Image de deux visages en un !
Celui de la jeunesse et celui de la vieillesse.
Une illustration de ce qu'on peut soi-même choisir d'être...
Ce qui compte, c'est AVOIR LE DERNIER MOT. On s'en rend bien compte dans plus d'un échange ou événement.
Un jour pour nous la mort aura le dernier mot ! UN dernier mot, car c'est Dieu – le véritable – qui aura le dernier de tous les mots significatifs.
...ce qui ne veut pas dire que nous n'avons rien à dire, avant !
Car le dernier mot pour tout, c'est la vie éternelle, ou une disparition à jamais : Entre les deux, il y aura eu pour nos consciences individuelles des plages de liberté...
La liberté n'est pas à élever et brandir comme un étendard, ni à manipuler comme un ballon, mais elle demande qu'on la traite avec l'attention nécessaire au déplacement d'un récipient plein de nitroglycérine (voir le livre ou le film Le salaire de la peur).
La liberté n'est pas un bien absolu, mais il s'agit d'une réalité aux effets relatives, tout comme l'exprime le grand médecin/chirurgien suisse Paracelse au XVIe siècle « Tout est poison, rien n'est poison, c'est la dose qui fait le poison. »
C'est pourquoi nous pouvons nous donner des libertés qui sont de vraies bénédictions, comme aussi des libertés... liberticies
(selon le dessin
de l'Ouroboros)
PREMIERS ET DERNIERS MOTS
Les premiers mots de la création de l'univers étaient, comme seront les derniers, Paroles créatrices de Dieu, « la Parole étant avec Dieu et étant Dieu » écrit l'apôtre Jean en tête de son évangile.
Ce qui fait dire à Jésus se présentant un peu plus tard au même Jean en être humain glorifié, métamorphosé, divinisé « 8 Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout-Puissant. » (Apocalypse 1.8).
Ce qu'il répète à la fin (22.8) « Voici, je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon ce qu'est son oeuvre. 13 Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. »
Alpha et Oméga sont les première et dernière lettre de l'alphabet grec.
Si donc notre existence est perturbée, semble n'avoir plus de sens, nous apparaît comme une vie dans un désert sans rien de solide à regarder à quoi se fixer pour avancer, sachons avec confiance que le Dieu véritable aura le dernier mot ; ce qui nous amène à croire en lui, peut-être pour la première fois, à lui faire encore confiance qui nous avons déjà saisi qu'il est réel et digne de foi.
Cette foi au Dieu vivant éternel indissociable de la personne de Jésus-Christ « Parole de Dieu faite chair » et devenu premier « homme nuveau », germe, prémices, d'une nouvelle humanité créée pour vivre éternellement avec Dieu, dans une liberté à la fois finie et absolue en Dieu, c'est-à-dire d'un autre ordre que celui de ce monde qui n'est qu'une matrice temporaire, provisoire, comme est le sein maternel pour l'apparition et la formation d'une nouvelle créature.
Comprenons donc aussi que le ventre de la mère, bien que sanctuaire très élaboré où une existence se forme, n'est pas à l'abri de tous les dangers, au point où une personne qui n'a encore que la forme d'un fœtus peut y être attaquée, blessée, et mourir en ne voyant jamais le jour sous le soleil.
Ce qui montre (par la loi des correspondances) que notre existence « solaire » même – qui a passé cette étape et franchi ce cap étroit avec succès – n'est pas certaine de traverser ce temps jusqu'à y trouver la vie autre, inaugurée en son propre corps par le Christ Jésus ; la vie projetée pour nous par Dieu, faite de « l'éternisation » de notre âme et le don d'un nouveau corps formé pour vivre éternellement.
insi, de la même manière que le fœtus va devenir être humain tel que nous sommes devenus, nous avons à « naître à nouveau », à la suite de Jésus le Messie et Christ dont il fut dit aux Colossiens (chap. 1) : « Il est l'image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création. 16 Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui. 17 Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui. 18 Il est la tête du corps de l'Eglise; il est le commencement, le premier-né d'entre les morts, afin d'être en tout le premier. 19 Car Dieu a voulu que toute plénitude habitât en lui; 20 il a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix. »
« Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d'entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous.
Telle est la clé, sans rapport avec quelque réligion que ce soit à pratiquer pour obtenir ce passage de notre finitude, existence temporaire maintenant ici-bas, à la dernière étape de ce projet de Dieu envers nous, qui est exactement ce qui se passe dans la nature avec la chenille par exemple, appelée à devenir un papillon.
Appelée dans le sens où ce processus de transformation est génétiquement écrit en elle, et qu'il se déploie en son temps, avec passage d'un sas de transformation qu'est la chrysalide, comme un automatisme naturalisé.
A la différence de la chenille – et la différence est majeure – pour nous cette métamorphose tient compte de notre capacité de compréhension et de choix, comme si la chenille pouvait dire Oui ou Non à la suite du projet divin qui gère sa fin d'existence.
Capacité de compréhension qui dépend d'une part de ce qu'on a entendu, ou pas, ce qu'il faut savoir au sujet de cette manière dont Dieu a conçu l'être humain en vue de partage avec lui de sa viee éternelle merveilleuse – qui est amour, paix, joie, partage, créativité, développements sans nombre et sans fin, et d'autre part de notre réponse à ce qu'il nous montre des conditions pour entrer dans cette potentialité suprême de notre présence ici-bas.
Qui peut être assez insensé pour ne pas mieux tendre l'oreille à un tel projet quand il vient jusqu'à nous !?
Qui serait assez sot, idiot, pour prendre cela à la légère et ne pas s'en soucier alors qu'il ou qu'elle va mourir demain – un jour certainement dans tous les cas – après avoir galéré, souffert, connu plus de difficultés et malheurs que de paix et de bonheur : Pour quoi !?
Cependant, la réalité est que, dans le confort ou quelque plaisir qu'on trouve encore satisfaisant et suffisant dans cette matrice, on peut préférer, choisir, de ne pas vouloir d'une émergence divine dans notre existence en réalité étroitisée, peu confortable, mal éclairée, dépourvue de forces contre certaines agressions...
Ce que Dieu respecte. Comme un usage possible, temporaire et responsable de notre liberté...
Puisse cela ne pas être « votre dernier mot »...
Pour entrer dans ce projet magnifique de Dieu, >> ici une page pour vous aider à parler à Dieu <<