16 mai 2020
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Face à la réalité,
on peut se faire des films,
se raconter des histoires...
alors que la vraie histoire est
sans doute infiniment plus novatrice,
excitante, large, profonde...
que tous les scénarios à l'eau-de-rose ou catastrophe qui peuvent exister.
QUELLE HISTOIRE QUE CELLE-CI !
Incroyable ! Oui, c'est bien quelque chose d'incroyable qui est arrivé !
Mais notre monde, qu'on veut voir et gérer par la raison et la science, peut-il donc être habité par des réalités incroyables ? Incroyables, et que pourtant nous sommes bien obligés de croire, quand elles ont des effets tellement tangibles, puissants, avérés, qu'on doit bien les admettre pour vraies !?
Alors tant pis pour les athées qui ne croient qu'à ce qu'ils voient ! Osons avancer en croyant aussi à ce qui dépasse les ordres ou pronostics naturels et raisonnables.
Oui, n'est-elle pas inouïe cette histoire faite de petites choses qui cependant peuvent aller jusqu'à changer la condition humaine sur la planète entière !?
Je veux ici la réécrire en peu de mots (sentis, justes, fidèles) pour qu'on se la réapproprie mieux.
Quelle histoire, quand un étrange et minuscule brin de vie, apparait soudain en plein cœur de l'hiver. D'un hiver froid, surtout par l'atmosphère pesante qui envahissait et flottait sur les rues, les saisissaient de spasmes jusqu'à des rixes, des bris d'étals marchands. Tout une tension invisible mais sensible, à la fois de l'ordre de l'invasion et de l'insurrection maîtrisée, dans les villes, voire dans les campagnes, dans toute une province.
ÉTAT DES LIEUX, ÉTAT DE CRISE
Ah, quand s'impose du haut d'instances gouvernantes quelque volonté farouche de faire - peut-être de vouloir bien faire, mais par quelle méthode politique violente ? Par quels moyens coercitifs ? Au nom de qui ou de quoi ? Dans tous les cas contre le peuple, contre l'humain, système contre individu : un rapport de forces vieux comme le monde. Le pot de fer contre les pots de terre...
Vieille question parallèle : Le bien comme l'amour, peuvent-ils s'imposer, être imposés par quelque force, par quelque extorsion ?
Un bras de fer finit toujours par plier les populations, les fatiguer jusqu'à la résignation, l'acceptation, la soumission, sinon c'est encore par de nouvelles brutalités que la victoire reste aux puissants. A ceux hissés à quelque chose qui tient du pouvoir souverain. Hissés au rang de dominateur, que ce soit par la ruse, par guerre ou révolution, ou plus civilement par des promesses électives.
INESPÉRÉ, L'IMPRÉVU, L'IMPRÉVISIBLE
Et puis voilà comme un grain de sable qui enraye toute une grosse mécanique, des systèmes qui semblaient indéboulonnables.
C'est que l'homme, l'être humain qu'il soit homme ou femme, à tous niveaux, ne maîtrise jamais tout.
Et certainement pas une chose si petite qu'on ne la voit pas, qu'elle peut passer un bout de temps inaperçue, bien qu'elle soit effectivement là et vibre déjà de sa potentialité.
Invisible, mais un processus est en cours. Dans le secret une grande résistance conçue et fomentée dans de hautes sphères. Résistance aux systèmes qui dominent et ont la main sur les mouvements, volontés et libertés des troupeaux humains.
Résistance pour faire advenir dans le chaos un ordre nouveau, au service de nouveaux leaders.
Un processus comme la chose se développent en catimini donc, croît, devient comme un projectile - pourquoi pas un caillou, mais poli dans le lit de la rivière, et choisi, comme celui mis dans sa fronde par David face au géant Goliath.
Projectile qui va percuter les plus hautes montagnes et les mettre par terre. Le moindre va vaincre le +++, l'encore invisible ce qui aveugle tant sa puissance (armée, économique, idéologique) est mosntrueuse. Quelle drôle de stratégie que s'attaquer aux grands par un petit ? De façon de combattre ? Qui parierait sur un tel stratagème ?
Et quel père a bien pu être un tel concepteur et géniteur ? Un scientifique expert, un biologiste doublé d'un sage - ou d'un fou !? - à nul autre pareil !?
Comment penser à créer une chose si petite pour un effet si grand ?
LES MYSTÈRES, LÀ POUR ÊTRE DÉCRYPTÉS
Cela tient du mystère. Mais je crois que les mystères ne sont pas là pour le rester ! Ils doivent nous provoquer et être provoqués, attaqués, poursuivis et pénétrés jusqu'à livrer du bien qui est en eux, encapsulé.
Du bien d'autant bénéfique que la coquille du mystère résiste fortement aux assauts de la foi en la réussite, du vouloir-savoir et de la persévérance.
Et voilà donc qu'un jour le chamboulement commence ! Déjà un peu visible mais pas étendu, dans une famille, puis un quartier, dans une province, où quelque chose finalement échappe au contrôle même le mieux rôdé.
Car tout est censé être sous contrôle. Rien ne doit échapper. Mais le sort de l'homme et le destin des sociétés et civilisations sont-ils en notre pouvoir ?
C'est un contre-pouvoir qui se forme doucement, subrepticement, se structure un peu. Une solution radicale face aux aveuglements et aux incuries, à partir d'un seul et premier corps frêle, vulnérable, peut-être sans défense pour dire non.
Un corps qui laisse, comme peut se soumettre une âme, ce quelque chose encore inconnue qui tient de la vie (sans en être vraiment) se développer en lui, se nourrir de lui.
Le départ d'une dynamique contagieuse possible, dépendante mais un jour capable de traverser seule toutes les barrières, de sauter les frontières ouvertes ou fermées, pour prendre place dans beaucoup beaucoup de corps, de toutes communautés et nationalités, de toutes couleurs, de tous continents, de toutes langues.
On appelle une pandémie une telle invasion ! De pan qui veut dire tout, totalité, et de démos qui veut dire peuple, population !?
DE L'INVISIBLE DANS LE VISIBLE
Dès que la chose s'est sue, l'autorité, se sentant menacée dans sa position, ses développements, ses vues et projets impérialistes, a réagi. Avec violence, mettant hors d'état de nuire quiconque dans le secteur pouvait être le danger porteur d'une vraie et grande menace mise en route.
On ne prend pas alors de gants pour tuer la vie dans l’œuf.
Il faut donc se confiner, se cacher, fuir dans la mesure du possible en attendant que le niveau d'alerte retombe.
Bien que globalement on l'oublie au fil des jours, aujourd'hui encore ce vecteur révulsif pertinent est là, présent mais discret, que notre âme et notre chair n'aiment pas naturellement. Et pourquoi !? Quel gain essentiel laissons-nous en suspens si nous ne savons pas lire et tirer de lui le bien qu'il recèle et nous offre !?
Voilà le tableau. Alors, à quoi, à qui, cette peinture en demi-tons, en clair-obscur, vous a-t-elle fait penser ? En un mot, en un nom ?... Fastoche ! Vous avez trouvé donc ?
VÉRIFICATION DE VOTRE PERTINENCE
Voilà quand même en d'autres mots ce que j'ai écris là sans rien déformer de l'histoire. Vérifiez donc > en cliquant ici < si vous aviez bien vu ?
Soyez béni-e.
Published by Claude Thé, humanité et spiritualité
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