Le hasard ne peut être une cause qu'ayant été causée par quelque chose ou quelqu'un.
Et donc chaque hasard est en lui-même un effet, et non une cause initiale.

Car le hasard ne peut être une dynamique en lui-même. Sinon il serait une énergie permanente qui se manifesterait aléatoirement. Et d'où serait-il cela !?

Et si ce sont des nécessités qui mettraient des hasards en mouvement, en quête de solution comme font les moteurs de recherche, c'est le concept de nécessité qui serait le principe premier.... concept ou réalité d'où des nécessités émergeraient, même quand il n'y a rien avant elles.

On voit bien que la théorie évolutionniste qui veut déposséder Dieu de sa paternité créatrice n'est que de l'ordre de l'Ouroboros; le serpent qui se mord la queue et va finir par s’autodétruire (figure dont la transmission remonte à l’Égypte antique et dont l'origine provient sans doute de la compréhension qu'eut Moïse du "serpent ancien" sur lequel il écrivit dans son premier livre (La Genèse, chap. 3), lequel s'assujettit le genre humain dans le jardin d'Eden).

Cela ne nous rajeunit pas (lol !), tout en nous rappelant que l'origine humaine n'est pas si lointaine que ce que réclamerait un et des hasards innombrables créateurs...

La confusion matérialiste nous réduit à n'être qu'un amas de bactéries qui n'a pas eu besoin d'un Dieu créateur intelligent pour paeaître, vivre, se nourrir, se repoduire, en évoluant jusqu'à devenir un singe et puis nous. Oups, le conte de fée carabossé !

Pour émerger de cette vue autiste côté spirituel, il est bon de penser autrement qu'on est formé (formaté) en Europe. Dans le but de s'interroger soi-même sur la question du hasard et de Dieu. Faute d'une réponse solide à cet endroit, on est comme bâtissant des étages de maison sans fondation assurée sur du rocher ou des piliers bien enfoncés dans le sous-sol.

Et si cette démarche - qui nous distingue tellement des singes en tous genres :) - commence ou continue à vous tenir en haleine, vous trouvez ici aussi >> un guide pour prier Dieu afin de lui permettre de venir jusqu'à vous pour vous montrer qu'il entend et donc qu'il est bien vivant <<.

Bien cordialement,