivité/Subjectivité.

CE QUI EST, DANS L'INDÉPENDANCE DE NOS OPINIONS, PRÉJUGÉS, AVIS, PRÉFÉRENCES

Si nous savions facilement nous abandonner à tout ce qui est en soi (par lui-même), préférant les vérités à nos opinions, le monde ne serait pas en guerre, conflits de voisinage, de partis ou familiaux et autres irritations et revendications qui empêchent l'organisation d'un bien vivre ensemble.

C'est que nos ego, nos moi-je, ont été développés de manière si anarchique ou erronée qu'on leur a donné (par ici en Occident) une place trop supérieure, une suprématie qui l'emporte sans réflexion sur ce qui est réellement. (La situation n'est pas mieux ailleurs dans le monde où la personne individuelle n'est pas reconnue à la juste valeur de son humanité).  

D'où, sur une même question, concernant une attitude qui est la meilleure, celle qui est objectivement, universellement juste, nous sommes confrontés à des divergences qui nous accaparent et nous empêchent d'avancer unis.

MAIS QUI A RAISON ET QUI SE TROMPE !?

De la sorte, peut-être quelqu'un pense et croit juste, et un autre pense et croit faussement. Mais peut-être aussi les deux ont tort. Et donc comment sortir de ces divergences de vues qui nous posent tant de problème ?

A TOUT PROBLEME Y A-T-IL UNE SOLUTION ?

Je crois que oui - c'est un avis auquel je suis parvenu, en cohérence me semble-t-il avec les réalités*.

Ainsi, la seule solution que je connaisse, qui laisse les ambiguïtés et réduisent bien des divisions consiste pour notre part** à aimer personnellement la vérité.
La vérité par exemple qu'un homme ou une femme est un être humain et qu'en tant que tel il est à aimer. Et c'est d'autant plus facile à y arriver, qu'on croit aussi qu'il ou elle est , par une origine première, une créature de Dieu.
Et nous voilà déjà là dans une divergence possible, entre qui croit qu'il y a un Dieu à l'origine de l'univers et du vivant, et qui croit que tout est venu de rien par hasard...

Mais, parce qu'il y a forcément une des deux réponses qui est LA VRAIE, c'est le désir et même l'amour de la vérité qui doit nous conduire, si nous voulons connaître la vérité, sur tous les grands sujets basiques du monde.

Alors certes, tout le monde ne va pas se mettre à aimer et désirer les réponses justes, les vérités, intrinsèques, l'objectivité quant à ce qui est, mais ce qui importe c'est que soi-même, indépendamment des autres qui ne se posent pas ce genre de questions, ayons cette attitude et quête de la vérité en toutes choses. Et ce qui est vrai, c'est que ce qui est vrai se vérifie comme tel, devient évident même si cela ne l'était pas au départ de notre considération. C'est l'histoire de la rotation visible du soleil ou de celle, pour le moins peu visible, de la terre autour...

Et donc si aimer son prochain est le mieux de ce que nous pouvons faire pour vivre bien à plusieurs - ce qui n'est déjà pas l'opinion de tout le monde ! -, la suite est de chercher sur le comportement, les pensées, vues et paroles de chacun - les nôtres compris bien entendu -, où est l'objectivité qui doit l'emporter sur nos vues et ressentis subjectifs.

Nos subjectivités n'étant que des constructions (psychiques et/ou spirituelles) récentes, partielles, changeantes, notre part intelligente est de les ajuster toujours plus sur ce qui est juste, vrai et bon : C'est là un secret essentiel au bonheur. L'erreur étant de vouloir déformer ou balayer ce qui est par création et par nature au profit de telle vue subjective qui n'a pas de consistance et de durabilité : On en est de plus en plus dans ce schéma inversé satanique de la manière de se positionner face aus soubassements ou infrastructures du Réel.

Et au point où j'en suis parvenu de cette quête de soi et du Réel, c'est ce travail personnel, intérieur et secondairement partagé avec qu'autres, qui me paraît l'essentiel et la spécificité de notre humanité... si on ne veut pas "mourir idiot", c'est-à-dire rejoindre après la mort physique l'espace psychico-spirituel dont Jésus a parlé en l'appelant Shéol, ce qu'on traduit par hadès en grec ou séjour des mort in french...

C'est la quête du sens dans ce qu'il est à la fois universel et personnel, qui doit nous amener à une superposition de l'Objectif et de notre Subjectif. Superposition (dans les deux sens du mot) qui est la source de notre harmonie intérieure et avec nos environnements.

Pour ma part, je ne trouve ce qui me va durablement (depuis maintenant 44 ans) le mieux, qu'à partir de ma prise de conscience de la réalité de Dieu en tant qu'il est et de qui il est. A chacun le chemin d'où il part, et pour tous à la suite le chemin par où on arrive à la meilleure unité possible dans la vérité, déjà ici-bas.

Bonne en-quête du Réel.
Sur la méthode de cette investigation du Réel considéré dans toute sa globalité, ici >> un film que je vous conseille de regarder, qui est une histoire vraie et une vraie leçon de ce que nous pouvons développer comme capacité humaine pour trouver au mieux le sens de tout ça ! <<

Soyez béni-e, et déterminé-e

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* Qu'existe une réponse qui est la solution à un problème quelconque, ne veut pas dire que la réponse trouvée sera forcément juste, ni que tous les problèmes ont des solutions qui nous appartiennent : Il n'y a qu'à un être absolu (que nous ne sommes pas) que RIEN n'est impossible.

** Concernant les vérités fondamentales, si notre part est de désirer les connaître en tant que vérités à intégrer à notre regard du Réel, une partmajeure de Dieu a été qu'il a rendu les réalités spirituelles invisibles accessibles à notre conscience en faisant écrire des livres, dont la Bible est le pivot indéformable.

Le hasard ne peut être une cause qu'ayant été causée par quelque chose ou quelqu'un.
Et donc chaque hasard est en lui-même un effet, et non une cause initiale.

Car le hasard ne peut être une dynamique en lui-même. Sinon il serait une énergie permanente qui se manifesterait aléatoirement. Et d'où serait-il cela !?

Et si ce sont des nécessités qui mettraient des hasards en mouvement, en quête de solution comme font les moteurs de recherche, c'est le concept de nécessité qui serait le principe premier.... concept ou réalité d'où des nécessités émergeraient, même quand il n'y a rien avant elles.

On voit bien que la théorie évolutionniste qui veut déposséder Dieu de sa paternité créatrice n'est que de l'ordre de l'Ouroboros; le serpent qui se mord la queue et va finir par s’autodétruire (figure dont la transmission remonte à l’Égypte antique et dont l'origine provient sans doute de la compréhension qu'eut Moïse du "serpent ancien" sur lequel il écrivit dans son premier livre (La Genèse, chap. 3), lequel s'assujettit le genre humain dans le jardin d'Eden).

Cela ne nous rajeunit pas (lol !), tout en nous rappelant que l'origine humaine n'est pas si lointaine que ce que réclamerait un et des hasards innombrables créateurs...

La confusion matérialiste nous réduit à n'être qu'un amas de bactéries qui n'a pas eu besoin d'un Dieu créateur intelligent pour paeaître, vivre, se nourrir, se repoduire, en évoluant jusqu'à devenir un singe et puis nous. Oups, le conte de fée carabossé !

Pour émerger de cette vue autiste côté spirituel, il est bon de penser autrement qu'on est formé (formaté) en Europe. Dans le but de s'interroger soi-même sur la question du hasard et de Dieu. Faute d'une réponse solide à cet endroit, on est comme bâtissant des étages de maison sans fondation assurée sur du rocher ou des piliers bien enfoncés dans le sous-sol.

Et si cette démarche - qui nous distingue tellement des singes en tous genres :) - commence ou continue à vous tenir en haleine, vous trouvez ici aussi >> un guide pour prier Dieu afin de lui permettre de venir jusqu'à vous pour vous montrer qu'il entend et donc qu'il est bien vivant <<.

Bien cordialement,

C'est un leurre majeur que la croyance à un livre arbitre qui laisserait penser que chacun est maître de leur destin.

Car s'il est vrai que nous disposons d'une réelle liberté personnelle, elle ne peut nous soustraire à des déterminismes ou circonstances qui s'imposent à nous.

Et c'est dans les adversités, face aux difficultés, que nous devons avoir l'honnêteté d'admettre que nous sommes plus d'une fois bien insuffisants par nous seuls.

Alors osons, avec humilité, osez dire que si Dieu existe, nous avons, vous avez besoin de lui, en lui disant précisément ce qu'est notre besoin, notre curiosité, notre attente...

Pour cela vous pouvez vous aider de la page ici >> qui oriente vers une ou des prières qui peuvent rejoindre ce que vous aimeriez dire à Dieu <<

C'est aussi un élément majeur de notre liberté, de venir ou d'être placé à une croisée des chemins avec d'un côté croire en Dieu, et de l'autre croire qu'il n'y a pas de Dieu.

Un message éventuel (16 mn)

Aucun bien durable n'est en notre pouvoir si le vrai Dieu n'est pas avec nous au gouvernail de nos avancées.

Pire, de bonnes choses peuvent tourner en catastrophe.
Preuve explosive : découvert de E = MC², et c'est la bombe atomique qui est fabriquée !

Et si vous avez remarqué ce défaut de nos capacités, comme moi vous pouvez demander pardon à Dieu et il vous pardonnera : Jésus a payé par son sacrifice pour satisfaire la justice légale de Dieu afin que nous puissions obtenir sa grâce, plus que Présidentielle : Divine.

Si cela peut vous être utile, ici >> des trames pour démarrer une ou des prières efficaces <<

On appelle cela des grêlons... des agents du Ciel...
"C'EST APOCALYPTIQUE" entend-on ; mais encore !?
Qui a lu et comprend le livre biblique de l'Apocalyse ?

Comment interpeler encore quand le formatage athée transmis et accumulé chez nous sur plusieurs générations, ne permet même plus de penser qu'il y a peut-être bien un Dieu, ou des dieux, à la manœuvre quand des malheurs nous arrivent !

Le drame ultime est alors qu'il n'y a plus de repentance, de demande de pardon pour nos existences séduites par des slogans, des modes, des avancées qui s'emballent en progressisme comme les pales d'une éolienne sans frein !

Et quand on dérègle un domaine crucial - moral entre autre -, on dérègle tout : c'est la loi découverte par le météorologue Edward Lorenz (appelée Théorie du chaos ou Principe d'imprévisibilité, ce qui donne "l'effet papillon", des pics de chaleur et des rages de grêlons).

Quand le ciel se met aussi à casser ou à faire brûler avec rage, on doit s'interroger sur ce qu'on fait... qui transgresse les lois divines, qui irrite Dieu.

S'interroger individuellement, si on veut un secours déjà pour soi.

Soyez béni-e
et priez si vous sentez ce bon besoin de venir à Dieu pour vous mettre en paix avec lui >> ici une aide pour prier <<

Annexe >> Bulletin Mais-Théo ! <<