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13 décembre 2022 2 13 /12 /décembre /2022 14:36
C'est la nouvelle qui commence mon petit livre sur "NOËL, NOËL, Merry Christmas... mais pas sans sa vraie histoire"
Vous le connaissez ? Vous l'avez acheté ! Par toutes les bonnes librairies locales, sur le net à Cultura, Fnac, Uculture, Amazon.... ou >> ici par la boutique de l'éditeur (délai plus court) <<

 

Chapitre 1 : Nouvelle

Désolé, la mise en page transplantée ici n'est pas top... mais bonne lecture quand même)

NOËL, PÈRES-ET-MÈRE-VEILLAIENT(*)
  L'enfant est né. Un beau garçon. Youssef (Joseph) l'a placé dans la mangeoire des animaux. Myriam (Marie) somnole.
Joseph – Je suis franchement désolé qu'on n’ait trouvé que cette écurie, mais on n'avait vraiment plus le temps, et vraiment trop de monde ici avec ce recensement !... Et puis je l'avoue, bien souvent je ne comprends pas Hashem (Nom donné à Dieu par les juifs).
Marie – C'est nous qui n'avons pas dû faire attention à quelque chose.
Joseph – Non Myriam, c'est la faute des Romains ! Sans leur recensement, nous n'aurions pas eu à faire ce long déplacement ! Ça leur sert à quoi de nous compter comme si on était leurs biens !? On n'est pas de leurs pâturages !… Et puis il faut être logique, le nombre change tout le temps.
Marie – C'est nos péchés qui nous ont amenés sous leur domination Youssef. Nous n'avons pas à leur en vouloir.
Joseph – Certes, certes, nos pères ont abandonné Hashem. Nous ne sommes vraiment pas dignes de notre père Abraham !...
Il arrange de la paille sèche autour de l'enfant et reprend :
- Mais il y a quand même plus de quatre cents ans qu'Hashem se tait et ne sort plus avec nous ! Combien de temps encore avant qu'il ne nous délivre !?
Marie – Je crois mon époux, qu'il va falloir patienter encore quelques longues années.
Joseph – On mourra donc comme ceux de nos pères qui n'ont pas vu se réaliser la promesse concernant la Terre Promise.
Marie – Hashem ne voit pas passer le temps comme nous.
Joseph – Certainement... C'est bien dommage.
Il se racle la gorge et ne dit plus rien. Marie au bout d’un moment :
Adonaï domine sur les origines et les fins. Il ne dort ni ne sommeille le Saint béni soit-il.
Joseph – Tu as raison Mimie, je n'en disconviens pas...
Comment te sens-tu ?
Marie – Étonnamment bien ! Je me lève d'ailleurs, je veux revoir cet enfant que j'ai eu comme nos mères Ève et Sarah, avec l'aide de l’Éternel.
Joseph – Ève avait péché.
Marie – Et Adam !?... Et nous, en quoi sommes-nous différents ?...
Ce qui est important c'est que nous croyons en comptant sur sa grâce, sur son pardon miséricordieux autant que sur sa justice…
Joseph – Ouais ! Plus qu'en pensant aux bousculades et coups de bâton qu'il peut nous donner, par quelques Romains, quand nous le mettons en colère.
Myriam regarde le bébé.
Il est vraiment beau n'est-ce pas ! Loué soit Adonaï, l’Éternel-Dieu qui s'est penché sur son humble servante.
Youssef reste visiblement soucieux, ou intrigué, et peu enjoué par tout ce qui se passe, qui le dépasse.
Marie – Tu n'es pas jaloux quand même mon Yosy, qu'Hashem ait fait ce petit fils d'homme sans toi !? C'est son fils surtout. Pas le fils d'un autre… Et aussi pour une part le tien.
Joseph – Non, non, pas jaloux… Expectatif, c’est tout !… Père adoptif, soit. J'attends de voir.
Marie – Sois patient, et j'en suis certaine, il t'en donnera des fils chair de ta chair et os de tes os. Je t'aime Youssef.
Contre toute tradition, Myriam vient se blottir contre son mari qui en est agréablement surpris, et la couvre de son manteau.
Marie – Je pense qu'il n'a pas froid comme ça !... Regarde Youssef, l'âne et même cette vache rousse viennent le réchauffer du souffle qu'ils ont reçu d'Hashem… Hummm, j'aurais envie de le manger tellement il est chou !
Ce soir-là, une lumière était venue s'ajouter à celle toute ombrée de l'étable, et père et mère veillaient.

Il y eut tout à coup du remue-ménage dans la rue, juste devant l'écurie. Youssef se réveille et tend l'oreille. Myriam ne dort pas non plus.
- Qu'est-ce que c'est ?
La porte s'entrebâille doucement. Une tête, puis deux, puis trois apparaissent au milieu de chuchotements.
- Oui, on dirait que c'est ici.
- Je crois bien qu'on y est les gars !
Un peu plus fort : - On peut entrer ? Y a quelqu’un ?
C'était des bergers qui avaient été divinement avertis par un concert d'anges heureux, qu'un sauveur était né pour amener la paix à ceux des hommes et des femmes qui seraient de bonne volonté.
Et les voilà devant l’accomplissement de l’annonce. Vivement saisis par l'Esprit-Saint, ils se prosternent devant l'enfant et louent Dieu de ce qu'il a visité son peuple.
- Dans la ville de David, dit l'un d'entre eux soudain saisi par cette idée qui le traverse.
- Serait-ce le Mashiah (le Messie), demande un autre en regardant intensément un de ses compagnons comme pour entendre la réponse qu’il espère !?
Si les anges ne sont pas là (ou redevenus invisibles), leurs chants et la bonne nouvelle qu'ils annoncèrent emplissent les cœurs et l’atmosphère de la joie du Ciel.


Mais la nuit suivante, Myriam eut un songe inquiétant, qu'elle partagea avec son mari.
Youssef, c'est horrible, j'ai fait un affreux cauchemar ! Mon cœur en a été transpercé comme par une épée…
Nous étions montés tous les deux avec Yeshoua
(nom de Jésus en hébreu) à Jérusalem. Il avait alors 12-13 ans. Peut-être était-ce pour sa Bar-Mitzvah… Bref, on l'avait perdu ! Tu te rends compte Youssef, perdu ! Et - mon Dieu quelle horreur ! -, on ne s'en était même pas aperçu le jour-même ! On ne l'a retrouvé que tard le lendemain.
J'ai peur Youssef ! J'ai peur de n'être pas à la hauteur d'un tel don d'Hashem.
Joseph – Oui, c'est impressionnant. Comment peut-on savoir si c’est Hashem qui t'a parlé ; ou est-ce un tour du vilain Shatan !?..
Pour tout dire, moi j'ai eu le sentiment d'avoir à descendre en Égypte comme firent nos pères pour sauver leur vie…
Mais ne nous laissons pas submerger par des pensées ou des rêves qui ne sont peut-être même pas des songes.

Dans le cours du lendemain, Joseph revient tout heureux.
- Myriam, Myriam, crois-moi si tu veux, mais j’ai rencontré un homme – ô comme on lit dans la Torah (
les Écritures données par Moïse) –. Il m’a ouvert sa maison et en parlant il m’a dit avoir une maison où on pourrait rester le temps nécessaire avant de repartir. Je retourne pour la visiter ce soir ; ce propriétaire serait d'accord pour me la louer si je lui refais la charpente d'une dépendance.
Marie – Que l’Éternel soit loué qui dispose les cœurs en faveur de ses enfants. Yeshoua me rend si heureuse Youssef ! Et toi aussi tu es un bon mari, et un père solide pour ce fils qui nous a été donné.
Joseph se redresse et tire sur sa ceinture en programmant :
On va pouvoir monter à Jérusalem pour la circoncision, la présentation au Temple et ta purification ; puis on visitera un peu la cité de David, et après on retournera tranquillement à Nazareth.
Il y eut bientôt pour eux à Bethléem une maison et du pain (comme le dit le nom de cette bourgade).
Et auprès de Yeshoua, les pères et mère veillaient.

Soudain il y eut beaucoup de bruit et de mouvements entre les maisons et parmi la poussière. Trois gros 4x4 venaient de s'arrêter et neuf hommes en descendirent dont les trois pontes principaux de la NASA.
Un enfant dans la rue - Oui, oui, monsieur, c'est bien là qu'ils habitent, cette porte, vous pouvez sonner.
Merci bonhomme. Tiens pour t'acheter des chewing-gums.
Des chui… quoi !???
Des ch'wing... Ah !.. Voyons… Peut-être dit-on des Mistral-gagnants par ici !? Enfin des bonbons ! Tiens prends... So, allons-y ! Le ciel nous a conduits.
Une fois entré, ils expliquent à Marie qu’ils trouvent seule :
En fouillant le ciel avec nos télescopes, on a été interpellés par une conjonction de planètes produisant une lumière étonnante. Nous avons aussi eu une pensée insistante, que cette « naissance » si on peut dire, apparente dans notre ciel physique, pouvait bien en signifier une autre parmi nous. Cela nous a amenés à suivre cet astre étonnant jusqu’ici. L'enfant est-il là-bas sous cette moustiquaire ?
Marie – Oui, il doit dormir. Faut-il le réveiller ?
On va attendre. Les choses bonnes se font en leur temps, ne croyez-vous pas !?
Marie – Ça permettra à Youssef mon mari, de rentrer de son travail.
Très bien.
Marie – Vous venez d'où ? Je vous offre à boire de l'eau fraîche ? Nature ou avec du miel pour la sucrer !? Ici on n’a pas trop de choix.
Bien volontiers… On vient de l'Occident, c’est très loin, d'abord en avion, puis on a débarqué nos voitures pour terminer le voyage en profitant un peu des paysages du coin. Vous êtes vraiment dans un bon pays, où coulent encore le lait et le miel je suppose !?
Marie – Malgré les épreuves qui ne manquent pas, et qu'il nous donne de supporter, les bontés de l’Éternel envers nous ne sont pas épuisées.
Amen. Nous aussi on s'est un peu égarés sur la fin. Nos instruments ne sont pas encore suffisamment précis. Nous sommes donc allés à Jérusalem, et là-bas on a été redirigés jusqu'ici. Ah, j'entends l'enfant bouger il me semble !...
Un autre des pontes : - Ne bougez pas, je vais chercher les cadeaux, tu viens avec moi Gaspard !
Ils se dirigent donc vers la porte, qui s'ouvre juste quand il l'approche.
Woh, porte automatique ici aussi ?!...
Non, c'est un homme qui paraît.
Ah, vous êtes Youssef je suppose !?... Excusez-moi, je sors, on va vous expliquer.
Conformément à leur disposition de cœur, les astronomes ont amené beaucoup de cadeaux plus riches, plus utiles et significatifs les uns que les autres.
Et ça, voyons ?… Quoi, un produit à base de myrrhe pour embaumer les corps ! Je ne sais pas qui a mis ce paquet parmi les cadeaux, mais c’est incroyable quand même, si on ne vérifie pas tout soi-même ! Excusez-nous !… Mais bon, puisqu’il est là, on ne va pas le remporter… Et encore celui-ci, attention c’est vraiment très lourd…
Joseph – Arrêtez, arrêtez, on ne mérite pas tout ce bien.
Mais Yeshoua si ! C'est pour que vous vous occupiez de lui et de votre famille sans gêne. On ne fait pas ça au hasard vous savez !
Marie – C'est magnifique, on se croirait à Noël !
Un autre ponte : – C'est peut-être une parole prophétique que vous dites-là Marie ! Vous permettez que je vous appelle Marie !? Chez nous, on aime bien adapter les noms à notre culture !
Marie – Pourquoi pas ! Youssef, ta femme s'appelle Marie.
Et Youssef, ce sera… Joseph chez nous, vous êtes d'accord Youssef ?
Joseph – Qu'il soit fait selon la grande sagesse de notre Elohim le grand Dieu d'Israël qui dispense sa bonté sur tous les hommes.
Marie – Et Yeshoua, comment l'appellerez-vous dans votre langue !?
Yeshoua, Yesh-ou… Disons que chez nous ce sera, humm… Jesus ! On écrit Jesus mais nous on va prononcer Djézeusse.
Joseph – Ah ben !... Djézus, Djézeusse. Ma mie, on a un “petit Djézus”.
Non, oh non, Joseph ! Non, ne dites surtout pas ça ! Jésus (en français) est toujours très grand dans le dessein de Dieu. Nous devons voir comme Dieu voit ; Pas avec nos lunettes d'humain amoindri...
Oui c'est sûr qu'il va devenir
immense cet enfant. Une très grande montagne de l’Éternel, qui remplira beaucoup de cœurs et toute la terre, ajouta un autre des pontes !
Joseph répéta avec un fort accent araméen : - Dyésuz.
Et ils rirent tous joyeusement car la joie de l’Éternel était leur force, et, malgré les différences, le moyen de leur union d'âmes.
Au moment du départ, Joseph eut une parole pour ces visiteurs :
Quand vous arriverez à l'âge de la retraite, continuez à regarder au-delà de tous les sommets de la terre, du côté des cieux très-hauts, car c’est là qu’Hashem notre Elohim Adonaï assiéra son Unique, son Bien-aimé. Et à la fin, c'est encore du ciel qu'arrivera le secours, avant qu’il n’arrive finalement par la porte orientale qui est vis-à-vis du mont des Oliviers.
Les astronomes sont repartis en évitant Jérusalem où un attentat avait été fomenté contre l’Oint de l’Éternel… mais éventé, selon que si personne ne peut cacher quoi que ce soit à la CIA, à plus forte raison rien non plus n’échappe aux faces éclairées de l’Éternel, le Père merveilleux.
A la suite donc, Joseph reçut d'un ange instruction pour descendre en Égypte pour y cacher son Fils pour un temps. Ce fut juste avant que l'autorité romaine mue par le Démon-vert entre en furie, faisant massacrer quantité d’innocents de cette région (comme il sera rapporté plus tard dans les chroniques nouvelles).
Mais qu'on ne s'en alarme pas : au-delà des souffrances et de la mort même, de toute injustice qu'il voit et supporte, Dieu se revêt de son habit de rédempteur et peut faire de tout ce qui est abîmé, déchiré ou égorgé, des créations nouvelles.

 
la suite et fin demain... (pour être informé, cliquer sur s'abonner)
(*) la clé de "Pères-et-mère-veillaient" est dans la suite du texte...
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23 mai 2020 6 23 /05 /mai /2020 18:00

On a vu précédemment 4 des 8
(jusqu'au coronavirus actuel)
événements d'ampleur planétaire initiés par Dieu au fil des siècles et millénaires.
Il y a deux mille ans paraissait le 5e de ces événements majeurs, d'abord invisible, puis croissant jusqu'à emplir de son message et de ses effets la terre toute entière.

5e événement planétaire - JÉSUS
En symbolique le 5 est le chiffre de la Grâce.
L'événement suivant, comme un rejeton tout particulier de la foi et descendance d'Abraham, c'est encore un homme unique : Jésus de Nazareth.

"Il s'est élevé comme une faible plante", prophétisa de lui Ésaïe environ 700 ans à l'avance ! Le lieu (Bethléem) et le moyen hautement improbables de la naissance de Jésus aussi furent prophétisés ainsi que des dizaines d'autres détails, ce qui lui confère un statut à nul autre pareil.

En quoi la naissance et la vie de Jésus forment-elles un événement à portée planétaire ?
C'est que Jésus est venue comme une incarnation divine dont la finalité est de "sauver tous les hommes", de toutes nations, de toutes tribus, de toutes couleurs et langues.
C'est pourquoi aussi le Nouveau Testament qui résulte de la venue de Jésus est traduit en plus de 1 300 langues et dialectes.

JÉSUS VENU NOUS SAUVER DE QUOI ?

- des pressions, oppressions, accaparations et autres méfaits douloureux, aliénants, traumatisants, handicapants, invalidants, formés contre le genre humain par Satan et ses multitudes d'anges révoltés et dégénérés (devenus des démons de différentes forces).

Certes si les démons peuvent ainsi nous imposer leurs forces répressives (ou séductrices pour mieux prendre possession de nous), c'est que nous le leur permettons, en agissant, parlant ou pensant mal, en nous positionnant contre Dieu ou dans l'indifférence à son égard.

- Jésus sauve donc aussi de la force du mal qui nous habite chacun et nous pousse, même malgré notre bonne volonté, à mal nous comporter, à pécher pour employer un terme générique (qui signifie "manquer le but, rater la cible de ce qui est bien).
On pèche tous d'une ou l'autre des multiples manières de manifester du mal, dans tous les cas toujours à notre détriment (malgré parfois que ça ne semble pas) et au détriment de ceux que nous atteignons (parfois en voulant faire nous-même notre propre justice).

La Bible appelle cette propension à mal faire (par actions ou par omissions) "la loi du péché", une dynamique dominatrice de notre âme que Jésus peut venir réduire et soumettre en nous, en nous communiquant son Esprit avec sa "loi de l'Esprit de vie";

- sauver de "la loi de la mort", mort physique mais aussi mort spirituelle, et jusqu'à plus gravement encore mort psychique (anéantissement dramatique et éternel de la conscience de soi, de notre moi-je).
Par la même foi qu'Abraham en la vérité révélée de Dieu et de Jésus son Christ rédempteur, chacun peut échapper à ce terrible jugement de finir éternellement hors du Bien que Dieu (seul) est, défend et partage;

- nous sauver encore donc des influences et tentations qui nous environnent, ce que la Bible appelle "l'esprit du monde" que forme les cultures, les religions, les idéologies de toutes sortes. Que ce soit celle du pays ou de la famille dans lesquels on grandit? ou une (trompeuse, insuffisante) à quoi on se met à adhérer de nous-même par quelque séduction qui peut facilement avoir raison de nous si nous n'avons pas "l'amour de la vérité" pour être sauvés;

- ainsi, nous sauvant en nous délivrant de l'ignorance, des erreurs ou mensonges qui circulent, Jésus et son Esprit nous reforment (réforment, transforment) afin que nous devenions toujours plus une représentation "à l'image de Dieu"... ce qu'on n'est plus trop par nature. On est d'abord tout naturellement formés et fabriqués socialement à l'image du "père du mensonge" qui est le diable (qu'on l'appelle Satan ou Lucifer c'est le même), le chef des démons.

On sait aujourd'hui combien la foi en Dieu et en son Christ Jésus ont, depuis deux mille ans, changé la face des continents et nations, bien sûr surtout de celles dont les autorités ont elles-mêmes été touchées par le message évangélique de la grâce que Dieu accorde par la foi.

FOI EN QUOI (MOYEN EMPLOYÉ POUR NOUS SAUVER) ?

- en la personne de Jésus paru comme Sauveur (c'est la signification de son nom en hébreu, Yeshoua, Dieu sauve), autrement dit aussi Rédempteur. (Matthieu ch. 16, vers. 16 et 17);

- foi en son sacrifice volontaire, sa mort étant le prix a payé pour racheter les pécheurs que nous sommes de nos fautes et des griffes, caresses ou pommades séductrices des esprits mauvais. (Pour ceux qui veulent saisir le sens en approfondissant les réalités, on dit que cette mort est (toujours) à la fois expiatoire, substitutive et propitiatoire). Toutes choses à la fois accomplies et potentielles qui s'activent pour chacun dans sa foi personnelle;

- idem pour la foi en la résurrection de Jésus, qui est apparu physiquement après un bref séjour dans un tombeau à des centaines de personnes (1Co 15).

Il apparait aujourd'hui encore, parfois en songe ou vision à certains (notamment à des musulmans pieux qui veulent aimer Dieu sans faux-semblants et sans le connaître suffisamment), et aussi par des attouchements sensibles (expériences diverses) dans l'ordre psychique et/ou spirituel, en faveur de ceux qui l'aiment ou de ceux qu'il appelle au salut;

- la preuve permanente de la résurrection de Jésus et de sa montée au (3e) Ciel, est qu'il a envoyé son Esprit, le Saint-Esprit. Celui-ci a pris sa place, avec l'avantage qu'il peut être possiblement en même temps sur toute la terre au même moment (ce qui est de l'ordre de l'esprit échappant à l'espace-temps tel que nous le rend sensible la limitation de la vitesse de la lumière);

- foi encore en ce que Dieu a été capable de dicter ses instructions, enseignements, promesses, avertissements... à de ces serviteurs pour que quiconque veut croire en lui ait des écritures lisibles ou audibles, immuables, fiables, par lesquelles connaître les vérités fondamentales nécessaires à notre connaissance de Dieu, de nous-même et de nos environnements.
C'est ainsi que la venue et émergence de Jésus a conduit à la rédaction et formation de la deuxième partie de la Bible, le Nouveau Testament, Nouvelle Alliance, Bonne nouvelle (gospel) ou Évangile de Jésus-Christ.

Ainsi est apparu sur toute la terre, ce fait unique que des hommes, femmes et enfants marqués et limités par les lois fondamentales activées par le péché, échappent à cette finitude essentielle qu'est la mort (sous ses diverses formes - lien d'étude possible : Les 5 types de mort).

En résulte, par le jeu d'une "nouvelle naissance" ou born again, la création inédite d'une humanité qui pourra vivre éternellement avec Dieu quand ce temps sera venu, c'est-à-dire quand il n'y aura plus personne sur terre à s'intéresser à cela, c'est-à-dire plus de repentance, le nombre de personnes ainsi sauvées n'étant plus modifiable.

6 et 7 - GUERRES MONDIALES ET  RÉVOLUTION BOLCHÉVIQUE
Par l'effet de La Science érigée en Europe depuis le XVIIIe siècle en divinité ultime, les découvertes scientifiques et développements technologiques se sont multipliés et approfondis, donnant au XXe siècle de devenir le plus meurtrier de tous les temps. Tels sont les progrès sans la supervision divine. Rabelais déjà l'avait aperçu et dit il y a longtemps : "Science sans conscience, n'est que ruine de l'âme."

Le fait - et problème - est qu'on n'est pas des êtres naturellement profonds, pour s'arrêter et faire le point quand des choses graves arrivent.
C'est ainsi qu'après avoir déposé plus radicalement que jamais, en 1905, sans distinction Dieu le Créateur avec ses représentants peu représentatifs (les religions bâtardes issues de la pure et saine doctrine produite par le Christ Jésus), la France orgueilleuse a été jugée par Dieu et attaquée par l'Allemagne au point de produire ce qu'on a appelé les deux guerres mondiales.

Une aurait pu suffire, si l'attaque en 1914 avait été vue comme un jugement divin sur son orientation politique maligne, tout jugement portant à la repentance et appelant à changer (de voie, de choix, de comportement, de priorité...).

Au lieu de cela, la victoire, non sans l'aide d'alliés, n'a débouché que sur des "années folles" (comme les ont baptisées les historiens). Ou il ne fut pas question de "changer son fusil d'épaule", c'est-à-dire à replacer Dieu (épuré si on peut dire des fatras religieux qui en déforment la réalité) au centre des vies et de la société. Car au lieu de cela, on se lança plus encore dans l'abandon des fondements chrétiens, dans l'illusion d'un bonheur possible sans Dieu, dans des libertés de plus en plus liberticides, au point où le jugement revint 20 ans plus tard, sur une génération et jeunesse après l'autre.

En parallèle dans le même temps, donnant aux conflits barbares leur dimension planétaire, la vue marxiste et les pensées socialistes devenaient le moyen d'un jugement sur la grande Russie et son gouvernement tsariste perverti, jusqu'à produire, après sa défaite infligée par le Japon en 1905, la révolution bolchévique (en 1917) qui allait conduire au bloc soviétique formé en Union de Républiques Socialistes Soviétiques (URSS) au prix de dizaines de millions de vies sacrifiées, tuées, déportées, mutilées...

Le chiffre 6 est le chiffre de l'homme quand il se définit ou déploie dans sa nature charnelle problématique. Et le 7 est un chiffre divin pour dire qu'en dernier ressort c'est Dieu qui reste le maître, fut-ce au prix de jugements qu'on l'oblige : Si nous ne savons pas marcher sous et selon la justice de sa Grâce, on se trouve un jour ou l'autre (collectivement comme individuellement) soumis à sa stricte justice, sans clémence, et parfois rendue inique par les esprits qui l'exercent.

Faute de tirer en conscience les leçons de nos histoires, nous sommes amenés, à notre encontre, pour notre malheur, à devoir subir les conséquences de nos mauvais comportements réitérés.

Et nous voilà parvenant, avec le covid-19, comme au temps de la 1ère guerre mondiale...

8 - LE VIRUS COVID-19
Le 8 est un chiffre de fait référence à quelque chose de nouveau. Une nouveauté en soi, qu'on a à comprendre comme un moyen de chercher un nouveau chemin, une nouvelle manière de poursuivre l'aventure chaotique de l'existence.

Nous voilà arrivés à ce virus pas ordinaire.
Il constitue, au vu des jugements précédents et des orientations d'existence prises par les instances gouvernementales et par les peuples les plus dominants, un de tout derniers avertissements divins.
Ce qu'on peut encore appeler un jugement de grâce, selon que le mal a vocation de sanction, mais aussi de permettre une remise bénéfique sur de meilleurs rails que ceux qui ont conduit jusque là.
C'est en ce sens que la parole d'Einstein est pertinente pour ici maintenant, qui dit que "On ne peut pas sortir d'un problème avec les modes de pensée qui ont créé ce problème."
En d'autres termes, ne revenons surtout pas à la "normale" d'avant le covid, car c'est cette normalisation de certains comportements (généralisés ou marginaux, commerciaux, politiques, moraux) qui a amené cette crise (et déjà d'autres avant) en tant que jugement sanction du mal.

TOUT JUGEMENT FAIT CESSER UN ORDRE (MALIN) DES CHOSES, EN VUE D'UN AUTRE (À RE-CHERCHER)

Jugement sur des orientations d'existence et des système dominées par la cupidité, l'avidité, l'avarice, la rapine - le dieu Mammon comme Jésus personnifie l'argent, la finance -; dominés par les plaisirs et gains personnels amoraux, égoïstes,avec des alliances, compromis et connivences malignes, les usages pervertis de connaissances (psychologiques, scientifiques, technologiques) pour manipuler les personnes, pour les monter les unes contre les autres ou pour les rapprocher artificieusement, pour fabriquer des armes de plus en plus hyper-sophistiqués (coûteuses et terriblement meurtrières)... 

Résulte de ce regard de plus en plus égotique des grands de ce monde et de tous, que grandit la faiblesse du plus grand nombre.
Une majorité de plus en plus grande est bernée, séduite, craintive ou indifférente, vindicative mais impuissante (à cause de ses propres péchés), est conduite (contrainte, sollicitée pour, poussée) vers un appauvrissement multi-face (financier, culturel, éthique, moral, spirituel), voire est éliminée (démographiquement).
Cela au profit organisé de quelques minorités (personnalités) toujours plus concentrées, des mieux-nés, des plus débrouillards, iniques ou mégalomanes, chacun dans tous les cas devant un jour rendre compte de ses faits, gestes, paroles et choix devant Celui qui prête vie.

Ce qui forme une cour de terrain privilégiée, au service d'une oligarchie de type Nemrod - par exemple en Europe qui veut poursuivre la construction arrêtée par Dieu - quelle défiance ! - de la tour de Babel. Sans réaliser qu'ils touchent dans l'invisible aux puissances occultes, qu'ils ne font que se placer sous les auspices d'entités spirituelles qui se veulent divines mais ne le sont pas, dont l'objectif final est d'obtenir de Dieu qu'elles puissent régner éternellement sur le genre humain sans le moindre regard de Dieu sur cette part de ses créations....

Voilà ce que Dieu voit et vient juger : les commerces et appropriations éléphantesques iniques des grands, et en rapport, les commerces pervertis goguenards des foules qui ne voient rien de "ce qui n'est pas à leur dire" et se satisfont à peu près de la belle étiquette "Démocratie" et de ce qu'on leur accorde sous ce label hautement honorifique.

L'ESSENTIEL DE LA CRISE

Dans cette situation Dieu agit largement auprès des plus faibles, des humbles, des affligés, des contrits, se révélant à ceux que leur instruction et éducation ont privé de lumière, de possibilité de foi, de connaissance de Dieu.
En ce sens, un de ces jours de confinement où je demandais à Dieu qu'il me dise quelque chose sur sa manière de voir cette actualité (outre que je sache qu'on est à la fin du chapitre 9 de l'Apocalypse), il me dit de lire le psaume 12. En quelques lignes, il me dit là l'essentiel de ce qu'il opère (qui se voit et qui ne se voit pas).

Notamment que chacun peut se fier à la Bible, étant "la parole de Dieu" qu'il a gardée au fil des générations pour que nous puissions en disposer maintenant encore dans l'assurance que rien n'a été déformés ou falsifiés des plus anciens manuscrits à partir de quoi on traduit encore la Bible dans toutes les langues.

Ainsi ce coronavirus, cette peste comme il y en eut d'autres mais jamais avec un tel effet dominant, nous dit que la colère de Dieu approche de son comble quand il voit où nous sommes parvenus, malgré de grands progrès divers, en matière d'injustices, de magouilles, de trafics, manipulations, exploitations, tromperies, perversions, violences...

De quoi amener encore bientôt un jugement plus final, plus terrible, dont la seconde guerre mondiale et la Shoah sont une image (géographiquement partielle) autant qu'une réalité déjà apocalyptique de ce qui vient, ce qui a été depuis longtemps prophétisé par divers livres bibliques (Apocalypse, Daniel, Zacharie, Ézéchiel, Ésaïe...).

Avez-vous réaliser comment avec quasiment rien, le Dieu éternel tout-puissant peut arrêter l'essentiel de nos activités, voire nos existences.
En ce sens, le nombre de morts annoncé dans l'Apocalypse laisse entendre qu'il y aura certainement usage d'armes atomiques... et sans doute bactériologiques (virales ?).

Pour ce qui est de la suite de cette liste des événements planétaires qui restent à venir, on peut la connaître dans ses divers points... mais je m'arrêterai ici seulement au suivant.

9 - LA PAROUSIA

Ce mot grec du Nouveau Testament signifie Présence, la venue, l'arrivée, l'avènement, le retour futur et visible de Jésus depuis les cieux, pour ressusciter les morts dans la foi en lui et enlever dans les airs les chrétiens préparés pour cet événement planétaire.

Le chiffre 9 parle de fin de cycle, de mouvement complet, en l'occurrence l'entrée dans une brève plage de temps où va se signer la fin des 2 000 ans de la grâce christique.

Voici quelques références* pour qui veut faire une étude de cet événement qui sera à coup sûr le plus surnaturel et imposant de tout ce que la terre a connu jusque là.
Ce ne sera pas du tout pour autant la fin de la terre et de l'humanité, mais le point de départ cependant d'une transition planétaire phénoménale qui amènera en rien de temps sur le monde une dictature et un totalitarisme comme il n'y en a jamais eu et comme il n'y en aura plus jamais.
Telle est, nous dit la Bible, le sens eschatologique de l'histoire : une fin qui tient de la domination de la loi d'entropie (usure, érosion, décomposition).

* Matthieu 24 : 3 - Matthieu 24 : 37 - 1Thessaloniciens 4 : 15 - 1Corinthiens 15 : 51

LEÇONS DE L'HISTOIRE

A quoi sert d'avoir remarqué que l'apparition du corona covid année 2019 est un des rares grands événements qui a changé et changent encore la face habitée de la terre ?

L'histoire est toujours faite de leçons qu'on peut en tirer. Sans aller trop loin dans le passé, le XXe siècle nous donne de voir à la fois comme le cœur humain n'évolue pas, reste barbare (malgré ce que fut une remontée significative des ténèbres avec le christianisme), tous les bienfaits d'une civilisation avancée (morale, juste, humaine) pouvant se perdre totalement en deux et trois générations.

De plus il semble que les deux guerres mondiales apparaissent comme une réalité et une image. Que si on ne tire pas leçon d'un événement grave (comme fut la 1ère G. M. pour la France et pour l'Allemagne, ou encore la défaite russe contre les japonais en 1905), il doit être répété avec plus de violences encore.
Pourquoi ? Rappelons-le : Parce qu'après 14-18, au lieu d'une reprise en main de la foi chrétienne (et de comportements en adéquation), en revenant, dans l'humiliation des vaincus et l'humilité des vainqueurs, à sa source - divine et biblique -, ce furent "les années folles", c'est-à-dire un retour et un redéploiement d'immoralité, du non-pardon, de pensées vengeresses sous couvert, de débauches, d'insouciances coupables ou de soucis purement matériels.

Aussi je vous invite à sentir comment Dieu s'approche de vous avec grâce, à cause de son amour et par cette vertu imméritée que Jésus a payé le prix de vos fautes par sa mort. Laissez-vous convaincre de culpabilité pour le mal que vous avez fait avant (voire pendant) cette peste, demandez pardon à Dieu et recevez son Esprit en signe de votre réconciliation avec lui.

Car c'est par la grâce de Dieu que nous pouvons être et sommes sauvés, grâce comme celle présidentielle qui amnistie, efface les condamnations et libére les prisonniers. Grâce qui vient de Dieu et non de nous, non de nos mérités, afin que personne ne puisse se glorifier d'avoir fait quelque chose pour se sauver lui-même.
Et grâce qui se reçoit par la foi, comme il faut tendre la main et prendre un cadeau que vous offre un ami, comme il faut saisit avec déterminantion la bouée de sauvetage que vous lance un sauveteur.

Passages à lire... et à croire...
C'est cela la foi : Romains 10 : 17 - Hébreux 11 : 1 - Jean 3, vers. 1 à 21

Soyez béni-e et sauvé-e

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18 avril 2019 4 18 /04 /avril /2019 09:21

sa

Où sont les querelles et les divisions quand un (grand) malheur sévit ?
Où sont nos assurances face à l'improbable ?
Où est Dieu quand Paris re-brûle... depuis déjà de nombreuses années ?

Dieu n'a pas permis une fête de Pâques de plus vécue dans la saleté (le péché) dont le déballage a inondé les ondes.
Pas de hasard(s) avec lui !
Je suis croyant et me veux intègre, récepteur par grâce de la lumière divine, qu'il demande à ses enfants (disciples de Jésus) de ne pas garder sous étouffoir, mais de partager.
Car avec la justice ce sont les vérités d'En-haut qui peuvent nous faire échapper au mal (dont le mensonge - comme certains silences - est la première morsure aliénante).

DEUX DES PRINCIPALES FACES DE DIEU
La ruine de la cathédrale de Paris n'est pas sans lien avec la Bible qui nous donne de connaître Dieu.
D'une part "Dieu est Amour".
Mais l'amour qu'est Dieu et qu'il désire que nous vivions, n'a rien à voir avec les dépravations charnelles, manipulations psychiques trompeuses, fornications pornographiques et autres échanges sexuels pratiqués en dehors du cadre posé pour l'homme et pour la femme par Lui, le Créateur et Arché-organisateur de tout.

D'autre part, Dieu est justesse et garant de justice.
Il ne saurait laisser toujours impunis nos crimes et délits.
"Lorsque tes jugements s'exercent sur la terre, Les habitants du monde apprennent la justice.10 Si l'on fait grâce au méchant, il n'apprend pas la justice, Il se livre au mal dans le pays de la droiture, Et il n'a point égard à la majesté de Dieu.11 Éternel, ta main est puissante : Ils ne l'aperçoivent pas..."Ésaïe 26

Plus précisément encore, il est écrit (par Pierre) que lorsque arrivent des jugements généraux, collectifs, ils commencent par la maison de Dieu:
"Car c'est le moment où le jugement va commencer par la maison de Dieu. Or, si c'est par nous qu'il commence, quelle sera la fin de ceux qui n'obéissent pas à l'Évangile de Dieu ?18 Et si le juste se sauve avec peine, que deviendront l'impie et le pécheur ?19 Ainsi, que ceux qui souffrent selon la volonté de Dieu remettent leurs âmes au fidèle Créateur, en faisant ce qui est bien."
Paroles et vérités millénaires immuables d'un Dieu réel, qui trouvent toujours, à un moment ou à un autre, le temps de leur accomplissement. Le temps où ce qui est annoncé par avance (par donnée prophétique) arrive.

DES SIGNES ET DES FAITS
Beaucoup de signes planétaires se cumulent (crises économiques et sociétales, pollutions multiples, recrudescence de maladies et maladies nouvelles, appauvrissement des terres arables dopées par voie chimique, disparition des graines saines et des espèces animales et écosystèmes menacés, dérèglement climatique...).
Un  faisceau mesurable, alarmant, symptomatique, qui laisse entrevoir qu'on est entrés, depuis quelques années plus particulièrement, dans un temps de fin, de déconstruction, de décomposition, de jugements, appelé dans les Saintes Écritures "temps de la fin des nations". C'est le temps de la fin de l'ère bimillénaire de la Grâce...

Et donc, OÙ EST DIEU, QUE FAIT-IL ?
Il est là, par et dans ce genre de jugements dont la cathédrale de Paris a été symboliquement atteinte.
Il montre clairement - et parfois il doit crier/frapper fort, par ce qui fait mal, pour que nous nous réveillions à la vue de ce qu'est le mal que nous pratiquons qui nous domine.

Il ne se désolidarise pas de la justice des hommes quand elle est juste. Savoir en l'espèce, quand elle condamne des fautes graves réitérées de l'église catholique apostolique romaine qui se réclame de son nom.

Les jugements de Dieu témoignent qu'il se soucie de tous, compris bien sûr de ceux qui se réclament de lui.
Le pire, c'est quand il nous laisse, livrés à nos sens réprouvés, ce qui conduit rapidement à laisser à Satan et à ses acolytes démons de venir nous presser de plus près (jusqu'à l'oppression, l'obsession et la possession)*.

DES JUGEMENTS D'ORIGINES DIVERSES
L'épreuve est toujours un jugement. Mais pas forcément de Dieu. Si on sort en hiver trop peu habillé, on va tomber malade. Si on conduit sans respecter le code, ça va finir par nous coûter cher (accident, amende ou +...).
Et si on transgresse des lois morales (écrites dans les textes de notre religion ou de la société ou encore dans notre conscience personnelle), c'est la même chose. Car selon la même loi universelle de causalité, les conséquences de nos fautes viennent nous percuter à partir des cieux qui nous dominent. Et ce peut être comme ici des expressions de la justice de Dieu et de sa patience parvenue à un terme.


TOUT JUGEMENT A UNE CAUSE...
Faute d'avoir l'intelligence spirituelle suffisante (le discernement, l'Esprit de Dieu avec nous) pour voir et dominer le mal dans lequel on se fourvoie, un jour un jugement ou un autre tombe. Ils peuvent être individuels ou collectifs.

En résulte des réactions, personnelles et/ou collectives comme on le voit et entend ces jours par les ondes : l'émotion (charnelle ou spirituelle), l'incompréhension (la sidération ou le questionnement), l'arrogance (- Ah, ah, s'il y avait un Dieu !) ou le désir (quasi-revanchard) de ne pas se soumettre aux adversités et de rebondir**.

Mais est-ce là ce qu'il y a de plus juste, ce que Dieu voudrait voir paraître du tréfonds de nos âmes ?...

L'histoire et nos actualités sont pleines des effets éprouvants de ce qui part ainsi des lieux célestes vers nous.
Il peut s'agir des plus justes rétributions de nos fautes (le plus généralement morales ou dans notre rapport avec l'occulte, le ciel obscurci dangereux). Mais encore de terribles injustices initiées par quelques démons ou Satan lui-même (ces entités angéliques déchues qui ont une très mauvaise maîtrise de la justice comme de leurs propres sentiments pervertis)*...

DES CAUSES ET DES EFFETS
A travers l'épreuve que constitue un jugement divin, Dieu fait deux choses - nécessaires et utiles.
Il exerce sa justice (parfois lente à paraître, car il patiente afin que nous nous reprenions nous-même).
Va-t-on le lui reprocher ?
On sait trop bien ce qu'est une justice mollasse, qui ne punit pas les fautes, qui laisse des criminels courir et des victimes dans la frustration.
Dieu n'est pas ainsi.

Sa justice n'est pas indépendamment de sa volonté de nous aider dans notre avancée (traversée, périple temporaire) terrestre, et surtout spirituelle.
Car il sait mieux que nous nous en soucions nous-mêmes, que nous sommes mortels, et il ne veut pas que nous arrivions à son "jugement dernier" sans plus de possibilités - pour notre âme avec ce moi-je conscient d'avoir la vie qu'on est devenu - d'échapper à une dramatique fin ultime.
"Car pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort." La première mort étant celle physiologique (du corps), la seconde celle de l'âme qui n'a(ura) pas su saisir la grâce qui lui fut offerte de trouver à être en paix et bonne relation avec Dieu et ses lois d'organisations.

Par ses jugements donc, en laissant agir le bras de sa justice, le Dieu qui nous aime veut provoquer en nous une saine réaction, salutaire, source de spiritualité activée ou réactivée.

QUE RECHERCHE DIEU A TRAVERS L’ÉPREUVE DU JUGEMENT ?
Il recherche surtout une réaction simple, comme le lâcher prise et une disponibilité (qu'on se donne ou qui s'impose).
Ou une réaction raisonnée, qui s'interroge vraiment ; qui tienne compte de ce que, étant des êtres personnellement responsables, on peut voir des liens entre nos comportements (individuels et/ou collectifs) et ce qui nous arrive, dans la conscience des causalités dont le concept combiné "bien-mal"***.

A ce sujet, les médias ont été copieux pour dire et étaler jusqu'à l'humiliation et la honte, les impudicités pratiquées plus qu'accessoirement dans cette institution ecclésiale.
Quand on ne sait pas se juger soi-même, un jugement peut venir d'ailleurs, plus visible et péremptoire.

SILENCE, HUMILIATION, HONTE, ET QUOI D'AUTRE !?
Humiliation et honte sont le maximum qui peut se produire dans notre âme quand nous sommes dévoilés dans des comportements iniques (comme il s'agit ici).
C'est le résultat d'un déterminisme naturel interne qui opère à la fois contre nous et pour nous (si encore on ne s'est pas conditionné ou laissé conditionner pour les faire disparaître. Car aujourd'hui on voit bien que même ces réactifs inconscients de l'âme et de l'esprit que sont l'humiliation et la honte, ont été largement érodés et jusqu'à bannis de nos capacités conscientes préventives et réactives face au mal).

Il en résulte que lors de mises en lumière du péché, ce mode naturel moral d'abaissement n'est pas accompagné par une prise de conscience personnelle... qui seule peut heureusement tout changer dans nos désordres.
Car elle est rencontre avec Dieu dans la lumière, source de la repentance, amorce de la rédemption.

ÉPREUVE POUR MIEUX RENCONTRER OU RETROUVER DIEU
C'est cet accès (ouverture, éveil, confrontation) au plan de la conscience de soi liée à celle de ce qu'on a fait, qui permet que nous arrivions au point où Dieu veut nous rencontrer, nous retrouver : à la repentance (un vrai repentir, une contrition sincère, un amer regret, un abandon à la vérité sans calcul) qui témoigne de la vraie faiblesse et misère de soi que nous sommes - pécheur/pécheresse incapable de tenir jamais dans le bien, de satisfaire aux exigences divines et de lui plaire par nous-même.
"La grandeur de l'homme est grande en ce qu'il se sait misérable" a compris et écrit Pascal.

C'est là que Dieu veut nous amener... tous ; pour nous pardonner !
Car son amour veut toujours surpasser sa justice.

Nous pardonner et encore, bien plus, nous délivrer de ce que Paul a pu appeler "la terrible loi du péché" qui nous habite, nous affecte et nous domine. (Lire ici ce court mais grand et utile traité de la psychologie humaine condensé en 12 versets (14 à 25).

Nous délivrer et encore nous changer, selon le pouvoir de sa sanctification, "sans laquelle personne ne verra le Seigneur." (Hébreux 12.24).

"Que personne, lorsqu'il est tenté, ne dise : C'est Dieu qui me tente. Car Dieu ne peut être tenté par le mal, et il ne tente lui-même personne.14 Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise.15 Puis la convoitise, lorsqu'elle a conçu, enfante le péché ; et le péché, étant consommé, produit la mort."

NOUS SOMMES PÉCHEURS/PÉCHERESSES, DONT SURTOUT ORGUEILLEUX
Plus nous nous développons en capacités personnelles, plus nous nous exposons à devenir (plus) orgueilleux (qu'à notre naissance).
L'orgueil, c'est une trop haute estime de soi. Un piédestal artificiel, sans fondement, dont on finit toujours par descendre - intelligemment c'est mieux, le plus souvent c'est par jugement (par voies de rupture, coups d'arrêt divers).

Et "Dieu résiste aux orgueilleux.
"De même, vous qui êtes jeunes, soyez soumis aux anciens. Et tous, dans vos rapports mutuels, revêtez-vous d'humilité ; car Dieu résiste aux orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles.6 Humiliez-vous donc sous la puissante main de Dieu, afin qu'il vous élève au temps convenable ;7 et déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car lui-même prend soin de vous.8 Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera." 1Pierre 5.

Honte et humiliation ont pour effet de nous (r)amener à l'humilité ; car aussi est-il encore écrit : "L'arrogance précède la ruine, et l'orgueil précède la chute." Proverbe 16.18

Et donc qu'est-ce que penser tout de suite à la reconstruction sans chercher à comprendre ? Comme aussi de faire appel d'une décision de justice qui le condamne, comme fait le cardinal Barbarin ?...
"Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures ; car il n'y a point d'autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu...
Veux-tu ne pas craindre l'autorité ? Fais-le bien, et tu auras son approbation.
4 Le magistrat est serviteur de Dieu pour ton bien. Mais si tu fais le mal, crains ; car ce n'est pas en vain qu'il porte l'épée, étant serviteur de Dieu pour exercer la vengeance et punir celui qui fait le mal." Romains 13.

Voilà déjà la priorité de ce qu'on peut tirer comme enseignement bénéfique de la destruction massive de cette cathédrale emblématique.
Mais ce n'est pas tout !

Cependant, avant de donner une suite à cet article, voilà que Pâque(s) arrivent (cette année en coïncidence, d'une part Pessah, souvenir et prophétie dans la tradition juive et d'autre part mémorial chrétien appelé Pâques).
C'est un événement du cœur brûlant de l'amour de Dieu pour chacun-e de ce genre humain si naturellement terrible d'injustices et d'insuffisances - de prétendues suffisances - et perdu hors de Dieu (parfois ensemble et toujours isolément).

Je pressens, comme souvent tout juste après une lourde épreuve, que la gloire de Dieu va se manifester. 
La gloire de Dieu est (entre autres) de tourner le mal en bien. De faire apparaître de cendres, de tôles tordues ou de chairs déchirées, telle ou telle bénédiction étonnante, inattendue, généreuse.

Et je me dis là qu'il va le faire aussi ! Que quelque(s) bienfait(s) à sa façon va(vont) nous atteindre très vite... possiblement dans cette Pâque désormais toute particulière de 2019.

Aussi, que vous en connaissiez ou pas toute la signification et le pouvoir, pour une réelle Bonne Pâque pour vous, je vous invite à lire l'article précédent en cliquant ici. 

Soyez richement béni-e.

à suivre...
___________________
* sur la réalité des démons qui sévissent parmi nous, qu'on reconnaît aux effets produits par leurs présences : Activité démoniaque : Y voir clair !

** La réaction-élan de générosité qu'on enregistre tient d'une vieux réflexe conditionné par la christianisation de l'occident et plus encore peut-être par cette église dissidente du pur Évangile. Car elle enseigna longtemps que les œuvres de charité était un véritable moyen personnel pour se sauver de l'enfer - pour se déculpabiliser donc.
Alors que la spécificité de l'Évangile  - étymologiquement "la Bonne Nouvelle" - est que le salut de nos âmes ne vient QUE de notre foi en la mort expiatoire et rédemptrice de Jésus-Christ. Moyen de salut de notre âme unique, dont les œuvres bonnes, venant du cœur et non de l'obligation ou de la pression ecclésiale,  sont des conséquences spirituelles sans rapport avec des dépenses diverses visant à apaiser notre conscience, à rattraper notre manque de foi véritable ou de pratique, à gagner son ciel tout en demeurant dans nos péchés.  

*** Le concept du bien et du mal n'est étranger à personne. Car nous avons tous une conscience morale. Qu'on peut éteindre mais qui nous interpelle relativement bien avant que par notre stupidité nous la soufflions comme une vulgaire bougie.
Et puis nous avons pour la connaissance du bien et du mal, en plus des lois de nos sociétés, un référentiel majeur : la Bible, et notamment les 10 commandements. C'est aussi pour cela que la Bible est depuis des siècles le livre le plus traduit, le plus imprimé, le plus offert et le plus lu par toute la terre.

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27 juillet 2016 3 27 /07 /juillet /2016 22:42

Lisons-le ici, dans l’Évangile selon Luc, chap. 13, verset 1 à 5 :

"A ce moment-là, quelques personnes qui se trouvaient là racontèrent à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mélangé le sang avec celui de leurs sacrifices. Jésus leur répondit : « Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu’ils ont subi un tel sort ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne changez pas d’attitude (envers Dieu, envers ce qui est péché), vous périrez tous de même. Ou bien ces 18 personnes sur qui la tour de Siloé est tombée et qu'elle a tuées, pensez-vous qu'elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne changez pas votre manière de vivre, vous périrez tous de même. »

Aurions-nous depuis trouver mieux à dire ?

Que chacun soit éclairé pour son propre compte par la seule bonne parole qui peut sauver de la mort et des tourments incessants.
Soyez éclairé-e et assurément sauvée-e.

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17 novembre 2015 2 17 /11 /novembre /2015 15:21
PARIS, FRANCE 2015 : LA MISERE EST (ENCORE) LA ! D'OU VIENT-ELLE ?

Je rentre de Paris, où j'ai marché une semaine entre les grosses berlines noires aux vitres teintées et les tentes-igloo et autres paillasses qui jonchent les trottoirs de la capitale.

Et puis soudain des trottoirs et des terrasses ont été arrosés de balles et éclaboussés de sang, et les shows festifs ont donné un visage plus exact du REEL :
- le domaine, qui apparaît de plus en plus corrompu, du sport - et ceux qui font ses fortunes - ont reçu une alerte forte à St-Denis ;
- au même moment l'innocence apparente et un cumul de musique et de sexe dévoyés ont été jugés sans appel
: mort, horreur et terreur.

On ne peut rien comprendre (ou presque, de sensé), sans une vue spiritualiste du monde, qui seule situe chaque chose à sa place dans un contexte global où les hommes ne sont pas seuls sur la terre et dans l'univers : existent aussi dans des sphères transversales, invisibles en soi mais visibles par leurs effets,
- d'une part des démons (ou anges déchus) qui peuvent être puissants en destruction - en rapport de ce que nos comportements leur donnent ou leur retiennent comme force ;
- et d'autre part un Dieu souverain qui contrôle les situations en rapport de ses lois causales - dont pénales -, qui peuvent former au final jugement et condamnation sévères quand nous transgressons les lois morales de notre propre conscience, ou celles, extérieures à notre âme, que Dieu fait connaître par ses écrits, la Bible notamment (avec les 10 commandements et autres points délicats abordé
s ici et là par les textes).


Mais qui se soucie de cette vue du monde, monde qui est initialement une création et une manifestation de la volonté – bonne, agréable et parfaite – du (seul) Dieu éternel ?
On est là chacun pour un temps (réduit, prêté, relativement libre) sur un espace et dans des lieux dont quelques-uns - qu'on a appelé philosophes "des lumières" - ont refusé de continuer à croire qu'il était une création issue d'un Créateur. De là à n'en avoir rien à faire de la façon dont les choses et leurs relations ont été élaborées, il n'y a qu'un pas. Et c'est ainsi qu'on est "fabriqués" (conditionnés, mal éduqués, conformés, moulés dans un matérialisme inique), selon notre tempérament en des agnostiques mous ou des athées virulents, qui se donnent pour règles de vie celles qui nous arrangent. (J'ai été plus de 10 ans formaté de la sorte par "éducation nationale", avant que Dieu ne vienne, dans sa grâce, se révéler à moi).
Tels dès lors mal emmanchés dans leur existence, recherchent prioritairement les plaisirs sensuels, les produits stimulants, d'autres des gains financiers, d'autres encore le pouvoir, la gloire, et pourquoi pas le cumul de tout... Tout cela sans considération des lois de nature, des lois divines d'organisation de nos personnes même, des conditions du réel bonheur (du vivre-ensemble) dans les rapports entre chacun, et encore dans les rapports avec tous les environnements existants : physiques, psychiques et spirituels.

Voilà aussi pourquoi des tirs de kalachnikovs ou des ceintures d'explosifs peuvent déchirer l'air et des corps... mortels : aspect éphémère de notre condition, qu'on oublie bien trop vite qui est la nôtre ! Là l'existence s'arrête, pour certains, dont le plus grand profit pour ceux qui restent devrait être de s'interroger véritablement sur ce qu'est le Réel véritable, sur le sens de ce qui se passe et où on va (en tant que psychisme, que moi-je défini, qu'âme individualisée) : Où on va une fois mis/jeté hors de ce corps ?
C'est pour cela seulement que le mal est permis par Dieu : quand il n'a plus d'autres moyens pour faire entendre qu'on va mourir ! Pour faire entendre et croire qu'il existe, qu'il est amour et veut nous sortir de cette précarité (celle des riches comme celle des pauvres). Sortir de cette misère mortifère et (un jour ou l'autre) désespérante, dans laquelle l'insouciance et/ou la désobéissance aux lois de
conscience nous contraignent, jusqu'à nous tuer plus ou moins soudainement.


Pourquoi la Bible enseigne-t-elle que "la mort c'est le salaire (la conséquence, la suite) du péché (du mal que nous commettons)" ? Si ce n'est pour nous faire peur quant à notre devenir (celui de l'âme, notre psyché) incertain et inassuré ! Et si notre réponse globale est - Moi même pas peur (de Dieu, de mourir), on va bien voir si c'est une vérité ou une illusion d'optique !

J'espère que beaucoup d'illusions sont tombées cette semaine à Paris et dans le monde ! J'espère - et je crois - que cela n'a pas conduit qu'à des recueillements vides, à des minutes de silence ébêtées, et surtout le moins possible à des montées en puissance de haine et d'esprits vengeurs – ce que recherchent les démons et Satan par ce genre de désastres. Ils excellent dans la loi du Talion, les Vendettas, les rapports de force frontaux...

Alors que ce que recherche Dieu, c'est notre humilité, ici par l'ébranlement et l'humiliation, quand elle n'est plus notre naturel, selon dit-il, qu'"Il fait grâce aux humbles, alors qu'il résiste aux orgueilleux." Et encore : "Le commencement de la sagesse, c'est la crainte de Dieu." Et la sagesse vient de la connaissance... de tout ce contexte où il ne faut pas confondre entre Dieu - le vrai - et Satan - l'ange déchu - qui cherche sans cesse à usurper la position divine.
Bonne quête, du Réel, du vrai, de la justice et de la grâce qui se trouvent par le Christ (Mes
sie) Jésus.

Soyez béni(e) vous qui avez lu jusque là.

Liens internes : un chant https://www.youtube.com/watch?v=mPj1SReuvgo

un autre message http://toucherlalumiere.info.over-blog.com/2015/11/le-pardon-de-dieu-et-la-folie-des-hommes-quel-en-est-le-prix-combien-coutent-ils.html

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