Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
10 décembre 2019 2 10 /12 /décembre /2019 20:45

suite de - 1 - ici

Reprise :
Trois gros 4x4 venaient de s'arrêter et neuf hommes en descendirent dont les trois pontes principaux de la NASA.

Un enfant dans la rue - Oui, oui, monsieur, c'est bien là qu'ils habitent, cette porte, vous pouvez sonner.
- Merci bonhomme. Tiens pour t'acheter des chewing-gums.
- Des QUOI !???
- Des ch'wi... Ah !.. Voyons… Peut-être on dit des Mistral-gagnants par ici !? Enfin des bonbons ! Tiens prends... So, allons-y ! Le ciel nous a conduits.
Une fois entrés, ils expliquent à Marie :
- En fouillant le ciel avec nos télescopes, on a été interpellés par une conjonction de planètes produisant une lumière étonnante, avec l'idée insistante que cette naissance, apparente dans notre ciel physique, pouvait bien en signifier une autre dans notre univers humain. Ce qui nous a amenés ici. L'enfant est-il là-bas sous cette moustiquaire ?
Marie – Oui, il doit dormir. Faut-il le réveiller ?
- On va attendre. Les choses bonnes se font en leur temps, ne croyez-vous pas !?
Marie – Ça permettra à Youssef mon mari, de rentrer de son travail.
- Très bien.
Marie – Vous venez d'où ? Je vous offre à boire de l'eau fraîche ? Nature ou avec du miel pour la sucrer !?
- Bien volontiers… On vient de l'Occident, d'abord en avion, puis on a débarqué nos voitures pour terminer le voyage en profitant un peu des paysages du coin. Vous êtes vraiment dans un bon pays, où coulent encore le lait et le miel je suppose !?
Marie – Malgré les épreuves qui ne manquent pas, et qu'il nous donne de supporter, les bontés de l’Éternel envers nous ne sont pas épuisées.
- Amen. Nous aussi on s'est un peu égarés sur la fin. Nos instruments ne sont pas encore suffisamment précis. On est donc allés à Jérusalem, et là-bas on a été redirigés jusqu'ici.
Voilà, j'entends l'enfant bouger il me semble !...
Un autre des pontes: - Ne bougez pas, je vais chercher les cadeaux !
Il se dirige donc vers la porte, qui s'ouvre juste quand il l'approche.
- C'est magique, porte automatique ici aussi ?!...
Non, c'est un homme qui paraît.
- Ah, vous êtes Youssef je suppose !?... Excusez-moi, je sors, on va vous expliquer.
 
Conformément à leur disposition de cœur, les astronomes ont amené quantité de cadeaux plus riches, plus utiles et significatifs les uns que les autres.
- Et ça… ah, un produit pour embaumer les corps ! Je ne sais pas qui a mis ce paquet parmi les cadeaux, mais bon, il est là, on ne va pas le remporter… Et encore celui-ci…
Joseph – Arrêtez, arrêtez, on ne mérite pas tout ce bien.
- Mais Yeshoua si ! C'est pour que vous vous occupiez de lui et de votre famille sans gêne.
Marie – C'est magnifique, on se croirait à Noël !
Un autre ponte - C'est peut-être une parole prophétique que vous dites-là Marie ! Vous permettez que je vous appelle Marie !? Chez nous, on aime bien adapter les noms à notre culture !
Marie – Pourquoi pas ! Youssef, ta femme s'appelle Marie.
- Et Youssef, ce sera… Joseph chez nous, vous êtes d'accord Youssef ?
Joseph – Qu'il soit fait selon la grande sagesse de notre Elohim le grand Dieu d'Israël qui dispense sa bonté sur tous les hommes.
Marie – Et Yeshoua comment le nommerez-vous dans votre langue !?
- Yesh-ou-a… Disons que chez nous ce sera… Jésus ! Oui, Jésus.
Joseph – Ah ben !... Jésus. Jésus. On a un petit Jésus.
- Ne dites surtout pas ça Joseph ! Jésus est déjà très grand dans le dessein de Dieu. Nous devons voir comme Dieu voit; Pas avec nos lunettes d'humains amoindris...
Oui c'est sûr qu'il va devenir immense cet enfant. Une très grande montagne de l’Éternel, qui remplira beaucoup de cœurs et toute la terre !
Joseph répéta avec un fort accent araméen : - Jésus.
Ils rirent tous joyeusement car la joie de l’Éternel était leur force, et, malgré les différences, le moyen de leur union d'âmes.
Au moment du départ, Joseph eut une parole pour ces visiteurs :
- Quand vous arriverez à l'âge de la retraite, continuez à regarder au-delà de tous les sommets de la terre, du côté des cieux très-hauts, car à la fin c'est encore du ciel qu'arrivera le secours, puis par le côté de l'Orient.
Les astronomes sont repartis en évitant Jérusalem où un attentat avait été fomenté… et éventé, selon que personne ne peut cacher quoi que ce soit à la CIA, et donc plus encore aux faces de l’Éternel, le Père émerveillé.
A la suite Joseph reçut d'un ange instruction pour descendre en Égypte. Ce fut juste avant que l'autorité romaine du Démon entre en furie, faisant massacrer tous les innocents de cette région (comme il sera rapporté plus tard dans les chroniques nouvelles).
Mais qu'on ne s'en inquiète pas : au-delà des souffrances et de la mort même, de toute injustice qu'il voit et supporte, Dieu se revêt de son habit de rédempteur et peut faire de tout ce qui est abîmé, déchiré ou égorgé, des créations nouvelles.
¤
Quelques années plus tard après leur retour à Nazareth, Marie eut un nouveau songe qui l'épouvanta. Elle avait commencé à repasser dans son cœur tout ce qui arrivait, en cherchant à faire le lien avec ce qui était dit à la synagogue à partir des écritures des rouleaux.
Quand Joseph rentra de son travail, Marie l'interpela sans tarder tout en l'attirant loin de Jésus pour qu'il n'entende pas.
- Youssef, qu'est-ce que ça veut dire !? J'en suis encore toute tremblante… Cette nuit j'ai vu tu sais de ces horribles poteaux auxquels les romains attachent les malfaiteurs jusqu'à ce que mort s'en suive.
Il y en avait trois dressés sous un ciel très sombre. Avec des brigands cloués dessus, les bras en croix, souffrant le martyr. Et soudain - le temps d'un flash, comme ça - j'ai reconnu… Oh c'est trop affreux… Non, non…
Marie, secouée par un sanglot déchirant essuie nerveusement son visage qui s'est mis à transpirer, dévoilant son effroi.
- Libère-moi de cette image Youssef ! Chasse-moi cette servante de Shatan qui m'effraye encore quand j'y pense !
Joseph – Qu'as-tu vu ma douce ?
- J'ai vu… J'ai vu, au milieu, pendu… Yeshou…
Sa voix se perd dans un râle d'agonie. Joseph a compris. Impuissant, il ne peut que rester longtemps immobile et muet, ses bras finissant par entourer tant qu'il peut sa frêle Marie.
Que se passait-il !? Y avait-il un risque qu'il fasse, lui, échouer le plan de Hachem !? Il se sentit soudain sans force, appesanti et de trop dans cette affaire. Et dans ce silence lourd, lui aussi pleura.
Quand enfin ils revinrent vers Jésus, celui-ci leur dit :
- Adonaï mon Père céleste, Celui qui est, est bon et puissant. Il se glorifie d'accomplir ses desseins malgré nos faiblesses. Comme une mère a compassion de ses enfants, il console les cœurs brisés et tous ceux qui s'appuient sur lui ne sont pas confus.
Joseph et Marie avaient écarquillé les yeux et un baume comme celui de Galaad avait coulé sur leur cœur, sous le regard aimant du Père émerveillé.
¤

- Ainsi Jésus grandit en sagesse, en stature et en grâce, et rien n'échappa au Dieu très-haut. Ni l'agonie du jardin de Gethsémané, ni l'arrestation de ce fils en qui il avait mis toute son affection; ni sa crucifixion et ni même sa mort, d'où le troisième jour, en Père glorieux, il le ressuscita.
Plus tard des érudits cherchèrent à établir la date de naissance de Jésus. Mais Hashem le Dieu maître des temps ne le permit pas. Cependant, Jésus devint si grand aux cœurs de quantité d'hommes et de femmes se découvrant perdus et ayant besoin de la grâce qu'offre le Sauveur, il fut décidé d'abandonner le calendrier romain pour en commencer un nouveau. C'est ainsi qu'on est en ?...

suite et fin <> ici

chant Hélène Goussebayle - chant Héritage

Partager cet article
Repost0
9 décembre 2019 1 09 /12 /décembre /2019 20:50

L'HISTOIRE FANTASTIQUEMENT VRAIE D'UNE NAISSANCE
...qui a aussi fait naître NOËL 

réécriture en mode Claude Thé

***

- L'enfant est né. Un beau garçon. Youssef (Joseph) l'a placé dans la mangeoire des animaux. Myriam (Marie) somnole.
Joseph – Je suis franchement désolé qu'on n'ait trouvé que cette écurie, mais on n'avait vraiment plus le temps… Vraiment trop de monde ici avec ce recensement !... Et puis je l'avoue, trop souvent je ne comprends pas Hashem (Dieu pour les juifs).
Marie – C'est nous qui n'avons pas dû faire attention à quelque chose.
Joseph – Non Myriam, c'est la faute des romains ! Sans leur recensement, nous n'aurions pas eu à faire ce voyage ! Ça leur sert à quoi de nous recenser comme si on était leurs biens !? On n'est pas de leurs pâturages !...
Marie – C'est nos péchés qui nous ont amenés sous leur domination Youssef. Nous n'avons pas à leur en vouloir.
Joseph – Certes, certes, nos pères ont abandonné Hachem. Nous ne sommes vraiment pas dignes de notre père Abraham !...
Il arrange de la paille sèche autour du nouveau-né.
Mais il y a quand même plus de 400 ans qu'Hachem se tait et ne sort plus avec nous ! Combien de temps encore avant qu'il ne nous délivre !?
Marie – Je crois qu'il va falloir patienter encore quelques longues années.
Joseph – On mourra donc comme ceux de nos pères qui n'ont pas vu se réaliser la promesse concernant la terre promise.
Marie – Hachem ne voit pas passer le temps comme nous.
Joseph – Certainement... C'est bien dommage.
Il se racle la gorge.
Marie - Il domine sur les origines et les fins. Il ne dort ni ne sommeille le Saint béni-soit-il.
Joseph – Tu as raison Mimie, je n'en disconviens pas... Comment te sens-tu ?
Marie – Étonnamment bien ! Je me lève d'ailleurs, je veux revoir cet enfant que j'ai eu comme nos mères Ève et Sarah, avec l'aide de l’Éternel.
Joseph – Ève avait péché.
Marie – Et Adam !?... Et nous, en quoi sommes-nous différents ?...
Ce qui est important c'est que nous croyons en comptant sur sa grâce, sur son pardon miséricordieux autant que sur sa justice…
Joseph - Ouais ! Plus qu'en pensant aux bousculades et coups de bâton qu'il peut nous donner, par quelques romains, quand nous le mettons en colère.
Myriam regarde le bébé.
Il est vraiment beau n'est-ce pas ! Loué soit Adonaï, l’Éternel-Dieu qui s'est penché sur son humble servante.
Youssef reste visiblement soucieux ou intrigué et peu enjoué par tout ce qui se passe.
Marie – Tu n'es pas jaloux quand même mon Yosy, qu'Hachem ait fait ce petit fils d'homme sans toi !? C'est son fils, surtout. Pas le fils d'un autre. Et aussi pour une part le tien.
Joseph – Non, non, pas jaloux… Expectatif ! Père adoptif, soit. J'attends de voir.
Marie – Sois patient, et j'en suis certaine, il t'en donnera des fils. Je t'aime Youssef.
Contre toute tradition, Myriam vient se blottir contre son mari qui en est agréablement surpris et la couvre de son manteau.
Marie - Je pense qu'il n'a pas froid comme ça !... Regarde Youssef, l'âne et même cette vache rousse viennent le réchauffer du souffle qu'ils ont reçu d'Hachem… Hummm, j'aurais envie de le manger tellement il est chou !
Ce soir-là, une lumière était venue s'ajouter à celle toute ombrée de l'étable, et Père et mère veillaient.
¤

Il y eut tout à coup du remue-ménage dans la rue, juste devant l'écurie. Youssef se réveille et tend l'oreille. Myriam ne dort pas non plus.
- Qu'est-ce que c'est ?
La porte s'entrebâille doucement. Une tête, puis deux, puis trois apparaissent au milieu de chuchotements.
- Oui, on dirait que c'est ici.
- Je crois bien qu'on y est les gars !
Un peu plus fort : - On peut entrer ?
C'était des bergers qui avaient été divinement avertis par un concert d'anges heureux, qu'un sauveur était né pour amener la paix à ceux des hommes et des femmes qui seraient de bonne volonté.
Vivement saisis par l'Esprit-Saint, ils se prosternent devant l'enfant et louent Dieu de ce qu'il a visité son peuple.
- Dans la ville de David, dit l'un d'entre eux.
- Serait-ce le Mashiah, demande un autre en regardant intensément un de ses compagnons comme pour qu'il lui réponde !?
Si les anges ne sont pas là (ou redevenus invisibles), leurs chants et la bonne nouvelle qu'ils annoncèrent emplissent les cœurs et l'atmosphère de la joie du Ciel.
¤

Mais la nuit suivante, Myriam eut un songe inquiétant qu'elle partagea avec son mari.
- Youssef, c'est horrible, j'ai fait un affreux cauchemar ! Mon cœur en a été transpercé comme par une épée…
On était montés tous les deux avec Yeshoua (nom de Jésus en hébreu) à Jérusalem. Il avait alors 12-13 ans. Peut-être était-ce pour sa Bar Mitzvah… Bref, on l'avait perdu ! Tu te rends compte Youssef, perdu ! Et - mon Dieu quelle horreur ! -, on ne s'en était même pas aperçu le jour-même ! On ne l'a retrouvé que tard le lendemain.
J'ai peur Youssef ! J'ai peur de n'être pas à la hauteur d'un tel don d'Hachem.
Joseph – Oui, c'est impressionnant. Est-ce Hachem qui t'a parlé ainsi !? Ou est-ce un tour du vilain Shatan !?...
Pour tout dire, moi j'ai eu le sentiment d'avoir à descendre en Égypte comme firent nos pères pour sauver leur vie…
Mais ne nous laissons pas submerger par des pensées ou des rêves qui ne sont peut-être même pas des songes.
Après un long temps de réflexion, Joseph reprit : - Cet après-midi je visite une maison où on pourra rester le temps nécessaire avant de repartir. Le propriétaire est d'accord pour me la louer si je lui refais la charpente d'une dépendance.
Marie – Que l’Éternel soit loué qui dispose les cœurs en faveur de ses enfants. Yeshoua me rend si heureuse Youssef ! Et toi aussi tu es un bon mari, et un père solide pour ce fils qui nous a été donné.
Joseph se redresse et tire sur sa ceinture en programmant :
- Et quand on sera montés à Jérusalem pour la circoncision, la présentation et ta purification, on retournement tranquillement à Nazareth.
Il y eut bientôt pour eux à Bethléem une maison et du pain (comme le dit le nom de la ville). Et auprès de Yeshoua pères et mère veillaient.
¤
Soudain il y eut beaucoup de bruits et de mouvements entre les maisons et parmi la poussière. Trois gros 4x4 venaient de s'arrêter et neuf hommes en descendirent dont les trois pontes principaux de la NASA.
Un enfant dans la rue - Oui, oui, monsieur, c'est bien là qu'ils habitent, cette porte, vous pouvez sonner.
- Merci bonhomme. Tiens pour t'acheter des chewing-gums.
- Des quoi !???
- Des ch'wi... Ah !.. Voyons… Peut-être on dit des Mistral-gagnants par ici !? Enfin des bonbons ! Tiens prends... So, allons-y ! Le ciel nous a conduits.

à suivre en cliquant < ici

un chant et/ou tant d'autres

Partager cet article
Repost0
6 décembre 2019 5 06 /12 /décembre /2019 14:49

C'est la question que posa un jour un catholique à son curé après qu'il eut démissionné de sa fonction de prêtre de cette institution... pour mieux suivre le Christ son Sauveur.
Voici sa réponse, rapportée dans son livre "Du DOGME catholique à la FOI biblique"

(nota: Où il est écrit mahométans, on lit aujourd'hui musulmans - Toutes les écritures en vert sont cliquables pour rejoindre leur source)

                                                                                         signé L. Vogel

Voilà qui peut être rassurant pour un-e catholique !... Mais qui ne doit pas laisser en l'état des connaissances seulement.

Si donc vous n'avez pas de Bible ou un Nouveau Testament, procurez-vous en un (ou demandez m'en un), et si vous avez ce qu'il faut sous la main, lisez-en les Paroles* selon que  "Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice..."

"C'est l'esprit qui vivifie, dit Jésus ; la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie. Mais il en est parmi vous quelques-uns qui ne croient point."

"Jésus leur dit (et nous dit) : Vous êtes d'en bas ; moi, je suis d'en haut. Vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde. C'est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés ; car si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés. Qui es-tu ? lui dirent-ils. Jésus leur répondit : Ce que je vous dis dès le commencement. J'ai beaucoup de choses à dire de vous et à juger en vous ; mais celui qui m'a envoyé est vrai, et ce que j'ai entendu de lui, je le dis au monde. Ils ne comprirent point qu'il leur parlait du Père. Jésus donc leur dit : Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous connaîtrez ce que je suis, et que je ne fais rien de moi-même, mais que je parle selon ce que le Père m'a enseigné. Celui qui m'a envoyé est avec moi ; il ne m'a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable. Comme Jésus parlait ainsi, plusieurs crurent en lui. Et il dit aux Juifs qui avaient cru en lui : Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra livre."

Ne laissez donc pas des dogmes, des instructions humaines ou même inspirées par des démons ou Shatan, prendre le dessus sur vous; mais pour être et demeurer sauvé-e cherchez la foi directe en Dieu de qui on obtient la grâce (le pardon de nos fautes) par Jésus crucifié pour nous et ressuscité pour que nous recevions son Esprit-Saint qui est la vie éternelle.

"Le témoignage de Dieu consiste en ce qu'il a rendu témoignage à son Fils. Celui qui croit au Fils de Dieu a ce témoignage en lui-même ; celui qui ne croit pas Dieu le fait menteur, puisqu'il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à son Fils. Et voici ce témoignage, c'est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie ; celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie. Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu. Nous avons auprès de lui cette assurance, que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute."

Soyez sauvé-e. La vraie foi croit !
Elle s'empare des vérités divines afin de les rendre agissantes en nous. Ainsi "le juste vivra par sa foi", non pas s'appuyant sur ses efforts de sanctification ou ses œuvres propres (c'est-à-dire sur nos propres mérites), ni même sur des prières de demande de choses que Dieu nous a déjà accordées en Jésus-Christ. Selon que "c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu.9 Ce n'est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie."

__________________
* Si vous n'êtes pas familiarisé-e avec la Bible, je vous conseille de lire d'abord les 3 premiers chapitres du 1er livre (la Genèse), puis un ou l'autre des 4 évangiles qui rapporte l'essentiel de ce que furent la vie, les messages, la mort et la résurrection du Christ et Messie Jésus de Nazareth, en lisant (et priant) ici ou là parmi les Psaumes (32 - 51 - 1...).

Et si vous sentez déjà un réel besoin du pardon de Dieu, d'être libéré-e d'une culpabilité, d'une angoisse, d'une addiction... cliquez là pour une prière de foi dont vous pouvez vous inspirer pour parler librement de votre coeur au Dieu Éternel et au Seigneur Jésus-Christ.  

Partager cet article
Repost0
27 novembre 2019 3 27 /11 /novembre /2019 11:19

C'est un fait indéniable que nous sommes tous mortels,
et que le jour de notre mort ne nous appartient pas.
Et la peur même que cette évocation suscite en nous
est un signal qui montre que cet article
n'est pas sans importance.

Il suffit de voir ce qui peut survenir soudain comme déréglement climatique jusqu'à mortifère (eaux diluviennes*, neige, canicule), accidents de voiture, d'avion, de train (ou d'hélicoptère comme avant-hier avec 13 militaires tués), attentat, meurtre passionnel ou familial, AVC, cancer.......... Personne n'est à l'abri... mais personne aussi n'est mieux protéger que celui/celle qui a remis sa personne entière sous l'autorité de Dieu par Jésus-Christ. Et on va là voir pourquoi.

Si donc la mort est un fait indéniable qui risque de faire que cette existence avec toutes ses difficultés et souffrances n'aura eu aucun sens si elle est la fin de notre conscience, un anéantissement total de soi, pourquoi continuer à vivre ?...
C'est ce qu'on peut entendre de plus ou plus souvent chuchoté à nos âmes. Ce qu'on peut chacun percevoir à un moment ou à un autre (bien sûr surtout quand ça va mal), sous forme d'une pensée... qui en fait est une suggestion maligne qui vient d'où ?

De nous-même ou de Satan, du diable, d'un démon ? D'une ou l'autre de ses créatures angéliques déchues (invisibles car seulement psychiques et spirituelles, sans corps) qui nous détestent et se jouent de nous d'autant que nous ne croyons pas à leur existence. Ces esprits maléfiques nous détestent et le bonheur qu'on peut connaître.
Pourquoi ?

Car ils se sont mis dans le malheur et ne semblent plus trouver de satisfaction qu'en cherchant à nous entraîner dans leurs vices, leurs perversions, leurs mensonges, leurs injustices, et dans la mort, par le meurtre ou encore par le suicide qui se présente (faussement) comme le terminal d'un mal-être.
Or la mort telle que nous la voyons et comprenons, savons-nous ce que c'est réellement ?

QUE CROIRE QUANT À LA MORT?
- Certains croient que c'est la fin (de nous, de tout, de moi). Un anéantissement donc de notre corps et de notre psychisme.

- D'autres croient que c'est comme une mutation ou métamorphose où on va changer de corps. Où l'âme continue à vivre mais en migrer dans un autre corps, plus divin ou, le plus souvent, dans un corps animal quelconque (comme punition d'une vie où le mal à dominer sur le bien). Ils parlent alors de réincarnation.

- D'autres encore croient qu'en se sacrifiant pour une cause (religieuse ou humaniste ou politique), ils vont au moins changer la face du monde ou d'une situation, sans la moindre idée de ce qui se passe quand on meurt et quand on est mort, ou encore en croyant que des vierges nous attendent pour que nous assouvissions sans limites, sans opposition, nos pulsions sexuelles.

- Certains croient qu'il y a un paradis pour tous, ou encore différents paradis, comme un paradis des boxeurs par exemple pour les boxeurs qui meurent (où ils se boxeront éternellement peut-être !?).

- d'autres croient qu'il y a un paradis et un enfer, et que c'est loin d'être gagné d'avance pour savoir où on va se retrouver pour l'éternité !

- Certains croient que les morts avec leurs sensations psychiques sont toujours attachés à leur corps et qu'il faut aux vivants retourner leur corps une fois par an pour qu'ils se sentent mieux.

- Certains croient que l'âme sort du corps et par là perd son individualité pour rejoindre et se fonde en pleine inconscience une Conscience cosmique unique et universelle qui n'a rien de personnel.

- Peut-être croyez-vous encore d'une autre manière !?

Surtout remarquez que dans tous les cas il s'agit de CROIRE.
Ce qui peut nous poser un vrai problème: Celui que croire touche au religieux (et donc on se ferme rien qu'à entendre ou lire ce mot), ou touche à un inconnu inconnaissable, à ce qu'on ne peut absolument pas savoir.

Or je voudrais vous inviter à observer ce qui est observable, à réfléchir avec vos capacités de raison et de bon sens bien terre à terre, et à comprendre ce qui demande simplement que nous cherchions - comme en science si nous voulons découvrir des vérités qui ne sont pas immédiatement accessibles. 

UNE INVITATION À... NE PAS MOURIR... IDIOT !?
Questions :
Comment avez-vous appris tout ce que vous savez par l'école?
Comment avez-vous présenté un concours pour entrer dans une grande école ou dans un poste?
Comment avez-vous reçu les instructions d'un apprentissage?
Comment avez-vous appris le code de la route et la conduite (automobile ou maritime ou aérienne)?
Comment avez-vous appris à faire du vélo ou à nager?
Comment avez-vous pu manger aujourd'hui sans savoir si ce que vous avez mis dans votre bouche était bon ou avarié?
Etc, etc, etc...
Avez-vous la réponse exacte... que vous n'avez peut-être jamais soupçonnée!?

C'est que TOUT ce que nous apprenons et faisons, commence par un acte de confiance, par une transmission qui ne se reçoit que par... la foi ! En croyant ce qu'on nous dit.
Vrai ou faux!?
Et donc à la question qui peut vivre sans croire? la réponse est PERSONNE!

Car on est tous par nature des croyants, des êtres capables de croire avant de savoir ET POUR SAVOIR.
On ne peut arriver à SAVOIR quelque chose, que ce soit pas le domaine matériel le plus basique (apprendre un métier manuel) ou dans des domaines de connaissances théoriques (comme les maths, les physiques, la biologie...), qu'en commençant par écouter ou lire quelque chose qui nous est extérieur, qu'on ne connaît pas, et, le croyant, on se l'approprie en tant que savoir.

En fait il nous est absolument impossible d'avancer, de vivre la dynamique du vivant qu'on a héritée,  sans faire "des pas de foi", sans accepter de croire (quelqu'un, des idées, des concepts, des axiomes, des instructions, du savoir, qu'on va y arriver) pour arriver à autre chose, à plus loin, à plus haut, à plus grand, à meilleur, que ce qu'on est à un moment donné (que ce soit en tant qu'enfant, ado, adulte, ou même vieillard).
Beaucoup de cette vérité se passe comme indépendamment de nous, c'est-à-dire en dehors d'une conscience éveillée à comment on approche ou saisit les choses, à comment on a cet élan vital qui nous fait lever le matin (quand il n'est pas cassé!), préparer un cours, une conférence, chercher une solution, concevoir un film, tenir le choc (sans mal faire) face à une adversité qui nous encombre la vie...
Mais notre capacité et potentialité spécifiques d'être humain contiennent  aussi que nous puissions en conscience acquérir des données, des connaissances, du savoir et des savoir-faire. C'est-à-dire conscient qu'on se met à croire quelque chose alors même qu'on ne sait pas si c'est juste, vrai, bénéfique, utile, intéressant...

C'est donc là le POINT DE DÉPART crucial, prédéfini et toujours prêt à être actif ou activé de nos mouvements (physiques, psychiques ou spirituels).
Êtes-vous déjà convaincu-e que cela est vrai ?
Convaincu-e de la prééminence de cet axiome, de ce moteur fantastique  posé en nous par le Créateur**, qui fait que la vie est mouvements et dépassements et joie d'aventures, d'explorations et de nouveautés toujours possibles ?
Je pose cette question car le but de la dynamique du vivant pour nous, c'est que nous acquérions, que nous nous enrichissions donc de ce qu'on n'a pas à l'origine (bien qu'on ait déjà des capacités et beaucoup de potentialités), et que par là nous nous déployons jusqu'à dépasser même le cap suprême... celui de la mort physique !

Et c'est là TOUT l'enjeu (si ce n'est premier en tout cas final) de cette existence. C'est l'enjeu supérieur à tout, transcendant, de ce principe de foi qui est notre propre puissant moteur par lequel nous saisissons et évoluons... en bien ou en mal... selon ce qu'on va croire, qui on va croire, pour quoi on va croire.
Et on arrive là à "l'entonnoir" de la vérité !

L'ENTONNOIR DE LA VÉRITÉ
Facile à comprendre. Si 2 et 9 font 11 tout rond, cela ne fait ni 10, ni 13, ni même 10,5 ou 10,95, ni 11,05 ou 12, etc...

On comprend par là que la vérité, comme l'exactitude, est quelque chose de précis, qui exclut plusieurs autres choses qui dès lors, n'étant pas vérité, sont des erreurs, ce qu'on appelle encore selon les domaines des fautes ou des mensonges, voire des demi-vérités (qui peuvent être une forme subtile de mensonge).

CROIRE, QUOI ET PAS QUOI ? TOUT !?...

De la question de la vérité et du mensonge, du juste et du faux, donc plus globalement du bien et du mal, découle les questions ou notions capitales de notre liberté et d'une capacité personnelle à trier les informations - capacité psychique que nous avons comme bien d'autres choses à développer, ce qui donne du discernement, un jugement critique, une capacité à ne pas se faire avoir par n'importe quoi.
On connaît bien ça par les tentatives d'arnaque, d'hameçonnage sur la toile, par la faon dont des gens peuvent essayer de nous séduire (par l'attrait du gain, du sexe, du pouvoir, de produits stupéfiants, etc...) pour tirer profit de nous, nous manipuler, escroquer, etc...

DONC TOUT N'EST PAS A CROIRE, BIEN ÉVIDEMMENT !
Tout de ce qu'on entend, de ce qu'on nous dit ou nous montre, n'est donc pas à prendre "pour argent comptant". Comme s'il s'agissait d'une vérité, d'une bonne chose. 
Et là il faut croire que sans Dieu le discernement et la protection est bien difficile, voire impossible.
Qui ne s'est pas fait trompé, arnaqué, possédé, par une offre alléchante, par un gars ou par une fille, par une promesse (il n'y a pas qu'en politique que les promesses ne sont pas tenues, une fois qu'on a mordu à l'hameçon ! Emoji ).

EXTENSION DES DOMAINES OÙ EXERCER DE LA FOI  POUR S'ENRICHIR DE SAVOIRS... ET DE VIE !

On est toujours à avancer sur et par le principe de croire avant de savoir et pour savoir. Et on est juste en train de faire le pas qui passe d'un contenu matériel (physique et psychique) de ce qu'on croit à un contenu spirituel (qui touche au domaine des esprits, de Dieu donc, de l'après-mort, de l'éternité...).

ET DONC LA QUESTION MAJEURE DE LA VIE MORTELLE ET DE L'ÉTERNITÉ !?...
Plus conséquente que tout - on y arrive -, la question de savoir ce qu'il y a après la mort est capitale car cette échéance peut arriver à l'improviste - ça n'arrive pas qu'aux autres ! -, ouvrant sur rien moins que l'éternité.
On a vu plus haut diverses idées ou pensées, opinions, préjugés ou connaissance avérée) à ce sujet, chacun de nous ayant forcément une position, une idée (l'absence même d'idée est une forme d'idée, une façon de concevoir certaines choses par l'indifférence). Et parmi ce florilège de propositions issues d'ici ou de là, il y a FORCÉMENT, ASSURÉMENT, UNE RÉPONSE JUSTE, ce qui est LA VÉRITÉ sur ce point à la fois délicat (comme sont toutes recherches) et auquel personne ne peut éviter d'être confronté.
Comment savoir? Comment passer de croire à savoir?

Une bonne manière de procéder consiste à s'appuyant sur une approche comparée des propositions. En disposant et cherchant des informations sans faire l'impasse sur rien, dans la dynamique de TROUVER ce qui est vrai.
Car seul chercher ce qui est vrai permet de sentir et d'accéder à une conviction toute personnelle que la chose (l'information, l'affirmation, la proposition) est vraie.

La Bible insiste sur ce principe de chercher la vérité pour trouver la vérité. Par exemple dans la lettre aux Thessaloniciens on peut lire cet avertissement :
"La venue de cet impie (l'antéchrist) se fera par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers10 et avec toutes les séductions de l'injustice pour ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas accueilli l'amour de la vérité pour être sauvés.11 C'est pourquoi Dieu leur envoie une puissance d'égarement pour qu'ils croient au mensonge,12 afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité mais ont pris plaisir à l'injustice soient condamnés."

Ainsi permettez-moi pour faciliter cette recherche, de vous donner là ma réponse, mon intime conviction, acquise par différents chemins, ce que vous mettrez en vis-à-vis de ce que vous croyez déjà et si nécessaire pour vous faire une idée bien arrêtée en vis-à-vis du contenu d'autres croyances.

En fait je n'ai rien inventé - car on n'a pas à imaginer ce genre de connaissance (universelle et préétablie) -, mais j'ai rallié ce que dit la Bible (après avoir été au préalable indifférent, ignorant, et encore en comparant ce qui se dit ici et là).

QU'ENSEIGNE LA BIBLE SUR L’APRÈS MORT (LE "POST MORTEM") ?

La Bible dit depuis le commencement, que l'âme ne meurt pas avec la mort physique. 1er exemple : Dieu dit à Caïn après qu'il ait tué son frère Abel: "Qu'as-tu fait ? La voix du sang (l'âme***) de ton frère crie de la terre jusqu'à moi.".

Dieu conduit encore la foi d'Abraham jusque dans la résurrection des morts. En lui demandant de sacrifier le fils unique qu'il lui a donné par Sarah (Isaac) afin de leur assurer une postérité, Dieu amène Abraham à croire, de manière logique, rationnelle bien que surnaturelle, qu'il ne peut lui demander cela que parce qu'il a le pouvoir de le ressusciter ensuite.

Du temps de Jésus (1 800 ans plus tard), cette descendance abrahamique, dans sa partie engagée dans la fonction religieuse (sacerdotale) est divisée sur le sujet, avec d'un côté le parti majoritaire, les pharisiens, qui croient à une pérennité de l'âme et à la résurrection des corps.
Les saducéens (alors minoritaire) ont pour leur part adopté une position "moderne", qui coupe d'avec la tradition et les textes sacrés, niant toute vie post mortem de l'âme, et donc toute résurrection des corps. Sûrs de l'option nouvelle par laquelle ils se distinguent, ils viennent tenter Jésus, pour le confondre et/ou pour le faire rejoindre leur camp:
"« Maître, voici ce que Moïse nous a prescrit : Si un homme marié meurt sans avoir d'enfants, son frère épousera la veuve et donnera une descendance à son frère.29 Or, il y avait sept frères. Le premier s’est marié et est mort sans enfants.30 Le deuxième [a épousé la veuve et est mort sans enfants],31 puis le troisième l’a épousée ; il en est allé de même pour les sept : ils sont morts sans laisser d'enfants.32 Enfin, la femme est morte aussi.33 A la résurrection, duquel d'entre eux sera-t-elle donc la femme ? En effet, les sept l'ont eue pour épouse. »
34 Jésus leur répondit : « Les hommes et les femmes de ce monde se marient,35 mais celles et ceux qui seront jugés dignes de prendre part au monde à venir et à la résurrection ne se marieront pas.36 Ils ne pourront pas non plus mourir, car ils seront semblables aux anges, et ils seront enfants de Dieu en tant qu’enfants de la résurrection.37 Que les morts ressuscitent, c'est ce que Moïse a indiqué, dans l'épisode du buisson, quand il appelle le Seigneur le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob.38 Or Dieu n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants, car tous sont vivants pour lui. »39 Quelques spécialistes de la loi prirent la parole et dirent : « Maître, tu as bien parlé »"

La question est alors: Qui, mieux que Jésus qui a donné des signes surnaturels de sa nature divine (jointe à sa nature humaine), a pu dire autrement et aurait raison?
Et encore qui, mieux que l'Esprit de Dieu qui a enseigné et inspiré les écrivains des  la Bible, sait ce qu'il en est de ce qui se passe sur l'autre versant de tout ce qui fait le Réel ? (vous pouvez par exemple (lire ou écouter en cliquant ici ce qu'a pu écrire l'apôtre Paul de détaillé sur la 1ère résurrection)
A vous de chercher... si sa réponse christique et biblique est bonne, ou pas...

POUR NOUS AIDER À TROUVER L'HISTOIRE (BIBLIQUE) MAIS AUSSI L’ACTUALITÉ
Depuis quelques années les langues se délient dans plein de domaines. Et dans celui qui nous concerne ici aussi. On parle alors de EMI (Expérience de Mort Imminente) ou NDE (Near Death Expérience).
On pourrait surtout parler de Vie Imminente, car les rapporteurs de ces expériences faites alors qu'ils sont en état comateux ou de mort clinique, dans un ou des univers surnaturels (qui tiennent de l'enfer et du paradis), racontent qu'il y a dans ces sphères non matérielles (psychiques et spirituelles), où ce corps n'a pas sa place, plus de vie, plus de conscience, plus d'acuité de perception, qu'ici-bas.
Pour écouter de ces témoignages, tapez EMI ou NDE sur un moteur de recherche et vous pourrez rejoindre des milliers de vidéos qui forme un tel faisceau d'indices qu'on peut désormais parler de preuve que l'essentiel de notre existence et de notre être, c'est l'âme (la psyché en grec, d'où tous les mots formés autour de la racine "psy").
Ce que disent depuis l'aube des temps toutes les religions et encore aujourd'hui bien des cultures, et la Bible qui va même plus loin en disant que l'être humain créé à l'image de Dieu (qui est un Dieu Un et trinitaire en même temps) est un corps habité par une âme et un esprit...

La Bible enseigne encore qu'outre des résurrections isolées surnaturelles de morts, il va se produire pour tout le genre humain deux résurrections bien distinctes et différentes des défunts, distantes de mille ans.

PREMIÈRE RÉSURRECTION DES MORTS
Une 1ère résurrection est celle de ceux qui sont morts dans leur foi au Seigneur Jésus venu sur terre pour y mourir en tant que Sauveur, obtenant que quiconque croit en lui et en ce sacrifice totale de sa personne puisse recevoir un authentique pardon de Dieu de toutes ses fautes.

Cette résurrection donne immédiatement à qui en bénéficie un corps nouveau, tout autre, comme si en tant que conducteur on recevez d'un coup une Ferrari toute neuve, une Bentley, une Tesla, une Maserati, une Rolls-Royce...
C'est ce que la Bible déclare (que vous pouvez lire en cliquant ici). 
Cette résurrection va conduire ses heureux bénéficiaires jusque dans le Royaume céleste éternel de Dieu. La Bible donne pas mal de renseignements sur ce futur... qui devient de plus ou plus imminent, ce qui apparait par une conjonction des textes bibliques prophétiques et des principales actualités planétaires.

Ce qui pose là aussi la question de la véracité des écrits bibliques !
Écrits d'hommes (une quarantaine) qui, bien que sur une durée de 1 500 ans environ, ont pris l'initiative de faire ce livre, ou bien livre totalement inspiré par l'Esprit de Dieu pour que nous sachions, en croyant, ce qui ne peut être accessible à notre raison, à notre âme, mais qui l'est à notre esprit.
A vous de chercher, et une bonne manière de le faire est de chercher cette vérité en lisant la Bible (en commençant par la seconde partie (le Nouveau Testament) par exemple car elle est plus courte et éclaire beaucoup ce qui était resté mystérieux dans la première.
Pour ma part la réponse n'a pas été difficile du fait qu'un jour où j'étais en panne dans mes recherches et tâtonnements spirituels (genre Nouvel-âge), Dieu m'a parlé par une voix très audible, disant simplement : "Lis la Bible ! Lis la Bible !" (Je raconte la suite surnaturelle ici en descendant la page jusqu'à DIEU ME PARLE, VRAIMENT !).

SECONDE RÉSURRECTION DES MORTS
Elle est celle de tous les autres qui n'ont pas pu être de la première.
Elle interviendra après le millénium ou règne terrestre de Jésus de 1 000 ans. (comme vous pouvez le remarquer, la foi en Christ et par la Bible ne laisse pas dans du flou ou des limbes évanescentes au sujet du futur (terrestre, céleste, puis sur une nouvelle terre et sous un nouveau ciel...).

ÔTER DES OBSTACLES QUI BOUCHENT LA VUE ET PARALYSENT LE CŒUR ET LA RAISON
Mais pour entrer dans l'assurance qui est un des signes qui attestent d'une foi juste, c'est-à-dire d'une foi en ce qui une vérité, il faut d'abord que nos péchés (nos fautes morales et autres injustices et pratiques occultes) soient vus et confessés à Dieu pour obtenir de sa part un pardon véritable? Et cela dans la foi concomitante que c'est uniquement parce que Jésus est mort à cause de nos fautes, prenant sur lui tous les effets qui en résultent, dont la mort, que le Dieu éternel peut nous laver de tout.
Ainsi est-on chacun remis en règle et en paix avec Dieu, non sur quelque mérité de notre part (car toute notre justice est comme un vêtement souillé, dit le prophète Ésaïe), mais uniquement sur la base que Jésus, en donnant sa vie pour nous, a satisfait la justice de Dieu qui exige que le mal commis soit sanctionné.
Ce qui est dit ici de merveilleuse manière: "En effet, le salaire du péché, c'est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur.". 

Désormais, ayant lu jusque là, vous avez la responsabilité de poursuivre (ou pas) dans la seule quête qui finalement est importante, car vitale (et bien au delà de ce qu'on peut imaginer), celle de chercher comment entrer en relation avec Dieu dès ici et maintenant, c'est-à-dire comment trouver ç s'établir dans une paix avec lui, ce qui seul permet de tenir les démons et Satan (qui sont des anges déchus) à distance.
Enfin faire la paix avec Dieu pour le connaître de l'intérieur, dans sa sensibilité, dans son amour, dans son repos, dans sa dynamique en notre faveur... et non seulement du dehors par ses jugements, c'est trouver comment accéder à l'éternisation qu'il désire tant de notre âme - c'est-à-dire une pérennité éternelle de notre moi-je, de notre personne consciente d'elle-même et unique.
Avec Jésus les choses sont simples. 
C'est au point où entendant et discernant l'état d'esprit d'un des deux brigands crucifiés à côté de lui, il lui répond: "Aujourd'hui tu seras avec mon dans le paradis".
A un autre, l'apôtre Paul va dire: "Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé toi et ta famille".
A d'autres l'apôtre Pierre dit: "Repentez-vous (ce qui veut dire Regrettez ce qu'a été votre vie passée tout en décidant de changer vos  manières de faire) et que chacun de vous soit baptisé pour signe du pardon de vos péchés (comme expression physique qui rend visible ce qui s'est réellement passé comme changement dans votre for intérieur), et vous recevrez le don du Saint-Esprit (qui est la vie même de Dieu, éternelle donc, qui vient s'ajouter à notre être psychique pour nous mettre à part de toutes les forces dominantes mauvaises et nous sauver de la perdition de soi qui suivra toute mort qui n'est pas marquée par cette présence divine en nous).

En toutes ces choses je n'invente rien; je n'ai fait, parmi tous les possibles proposés par les uns et les autres, philosophes, idéologues, médiums, charlatans, religions, que croire que la meilleure manière de croire consiste à considérer les écritures bibliques comme étant d'origine divine, et donc que Jésus est bien l'unique Sauveur dont nous ayons besoin pour échapper un maximum au mal présent et à venir.

Pour clore ici, un verset dans lequel il peut suffire de mettre votre nom à la place du mot "quiconque"pour que, si vous le faites en toute intégrité et foi, vous entriez (naissiez spirituellement) immédiatement dans le plan rédempteur de Dieu:
"En effet, Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle."

Si vous désirez mieux ancrer encore en conscience une telle démarche que vous venez de faire ou que vous désirerez de faire, voici en cliquant ici > un guide de prière pour vous aider à passer ainsi d'une mort (spirituelle, qui est notre lot commun) à La vie (spirituelle qui se reçoit et ne peut jamais finir). 

Soyez richement béni-e.

(Pour + mon article sur les 5 formes de résurrections en cliquant ici. Aussi si vous voulez creuser le sujet de la mort Les 5 types de mort < ici

_________________
* La Bible nous dit que Dieu a fait une alliance avec nous par Noé, lui assurant qu'il ne détruirait plus de lui-même le genre humain par de "grandes eaux" (grosses inondations, cyclone, rupture de barrage,  tsunami, pollutions mortelles...).
Ce qui signifie que lorsque de tels accidents se produisent en rapport avec l'eau, Dieu n'en est pas responsable. La cause, la responsabilité incombe à ceux qui les subissent pour les avoir suscités de la part des démons (toujours capables d'influencer les éléments naturels comme on peut le lire ici dans la Bible) à partir de leurs comportements coupables. Notamment par des pratiques graves (individuelles, collectives ou d'un groupe de responsables) que la Bible appelle des abominations parce qu'elles donnent des droits sur nos existences aux démons). Il en est ainsi des meurtres (dont l'avortement fait partie aux yeux de Dieu et de Satan), de perversités dénaturées, de diverses formes d'occultisme et autre satanisme (notamment comme il est écrit dans le livre biblique du Deutéronome au chapitre 18, à partir du verset 10).

** Rien que par cette dynamique incluse dans le vivant, la théorie athée qui pose l'évolution comme moteur du vie est intenable (sans parler de toutes les lois, organisations, complexités et systèmes découverts).
En effet avec ce que prône cette doctrine qui veut ôter à Dieu la paternité du monde et de la vie, on veut nous faire croire - toujours la croyance au départ de nos adhésions ou refus - que tout s'est fait à partir de rien uniquement par des successions infinies d'évolutions conduites par la main droite du hasard (des hasards) et par la main secondaire (gauche) des nécessités qui surviennent et obligent le hasard à se mettre à chercher sans la moindre intelligence des solutions aux problèmes posés...
Et donc comment le hasard serait-il parvenu à créer un déterminisme primordial comme est le principe de foi? Quelle nécessité aurait amené une telle évolution interne dans la nature psychique du vivant, qui n'est pas solution à une problématique particulière apparue au cours du temps, mais un universalisme préexistant à des situations et difficultés qui apparaissent dans le temps, qui s'y adapte plus que rapidement puisque c'est le principe même qui invite, appelle, déclenche toute appropriation nouvelle dans des dépassements de soi...

*** L'expression "la voix du sang" enseigne déjà ici que l'âme, le psychisme, est liée au sang, en est une émanation, le sang restant son support tant qu'il peut assurer la vie au corps. 

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2019 1 18 /11 /novembre /2019 21:30

Des déréglements climatiques aux crises sociales en passant par les trafics hors-la-loi et autres corruptions au sein des systèmes, les sociétés humaines (nationales ou fédérées) ne peuvent être qu'un reflet ou un écho du fond du cœur humain :
Bon, disent à qui veut le croire, Jean-Jacques Rousseau et une idéologie humaniste (rousseauiste);
Mauvais dans son fond le plus authentique et potentiellement réactif, affirme pour sa part la Bible.

QUI CROIRE ?
C'est important de savoir, car selon ce qu'on croit, de votre comportement, de votre positionnement, de vos réactions et de vos choix dépend votre sérénité ou votre stress, votre présent immédiat et tout ce qui va faire votre avenir...

COMMENT FAIRE UN CHOIX VÉRITABLE QUAND ON NE SAIT PAS !?
Un futur pour chacun qui se poursuit bien au delà de la mort physique, jusqu'en éternité.
Du côté de ce qu'on appelle l'enfer ou du côté  de ce que Jésus est venu présenté comme étant Le Royaume de Dieu. En cliquant ici < vous pourrez voir une vidéo révélatrice de Irvin Baxter (51 mn) amenant un bon message sur ce sujet des plus personnel et capital - s'agissant pas moins que d'une question de vie ou de mort (éternelle) !...

Ayez la bonne curiosité !

Bonne réception et écoute. Soyez béni-e.

Partager cet article
Repost0
15 novembre 2019 5 15 /11 /novembre /2019 11:36

Notre relation à Dieu tient toujours du challenge!
Entre ce que nous sommes réellement, et ce qu'il est en vérité, il n'est pas facile de penser juste et de se comporter de manière à refléter au mieux un peu de ses attributs principaux (bonté, bienveillance, paix, joie, patience, maitrise de soi, foi...).

Et oui foi aussi! Car Dieu doit avoir une "sacrée foi" pour avoir entrepris de nous ramener à lui dans son désir intense de partager avec nous les gloires et délices de sa personne et de ses œuvres exemptes de tout mal (sa prochaine création).

Je vous invite là à écouter un bref message qui peut en encourager quelques-uns à voir et à croire juste. Il est intitulé et accessible ici > Relax, vous n’êtes pas Dieu par Bruno Picard.

Soyez béni-e dans ce cheminement qui va de notre perdition (certaine) au salut éternel... que Dieu peut assurer (tout aussi certainement) à quiconque croit en lui et en ses vérités immuables (telles que la Bible nous les rapporte).

Si vous désirez vous remettre à Dieu plus pleinement, cliquez > ici et un guide vous aidera à  prier.

Partager cet article
Repost0
14 novembre 2019 4 14 /11 /novembre /2019 11:19

Notre cœur,
comme nos pieds ou nos mains,
a besoin d'être
lavé, purifié, éclairé, régénéré...

Ce qui réjouit le cœur de Dieu, c'est qu'il puisse nous pardonner.
L'avez-vous appris ? Ne le savez-vous pas ? Le saviez-vous mais l'avez-vous oublié?

"Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies.7 A peine mourrait-on pour un juste ; quelqu'un peut-être mourrait-il pour un homme de bien.8 Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous."

Jésus-Christ "mort pour nous" pour quoi?
Entre eux - la première raison à expérimenter: Pour nous pardonner.

Un jour j'ai vu (et entendu) un handicapé sur une chaise roulante s'en prendre avec violence (verbale) à la personne qui manœuvrait son fauteuil.
Apparemment parce que cette dernière venait de trop le secouer alors qu'il s'agissait de sortir d'un magasin ayant une marche ou deux à son entrée.

Sans doute pas facile de gérer ce passage difficile, et le jeune homme assis a-t-il pu être plus ou moins secoué et avoir mal.
Mais autant il était sans force physique pour marcher, autant il n'était pas sans animosité tapie au fond de son cœur pour réagir. C'est réellement de la méchanceté qui sortit alors de sa bouche, au point de me faire retourner.

CONNAISSANCE DE SOI

Cette image est pour moi une illustration de ce que nous sommes chacun en face de Dieu: à la fois la personne handicapée qui a besoin d'aide, et la personne qui assiste l'autre pour bien faire, mais sans expertise, et avec moultes maladresses...

D'un côté un cœur profond dont une contrariété peut rapidement atteindre et faire déborder son fond (qui est comme la lie déposée au fond d'une bouteille); de l'autre une bonne volonté à bien faire, mais avec une sempiternelle insuffisance pour réussir là où ce serait le plus nécessaire... notamment dans nos relations les plus rapprochées et obligées.

C'est ainsi que Jésus (le psy qui connaît l'être humain plus que quiconque) dit un jour: "Ayant de nouveau appelé la foule à lui, il lui dit : Écoutez-moi tous, et comprenez.15 Il n'est hors de l'homme rien qui, entrant en lui, puisse le souiller ; mais ce qui sort de l'homme, c'est ce qui le souille.16 Si quelqu'un a des oreilles pour entendre, qu'il entende.
17 Lorsqu'il fut entré dans la maison, loin de la foule, ses disciples l'interrogèrent sur cette parabole.18 Il leur dit : Vous aussi, êtes-vous donc sans intelligence ? Ne comprenez-vous pas que rien de ce qui du dehors entre dans l'homme ne peut le souiller ?19 Car cela n'entre pas dans son coeur, mais dans son ventre, puis s'en va dans les lieux secrets, qui purifient tous les aliments.20 Il dit encore : Ce qui sort de l'homme, c'est ce qui souille l'homme.21 Car c'est du dedans, c'est du coeur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les impudicités, les meurtres,22 les vols, les cupidités, les méchancetés, la fraude, le dérèglement, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie.23 Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans, et souillent l'homme."

Voilà ce qui nous habite... tous ! Et qui se révèle à une occasion, dans une situation ou même une discussion ou une autre. On a vu que ça peut aller jusqu'à un coup de couteau pour une place de parking!
Certes, une bonne socialisation (éducation) peut rabaisser les pulsions qui résultent de cet état de fait générique, mais c'est dans une adversité qu'on peut réellement se découvrir... tel-le que Dieu nous voit. 

Et avec son pardon pour les faute passées, c'est aussi ce fond mauvais, corrompu, déréglé de diverses manières, que Dieu veut changer, pour nous changer.
D'une part donc, en commençant par nous pardonner chaque élément et la somme de ce qui est sorti de notre bouche et jusque dans notre comportement, tout ce qu'on a pu faire de mal, à partir et à la suite de mauvaises pensées et/ou de mauvais choix, avec notre corps (que ce soit dans la luxure ou dans la violence).
Et d'autre part, ce qui nous caractérise d'une autre manière, c'est une vraie faiblesse, congénitale, adamique, universelle, qui nous laisse laxiste où il faudrait réagir, ou au contraire qui nous met en mouvement pour ce qu'on pense être du bien, et qui va s'avérer être mal.

UNE AFFAIRE DE CONNAISSEURS   

Un autre grand psychologue avant l'heure (et psychanalyste puisqu'il a fait son analyse et peut dire ce qu'il a expérimenté en lui-même), l'apôtre Paul, décrit cela ainsi: "Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais.16 Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi (qu'elle soit celle de notre conscience personnelle ou d'une religion) est bonne.17 Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi.18 Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair : j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien.19 Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas.20 Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi.21 Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi.22 Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ;23 mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres.24 Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?..."

N'avez-vous jamais failli, cédé ainsi, jusqu'à vous laisser entraîner dans ce que vous sentiez ou saviez être mal ?
Ou encore au contraire, ne vous êtes-vous jamais comporté comme un lâche, un peureux, un muet, là où il aurait fallu ouvrir la bouche pour défendre une situation, une cause ou une personne?

DÉVELOPPEMENT PERSONNEL

Il est important d'apprendre à être ou à devenir honnête vis-à-vis de soi-même quant à ce que nous sommes. C'est là que commence le véritable développement personnel !
Si on aspire à s'améliorer (mentalement, psychiquement ou spirituellement), il ne faut pas que ce soit une construction qu'on veuille développer sur un fondement pourri, piqué des vers... que sont ces forces intérieures mauvaises qui forment ce que la Bible appelle "le péché" (mot décrié mais très significatif puisqu'il a le sens de "manquer une cible", "passer à coté de" (ce qui est le bien véritable).

Et tant que le péché est une loi qu'on laisse librement écrite et agir, selon sa propension naturelle (psycho-génétiquement et par suite développée par nous-même), tant qu'on ne peut se maîtriser au contact des forces qui animent le monde qui nous entoure, nous sommes entraînés dans des erreurs, ses mensonges, des divagations, des pulsions malignes, des travers, des perversités et autre aveuglement...

Et le grand psy Paul expose encore de manière synthétique et parlante l'opposition qu'il y a entre le bien et le mal. C'est-à-dire entre ce qu'on peut vivre selon qu'on poursuit notre route sans la transformation surnaturelle que Dieu (le vrai, le Dieu de la Bible et non celui des religions ou des philosophes) peut opérer en nous; ou selon qu'on désire être pardonné et purifié par lui. Lisons: "Car la chair a des désirs contraires à ceux de l'Esprit, et l'Esprit en a de contraires à ceux de la chair ; ils sont opposés entre eux, afin que vous ne fassiez point ce que vous voudriez.18 Si vous êtes conduits par l'Esprit, vous n'êtes point sous la loi.19 Or, les oeuvres de la chair sont manifestes, ce sont l'impudicité, l'impureté, la dissolution,20 l'idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes,21 l'envie, l'ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d'avance, comme je l'ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n'hériteront point le royaume de Dieu.
22 Mais le fruit de l'Esprit, c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance."

Par le mot "chair" il est question de notre être naturel (notre corps et notre âme), qui ne tient pas compte de la réalité de Dieu et ne peut triompher du mal par le bien car nous sommes chacun habités par cette loi terrible dite "du péché et de la mort."

Par le mot "Esprit" il est parlé de l'Esprit même de Dieu qu'il donne à ceux qui veulent entrer et entrent effectivement dans son plan de rédemption de nos âmes et personnes.

Le verset suivant nous expliquant: "24 Ceux qui sont à Jésus Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs.

Dès lors que Dieu nous donne de voir aussi clair entre ce qui est bien et ce qui est mauvais pour moi et en moi, va-t-on rester ce que nous sommes - c'est-à-dire la personne pécheresse dont on a lu les descriptions, ce que je suis par nature et encore ce qui a été fabriqué dans mon intérieur par une culture et/ou par une religion?

Ou bien veut-on que Dieu nous adopte? Veut-on qu'il nous donne de repartir tout à nouveau, en mettant le compteur de nos péchés à zéro?

TRANSFORMATION DE SOI

Rien de religieux là-dedans!
Il s'agit seulement que nous trouvions ou retrouvions comment vivre en relation avec Dieu. C'est-à-dire dans une relation vivante (vivifiante, purificatrice, sanctifiante, apaisée, réjouissante...) avec ce Dieu véritable qui veut nous enrichir de son propre Esprit.

C'est pourquoi, quand ils veulent savoir comment entrer au bénéfice de la rédemption obtenue pour nous en sa mort par Jésus, l'apôtre Pierre dit à ses auditeurs ce que la Bible nous rapporte ainsi: "Après avoir entendu ce discours, ils eurent le coeur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres : Hommes frères, que ferons-nous ?38 Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint Esprit.39 Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.40 Et, par plusieurs autres paroles, il les conjurait et les exhortait, disant : Sauvez-vous de cette génération perverse.41 Ceux qui acceptèrent sa parole furent baptisés ; et, en ce jour-là, le nombre des disciples s'augmenta d'environ trois mille âmes.42 Ils persévéraient dans l'enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain, et dans les prières."
"Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles.18 Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation.19 Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."

Voilà tout "l'Evangile" de Jésus-Christ (mot venant du grec qui veut dire Bonne nouvelle). Ces passages en sont son cœur, qui expriment le cœur de Dieu, vérités à partir de quoi quiconque veut être honnête et sauvé de la perdition dans laquelle nous naissons tous et risquons de finir, peut s'impliquer, s'insérer tout personnellement dans ce plan de rachat de nos personnalités en risque et état de perdition.

En cliquant ici vous avez un guide de prière si vous désirez faire cette démarche toute personnelle qui permet d'obtenir le pardon de nos fautes et de recevoir la vie de l'Esprit de Dieu qui fait de nous des "nouvelles créatures" (qui seront ici-bas des enfants adoptifs de Dieu et vivront par la suite leur maturité, dans un nouveau corps glorifié, dans le Royaume éternel de Dieu, ce qu'on appelle le Paradis). 

Soyez béni-e, et sauvé-e.

Pour lire la Bible si vous en êtes totalement ou largement ignorant, je vous conseille de commencer par le Nouveau Testament (sa 2e partie) et par un des quatre évangiles - par exemple en cliquant ici: 1/ Évangile selon Matthieu - 2/selon Marc - 3/selon Luc - 4/selon Jean...

Partager cet article
Repost0
2 novembre 2019 6 02 /11 /novembre /2019 08:48

On est notre ADN !

Oui. Mais avant,

et après?...

En réalité (comme monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir), on part tous d'un principe (puisque par définition principe signifie "Point de départ, commencement").

Et notre principe premier est celui qui nous est donné - en fait inculqué pour l'essentiel sans qu'on en soit conscient - par le mix (cohérent ou bâtard) des opinions, avis et croyances (athées ou religieuses) de nos formateurs (parents, école, réseaux sociaux et autres médias).

"AUX ÂMES BIEN NÉES, LA VALEUR N'ATTEND PAS LE NOMBRE DES ANNÉES" (CORNEILLE) 

De fait, naissant en France après la 2e guerre mondiale de lignées de parents formés par la culture socio-humaniste (post-judéo-gréco-chrétienne, née au XXe siècle), on devient le plus généralement tout naturellement... incroyant (indifférent à ce qu'il y ait un Dieu ou pas, agnostique ou athée).

Né-e de lignées de parents formés dans une appartenance religieuse, on devient par un autre principe catholique ou musulman par exemple.

Ainsi un principe n'est pas juste un mot ou un concept, c'est un contenu ! C'est un pack fait d'acquis automatisés (bons ou mauvais), de préjugés, de prédominance, de partialité, d'insuffisance, de tares (toujours certainement) comme de valeurs.

Ainsi on part tous dans notre existence nantis d'une somme de données, d'un principe donc, par défaut.

Et la pire chose pour chacun de nous est de ne pas éprouver la valeur (morale, sociale, sociétale) de ce principe (qu'il soit dit laïc, athée ou religieux), selon que le bien consiste globalement en une vie paisible, sociable, solidaire, où le bien commun nous est aussi cher que notre propre bien - notre bonheur ne naissant au minimum que d'un respect conjoint de soi et de ce qui fait notre environnement (il n'y a pas de bonheur tout seul).

LE VRAI CARTÉSIANISME

Le grand apport de Descartes - si piteusement dévié en un principe agnostique par les incroyants - tient de cette révélation qu'il a eu, qu'il est fort bon que nous ayons tous un jour une prise de conscience - toute personnelle pour le coup, véritable - qui nous amène à remettre en cause ces fondements principaux.
Fondamentaux à partir desquels nous avons tous commencé à exprimer notre existence. Une phrase le résume particulièrement où il dit:
"Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances."

Car la question pour le coup réellement principale, est que nous vivons majoritairement sur la base d'opinions (qu'on a héritées plus que nous les avons réfléchies et adoptées en conscience), indépendamment de la notion de vérité.

Or il y a bien souvent antinomie, contradiction, tension, entre comment "ça pense" en nous (ce qu'on appelle "nos" opinions) et ce qui est juste, vrai, bien, bon, meilleur (des vérités que caractérisent leur universalisme et leur stabilité).

Ce n'est pas qu'on n'ait pas à avoir des opinions! C'est qu'elles ne doivent pas prendre la place des vérités. Par exemple c'est une vérité qu'on ait besoin de manger. C'est une opinion qu'on mange de la viande ou qu'on n'en mange pas, bio ou pas... (Et c'est important que nos opinions soient conformes à notre conscience...).

VÉRITÉS ET OPINIONS, LE GRAND DILEMME

Ainsi déjà le slogan qui court plus que jamais "A chacun ses vérités" est un non-sens complet. C'est confondre les opinions qui se caractérisent par la subjectivité et la multiplicité, avec les vérités qui sont objectives en soi, et une pour chaque chose. Par exemple pour dix mensonges possibles sur quelque chose, il y a une vérité. Comme 3 et 2 font 5,00 et pas tout autre chiffre et autres décimales.

Aussi Descartes dit encore: "Nous devons chercher la vérité en pleine liberté, affranchis de toute idée préconçue."

Des siècles plus tard dans le même esprit, le scientifique fait écho au philosophe, Albert Einstein disant: ''Le souci de parvenir à la vérité doit primer sur toutes les autres considérations.''

Parce que, remarque Otto Niebergall : "Tous les hommes naissent en originaux, mais la plupart meurent en copie."

Allez-vous rester une copie de ceux qui vous ont formé-e, voire fortement déformé-e par rapport à un schéma idéal que pourrait être votre vie et un réel mieux-être?

Einstein a encore dit: "Rare est le nombre de ceux qui regardent avec leurs propres yeux et qui éprouvent avec leur propre sensibilité."

Qu'allez-vous faire de ces remarques des plus pertinentes?
Rester ce que d'autres vous ont fait-e, peut-être dans une dramatique illusion que ce que vous croyez être déjà, n'est pas ce que vous pourriez déjà être de mieux?
Ou bien chercher davantage les grandes vérités du Réel, des personnes et des choses, sans rester embarrassé-e dans des préjugés, des erreurs, de l'ignorance, des mensonges, de fausses croyances (matérialistes ou religieuses)!?

Un jour j'ai été mis face à l'évidence de cette nécessité de revoir la copie que je rendais jour après jour face au monde qui m'entourait.
Jusque là j'avais été croyant selon la tradition protestante pendant deux à trois ans. Puis un prof de philo qui se disait librement athée marxiste-léniniste (c'était avant qu'on apprit les horreurs qui se passaient derrière "le rideau de fer") m'avait dépouillé du peu de foi que j'avais eu au contact d'histoires bibliques,
avec cette idée présomptueuse et complétement irréfléchie qu'il n'y n'y a pas de Dieu. Qu'on n'a pas besoin de s'en mettre un au-dessus de nos têtes. Que ce n'est que faiblesse, peur et superstitions qui nous amènent à croire à une transcendance qui pourrait quelque chose pour nous.

Avec son armée philosophique de païens, nihilistes, révolutionnaires, existentialistes, et de pseudo-scientifiques (évolutionnistes à la vue étroitisée), il avait fait de moi un révolutionnaire en herbe, un anti-conformiste, un débridé, qui allait pouvoir s'affranchir de la religion qui fait des hommes des toxicomanes, et par là de la morale judéo-chrétienne qui aliène l'individu... Ce qui me conduisit en une douzaine d'années à des sorties de route graves, le tout se soldant dans un sérieux accident qui me mit une nuit à la porte de la mort.

Et c'est là où, dans sa clémence, dans sa miséricorde, par son regard qu'il maintient cependant sur nous, Dieu vint révolutionner ma vue quant à lui et du monde. Il se présenta lui-même à ma conscience, comme le principe de tout, réel, immuable et dynamique à la fois. Celui qui ouvre les horizons bouchés par les philosophies et par nos fautes; qui élargit le Réel aux dimensions de ses vérités éternelles là où on avait fait qu'être rabaissés au plan de la matérialité.

Et nous voilà dans cette courte existence - prêtée et non donnée en toute propriété -, à ce stade où nous avons avancé et où les épreuves n'ont pas manqué - sans même que nous réalisions que c'était parfois des avertissements bienveillants et parfois des jugements sur nos comportements qui finissaient par arriver.
A un stade où, parce que vous êtes ici en train de lire, vous pouvez dire (à votre tour): Et si je partais effectivement du principe que Dieu existe réellement, qu'il est vivant et qu'on peut vivre une relation avec lui!?

RIEN N'EST PLUS PERSONNEL ET MOINS DÉLÉGABLE
Car, comme il est dit dans le film "Reines et rois": "Il faut toujours prévoir que, évidemment, on a raison, mais que c'est toujours possible qu'on ait un peu tort en plus, sans s'en rendre compte. Et avoir un peu tort, c'est une très bonne nouvelle! Ca veut dire qu'on n'a déjà pas toute la solution et que la vie va être bien plus étonnante et pleine de surprises que ce que l'on croyait."

Et combien on a besoin de retrouver ou recevoir pour la première fois de la fraîcheur, comme après une difficile canicule. Recevoir de l'enthousiasme pour chercher, une soif de savoir jusqu'à entrer dans la joie de comprendre et dans la découverte de plus de vie.
(Le docteur Alexis Carrel disait : "Il vaut mieux ajouter de la vie à nos années que des années à notre vie").

Et dans son livre culte "Le meilleur des mondes", Aldous Huxley affirme que "Les faits ne cessent pas d'exister parce qu'on les ignore."
Alors Oui, Dieu existe, il me l'a révélé - il s'est révélé, alors même que je ne pensais en rien à lui. Et cela en dehors de tout contexte religieux.
C'est pourquoi, il ne nous faut pas amalgamer Dieu et religion, ni même Jésus (vivant) et christianisme (système mortifère). Il faut le chercher Lui, comme on peut et en comptant sur sa grâce pour qu'il vienne à notre rencontre.

Car c'est Dieu qui nous rencontre, ce n'est jamais nous qui pouvons aller jusqu'où il est (même s'il est parfois tout près de notre cœur).

Alors "Cherchez Dieu de tout votre cœur", dit la Bible. "Chercher et vous trouverez", dit Jésus. "Frappez et il vous ouvrira". C'est votre éternité qui est en jeu. Lui a accomplit une Rédemption parfaite pour nous; notre part est de désirer la réconciliation possible avec Dieu que cela ouvre.

"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises.20 Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées ;21 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites comme Dieu l'approuve."

Soyez béni-e par Lui.

 

Guide ici si vous désirez prier Dieu

Partager cet article
Repost0
30 octobre 2019 3 30 /10 /octobre /2019 07:21

 

 

 

La chatte en question

 

 

suite de l'article commencé < ici

Cette nuit cette mère est revenue où ses chatounets ont commencé à vivre. Elle les a appelés.
Elle sait bien que son miaulement est entendu. Quand un chat miaule devant une porte pour qu'on vienne lui ouvrir, il a l'intelligence de ce moyen de communication. Et il n'a pas qu'un "mot" (un son) pour échanger avec ses semblables, avec nous ou avec un chien qui le surprend ou veut l'attaquer.

Son appel m'a tiré du sommeil. Alors dans ma compassion j'ai prié mon Dieu. Car il est compatissant, il entend les prières même les plus enfantines, et il répond. S'il est le consolateur des humains dans la détresse, pourquoi ne le serait-il pas d'animaux qui souffrent ?
J'ai juste dis
: - Seigneur, bénis-la !
Dans l
'instant elle s'est tue. J'ai tendu l'oreille avec une certaine appréhension qu'elle se remette à appeler ou qu'elle gémisse. Rien !

Dieu l'avait bénie, et avait réussi avec elle ce qu'il a souvent plus de difficultés à produire en nous les humains, les réflexifs, les intelligents.
Plus nous sommes simples, davantage Dieu peut nous atteindre, influer bénéfiquement sur notre âme
, notre esprit ou notre corps. C'est pour cela que Jésus dit qu'il est bon, après que nous ayons grandi en connaissance et en capacités et pouvoirs divers, de redevenir comme des petits-enfants: simple, confiant, nature. Car c'est là un sommet de la sagesse... dont le commencement, nous dit le livre des Proverbes, est la crainte (respectueuse) de Dieu ; de l'offenser, de faire du mal, de mal faire.

Ici comme ailleurs, les leçons ne manquent pas à la suite de nos épreuves et avancées positives dans la foi.
C'est comme dans les domaines et approches scientifiques: chaque découverte peut nous mener à une ou plusieurs questions nouvelles. Car derrière chaque porte que nous ouvrons, il y a à la fois de la joie à recevoir par (le fait de) ce qu'on y trouve, et une humilité croissante ou renouvelée car les grandeurs (positives et négatives, bénies et maudites) de la création (des plans astronomiques aux plans quantiques) sont telles qu'elles nous ramènent à une plus juste vue de soi
.

Que sommes-nous réellement ? La question n'est pas sans importance. On aurait globalement (sociétalement) beaucoup moins de difficultés au sujet des identités, ethniques, nationales ou continentales, si on réalisait que nous sommes tous d'abord issus d'un Créateur (magnifique), mais aussi abîmés et agités par un ennemi commun dont un des noms (diabolos) signifie diviseur.

Dès lors nous n'avons pas (plus) à compter sur des gouvernants, qu'ils soient élus ou auto-proclamés, ou même sur des philosophes ou des leaders religieux pour trouver la solution à nos problématiques majeures. Et pas non plus "en" nous-même ! Mais "par" nous-même, chercher la vérité concernant la vraie source de l'univers, de la vie, et les solutions que le Dieu vivant et vrai qui nous connaît nous propose, nous offre, dans sa grâce (nonobstant sa justice légale). (pour les intéressés, un développement <> ici).


"Que tes œuvres sont grandes, ô Éternel ! Que tes pensées sont profondes ! L'homme stupide n'y connaît rien, Et l'insensé n'y prend point garde. Si les méchants croissent comme l'herbe, Si tous ceux qui font le mal fleurissent, C'est pour être anéantis à jamais. Mais toi, tu es le Très Haut, A perpétuité, ô Éternel !" Psaume 92

Soyez béni-e, par Lui

Partager cet article
Repost0
29 octobre 2019 2 29 /10 /octobre /2019 18:39

Je ne peux pas être heureux aujourd'hui.
On a enlevé à la gentille et libre et craintive chatte du quartier les quatre petits qu'elle était venue faire dans un coin de mon jardin.
Impossible de les garder, et j'avais trouvé comme par miracle (certains disent aussi sérendipité) une personne qui venait de s'installer... à 210 m. de chez moi (dit le GPS) et qui voulait devenir "famille d'accueil" pour chat.

On a donc pris à leur mère, avant qu'ils ne soient trop grands, ces chatons mignons et craintifs que j'avais commencé à apprivoiser. Pour leur bien. Parce que la société et l'administration sont ainsi faites. (le service Hygiène et santé de la mairie que j'avais contacté n'avait pour sa part qu'un remède à offrir: les euthanasier. Mot savant mais qui ne parvient pas si facilement à cacher ce qu'il veut dire).

On avait donc pu faire relativement au mieux. Mais j'entends toujours, trois jours après leur départ, la mère qui pleure, qui les appelle, et je souffre moi aussi. Je ne peux mesurer ce qu'elle ressent, mais je sais que son âme est dans le deuil (oui les animaux ont une âme, nous assure la Bible). Je le sens bien.

Ce monde est cruel. La création entière est-il encore écrit, souffre les douleurs d'un enfantement (celui qui va faire apparaître comme jamais, très bientôt, l'Église véritable, de chair, d'os et d'esprit...).

RACHEL PLEURE DES ENFANTS
Et en entendant cette plainte d'une mère privée de sa joyeuse progéniture, une parole m'est revenue: Rachel pleure ses enfants.

C'était au temps de l'apparition de Jésus. Satan qui ne dort ni ne sommeille et dispose de bien des relais et des antennes parmi les grands de ce monde, avait appris qu'un roi des juifs était né.
La nation juive était alors sous domination romaine - le règne impérial humain le plus terrible que la terre ait porté jusque là. Et son représentant, Hérode, eut peur pour son trône et pour la Pax romana qu'il devait, de gré ou de force, maintenir sur cette annexion.
Alors, pour se défaire du concurrent, du révolutionnaire possible, il avait commandé le massacre de tous les enfants de moins de deux ans allaitant du côté où il avait entendu dire que ce futur roi venait de naître. 2 000 innocents, 2 000 enfants de Rachel (une des femmes de Jacob dont les descendants s'étaient installés dans ce secteur de Bethléem).

Quelle mémoire a-t-elle cette chatte que j'ai participé à prendre ses petits?
Je ne sais pas, mais elle montre qu'elle sait bien par quelle porte ils sont sortis de son champ de vision.
Et malgré cela, elle revient vers moi... en ronronnant ! Je la sens qui m'aime, qui se frotte contre mes jambes, qui accepte que je la caresse (alors que cela n'a pas toujours était le cas). Elle exprime une transcendance - certes dont le Créateur l'a pourvu - mais qui est quand même ce qu'elle laisse dominer en elle malgré une confusion certaine et des conflits de sentiments.

Elle appelle. Elle regarde, elle cherche, elle revient. Je souffre, et je ne vois avec mes caresses que lui donner encore des croquettes pour tromper son mal.

Puis elle se couche sur le flanc, à l'endroit et comme elle faisait avec ses petits après qu'ils aient dévoré leurs croquettes, pour les nourrir du meilleur liquide.
Elle attend. Elle tourne la tête. Elle se fait un peu la toilette. Mais ils ne viennent pas.

Alors j'ai le cœur serré, les yeux qui s'embuent, et bientôt elle se relève. Ses tétines restent pleines, saillantes, pleines du bon lait que sa nature a si judicieusement produit.

Un moment après, plus loin dans le jardin, je l'entends miauler d'une drôle de façon.
Je l'aperçois étrangement accroupie. En approchant je distingue bientôt qu'elle a un oiseau mort juste devant sa gueule. Comme si elle était allée chasser pour amener un festin capable de faire sortir ses petits de leur repaire, capable de les faire revenir.

Et maintenant là où je tape sur le clavier, je l'entends encore. Elle s'est remise à appeler, à pleurer.

_____________
PS On l'a faite stériliser pour que cela ne se reproduise plus (il y avait eu au moins deux portées avant celle-ci, mais plus loin, qui ne m'avait pas affecté).

Oui, nos manières de vivre apparaissent de plus en plus anti-naturelles. Notre organisation et notre culture qui se veulent toujours plus supérieures à ce qui est de nature se montrent bien incapables de prolonger le bien, ses déploiements heureux possibles, bien sur lequel peut ouvrir pourtant toutes les créations de Dieu.

C'est qu'on est dans une problématique sévère. Le mal sévit, et souvent triomphe.
Beaucoup de nos bonnes intentions peuvent servir à paver encore l'enfer qu'est le séjour des morts (séjour temporaire terrible pour ceux morts sans Christ, sans avoir fait au préalable la paix avec Dieu et ses créations).

"Les nations se sont irritées ; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre." Apocalypse chap. 11, vers. 18.

Mais avant profitons-en pour vouloir changer notre mauvais cœur, de pierre en cœur de chair. La repentance est encore possible, qui seule permet au Seigneur-Dieu de nous mettre sur sa table d'opération afin qu'il fasse de nous un être réellement humain.

Un jour on ne pourra même plus se repentir, tant les cœurs et les lois seront devenus durs et endurcis. Ne soyez pas des perdants de ce monde, qui peuvent peut-être gagner sur des plans matériels et/ou psychiques, mais qui perdent leur vie, leur individualité consciente au plan spirituel et de l'éternité.

Ici une aide pour prier en vue d'entrer dans une relation vivante avec le divin Créateur.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
  • Contact

Recherche