Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
8 mai 2023 1 08 /05 /mai /2023 16:14

UNE PROPHÉTIE MILLÉNAIRE
(article rediffusé)

Oui, Jésus à parlé d'internet et en a donné une démonstration prophétique sur les bords du Lac de Tibériade il y a presque deux mille ans.

On peut lire dans la Bible, dans l'Evangile selon Matthieu chapitre 13 : "Le royaume des cieux est encore semblable à un filet jeté dans la mer et ramassant des poissons de toute espèce. Quand il est rempli, les pêcheurs le tirent; et, après s'être assis sur le rivage, ils mettent dans des vases ce qui est bon, et ils jettent ce qui est mauvais."

Le mot "filet", c'est "net" en anglais, et un filet jeté sur le monde, c'est inter(national)net.

PAS UN HASARD, MAIS UNE PROPHÉTIE

Ainsi Dieu fait ce qu'il veut quand il veut, se servant des développements informatiques de communication de l'armée américaine pour accomplir cette prophétie des temps de la fin (des nations) que nous vivons.

On peut encore lire en relation avec cette parole du Christ et Maghiah (Messie) Jésus (Yeshoua en hébreu), celle dites aux premiers disciples qu'il appelle (Simon/Pierre et André) :
"Comme il passait le long de la mer de Galilée, il vit Simon et André, frère de Simon, qui jetaient un filet dans la mer; car ils étaient pêcheurs.
17 Jésus leur dit : Suivez-moi, et je vous ferai pêcheurs d'hommes. 18 Aussitôt, ils laissèrent leurs filets, et le suivirent." Matthieu 4 : 19

Quelque trois années plus tard, Jésus crucifié - pour obtenir de son Père céleste le pouvoir de pardonner nos fautes (péchés) est ressuscité ; il donne rendez-vous à ces premiers disciples au bord de la mer de Galilée (autrement appelé lac de Tibériade...).
On voit d’une boucle est bouclée par Pierre qui, dans l’attente de Jésus, entraîne quatre disciples sur le lac pour une pêche nocturne… d’où ils reviennent au matin bredouille.


Mais Jésus est sur la rive qui a allumé un « barbecue » et leur dit : « Enfants, n'avez-vous rien à manger ? Ils lui répondirent : Non. Il leur dit : Jetez le filet du côté droit de la barque, et vous trouverez. Ils le jetèrent donc, et ils ne pouvaient plus le retirer, à cause de la grande quantité de poissons. Alors le disciple que Jésus aimait (Jean) dit à Pierre : C'est le Seigneur ! Et Simon Pierre, dès qu'il eut entendu que c'était le Seigneur, mit son vêtement et sa ceinture, car il était nu, et se jeta dans la mer. Les autres disciples vinrent avec la barque, tirant le filet plein de poissons, car ils n'étaient éloignés de terre que d'environ deux cents coudées.
Lorsqu'ils furent descendus à terre, ils virent là des charbons allumés, du poisson dessus, et du pain. Jésus leur dit : Apportez des poissons que vous venez de prendre. Simon Pierre monta dans la barque, et tira à terre le filet plein de cent cinquante-trois gros (grands) poissons; et quoiqu'il y en eût tant, le filet ne se rompit point. Jésus leur dit : Venez, mangez. Et aucun des disciples n'osait lui demander : Qui es-tu ? sachant que c'était le Seigneur. Jésus s'approcha, prit le pain, et leur en donna; il fit de même du poisson. C'était déjà la troisième fois que Jésus se montrait à ses disciples depuis qu'il était ressuscité des morts. » Jean ch. 21

On dit généralement que ces 153 poissons symbolisent ou préfigurent les 153 plus grandes nations qui vont suite à la venue de Jésus naître (spirituellement et socialement) du message évangélique porté à travers le monde entier dès lors que l’effondrement programmé de l’Empire Romain arriva.

AVEC JESUS NON UNE RELIGION, MAIS UNE HUMANITE NOUVELLE VIENT AU MONDE

 

Maintenant que la pêche des âmes a été illustrée et comprise, Jésus prend Pierre à part et lui parle non plus de poisson, mais de brebis ; du troupeau qui va se former (l’Église véritable) par le retour de l‘Esprit-Saint sur terre, Jésus en étant le souverain Berger (voir Psaume 23).


Quand celui-ci dit à Pierre « Pais mes brebis », il lui dit en image qu’il va falloir prendre soin et nourrir ses âmes pêchées, sorties de la mer inique de ce monde pour devenir des « nouvelles créatures » dans le Royaume éternel de Dieu. (2Corinthiens 5.17)

Malheur aux bergers, pasteurs et autres religieux anciens qui se nourrissent des sauvés comme on mange les poissons ! Ils ont à comprendre que ce sont des brebis (dont plus d’une caractéristique correspondent à nos mentalités égocentrées, têtues, obtuses, dépouillées des passions injustes et problématiques de la vie d’avant)…


 

ET MAINTENANT...

 

Nous voilà dans la phase finale de la pêche miraculeuse des âmes pour un salut éternel, notamment désormais par ce filet jeté sur le monde qu’est la toile ou internet… avec l’Evangilequi y est proclamé dans toutes les langues, sous tous les cieux, jusqu’à travers les portables et réseaux sociaux…

Ainsi s’accomplit la dernière instruction du Maître et Roi avéré Jésus : «Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, 20 et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous(par l’Esprit-Saint qu’il a envoyé du Ciel) tous les jours, jusqu'à la fin du monde. » Matthieu 18.19,20. 

 

On est à la fin du monde... commencé par Jésus après sa résurrection selon que sa crucifixion fut l’équivalent de l’endormissement d’Adam quand Dieu l’opéra pour en faire sortir la femme : son côté percé par le centenier romain fut exactement la réalité et l’image qui ouvraient la voie à une humanité toute nouvelle, l’épouse de ce dernier Adam (comme Jésus est appelé dans le Nouveau Testament) étant ce corps spirituel intemporel qu’on appelle l’Église, humanité nouvelle, spiritualisée par la foi en ce sacrifice rédempteur parfait que fut la mort volontaire délibérée (substitutive, expiatoire et propitiatoire) de Jésus pour nous sauver… (voir article sur la « nouvelle naissance » ou « naissance spirituelle » opérée par l’Esprit-divin.
 

PRINCIPE (SURNATUREL) DE CORRESPONDANCE


Pour prendre une image de la nature, nous naissons physiquement en tant que foertus comme une chenille naît d’abord comme larve, puis nous changeons de mode respiratoire en entrant dans ce monde de la même faàon qu la larve devient une chenille.
Mais le processus conçu et voulu par Dieu ne s’arrête pas à ce stade pour nous, pas plus que la chenille n’est destinée à être que chenille. Et dans notre cas, comme la chenille doit subir un changement fondamental - tout en restant le même insecte -, nous sommes prédesinés à devenir des êtres non plus charnels seulement (à brouter des « feuilles de choux ») mais conduit par vivre bien plus large par l’ esprit divin venant en nous, devenant dès lors une chrysalide pendant le reste de temps à vivre ur cette terre, et un jour nous envoler comme un papiilon pour le Royaume céleste de Dieu… pour des aventures « sans fin », qui ne s’arrêtent certainement ni à ce monde et univers temporels connus)...Alors vive Internet, qui permet une circulation inoïe du message de salut engendrant après des poissons des brebis et après des brebis des papillons éternels…

Bien sûr Satan va chercher et cherche déjà à soumettre cet outil à ses volontés et à une caste planétaire oligarchique qui monopoise les richesses terrestres, à qui il fait croire qu’ils seront les maîtres du monde... et ils le croient – c’est leur foi !….
Le vrai complot qui sévit et s’intensifie sur notre univers humain est celui-là.
A moins que vous fassiez partie des quelques centaines de personnes et familles en mesure de recevoir un contrôle global des populations, vous allez faire partie du sous-peuple qui dépendra de « la manne » que donnera – ou pas -, selon votre soumission et parfaite obéissance – le système planétaire de la « bête » politico-économique… que les livres bibliques les plus prophétiques annoncent depuis longtemps… (Les servants nantis du système de cette bête, ou de l’autre – car il y en aura deux marchant la main dans la main – seront à leur tour dépouillés par ces mortels dont l’âme descendra dans l’hadès, le séjours des morts sans Christ) Apocalypse chap. 13 et bien d’autres passages qui prennent corps sous nos yeux... quand ils sont ouverts…

.
Bon choix de foi.

>> ici une aide pour prier en se remettant au Dieu Créateur pour maintenant et son éternité <<

>> sur la "bouvelle naissance <<

>> sur la mort : En fait il en existe 5 types <<

Partager cet article
Repost0
23 décembre 2022 5 23 /12 /décembre /2022 21:25

ON CROIT TOUS TOUJOURS QUELQUE CHOSE

'ai cru un prof de philo marxiste-léniniste ; j'ai cru au non-sens des choses et qu'il n'y a pas de mal à se faire plaisir de quelque manière que ce soit ; j'ai cru qu'on pouvait vivre insouciant en prenant la vie par tous les bouts qui nous viennent ; j'ai cru que mes réussites dureraient et que je n'avais pas à me soucier de mon sort éternel...

J'ai cru beaucoup de choses à faux, sans lumière ou seulement avec les lumières trompeuses, blafardes ou séduisantes des philosophies des deux derniers siècles ; j'ai cru que je pouvais faire n'importe quoi avec le coeur ou la vie des autres... J'ai cru que les croyants étaient des faibles - puisqu'on me l'avait dit !
Et j'ai fini à 30 ans projeté dans un ravin bras droit quasiment sectionné... (lire éventuellement ce témoignage surnaturel en cliquant sur Accueil).

DE l'ALEATOIRE AU SENS

A partir de là le sens a pu venir, comme une réalité vivante, révolutionnaire, capable de faire quelque chose pour moi, sous forme d'une révélation, aussi surprenante qu'inattendue : Dieu !
D'un coup j'ai SU que Dieu existe...
Le vrai, pour de vrai, Celui qui fait entrer du vrai et bon surnaturel dans notre existence.

Comme on dit aujourd'hui, j'ai alors changé d'un coup et progressivement de paradigme. De fait, quand on part du point de vue que Dieu est une réalité effective, tangible, qui nous connaît et qui est connaissable (en tout cas suffisamment pour vivre des expériences avec lui), notre regard sur tout change, nos relations aux choses et aux personnes, allant de découverte en découverte, d'interrogation en réponse, d'un schéma de pensée pauvre, étriqué, uniquement matériel à une profondeur dans la connaissance qui n'a rien à voir avec avant.

Bref, si vous n'êtes jusque là qu'un citoyen moyen bien laïcisé par des années de formatage culturel prégnant - comme j'ai été (trop) longtemps, sachez que Dieu existe.

Il est d'abord pour nous le créateur de l'univers - ce que bien évidemment des hasards successives et des nécessités chronologiques auraient été bien incapables de faire...
Et puis il est le Dieu rédempteur, qui vient réparer en nous, pour nous et pour d'autres de notre entourage, ce que le mal produit.

Car le mal existe bel et bien en tant que source de difficultés, de souffrances, de peur, de ruptures, maladies, accidents...

Le mal existe en tant que force à l'intérieur de nous, dans notre âme, qui nous fait mal agir où on aurait pu faire autrement ; Qui nous fait mal penser, parce qu'on ne sait pas réfléchir correctement - à cause de notre manque de données, notamment dans la connaissance du bien et du mal.
Tant qu'on n'a pas la connaissance et la conviction que mentir est mal, on va mentir sans difficulté, et si un jour on veut arrêter, on va s'apercevoir que c'est aussi difficile que d'arrêter de fumer, de s'alcooliser, de se droguer.

Idem avec le vol - les petites rapines genre QUi vole un oeuf vole un boeuf - ; mal que de faire un faux-témoignage, que de ne pas se soucier de Dieu et de ce qui est mal selon lui - qui sait tout.

Mal que de convoiter les biens des autres, où la femme ou le mari de quelqu'un, car cela ne nous laisse pas en paix, nous pousse dans des actions à conséquences pouvant être graves (crédits intempestifs, jeu de hasard, consultation de voyant(e), aliénation à un horoscope, adultère, enfantement problématique et tant de bébés avortés alors qu'ils ne sont encore vivants que sous forme de foetus (vulnérable et sans autre défense que l'amour de leurs parents).

Le mal est une pieuvre multiforme, insidieux, subtil au point de sembler ne pas être, ou au contraire d'une violence extrême, inhumaine.

Inhumaine car le mal que nous faisons, disons ou pensons, en vient un jour ou l'autre à être vu par des esprits maléfiques, des anges tombés dans le mal eux-mêmes et devenus depuis des démons, ces entités spirituelles mauvaises dont on peut apercevoir si souvent - de plus en plus souvent, les effets dans les actualités planétaires ou dans notre quotidien.

LA SOLUTION
La solution divine n'est pas que nous fassions du bien pour contre-balencer ce qu'on (a) fait de mal. Ça c'est de la religion et ça ne marche pas aux yeux de Dieu pour nous disculper de nos fautes.

La solution de Dieu se trouve dans une rencontre entre ce qu'il a fait pour traiter cette question émneuse du mal, et nous, tout personnellement, qu'il appelle à croire en lui, à croire en sa solution comme celle qui va véritablment ibérer notre vie, nos pensées, notre intelligence prise en otage par le mal, les mauvaises habitudes, les addictions et donc possiblement une emprise diabolique qui nous tient captif et dans une souffrance croissante.

La solution de Dieu est celle-ci :
"Lorsque nous étions encore sans force (même pas nés), Christ, au temps marqué, est mort pour des impies (pour ceux qui viendraient eet croiraient).
A peine mourrait-on pour un juste; quelqu'un peut-être mourrait-il pour un homme de bien. 8 Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs (des créatures dominés par le mal), Christ est mort pour nous." Lettre biblique aux Romains chap 5

"Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. 20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! 21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu." 2e lettre biblique aux Corinthiens cha. 5.

Ainsi, alors que nous sommes tous des injustes, des méchants ou des pervers, corrompus sur un point ou un autre, nous avons à réaliser qu'il a fallu que Jésus donne sa vie pour que nous puissions être rendus justes aux yaux de Dieu, jusqu'à pouvoir entrer dans une relation bénie, consciente, régénérante, avec lui.

"Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de paroles de Christ ou relatives à Christ." Romains ch. 10

Et Ces paroles nous disent pour nous sortir de la domination du mal : "Si nous disons que nous n'avons pas de péché (que nous n'avons pas fait de mal), nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est point en nous. 9 Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. 10 Si nous disons que nous n'avons pas péché, nous le faisons menteur, et sa parole n'est point en nous." 1ère lettre de Jean ch. 1.

Pour recevoir les paroles qui disent la vérité ou des vérités importantes, il nous faut être purifier de nos fautes, qu'elles ne soient plus un poids pour notre âme et/ou sur ou dans notre corps, et cela n'est possible qu'en passant par les deux conditions qui sont comme les battants de la porte qui nous sépre de Dieu :

1 - Jésus est mort pour nous, donc pour vous !

2 - Dieu pardonne aux fauteurs que nous sommes si nous lui disons nos fautes, si nous les regrettons, et si nous voulons désormais y renoncer.

Dans ces conditions, tout devient possible dans la connaissance de Dieu, pour une relation qui s'établit entre lui et nous et nous et lui.

Êtant parvenu-e à ce point, vous pouvez mieux formaliser ce qui se passe dans votre coeur en vous mettant à parler à Dieu, en vous aidant éventuellement >> ici par du contenu de cette page sur les prières efficaces <<

Et remercions Dieu de se pencher ainsi sur nous, de nous libérer et accorder une place avec lui dans son royaume éternel qui prendra un jour prochain et certain la forme d'un autre univers que celui-ci, avec une nouvelle terre et un nouveau ciel, et bien sûr avec tous ceux qui auront cru de la sorte.

Voici  encore comment dire cette saine doctrine biblique, christique, par la foi en quoi notre vie commence à être changée et le restera à jamais :

"Si par l'offense d'un seul il en est beaucoup qui sont morts, à plus forte raison la grâce de Dieu et le don de la grâce venant d'un seul homme, Jésus-Christ, ont-ils été abondamment répandus sur beaucoup. 16 Et il n'en est pas du don comme de ce qui est arrivé par un seul qui a péché; car c'est après une seule offense que le jugement est devenu condamnation, tandis que le don gratuit devient justification après plusieurs offenses. 17 Si par l'offense d'un seul la mort a régné par lui seul, à plus forte raison ceux qui reçoivent l'abondance de la grâce et du don de la justice régneront-ils dans la vie par Jésus-Christ lui seul.
18 Ainsi donc, comme par une seule offense la condamnation a atteint tous les hommes, de même par un seul acte de justice la justification qui donne la vie s'étend à tous les hommes.
19 Car, comme par la désobéissance d'un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l'obéissance d'un seul beaucoup seront rendus justes. 20 Or, la loi est intervenue pour que l'offense abondât, mais là où le péché a abondé, la grâce a surabondé, 21 afin que, comme le péché a régné par la mort, ainsi la grâce régnât par la justice pour la vie éternelle, par Jésus-Christ notre Seigneur." Romains ch. 5

A partir de Noël vu comme le souvenir de la venue surnaturelle de Jésus le Sauveur parmi le genre humain, on peut prendre le chemin qui met en relation effective avec Dieu, en croyant ce qu'il est venu faire et dire.
"
Thomas dit à Jésus : Seigneur, nous ne savons où tu vas; comment pouvons-nous en savoir le chemin ? 6 Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. 7 Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant vous le connaissez, et vous l'avez vu.

8 Philippe lui dit : Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit. 9 Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m'as pas connu, Philippe ! Celui qui m'a vu a vu le Père; comment dis-tu : Montre-nous le Père ? 10 Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi ? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même; et le Père qui demeure en moi, c'est lui qui fait les oeuvres. 11 Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi; croyez du moins à cause de ces oeuvres.
12 En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais au Père; 13 et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. 14 Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai." Evangile selon Jean chap. 14.

"Que votre coeur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi. 2 Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place. 3 Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi." idem

A partir de là la balle est dans le camp du lecteur, de vous lectrice...
 

>> Pour s'en remettre à Dieu en priant, ici une aide <<

Si vous voulez découvrir d'une manière originale et juste, les points-clés de la venue de Jésus, vous pouvez aussi lire la nouvelle que j'ai écrite de cette Bonne Nouvelle >> ici la vraie histoire et le pour quoi de la venue de Jésus <<

Pour vous procurer le petit livre sur Noël > ici "Noël, Noël, Merry Christmas" <<)

Partager cet article
Repost0
24 mai 2016 2 24 /05 /mai /2016 09:03

Cet article déjà publié le 10 avril 2016 est ici remonté du fait de l'ajout que je viens d'y faire (après le chant pour qui l'a déjà lu)...


Tout s'était déclenché à l'automne 2011. Avec quelques amis on avait entrepris de couper du bois pour chauffer la maison d'accueil de notre association. Travail intense, concentré sur 3 jours (peut-être à la Toussaint), avec des efforts physiques tout à fait inhabituels.

Le dernier jour vers 16h30-17h, après un petit arrêt ravitaillement, je n'ai vraiment pas envie de m'y remettre. En position de "leader" du groupe, je propose à tous de s'arrêter. Mais tous sont plus jeunes que moi et se sentent capables de continuer jusqu'à la nuit. Pour ne pas être en reste, malgré les courbatures, je continue de concert jusqu'à ce que la nuit nous arrête.
Défaut de sagesse !? Certainement...

La nuit je ne récupère pas. Les douleurs musculaires ne disparaissent pas. J'ai très mal au dos. En quelques jours c'est un cumul de douleurs, qu'on appelle de divers noms (lombalgie, sciatique, arthrite ou arthrose, rhumatisme...) dans le dos, les cuisses, les bras jusqu'aux épaules... de plus en plus partout. Je lutte dans la prière mais ça persiste à ne plus pouvoir dormir de la nuit.

Si c'est grave et si je dois être guéri, c'est à Dieu D'ABORD que je m'attends. Sous la pression je prends et finis les comprimés antalgiques trouvés dans la pharmacie de la maison, sources d'accalmies qui sont une vraie bénédiction. Mais le soulagement est de plus en plus bref à inexistant.
Les jours passent sans amélioration. Je tiens encore un peu mais j'ai vraiment mal partout, à se tordre. Trop devient trop !

Je ne comprends pas/plus Dieu ! Moi égaré à qui il s'est révélé, qui a fait de moi son enfant en me donnant sa vie, par moitié quand Jésus a donné la sienne, et l'autre moitié quand il m'a donné son Esprit. Je discute avec mon Dieu, et je comprends qu'il ne me guérira pas - cette fois-ci. (Globalement il ne vient pas a priori en concurrence avec les médecins dans leurs capacités à soigner. Mais quand ils sont démunis ça peut devenir autre chose...).
De nouveaux comprimés, paracétamol à dose maxi, prescrits par le médecin et pris à heures régulières me soulagent encore un peu... mais rapidement de moins en moins.

AGGRAVATION !
Pire, voilà que la nuit mes jambes se mettent à bouger toutes seules, intenables, des mouvements irrépressibles, qui me poussent à me lever, et à marcher, alors que l'heure est à dormir ! Parce qu'on sent que c'est finalement la seule solution qui soulage. Et on marche, on marche, jusqu'à la fatigue du sommeil. Si je me recouche trop tôt, il faut bientôt se relever...

Les douleurs encore je supportais sans perdre trop de force, mais là c'est épuisant. Je regarde sur le net où il y a des sites et forum, avec des sportifs, plutôt jeunes donc, qui témoignent de ce mal qui dure chez certains depuis des années (juste stabilisé par cortisone ou je ne sais quel médicament fort que j'abhorre, mais sans guérison).
Je lis des avis, j'entends des conseils de toutes sortes, sur la position à adopter, sur les aliments...
Le médecin chez qui je retourne avec ce nouveau problème regarde lui dans le Vidal. Il a entendu parler de ce phénomène de jambes impatientes, mais je suis son premier cas. Il diagnostique une attaque de la myéline (la gaine qui entoure les nerfs comme la gaine de plastique qui isole les fils électriques). Et pour les jambes dite aussi sans repos, il trouve in-extrémis qu'il y a un traitement spécifique, le seul, un médicament américain. Normalement en quelques prises selon un protocole le mal est défait.
Mais ça ne marche déjà plus le 2e ou 3e jour. Je ne dors pas de la nuit, marchant des heures, parlant à Dieu ou criant à lui pour comprendre ce qui se passe, argumentant : - Seigneur, je suis ton enfant depuis maintenant 30 ans ! je t'ai tout donné, je suis À TOI ! Pourquoi tu permets ça ? Pourquoi tu me laisses dans cette douleur, POURQUOI ???
Parfois je n'ose même plus regarder à lui, je ne veux plus rien demander. Il sait ! L'abandon soulage la tension et donc l'intensité des douleurs. Je dors le plus souvent dans la journée, sous l'effet de l'épuisement. Les jours passent et les douleurs ressemblent moins à du rhumatisme, devenant de plus en plus comme électriques. C'est au point où des frottements de tissus deviennent désagréables à très irritants. Je me sens à vif par endroit. Je deviens hyper-sensible aux ondes des appareils, aux lumières que je discerne différentes : des écrans, tv ou ordinateur, néon, ampoules...

Je me dis que je dois me débrouiller, et en même temps il apparaît évident que j'aurais du m'arrêter plus tôt dans la coupe du bois.. A diverses écoutes, je crois comprendre que j'ai des choses à changer dans ma marche (les jambes, ça parle de marche, c'est-à-dire de ce qu'on fait dans nos journées), sur quoi, sans être arrêter, je n'aurais pas fait attention !?
Je comprends accessoirement que le demi-litre de lait que je bois tous les matins, même demi-écrémé, doit être coupé d'eau ! Bon ! Pourquoi pas ! Deux-trois petites choses comme ça semblent à ajuster.
On me dit que cette fatigue vient de ce que j'ai pris chez moi ma mère dans sa dernière année de vie parmi nous, de plus en plus largement désorientée, presque aveugle, assistée d'un va-et-vient d'auxiliaires de vie, finalement passée en hospitalisation à domicile... Mais mon épouse a sans doute été plus encore que moi, soumise à cette présence et à ses besoins, et elle n'est pas dans mon état !?...

DU COMPRÉHENSIBLE ET DE L'INEXPLICABLE
Cherchant du sens dans la transversalité (symbolique et autres correspondances), mes jambes qui veulent marcher la nuit sont l'image de ce que je marcherais, sur le plan psychique - ou spirituel ! - dans la nuit, sans éclairage, càd malencontreusement !
Comment pourrais-je marcher dans l'obscurité (que figure la nuit alors que je suis dans la Bible du matin au soir, avec étude jusqu'à l'hébreu et au grec, rédaction de synthèses... J'anime un groupe de maison que je porte dans la prière, pour qui je prépare les réunions...Je suis aussi investis dans une oeuvre sociale (friperie sociale, lieu d'écoute...). Que dois-je comprendre ?
Je comprends encore qu'aller marcher - la journée ! -, simplement me promener, devrait me faire du bien. A mes yeux, c'est une perte de temps ! J'ai tellement mieux à faire pour comprendre les rouages, les tenants et aboutissants du monde, à parler aux autres !...
Mais c'est vrai qu'on a un corps qui a ses propres besoins, et entre la voiture, le bureau et les repas, je réalise que je suis quasiment tout le temps assis ! Que je ne marche quasiment plus !... Alors je sors parce que ça m’apparaît juste. Ça me fait du bien, parce qu'il y a des semaines que je n'ai pas mis le nez dehors. C'est vrai que ce Créateur nous a faits avec des jambes et non avec des roues !

La pression douloureuse diminue, mais c'est comme trop tard semble-t-il ! Je suis déjà bien faible et faire rien qu'un kilomètre... Demain j'en ferai un peu plus... Mais non, je ne peux qu'en faire de moins en moins et je renonce bientôt même à sortir, à bout de force, ralenti, ne pouvant plus que rester assis quand je ne suis pas pousser, la nuit, à marcher encore de long en large...

5 à 6 semaines se sont écoulées de ce calvaire et le mal, s'il désemplit plus ou moins, ne me laisse pas en repos, quand arrive le rendez-vous qu'avait pris le médecin traitant avec un neurologue.
Questions, branchements à un ordinateur et autre appareillage, auscultation, tests. Je le vois de plus en plus perplexe ! - Je ne comprends pas, lâche-t-il honnêtement ! Je ne trouve rien d'habituel. Il consulte des textes, reste silencieux... et faute de mieux, sans traitement autre, il me prend un rendez-vous pour passer un IRM.

Quand on en arrive là, je n'aime vraiment pas du tout. Je continue à demander Pourquoi ? Pourquoi ? Qu'est-ce qui se passe mon Dieu !? La foi en prend un coup, pas en qu'il n'y a pas de Dieu, mais sur ma compréhension de comment il agit (ou pas) avec nous - entre son amour et sa justice, sa sainteté qui le rend (parfois à souvent) intouchable, et encore sa volonté normalement bonne envers moi... Je ne vois pas de pécher dans ma vie, de travers qui justifierait ce qui serait alors un strict jugement !...

Cherchant toujours dans le direction d'une cause, oui j'écrivais aussi beaucoup, et il me semble - et ça je n'aime pas du tout non plus ! - qu'il faut peut-être arrêter d'écrire ! Ca c'est dur, ce qui signifie aussi qu'il y a un manque de liberté !... Ma femme me dit : Tu vois, ça fait longtemps que je te le dit ! Tu écris plein de choses pour rien !
Et là je vois bien que j'ai tort, et qu'écrire autant est un vrai problème - jusqu'à déjà "la crampe de l'écrivain" quand j'écris sur du papier. Certes je m'y fais plaisir, mais pourquoi ? Pour remplir un disque dur de fichiers, des pages de cahiers qui restent dans un placard ?!... Je me contrains là aussi.

Un soir alors que je viens de me coucher, je vis un curieux phénomène : je sens que mes jambes sont scannées ! C'est plus qu'un sentiment, j'ai toute la sensation, avec un grésillement audible et le même mouvement de numérisation du scanner, que je suis scanné, depuis le haut des cuisses, ça descend doucement et s'arrête aux genoux. Que s'est-il passé ? Il me semble que les douleurs s'estompent, si ce n'est que je m'y habitue...

A très peu d'intervalle, c'est un autre moment étrange, alors que je suis dans mon lit sur le dos. Tout à coup je sens comme un jet d'énergie qui sort de mon corps par le bas du dos ! C'est si dense qu'on dirait de l'eau qui coule. Comme dans l'expérience précédente, je n'ose pas bouger. Ça dure quoi ? Plus près de 30 secondes que de la minute me semble-t-il encore aujourd'hui. Que s'est-il passé ? Suis-je guéri ? Je me sens si lasse que je me suis alors endormi sans plus penser à rien. Les douleurs ont bien diminué quand je me réveille après apparemment une nuit complète passée sans avoir à sortir du lit !
Mais je n'ai pas la force de m'enthousiasmer même pour ça. Je me redresse difficilement et m'assieds sur le bord du lit avec énormément de peine ! Je suis d'une faiblesse qui est à la limite de m'angoisser ! "Sans jus", vidé ! - Si je dois mourir, Seigneur, prends-moi. Si ma vie n'a pas de sens, ne te plaît pas, prends-moi !...
Pour rejoindre la cuisine qui est à l'étage, je dois me tenir à la rampe et tirer - un peu - de mes bras aussi faibles que mes jambes. Elles me portent à peine. Je suis courbé comme un vieillard, bougeant au ralenti. Ma femme me regarde dépérir comme j'imagine la femme de Job le regardait pendant son épreuve. Je n'ai même pas trop pensé à Job en vérité, alors que c'était, vu de l'extérieur pour un chrétien, le premier rapprochement à faire ! Mais il est des moments où même ce qu'on sait n'a pas assez de force en face de ce qu'on vit.

C'est vrai que Dieu nous éprouve. Certainement pas par sadisme - même si le diable veut nous le croire ; pas inutilement non plus - ça c'est certain ; pas sans raison donc, en amont et en aval de l'épreuve ; pas par esprit vengeur contre quelques fautes, égarement, manque de lumière - bien que ces choses soient pour l'essentiel dans ce qui nous arrive ! Mais c'est sûr cependant que des jugements arrivent, pour nous arrêter ou nous (permettre de nous) corriger, ajuster.

Pendant les quelques jours suivants, moins d'une semaine je pense, je me traîne littéralement d'un endroit à l'autre, vidé de toute une énergie dont je ne connais pas exactement la nature (je parlerais aujourd'hui de vie ou vitalité physiologie). Je réalise que les muscles - qui sont relativement toujours là - ne sont certainement pas la partie la plus décisive de notre force de déplacement...

LA REPONSE... DÉTERMINANTE
J'ai encore des douleurs, mais ça va mieux, sauf que maintenant c'est cette faiblesse extrême, quand un soir encore avant de me coucher je demande, comme d'une voix sortant du plus profond : Seigneur ! Qu'est-ce que j'ai encore à comprendre ? Qu'est-ce qui reste à comprendre ? POURQUOI !?...
Et là D'UN COUP la réponse arrive : - Je ne t'ai pas demandé ça !
Et en même temps je sais de quoi Dieu me parle : de ce groupe de maison qui s'est formé autour de moi, avec quelques chrétiens que je me suis mis à porter, psychiquement (plus que spirituellement donc) avec des réunions, par des messages, des prières... tout un lot qui ajoute au reste un surcroît d'activité et de tension psychique.
Au début la constitution avait été manifestement un travail de Dieu, avec des temps forts, des conversions, des baptêmes,. Mais une rupture avec l'assemblée où nous allions jusque là, avait comme placé la responsabilité de ce groupe SUR MON DOS ! Et des années étaient passées comme ça, m'établissant dans une position de pasteur que Dieu ne m'avait ni donnée ni demandée !
Et effectivement depuis plusieurs mois, il devenait de plus en plus difficile de se retrouver, selon les horaires des uns et des autres. Ma femme avait cessé de venir aux réunions. On bagarrait pour maintenir le contact entre tous, car on aime pas arrêter les choses comme ça, et sans comprendre... Mais c'était plutôt une capitulation que Dieu attendait de nous. Et faute de suffisamment chercher dans cette direction, le problème psychique est descendu d'un cran, dans le physiologique, ce qu'on appelle somatisation. C'était comme avec la coupe de bois. J'avais bien senti qu'il fallait suspendre ce rassemblement, mais comme entraînés à la fois par une inertie et par des efforts pour ne céder à une dispersion, on s'était fortifiés les uns les autres pour tenir encore.
Et là, parce que j'entendais, je comprenais et j'acceptais, d'un coup j'étais guéri ! Les dernières douleurs étaient soufflées comme par un coup de vent, laissant place au bien-être qu'il y a à être dans la bonne disposition et position vis-à-vis de notre plan matériel et du plan de Dieu.
Très vite les forces sont revenues. Alors que j'avais été descendu au point de ne même pas avoir de force pour m'étirer, tout à coup je découvrais dans mes bras et tout le corps une tension des nerfs formidable (qui fait penser à des câbles d'acier), un simple étirement procurant désormais un bien certainement du corps, ressenti d'une manière inouïe dans mon âme !
Je me remis à sortir pour marcher. Quelle bénédiction rien que de marcher ! quand on a été amoindri de la sorte. Quiconque à eu un accident ou une maladie assez grave qui l'a isolé un temps de son environnement, éprouve un bien intense, un sentiment de fraîcheur et de liberté, et encore un enthousiasme tout neuf à la vue des choses les plus simples, inégalés. Et je compris que mon équilibre global dépendait aussi de mouvements nécessaires du corps, comme marcher.

J'étais sorti du carcan de ce fonctionnement qui s'était mis à tourner en boucle, par la lumière dont Dieu avait finalement éclairé ma âme. D'un coup le sommeil - la nuit - redevenait possible, mes jambes étaient apaisées.
Outre que je parcours désormais essentiellement la ville à pied, je fais maintenant aussi un peu de randonnée avec un club, ce qui crée de nouveaux contacts et de nouveaux échanges.

CONSTAT MÉDICAL
Du coup j'ai pensé annuler l'IRM dont le rendez-vous arrivait. Mais il me semblait qu'il ne fallait pas... Et donc me voilà enfourné comme un pain mis à cuire dans ce tube capable de nous voir, de nous lire - par tranches ! - à travers notre masse cellulaire. J'attends les résultats dans une salle quand un homme en blouse blanche arrive plutôt excité et, ne voyant que moi, me demande si je suis bien ce monsieur avec cette date de naissance dont il tient les clichés !? Voyant les résultats, il avait cru à une erreur dans la date (année) de naissance, me dit-il, mais là il est obligé de se rendre à l'évidence : C'est bien juste, c'est bien l'imagerie IRM d'un "retraité" : - C'est extraordinaire, c'est vraiment extraordinaire !... - Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ? - Vous avez la moëlle épinière d'un jeune homme ! Je n'ai jamais vu ça ! Une moëlle épinière de jeune homme. Et il m'explique que la moëlle épinière se dégrade dans le temps et qu'elle n'a perd progressivement cet aspect et cette qualité de jeunesse. J'ai été si surpris que, pris de cours - comme quoi on ne s'attend jamais assez à ce que Dieu peut faire pour nous -, je n'ai même pas parler de la guérison opérée quelques jours avant ! En tout cas, je peux aisément le dire ici : Gloire à Dieu, Gloire à Jésus, Gloire au Saint-Esprit, pour ce qu'il peut faire dans nos corps comme dans nos âmes, en son temps, de superbe manière.
Puisse ce témoignage être attesté en votre intérieur par l'Esprit de Dieu pour que vous désiriez entrer (toujours plus) dans les desseins que le Créateur des cieux de la Terre tient en réserve, potentiellement, pour chacun.
Soyez de la sorte béni-e.
Un chant correspondant (de Georg F. Handel, 1747 musicalement actualisé par le Groupe Exo, 2009)

DÉVELOPPEMENTS ET CORRESPONDANCES
A la suite quelque chose qui passait relativement inaperçu s'est mis à devenir de plus en plus sensible : un déréglement dans la température entre les genoux et le bout des orteils. C'est un frois croissant vers la fin du jour, dès lors que je n'ai pas assez marché pendant la journée. Comme un juge arbitre qui me rappelle cette nécessaire discipline en faveur d'un bon fonctionnement du corps, en l'occurence la circulation du sang.
Et puis tout aussi curieusement, la nuit c'est souvent une montée en température qui m'oblige à sortir les pieds de sous les couvertures. Ce serait bien narcissique de partager ce genre de désagrément si Dieu ne venait de m'éclairer sur le sens spirituel de tout cela. Cela à peu près trois ans et demi après le début de ce que j'ai décris là.
Un matin de fin mai je "vois" que ce qui m'est arrivé et m'arrive encore, peut être mis en parallèle avec... la statue de Nabucadnestsar ! Dont on trouve le récit au 2e chapitre du livre biblique de Daniel. (clic ici pour rejoindre le texte)
Il nous est parlé là d'empires qui se succédent sur la terre, que figure une statue dont la tête est d'or (l'empire babylonien) et dont les cuisses sont d'airain (ou bronze), les jambes de fer et les pieds d'un mélange de fer et d'argile.
Par ailleurs on apprend que l'empire de fer correspond à l'ancien Empire Romain. Et encore que cet empire qui a eu son temps doit revenir, dans le sens où la puissance spirituelle (le démon ou ange déchu puissant) qui mit la Rôme impériale en mouvement va pouvoir susciter une nouvelle organisation à la fin (POUR la fin) des temps des nations...
L'Histoire nous montre que cela a commencé via une idéologie mise au point par cette même entité spirituelle à la fin du XiXe siècle, qui trouva des hommes pour son application au début du XXe siècle avec notamment Lénine qui lança la révolution bolchévique contre la Russie tsariste, évoluant au fil des expériences dans sa quête de suprématie jusqu'à la formation politique et économique - forcée - de l'Europe...


L'airain ou bronze est symbole de la rédemption, le fer de la dureté des lois qui imposent aux peuples un totalitarisme qui aujourd'hui se veut, et peut être véritablement mondial.
Ainsi ce scan de mes cuisses constituait une revisitation de ma rédemption - de la compréhension que je m'en étais faite -, une réforme que Dieu allait faire en moi, sans que je soupçonne rien de ce travail phénoménal que Dieu en réalité opère en profondeur en nous.
Au plan historique, il s'était agi de la percée opérée par quelques philosophes grecs, dont le travail d'observation et réflexif de l'âme apportait par la pensée une certaine rédemption, le point d'ancrage d'un certain relévement de la condition humaine. Une percée majeure à l'époque, mais encore bien peu éclairée au fond, qui allait être revisité par Dieu amenant par Jésus l'expression et le moyen de la rédemption la plus véritable.

Mais si "la pensée grecque" avait sa vraie valeur, la rédemption venu par les juifs en la personne de Yeshoua - Dieu incarné pour sauver parfaitement des multiples formes du mal - lui était bien supérieure, étant une vraie transcendance - spirituelle là où les grecs n'avaient développé que des capacités psychiques. Et donc par principe, il ne devait pas être question dans la pensée de Dieu que la pensée grecque vienne reprendre le dessus sur la connaissance et la foi suscitée par la bonne Nouvelle de la mort rédemptrice du Mashiah et Christ Jésus.
Quand l'Église par ses dirigeants s'enlise au fil des siècles, Dieu suscite le moine Luther pour remettre sur les rails de la justice et vérité, rappelant que la foi qui met en relation (spirituelle) avec Dieu doit PRÉCÉDER des oeuvres, et non les ouvres être la condition du salut de l'âme. Cette réformation enflamma l'Europe - et bien au delà - mais le Malin trouva en des hommes orgueilleux, intelligents par l'âme mais inintelligents dans la dimension de l'esprit - à partir des Voltaire et autre Diderot - le moyen de ramener par la réflexion et autres sentiments méprisants et haineux, une suprématie par les capacités humaines, psychqiues, une libération qui n'est qu'une rédemption de la chair vis-à-vis de la rédemption christique (de la personne dans ces trois composantes) qui s'est perdue et se perd à nouveau en religiosité, en organisations qui supplantent l'Esprit même de Dieu et la vie de l'esprit dans et par l'Église. D'où arrive, en jugement et du christianisme et du retour à la réflexion à la grecque, l'entrée en jeu de cette puissance initiatrice de Rôme qui imagine un évangile à sa façon, prometteur de lendemains qui chantent, promoteur pour le présent de bains de sang, d'expropriations, de déportations, de dépersonnalisations...
La forme communiste initiée par ce démon des plus terrible en capacités et mauvaises oeuvres, correspond pour la seconde fois aux jambes de la statue, la suite - qui est déjà notre quotidien - étant illustrée depuis 27 siècles par le fer et l'argile dont il nous est dit que sont formés les pieds de cette architecte temporelle globale par laquelle Satan essaie depuis longtemps de s'assujettir le genre humain afin de dominer éternellement et en exclusivité sur lui.

Sur quoi ouvrit le scan de mes cuisses ? C'est ce que j'ajouterai un autre moment...

    

Les jambes
   

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
  • Contact

Recherche