Un texte proclamé au XVIe siècle, d'autant plus significatif qu'il est écrit et chanté au cœur d'un environnement sociologique des plus puissamment hostiles (opposition spirituelle employant l'organisation catholique romaine et le pouvoir politique du moment). Martin LUTHER, instrument majeur (trompette !) de Dieu pour un gigantesque réveil spirituel ou : Comment Dieu par un seul homme oint par le Saint-Esprit peut changer un cours de l'histoire dominé par Satan et ses fortes armées.
C'EST UN REMPART - Martin LUTHER
1. C'est un rempart que notre Dieu : Si l'on nous fait injure, Son bras puissant nous tiendra lieu Et de fort et d'armure. L'ennemi contre nous Redouble de courroux : Vaine colère ! Que pourrait l'adversaire ? L’Éternel détourne ses coups.
2. Seuls, nous bronchons à chaque pas, Notre force est faiblesse. Mais un héros, dans les combats, Pour nous lutte sans cesse. Quel est ce défenseur ? C'est toi, puissant Seigneur, Dieu des armées ! Tes tribus opprimées Connaissent leur libérateur.
3. Que les démons forgent des fers Pour accabler l’Église, Ta cité brave les enfers, Sur le rocher assise ! Constant dans son effort, En vain, avec la mort, Satan conspire : Pour briser son empire, Il suffit d'un mot du Dieu fort !
4. Dis-le, ce mot victorieux, Dans toutes nos détresses ! Répands sur nous du haut des cieux Tes divines largesses. Qu'on nous ôte nos biens, Qu'on serre nos liens, Que nous importe ? Ta grâce est la plus forte, Et ton royaume est pour les tiens.
Et si on peut faire des reproches à Luther qui est resté homme et n'a pas eu le temps de tout comprendre de la Bible - qui a tout compris ? -, on peut aussi se regarder soi-même et se demander ce que le Dieu créateur des cieux et de la terre et rédempteur du genre humain peut opérer de sa volonté à travers nous...
Toujours en recherche de plus de justesse et de vérités, soyez béni-e, et inspiré-e... par le "bon" Dieu.
Un mur aux jointements qui interrogent (Machu Picchu, ancienne cité inca au Pérou) ! "Soyons impossible, demandons le Réel !" Alexandre Koyré Est-ce à dire qu'on peut chercher Dieu comme on cherche et trouve dans le domaine de la physique ?...
Il est évident que nous vivons dans un univers ouvert (qui tient de l'infini - sans en être) qui nous est largement fermé, mais s'ouvre par notre implication à le pénétrer. Et d'autant nous savons qu'il est issu de Dieu, d'autant nous sommes portés, par l'enthousiasme de l'esprit, par la curiosité, la soif de savoir, à le dé-couvrir.
"La physique, c'est pas la bureaucratie des apparences... En fait, il faut trouver des stratagèmes intellectuels, pour que le réel dé-coïncide de ce qu'il montre." Étienne Klein. Exemple le plus évident : la course du soleil...
"Faire de la physique, c'est penser contre son cerveau" Gaston Bachelard. En termes plus précis, c'est dépasser ou sortir des bornes acquises de notre capacité intellectuelle (raison rigide, préjugés, savoir scientifique partiel ou du moment, voire idéologie) par des capacités comme l'intuition, l'extrapolation, la transcendance de l'esprit, voire le secours divin par révélation ou "hasard conduit" (sérendipté - que je trouve une meilleure traduction auditive que sérendipité).
En parallèle donc, dans un Univers ou Réel (réel Total) qu'on peut entrevoir par la foi comme étant d'une hyper-unité, pourquoi les réalités (incréées) de Dieu et autres esprits de l'ordre angélique (créés) ne pourraient-ils pas se découvrir selon la même affirmation : "Faire de la spiritualité, c'est penser contre son cerveau" !?
Regardez et écoutez Étienne Klein, la structure fondamentale de la matière*... et rien qu'à partir de là, réfléchissez si la théorie de l'évolution - qui fait des hasards aveugles et sans intelligence et des nécessités aléatoires le créateur un-pluriel de la matière et du reste qu'on a sous les yeux - peut-être (encore) prise au sérieux !? Ensuite, à partir de cette vidéo et approche intelligente des réalités (visibles et bien cachées) - qui dit notamment que le Réel s'explique par l'impossible (Alexandre Koyré) -, comprenez que la connaissance ou découverte de la réalité de Dieu en tant qu'auteur de la matière et de ses dispositions, peut aussi passer par ces mêmes processus d'approche... compris la révélation qu'il peut initier en votre faveur (comme il fit à partir d'un certain jour pour moi qui ne le cherchais même pas).
Soyez béni-e...
à suivre... ________________ * Ce n'est pas que je comprenne tout comme pour me vanter que je propose cette vidéo, mais parce que la pensée véhiculée peut donner à notre âme l'idée (très en vogue par ailleurs...) d'un lâcher-prise qui permette à la dimension et au contenu de l'esprit de trouver sa place - son nid...
Les vestiges ne manquent pas sur la terre qui témoignent que le surnaturel autant que le naturel est constitutif de notre univers...
Le Réel (au minimum l'univers visible) est à la fois apparent, disponible, accessible, mais aussi invisible, voilé, à chercher, pénétrer, percer, pour en amener des réalités et vérités dans la lumière de nos consciences. - C'est devenu manifeste concernant les dimensions physiques ; - C'est vrai au plan des psychiques (que ce soit dans l'ordre animal ou humain) dont s'occupent différentes catégories de psy : - Et c'est tout aussi exact au plan des réalités spirituelles (peut-être plus subtiles que les autres, mais aussi réelles que les électrons, les quarks ou les bosons auxquels on croit sans que personne n'en ait jamais vu) dont témoignent tous les croyants spirituels (nés spirituellement), la Bible et quantité de livres chrétiens...
Et donc à nous, dotés de liberté(s) là où les animaux sont déterminés, de chercher encore, notamment ce qui nous concerne au plus près : le sens de notre existence et encore de sa fin physique globalement programmée, en accédant à la dimension (potentielle en nous) que constitue la vie de l'Esprit divin.
DES VESTIGES D'UN PASSÉ SURNATUREL ENGLOUTI Plusieurs vestiges physiques extraordinaires témoignent d'un passé étonnant : - les statues de l'Île de Pâques ; - les pyramides d’Égypte ; - les restes architecturaux d'anciennes civilisations d'Asie ou d'Amérique du sud ; - des squelettes humains mesurant 3 ou 6 mètres et plus ; - des passages bibliques qui parlent de races de géants ; - diverses mythologies qui se recoupent et rapportent forcément des éléments de vérités anciennes participant à la trame de nos origines ; - etc, etc...
De même dans notre être profond se trouve encore des vestiges, des relents, des effluves - et de là des aspirations ou des nostalgies - d'un passé merveilleux qui nous est perdu : - Quand on a un peu cheminé et face à nos difficultés ou échecs, remonte souvent un lancinant sentiment que c'était mieux avant, comme si l'histoire avançait à reculons, du meilleur vers le pire ; - Distants des passions, on est généralement habités par un désir de paix, de relations pacifiques, heureuses, d'harmonisation ou de retour à la nature ; - la pensée de l'éternité se trouve également écrite dans beaucoup de cœurs, curieusement confrontée à cette réalité antagoniste qu'est la mort physique, le retrait de l'âme consciente de cette terre des vivants ; C'est en ce sens que certains milliardaires font congeler leur corps mort en vue d'une résurrection ultérieur quand la science le permettra.... ou encore que le patron de Google - qui peut tout avoir bien au delà de ses besoins et envies et caprices - mais pas la vie éternelle ! -, cherche à s'immortaliser en entrant des données dans un ordinateur... - un désir d'amélioration de la condition humaine jugée aliénée... sans qu'on voit clair sur la et les vraies causes de notre aliénation, de nos entraves, de nos insatisfactions ; - notre attachement naturel à ce qu'on aime, et les souffrances qu'occasionnent beaucoup de ruptures, de fins de relations, dont la mort bien entendu ; - et l'amour !? qui transcende l'ordinaire de tous quand il vient se mettre à brûler comme un feu dans notre cœur spirituel. Amour merveilleux et révolutionnaire (qu'il ne faut pas confondre avec une séduction maligne aux effets déplorables) qui est une émanation du cœur de Dieu - car Dieu est amour - qui peut toujours nous tomber dessus à l'improviste... mais qui s'envole aussi plus facilement qu'on ne sait le préserver, le construire et le conserver...
Ainsi sommes-nous chacun prit dans un dilemme, une dualité, voire une tenaille, entre ce qui n'est effectivement pas (pour nous ou en nous) et ce qu'on désirerait plus que tout. - Si on est animés par un complexe de supériorité, nous dépassons ou couvrons notre souffrance en se lançant dans des entreprises, des conquêtes... qui ne sont pas sans contraintes, sans adversités, sans irritations, et de toutes façons bientôt ne satisfont plus... - Si c'est un complexe d'infériorité qui fait notre déséquilibre, on est réduits à subir, silencieusement ou par des réactions violentes sporadiques, à supporter, à être morose, sans espérance, défaitiste, dépressif, etc... - Entre deux, on ne va tenir dans un équilibre bien précaire que par de la superficialité, des dérivatifs, diversions ou dérision, tout ce qu'on appelle "la fête"* - qui ne l'est qu'artificiellement, en rapport de l'argent qu'on peut y consacrer et par l'alcool (désinhibiteur) ou autres produits-béquilles plus ou moins stupéfiants qu'on peut se procurer... en vue d'une abondance de plaisirs ou de joie (de débauches) éphémères et qui s'amenuisent d'autant qu'on en use et abuse.
IL RÉSULTE INDÉNIABLEMENT DE CES FAITS - PASSÉS ET PRÉSENTS... a) que nous sommes des êtres tombés, par rapport à une condition initiale plus démunie mais d'autant plus plus haute. Que ce soit des vestiges historiques ou des sentiments, des aspirations, à l'intérieur de nous, tout va dans le sens d'une perte, d'un amoindrissement.
La Bible comme toutes les cosmogonies témoignent - de la réalité de dieux - qui n'en sont pas vraiment, en fait des anges déchus, devenus les démons, qui s'immiscèrent de manière dramatique dans la vie de notre race, jusqu'à procréer des "demi-dieux", des géants ; - également d'un déluge - dont des traces se signalent un peu partout sur la terre (en Ardèche on trouve encore dans une grotte en altitude des dents de requins fossilisées) ; - partout et toujours la croyance en des réalités spirituelles invisibles mais bien réelles (actives, visibles par leurs effets) perdure malgré que la culture laïc-athée cherche à éradiquer ce genre de foi par une confiscation de nombreuses données (voire évidences)...
b) que la théorie de l'évolution est seulement une fausse doctrine en fait, maintenue uniquement pour asseoir l'incrédulité de ses défenseurs. Jamais elle ne put être validée scientifiquement, au point où plus personne ne parle de la fameuse preuve que certains espérèrent un temps d'un fameux chaînon manquant (Wiki) entre le singe et l'homme - qui d'ailleurs ne suffirait en rien (v. Wikipédia). Plusieurs supercheries furent déjouées (dont celle de Lucy, de L'homme de Piltdown, de L'homme du Nébraska, Le pithécanthrope...)
En effet, comment, selon cette théorie qui ne comprend aucune finalité, aucun sens pré-tracé, aucune réponse prévue avant l'apparition d'événements nouveaux, peut-il y avoir des aspirations dans le coeur de l'homme ? Comment pouvons-nous avoir très vite - et notamment les enfants ! - les capacités nécessaires pour entrer par exemple dans la maitrise des technologies très complexes qui se succèdent depuis ces dernières décennies ? Comment pouvons-nous avoir plus de capacité de mémoire que nous en avons eu besoin jusque là, pour intégrer en quelques mois ou années des sommes considérables de connaissances nouvelles ? La théorie évolutive ne peut rien concevoir de plus que ce que des nécessités obligent à paraître comme réponses satisfaisantes ; des réponses que créent par suite d'infinités de tâtonnements dépourvus de toute ligne directrice, de toute intelligence, une mystérieuse dynamique - qui est là forcément par avance, pour répondre aux tout premiers besoins !? - et s'enclenche à la sollicitation !...
Également, contre la théorie que l'homme évolue globalement d'une animalité primitive vers une emprise intelligente croissante sur son univers, le fait de plus en plus patent que l'homme se fait le principal ennemi de son cadre de vie. Plus il s'immisce dans la vie naturelle (arbres, flore, faune), plus il la dégrade, pollue, appauvrit, tue ! Une expression manifeste de plus que ça ne tourne pas rond dans l'homme, ses capacités et potentialités réelles importantes ne bénéficiant pas - plus ! - d'un organe sensible (qu'avaient assurément des populations de divers continents des siècles précédents) de jugement, de protection, d'anticipation, d'intuition, de respect... Un argument qui s'ajoute en faveur de la vision du genre humain tombé, déchu, accidenté, handicapé, dégénéré, déséquilibré et incapable de gérer ses puissances et potentialités internes bien réelles...
UNE CIVILISATION (OCCIDENTALE, POST-CHRÉTIENNE) QUI TOUCHE DÉJÀ À SA FIN - Les décompositions de structures aux plans politique ou économique et des familles, - la pourriture insinuée dans toutes les relations (couple, famille, entreprises, associations...) à cause de concepts controuvés pris pour argent comptant, de slogans trompeurs crus comme vérité, ou d'une justice rendue impuissante du fait de l'iniquité (corruption) qui sévit ici et là de haut en bas de l'échelle sociale, des zones de non-droit aux demeures les plus cossus, - le recours croissant à des thérapies, médications, à des pratiques visant à apaiser... ou toujours plus extrêmes (quasiment suicidaires), - des solitudes parfois profondes, qui résultent le plus souvent de ruptures douloureuses qui font perdre tout sens et toute motivation (conjoints ou ascendants abandonnés, enfants placés ou écartelés entre parents disjoints, accidents handicapants, maladies invalidantes...), - les (bouffées d')angoisses, les dépressions longue durée, la bipolarité, le burn-out (2 par jour avoue un médecin d'une ville de 15 000 habitants), - l'environnement naturel qui se délite en rapport des traitements insensés qu'on lui applique (terres arables, forêts, eaux douces, mers et océans, air des grandes villes), - la mort qui frappe à tout âge - suicides compris -, dont on se fait une alliée (terrible) dans une recherche d'un mieux-vivre perso... qu'on éloigne d'autant plus que notre quête est égoïste, - la présence invisible, mais discernable par leurs effets, de démons, dont la foi chrétienne et les jugements des deux dernières guerres mondiales avaient débarrassés la terre, mais qui reviennent en rapport de ce qu'on se soumet à leurs influences au lieu de tenir dans l'obéissance aux lois du Créateur et de la création... tout cela s'ajoute en un faisceau symptomatique qui témoigne d'un double mal lié déjà profond et globalement incurable au plan de toute la planète, qui s'appelle génériquement péché et jugement sur le péché.
Le développement des cancers, sida ou vih, Alzheimer..., l'apparition de maladies ou épidémies nouvelles (orphelines), le retour de maladies qu'on croyait éradiquées (comme la tuberculose), sont bien sûr de ces signes autant que des réalités capables d'interpeler les consciences... au moins de quelques-uns dont il est bon que nous soyons...
TOUT DANS L'UNIVERS NE FONCTIONNANT QUE SELON DES LOIS... Et pendant qu'il y a encore (un peu ou un semblant) de vie, parmi les lois qui s'appliquent à nos existences (qu'on le veuille ou non, qu'on croit en Dieu ou en rien... que soi), la Bible nous dit que l'orgueil (complexe de supériorité) précède la ruine ou la chute (une rupture sévère), alors que l'humilité (à quoi aide parfois un complexe d'infériorité ou une rupture) précède la gloire. Dit autrement - non plus en vertu de lois établies par le Créateur mais en le considérant lui-même -, Dieu déclare qu'il abaisse les orgueilleux mais fait grâce aux humbles, restaure les cœurs brisés, soutient le faible...
LE MONDE VA MAL, MAIS DIEU SE PORTE BIEN Si le monde va mal, Dieu se porte (toujours) bien (nonobstant le fait que nos égarements l'attristent) ! Si les individus comme les corps sociaux courent à leurs pertes, ceux qui craignent respectueusement Dieu et ses lois et lui font confiance trouvent ou gardent la paix : ils ne sont pas forcément épargnés par des adversités - car nul n'est parfait en soi ni dans sa marche avec Dieu -, mais l'Esprit de Dieu - Christ en nous - communique sa force vivifiante et qui empêche parfois de couler.
Un coucher de soleil, mais aussi des créatures humaines, des oiseaux, le jeu du soleil et des nuages, des mers, des plages... (photo d'œuvres divines).
UNE QUESTION D'INTELLIGENCE La nature est malmenée par l'homme... intelligent. La faune dépérit et se raréfie et tout ce que nous mangeons tiré de la terre est traité nocivement par des compositions chimiques artificieuses pour parvenir à pousser et être présentable. C'est dire qu'avec le meilleur de nos capacités intellectuelles et des fruits de nos recherches et découvertes, nous savons moins que la nature ce qui est bien et bon pour l'entretien, les développements et la pérennité de ce qui fait notre environnement. En d'autres mots, l'intelligence enfermée dans tout ce qui est vivant et qui régit les relations entre les règnes minéral, végétal, animal et humain est prodigieusement plus élevée que la somme de nos intelligences les plus cultivées !
Et à l'encontre de toutes les découvertes qui n'en finissent pas de révéler les glorieux ordres et équilibres qui font l'univers céleste et terrestre (et leurs relations), on va continuer à nous faire croire - et chacun à croire ce qu'on nous raconte -, que c'est seulement par des hasards aveugles (hors de toute intelligence active) et des nécessités successives innombrables que la vie est apparue et s'est déployée comme on le voit aujourd'hui !?
Quand des incrédules ont commencé à penser ainsi, la cellule (élément basique du vivant) était vue comme un peu de gelée ou gélatine uniforme (monobloc) ! Depuis, on a mis à jour l'extraordinaire usine qu'est la moindre cellule - chacune avec son organisation digestive, respiratoire, son besoin de se nourrir par son environnement, d'excréter et de se reproduire (pour le moins) !
Et donc êtes-vous branché-e superficialité et satisfait-e des apports cognitifs que répand une culture qui ne croit qu'à ce qu'elle voit (ou veut voir) et peut mesurer ou définir par un instrument de mesure ? Ou bien branché-e désir de connaître en vérité, sans en rester à des concepts frelatés ou controuvés, jamais prouvés, comme la théorie ringarde (pour beaucoup de scientifiques de pointe) de l'évolution... que quelques heures de réflexions objectives sur le vivant met parterre...
Outre ses organisations techniques, mathématiques, physiques, chimiques.. dans le très petit ou dans le très grand, la beauté des choses existantes - avec le fait qu'existe un regard quasi-universel, objectif, sur beaucoup de réalités naturelles qui nous apparaissent belles en soi - devrait nous interroger à la fois quant à son origine ! Et encore quant à notre insensibilité assez généralisée au Beau et au Réel... (Avant de devenir croyant, je ne voyais qu'à peine des bribes des beautés naturelles. Aujourd'hui, certaines fois, elles contribuent à me mettre plus sensiblement en communion avec le Créateur de tout cela).
Dans et par sa foi Galilée a pu percevoir la nature de telle manière qu'il put d'écrire : "Dieu a écrit deux livres : celui de la nature, et la Bible". Au delà de ce qu'il fut poète (le précurseur du Romantisme en poésie), William Cowper a écrit : "La nature n'est qu'un effet dont Dieu est la cause."
DES ORDRES ET DÉSORDRES A l'inverse, comme partagé dans des articles précédents*, les dérèglements climatiques - qui sont une autre forme grave des effets du comportement des hommes sur leur environnement - sont là (comme encore les pollutions...) pour nous interpeller sur les conséquences de nos actes, pour nous amener à réaliser combien il est grave, dangereux, mortel, de jouer les apprentis-sorciers en ne voulant pas entrer ou demeurer dans les règles divines (morales comprises) posées comme conditions de bon fonctionnement de sa et ses créations - nous compris.
Alors oui, nous avons encore à chercher Dieu, pour expérimenter qu'il est réel. Car c'est encore par la foi - c'est-à-dire dans notre liberté (où nous pouvons ou pas croire avant de voir) - que nous pouvons être réconcilié avec le Créateur et rattaché à son éternité en conscience et librement. Un jour qui approche très vite, cela sera rendu impossible, Dieu, Jésus et son Esprit passant à une autre étape de son plan vis-à-vis de nous et des démons, se manifestant au point où tout le monde ne pourra que voir et savoir, à la confusion de chacun qui n'aura pas cru que le Dieu invisible qui ne s'impose pas était (est) bien réel...
CUMUL DE SIGNES, DE PROBLÈMES... La nature, les relations humaines, les concepts culturels anti-naturels, les rapports politiques et politico-religieux toujours tendus et antagonistes, nous disent que ça ne va pas pouvoir continuer très longtemps. Tous les rapprochements qui s'opèrent ne se font que dans l'illusion de pouvoir encore se sauver d'une guerre qui est déjà perdue. Et plus nous persistons sans Dieu dans notre barque (que ce soit au plan des individus que nous sommes ou des nations qui se délitent), plus nous redonnons de forces à Satan et à ses démons comme conducteurs de nos propres vies et encore des oligarchies qui se croient déjà maîtres du monde... alors qu'elles ne sont qu'instruments de plus forts que celles et ceux, mortels et un jour jugés, qui les forment.
Les dernières actualités nous interpellent étrangement au sujet de notre perception (qui peut être réaliste ou controuvée) de la mort.
Il y avait eu l'automne dernier le "spectacle" pour le moins déroutant de Douaumont où des milliers de jeunes ont été mis en scène pour courir pêle-mêle entre les tombes des combattants tombés à Verdun en 1916...
Il y a aujourd'hui cette idée (vieille de 2016) reprise par la maire de Paris, d'un "Printemps des cimetières" où les populations curieuses et/ou festives sont invitées à venir non seulement visiter mais encore écouter de la musique, chanter ou même danser au gré de diverses animations parmi les tombes dans les cimetières de la capitale...
Et puis cette autre idée de fin d'un épisode de l'aventure humaine, qui offre à chacun de pouvoir mourir tout seul, à l'azote liquide, de manière certaine (pas de risque de faire une simple T.S.), directement dans son cercueil (appelé en l'espèce sarcophage - étymologiquement "qui mange la chair") fabriqué par imprimante 3D selon fichier joint... Départ en douceur, mort en 5 mn après avoir composé un code pour montrer qu'on est bien conscient de ce qu'on fait. Suicide pour tous en accès libre et facilité. Réflexion : Mais qu'est-ce que la conscience, et qu'est-ce qu'être conscient ?... Un groupe de musique heavy-metal qui signe un pacte avec Satan est-il "conscient" de ce qu'il fait ?
On n'en est donc plus à vouloir aller "cracher sur vos tombes". Les scandales d'hier sont du pipi de chat aujourd'hui... et les scandales d'aujourd'hui n'en seront plus demain. Mais Boris Vian est mort à 39 ans d'une crise cardiaque - il y a un temps où on disait plus explicitement "d'une attaque". Et demain le mal vengeur sera encore à la mesure de comment on s'enfonce dans l'irrespect des conditions bénéfiques à la vie...
Plusieurs - une minorité quand même - sont lucides sur la gravité de nos évolutions, mais sans solution tant qu'on amalgame l'impiété et les injustices qui vont avec, avec le reste de nos capacités - même les plus pertinentes par ailleurs. On est "bel et bien", c'est-à-dire terriblement, sur la pente savonneuse d'une fin de civilisation. Dont les ingrédients sont connus depuis l'antiquité, et dont la Bible, par Jésus et autres prophètes, prophétise l'arrivée, qui va maintenant se produire en deux temps* : - Bientôt un temps de paix et sécurité formidable proclamé avec force et enthousiasme, notamment au sujet du Moyen-Orient (des relations d'Israël et des populations arabes) -, ce que - presque - tout le monde va prendre pour le commencement d'un nouveau paradigme (paradis) sur terre...., - sauf qu'avant quatre années, les accords et compromis et compromissions ne vont unilatéralement plus être respectés***, déclenchant des conflits de plus en plus cataclysmiques, la montée d'un totalitarisme planétaire inouï, avec des conséquences apocalyptiques comme il est écrit à partir du chapitre 13 du dernier livre de la Bible. A ce moment-là ceux qui auront su mettre au préalable - c'est-à-dire déjà maintenant ! - leur pleine confiance en Dieu par Jésus le Christ pour les nations et Messie d'Israël, auront été mis à part pour être épargnés et pouvoir intervenir à la suite avec leur Héros, le Seigneur Jésus, revenant pour entrer dans son règne terrestre de mille ans...
Avant ces événements d'autant plus certains qu'ils ont été écrits depuis deux et trois millénaires et que beaucoup se sont déjà réalisés, nous sommes dans cette phase de destructuration, démontage, décomposition, d'un ordre ancien, temps trouble et troublé par des avertissements retentissants sporadiques (plus que par les grands jugements des nations qui suivront), avec une redistribution des cartes - on l'a déjà vu, des plus surprenantes et rapides.
Et donc ce qui caractérise cette course folle - vers le bonheur, la liberté de tout pouvoir choisir, la quête effrénée des conditions d'un bien-être jusqu'à la jouissance personnelle illimitée... comme croient les progressistes -, c'est la place que prend la mort, depuis la conception du vivant jusqu'aux blancheurs de la vieillesse. Et ce qu'on voit, c'est un déni - de plus - du Réel. La mort n'est pas la mort, veut-on dire et se dire, en jouant avec, en se donnant la liberté de choisir son heure... comme si cela la rendait moins inéluctable, l'apprivoisait au point où elle n'est plus la mort. Des enfants peuvent ainsi jouer sur un nid de vipères... Et c'est précisément quand la mort est le plus ressenti - de manière persistante mais avec peu de conscience réelle - comme une problématique prégnante, qui s'impose jusque dans nos fibres, qu'on cherche une ou des échappatoires pour s'en divertir comme on a vu au début de cet article. La dérision est un des ultimes moyens réactifs et preuve de notre... impuissance.
DEUX CHEMINS Et la Bible a encore des choses à nous dire à ce sujet. Elle nous parle bien de faire un choix personnel capital en rapport avec la mort. Mais pas le choix de se la donner un soir enfermé dans sa chambre ou devant un coucher de soleil ! Elle parle de choisir entre la vie et la mort ! En disant : Choisis la vie ! Et la vie que nous avons à choisir est celle de Jésus, qui par sa marche avec Dieu devenu son Père, a été ressuscité des morts et vit désormais éternellement - vérité qu'en tant que croyant-e nous pouvons expérimenter. Jésus a du mourir pour plusieurs raisons nous concernant, dont celle de montrer son triomphe de la mort par sa résurrection.
Qui a pu dire comme lui : "Je suis le chemin (pour aller à Dieu), la vérité (à connaître pour être sauvé), la vie (éternelle, qu'il peut donner à qui il veut)" !?
A l'opposé on a la mort. Et pourquoi notre âme, notre conscience, ressent-elle la mort et la peur de la mort jusqu'à l'épouvante parfois, parce que "le salaire du péché (du mal que nous faisons), c'est la mort", dit la Bible. Et la mort en nous est d'abord une mort spirituelle, déjà active et privative de beaucoup de choses bonnes et de vraies libertés.
La suite de cette mort - dans laquelle des foules de plus en plus nombreuses marchent et échangent et se déchirent crescendo, ne se supportent plus, forcément ! -, c'est la mort physique où l'âme se détache du corps pour migrer vers l'une ou l'autre de deux types de régions spirituelles : - la sphère divine ou royaume de Dieu (des cieux), première étape d'un paradis sans fin..., - et la sphère ténébreuse des esprits angéliques déchus (démons) qui engrangent les âmes défuntes (désincarnées) dans ce que la Bible appelle Shéol en hébreu, Hadès en grec, ce qu'on traduit par "Séjour des morts", première étape en direction de l'Enfer (défini en Apocalypse comme un "étang ardent inextinguible de feu et de soufre").
Alors choisir le moment où on va mourir, dans quel but ? Faire cesser des souffrances physiques !? Normalement** oui ! Mais qu'en est-il des souffrances psychiques, puisque l'âme continue à vivre avec ses capacités propres - dont les sensations et la mémoire !?...
Faut-il que nous soyons insensés pour ne pas (mieux) nous soucier, nous inquiéter de ce fait patent que nous sommes mortels ? Car la mort est plus présente que jamais, outre spirituelle, fauchant par le monde plus de cent personnes chaque minute, séparant des corps qui tombent à terre et y retournent les âmes (siège de notre moi conscient et autres fonctions psychiques) qui entrent dans une éternité ou éternisation généralement ignorée ou méconnue... ce qui est le pire qui puisse suivre la mort physique...
Si "la mort m'est un gain" comme le dit l'apôtre Paul, ce n'est pas (seulement) parce qu'il est âgé et usé, mais plutôt parce qu'il est bien certain de rejoindre son Seigneur dans la félicité divine dès son départ de cette tente devenue pour un moment le temple du St-Esprit : C'est l'Esprit de Dieu et ses anges qui entraînent les âmes attachées à Dieu par Jésus dans l'éternité bénie. Sinon le poids des fautes fait descendre dans le séjour des tourments post-mortem dont parlent la Bible et plusieurs qui l'ont expérimenté en état de mort clinique (vois EMI ou NDE sur Youtube par exemple). Et si vous ne le croyez pas (encore) - ce qui est tout à fait naturel quand on est mort spirituellement -, demandez à Dieu qu'il vous le révèle : Il en est capable (si vous êtes sincère)...
Soyez béni-e pour discerner jusque dans l'invisible.
Voir aussi mon étude sur les 5 types de mort. Pourquoi cet article est-il régulièrement le plus lu de mon blog, si ce n'est que la civilisation occidentale glisse dans une culture impie mortifère dont chacun reçoit en lui-même de plus en plus la perception et l'alerte !?
______________ * Comme est la fin des supernovas, avec une brusque et brève immense expansion 'éclatante, lumineuse, joyeuse), immédiatement suivie d'un effondrement sur soi auto-destructeur.
** "Normalement" car un corps sans vie ne ressent plus rien. Mais dans l'autre sens, il n'est pas vraiment certain que l'âme - qui elle ne meurt pas ! - ne conserve pas le souvenir de douleurs corporelles !? Ce qui me fait penser ainsi, c'est que nous pouvons parfois ressentir, après la perte d'un membre, des douleurs comme s'il était encore là...
*** scénario non inédit puisque déjà déployé via Hitler qui signa des accords avec la Russie par exemple, pour l'envahir par surprise peu de temps après.
Voici un témoignage intéressant qui montre que la recherche de vérité peut aboutir dans nos existences à des découvertes révolutionnaires, enthousiasmantes, en contact avec le surnaturel divin. Cela à travers un questionnement et des comparaisons pertinentes, par l'exercice de notre raison et d'une logique départies des préappris formant une connaissance superficielle qui n'est somme toute que préjugés.
On retrouve là la fameuse découverte que fit Descartes (ce qui donna son "Discours de la méthode") qu'il résume quelque part de manière générique ainsi : "Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances."
Einstein a dit dans le même sens : "Rare est le nombre de ceux qui regardent avec leurs propres yeux et qui éprouvent avec leur propre sensibilité." Et encore : ''Le souci de parvenir à la vérité doit primer sur toutes les autres considérations.''
"En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire." G. Orwell, dans 1984. Et on peut ajouter : La trouver aussi ! Mais parce qu'existe précisément un Dieu vivant véritable, rien ne peut empêcher qu'il se révèle... que nous-même !... Et encore...
Ajout : Je découvre ce nouveau témoignage (par clic ici). Il s'avère que Jésus apparait de plus en plus aux croyants de tous bords qui se veulent intègres et ont une "crainte respectueuse" de Dieu - ce que la Bible qualifie de "commencement de la sagesse"...
On entend des incroyants dirent avec emphase qu'ils ne croient qu'à ce qu'ils voient ! Alors entrons dans cette croyance : Que voit-on sur cette photo ?...
- de l'herbe, et des petits tas de terre. Et donc ? N'existe-t-il rien d'autres ?... A ce faible butin dans la connaissance purement matérialiste de celui qui ne croit qu'à ce qu'il voit, on peut ajouter bien sûr une ou des taupes et leur habitat souterrain, bien qu'on ne les voit pas... ce que même le matérialiste le plus étroit doit bien admettre, à l'encontre de son affirmation sans réflexion !
C'est donc en voyant un peu plus loin que le bout de son nez, qu'on s'enrichit mieux des réalités qui sont par elles-mêmes, afin de mieux connaître et s'inscrire dans le Réel tel qu'il est. Si Copernic ou Galilée (deux croyants notoires) s'étaient contentés de ne croire qu'à ce qu'ils voyaient, ils seraient restés à voir le soleil se lever et se coucher, voire à imaginer qu'il nous tourne autour... On a bien là constamment la plus grande illusion d'optique !... Pourquoi ? Parce qu'on a là deux leçons permanentes - avec l'air, aussi indispensable qu'il est invisible ! -, qui nous invitent à la réflexion, au doute sur ce que nous pouvons percevoir par tels ou tels sens, à l'humilité quant à nos assurances même les plus évidentes.
La découverte scientifique du Big-Bang au moyen de calculs au milieu du XXe siècle par Alexandre Friedmann et l'abbé Georges Lemaître est un autre exemple, qui nous dit que s'en tenir même à la science - qui est toujours d'un moment - peut être s'accrocher à une vue fausse, puisqu'à l'époque le monde scientifique croyait que l'univers était stable et sans doute éternel... Les bourdes "scientifiques" ne manquent pas en réalité !
PAS D'EFFET(S) SANS CAUSE(S) Et donc bien sûr notre enrichissement est notoirement plus vaste encore quand on considère, ne serait-ce que l'illustration de cet article, dans son histoire la plus longue : D'où est venue la taupe... son origine ? son pourquoi ? Sa fonction écologique, sa place dans le concert de la nature ?... D'où est venue la terre ? Et l'herbe, à la couleur apaisante ? La nature comme cadre agréable et bon, pourvue de la capacité de nourrir êtres humains et animaux ? Etc, etc...
Le scientifique est bien obligé de croire qu'il n'y a pas d'effet sans cause. Et pourquoi donc tout à coup au sujet de l'immensité toute entière régie par de la mathématique et autres lois très nombreuses (pas encore toutes découvertes), n'y aurait-il qu'une absurdité pour cause, des hasards sans intelligence pour créer un univers fait rien que d'intelligences !?
LE BEAU... ET LE MAL !? La question du mal n'est plus une énigme insoluble, a beaucoup moins besoin de médicaments et de tâtonnements, dès l'instant où on lui trouve une cause... intelligente, qui a du sens !) L'évolutionnisme ne peut rien expliquer de l'antagonisme notoire entre d'une part nos capacités humaines et notamment de conscience (sans commune mesure avec celles des animaux), et d'autre part la cruauté, les horreurs, les tromperies et autres aberrations dont nous sommes capables (sans commune mesure avec celles des animaux). Par contre voir derrière des effets terribles, des causes invisibles qu'ils révèlent, tient de l'intelligence qu'on peut avoir des mystères de premier degré. Et la Bible nomment clairement ces causes du mal : des anges déchus (ou démons) et nous-mêmes déchus à leur suite, chacun habité par une loi du mal (appelée "loi du péché et de la mort") qui prend le dessus sur le bien et la volonté de bien qu'on veut faire sans tenir compte de certaines conditions préétablies inhérentes (constitutives) au Bien en général : comme la justice, la vérité, l'amour, le respect, la paix, la patience... des attributs, des capacités (plus que des valeurs, des forces) qui sont loin d'être accessibles au plus grand nombre - voire surtout aux plus intelligents !...
Et comme un château de cartes, vous enlevez une ou deux pièces de cet ordre de votre existence, et rien ne marche comme il faudrait (comme ce serait possible). On croit en l'homme mais pas en Dieu, et l'homme livré à lui-même devient une insuffisance en soi... On croit en une idéologie ou politique - même la meilleure sur le papier -, mais pas aux démons, et ils ne tardent pas à s"inviter dans les champs d'application pour que l'homme réalise le monde qu'il y a entre avoir une idée qui semble bonne, et connaître et faire ce qui est bon. Après un siècle de communisme, on totalise plus de cent millions de morts, et on continue sans s'interroger sur ce qui se passe !?... C'est la loi du péché en l'homme (loi d'indépendance vis-à-vis de Dieu le créateur) qui domine et montre ses fruits...
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Quelqu'un a dit : Il faut beaucoup de foi pour être athée ! Beaucoup de foi pour croire à l'évolution (c'est une croyance et non une démonstration établie) comme moteur unique du vivant activée un jour à partir de... rien !... On sait que les évolutionnistes les plus virulents sont des athées qui n'ont que cette base pour justifier leur impiété. Il faut aussi le plus souvent bien peu de réflexion, d'observations et d'objectivité (d'impartialité) face aux merveilles des choses en soi, face à la somme des lois qui régissent tout l'univers, face aux complexités et aux relations formant écosystèmes, systèmes combinés, cycles et recyclages, besoin d'alimentation et réponses, besoin de reproduction et réponses, etc...
Ouvrez un livre de SVT ou de biologie avec un esprit ouverte et curieux, interrogez les descriptions, et demandez-vous objectivement si quelques hasards et nécessités peuvent raisonnablement - et même scientifiquement - être à l'origine du vivant ? Ou a-t-il fallu - forcément - une intelligence supérieure aux structures de base et organisations complexes du vivant pour qu'elles soient ?
LA LIBERTÉ C'EST COMME LA BEAUTÉ, UN AVANTAGE... MAIS TRÈS DIFFICILE A GÉRER Bref, c'est de l'usage de notre (petit moment de) liberté, que nous décidons si nous nous arrêtons à croire que ce qu'on voit ou entend ici et là, ou que nous cherchons dans l'invisible, comme on a fait pour découvrir les microbes et autres virus nanométriques d'un côté et des horizons cosmologiques d'un autre.
Invisibles et horizons qui nous disent que tout va bien au delà de l’immédiat perceptible... et donc pourquoi n'y aurait-il pas un Dieu créateur (cause la plus rationnelle et raisonnable en fait !) dans un invisible (d'ordre spirituel) comme il y a de l'invisible dans l'ordre physique (ondes, champs électromagnétiques, l'air...) et encore dans l'ordre psychique (les pensées, les sentiments, l'âme...) !?
CHERCHER ET ÉPROUVER Comme dans les ordres matériel et psychique, dans l'ordre spirituel on peut éprouver les réalités pour savoir si elles sont vraies. Il dépend de notre soif et faim spirituels, ou à l'inverse d'une sorte d'anorexie (forcément maladive, voire démoniaque), que nous cherchions et trouvions, que nous permettions à Dieu, à Jésus, de se révéler à nous.
Ainsi admettre qu'on est coupable de mauvaises actions (paroles ou pensées malséantes) et obtenir le pardon qu'on demande à Dieu, rien n'est plus simple et égalitaire pour connaître la réalité du Divin (comme Père, Fils ou Esprit-Esprit). C'est la premièrement manière d'éprouver que Dieu est, entend et répond. Et ainsi, au fil des mois et des années de cheminement avec lui, on continue à éprouver la véracité de notre relation à lui et la vérité de ses affirmations et promesses. Et quand nos capacités naturelles n'y suffisent pas - parce que face à Dieu on est parfois comme un enfant de 3 ou 4 ans face à ses parents -, on lui fait confiance plus qu'à nous-même...
LA QUESTION DE DIEU EST UNE QUESTION HAUTEMENT PERSONNELLE La France ni l'Europe ne redeviendront (par elle-mêmes, en tant qu'entités pourtant pourvues de quelque intelligence) chrétiennes ! Leur châtiment global va devenir terrible (celui qui n'en sent pas déjà la lourdeur, le trouble et les convulsions est déjà ou encore bien enténébré)...
Mais beaucoup de français et autres européens peuvent revenir à Dieu, seul ou en famille : Comme l'individu et la famille sont l'unité de base des sociétés, pour Dieu ils sont aussi l' unité de base du salut des âmes. Selon que "Dieu a tant aimé notre monde, qu'il a livré son fils unique, afin que quiconque croit en lui, ne périsse pas, mais qu'il ou qu'elle ait la vie éternelle."
Lecteur, lectrice, dans la liberté qui vous est chère, considérez les chemins qui se présentent à vous ; n'allez pas par n'importe quel chemin, en suivant telle doctrine, idéologie, concept, slogan, idée du moment... mais cherchez ce qui demeure, ce qui est éternel, que n'arrête même pas la mort physique (ce départ par séparation de l'âme). Car plusieurs chemins séduisants conduisent à la mort - spirituelle, puis psychique, éternelle -, alors qu'il est un chemin, certes moins attractif dès l'abord, mais qui conduit à recevoir la vie d'En-haut, celle que rien ne peut faire cesser.
Celle-ci se reçoit dans la foi au fils unique de Dieu venu en chair en vue de faire une alliance d'amour avec notre âme. Notre âme qu'on peut reconnaître si largement insuffisante (si on est vrai) pour affronter les grandes épreuves inhérents à nos existences rendues temporaires par notre condition de réprouvés, dont bien sûr l'épreuve que constitue la mort la plus visible.
Et que sert-il de gagner, gagner, ici-bas, si on n'en peut rien emporter même dans la tombe, et si on perd son âme (dont les deux seules destinations possibles sont, nous disent la Bible et Jésus, le séjour des morts et l'enfer d'un côté, l'éternité dans une nouvelle création de Dieu et avec Dieu d'un autre !?
Une exhortation à lire ici (ou à écouter par clic en haut à gauche) pour quiconque veut prendre à cœur la réalité et les conseils de Dieu.
Le bonheur tient de l'iceberg ! On veut tous des éclats et brillance de la partie émergée, mais s'il faut descendre sous le niveau de l'apparence pour voir ce qui lui donne sa stabilité... Qu'en savons-nous ? Le voulons-nous ?
Le fond du fond en nous tient du lit de la rivière, qui en modèle la course. Parfois en un torrent rapide bondissant parmi et au-dessus des rochers. Parfois en un large fleuve à la surface lisse qui semble à l'arrêt. Ou encore en des cascades ou une chute vertigineuse ; en deux bras qui se séparent face à un obstacle plus important. Jusqu'à une solution où le cours d'eau douce se mixe avec l'immensité des eaux salées...
Ainsi avons-nous chacun en notre âme un lit qui s'est formé. Qui donne au cours de notre existence des expressions variées, un ou des comportements, des réactions et des choix qui créent un tracé ou un autre, de bonnes ou de mauvaises trajectoires, une vie cool ou une vie mouvementée, et forcément un jour ou l'autre accidentée… ne serait-ce que par ce qu'on appelle la mort - qui est un accident* ultime.
Ce lit est fait pour l'essentiel de quelque héritage psychogénétique et de nos environnements instructif et éducatif (parents, école, médias, pairs…), et un p'tit peu - pas plus en général - de notre propre insertion en conscience dans la connaissance de soi et du Réel Global - insertion le plus souvent gênée, empêchée, occultée, court-circuitée, déviée par n'importe quoi qui devrait rester secondaire ou même n'être pas.
Alors, les besoins essentiels, qui auraient pu - et peuvent encore - nous donner un fond d'être, un socle d'existence, plus apaisé et même heureux !?
- La justice : ne pas vivre d'iniquités, en irrespect des lois qui font la société dans laquelle on vit, en transgressant de notre propre conscience, ou une loi morale religieuse bonne à laquelle on est attaché. "L’œuvre de la justice sera la paix, Et le fruit de la justice le repos et la sécurité pour toujours.18 Mon peuple demeurera dans le séjour de la paix, Dans des habitations sûres, Dans des asiles tranquilles." (comparez avec Osée 4.6). Avez-vous déjà vu en quoi la être juste est important ? Parfois prendre pour quatre-vingt-dix ou cent cinquante euros d'amende et trois ou cinq points en moins sur le permis de conduire peut nous rendre plus juste. La prison devrait avoir cette vocation... Dans tous les cas, on a TOUS besoin d'être rendus plus justes, car l'injustice fait partie de notre psychisme naturel (ce que notre socialisation peut réduire, mais jamais totalement)...
En 2Thessaloniciens 2, il est question de "recevoir l'amour de la vérité pour être sauvés..." Pour Dieu mentir ou voler ou tuer ou convoiter entretient ou produit la même séparation entre lui et nous. Quel gain cherchons-nous ? Un gain inique obtenu par ruse, manipulation, séduction ou violence, ou le gain de Le connaître Lui, la vraie vie, la paix, l'amour, la pureté de coeur, le bien-être en soi... toutes choses bonnes qu'il peut nous communiquer en esprit et en vérité.
- (Connaître) Dieu ! L'essentiel des essentiels. Le Dieu créateur, qui ne change pas, qui ne se contredit pas, qui est amour et dont l'amour a absorbé la justice punitive. Comment ?
Comment trouver Dieu ? En cherchant ce qui est vrai, juste et vérité à son sujet. Et par la foi jusque découvrir ce qu'est la mort sacrificielle, substitutive de Jésus. Ce qu'elle est depuis l'instant où Jésus a été élevé comme un assassin sur un bois de torture, acceptant - de porter en son corps nos péchés (nos injustices, nos mensonges, nos fautes morales, tous nos égarements coupables), - et d'être fait malédiction pour que l'obligation et le poids de la justice nécessaire à notre bien soit changé en un don : Celui de l'Esprit Divin comme la force nécessaire suffisante pour marcher droit, pour se purifier, et comme vie éternelle qui nous est accordée, par grâce, dans la foi.
Psaume 4. 6 : "Beaucoup disent: Qui nous fera voir le bonheur? Fais lever sur nous la lumière de ta face, ô Éternel !" Que cela soit une prière authentique de votre cœur, dans votre bouche, et vous en verrez l'exaucement !
"Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé-e, toi et ta famille."
- Mise à jour, compteur à zéro Il y a en nous comme une boîte noire et un compteur qui enregistrent TOUT ce qu'on fait de mal, c'est-à-dire en dehors de ce que Dieu veut comme Bien ou de ce qu'il agrée de nos initiatives. Tout cela nous sépare (de la sainteté) de Dieu, nécessitant, si on veut se mettre en ordre, en bonne relation avec le Divin, que cela soit effacé de notre casier judiciaire à la fois intérieur et céleste. C'est pour cela que Jésus est mort, prenant sur lui les souffrances et la mort qu'occasionnent toutes ses choses mauvaises, afin que nous puissions être pardonnés de tout cela en toute grâce - de manière totalement imméritée - pour notre part, et en toute justice du côté de Dieu. Alors, ne soyons pas dans le déni vis-à-vis de ces réalités qui plombent notre existence, mais plutôt acceptons qu'elles soient mises en lumière, reconnues pour fautes, pour mal, et recevons le pardon de Dieu pour en être débarrassées (comme il est écrit ici - vers. 7 à 10).
Soyez béni-e par ce Dieu qui vous connait déjà si bien, dont notre mieux-être présent et bonheur éternel dépendent : de sa personne, de sa connaissance, et d'une vivante relation à lui.
___________________ * Accident dans le sens où, à l'origine de l'être humain, la mort n'est pas la destination qu'elle est devenue, mais c'est la vie éternelle - notre éternisation personnelle - qui était la finalité de notre création. La mort avait été prévue, potentiellement (comme un plan B), pour le cas où nous tomberions… dans ce qui s'est passé que nous rapporte le 3e chapitre du livre biblique de la Genèse. Liberté oblige, cela aurait pu être autrement, pour la chute comme pour la non-chute. Toujours est-il qu'on a tous été génétiquement scellés dans la mort(alité), et qu'il nous faut maintenant rejoindre le Plan Divin Rédempteur (B2) pour être replacé sur le chemin de l'éternité qu'on appelle Royaume éternel de Dieu ou Paradis sans fin.
Comme il y a deux endroits où nous pouvons aller après cette incarnation, il est aussi prévu et annoncé depuis longtemps, qu'il y a deux résurrections également bien distinctes. Notamment séparées l'une de l'autre par 1 000 années.
F1 - LA RÉSURRECTION DES JUSTES ou 1ère RÉSURRECTION
Dans la Bible, bien d'autres détails suivent cet événement fantastique immense, planétaire, qui arrive. Globalement, à partir du moment de cette résurrection, partout la terre va devenir un champ de bataille... Selon la chronologie fournie par le livre de l'Apocalypse - du grec apocalupsis signifiant révélation (de Jésus-Christ, donnée à Jean son apôtre), nous sommes dans le temps de la 6e des 7 trompettes (faits très importants qui jalonnent le déroulement de l'Histoire)... Comme la venue de Jésus fut une rupture totale dans le continuum de notre histoire, cette première résurrection (dont il est aussi l'initiateur) sera aussi une rupture en ce que cela va changer le cours de l'histoire sur la terre : les deux millénaires de l'ère de la Grâce divine où le salut éternel de notre âme - notre salut personnel ! - s'obtient par la foi seront clos. Pour être sauvé parmi les horreurs qui font alors paraître, la condition du salut sera très nettement durcie...
F1, acte 1 : LE MILLÉNIUM ou 1 000 ans de règne de Christ sur cette terre Après cette intronisation céleste des croyants au Christ et Messie Jésus et quelques années..., une nouvelle phase terrestre apparaitra. (Apocalypse ch. 19, vers. 11 et ss). Jésus paraît enfin là comme "Le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs" de la terre et des cieux. D'abord pour mettre un terme à un chaos planétaire phénoménal : massacres, viols et toutes sortes d'horreurs perpétrées par lesquels Satan et son horde de démons cherchent à s'assurer un contrôle total du genre humain et de la planète. Pour cela, Satan l'ange déchu terrible ivre de sang, sera emprisonné pendant mille ans pour ne plus nuire à personne et à travers personne. (Apo ch. 20).
Jésus Christ et ses fidèles commencent par restaurer l'ordre moral - La Loi de Justice divine - dont les transgressions ont été la cause de l'asservissement (et des souffrances immenses) des êtres humains aux esprits satanisés. Et c'est encore la restauration de la terre, la remise en ordre des dérèglements (climatiques, écologiques), des appauvrissements et pollutions des sols, air et eaux...
Cela va notamment montrer - que Dieu mène à terme ce qu'il a mis en œuvre, même si le mal s'y est glissé un temps pour tout abimé ; - qu'avec Jésus et notre acceptation généralisée du plan rédempteur divin, on peut - et on aurait pu depuis longtemps - remettre la planète en ordre au lieu de continuer à la détruire par nos entêtements ; - que Dieu associe les êtres humains (comme les anges) à son règne et ses œuvres...
Peu importe si on ne connaît pas Tennessee William pour savoir ce que chante vraiment Johnny Hallyday ? Peu importe si on écoute ou fredonne toute la journée tant de chansons anglophones dont on ne comprend rien aux paroles !? Et donc sans avoir non plus la moindre idée de à quoi on peut s'unir de bon, ou de néfaste de cette manière !
Car les musiques comme les paroles ne sont pas neutres : cela se fait par "inspiration", et qu'est-ce qu'une inspiration ? D'où cela vient-il !?... Pourquoi la drogue est liée à certaines musiques ? pourquoi la paix ou la joie à d'autres ?...
Mais si on ne peut pas (avoir le temps ou l'intérêt pour) connaître tout ce qui caractérise au fond chacun d'entre nous, ce peut être une vraie bonne recherche que de savoir ce qui caractérise fondamentalement nos tout premiers ancêtres ! puisque les lois de la génétique et psychogénétique nous obligent à leur ressembler : C'est une démarche qui tient de la science comme de la foi - les deux faisant très bon ménage si chacune n'empiète pas à tort dans le domaine de l'autre.
Ainsi au lieu de partir d'une prétendue transition ininterrompue qui va de la vie de l'amibe au tarsier, peut-être en passant par le poisson, puis en évoluant en simien (singe) et jusqu'à nous, partons du fait - plus rationnel et raisonnable - qu'il y a un vrai premier homme et une vraie première femme à notre origine. Car que ce soit Tennessee, la Charlie's band, Jojo, Jean, France ou encore Jacquot, les chinois et moi et moi et toi, on a tous en nous quelque chose du premier Adam ! Quelque chose de problématique, de taré, de déréglé, de sombre, d'asocial, de tordu*, d'insuffisant, d'anti-heureux... au point où même on est tous mortels (pour ne pas perpétuer sans fin le mal et des maux)
Alors avançons ainsi dans la connaissance brute de décoffrage de soi (et des autres), si du moins comme disait Sempé nous ne voulons pas mourir idiot, et parce qu'il s'agit à partir de là de pouvoir bien mieux se respecter et s'aimer (dans le sens christique du verbe).
PARTIR DU BON ENDROIT Pour cela à la base, il nous faut donc faire ce choix plutôt drastique, entre - croire que nous sommes des humains venus du Hasard et de ses satellites Nécessités ; puis qu'on a transmigré jusqu'à la planète des grands singes, pour finir (présentement) dans la sphère des réflexions et élucubrations intellectuelles, et des émotions et sensations à la fois magnifiques et difficilement gérables...
- ou croire que nous venons d'un Dieu créateur supérieurement intelligent et sage, qui a pensé, conçu, formé et doublement vivifié de son souffle cette créature bipède, pensante et susceptible de créer des langages et des applications technologiques, dont nous sommes encore vous et moi des spécimens.**
Dans les deux cas la réalité est qu'on est tous marqués par une ou plusieurs difficultés existentielles, des difficultés qui ne cessent de nous tomber dessus, ce qui donne un mal-être qui se double d'un relatif mal-vivre prégnant, étant tout à la fois mal au point et mal en point.
La seconde manière de voir fait logiquement corps avec ce qu'est notre quotidien, qu'on peut alors mieux expliquer pour mieux le gérer, comme ayant tous en nous quelque chose comme les traces profondes d'un impact traumatique, des pensées puissantes mais peu cohérentes et qui dominent notre besoin de réflexions, des regards troubles et jusqu'à obliques-révolver, soumis de plus à des tentations venant du dehors qui sont de l'ordre... d'attouchements démoniaques ! Ignorer cette dimension du Réel, c'est en être des proies faciles ; au contraire le sachant, on peut se mettre en position de résister et de lutter. "Résister" grava dans la pierre de son cachot Marie Durand, bien avant que ne le chante France Gall. Mais comment ?
DÉCALÉS EN DÉCALAGE C'est ainsi fait, qu'on a la liberté de croire au faux comme au vrai, au plagiat des vérités ou à leur contraire tout comme adhérer aux vérités elles-mêmes. Liberté de choisir donc une base primordiale, un socle de connaissances justes ou controuvées, d'où appréhender le Réel (présent et éternel) et s'y insérer au mieux, ou de la pire manière. Et cela avec 30 ou 85 % de conscience, ou dans une méconnaissance qui tient de celle de l'animal. Une base, une assise, sur laquelle mieux on sera dans ou près des vérités essentielles en soi, surtout de soi et de Dieu, mieux on se portera et pourra (se) bâtir dessus, dedans et autour...
Quand on croit en évolutionniste peu soucieux des vérités, c'est-à-dire sans soucis de vérifier les dogmes de sa croyance, on a naturellement tendance à être le centre - intéressé et se voulant intéressant - de son monde. Tendance à vouloir s'approprier des biens (inertes, virtuels ou vivants) et au mieux à viser des progrès sociaux, moyens privilégiés pense-t-on alors, pour s'affranchir par nos capacités (pas toujours) propres de ce qu'il y a ou il y aurait d'animal associable dans notre condition (reconnue aliénée).
Et comme on n'y arrive pas - après encore que la faute de nos difficultés existentielles ait été mise sur le compte de la religion, c'est aujourd'hui la faute à la culture, au colonialisme d'hier, au manque présent de cœur et de moralité - des autres -, aux hommes plus qu'aux femmes, aux rigueurs même des apprentissages scolaires... bref, une évolution et croyance qui - heureusement - va finir par s'auto-détruire tant elle se tape dessus sans vouloir jamais se remettre en cause là où il faudrait. Ce que la Bible dit simplement ainsi : "Pourquoi l'homme vivant se plaindrait-il ? Que chacun se plaigne de ses propres péchés."
Alors on a beau se barder d'idéologies ou s'enrubanner de beaux mots (positivisme, progressisme, socialisme, communisme, humanisme), ce n'est pas encore que nous sommes prêts d'arrêter nos enlisements. Pire, dans les sables mouvants que sont les erreurs, les demi-vérités, l'ignorance et les mensonges, plus on bouge plus on s'enfonce.
On est donc devenus capables de découvrir des lois de l'univers, des postulats, axiomes et modes de calcul très complexes, des moyens d'assemblages, de séparations et de transformations des élémentaires, au point d'en tirer des applications plus qu'il nous en faut. Mais, MAIS aussi, dans le même temps, en parallèle, on ne sait toujours pas mieux vivre les uns avec les autres ! Et bien sûr avec soi-même ! On est toujours pris - et plus que jamais -, en tant que personne, dans des compressions intérieures et des contraintes extérieures à faire "péter les plombs", disjoncter, de plus en plus de monde. Sur cette pente des progrès et libérations recherchés sans Dieu, les attentats d'aujourd'hui risquent de n'être que des signaux d'alarme sporadiques et spasmodiques du grand chaos qu'on est en train de mettre en place en croyant bien faire...
Parce que chacun, au fond, adamiquement, on est ainsi fait que le mal a plus d'emprise sur nous que le bien véritable. Quand Albert Einstein découvre la loi de l'énergie (E = mc²), on va pouvoir entrer dans l'ère fantastique de la manipulation des atomes ! Sauf que la première principale application qu'on développe, avant les centrales nucléaires, c'est des bombes atomiques, et c'est Hiroshima et Nagasaki !.. (D'ailleurs les centrales nucléaires ne sont pas forcément non plus une bonne application ou la meilleure de la fission nucléaire puisque (si j'ai bien compris) on ne rend utilisable pour faire de l'électricité que la chaleur résiduelle des réactions atomiques, c'est-à-dire une infime partie de la puissance engagée et dégageable).
D'une façon générale, les recherches et applications des technologies les plus pointues sont premièrement militaires ! Il peut bien sûr en sortir des bienfaits - comme les ordinateurs et autre internet et mobiles*** - mais il en sort d'abord des moyens de surveillance, d'espionnage, de contrôle des personnes, et des armes, de plus en plus lourdes en pouvoir de destruction, et très coûteuses ! Pourquoi ?
Parce que notre existant d'adam accidenté est décalé (vers le rouge sang) de notre origine bénie, et se poursuit en décalages divers, dont celui entre nos capacités d'avancées de productions matérielles - développées même jusqu'à Mars mazette ! - et nos incapacités à nous changer nous-mêmes - bof ! -, ce qui fait qu'on patauge, on stagne ou on s'affole, on grimpe comme Icare, et dans tous les cas on s'enfonce toujours un peu plus dans des complications et difficultés, dans ce qui reste toujours s'appeler... le péché (tout ce qui est mal évident ou bien présumé mais pas sécurisé dont tel effet néfaste fini par venir à la fois dramatiquement mais heureusement au grand jour : vache folle, prothèse mammaire, pollutions de l'air à l'assiette, lait contaminé... ).
Parce que l'expansion de conscience et de volonté vers le bien non seulement présumé mais véritable, ne suit pas ! "Seule la bénédiction de l'Eternel n'est suivie d'aucun effet secondaire néfaste." Et plus on veut sophistiquer cette civilisation post-chrétienne - c'est-à-dire en croyant présomptueusement qu'on peut bien mieux faire sans Dieu qu'avec lui - le véritable -, plus on fait s'approcher les puissances du faux-dieu de ce monde (Satan). Parce qu'on se trompe sur ce qu'est et vaut vraiment ; sur ce dont on est réellement, pratiquement et utilement capables ; et sur les tenants et aboutissants de ce monde et de nos existences individuelles. On cherche**** à se créer une éternisation, on croit et on investit beaucoup pour se donner une immortalité informatique, sans même entendre ou croire que depuis deux mille ans Jésus nous offre, au seul prix de la reconnaissance et de l'abandon de nos fautes et de la foi en lui, une vraie vie éternelle.
à suivre... et bonne suite pour vous... ______________ * ... que Brassens par exemple interprète ainsi dans une de ses chansons : "Sitôt qu'on est plus de quatre, on est une bande de cons." ...Avec le bémol qu'on peut aussi former de belles équipes à plusieurs, non !?...
** Un peu de réflexions honnêtes à partir d''observations un peu poussées des réalités matérielles visibles et invisibles, des agencements fixes et des ordres en mouvements et interactions, des 4 lois élémentaires et des 23 réglages hyper-pointus qui tiennent tout en des équilibres inouïs… suffisent pour arriver à la conclusion qui ouvre la porte à la foi en des réalités, vérités et causalités (re)liant le physique et la métaphysique (âme et esprits), dont font partie Dieu et ce qui concerne notre vie et santés en relation avec lui.
*** Et par internet et autres portables, on n'a pas non plus créé que des plages de rencontres paradisiaques, exemptes de toutes séductions trompeuses, arnaques et virus, possibilités de manipulations, de trafics et autres indiscrétions visant, via psychologie mal employée et algorithmes fouineurs, à l'exploitation la plus subtile de son prochain.
**** on cherche sur la base fausse que le cerveau (physique, physiologique) c'est l'âme (dont la nature est autre, psychique) ! C'est elle qui transmet la vie au corps et au cerveau - "simple" interface entre le vivant qu'elle est et l'inerte en soi...
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.