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4 mai 2016 3 04 /05 /mai /2016 15:06
ACTU : J'ai participé à mon 1er CAFÉ-PHILO....


Parce que le thème m'avait attiré : CORPS ET ESPRIT.
Il faisait suite à un film (pas vu mais dont j'ai eu suffisamment d'écho) où un curé soudain se dévergonde et sans plus de limites se met à baiser tous azimuts parmi des gens qui font de même.


EXPOSÉ
Le maître de ce café-philo (qui se déroule dans une médiathèque), très favorable à "la libération de la chair", cite rapidement Saint-Paul pour appuyer sa thèse, montrant son peu de connaissance de cette source (confondant notamment confession et nouvelle naissance), tournant en dérision deux passages du Nouveau Testament (de la lettre aux Galates), au grand plaisir de beaucoup dans l'auditoire (petits gloussements maîtrisés).
Je passe sur Augustin qu'il a aussi été mentionné, mais sans rien ajouter d'intéressant, dans l'ignorance ou l'oubli de sa pourtant spectaculaire et interpellante conversion.

Il parle ensuite de "l'impératif catégorique" de Kant : "Agis de façon telle que tu traites l'humanité, aussi bien dans ta personne que dans toute autre, toujours en même temps comme fin, et jamais simplement comme moyen."
Il cite encore de Nietzsche une réflexion qu'il pense profonde par positive "Ce qui ne te tue pas te rends plus fort." En ayant l'honnêteté de dire que par ailleurs une jeune philosophe atteinte d'un mal qui la conduit lentement vers la mort (Carole??? ???) a pris à partir de son mal le contre-pied de cet aphorisme, dans un livre disant que son mal qui ne la tue pas la rend de jour en jour plus faible, et non plus forte.
Pour ma part je pense à la fin misérable de Nietzsche, généralement méconnue et pour moi conséquence directe de son fameux (affreux, pour lui d'abord) : "Dieu est mort" (qui bien sûr est glissé là mine de crayon). L'homme qui pensait mieux faire que Dieu un surhomme, a fini dans une aliénation croissante, qui lui a valu de passer les dix dernières années de son existence dans un établissement psychiatrique (on disait alors asile d'aliénés ou asile de fous), finissant muet "dans un état végétatif". Je le dirai partiellement plus tard dans le débat.

Descartes aussi est cité, avec ses animaux-mécaniques, dont il distingue quand même l'homme, capable de réfléchir et de faire des choix malgré et parmi des passions à maîtriser.
Enfin, en orateur complet notre mentor en vient aux dernières avancées scientifiques qui disent, par l'opposition qu'on peut faire en informatique de ce qui est Hardware (système dur d'exploitation) et Software (logiciels), que nous sommes bien ainsi fait d'un corps - dur - et d'un esprit, celui-ci nous renvoyant à la vue de Platon quant au monde des idées.

DEBAT
Pour l'heure on arrive au débat qui commence par quelques éloges sur la libération sexuelle, notamment des femmes intervenant. Bientôt je peux prendre la parole et veut cadrer le thème sur la notion de notre identité, de Qu'est-ce que l'homme en réalité ? Je dis qu'après des expériences spirituelles déterminantes, qui d'athée que j'étais ont fait de moi un croyant, j'ai étudié la Bible (qui a été citée) et revient sur la confusion qui a été exprimée, où la chair a été réduite au corps physique, l'esprit devenant indistinctement âme ou esprit.
Or "la chair" selon la Bible c'est nettement le corps ET l'âme (qui en est une émanation, terrestre donc) avec ses travers, ses dérèglements, ses déviances et ses problématiques (que l'orateur a cités en faisant rire le public - Galates 5.19-21). L'esprit étant par ailleurs la part que Dieu accorde à l'homme par exception avec les animaux.
Dès que je prononce le mot Dieu l'assistance se met à bouger et presque en effervescence puisque plusieurs s'en vont ! Le maître de cérémonie me dit qu'on n'est pas là pour parler religion et me coupe la parole.
Après quelques échanges d'auditeurs bien dans la ligne qui doit être tenue, un jeune enhardi par mon intervention parle dans le même sens que moi, revient à la Bible, et le débat s'approfondit un peu, en tout cas devient un débat.

Mais comme ça brasse de droite et de gauche dans la chaloupe, certains brandissant la bannière - ou le joker - de la laïcité pour qu'on s'en tienne à ce qui les intéresse (l'affirmation que la liberté de disposer de son sexe comme, quand et avec qui on veut est une vraie libération). L'orateur rappelle quand même que la laïcité c'est l'acceptation de l'expression de toutes les religions, quelqu'un disant qu'on n'est pas sous un régime athée.
Un voisin de chaise veut me tenir dans les cordes en disant que ce que je dis n'est qu'une opinion personnelle. Je l'invite à méditer sur l'affaire DSK qui montre comment par une sexualité débridée on peut arriver à une addiction terrible et non à la liberté.
Notre philosophe est amené à revenir sur un aspect intéressant du film - intéressant car il est toujours heureusement possible de trouver une bonne chose... même dans un malheur. Il s'agit que les pratiques sexuelles (la chair dans sa dimension physique) ne collent pas avec l'amour (sentiment non étranger à l'esprit) qu'une des protagonistes éprouvait pour quelqu'un qui avait un autre centre d'intérêt qu'elle.
Et ça c'est primordial ! Je lève le doigt pour demander encore la parole, désireux de dire qu'en grec - puisque lui aussi l'indique à propos de certains mots - on a 3 mots différents pour parler de l'amour : l'amour-éros au plan du corps ; l'amour-filéo au plan d'affections particulières (amour filial, amitié) ; et l'amour-agapé qui est l'amour divin, qui ne fait acception de personne... Cette clarification peut être utile pour distinguer dans quelle confusion on peut se trouver faute de connaissance et de réflexion sur les évolutions de mœurs. Mais le président de séance ne cherche pas spécialement à me voir ou m'entendre encore, et je renonce... sans le moindre mauvais sentiment envers lui.

Ma femme intervient aussi, approuvant ou appuyant qu'on peut quand même dans un tel débat et plus généralement dans notre pays apporter une parole de croyant. J'arrive à préciser que je distingue très nettement la spiritualité de la religion - qui pour moi peut puer - et qu'il ne faut pas que nous jetions le bébé avec l'eau (sale) du bain.
Ma femme cite à qui l'entend une de mes anciennes trouvailles qui plaît à quelques-uns et en défrise d'autres : "A l'origine de toutes nos maladies il y a une crise de foi." Et elle lance, je trouve un peu lourde dans son insistance, une interrogation immédiatement suivie de sa réponse :
- Est-ce que vous croyez au hasard ?...
"Le hasard, c'est la signature de Dieu quand Il veut rester incognito."
(Je lui reprocherai pendant le retour de n'avoir pas dit que c'était de Einstein, ce qui aurait (peut-être) donné plus de poids à cette parole).
Un échange s'amorça aussi dans mon dos où un homme me reprocha mes affirmations, comme si je savais ! Je lui ai répondu que c'est parce qu'ON PEUT SAVOIR, concernant la réalité de Dieu comme de toutes autres choses, et je l'invitai à chercher, à chercher par lui-même.
Plus en arrière voilà qu'on arrive au doute, au temps que manière intelligente bien développée par Descartes pour aborder le monde.
Quand je peux dire un mot, forçant un peu le passage, je dis qu'il serait bon de lire soi-même son Discours de la méthode où il précise à plusieurs reprises que Dieu doit être exclu de cette méthode ne faisant pas partie des réalités créées.
On me dit - Bien sûr, il avait peur des religieux - ce que je n'ai jamais envisagé - mais qui fait alors de lui un hypocrite, donc comment croire par ailleurs un hypocrite ?

Notre maître d’œuvre justifie encore l'homosexualité par la Grèce antique où c'était pratique courante, "à cause du culte du corps". Il oublie de dire que c'est parmi une faible minorité de la population, de la classe aisée, que cette pratique avait cours.
Et quand il dit encore que l'inceste aussi alors était pratiqué, l'auditoire manifeste que bien sûr cela n'est pas acceptable aujourd'hui parmi nous ! Il y a donc malgré tout des limites à nos pratiques sexuées : aujourd'hui l'inceste, la pédophilie, la prostitution et viol. Et demain ?...
On n'ira bien sûr pas jusqu'à se demander s'il y aurait une bonne frontière en la matière, restrictive peut-être mais utile et fiable car protectrice des individus crées que nous sommes, pour nous garder... libre justement, pour ne pas faire (peut-être trop souvent) une concurrence déloyale à l'amour. (Et là il faudrait entrer dans la question : Garder de quoi !? ce qui est, pour le même sujet, une autre rubrique - importante).
Bref, c'est devenu un vrai débat, une amorce, qui a fini sur une question sans réponse, quand une personne a dit quelque chose comme Mais comment faire pour qu'on puisse s'entendre sur les mêmes choses ?

SYNTHÈSE - la mienne bien sûr ! -
Le débat eut ce déséquilibre significatif que des personnes fuient quand ils entendent invoquer le mot ou nom de Dieu !
Pourquoi ? Voilà bien une des questions essentielles à se poser par qui désirerait un vraie culture... de soi, se demandant pourquoi il y a des choses comme ça qui pourraient presque nous faire péter les plombs ?...
Quand un moment je prononce le nom de Jésus, le maître de céans dit d'un ton goguenard : Qui c'est celui-là !? Pas moins ! On ne l'a pas laissé entrer dans la liste officielle des philosophes ! Aristippe et son école hédoniste des cyrénaïques est plus cool à connaître et à écouter.
Mais la philosophie ne rend pas forcément tolérant : en creusant un peu on découvre que Voltaire - chantre vénéré de la tolérance - était un hypocrite, jaloux des riches, méprisant envers les pauvres comme envers les religieux, antisémite... Et le fruit de son élaboration douteuse est toujours là, dès lors qu'on ose apporter dans l'échange quelques "impératifs kantiens" (vérités bibliques ou réflexions mûries) qui ne collent pas avec la doxa du moment, qui ne peuvent donc être que vues rétrogrades - puisque si près de cette notion de religion qu'au fond on exècre.
Par contre pour ma part, si étroit suis-je, tout en prenant position face à telle réalité ou pratique que je considère comme mal - parce que cause d'effets néfastes au plan de la personne ou d'une communauté -, je ne vais pas jeter la pierre aux personnes. Ce que les chantres ou défenseurs de la tolérance laïque n'ont pas autant de liberté de ne pas faire. Or pour moi séparer un comportement ou une parole qui nous confronte, de la personne elle-même, que je continue de respecter en tant que telle, me semble important - sujet qu'il pourrait être intéressant d'être vu et abordé, si la philosophe a une quelconque place dans la construction de l'être.

Ici encore on n'a donc fait que du surf sur une grosse vague, qui ne peut être dangereuse, voyons !, puisqu'elle est si ronde et belle au toucher ! Qui a aperçu que c'est un courant marin souterrain, dont la tête est partout et nulle part, qui pousse pour faire bouger ce genre de frontières ?! Pour se libérer d'un "tabou", sans savoir qui en fait met tant d'ardeurs dans l'invisible pour des brassages dont on sait, ou devrait savoir, qu'ils ont un but impérialiste et sont néfastes pour la paix sociale (d'où avancée "totalitarienne") et intérieure (d'où succès des confesseurs laïques, les psy). Et cela jusqu'à vouloir inculquer dans l'âme-éponge des petits-enfants que le rouge peut aussi être appelé bleu si on en a envie, ou même qu'on peut se faire couper le zizi sexuel pour y mettre un trou à la place si on veut essayer !? Bref un truc pas plus compliqué que de changer sa couleur de peau !
Et demain donc ?...

A la fin, un jeune sympa vient s'excuser de m'avoir pris malencontreusement à partie (ce que, dans le brouhaha, je n'avais pas particulièrement remarqué), disant que ce qu'il m'avait alors reproché, il l'avait fait de même envers moi. J'ai apprécié son honnêteté et on a pu avoir un petit échange intéressant - à mon avis.
L'autre jeune que mon intervention a peut-être aidé à s'exprimer, vient aussi nous voir, et on va échanger longuement à la suite, lui aussi ayant expérimenté la grâce souveraine de Dieu dans son existence, ce qu'il vit actuellement dans un environnement qui ne le comprend pas (encore). Il a bien fait la distinction entre spiritualité et système religieux institué en gardien mortifère de traditions ou même de vérités...
A la suite je réalise combien en fait les gens ont peur de savoir, sont liés dans ce conditionnement sociétal que j'ai en toute inconscience subi jusqu'à 30 ans. Ce qui fait de nous des moutons de Panurge... tout autant qu'on nous l'a fait reprocher à ceux qui allaient à la messe tous les dimanches !

Au même moment je lis une phrase intéressante dans le livre C'est le moment de dire ce que j'ai vu, de Philippe de Villiers : "Les gens ne cherchent pas à savoir ce qu'ils pensent vraiment. Ils répètent ce qu'on dit qu'ils pensent."
Einstein déjà avait écrit "Rare est le nombre de ceux qui regardent avec leurs propres yeux et qui éprouvent avec leur propre sensibilité."
Otto Niebergall (homme politique allemand du XXe siècle) a aussi constaté : "Tous les hommes naissent en originaux, mais la plupart meurent en copie."

Heureusement, si des difficultés sans nombre arrivent à cause de nos méconnaissances et méfaits ou refus de voir (même les avertissements de notre propre conscience), et donc à cause de nos comportements correspondants (descente dans le corporel des vues et visées de l'âme), à l'inverse des pseudo-lumières qui font notre décadence, ceux qui ont l'amour de la vérité restent un bastion.
La vérité !? Un drôle de mot aujourd'hui !? Qui s'en soucie, depuis notamment que les philosophes - que j'appelle des philonouces - ont privilégié des pensées qu'ils ont crues propres, l'amitié de leur sagesse personnelle, au détriment de l'amitié et de la recherche des vérités en soi, de ce qui est intrinsèque, à la découverte desquelles le bonheur est attaché.
Einstein encore a dit "''Le souci de parvenir à la vérité doit primer sur toutes les autres considérations."
"Les faits ne cessent pas d'exister parce qu'on les ignore." Aldous Huxley (Le meilleur des mondes). Et certainement il vaut mieux rallier l'immuable - aux ouvertures infinies - qu'être pris dans les remous d'un Titanic qui coule.
Soyez béni-e.

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1 mai 2016 7 01 /05 /mai /2016 10:30

NOTRE MONDE EST FAIT DE DEUX COURANTS : un courant de vie, que figurent les naissances, et un courant de mort(s) que figure la mort physique (physiologique).

Dans la dimension spirituelle aussi, les deux courants existent. La règle est que l'enfant qui vient au monde grandit et va plus ou moins rapidement dépérir et mourir à cette dimension de la vie de Dieu en lui : parce que c'est "la loi du péché et de la mort" qui domine notre nature "ordinaire", basique.

Et puis il y a le courant contraire - moins courant ! - rendu possible par la mort de Jésus et la foi en lui pour le pardon de nos péchés, où de la mort on passe dans la vie. clic pour lecture biblique correspondante.

Ainsi entre une religion qui nous laisse mort spirituellement, et la venue de Jésus qui communique sa vie à quiconque croit en lui, il y a une inversion de sens qui se traduit jusque dans l'écriture de la Bible, où le texte hébreu de l'Ancien Testament s'écrit de droite à gauche, alors que l'écriture en grec du Nouveau Testament se lit de gauche à droite.

NAISSANCE > MORT
MORT DE JÉSUS > VIE DE RÉSURRECTION.

ÊTES-VOUS DÉJÀ ENTRÉ-E DANS LE SENS DE VOTRE HISTOIRE ? Je veux dire dans la COMPRÉHENSION de ce qui se vit ici-bas, en rapport avec ce qui est ailleurs en-Haut ? - Façon de dire la transversalité des deux mondes (essentiellement matériel et essentiellement spirituel)
Tant qu'on n'en est pas là, on est englué dans l'absurde sartrien, tenu dans l'ignorance onfrayienne, dans le contre-sens.
J'en suis sorti et dans le (bon) sens, sûr qu'on respire et se déplace plus paisible !
Clic pour lecture conseillée

Soyez béni-e.

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27 avril 2016 3 27 /04 /avril /2016 16:33
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22 avril 2016 5 22 /04 /avril /2016 04:23

Ce partage a commencé ici - clic.

J'ai pu expérimenter deux situations similaires - à mon niveau. Je vous en rapporte une :
Je quitte un boulevard éclairé pour visiter une connaissance qui habite une ruelle perpendiculaire peu éclairée et en sens unique. J'avance donc à pied mon vélo à la main. Soudain apparaît, sortie de je ne sais où, la silhouette avec casquette de deux gars qui marchent vers moi et comme moi au beau milieu de la rue !
En les découvrant je ralentis le pas et passe de la paix à une véritablement panique intérieure : Je n'ai plus 20 ou même 40 ans, et eux sont jeunes et plus grands que moi. Les pensées vont très vite : Retourner en courant vers le boulevard ! Il est déjà loin et s'ils me voient tourner mon vélo pour fuir, sûr que s'ils me courent après ils me rattrapent ! Me serrer sur le côté mais je vois immédiatement que là ils me coincent dans l'ombre et je suis fait ! Et alors qu'ils sont maintenant à dix-quinze mètres, marche cool chaloupée comme assurés de leur coup, j'entends une parole claire et posée qui me dit : - Marche droit sur eux !
En même temps la paix se fait en moi. J'obéis, sans plus de peur, et avance résolument sur eux... Ils s'écartent pour me laisser passer entre d'eux !

Ce n'est bien sûr qu'après qu'on peut dire Gloire à Dieu pour son intervention ! En tout cas ce soir-là, j'ai plus réalisé combien Dieu est vraiment proche et veillant sur ceux qu'il connaît qui ont mis leur foi en Jésus.*
A ce moment précis, je ne pensais pas du tout à lui, mais l'Esprit qui voyait ce qui arrivait était là et intervint in-extremis. (mais il n'intervient pas toujours de cette manière non plus...).
Cet in-extremis en tout cas nous est difficile à comprendre, mais il fait partie de notre marche par la foi. Et cela devient alors d'autant plus certain que c'est Dieu qui intervient.

Confiez-vous donc de tout votre cœur en Jésus le Dieu-Parole fait chair pour devenir notre secours par son Esprit-Saint ! Dans les temps qui courent et qui viennent, on a et on aura, de plus en plus je pense, besoin du secours divin si on ne veut pas finir dans un mauvais coup. C'est vrai pour les gars comme pour les filles !
Jésus s'est laissé prendre à notre place dans le piège tendu par des religieux que Satan s'était assujetti. Cela pour que nous, lorsqu'une épreuve va nous atteindre, nous ne restions pas livré seulement à nos seules forces et insuffisances naturelles et à la force, toute extérieure du mal.

Soyez béni-e jusqu'à connaître Dieu ainsi.

___________
* Dans l'autre expérience, des années avant, j'étais encore bien plus loin de Lui ! Il s'était révélé, je savais que Dieu existe et je pensais déjà le servir... alors que je n'avais pas encore fait le chemin de la paix avec lui...

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16 avril 2016 6 16 /04 /avril /2016 05:46
Pensée de Tous-Jours : QUELS SONT LES INDICATEURS QUI NOUS DISENT LE FOND DE CE QU'EST UNE - NOTRE DONC - CIVILISATION OU CULTURE ? (2)








Suite de : Pensée de Tous-Jours : QUELS SONT LES INDICATEURS QUI NOUS DISENT LE FOND DE CE QU'EST UNE - NOTRE DONC - CIVILISATION OU CULTURE ?


B - INDIVIDUELLEMENT
L'Esprit de Dieu peut nous donner ce regard de la grandeur dans laquelle s'inscrit notre petitesse - qui devient grande dès lors que nous pénétrons - ou plus précisément nous sommes pénétrés par - cette réalité et vue du Réel.
C'est tout le bien que je vous souhaite. Car alors, les pieds bien sur terre, on vit cette grandeur de toucher déjà en conscience, aux mondes parallèles, aux sphères célestes - avec ses spiritualités bonne (divine) et néfaste (démoniaque). Et envers double du décor de cette scène de la vie où nous nous mouvons.

C'est ainsi qu'un homme se promenant un jour vers une carrière d'où étaient extraites les pierres destinées à la construction d'une cathédrale, s'arrêta près d'un tailleur, l'observa dans son art, et lui demanda : - Mon brave, que faites-vous là ?
- Je taille une pierre monsieur.
Poursuivant son chemin, il s'arrête bientôt près d'un autre tailleur, à qui il pose la même question. L'homme regarde sa pierre sur laquelle tombent quelques gouttes de sueur, et répond : - Je fais un mur.
Chemin faisant notre promeneur va encore s'arrêter, observer un homme assidu à son ouvrage et, aiguisé par les deux réponses précédentes si différentes, pose encore sa question.
- Monsieur, lui répond ce tailleur de pierre, je construis une cathédrale !

Que faites-vous dans le vie ? Avez-vous saisi le sens des événements dans lesquels vous avez été projeté-e par votre naissance ? Peut-être êtes-vous né-e pour "n'être que" tailleur de pierre ? Alors il faut changer cotre regard !
Peut-être n'êtes-vous même pas encore entré-e dans ce chantier de Dieu qu'est la construction d'un Temple somptueux, inouï, grandiose, inimaginable - mais réel !... fait des pierres vivantes que sont tous ceux qui ont été appelés à y travailler ? Auquel cas, entrez maintenant dans ce vaste et glorieux dessein éternel de Dieu ! Devenez chrétien, trouvant en la personne de Jésus la figure du Dieu infini qui se met à notre portée !
Lisez les récits de sa marche terrestre (les évangiles), lisez les instructions et explications laissées par ses maîtres d'oeuvre et d'ouvrage délégués (les apôtres et leurs écrits formant les termes de cette Alliance toute nouvelle ou Nouveau Testament ouverte par Jésus).
Pleurez sur votre misère, sur votre pauvre vue
- de vous-même (à la fois orgueilleu-x-se et si peu capable),
- de ce monde (marqué par le mal et souffrant, mais également porteur de tant de potentiels merveilleux inexplorés - donc celui de la vie éternelle),
- de Dieu lui-même, dont la figure la plus accessible à notre entendement - Jésus, Christ pour les nations et Mashiah pour Israël - traverse toujours les siècles, l'Histoire et les espaces...

La vie éternelle, qui restaure et replace l'être humain dans le dessein sans fin de Dieu, a été mise - est encore mise ! - à notre portée à chacun !
Comme nous naissons des gamètes bien distinctes mâle et femelle, nous avons à naître de deux éléments capitaux.
Nous pouvons naître, en conscience cette fois, participant de notre propre naissance, en faisant se rejoindre
1 - ce que Dieu de son côté a fait pour nous - en laissant Jésus être crucifié à notre place pour nous sauver de la mort (spirituelle plus encore que physique) - ; et
2 - ce que nous avons à faire face à cette terrible réalité de la mort d'un innocent à la place de coupables - que nous sommes face à Dieu -, ce que nous avons à faire étant de croire !

L'équation de la plus grande énergie libérable en notre faveur est aussi simple que celle d'Einstein : Croix + Foi² = Vie éternelle !

Foi² étant 1 - la perception qu'on a de soi-même (mortel-le séparé-e, perdu-e donc, sans communication effective possible avec l'éternité dont Dieu est l'Être et la source), et 2 - la perception qu'on a de Jésus mourant à notre place pour qu'on soit gracié. Ce sont les deux éléments qui font qu'un pécheur/une pécheresse peut être sauvé/e.

Soyez, devenez, tailleur de pierre ! Et Dieu donnera la vie à votre pierre taillée pour occuper une place spécifique, unique, dans son fabuleux édifice vivant...

Prière-guide
Parabole de l'ouvrier de la dernière heure

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16 avril 2016 6 16 /04 /avril /2016 05:09

4 lettres qui disent la nature plurielle de Dieu

ON PEUT DIRE DE MANIÈRE SPIRITUELLE, que la trinité de Dieu n'est pas dite aussi clairement, par ce mot, parce que ce qui touche à la dimension du Divin ne peut s'appréhender que par l'esprit, c'est-à-dire essentiellement par révélation.

Cependant par simple déduction, lorsque le Nouveau Testament enseigne qu'étant réconciliés avec Dieu par naissance spirituelle (clic), c'est-à-dire rendus à nouveau créature à son image, nous sommes corps, âme et esprit : Un en trois ! Pas en tant que 1 + 1 + 1, mais dans la dynamique de 1 x 1 x 1 = 1 !

Déjà dans l'Ancien Testament (ou Tenak, la Bible des juifs), il est fait mention de la pluralité de Dieu en lui-même, dès le 1er verset de la Genèse ! Il se traduit littéralement par : A un commencement DIEUX créa... Le mot qui désigne Dieu est bien ici un pluriel, en hébreu Élohim, pluriel de Eloha). Et le verbe créer est au singulier (bara) pour bien signifier l'unité fondamentale de Dieu en lui-même.

Plus concrètement encore, comment pourrait-on voir écrit noir sur blanc Trinité ou Dieu trinitaire ou tri-unitaire, alors que l'Ancien Testament révèle que cet Éternel-Dieu comparable à nul autre - et à aucune représentation -, est en fait plus encore Un en quatre !?

Avons-vous découvert cela dans le nom que Dieu révèle à Moïse et qu'on trouve dans le 3ème chapitre de son livre L'Exode ? Il est mentionné là deux formes d'un nom... qui n'est pas un nom personnel, mais ce qu'on appelle tétragramme, qui révèlent la nature éternelle de Dieu.
Ici chaque lettre formant tétragramme figure une expression à part entière de Dieu dans sa dynamique éternelle.
Les différences de lettres d'un tétragramme à l'autre suggèrent aussi que telle expression entière de la Divinité unique n'est pas figée, mais peut se changer - comme on a pu apprendre depuis, que Dieu en tant que Parole éternelle est devenue Fils unique de Dieu...

Une des curiosités est la présence de la lettre Hé, quatre fois mentionnées et toujours aux deux mêmes places. Cette lettre représente Dieu en tant qu'Esprit. Une première fois, en seconde position, figurant l'Esprit-Dieu en tant que lui-même, et la seconde fois, en quatrième position, en tant que l'Esprit donné, multiplié ou démultiplié... par sa vie dans des créations.
Ainsi Dieu se considère éternellement pleinement Dieu en union avec des éléments de ses créations qui lui ressemblent sans être lui, comme c'est le cas des anges. Mais aussi comme c'est le cas de nous êtres humains, dans la mesure où nous répondons par acquiescement aux vérités qu'il nous révèle :
1 - Que nous sommes pécheurs, séparés de lui et ayant mal agi (pensé ou parlé), et que nous devons de ce fait lui demander pardon afin d'être pardonné et purifié de toutes iniquités ;
2 - Que Jésus a donné sa vie pour nous obtenir en toute justice, par substitution de sa personne à la nôtre, ce pardon, afin que par la foi en lui nous soyons personnellement réconcilié avec Dieu :
3 - Que nous avons dans la suite de notre foi à nous faire baptiser (comme signe visible de la conversion ou transformation qui a commencé à se produire en nous), et recevoir - ou en recevant - l'Esprit éternel de Dieu en nous, lequel va "éterniser" notre âme - notre moi conscient - s'unissant à lui, afin que nous vivions désormais une relation spirituelle vivante et qui n'aura pas de fin avec Dieu et parmi ses créations.

Cela nous parle de l'importance pour Dieu de la relation ! Non seulement en lui-même, mais encore entre ce qu'il est et ce qu'il crée...
"Tandis que nous sommes dans cette tente, nous gémissons, accablés, parce que nous voulons, non pas nous dépouiller, mais nous revêtir, afin que ce qui est mortel soit englouti par la vie.5 Et celui qui nous a formés pour cela, c'est Dieu, qui nous a donné les arrhes de l'Esprit."
"9 Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu...?" est-il dit à ceux qui ont cru en Jésus comme en leur Sauveur.

Tel est le Dieu tout à fait unique (dans le sens de sans rapport avec quoi ou qui que ce soit) que je connais - par ses révélations et par relation -, qui est venu établir sa demeure en moi, m'éduquant comme un père qui s'intéresse à ses enfants et m'instruisant comme le meilleur des pédagogues!
C'est là ce qu'il désire établir pour l'éternité en et avec chacun de nous ! Êtes-vous déjà dans cette relation spirituelle avec ce Dieu-là ?

Comprenez assez pour le chercher et être assuré-e de recevoir de lui cette vie sans fin que Jésus, par sa mort et sa résurrection, est venu mettre à notre portée. (Il y a sur ce site assez d'éléments pour que celui/celle qui cherche trouve...)

"Que l'Eternel te bénisse ! Qu'il fasse lever la lumière de sa face pour toi et use de grâce envers toi !" (d'après Nombres 6.24...).
Trame de prière pour aider à venir à Dieu...

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15 avril 2016 5 15 /04 /avril /2016 05:02
Pensée de Tous-Jours : QUELS SONT LES INDICATEURS QUI NOUS DISENT LE FOND DE CE QU'EST UNE - NOTRE DONC - CIVILISATION OU CULTURE ?


N'est-ce pas fabuleux : On vit l'Histoire Humaine !? Chacun et collectivement, on vit l'Aventure millénaire de l'Humanité tout entière !
On y est en un point qui s'inscrit dans une continuité sans cesse fracassée, mais persistante, dans une culture (ou une autre) et plus globalement dans une civilisation particulière (dans le sens d'un modèle qui est ou se veut chef de file, tête)... qui arrive à sa fin.

A - GLOBALITÉ
La civilisation occidentale - dont l'Europe est centre géographique et historique, avec son extension lointaine américaine - se caractérise par l'état de coeur de son ou ses peuples, et par les expressions diverses qui en paraissent, selon que "La bouche parle de l'abondance du cœur" (Évangile selon Matthieu, chap. 12, vers. 34). Or, qu'entend-on de plus fort, de plus haut comme aussi de plus souterrain ?

On entend parler de crise ! Ce mot vient du grec crisis, qui signifie jugement ! Interessant non !? On est dans une (nouvelle) posture de jugement, et beaucoup déjà ne manque pas de rapprocher notre époque de celle qui précéda la seconde guerre mondiale ! On réédite Mein Kampf de Hitler, les signes nazis réapparaissent, le chômage est endémique... À vous de voir...

On voit essentiellement la mort et la violence gangrener les écrans : cinéma, chaînes les plus importantes de télévision, jeux vidéo... Avec, forcément, descente croissante de la barbarie dans les foyers, dans les rues : après assister possiblement à un meurtre ou plus à la seconde, y participer devient de plus facile (en vidéo interactive ou dans le réel). Avec, avant ou après, les substances toxiques les plus variés, depuis les rivages de la jeunesse jusqu'aux montagnes de l'âge mûr.
Et - bien sûr, loi de causalité - l'explosion des viols... puisqu'aussi les corps sont de plus en plus montrés nus, en mode érectif, impudiques, excitant les pulsions déjà naturellement plus puissantes qu'aisément maîtrisables de tout un chacun...
Si on regarde à l'Histoire des civilisations précédentes, on retrouve tous les ingrédients de déchéance des mœurs et par là d'un système sociétal mortifère, qui se meurt ou qui va être tué !

D'où les deux visages du salut recherché, par la bande passante dite Festivus, festive (plus de griseries encore pour éteindre la grisaille !), ou par la bande passante Dépressive, de la morosité à borderline, avec stupéfiants légaux ou illicités, traitement et/ou analyse psy, suicide (euthanasie).

La mort est caractéristique de cette époque de la civilisation dite post-chrétienne. Forcément est-il facile de conclure ! puisque des instances (intellectuelles, idéologiques, politiques) ont tout fait pour faire taire et occulter le message DE VIE qu'est la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ ! "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle."
Et cette vie est précisément SURCROÎT de vie - de compréhension, d'intelligence, de force contre le mal qui nous habite et qui nous environne - là où la mort, déjà spirituelle, sévit sourdement.
"17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises." Evangile selon Jean ch. 3.

Donc oui nos œuvres sont mauvaises ! Est-ce si difficile de l'admettre devant Dieu comme c'est de plus en plus manifeste devant les hommes ?! En fuir la culpabilité produite, la confusion provoquée, est le plus courant et LE PIRE de nos réflexes ! En gros comme l'autruche...

B - INDIVIDUELLEMENT
L'Esprit de Dieu peut nous donner ce regard de la grandeur dans laquelle s'inscrit notre petitesse - qui devient grande dès lors que nous pénétrons - ou plus précisément : nous sommes pénétrés par - cette réalité et vue du Réel. C'est tout le bien que je vous souhaite. Car alors, les pieds bien sur terre, on vit cette grandiosité de toucher déjà en quelque conscience, aux mondes parallèles, aux sphères célestes - avec ses spiritualités bonne (divine) et néfaste (démoniaque) -, à l'envers du décor de cette scène de la vie où nous nous mouvons.

C'est ainsi qu'un homme se promenant un jour vers une carrière d'où étaient extraites les pierres destinées à la construction d'une cathédrale, s'arrêta près d'un tailleur, l'observa dans son art, et lui demanda : - Mon brave, que faites-vous là ?
- Je taille une pierre monsieur.
Poursuivant son chemin, il s'arrête bientôt près d'un autre tailleur, à qui il pose la même question. L'homme regarde sa pierre sur laquelle tombent quelques gouttes de sueur, et répond : - Je fais un mur.
Chemin faisant notre promeneur va encore s'arrêter, observer un homme assidu à son ouvrage et, aiguisé par les deux réponses précédentes si différentes, pose encore sa question.
- Monsieur, lui répond ce tailleur de pierre, je construis une cathédrale !

Que faites-vous dans le vie ? Avez-vous saisi le sens des événements dans lesquels vous avez été projeté-e par votre naissance ? Peut-être êtes-vous né-e pour "n'être que" tailleur de pierre ? Alors il faut changer cotre regard !
Peut-être n'êtes-vous même pas encore entré-e dans ce chantier de Dieu qu'est la construction d'un Temple somptueux, inouï, grandiose, inimaginable - mais réel !... fait des pierres vivantes que sont tous ceux qui ont été appelés à y travailler ? Auquel cas, entrez maintenant dans ce vaste et glorieux dessein éternel de Dieu ! Devenez chrétien, trouvant en la personne de Jésus la figure du Dieu infini qui se met à notre portée !
Lisez les récits de sa marche terrestre (les évangiles), lisez les instructions et explications laissées par ses maîtres d'oeuvre et d'ouvrage délégués (les apôtres et leurs écrits formant les termes de cette Alliance toute nouvelle ou Nouveau Testament ouverte par Jésus).
Pleurez sur votre misère, sur votre pauvre vue
- de vous-même (à la fois orgueilleu-x-se et si peu capable),
- de ce monde (marqué par le mal et souffrant, mais également porteur de tant de potentiels merveilleux inexplorés - donc celui de la vie éternelle),
- de Dieu lui-même, dont la figure la plus accessible à notre entendement - Jésus, Christ pour les nations et Mashiah pour Israël - traverse toujours les siècles, l'Histoire et les espaces...

La vie éternelle, qui restaure et replace l'être humain dans le dessein sans fin de Dieu, a été mise - est encore mise ! - à notre portée à chacun !
Comme nous naissons des gamètes bien distinctes mâle et femelle, nous avons à naître de deux éléments capitaux.
Nous pouvons naître, en conscience cette fois, participant de notre propre naissance, en faisant se rejoindre
1 - ce que Dieu de son côté a fait pour nous - en laissant Jésus être crucifié à notre place pour nous sauver de la mort (spirituelle plus encore que physique) - ; et
2 - ce que nous avons à faire face à cette terrible réalité de la mort d'un innocent à la place de coupables - que nous sommes face à Dieu -, ce que nous avons à faire étant de croire !

L'équation de la plus grande énergie libérable en notre faveur est aussi simple que celle d'Einstein : Croix + Foi² = Vie éternelle !

Foi² étant 1 - la perception qu'on a de soi-même (mortel-le séparé-e, perdu-e donc, sans communication effective possible avec l'éternité dont Dieu est l'Être et la source), et 2 - la perception qu'on a de Jésus mourant à notre place pour qu'on soit gracié. Ce sont les deux éléments qui font qu'un pécheur/une pécheresse peut être sauvé/e.

À suivre....
Prière-guide

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8 avril 2016 5 08 /04 /avril /2016 05:32


...jusqu'à vouloir trouver les VÉRITABLES tenants et aboutissants qui gèrent le Réel, c'est-à-dire jusqu'à entrer dans la double dimension spirituelle de ce qui fait LE TOUT.

En ce sens de l'approfondissement, j'ai noté un article intéressant que je mets là en lien, à la suite de quoi j'ai posté la réponse qui le suit : Souriez, vous êtes tués!

Ma réponse :
"dénoncer des sentiments, faire une campagne de clips télévisés contre la peur ou la haine est absurde." Mais l'absurde est en fait une intelligence très subtile ! L'absurde n'existe pas... plus que n'existent des actes gratuits ! Tout est ficelé par et dans des lois, au plan du psychisme comme aux plans physiques. L'important est, comme vous vous attachez ici à le faire, de dénouer (déjouer !) le noeud gordien qui tient l'homme - générique - dans une condition de malade permanent, de bipolarité - inexorable pour lui - entre faiblesse et insuffisance d'un côté, et force et non-maîtrise de l'autre.
Et là-dedans, bien sûr qu'il faut aussi que la haine soit anéantie, ce qui demande une vraie possibilité de s'en sortir, de la sortir du jeu - qu'il faut connaître...
Un article de mon blog qui touche aussi à cette dimension de la psychologie qui commande et qu'il faut savoir désarmer... vraiment ! http://www.toucherlalumiere.info/2016/04/actualite-et-connaissance-de-soi-du-mepris-au-suicide.html

J'ajoute ici en lien, concernant la haine dont nous avons à nous garder nous-même, article sous le clic

Avançons à pleine eau dans le surnaturel, car ce n'est pour l'essentiel, pour le lourd, que de ses effets - dont nous sommes tantôt éclaboussés de lumière, de bonheur, de sérénité..., tantôt frappés de lambeaux de chair, d'abattement, de frustration... - que nous voyons et entendons.
Soyez béni-e dans cette quête du sens de notre présence ici-bas.

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7 avril 2016 4 07 /04 /avril /2016 05:14
Si les psy on tant recours aux images mythologiques, symboliques et bibliques, c'est qu'on est là depuis les temps anciens au plus près des origines et de la connaissance des réalités profondes...
Si les psy on tant recours aux images mythologiques, symboliques et bibliques, c'est qu'on est là depuis les temps anciens au plus près des origines et de la connaissance des réalités profondes...

1ère et donc ancienne section (> nouvelle à sa suite) :
On sait (ou on devrait savoir) que l'origine de la problématique humaine première et fondamentale commença dans un jardin avec un homme et une femme, jusque là images parfaites de Dieu (car entre autre vraiment libres... même de sortir des lois déterminatives divines.. ce qu'ils firent et on en est toujours là).

Maintenant si tout l'Occident (USA-Canada compris, mais principalement l'Europe) est devenu un jardin nouveau (en rapport des déserts et autres domestications de nature moins avancées), voilà qu'on y trouve face-à-face deux étranges forces terrestres antagonistes, qui figurent l'homme et la femme séparés, ne formant plus un seul corps amoureux, à cause du mal qui habite nos cœurs (notamment injustices et autres perversités ennemies de l'amour). Et on peut remarquer que, les tensions montant et les positions se radicalisant, on arrive à un terme de la déchéance adamique qui va ne plus pouvoir... qu'exploser d'une manière inouïe (peut-être bien pendant la décennie qui vient).

Ces forces sont appelées au plan des peuples Islam et Laïcité. Mais on pourrait mieux les définir encore en disant Religion et Athéisme (deux croyances fondées sur deux contenus antagonistes). Ou encore religiosité et incrédulité, ou pseudo-théocratie et pseudo-démocratie.
Dans tous les cas, deux expressions du réel culturé par l'humain - et le S(h)atan -, qui arrivent dans les deux camps à leur paroxysme : islamistes-kamikazes et femens-impies. C'est le sommet - qui va être terrible et approche d'une fin des défaites du genre humain -, de cette fracture apparue en Eden (délices) à l'aube de l'humanité (lire ici Genèse des malédictions entre homme et femme).

Et le serpent donc, où est-il caché ?... Avez-vous compris !...
Faute de ce regard holiste dans le temps et les dimensions, on reste dans la sidération au lieu d'entrer dans la compréhension - qui peut permettre de s'extraire psychiquement et spirituellement de cette condition imposante du mal (en nous et alentour).

LE MASCULIN ET LE FÉMININ EN VIS-À-VIS !?
D'un côté on voit donc déjà en pointe des combats sur un front des hommes trop mâles (on peut dire machistes), sans la nécessaire part féminine qui fait l'homme complet ; sur l'autre des femmes qui ont perdu leur féminité, troquée contre ce qui est chez les hommes qualités (virilité, autorité, témérité, regard politique...), ce qui devient chez elles dénaturalisation, défauts forcément préjudiciables (intransigeance, hargne, vindicte, impudicité, fascisme...). Voyez-vous l'antagonisme en présence ? Pas en affrontement direct, mais qu'est-ce que ça sera demain...

En fait on ne voit là que deux expressions controuvées du développement du masculin, donc de Mars, de la guerre !
Les hommes produits par l'occident agnostique-athée ont perdu leur place et ne sont dans le circuit des rapports de force qu'en ce qu'ils sont psychiquement féminisés, donc malencontreusement (dans leur cas) amoindris et mal efficaces. Et les femmes de l'islam sont globalement tenues dans une soumission qui ne leur permet pas d'être des "aides efficaces" - comme la femme peut être auprès de l'homme. Autre article sur ce sujet 1

Cette radicalisation parmi les unes et parmi des autres, est observée bien sûr d'assez près par les autres prétendants à la direction du monde, dont l'idéologie communiste est et reste le ferment. De partout donc des gens plein de bonne volonté et de détermination pour mettre en place SON système du Bien, qui ne peut être que le meilleur ! Juste que l'histoire a montré - et n'a aps fini de montrer - que tous les systèmes humains, religieux ou non religieux - ne peuvent tenir que par la violence ou tomber, ne peuvent devenir universel que par dictature ou totalitarisme....

Dès lors des affrontements terribles deviennent de plus en plus inéluctables, d'autant qu'on veut les éviter et qu'on n'affronte pas cette dimension du Réel en face et en vérité.
De plus en plus, c'est le salut individuel qui est le dernier bon combat, la foi étant le seul moyen d'échapper à des problèmes immédiats et autres situations dangereuses, et de franchir le passage de la mort sans sombrer dans l'abîme qu'ouvre pour notre âme notre séparation non réparée avec Dieu. 1Corinthiens 15 "19 Si c'est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes." (pour lire tout le passage -très significatif- clic ici)

Soyez béni-e et dynamisé-e dans le sens de la lumière spirituelle véritable et des vérités qui ne changent pas.

(sur la droite, en Pages, prière-guide pour paix avec Dieu)

Une image significative, que le drapeau tricolore ait été remplacé par celui aux 12 étoiles ne changeant rien à la réalité en marche

Une image significative, que le drapeau tricolore ait été remplacé par celui aux 12 étoiles ne changeant rien à la réalité en marche

Section 2 : DÉSÉQUILIBRE, MALGRÉ LES APPARENCES, EN FAVEUR DU MASCULIN !
La montée, sur le versant occidental du monde habité, de la femme, n'est pas comme on pourrait le croire illusoirement une mise en valeur, un progrès, un gain de la féminité !
En réalité ce qu'on voit, c'est le genre féminin qui s'habite des vêtements qui font le masculin ! Image significative de l'appropriation - à partir de quelques icônes du cinéma et de la chanson, des idoles, de fausses déesses ! - du pantalon et des cheveux (très courts), dans les années 60 !

Redisons-le ! Le corps est (normalement) livré fini sexué, en résultat, au plan des gamètes, de ce que sont dans leur rapport le père et la mère... Ce qui fait des garçons ou des filles.
L'âme humaine, cette part seconde et centrale de nous-même, a été conçu une, sans distinction originelle de genre. C'est-à-dire que notre psyché est essentiellement sexuable. Ce qui se passe à deux niveaux :
- Déjà, à partir des premières semaines de la fécondation*, la nature de l'âme ne se réduisant pas à des parois et données physiques uniquement, elle va être nourrie par ce qu'elle va ressentir qui pénètre son nid... ce qui va constituer une orientation plus ou moins dominante (masculinité ou féminité) de ce qui fait le caractère dans un corps, que celui-ci soit sexué mâle ou femelle.
- Ensuite, c'est le rôle (délégué par Dieu)
des parents de poursuivre cette formation du moi qui est en train de devenir (de toute façon) un sujet autonome, c'est-à-dire de guider son équilibre (on peut dire de caractère, et tout son psychisme, le comportement suivant) pour en faire le mieux possible un homme ou une femme à l'image du Créateur.**
- Et puis le couple, par privilége, comme espace d'expression des partages les plus édifiants (mais aussi les autres relations sociales), devrait être le lieu de l'affinage des caractères, des progrès vers l'amour et la justice (dont la vérité fait partie) - les eux ensemble formant le sommet à viser...

(Cela dit, nous montre aussi comment on est parfois si loin d'un idéal pour nous
(bonheur, fraternité, paradis), qui pourtant existe, puisqu'on le recherche, planté en filigrane dans nos déterminismes, mais qu'il nous appartient de co-construire...
Car b
ien sûr une harmonisation de la détermination (fondamentale) du corps et (dominante) de l'âme ne peut être que satisfaisante, le contraire provoquant inexorablement des difficultés d'unification (en nous et avec les autres) et d'intégration à nos environnements, dont notre émergence dans la dimension du Divin (naissance à la spiritualité divine)...

Et donc ce qu'on voit, c'est une montée radicale du masculin,
- chez des hommes qui deviennent de plus en plus machos, jusqu'à ne plus pouvoir relationner correctement avec une conjointe et plus généralement avec la gente féminine, vue comme trop faible, méprisable, dont il faut se détourner ou au contraire qu'il faut soumettre - de gré ou de force - quand son attraction sur nous reste irrésistible... Et la même attirude vis-à-vis de l'homo occidentus festivus paumé dans l'effarement de sa féminité dominante... ce que nous montre l'actualité devenue dominante. (article connexe Du mépris à la mort) ;
- Et donc chez ces femmes homo occidentus, c'est une dérive d'un autre genre mais dans le même sens, une poussée programmée depuis longtemps et arrivant à son terme, où une certaine liberté, figurée par David sous la figure d'une femme aux seins nus - la première femen !? -, veut poursuivre son oeuvre de libération (des corps) pour, sans le savoir, sans s'en douter, avancer étendard à la main, vers un chaos qui n'a pas finir de nous recaler sur le Réel !
Car libérer les corps sans doute, mais libérer les psychismes, nous rendre heureux, c'est tout autre chose, et cette révolution libératrice-là n'est prête d'être gagnée ! Autant le dire encore ici : Sans Christ et la foi en lui, l'être humain est incapable de se réaliser dans son humanité bienfaisante. Son dit-humanisme - compris chez l'homo occidentus mâle asservi par une féminité aberrante - n'a pas plus de force contre le mal, c'est-à-dire pour le bien véritable, contre les (vrais) démons, que quelque religion que ce soit n'en a...
C'est dire - il faut atteindre cette objectivité - que les deux camps en présence sont dans le tort, dans le dérèglement, et donc aucun des deux ne va pouvoir sortir vainqueur de cette bataille, peut-être ultime, des plus mortifère à mortelle...

Et peut-être peut-on voir encore, dans la figure qui se trace sur nos écrans et autour de nous, un voulu jardin d'Eden, avec des fruits de son arbre du savoir et du mal déjà bien mangés.
L'arbre de la vie est là aussi, toujours encore largement délaissé, que figure depuis la réouverture du chemin qui donne accès à la vie éternelle, la croix dressé au même endroit qu'en ce commencement de la chute, sur laquelle Jésus est mis à mort tel un serpent, vers qui il faut regarder pour être guéri de la puissance du mal qui empêche de trouver la vraie vie et qui nous tue.

Cette fois c'est l'homme, déréglé sous les deux aspects, autrement dit séduit et rendu captif de deux manières, entré dans la désobéissance qui y persiste, voulant trouver la solution à l'équation gordienne de sa condition. Alors que la femme masculinisée est là juste à côté, qui peut manger ou pas le fruit qui lui est tendu - fruit tentant qu'est cette position haut élevé offerte - dont le concept de parité est le leurre, l'aspect séduisant du fruit.
Et donc la femme se présente encore là, dans la relation inversée, comme la gardienne possible, ultime, d'un certain ordre, qui ne pourra subsister si elle cède, si elle se laisse globalement dénaturée dans un caractère et une position qui ne sont pas siens.

...Ce qu'on ne pourra certes pas lui reprocher, puisque l'homme céda lui-même en Eden étant dans la même porition rempart...

En ce sens aussi, "la femme est 'avenir de l'homme", ce qui n'est pas pour elle une pteite affaire, puisque s'agissant d'un plan d'avenir bien plus haut et important qu'on ne pense naturellement.
Je crois que du camp dans lequel elle va globalement rester - qui est déjà le camp de la mort au bien véritable et à Dieu - ou du camp dans lequel elle va passer en nombre - qui est le camp de l'arbre de la vie éternelle auquel Jésus donne accès -, va dépendre une fin plus ou moins rapide et dramatique pour les uns et pour les autres et pour tous.
Et passer dans le camp de Christ, ce n'est pas adhérer à une religion ou changer de religion ! C'est trouver en quoi on peut vivre une dimension complémentaire de notre existence, ce qui fait notre satisfaction et plénitude, qui est la vie spirituelle. Une vie ajoutée à celle de notre âme, qui est et met en relation avec Dieu, étant son Esprit même mis en nous. (voir des Articles ou Pages sur le côté droit pour avancer sur ce chemin).

On sait déjà que tout le mal ne va pas cesser sur la Terre à ce stade de déroulement du genre humain. Au contraire ! Quand il est contré, Satan, le diable chef des démons se déchaîne... dans la mesure où Dieu permet... Il rugit contre le bien comme un lion, dit la Bible, qui nous dit encore de Résister, à toutes ces pressions incitant à mal faire, incitant à désorganiser les ordres humains et planétaires instaurés par le Créateur.
Dieu nous aime. Il vous aime, lecteur, lectrice toujours en danger de rester ou d'entrer plus avant dans les dégénérescences (personnelles, sociétales ou plus largement environnementales)... Donnez-vous, si ce n'est déjà fait, totalement à Christ, à Jésus qui a donné sa vie entière - son sang versé jusqu'à la dernière goutte figurant aussi son âme entièrement livré au mal, pour nous éviter une telle fin devant Dieu.
Cherchez la vie, et vous vivrez ! Soyez béni-e dans cette recherche, pour cette découverte. Amen.


 


_____________
* La Bible dit à cet endroit que l'âme vivante est "dans" le sang, c'est-à-dire dans un rapport étroit - qui dépasse ma recherche (et là je ne fais qu'ébaucher une approche dont il n'est pas forcément nécessaire de creuser plus avant) - avec le sang. Juste dire que le sang apparaissant la 3e semaine de conception, ce qui fait notre âme prend vie à ce moment-là.

** Sans développer là, la norme qui procure le plus grand bien (car c'est en cela que des normes sont posées et intéressantes à trouver et à respecter : le bien-être, la bonne insertion au Réel...), est pour un garçon d'avoir été développé dans ses potentialités masculines (de virilité, de force physique et mentale, d'autonomie, de conquête...) plus que - ce qui n'en exclut pas un développement !... - dans les qualités typiquement féminines que sont la douceur, la grâce, la finesse, la compassion, la capacité d'accompagner, de gérer un espace donné... Et la fille recevra comme éducation privilégiée d'être féminine, posée, compatissante, active dans une sphère moins large - pour y être plus efficace et mieux entreprenante (c'est-à-dire avec une touche de masculinité)...
 

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17 mars 2016 4 17 /03 /mars /2016 21:00
Déjà rien que s'asseoir sur une chaise et se produire sur une scène...
Déjà rien que s'asseoir sur une chaise et se produire sur une scène...

Plus encore que la croyance*, la foi nous permet... TOUT en fait ! ce qui permet que nous nous développions en tant qu'être humain !
- Par la foi on a appris à marcher, à faire du vélo ;
- Par la foi on a appris tout ce qu'on a retenu qui nous a été dit par des parents, des enseignants, des films, médias... ;
- Par la foi on monte dans une voiture ou dans un avion ;
- Par la foi on se présente à une rencontre d'embauche ou on démarre sa propre entreprise ;
- Par la foi... prenez le temps d'y réfléchir un peu et vous serez surpris-e de découvrir l'importance de ce MOTEUR du vivant**

Pourquoi donc tout à coup la foi placée en Dieu devient-elle une superstition, un archaïsme, une négation de la raison ou une réalité non raisonnable (non intégrable) !?...

En fait on peut expérimenter que la foi en Dieu permet un vrai et beau grand écart, qui va de
- croire À PARTIR de ce qui est visible : vu comme ses créations,
- à croire MALGRÉ l'invisible : Einstein comme la plupart des autres savants a découvert (mathématiquement) des lois de l'univers avant qu'on puisse en apercevoir la réalité vraie ou en faire des tests ou applications démonstratives,
- en passant aussi par croire MALGRÉ le visible : je vois que toute vie finit dans une rigidité cadavérique, mais je crois que l'âme des êtres vivants ne reste pas enfermée dans leur corps !

Comment on s'y retrouve ? C'est simple : sans Dieu et son Esprit en nous et avec nous on ne s'y retrouve pas ! :) Mais dans une relation vivante à son Esprit par notre esprit, le miracle de la perception de la 5e dimension, la spirituelle, s'opère, avec son élargissement (à la fois subit et progressif) surnaturel de la vue des ordres (et désordres) et des parts visibles et des invisibles formant ensemble le Réel holistique (le plus large, unissant incréé et créé).

intéressant chapitre 11 de l'écrit aux Hébreux
(vous voyez, la foi !? Croyant qu'en cliquant sur "chapitre 11 de l'écrit aux Hébreux", vous le faites, et ce texte apparaît... N'est-ce pas déjà du surnaturel, par rapport à ce qui se croyait il y a un siècle ou deux !***)

Alors que dire de plus ici !? CROYEZ ! En Dieu, JUSQU'À vous adresser à lui pour un problème, pour une question, pour résoudre ce problème de l'incrédulité... et vous lui permettrez de vous répondre !...
Soyez de la sorte béni-e.

Articles connexes :
religion ou relation (avec Dieu)
La foi véritable c'est...
_________________________
* La foi est plus surnaturelle que la croyance. Elle est
- confiance en quelque chose ou quelqu'un d'encore invisible pour le voir apparaître (genre la solidité d'une chaise sur laquelle on s'assoit ou Dieu qui nous parle ou nous guérit...)
- ou encore confiance en quelqu'un qu'on voit et qu'on croit capable de nous aider (comme un enfant coincé dans un arbre qui se jette dans les bras de son père étant le seul moyen de redescendre ; quelqu'un pris dans un feu qui saute dans la bâche tendue par des pompiers)....
La croyance sera plus se cramponner à quelqu'un ou quelque chose (comme une religion) que s'attendre à quelque chose venant de sa part...

** Le principe de la foi est fondateur et ne peut être qu'inhérent dès le départ au vivant. Mais elle se présente comme une antithèse de l'Evolution (vue par les athées comme étant le moteur initial unique 2 temps (hasard-nécessité-hasard-nécessité) de tout). Or nous n'avons pas à opposer des moteurs du vivant entre eux, mais à voir leur complémentarité ! Chrétien je ne rejette pas l'évolution (un moteur incontestable de la vie) mais l'évolutionnisme qui en fait une réalité créatrice unique et devient par là une idéologie (c'est-à-dire une croyance dogmatique, non scientifiquement démontrée, semblable au concept de religion)...

*** De la même manière, un jour Jésus va réapparaître sur la Terre - il l'a dit, et dans mon esprit je le crois -, et alors ce qui était foi mystérieux, contestable, sera avérée, devenue évidence indéniable !... Mais alors il sera TROP TARD pour être sauvé-e de l'incrédulité et de la destination la plus détestable de l'âme - de nous, de moi-je - libérée par la mort physiologique.

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  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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