Bien sûr la réponse est zéro chance sur des milliards. Mais qui se soucie de cette supercherie phénoménale qui tient notamment l'Occident habité sous les effets graves de cette usurpation ?

Shakespeare faisait se poser à Hamlet La question essentielle de l'être (= de l'éternité, dela rédemption ou pas) : "Être ou ne pas être - to be, or not to be -, telle est La question  - that is the question - !"

Celle de l'origine et des organisations pérennes fonctionnelles de l'univers est aussi d'une grande importance, car si on croit que le hasard est créateur, on se ferme à la possibilité - et réalité - que Dieu soit, alors que si on croit que l'univers est sorti de la pensée de Dieu, on peut avancer pour soi vers la question que pose Hamlet.

"Dieu ne joue pas aux dés", disait Einstein !

Il suffit de préférer la vérité à une conviction dont on a pu abusivement être marqué dès notre enfance, pour atteindre la vérité. Car toute vérité est vérifiable en tant que telle, même si elle n'est pas immédiatement perceptible.

Dans un monde qui se désolidarise des vérités qui fondent les mouvements du vivant comme de ceux de la matière, c'est une responsabilité personnelles de connaître en vérité, et cela jusqu'à la réponse concernant cette capacité amenée par Jésus de pouvoir être, dans le sens de vivre éternellement, par la foi.

"Vraiment, je vous l'assure : celui qui observe mon enseignement ne verra jamais la mort." Évangile selon Jean, chap. 8.52

La mort est essentiellement une double séparation, du défunt avec ce monde, et séparation d'avec Dieu si son âme non pardonnée descend dans l'Hadès ou Shéol, le séjour des morts...
A l'opposé, celui qui met sa confiance en Jésus qui a affronté la mort et en est sorti ressuscité et vivant pour toujours, peut à son tour connaître une rédemption qui dévie du séjour des morts pour accéder dans la sphère divine et y vivre éternellement.

"Ainsi, celui qui est uni au Christ est une nouvelle créature : ce qui est ancien a disparu, voici : ce qui est nouveau est déjà là. 18 Tout cela est l'oeuvre de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par le Christ et qui nous a confié le ministère de la réconciliation.
19 En effet, Dieu était en Christ, réconciliant les hommes avec lui-même, sans tenir compte de leurs fautes, et il a fait de nous les dépositaires du message de la réconciliation. 20 Nous faisons donc fonction d'ambassadeurs au nom du Christ, comme si Dieu adressait par nous cette invitation aux hommes : « C'est au nom du Christ que nous vous en supplions : soyez réconciliés avec Dieu.
21 Celui qui était innocent de tout péché, Dieu l'a condamné comme un pécheur à notre place pour que, dans l'union avec le Christ, nous soyons justes aux yeux de Dieu." Nouveau Testament, 2e lettre aux Corinthiens chap. 5

>> pour avoir accès à la sphère divine dès ici-bas et maintenant, sans être confronté en conscience à la mort, un guide pour prier en cliquant ici pour vous aider dans ce pas personnel décisif <<

Nota : C'est par un calcul de probabilités qu'on obtient zéro chance sur des milliards pour que des jeux de hasard aient pu créer l'univers tel qu'il est.
D'ailleurs quelqu'un a fait la comparaison avec la pièce Hamlet, disant que croire que l'univers créé par pur hasard est de l'ordre d'une explosion survenant dans une imprimerie (quand les livres se faisaient par des milliers de caractères en bois ou en plomb qu'on assemblait un à un pour former les lignes et les pages), à partir de quoi apparaitrait l'écriture complète de la pièce de Shakespeare.

Faut-il que l'enjeu au sujet de cette vérité des origines soit capital pour qu'on persiste et signe, contre toute évidence, pour toujours enseigner la doctrine évolutionniste comme si elle était une théorie avérée, vérifiée, alors que les découvertes comme la simple observation des beautés et techniques de la nature,  disqualifient cette hypothèse... hasardeuse du jeune Darwin.