3 avril 2016
7
03
/04
/avril
/2016
19:00
CE N'EST PAS QU'UNE IMAGE ! L'Histoire le montre : à jouer les Sauveurs, on finit crucifié ! A jouer les Sauveurs, on devient bourreau, aussi ! On a à garder en ligne de mire, si près de nous l'exemple d'Hitler et du nazisme - mais d'autres aussi, toujours actuels... -, si on veut comprendre le Réel tel qu'il s'articule !
L'Allemagne, La France, l'Europe entière prise dans le mouvement, en sont au stade critique qui correspond, dans la vie du Sauveur véritable, au temps de son arrestation, avec déjà les premiers coups qui s'abattent sur lui ! Jésus, en conscience, a choisi de donner sa vie pour que (les âmes de) l'humanité entière ne finisse(nt) pas la poche terrible post mortem - appelée Séjour des morts* - que s'est appropriée Satan et sa suite d'anges rebelles déchus.
Pour sauver de la mort (ou même de blessures - œil pour œil) la vie de quelqu'un, la justice exige qu'on prenne sa place. C'est pourquoi Jésus est mort, ayant accepté de prendre notre place de pécheurs perdus loin de Dieu, pour réconcilier** avec lui quiconque d'entre nous croirait à ce sacrifice pour lui.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu." Evangile selon Jean ch. 3, vers. 16-18.
Et donc voilà Madame Merkel - la seule femme à la tête des nations européanisées (voir article 1 qui explique cette remarque ou article 2) qui entraîne la France dans un sauvetage de masse, de l'Europe quand un de ses membres défaille, voire de toute âme humaine... Mue par une compassion (peut-être héritée de son pasteur de père) sans discernement (instruite dans une mauvaise théologie ?) et au bénéfice d'une économie bien portante (la rigueur allemande est payante), elle veut secourir, elle veut donner asile à la misère du monde. Le mal n'est pas là, bien évidemment ! L'intention est louable, la volonté est valeureuse, mais malheureusement pas soumise à la volonté empreinte de sagesse de Dieu ! C'est ainsi qu'en vouloir faire le Bien, on peut ajouter au Mal...
Madame Merkel - qu'on devrait d'ailleurs appeler Madame Sauer, puisque mariée avec Joachim Sauer (après son divorce d'avec M. Merkel en 1982) - contribue donc me semble-t-il largement à crucifier sa nation, et la France et l'Europe... faute d'avoir compris pour elle-même et son peuple (qu'un chef d'État est censé conduire dans la libération des archaïsmes mais aussi des avancées inconsidérées) ce que Jésus a fait en donnant sa vie en Palestine sur le Mont-Golgotha : On peut se dire chrétien-ne, et être loin d'avoir saisi la pensée de Dieu au sujet de la rédemption. De fait le problème ici abordé a été formulé comme concept, aussi magnifique que faux, d'"amour inconditionnel" voir article correspondant.
INEPTIE DE L'AMOUR INCONDITIONNEL
Bien sûr Madame Sauer dite Merkel n'est pas seule et première responsable : elle est une de ces pièces maîtresses d'un corps constitué plus large qui vise à établir le Paradis terrestre... mais avec des êtres déchus, insuffisants, déréglés, pervertis... comme nous le sommes tous ici ou là !
Illusion d'optique plus qu'utopie ! Aberration de vue créée par ces forces occultes qui pilotent notre univers de manière insensée, mais suffisamment intelligente pour que même les plus intelligents parmi les hommes et femmes ne s'en aperçoivent pas... encore ! (revoir les prémices des années 30 en Allemagne...).
Et donc, comme ont fini tous les sauveurs précédents dont l'Histoire abonde, on risque bien d'être là à la fin d'une histoire - qui est celle initiée il y a 2000 ans par Jésus le Messie et Christ - qui s'appelle Temps de la grâce. Quand la grâce finie, dans une vie ou sur une nation, c'est une loi qui (re)vient prendre sa place, une rigueur avec ses conséquences...
Qu'ils aient commencé par la violence ou par la séduction - les deux manières principales dont les esprits maléfiques jouent pour s'emparer de territoires et surtout des âmes qui sont dessus -, les sauveurs ambitieux se sont tous bientôt avérés des bourreaux, des exterminateurs, parce que (et comme preuve de qui est réellement aux commandes) conduit par des entités de nature spirituelle, démoniaques. Un fond d'orgueil marqué, et jusqu'à la mégalomanie, est une porte et un chemin de ruine courant...
On sait par la Bible et l'Esprit de Dieu qu'un antéchrist ou antichrist puissant vient pour tenter une ultime fois d'assujettir la Terre (entière) au diable, qu'image un serpent (ancien) et un dragon (à venir). Toutes les tentatives et concrétisations partielles politico-militaires impérialistes précédentes ont été animées par ces esprits de spiritualité ténébreuse, que l'amalgame, le brassage des populations et autres déportations, délocalisations, déracinements favorisent...
Mais peut-on voir sans le secours du seul Esprit qui soit de Dieu, l'Esprit de Christ ? D'où l'importance de n'être pas seulement spectateur de ce monde, mais de chercher ce qui se passe en vérité, aux plus hauts points. Il y faut de la foi, mais j'ai expliqué que la foi est un principe et moteur de la vie qu'il suffit d'appliquer à quelque chose pour voir les effets qui en sortent, qui peuvent être bons ou mauvais !... une petite approche ici
On est informé par bribes, mais le puzzle se met à être de plus en plus compréhensible... pour qui s'intéresse au sens des évènements et de l'actualité et de l'Histoire et encore de ce qui le concernent personnellement.
Sinon comment expliquer ce sentiment très fort de culpabilité qui se met tout à coup à étreindre les chefs d'État et de gouvernement ? Faire remonter un passé colonial !? S'en vouloir de ne pas avoir mieux fait pour l'intégration !? Stigmatiser des discriminations réelles ou fallacieuses... Rien que de fausses raisons ! qui occultent les plus véritables, sans doute plus récentes et actuelles, qui tiennent de la morale... Quand la culpabilité nous prend, elle touche à la cause qui la déclenche : mais c'est à nous d'accepter de la voir... ou de ne pas se trouver d'autres raisons que les réelles : les fausses excuses nous enferment dans l'impuissance tout en nous laissant dans la problématique coupable et culpabilisante qui nous plombe...
Et donc pardonner tous, excuser tout, alors qu'il n'y a même pas repentance pour des actes abominables de la part de qui nous frappent, aucune manifestation d'un changement de vue et de voie, c'est ajouter au(x) jugement(s) qui nous attei(gne)nt de nouvelles iniquités ! On s'enferre et on est traîné vers la mort alors qu'on a besoin de retrouver la vie...
Quand Jésus se laisse arrêter, il prend sur lui, en conscience, la culpabilité et le jugement qui doit frapper les hommes : De Dieu qu'il était, il s'est fait corps et âme humaine pour nous secourir par une juste substitution, qui lui coûte cette vie d'homme dans laquelle il s'est enfermé de par son libre consentement... Mais il ne donne pas sa vie pour vaincre le mal en vue d'établir un paradis terrestre immédiat ! Beaucoup imaginaient cela, comme on s'imagine aujourd'hui pouvoir échapper au Mal (aux malédictions terrestres et célestes) simplement en s'aimant sans condition. Leurre ! Bévue ! Ineptie dans la compréhension du Réel !
Quand Jésus s'est fait sauveur, c'était - et cela reste encore (pour un peu de temps) - pour sauver les âmes (notre part psychique, siège de notre moi conscient) de la perdition dans laquelle notre naissance, et nos mauvaises actions personnelles à la suite, nous placent.
Mais il dit bien à Pilate (comme aux autres) : "Mon Royaume n'est pas de ce monde !" Dieu ne sauve pas pour améliorer ce monde tel qu'il est - mais pour le changer au fond, en changeant premièrement les coeurs des hommes. Et ceux qu'il sauve ne vont pas rester sur cette terre, qui est aussi corrompue que nous le sommes naturellement ! C'est l'âme purifiée par le pardon des fautes qui est sauvée, à part du corps - puisque la mort physique sévit toujours pour tous.
Ce sauvetage est opéré pour un "transbordement" qui amène au final le croyant au Christ Jésus dans une nouveau création... matérielle, une nouvelle Terre et un nouveau ciel (Apocalypse 21). Là seront en rois tous les chrétiens véritables après réception d'un corps nouveau, formé et reçu à partir de l'ancien (d'après notre ADN et nos oeuvres de foi bonnes !), comme un papillon particulier sort de telle chenille. On est donc là loin de la modélisation humaniste (et jusqu'à transhumaniste) qui est un faux développement ou un mauvais usage des valeurs empruntées au message christique... (Lire la Bible, d'où toutes ces informations proviennent - en lien ici).
La crucifixion - mort ! - de Jésus, est la preuve qu'on ne peut prendre sur soi ce qu'est la vie des autres avec leurs péchés (mensonges, méchanceté, perversités, religion idolâtre, pratiques occultes, etc...) sans en supporter les conséquences extrêmes, ce que la Bible formule ainsi : "Le salaire du péché, c'est la mort." - sans parler de toutes les souffrances préliminaires et intermédiaires qui sont (à la fois ou alternativement) jugement et/ou avertissement...
REFUS DE LA CRUCIFIXION (MORT) DE CHRIST POUR ACCÉDER AU BIEN = CRUCIFIXION (MORT) DE SOI !
Et donc pour avoir renié officiellement son origine chrétienne, l'Europe a fini par sceller l'apostasie (abandon de la foi) des nations qui la forment. Certes le mal était fait depuis longtemps ! et surtout le salut des êtres humains n'est pas collectif, mais toujours individuel (les chefs pouvant grandement contribuer par leur position à instruire le peuple dans la voie du salut - cf. Clovis - mais pas dans le salut... ou dans des culs-de-sac dramatiques...).
De fait, ayant abandonné/perdu le chemin de la rédemption qu'enseigne le message libérateur qu'est l'Évangile biblique non frelaté - les religions dites chrétiennes, catholique et protestante, y étant largement pour quelque chose, chacune par des déviances coupables -, c'est un jugement de nature religieux qui s'est mis à tomber sur l'Occident. Parce qu'on ne peut faire disparaître la dimension spirituelle du Réel !!!
On peut se défaire d'une religion ou d'une autre, mais jamais ni de Dieu ni encore des esprits démoniaques !
Et l'aspect religieux - qui est toujours régression par rapport à la Grâce de Dieu offerte par la médiation de Jésus - qui confronte une Europe qui se voulait sans Dieu autre que l'homme (certains hommes, quelques hommes !) est encore une grâce en ce qu'il interpelle sur la dimension de la croyance tournée vers le Ciel, sur la part à toujours surnaturelle dont le Réel est constitué. Cette part reste toujours hors de portée de la seule raison raisonnante : Il faut à notre âme rationnelle la compagnie de l'esprit pour toucher à tout le Réel...
LA HAINE est au coeur de toute activité démoniaque.
Répondre à la haine par la haine, c'est tomber effectivement dans le piège ouvert de ce qui est et fait mal. Et ce n'est parfois pas facile du tout de se défaire de cet espèce de crabe qui enserre notre coeur. Mais par la foi en Jésus, la chose devient plus aisée, le pardon à accorder aux autres devient (bien plus facilement) possible. Pourquoi ?
Parce que Jésus a pris sur lui, du moment de son arrestation jusqu'à sa mort comme brigand, la haine et la hargne vengeresse qui habitaient, juste en sommeil,
- le coeur des juifs tenus sous la botte romaine,
- les lois et sodats de Rome,
- ainsi que l'âme d'anges déchus impénitents qui croyaient trouver là le moyen de se soulager de toutes les conséquences de leur sortie insensée du Bien.
Et quand Jésus prend sur lui tous ces effets du mal, mort comprise, c'est prenant notre place de coupable (de bandit aux yeux de Dieu) qu'il subit, pour que, regardant à lui, nous puissions nous dégager, croyant en cette substitution, de tout le mal qui habite notre propre coeur, dont la haine, et bien sûr nos fautes qui ont été en amont de nos problèmes...
Notre part est de mettre sur lui, par la foi, en les confessant, toutes nos fautes et leurs conséquences - dont la haine -, en demandant pardon... et en remerciant...
Puisse cela, lecteur, lectrice, vous faire réfléchir, interpeler, regarder avec un recul suffisant pour trouver déjà, D'ABORD si ce n'est fait, le sens de votre propre existence, car c'est par ce bout-là qu'il faut commencer !... si on veut tirer les fils qui embrouillent dans notre entendement la perception du Réel tel qu'il est.
Pourquoi subir la crucifixion de votre existence avec celle du monde, alors que par la foi en celle de Jésus on peut être gardé, protégé, de manière toute surnaturelle !?
Soyez béni-e par l'Esprit du Dieu vivant pour que la lumière véritable qui ne vient que de lui fasse en vous une percée décisive, pour votre joie ici-bas et votre salut éternel...
Prière-guide pour aider à se donner au Dieu véritable qui est créateur ET rédempteur.
_____________________________
* appelé en hébreu Shéol, en grec Hadès, qui est un lieu où les âmes désincarnées (suite à la mort physiologique, du corps), qui n'ont pas au préalable choisi Jésus comme leur Sauveur, sont tenues en attente du jugement dernier. Ce n'est pas ce qu'on appelle l'Enfer, que la Bible appelle "Étang ardent de feu et de soufre" créé originellement en conséquence de la révolte des anges (devenus globalement les démons). Le Séjour des morts correspondrait davantage à l'idée de Purgatoire, sans qu'il nous soit donné de parler à ce sujet de moyen de paiement des fautes, de rachat ou rédemption...
** Réconcilier avec Dieu, signifie entrer dans une paix véritable avec lui, ce que nos comportements malsains non pardonnés empêchent. Signifie recevoir son pardon en retour de nos fautes confessées, et par là être aussi libéré de poids divers (physiques, psychiques ou spirituels) qui plombent notre existence. C'est encore entrer sous sa garde rapprochée, des anges même se mettant à notre service. C'est plus essentiellement recevoir sa vie, greffée sur la nôtre, pour former une vie personnelle qui ne finira jamais...
Published by Claude Thé
-
dans
Crucifixion de Jésus
actualité
prophétie
Comprendre ce que nous vivons
connaissance du Réel
commenter cet article …
commenter cet article …