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24 mai 2016 2 24 /05 /mai /2016 09:03

Cet article déjà publié le 10 avril 2016 est ici remonté du fait de l'ajout que je viens d'y faire (après le chant pour qui l'a déjà lu)...


Tout s'était déclenché à l'automne 2011. Avec quelques amis on avait entrepris de couper du bois pour chauffer la maison d'accueil de notre association. Travail intense, concentré sur 3 jours (peut-être à la Toussaint), avec des efforts physiques tout à fait inhabituels.

Le dernier jour vers 16h30-17h, après un petit arrêt ravitaillement, je n'ai vraiment pas envie de m'y remettre. En position de "leader" du groupe, je propose à tous de s'arrêter. Mais tous sont plus jeunes que moi et se sentent capables de continuer jusqu'à la nuit. Pour ne pas être en reste, malgré les courbatures, je continue de concert jusqu'à ce que la nuit nous arrête.
Défaut de sagesse !? Certainement...

La nuit je ne récupère pas. Les douleurs musculaires ne disparaissent pas. J'ai très mal au dos. En quelques jours c'est un cumul de douleurs, qu'on appelle de divers noms (lombalgie, sciatique, arthrite ou arthrose, rhumatisme...) dans le dos, les cuisses, les bras jusqu'aux épaules... de plus en plus partout. Je lutte dans la prière mais ça persiste à ne plus pouvoir dormir de la nuit.

Si c'est grave et si je dois être guéri, c'est à Dieu D'ABORD que je m'attends. Sous la pression je prends et finis les comprimés antalgiques trouvés dans la pharmacie de la maison, sources d'accalmies qui sont une vraie bénédiction. Mais le soulagement est de plus en plus bref à inexistant.
Les jours passent sans amélioration. Je tiens encore un peu mais j'ai vraiment mal partout, à se tordre. Trop devient trop !

Je ne comprends pas/plus Dieu ! Moi égaré à qui il s'est révélé, qui a fait de moi son enfant en me donnant sa vie, par moitié quand Jésus a donné la sienne, et l'autre moitié quand il m'a donné son Esprit. Je discute avec mon Dieu, et je comprends qu'il ne me guérira pas - cette fois-ci. (Globalement il ne vient pas a priori en concurrence avec les médecins dans leurs capacités à soigner. Mais quand ils sont démunis ça peut devenir autre chose...).
De nouveaux comprimés, paracétamol à dose maxi, prescrits par le médecin et pris à heures régulières me soulagent encore un peu... mais rapidement de moins en moins.

AGGRAVATION !
Pire, voilà que la nuit mes jambes se mettent à bouger toutes seules, intenables, des mouvements irrépressibles, qui me poussent à me lever, et à marcher, alors que l'heure est à dormir ! Parce qu'on sent que c'est finalement la seule solution qui soulage. Et on marche, on marche, jusqu'à la fatigue du sommeil. Si je me recouche trop tôt, il faut bientôt se relever...

Les douleurs encore je supportais sans perdre trop de force, mais là c'est épuisant. Je regarde sur le net où il y a des sites et forum, avec des sportifs, plutôt jeunes donc, qui témoignent de ce mal qui dure chez certains depuis des années (juste stabilisé par cortisone ou je ne sais quel médicament fort que j'abhorre, mais sans guérison).
Je lis des avis, j'entends des conseils de toutes sortes, sur la position à adopter, sur les aliments...
Le médecin chez qui je retourne avec ce nouveau problème regarde lui dans le Vidal. Il a entendu parler de ce phénomène de jambes impatientes, mais je suis son premier cas. Il diagnostique une attaque de la myéline (la gaine qui entoure les nerfs comme la gaine de plastique qui isole les fils électriques). Et pour les jambes dite aussi sans repos, il trouve in-extrémis qu'il y a un traitement spécifique, le seul, un médicament américain. Normalement en quelques prises selon un protocole le mal est défait.
Mais ça ne marche déjà plus le 2e ou 3e jour. Je ne dors pas de la nuit, marchant des heures, parlant à Dieu ou criant à lui pour comprendre ce qui se passe, argumentant : - Seigneur, je suis ton enfant depuis maintenant 30 ans ! je t'ai tout donné, je suis À TOI ! Pourquoi tu permets ça ? Pourquoi tu me laisses dans cette douleur, POURQUOI ???
Parfois je n'ose même plus regarder à lui, je ne veux plus rien demander. Il sait ! L'abandon soulage la tension et donc l'intensité des douleurs. Je dors le plus souvent dans la journée, sous l'effet de l'épuisement. Les jours passent et les douleurs ressemblent moins à du rhumatisme, devenant de plus en plus comme électriques. C'est au point où des frottements de tissus deviennent désagréables à très irritants. Je me sens à vif par endroit. Je deviens hyper-sensible aux ondes des appareils, aux lumières que je discerne différentes : des écrans, tv ou ordinateur, néon, ampoules...

Je me dis que je dois me débrouiller, et en même temps il apparaît évident que j'aurais du m'arrêter plus tôt dans la coupe du bois.. A diverses écoutes, je crois comprendre que j'ai des choses à changer dans ma marche (les jambes, ça parle de marche, c'est-à-dire de ce qu'on fait dans nos journées), sur quoi, sans être arrêter, je n'aurais pas fait attention !?
Je comprends accessoirement que le demi-litre de lait que je bois tous les matins, même demi-écrémé, doit être coupé d'eau ! Bon ! Pourquoi pas ! Deux-trois petites choses comme ça semblent à ajuster.
On me dit que cette fatigue vient de ce que j'ai pris chez moi ma mère dans sa dernière année de vie parmi nous, de plus en plus largement désorientée, presque aveugle, assistée d'un va-et-vient d'auxiliaires de vie, finalement passée en hospitalisation à domicile... Mais mon épouse a sans doute été plus encore que moi, soumise à cette présence et à ses besoins, et elle n'est pas dans mon état !?...

DU COMPRÉHENSIBLE ET DE L'INEXPLICABLE
Cherchant du sens dans la transversalité (symbolique et autres correspondances), mes jambes qui veulent marcher la nuit sont l'image de ce que je marcherais, sur le plan psychique - ou spirituel ! - dans la nuit, sans éclairage, càd malencontreusement !
Comment pourrais-je marcher dans l'obscurité (que figure la nuit alors que je suis dans la Bible du matin au soir, avec étude jusqu'à l'hébreu et au grec, rédaction de synthèses... J'anime un groupe de maison que je porte dans la prière, pour qui je prépare les réunions...Je suis aussi investis dans une oeuvre sociale (friperie sociale, lieu d'écoute...). Que dois-je comprendre ?
Je comprends encore qu'aller marcher - la journée ! -, simplement me promener, devrait me faire du bien. A mes yeux, c'est une perte de temps ! J'ai tellement mieux à faire pour comprendre les rouages, les tenants et aboutissants du monde, à parler aux autres !...
Mais c'est vrai qu'on a un corps qui a ses propres besoins, et entre la voiture, le bureau et les repas, je réalise que je suis quasiment tout le temps assis ! Que je ne marche quasiment plus !... Alors je sors parce que ça m’apparaît juste. Ça me fait du bien, parce qu'il y a des semaines que je n'ai pas mis le nez dehors. C'est vrai que ce Créateur nous a faits avec des jambes et non avec des roues !

La pression douloureuse diminue, mais c'est comme trop tard semble-t-il ! Je suis déjà bien faible et faire rien qu'un kilomètre... Demain j'en ferai un peu plus... Mais non, je ne peux qu'en faire de moins en moins et je renonce bientôt même à sortir, à bout de force, ralenti, ne pouvant plus que rester assis quand je ne suis pas pousser, la nuit, à marcher encore de long en large...

5 à 6 semaines se sont écoulées de ce calvaire et le mal, s'il désemplit plus ou moins, ne me laisse pas en repos, quand arrive le rendez-vous qu'avait pris le médecin traitant avec un neurologue.
Questions, branchements à un ordinateur et autre appareillage, auscultation, tests. Je le vois de plus en plus perplexe ! - Je ne comprends pas, lâche-t-il honnêtement ! Je ne trouve rien d'habituel. Il consulte des textes, reste silencieux... et faute de mieux, sans traitement autre, il me prend un rendez-vous pour passer un IRM.

Quand on en arrive là, je n'aime vraiment pas du tout. Je continue à demander Pourquoi ? Pourquoi ? Qu'est-ce qui se passe mon Dieu !? La foi en prend un coup, pas en qu'il n'y a pas de Dieu, mais sur ma compréhension de comment il agit (ou pas) avec nous - entre son amour et sa justice, sa sainteté qui le rend (parfois à souvent) intouchable, et encore sa volonté normalement bonne envers moi... Je ne vois pas de pécher dans ma vie, de travers qui justifierait ce qui serait alors un strict jugement !...

Cherchant toujours dans le direction d'une cause, oui j'écrivais aussi beaucoup, et il me semble - et ça je n'aime pas du tout non plus ! - qu'il faut peut-être arrêter d'écrire ! Ca c'est dur, ce qui signifie aussi qu'il y a un manque de liberté !... Ma femme me dit : Tu vois, ça fait longtemps que je te le dit ! Tu écris plein de choses pour rien !
Et là je vois bien que j'ai tort, et qu'écrire autant est un vrai problème - jusqu'à déjà "la crampe de l'écrivain" quand j'écris sur du papier. Certes je m'y fais plaisir, mais pourquoi ? Pour remplir un disque dur de fichiers, des pages de cahiers qui restent dans un placard ?!... Je me contrains là aussi.

Un soir alors que je viens de me coucher, je vis un curieux phénomène : je sens que mes jambes sont scannées ! C'est plus qu'un sentiment, j'ai toute la sensation, avec un grésillement audible et le même mouvement de numérisation du scanner, que je suis scanné, depuis le haut des cuisses, ça descend doucement et s'arrête aux genoux. Que s'est-il passé ? Il me semble que les douleurs s'estompent, si ce n'est que je m'y habitue...

A très peu d'intervalle, c'est un autre moment étrange, alors que je suis dans mon lit sur le dos. Tout à coup je sens comme un jet d'énergie qui sort de mon corps par le bas du dos ! C'est si dense qu'on dirait de l'eau qui coule. Comme dans l'expérience précédente, je n'ose pas bouger. Ça dure quoi ? Plus près de 30 secondes que de la minute me semble-t-il encore aujourd'hui. Que s'est-il passé ? Suis-je guéri ? Je me sens si lasse que je me suis alors endormi sans plus penser à rien. Les douleurs ont bien diminué quand je me réveille après apparemment une nuit complète passée sans avoir à sortir du lit !
Mais je n'ai pas la force de m'enthousiasmer même pour ça. Je me redresse difficilement et m'assieds sur le bord du lit avec énormément de peine ! Je suis d'une faiblesse qui est à la limite de m'angoisser ! "Sans jus", vidé ! - Si je dois mourir, Seigneur, prends-moi. Si ma vie n'a pas de sens, ne te plaît pas, prends-moi !...
Pour rejoindre la cuisine qui est à l'étage, je dois me tenir à la rampe et tirer - un peu - de mes bras aussi faibles que mes jambes. Elles me portent à peine. Je suis courbé comme un vieillard, bougeant au ralenti. Ma femme me regarde dépérir comme j'imagine la femme de Job le regardait pendant son épreuve. Je n'ai même pas trop pensé à Job en vérité, alors que c'était, vu de l'extérieur pour un chrétien, le premier rapprochement à faire ! Mais il est des moments où même ce qu'on sait n'a pas assez de force en face de ce qu'on vit.

C'est vrai que Dieu nous éprouve. Certainement pas par sadisme - même si le diable veut nous le croire ; pas inutilement non plus - ça c'est certain ; pas sans raison donc, en amont et en aval de l'épreuve ; pas par esprit vengeur contre quelques fautes, égarement, manque de lumière - bien que ces choses soient pour l'essentiel dans ce qui nous arrive ! Mais c'est sûr cependant que des jugements arrivent, pour nous arrêter ou nous (permettre de nous) corriger, ajuster.

Pendant les quelques jours suivants, moins d'une semaine je pense, je me traîne littéralement d'un endroit à l'autre, vidé de toute une énergie dont je ne connais pas exactement la nature (je parlerais aujourd'hui de vie ou vitalité physiologie). Je réalise que les muscles - qui sont relativement toujours là - ne sont certainement pas la partie la plus décisive de notre force de déplacement...

LA REPONSE... DÉTERMINANTE
J'ai encore des douleurs, mais ça va mieux, sauf que maintenant c'est cette faiblesse extrême, quand un soir encore avant de me coucher je demande, comme d'une voix sortant du plus profond : Seigneur ! Qu'est-ce que j'ai encore à comprendre ? Qu'est-ce qui reste à comprendre ? POURQUOI !?...
Et là D'UN COUP la réponse arrive : - Je ne t'ai pas demandé ça !
Et en même temps je sais de quoi Dieu me parle : de ce groupe de maison qui s'est formé autour de moi, avec quelques chrétiens que je me suis mis à porter, psychiquement (plus que spirituellement donc) avec des réunions, par des messages, des prières... tout un lot qui ajoute au reste un surcroît d'activité et de tension psychique.
Au début la constitution avait été manifestement un travail de Dieu, avec des temps forts, des conversions, des baptêmes,. Mais une rupture avec l'assemblée où nous allions jusque là, avait comme placé la responsabilité de ce groupe SUR MON DOS ! Et des années étaient passées comme ça, m'établissant dans une position de pasteur que Dieu ne m'avait ni donnée ni demandée !
Et effectivement depuis plusieurs mois, il devenait de plus en plus difficile de se retrouver, selon les horaires des uns et des autres. Ma femme avait cessé de venir aux réunions. On bagarrait pour maintenir le contact entre tous, car on aime pas arrêter les choses comme ça, et sans comprendre... Mais c'était plutôt une capitulation que Dieu attendait de nous. Et faute de suffisamment chercher dans cette direction, le problème psychique est descendu d'un cran, dans le physiologique, ce qu'on appelle somatisation. C'était comme avec la coupe de bois. J'avais bien senti qu'il fallait suspendre ce rassemblement, mais comme entraînés à la fois par une inertie et par des efforts pour ne céder à une dispersion, on s'était fortifiés les uns les autres pour tenir encore.
Et là, parce que j'entendais, je comprenais et j'acceptais, d'un coup j'étais guéri ! Les dernières douleurs étaient soufflées comme par un coup de vent, laissant place au bien-être qu'il y a à être dans la bonne disposition et position vis-à-vis de notre plan matériel et du plan de Dieu.
Très vite les forces sont revenues. Alors que j'avais été descendu au point de ne même pas avoir de force pour m'étirer, tout à coup je découvrais dans mes bras et tout le corps une tension des nerfs formidable (qui fait penser à des câbles d'acier), un simple étirement procurant désormais un bien certainement du corps, ressenti d'une manière inouïe dans mon âme !
Je me remis à sortir pour marcher. Quelle bénédiction rien que de marcher ! quand on a été amoindri de la sorte. Quiconque à eu un accident ou une maladie assez grave qui l'a isolé un temps de son environnement, éprouve un bien intense, un sentiment de fraîcheur et de liberté, et encore un enthousiasme tout neuf à la vue des choses les plus simples, inégalés. Et je compris que mon équilibre global dépendait aussi de mouvements nécessaires du corps, comme marcher.

J'étais sorti du carcan de ce fonctionnement qui s'était mis à tourner en boucle, par la lumière dont Dieu avait finalement éclairé ma âme. D'un coup le sommeil - la nuit - redevenait possible, mes jambes étaient apaisées.
Outre que je parcours désormais essentiellement la ville à pied, je fais maintenant aussi un peu de randonnée avec un club, ce qui crée de nouveaux contacts et de nouveaux échanges.

CONSTAT MÉDICAL
Du coup j'ai pensé annuler l'IRM dont le rendez-vous arrivait. Mais il me semblait qu'il ne fallait pas... Et donc me voilà enfourné comme un pain mis à cuire dans ce tube capable de nous voir, de nous lire - par tranches ! - à travers notre masse cellulaire. J'attends les résultats dans une salle quand un homme en blouse blanche arrive plutôt excité et, ne voyant que moi, me demande si je suis bien ce monsieur avec cette date de naissance dont il tient les clichés !? Voyant les résultats, il avait cru à une erreur dans la date (année) de naissance, me dit-il, mais là il est obligé de se rendre à l'évidence : C'est bien juste, c'est bien l'imagerie IRM d'un "retraité" : - C'est extraordinaire, c'est vraiment extraordinaire !... - Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ? - Vous avez la moëlle épinière d'un jeune homme ! Je n'ai jamais vu ça ! Une moëlle épinière de jeune homme. Et il m'explique que la moëlle épinière se dégrade dans le temps et qu'elle n'a perd progressivement cet aspect et cette qualité de jeunesse. J'ai été si surpris que, pris de cours - comme quoi on ne s'attend jamais assez à ce que Dieu peut faire pour nous -, je n'ai même pas parler de la guérison opérée quelques jours avant ! En tout cas, je peux aisément le dire ici : Gloire à Dieu, Gloire à Jésus, Gloire au Saint-Esprit, pour ce qu'il peut faire dans nos corps comme dans nos âmes, en son temps, de superbe manière.
Puisse ce témoignage être attesté en votre intérieur par l'Esprit de Dieu pour que vous désiriez entrer (toujours plus) dans les desseins que le Créateur des cieux de la Terre tient en réserve, potentiellement, pour chacun.
Soyez de la sorte béni-e.
Un chant correspondant (de Georg F. Handel, 1747 musicalement actualisé par le Groupe Exo, 2009)

DÉVELOPPEMENTS ET CORRESPONDANCES
A la suite quelque chose qui passait relativement inaperçu s'est mis à devenir de plus en plus sensible : un déréglement dans la température entre les genoux et le bout des orteils. C'est un frois croissant vers la fin du jour, dès lors que je n'ai pas assez marché pendant la journée. Comme un juge arbitre qui me rappelle cette nécessaire discipline en faveur d'un bon fonctionnement du corps, en l'occurence la circulation du sang.
Et puis tout aussi curieusement, la nuit c'est souvent une montée en température qui m'oblige à sortir les pieds de sous les couvertures. Ce serait bien narcissique de partager ce genre de désagrément si Dieu ne venait de m'éclairer sur le sens spirituel de tout cela. Cela à peu près trois ans et demi après le début de ce que j'ai décris là.
Un matin de fin mai je "vois" que ce qui m'est arrivé et m'arrive encore, peut être mis en parallèle avec... la statue de Nabucadnestsar ! Dont on trouve le récit au 2e chapitre du livre biblique de Daniel. (clic ici pour rejoindre le texte)
Il nous est parlé là d'empires qui se succédent sur la terre, que figure une statue dont la tête est d'or (l'empire babylonien) et dont les cuisses sont d'airain (ou bronze), les jambes de fer et les pieds d'un mélange de fer et d'argile.
Par ailleurs on apprend que l'empire de fer correspond à l'ancien Empire Romain. Et encore que cet empire qui a eu son temps doit revenir, dans le sens où la puissance spirituelle (le démon ou ange déchu puissant) qui mit la Rôme impériale en mouvement va pouvoir susciter une nouvelle organisation à la fin (POUR la fin) des temps des nations...
L'Histoire nous montre que cela a commencé via une idéologie mise au point par cette même entité spirituelle à la fin du XiXe siècle, qui trouva des hommes pour son application au début du XXe siècle avec notamment Lénine qui lança la révolution bolchévique contre la Russie tsariste, évoluant au fil des expériences dans sa quête de suprématie jusqu'à la formation politique et économique - forcée - de l'Europe...


L'airain ou bronze est symbole de la rédemption, le fer de la dureté des lois qui imposent aux peuples un totalitarisme qui aujourd'hui se veut, et peut être véritablement mondial.
Ainsi ce scan de mes cuisses constituait une revisitation de ma rédemption - de la compréhension que je m'en étais faite -, une réforme que Dieu allait faire en moi, sans que je soupçonne rien de ce travail phénoménal que Dieu en réalité opère en profondeur en nous.
Au plan historique, il s'était agi de la percée opérée par quelques philosophes grecs, dont le travail d'observation et réflexif de l'âme apportait par la pensée une certaine rédemption, le point d'ancrage d'un certain relévement de la condition humaine. Une percée majeure à l'époque, mais encore bien peu éclairée au fond, qui allait être revisité par Dieu amenant par Jésus l'expression et le moyen de la rédemption la plus véritable.

Mais si "la pensée grecque" avait sa vraie valeur, la rédemption venu par les juifs en la personne de Yeshoua - Dieu incarné pour sauver parfaitement des multiples formes du mal - lui était bien supérieure, étant une vraie transcendance - spirituelle là où les grecs n'avaient développé que des capacités psychiques. Et donc par principe, il ne devait pas être question dans la pensée de Dieu que la pensée grecque vienne reprendre le dessus sur la connaissance et la foi suscitée par la bonne Nouvelle de la mort rédemptrice du Mashiah et Christ Jésus.
Quand l'Église par ses dirigeants s'enlise au fil des siècles, Dieu suscite le moine Luther pour remettre sur les rails de la justice et vérité, rappelant que la foi qui met en relation (spirituelle) avec Dieu doit PRÉCÉDER des oeuvres, et non les ouvres être la condition du salut de l'âme. Cette réformation enflamma l'Europe - et bien au delà - mais le Malin trouva en des hommes orgueilleux, intelligents par l'âme mais inintelligents dans la dimension de l'esprit - à partir des Voltaire et autre Diderot - le moyen de ramener par la réflexion et autres sentiments méprisants et haineux, une suprématie par les capacités humaines, psychqiues, une libération qui n'est qu'une rédemption de la chair vis-à-vis de la rédemption christique (de la personne dans ces trois composantes) qui s'est perdue et se perd à nouveau en religiosité, en organisations qui supplantent l'Esprit même de Dieu et la vie de l'esprit dans et par l'Église. D'où arrive, en jugement et du christianisme et du retour à la réflexion à la grecque, l'entrée en jeu de cette puissance initiatrice de Rôme qui imagine un évangile à sa façon, prometteur de lendemains qui chantent, promoteur pour le présent de bains de sang, d'expropriations, de déportations, de dépersonnalisations...
La forme communiste initiée par ce démon des plus terrible en capacités et mauvaises oeuvres, correspond pour la seconde fois aux jambes de la statue, la suite - qui est déjà notre quotidien - étant illustrée depuis 27 siècles par le fer et l'argile dont il nous est dit que sont formés les pieds de cette architecte temporelle globale par laquelle Satan essaie depuis longtemps de s'assujettir le genre humain afin de dominer éternellement et en exclusivité sur lui.

Sur quoi ouvrit le scan de mes cuisses ? C'est ce que j'ajouterai un autre moment...

    

Les jambes
   

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