2 janvier 2018
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Que de paroles, d'injustices (dont l'infidélité, les mensonges), de comportements qui sabordent un couple pourtant initialement uni, parfois avec des enfants, et tout qui peut s'enchaîner : perte d'emploi ou faillite d'une entreprise (démotivation, déprime), plus de logement... !
Drame avec quelqu'un qu'on voudrait aimer, mais qui le rend impossible par ce qu'il ou elle est, ou parce que faisant sans cesse ce qui est trop injuste. Ou encore à l'inverse, quelqu'un qui a voulu nous aimer mais a dû abandonner à cause de notre fichu caractère ou de telle lubie dont on ne veut ou peut se départir !...
Alors, est-ce qu'on va continuer encore et encore, sans intelligence, sans vraie réflexion, sans chercher la bonne solution... ou en la refusant encore si on en a déjà entendu parler ?
Il s'agit que nous devenions des êtres libres ! Pas comme les idoles construites pour nous faire rêver de travers et tomber comme elles tombent ! Elles ne sont pas libres, mais plutôt forçats oui (d'emploi du temps, trop vide ou trop bien rempli, qu'ils ne maîtrisent pas, de la facilité d'accès aux sexes, et à l'alcool ou à la drogue, de médicaments...).
Mais voilà ! Pour devenir libre et apaisé le mieux possible, sont nécessaires une connaissance minimale de Dieu, de ses pouvoirs et des rapports mutuels qui peuvent s'établir entre lui et nous. Il faut savoir en quoi Jésus s'est fait, en pleine conscience, "forçat de l'amour" de Dieu !
En quoi il a choisi comme personne de "mourir d'amour enchaîné" !
JÉSUS, FORÇAT DE L'AMOUR, ESCLAVE DE LA JUSTICE.
Avez-vous déjà vu la vie et la mort de Jésus de cette manière-là ? Rien n'est plus juste, et rien n'est plus haut en matière d'amour et de don de soi.
Bien sûr qu'on ne parle pas là d'amour en tant que jouissance (physique ou même psychique) qu'on cherche à se donner, qu'on prend, voire qu'on vole, qu'on arrache, pour soi-même ! S'agissant de l'amour altruiste qui est le propre de la nature de Dieu, je parle là maintenant de l'amour manifesté par Dieu et par Jésus en notre faveur, à notre avantage.
Cela s'est passé quand l'humanité est parvenue à un stade de non-retour, il y a 2 000 ans. L'empire romain s'était alors déjà étendu au point où plus rien sur la terre ne pouvait et ne pourrait l'empêcher de devenir au fil du temps le premier gouvernement mondial !
Les israélites (juifs) en tant que peuple unique mis à part par Dieu pour contrer les puissances démoniaques et Satan, étaient tombés sous cette botte romaine à cause de leurs fautes non pardonnées (injustices, idolâtrie, désobéissances...).
Derrière cet empire et les césars qui vont se succéder, Satan et ses légions d'anges déchus. Leur finalité : parvenir à un contrôle sans fin (éternel si l'humanité se perpétue éternellement) de tout le genre humain. Souveraineté que Dieu devra leur consentir si effectivement un jour plus aucun humain ne se soucie plus du Dieu véritable et de ses paroles, directives, conseils...
On est là comme au temps de Noé, où l'humanité qui s'était corrompue avec les démons (appelés aussi fils de Dieu) est condamnée, qui ne sera sauvée que par le concours de Noé et sa famille, en tout huit personnes.
Il y a 2 000 ans donc, à l'exception d'une poignée de personnes sans force... que leur foi, tous se sont soumis à des faux-dieux - César s'est imposé comme Dieu sur terre - ; à d'autres idoles de bois, de pierre ou de fer ; à des trafics où la valeur de l'argent l'emporte sur l'équité et le respect des personnes. Les responsables de la religion donnée aux israélites sur le mont Sinaï sont des orgueilleux et des fourbes privés de discernement spirituel, dont "le père est le diable", leur dira Jésus.
La Bible nous révèle qu'à cette heure, il y a par toute la terre, fidèles à Dieu, capables de l'entendre parler et d'obéir à sa voix, au moins quatre personnes ! Un vieil homme nommé Siméon, une très vieille veuve nommée Anne, une jeune fille nommée Marie, et son fiancé qui va suivre le mouvement : Joseph. Un mince cordon tressé de vies attachées par la foi à Dieu, dont il sait bien qu'il ne peut rien attendre de durable. Sauf, sauf à lui permettre de jouer une carte unique, son ultime carte, son va-tout, qui consiste à s'incarner lui-même dans un corps pleinement humain !
Ainsi paraît Jésus, qui grandit jusqu'à pouvoir affronter dans un désert, et ne pas succomber à Satan, le diable en personne, alors qu'il a 30 ans.
A partir de là, il peut déployer sa force divine auprès de ses désormais semblables qu'il trouve en piteux état sous la puissance de maux divers. Dans son amour pour le genre humain qu'il vient défendre, il touche des lépreux pour les purifier, il rappelle des morts à cette vie.
Et puis, dans la force et volonté de cet amour, il va jusqu'à donner sa vie pour le sauvetage du genre humain... sans que personne ne s'en doute. Sans ce sacrifice, tous les vivants seraient et resteraient aujourd'hui encore esclaves absolus de la puissance angélique dévoyée... si encore l'humanité n'avait pas déjà été anéantie.
JÉSUS MEURT D'AMOUR ENCHAINÉ
Jésus a donc choisi et décidé de se laisser faire prisonnier de l'amour et de la justice de Dieu, celle-ci réclamant la vie d'un juste pour payer à la place de tous les coupables qui n'ont pas les moyens pour se sauver eux-mêmes. C'est toute la terrible et Bonne Nouvelle qu'est l’Évangile ou venue et œuvre rédemptrices opérées par Jésus, devenu ainsi Seigneur sans égal. Lisons dans la Bible :
Où Jésus annonce ce qu'il est et qu'il va mourir : "Jésus dit encore : En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis.8 Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands ; mais les brebis ne les ont point écoutés.9 Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera et il sortira, et il trouvera des pâturages.10 Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance.11 Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis.12 Mais le mercenaire, qui n'est pas le berger, et à qui n'appartiennent pas les brebis, voit venir le loup, abandonne les brebis, et prend la fuite ; et le loup les ravit et les disperse.13 Le mercenaire s'enfuit, parce qu'il est mercenaire, et qu'il ne se met point en peine des brebis. Je suis le bon berger.14 Je connais mes brebis, et elles me connaissent,15 comme le Père me connaît et comme je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis...
Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre.18 Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même ; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père."
Où Pierre redit pourquoi Jésus a été mis à mort et la suite : "Christ a souffert une fois pour les péchés, lui juste pour des injustes, afin de nous amener à Dieu, ayant été mis à mort quant à la chair, mais ayant été rendu vivant quant à l'Esprit,"
Effet 1 de la manière dont Jésus s'est fait forçat de l'amour, esclave de la justice divine : "Celui qui a été abaissé pour un peu de temps au-dessous des anges, Jésus, nous le voyons couronné de gloire et d'honneur à cause de la mort qu'il a soufferte, afin que, par la grâce de Dieu, il souffrît la mort pour tous.10 Il convenait, en effet, que celui pour qui et par qui sont toutes choses, et qui voulait conduire à la gloire beaucoup de fils, élevât à la perfection par les souffrances le Prince de leur salut...
14 Ainsi donc, puisque les enfants participent au sang et à la chair, il y a également participé lui-même, afin que, par la mort, il anéantît celui qui a la puissance de la mort, c'est à dire le diable,15 et qu'il délivrât tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans la servitude.16 Car assurément ce n'est pas à des anges qu'il vient en aide, mais c'est à la postérité d'Abraham (tous ceux qui marchent par la même foi qu'Abraham).17 En conséquence, il a dû être rendu semblable en toutes choses à ses frères, afin qu'il fût un souverain sacrificateur miséricordieux et fidèle dans le service de Dieu, pour faire l'expiation des péchés du peuple ;18 car, ayant été tenté lui-même dans ce qu'il a souffert, il peut secourir ceux qui sont tentés."
Effet 2 : " - Que faut-il que je fasse pour être sauvé
- Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille."
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croiten lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu."
Sachant, à vous de jouer votre vie, de la meilleure façon possible. Soyez béni-e.
Guide pour commencer à prier Dieu...
Published by Claude Thé
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