Depuis deux mille ans, la Bible a prédit un temps d'obscurité sur toute la terre, qui va notamment se concrétiser par une marque, un marquage du genre humain. Ce sera planétaire !
AVEZ-VOUS DÉJÀ LU (TOUT OU PARTIE) DU LIVRE DE L'APOCALYPSE ?
(du grec apocalupsis qui signifie révélation)
Au chapitre 13 de ce livre biblique nous pouvons lire : Les deux bêtes... : « 11 Ensuite je vis monter de la terre une autre bête ; elle avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, mais elle parlait comme un dragon. 12 Elle exerçait toute l’autorité de la première bête en sa présence, et elle obligeait la terre et ses habitants à adorer la première bête, celle dont la blessure mortelle avait été guérie. 13 Elle accomplissait de grands signes miraculeux, jusqu'à faire descendre le feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. 14 Elle égarait les habitants de la terre par les signes qu'il lui était donné d'accomplir en présence de la bête ; elle leur disait de faire une image de la bête qui avait été blessée par l'épée et qui avait survécu. 15 Elle reçut le pouvoir d'animer l'image de la bête, afin que cette image puisse parler et faire tuer tous ceux qui ne l'adoreraient pas. 16 Elle fit en sorte qu’on impose à tous les hommes, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, une marque sur leur main droite ou sur leur front. 17 Ainsi, personne ne pouvait acheter ni vendre sans avoir la marque, c’est-à-dire le nom de la bête ou le nombre de son nom. 18 Il faut ici de la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence déchiffre le nombre de la bête, car c'est un nombre d'homme. Son nombre est 666. »
Si les injections en rapport avec la «pandémie» apparue il y a trois ans, ne sont pas (jusqu'à présent) cette marque-même, la pseudo-vaccination rendue pressante, planétaire autant que subite et inquiétante, présente plus d'un point commun avec la vision de l'apôtre Jean. En effet, elle se matérialise désormais sous nos yeux au temps décrit par ailleurs de manière significative comme « temps de la fin des nations », ce que figure notamment la formation d'une Europe politique :
L’acceptation a été non obligatoire mais la pression fut telle que beaucoup entrèrent dans ce processus comme n'ayant pas d'autre possibilité.
Aujourd'hui, la lumière est faite, notamment issue de scientifiques experts et intègres avec les vérités en soi ; des procès graves sont en cours d'instruction, que des juges vont avoir à juger « en leur âme et conscience » et, qu'ils y croient ou non, devant Dieu qui considère les êtres humains comme libres de faire des choix conséquents, responsables, coupables ou graciés.
Le processus d'appauvrissement ne date pas d'hier
Les autorités supérieures qui en traitent sont de nature spirituelle et non soumises à temporalité. Ce qui fait que les hommes passent, mais les stratégies déterminantes se déploient sur un long terme enjambant un règne politique ou financier à un autre, transcendant même les clivages et partis qui freinent des hégémonies rampantes (étant aussi une forme duelliste bien inintelligente de science politique).
C'est ainsi que des processus évolutifs culturels contre nature courent depuis plus d'un siècle en France. Déjà dans les années 50 avec une mixité fille-garçon, apparemment sans problème, où quand même on apprend aux garçons à tricoter et faire de la couture, et aux filles à jouer au rugby...
C'est alors seulement une première phase d'un progressisme qui, en trois générations, introduit les cours de sexualité en primaire, puis les mêmes avec toucher à partir de la maternelle, jusqu'au paroxysme transgenre, chez papa et maman, puis pour sou-même.
Et en parallèle avec des contenus de programmes scolaires régulièrement appauvris dans le contenu académique. On est passé du retrait du cours de morale à une instruction civique peu socialisante, jusqu'à des priorités de matières et de sujets inappropriées, ineptes, dévoyées, et désormais ces apprentissages dit woke (nouvelle équivalence, enfûmeuse, de l'adjectif plus significatif démoniaque ou diabolique, notamment dans le domaine très sensible de la sexualité (en rapport avec l'acte le plus intime et procréateur dépouillé de sa finalité, indirectement en lien avec l'acte grave, traumatisant et naturellement culpabilisant, l'avortemen, que, non content de l'avoir libéralisé à l'extrême, une minorité inspirée par le règne occulte de forces maléfiques veut maintenant faire entrer dans la Constitution pour mieux inféodérer le pays, l'Etat et la population (entière s'il n'y avait pas de résistance et si Dieu nous abandonnait à ces sens dissolus) aux esprits de l'iniquité qui pilotent de leur invisibilité les pensées des humains les plus près d'eux, pour mieux instaurer un ordre mondial sur la base de lois contre-natures – contre Dieu donc – dans les domaines les plus sensibles de la reproduction et des généalogies (car ces esprits sont éternels et veulent, une bonne fois, obtenir un blanc-seing de la totalité des êtres humains pour devenir leur dieu sans que le vrai (Dieu) n'est plus ne puisse plus intervenir sur cet espace de l'univers...)
Autant de sorties de route (du Bien) récidivées, également parties ou accompagnées d'une profonde méconnaissance de la personne humaine, ce qui a conduit à une déification (idolâtrie) de l'enfant : Il serait porteur en lui-même, de nature, d’une science infuse, pourvu à coup sûr et de manière généralisé, de ressources et de réponses correctes prédéterminées.
Son ressenti personnel inné, sans besoin d'éducation, de corrrections, serait plus pertinent que ce qu'une culture et des enseignants en phase avec la nature et son Créateur auraient à lui apprendre.
...Un ressenti cependant orientable à souhait si « on » sait bien s’y prendre, et c'est ce qui s'insinue toujours plus et se martèle de mois en mois, de jour en jour…
»C'EST LA FAUTE A ROUSSEA » ! CAUSE ENFOUIE EN QUELLE « LUMIERE »
Tout ceci n’est qu’un fruit véreux (autre synonyme de woke), de ce qu'on appelle « rousseauisme », selon que le naïf Jean-Jacques a vu l'être humain bon par nature, seulement corrompu à son encontre par la vilaine société.
C‘est donc la société organisée qui l’aurait malencontreusement conduit ou poussé à mettre les nombreux enfants (plus de dix) dont il avait la responsabilité éducative à « l’assistance publique »… pour qu’il ait la tâche, le plaisir et le loisir, selon son ressenti, de se faire précepteur et pédagogue pour des enfants de la haute société dont il n'est pas certain qu'il leur ait communiqué la force d'aller à coutre-courant de leur socité !
Se tromper ainsi de cible, tirer ces flèches à coté, c'est ce que signifie étymologiquement le (vilain) mot : pécher.
PAS DE FAUTE SANS CONSEQUENCE
Cette Doctrine que l’homme est bon, que les faits démentent allègrement et violemment, est tout à l'opposé de la vue de Blaise Pascal notamment (qui le précèda de quelques décennies), et de la déclaration biblique intemporelle qui tient l'enfant pour problématiquement entaché et attaché par « la loi du péché et de la mort », ce qui oblige à une discipline pour le former dans la droiture, l'amour (perdu) de la vérité, et une socialisation apaisée et bénéfique pour soi et les proches.
Ainsi le ver est dans la pomme dès avant qu'il n'y germe et fasse paraître ses effets malins.
Car la difformité (adamique universelle) prend de gré comme de force le dessus sur le bien quand il y a concurrence entre les deux et des choix à faire, balance d'autant plus déficitaire que n'interviennent pas une vraie instruction (socio-anthropologique de base dispensée par l'école) et une éducation (indispensable, moralisante, socialisante, normalement transmise par le(s) parent(s) instruits eux-mêmes à cet effet et responsable de la pérennité).
Si l'Ancien Testament emploie même le verbe « inculquer » pour dire comment préformer l'enfant dès son jeune âge, ce n'est pas sans raison... d’où l’importance pour les esprits du monde angélique déchu, quand l’école est obligatoire, que les contenus du savoir soient salis, frelatés, inversés, trompeurs et que l’éducation soit empêchée ou déviée par des éléments de doctrine controuvés.
De la sorte un fond de bon qui peut avoir été transmis par voie psycho-génétique, finira par se corrompre, la société et le progrès contribuant là en effet à travailler, de sucroit, à l’incrustation du mal, du mensonge, de la duplicité, de la corruption, iniquité et impiété (ou religion factice).
Et pourquoi ne pas commencer ce travail d’occupation du terrain psychique dès les chaises et lits de la maternelle, se sont dits les démons et les pédagogistes leurs alliés !...
Mais est-on seulement déjà capable de saisir toute cette mécanique qui tourne entre un ciel dévoyé et une terre sous occupation !?
C.T. Déc. 23
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