2 septembre 2021
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La mort non seulement frappe sans cesse, mais surtout elle frappe de plus en plus (hormis pendant et dans les guerres) de manière violente, sidérante, surprenante... comme si le monde était conduit par des hasards meurtriers ou par l'absurde tel que le voit les athées.
Or, il est bien évident, pour le chrétien qui ne veut pas se laisser distraire des lois de cause(s) à effet(s) sur lesquelles tout se régit dans la nature (terrestre et céleste) et parmi nous, que si tout semble perdre du sens, se dérègle, s'appauvrit, se pollue, se décompose... ce n'est que parce que nos existences se vivent largement et lourdement sans Dieu - sans le Créateur et Rédempteur qui voudrait bien nous éviter tous ces ennnuis, tous les drames, les abus et manipulations, les assassinats, les corruptions, etc...
Et comme la mort menace ainsi d'autant nous sommes ignorants de Dieu, de ses lois et des notions de fautes (de transgressions morales et spirituelles de toutes sortes) et de jugement, voici un article très approfondi sur LA MORT...
MAIS QU'EST-CE QUE LA MORT ?
Voilà un mot singulier qui en réalité recouvre quatre réalités bien distinctes¤, qu'il nous est fort avantageux de suffisamment connaître. La vie ne se terminant bien sûr pas à la mort physique - qui n'est que la face la plus visible di iceberg MORT avec ses trois autres faces.
Et toutes et chacune de ces réalités nous concernent d'une manière ou d'une autre, maintenant ou un jour à venir plus ou moins éloigné. Surtout, elles ne sont pas
sans des effets, très différents et très conséquents,
dont il est bon de ne pas être ignorant...
¤
Quelques mots d'abord sur ce qu'on appelle généralement la mort, celle qui est la plus évidente à notre conscience.
1 - LA MORT PHYSIQUE
On pourrait l'appeler plus justement mort physiologique. C'est celle qui se voit, qui laisse un corps qui refroidit, se raidit et, dépouillé de la vie, va se décomposer. Elle témoigne de la séparation invisible mais réelle de l'âme ou du couple âme-esprit du corps, montrant que la matière en elle-même, si elle peut être vivifiée (de la physiologique des végétaux à celle de l'humain), n'est pas la vie en soi. Si nous avons des existences matérielles, la vie elle, n'est pas matérielle.
Parmi ses apports, Jésus est venu dire au sujet de la mort : c'est un sommeil (versets 11 à 14) ! Un sommeil par rapport à ce côté du Réel. Un sommeil tel que lorsque Jésus appelle Lazare d'une voix très forte, ce mort (physiquement) depuis quatre jours est réveillé à ce monde et sort de son tombeau.
Cette fin peut s'avérer soit
a) une bonne chose, l'Eternel-Dieu l'ayant prévue pour que nous ne vivions pas éternellement dans notre condition "adamique", c'est-à-dire accidentée, dramatique, duelle, cruelle, chaotique, où le mal le dispute le plus souvent avec succès sur le bien.
En effet, par cette mort, le chrétien entre bien plus librement dans le Royaume de Dieu. Sa relation à Dieu établie avant qu'il ne meurt se poursuit dans les dimensions psychique et spirituelle "en esprit et en vérité".
Luc: 23.43 - Apocalypse: 2.7 - 2 Timothée: 2.11 - 1 Corinthiens 15.12
b) soit un drame réel pour celui/celle qui part et ceux qui restent, notamment lorsque ce jugement tombe sur de jeunes vies, interrompt des existences avant qu'elles aient le temps de se déployer dans quelque liberté effective... et sans que le défunt ait appris au préalable comment partir du bon côté, quoi faire pour un "départ "qui conduise sur la bonne destination.
MOURIR C'EST PARTIR D'ICI...
Départ de quoi ? (le corps restant là comme esseulé, privé de son essentiel comme une voiture abandonnée par son conducteur).
Départ pour où ?... Nos existences vécues pour finalement être comme jetées dans un train (une poubelle ?) sans savoir où cela nous emmène (Ça ne vous rappelle rien, des années 39 et suivantes ?).
La mort physique, c'est donc le détachement de l'âme (en grec la psyché, le vrai siège de notre réalité consciente) qui, sans relation établie avec Dieu, reste un moi-je conscient, mais qui ne s'appartient plus.
Que devient donc l'âme lors de la mort physique ?
La Bible enseigne qu'elle a deux destinées immédiates possibles :
- le paradis ou séjour béni de Dieu pour ceux qui ont cru en Jésus comme étant leur Sauveur ;
- le "séjour des morts" (shéol en hébreu ou hadès en grec ancien) où sont collectées par les anges déchus de Satan les âmes séparées de leur corps sans avoir trouvé en Jésus le moyen d'une réconciliation avec Dieu. Seule cette réunion et paix par Jésus qui les eut réintroduit en Dieu par une alliance scellée par le sang de la mort de Jésus et l'Esprit de Dieu.
Dans les deux cas, il s'agit d'une situation provisoire, bonne pour les uns, terrible pour les autres, en attendant la résurrection finale des corps. (voir article sur les Résurrections)
Question :
N'est-ce pas curieux, étonnant - interpelant en fait ! - qu'on sache si peu sur ce sujet crucial, à la fois si personnel et universel, et que globalement, sociétalement, par l'école ou autre, on ne cherche pas plus à savoir ?
C'est justement un des effets notoires de notre condition (déchue, abimée, handicapée), que nous inversions la hiérarchie des réalités importantes et des réalités secondaires...
2 - LA MORT SPIRITUELLE
C'est la plus essentielle, aux conséquences les plus désastreuses si on reste en l'état. C'est le retrait (envol, extinction) de notre esprit, la part de la vie de Dieu adaptée à notre réalité humaine. : expression la plus complète de vie transmise (insufflée**) par Dieu autrement appelée arrhes de l'Esprit .
Sans lui on est déspiritualisé, réduit à une constitution animale (âme + corps), capable dès lors de devenir parmi les pires ici-bas, et encore destiné au pire de la vie après la mort physique...
L'esprit se distingue donc assez nettement de l'âme. Il concerne nos relations verticales (relation avec Dieu, discernement des mauvais esprits, c'est notre conscience morale globale objective).
L'âme est pour sa part, via les transmissions génétiques, une émergence de la vie physique (corporelle, physiologique), notamment (attachée) par le sang (comme il est écrit dans le 3e livre rapporté par Moïse : le Lévitique).
Parlant de l'âme, on parlera de psychisme, de tout ce qui est psy, psyché (de psuké en grec avant que le latin et le français ne paraissent et donne l'âme (du latin anima).
L'âme est essentiellement le lieu immatériel de formation et siège de notre moi-je (ego, le cœur de notre entité individuelle ou personne consciente d'avoir une existence en soi). Elle a été conçue pour la gestion du soi matériel ou charnel et des relations horizontales avec nos environnements.
La mort spirituelle est celle qui est intervenue immédiatement, conformément à ce que Dieu avait averti (Genèse chap. 2), quand Adam et sa femme succombèrent à la tentation dans le jardin d'Eden. Ce n'est que de très nombreuses années après, qu'ils sont morts physiquement.
Les effets majeurs de la mort spirituelle sont décrits au chap. 3, et se voit toujours parmi nous, dans l'histoire de l'humanité, dans notre actualité et notre existence personnelle : c'est la peur, le sentiment d'insécurité, la difficulté à comprendre ce qui nous arrive, un sentiment de nudité qu'on cherche à résoudre de diverses manières et une manière délibérée de mettre sur le dos de l'autre ou des autres les problèmes dont nous sommes personnellement tout aussi responsable.
A la suite c'est l'irritabilité, la méchanceté (qui se manifestera chez Caïn le 1er né) puis les vols, le
s meurtres, attentats, guerres, mensonges, tromperies, manipulations... qui font la dominante récurrente des pensées, paroles et actions de la terre.
Vivants en état de péché ou sans couverture assez immédiate de nos fautes, c'est-à-dire sans confession réelle (à distinguer de confessions formalistes sans conscience du mal) et sans pardon (non seulement demandé mais obtenu), ici-bas déjà nous mourons (à Dieu, à la vie de l'esprit) chacun spirituellement. Morts dans nos offenses" comme il est bien expliqué dans la lettre aux Éphésiens au chap. 2. vers. 1 à 9.
C'est la raison pour laquelle nous ne sommes pas des êtres naturellement spirituels. Sans son esprit en nous, la réalité de Dieu nous échappe, ne nous intéresse même pas. A la rigueur on peut recevoir une instruction religieuse qui nous rend croyant, mais sans pour cela nous redonner automatiquement l'Esprit de Dieu. C'est pourquoi on assiste dans la Bible à cet étrange dialogue entre Jésus et un leader religieux qui vient le voir de nuit...
C'est premièrement de cette mort que Jésus est venu nous sauver car elle a pour notre âme (esseulée, ou encore accompagnée d'esprits maléfiques) des effets durables au-delà de cette existence terrestre. Car c'est en nous redonnant sa vie en ce qu'elle est éternelle, que Jésus peut sauver à la suite notre âme, nous sauver de la perte de la conscience de soi.
(On y reviendra avec notre 4e point, et vous pourrez aussi voir en complément l'article Les 5 formes de résurrection, - la résurrection étant une autre réalité que nous vivrons tous et chacun pour soi - en fonction de l'état dans lequel soit nous resterons sans être pardonnés et en ordre avec Dieu, soit nous aurons été réconciliés avec lui pour recevoir en nous son Esprit-Saint éternel).
Être sauvé-e par la foi dans le sens et la valeur de cette crucifixion, c'est pouvoir recevoir (à nouveau) la vie de Dieu, c'est-à-dire le don par son Esprit d'une part de lui-même qui, unie à notre âme, nous vivifie, nous rend conscients des réalités spirituelles, nous transforme et nous destine au Royaume éternel des cieux (ou paradis)... plutôt que dans le séjour cloaque où sont précipités les âmes sans Dieu.
La solution ?
Comme Dieu créa par son souffle la race humaine en Adam, Jésus crée une nouvelle humanité en ses disciples : cela dit par Jean - dit par Pierre.
Hors d'une telle véritable recréation de soi par l'Esprit Divin, cette mort spirituelle est dramatique et très conséquente. Elle rend toujours
- nos conditions d'existence plus difficiles, moins compréhensibles (incohérentes jusqu'à l'absurde), plus douloureuses, insécurisées... ;
- nos personnes plus vulnérables, instables ou amorphes, insuffisantes, difficiles à vivre, à relationner...
- et les satisfactions ou succès toujours aléatoires, incertains, éphémères... et cela aussi parce qu'on meurt tous au plan physiologique, obligés de tout laisser de notre matérialité.
3 - LA MORT DE JÉSUS
Elle est différente de toutes les autres morts d'êtres humains. En ce sens qu'elle n'était pas obligée pour Jésus comme elle est obligatoire pour nous.
C'est une mort qu'il a acceptée de subir, sachant que ce serait dans un déchaînement de violence et d'injustice les plus démentielles.
Il acceptait en fait de cette manière de se soumettre au jugement de Dieu sur les fautes des hommes et des femmes de tous les temps et de tous les lieux - dont il prend la place en prenant le péché (leurs dérèglements). Selon que "le salaire (la conséquence, le résultat, le produit) du péché, c'est la mort" comme écrit en Romains.
COMMENT JÉSUS NOUS SAUVE-T-IL?
Par son sang versé sous les coups terribles de la flagellation qui précède sa crucifixion, par les épines enfoncées dans sa tête, et les clous de ceux qui se soumirent à leur méchanceté.
Par sa mort qui résulta de toutes sortes d'iniquités humaines boostées par des pensées et autres invectives des démons qui étaient là (pour avoir des droits sur eux et par eux) participant à cet événement unique dans toute l'histoire des hommes...
Jésus accepte d'être fait là "homme générique", le type complet de l'humain déchu, irrécupérable par lui-même dès lors qu'il est séparé de Dieu. C'est à ce point vrai que, laissé depuis le jardin de Gethsémané totalement et seulement homme, il ne peut que crie comme un homme perdu.
Subie, "accomplie" par Jésus, la mort est là totalement substitutive (à notre place), expiatoire (qui paie le prix global, cumulé, de toutes les fautes humaines), et propitiatoire (qui nous rend Dieu propice, favorable, réconcilié avec l'humain, puisque c'est aussi là un accomplissement de la justice parfaite). S'agissant de l'homme mort spirituellement (à Dieu), il faut, pour annuler cette situation de séparation, une mort de remplacement : mort pour mort, celle de Jésus pour nous ; celle de Jésus pour toi et pour moi.
LE DOUBLE EFFET DE LA JUSTICE DE DIEU
Et comme Jésus pour sa part personnelle n'a jamais péché, si c'était bien dans une justice qu'il mourait ainsi à la place des coupables qu'il voulait sauver, c'était aussi une terrible injustice, aux vues de sa propre existence, irréprochable, qu'il est mort.
C'est pourquoi aussi c'est en toute justice qu'il est ressuscité - recevant du coup un corps nouveau, immortel, incorruptible et donc éternel, pour lui-même et encore comme image pour nous de ce que Dieu veut faire avec quiconque entre dans ce plan B de la création humaine : offrir une seconde vie, toute nouvelle, amplifiée, et qui sera sans mal et sans fin.
La mort de Jésus fut des plus ignominieuses, la plus sacrificielle, le plus grand don de Dieu fait au genre humain. Mais aussi elle s'avère la plus fructueuse, la plus glorieuse, celle qui renferme potentiellement le salut du monde entier (selon cette parole, et celle-ci). Seule notre liberté personnelle de choix peut nous fermer la porte de cette grâce imméritée. Selon que nous préférons continuer à vivre en commettant le mal d'une ou plusieurs façons, plus qu'en désirant le bien, ce qui est juste, honnête, respectueux.
Rien n'est plus profitable que de saisir pourquoi Jésus est mort, et de venir au bénéfice des bienfaits - immédiats et éternels - de cette mort si particulière...
"Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation...21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."
Ou encore ce qu'écrivit le prophète Ésaïe plus de 600 ans avant cette venue sacrificielle de Jésus (chap. 52, vers. 13 à chap. 53, vers. 12).
Cette mort évite à quiconque - il suffit de mettre son nom ou prénom à la place de quiconque > Cette mort évite à ....................., du moment qu'il croit en Celui qui est mort ainsi, de vivre sans avoir à souffrir la séparation de son corps, et surtout sans avoir à connaître le 4e type de mort qu'on va voir à la suite: "Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ;26 et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ?"...
Une croix qui domine une tombe !
Quelle compréhension de cette représentation avons-nous,
qui dit - normalement ! - que le défunt s'est mis au bénéfice de la mort
et sous la protection de la résurrection
du Christ Jésus (Yeshoua HaMashiah) en vue de la sienne ?
4 - LA MORT PSYCHIQUE - ou DE L'ÂME
La mort psychique est à voir comme la fin de la conscience personnelle. La fin du moi-je relativement libre qui pense et se pense, ressent, aime ou déteste, imagine ou massacre, gère ou dilapide, choisit ou pas, et au final va être jugé d'une manière ou d'une autre (les deux manières étant bien différentes...)
Cette mort irrémédiable peut apparaître au moment non de la mort physique, mais de la (seconde) résurrection en vue du jugement (dernier, versets 11 à 15). Ainsi est-il mis fin à tous les acquis et efforts,de l'existence, à toutes les possibilités de déroutages de vies et autres corruptions et perversions apparues sur cette terre.
Elle n'est pas une fatalité comme est la mort du corps, comme si tout était écrit sans nous. Non, elle est une sombre possibilité qui dépend de nous plus encore que de Dieu.
Elle - on, chacun - dépend de nos choix, pensées, paroles, actions et réactions.
Par notre âme nous gérons un espace et un temps de liberté. Une liberté si véritable qu'on peut prendre des libertés... qui souvent n'en sont pas, trompeuses et dangereuses (aussi) pour nous-même, hors de ce qui est réellement bien pour nous et/ou pour les autres :
Liberté de fumer n'importe quoi jusqu'à mettre notre corps à mort ; de boire ou se droguer jusqu'à perdre parfois temporairement la notion de soi justement ; liberté de mentir, voler, violer, assassiner... Et nous ne serions pas jugés ? Par la justice humaine quand elle nous rejoint ; et par la justice divine, à laquelle qui peut, de ce côté-ci de la vie et ensuite de l'autre, se soustraire ?
Ici-bas nous vivons des jugements relatifs, pour nous arrêter ou corriger dans nos mauvaises trajectoires. Mais le jour où le temps est accompli de cette liberté très permissive, ne serions-nous pas jugés, c'est-à-dire condamnés... ou graciés, rachetés, sauvés si nous comprenons à temps comment l'être ?!...
Alors entendons-le encore une fois : On échappe à cette mort anéantissement de soi - du moi-je individualisé que nous sommes devenu -, en croyant à celle de Jésus qui s'est sciemment anéanti pour stopper ce naufrage de l'humain. En le voyant prendre sur lui, cloué sur une croix, nos fautes, notre impiété ou religiosité égarée, pour que nous puissions en être pardonnées, affranchies, justifiées, purifiées, - totalement en tant que fautes, et plus ou moins partiellement en tant que conséquences****.
La foi en Jésus et en la valeur de sa mort pour notre âme permettra à ses bénéficiaires d'être ressuscités (à certains même de ne pas passer par la mort (un détail ici...).
Pour les autres, il faudra attendre plus de mille ans, dit le livre de l'Apocalypse, avant qu'ils ne soient tous ressuscités pour paraître devant Dieu en jugement. Lire Apo 20.11-15.
Suite à ce jugement les âmes, c'est-à-dire ceux qui ne voudront pas du plan B de Dieu (de sa Rédemption par la foi en Jésus), devront, par leur choix délibéré, par leur obstination et inintelligence, aller à la perdition éternelle de leur personne (via un étang ardent de feu et de soufre préparé pour Satan et autres démons qui auront persévéré dans leur endurcissement sans retour).*****
"Mais pour (ceux qui resteront) lâches, incrédules, abominables, meurtriers, impudiques, enchanteurs, idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort."
Bon choix de vie. Bénédictions.
Pour guider Des prières de déculpabilisation et paix avec Dieu, cliquez ici
Autre article sur les rêves, songes, cauchemars, visions
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¤ Ailleurs j'ai parlé d'une cinquième forme de mort, s'agissant de "mort à soi" selon ce qu'en dit la Bible, lorsqu(en tant que croyant, on choisit de préférer à notre volonté propre, en cas de divergence de vue, de faire celle de Dieu...
* Comme beaucoup d'autres mots importants, mort est un mot typiquement singulier : la mort ; mais c'est surtout un mot pluriel, qui se décline bien en cinq manières bien distinctes.
C'est en réfléchissant sur les cinq lettres finales de l'alphabet hébreu (langue d'écriture initiale de la Bible) que de cette symbolique je suis arrivé à la réalité de cinq fins ou séparations (séparation c'est le sens primordial de la mort) nous concernant. En tout deux séparations en notre défaveur, une pouvant s'avérer favorable ou ennemie, et deux des plus préjudiciables...
Dieu est un de ces vocables principalement singulier mais aussi multiple (Père, Fils, Esprit-Saint par exemple). En hébreu dans l'Ancien Testament, Dieu est souvent appelé Elohim, pluriel de Eloha. Et c'est ainsi pour la mort(s), la vie(s), la résurrection(s), la personne humaine (avec ses éléments séparables)...
** A l'origine "L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vieS et l'homme devint un être vivant." Vie est là dans le texte original un pluriel (chayim) qui se réfère à l'âme et à l'esprit.
*** Lire aussi sur la mort physique comme notre... 4e commencement.
**** C'est pourquoi même devenus chrétiens, nous pouvons subir des effets de nos fautes antérieures ou nouvelles fautes répétées, des maladies, accidents, et la mort physique qui est une conséquence irrévocable de notre condition adamique. En ce sens il est écrit que Dieu pardonne les coupables, mais il ne tient pas le coupable (même pardonné) pour totalement innocent dans cette vie...
***** Dans ce déroulement de la vie humaine, une part reste un mystère quant au devenir éternel de qui n'aura pas trouvé en Jésus son Sauveur : Une fois passé par le jugement dernier, la Bible dit clairement qu'il ne restera concernant tout le mal qu'un "étang ardent de feu et de soufre". Un espace que le Créateur a dû initier suite à la rébellion des anges, pour les arrêter dans tous leurs agissements coupables car ils sont éternels en eux-mêmes (un jour prochain).
Apocalypse 19.20 - Apo 20.10 - Apo 20.14, 15 - Apo 21.8
Que peut-il se passer dans cet enfer dernier pour quelque homme ou femme qui ne trouverait pas ailleurs une solution acceptable - de Dieu -, au problème du mal dont ils ne se seraient pas départis ? Si on est un-e rebelle entêté-e, un-e libre-penseur suffisant-e, c'est encore le moment de considérer cette question, de comprendre la réponse et de choisir entre une pensée impie que rien ne fonde (que la liberté totale limitée à cet espace-temps dont on est provisoirement pourvue) et ce que Jésus et la Bible annoncent...
Published by Claude Thé, humanité et spiritualité
-
dans
la mort, mais encore
Ce que la Bible enseigne
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