Le nom de Jésus en hébreu : Y'shoua,
ce qui signifie "Dieu sauve" ou "Dieu sauveur"
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G – « Je suis le bon berger »
Outre qu'il est la porte par laquelle le pécheur égaré entre en une relation apaisée et de filiation avec Dieu, Jésus se déclare comme étant le bon berger di psaume :
« Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. 12 Mais le mercenaire, qui n'est pas le berger, et à qui n'appartiennent pas les brebis, voit venir le loup, abandonne les brebis, et prend la fuite; et le loup les ravit et les disperse. 13 Le mercenaire s'enfuit, parce qu'il est mercenaire, et qu'il ne se met point en peine des brebis. 14 Je suis le bon berger. Je connais mes brebis, et elles me connaissent, 15 comme le Père me connaît et comme je connais le Père; et je donne ma vie pour mes brebis. 16 J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie; celles-là, il faut que je les amène; elles entendront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul berger. 17 Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. 18 Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père. »
Un berger supervise les brebis entrées sous son secours et sa garde : il les nourrit en les conduisant vers de la nourriture riche et abondante :
Psaume 23 « Cantique de David. L'Eternel est mon berger : je ne manquerai de rien.
2 Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles. 3 Il restaure mon âme, Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom.
4 Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi: Ta houlette et ton bâton me rassurent. 5 Tu dresses devant moi une table, En face de mes adversaires; Tu oins d'huile ma tête, Et ma coupe déborde.
6 Oui, le bonheur et la grâce m'accompagneront Tous les jours de ma vie, Et j'habiterai dans la maison de l'Eternel Jusqu'à la fin de mes jours. »
Si les brebis et autres agneaux ou béliers mangent de l'herbe, en tant que membres du Corps vivant, mystique, de ce Sauveur, nous mangeons du pain, que Jésus est en lui-même
La foi doit apprendre à se nourrir des paroles de Dieu et de ce fils engendré en tant que race humaine. Sur ce plan Jésus a donné sa vie comme du pain...
H - « Je suis le pain de vie »
C'est une autre des paroles qui ont le plus subjugué les gens de la foule, de ses disciples même et des religieux qui l'entendirent.
« - Que devons-nous faire, pour faire les oeuvres de Dieu ? 29 Jésus leur répondit : L'oeuvre de Dieu, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé. 30 Quel miracle fais-tu donc, lui dirent-ils, afin que nous le voyions, et que nous croyions en toi ? Que fais-tu ? 31 Nos pères ont mangé la manne dans le désert, selon ce qui est écrit : Il leur donna le pain du ciel à manger.
32 Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, Moïse ne vous a pas donné le pain du ciel, mais mon Père vous donne le vrai pain du ciel; 33 car le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde. 34 Ils lui dirent : Seigneur, donne-nous toujours ce pain.
35 Jésus leur dit : Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif. 36 Mais, je vous l'ai dit, vous m'avez vu, et vous ne croyez point. 37 Tous ceux que le Père me donne viendront à moi, et je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi; 38 car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé. 39 Or, la volonté de celui qui m'a envoyé, c'est que je ne perde rien de tout ce qu'il m'a donné, mais que je le ressuscite au dernier jour. 40 La volonté de mon Père, c'est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour.
41 Les Juifs murmuraient à son sujet, parce qu'il avait dit : Je suis le pain qui est descendu du ciel. 42 Et ils disaient : N'est-ce pas là Jésus, le fils de Joseph, celui dont nous connaissons le père et la mère ? Comment donc dit-il : Je suis descendu du ciel ? 43 Jésus leur répondit : Ne murmurez pas entre vous. 44 Nul ne peut venir à moi, si le Père qui m'a envoyé ne l'attire; et je le ressusciterai au dernier jour. 45 Il est écrit dans les prophètes : Ils seront tous enseignés de Dieu. Ainsi quiconque a entendu le Père et a reçu son enseignement vient à moi. 46 C'est que nul n'a vu le Père, sinon celui qui vient de Dieu; celui-là a vu le Père. 47 En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi a la vie éternelle. 48 Je suis le pain de vie. 49 Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et ils sont morts. 50 C'est ici le pain qui descend du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point. 51 Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde.
52 Là-dessus, les Juifs disputaient entre eux, disant : Comment peut-il nous donner sa chair à manger ? 53 Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'avez point la vie en vous-mêmes. 54 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour. 55 Car ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang est vraiment un breuvage. 56 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi, et je demeure en lui. 57 Comme le Père qui est vivant m'a envoyé, et que je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi. 58 C'est ici le pain qui est descendu du ciel. Il n'en est pas comme de vos pères qui ont mangé la manne et qui sont morts : celui qui mange ce pain vivra éternellement. » Jean 8.28...
Un long texte à la mesure de l'importance de son contenun tout spirituel, qui parle d'un Dieu qui se donne, et non d'une religion ou système religieux qui réclame certes de la croyance (religiosité de l'âme), mais pas forcément d'une foi typiquement spirituelle, de et par l'esprit.
Cette image de Jésus en tant que nourrissant l'âme, la foi et la vie éternisée, est si importante qu'avec celle du sang – versé sur la croix en tant que prix de la justice qui justifie celui qui croit –, Jésus a institué « la Sainte-Cène » ou « repas du Seigneur » comme mémorial à renouveler quand l'Esprit le met à cœur aux anciens ou membres de l'Eglise. (1Corinthiens 11.2326 – 10.16,17).
I - « JE SUIS »
Dans une nouvelle confrontation avec les religieux gardiens de l'orthodoxie de la religion fondée sur les Paroles de Dieu délivrées par Moïse, on entend Jésus dirent les paroles uivantes dont on comprend ce qu'elles produisirent sur eux :
«En vérité, en vérité, je vous le dis, si quelqu'un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. 52 Maintenant, lui dirent les Juifs, nous connaissons que tu as un démon. Abraham est mort, les prophètes aussi, et tu dis : Si quelqu'un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. 53 Es-tu plus grand que notre père Abraham, qui est mort ? Les prophètes aussi sont morts. Qui prétends-tu être ?
54 Jésus répondit : Si je me glorifie moi-même, ma gloire n'est rien. C'est mon Père qui me glorifie, lui que vous dites être votre Dieu, 55 et que vous ne connaissez pas. Pour moi, je le connais; et, si je disais que je ne le connais pas, je serais semblable à vous, un menteur. Mais je le connais, et je garde sa parole. 56 Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu'il verrait mon jour : il l'a vu, et il s'est réjoui. 57 Les Juifs lui dirent : Tu n'as pas encore cinquante ans, et tu as vu Abraham ! 58 Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu'Abraham fût, je suis.
59 Là-dessus, ils prirent des pierres pour les jeter contre lui; mais Jésus se cacha, et il sortit du temple. » Jean 8.51...
Là Jésus se déclare être Dieu lui-même ! Il place ses paroles à la hauteur de celles prononcées par Dieu sur le Mont Sinaï, concluant qu'il est qui il est depuis avant l'existence d'Abraham qui véçut près de deux mille en arrière.
La formule « Je suis » prends ici une signification absolue, parce qu'elle est la réplique de ce que Dieu dit à Moïse quand il se présenta à lui sur la même montagne alors qu'il n'était encore qu'un berger :
«L'ange de l'Eternel lui apparut dans une flamme de feu, au milieu d'un buisson. Moïse regarda; et voici, le buisson était tout en feu, et le buisson ne se consumait point.
3 Moïse dit : Je veux me détourner pour voir quelle est cette grande vision, et pourquoi le buisson ne se consume point. 4 L'Eternel vit qu'il se détournait pour voir; et Dieu l'appela du milieu du buisson, et dit : Moïse ! Moïse ! Et il répondit : Me voici! 5 Dieu dit : N'approche pas d'ici, ôte tes souliers de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est une terre sainte. 6 Et il ajouta : Je suis le Dieu de ton père, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob. Moïse se cacha le visage, car il craignait de regarder Dieu.
7 L'Eternel dit : J'ai vu la souffrance de mon peuple qui est en Egypte, et j'ai entendu les cris que lui font pousser ses oppresseurs, car je connais ses douleurs. 8 Je suis descendu pour le délivrer de la main des Egyptiens, et pour le faire monter de ce pays dans un bon et vaste pays, dans un pays où coulent le lait et le miel, dans les lieux qu'habitent les Cananéens, les Héthiens, les Amoréens, les Phéréziens, les Héviens et les Jébusiens. 9 Voici, les cris d'Israël sont venus jusqu'à moi, et j'ai vu l'oppression que leur font souffrir les Egyptiens. 10 Maintenant, va, je t'enverrai auprès de Pharaon, et tu feras sortir d'Egypte mon peuple, les enfants d'Israël.
11 Moïse dit à Dieu : Qui suis-je, pour aller vers Pharaon, et pour faire sortir d'Egypte les enfants d'Israël ? 12 Dieu dit : Je serai avec toi; et ceci sera pour toi le signe que c'est moi qui t'envoie : quand tu auras fait sortir d'Egypte le peuple, vous servirez Dieu sur cette montagne.
13 Moïse dit à Dieu : J'irai donc vers les enfants d'Israël, et je leur dirai : Le Dieu de vos pères m'envoie vers vous. Mais, s'ils me demandent quel est son nom, que leur répondrai-je? 14 Dieu dit à Moïse : Je suis celui qui suis. Et il ajouta : C'est ainsi que tu répondras aux enfants d'Israël : Celui qui s'appelle "je suis " m'a envoyé vers vous. 15 Dieu dit encore à Moïse : Tu parleras ainsi aux enfants d'Israël : L'Eternel, le Dieu de vos pères, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob, m'envoie vers vous. Voilà mon nom pour l'éternité, voilà mon nom de génération en génération. 16 Va, rassemble les anciens d'Israël, et dis-leur: L'Eternel, le Dieu de vos pères, m'est apparu, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. »
A ce moment, le Dieu qqui s'est révélé à Abram déclare en hébreu « Hayah » (un vocable de quatre lettres, un premier tétragramme), ce qui signifie « Je suis qui je suis » ou « Je suis celui qui est ».
On ne peut pas dire qu'il s'agit d'un nom propre, mais plutôt qu'une affirmation de ce qu'il est éternellement, par opposition à tout le reste, qui a un commencement.
On voit d'autant plus qu'il s'agit d'un verbe – le verbe Être –, qu'au verset 15, reprenant cette définition essentielle de sa personne, ce Dieu l'emploie à la troisième personne quan il dit à Moïse comment parler de lui : Tu leur diras « Yawhé », en hébreu un autre tétragramme verbal qui exprime la même idée d'éternité absolue et en même temps de dynamique en rapport de l'écoulement du temps, qu'on traduit par la formule « Celui qui est, qui était et qui vient ».
Et c'est précisément l'expression que Jésus emploie face aux religieux, déclarant par là qu'il est à la fois cet « ange de l'Eternel » du verset 2 (de l'ébreu malak qui peut se traduire par ange, messager ou envoyé), et l'Eternel lui-même comme il en est ensuite parlé.
On parle pour ce genre d'apparition de Dieu sous forme matérialisée ou humaine de théophanie (du grec théos : Dieu, et phaïnesthaï « se montrer »).
Dans l'épître du Nouveau Testament adressée aux Hébreux, il est écrit au sujet de l'apparition de Jésus : «Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, 2 dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, qu'il a établi héritier de toutes choses, par lequel il a aussi créé le monde, 3 et qui, étant le reflet de sa gloire et l'empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés et s'est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts, 4 devenu d'autant supérieur aux anges qu'il a hérité d'un nom plus excellent que le leur. 5 Car auquel des anges Dieu a-t-il jamais dit : Tu es mon Fils, Je t'ai engendré aujourd'hui ? Et encore : Je serai pour lui un père, et il sera pour moi un fils ? 6 Et lorsqu'il introduit de nouveau dans le monde le premier-né, il dit : Que tous les anges de Dieu l'adorent !7 De plus, il dit des anges : Celui qui fait de ses anges des vents, Et de ses serviteurs une flamme de feu. 8 Mais il a dit au Fils : Ton trône, ô Dieu, est éternel; Le sceptre de ton règne est un sceptre d'équité; 9 Tu as aimé la justice, tu as haï l'iniquité; C'est pourquoi, ô Dieu, ton Dieu t'a oint D'une huile de joie au-dessus de tes égaux. 10 Et encore : Toi, Seigneur, tu as au commencement fondé la terre, Et les cieux sont l'ouvrage de tes mains; 11 Ils périront, mais tu subsistes; Ils vieilliront tous comme un vêtement, 12 Tu les rouleras comme un manteau et ils seront changés; Mais toi, tu restes le même, Et tes années ne finiront point. ».
Pus tard, après sa glorification, Jésus fait monter l'apôtre Jean jusqu'à son trône céleste d'où il ui révèle par sept visions ce qui va devenir le livre de l'Apocalypse (du grec apocalupsis, qui veut dire révélation).
Et Jean rapportant ce qu'il a vu, écrit : « Jean aux sept Eglises qui sont en Asie : que la grâce et la paix vous soient données de la part de celui qui est, qui était, et qui vient, et de la part des sept esprits qui sont devant son trône, 5 et de la part de Jésus-Christ, le témoin fidèle, le premier-né des morts, et le prince des rois de la terre ! A celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, 6 et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles ! Amen !
7 Voici, il vient avec les nuées. Et tout oeil le verra, même ceux qui l'ont percé; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui. Oui. Amen ! 8 Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout-Puissant. »
On a encore là des expressions de la divinité absolue de Jésus en ce qu'il a été, est et sera de toute éternité la Parole de Dieu « la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. » (Jean 1.1), capable de se montrer (même pour figurer la trinité de Dieu aux yeux d'Abraham (Genèse???), et finalement capable de s'incarner pour former un fils à la fois de Dieu et de l'homme, devenu par sa mort, résurrection et glorification, Dieu-homme ou Homme-Dieu.
C'est en cela que la Bible dit encore que le nom de Jésus (qui se décline sous de nombreuses formes selon les langues) est le nom le plus haut qui soit prononçable !
« Sachez-le tous, et que tout le peuple d'Israël le sache! C'est par le nom de Jésus-Christ de Nazareth, que vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts, c'est par lui que cet homme se présente en pleine santé devant vous. 11 Jésus est La pierre rejetée par vous qui bâtissez, Et qui est devenue la principale de l'angle. 12 Il n'y a de salut en aucun autre; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. » Livre des Actes, 4.10...
Puisse cette vue et vie de Jésus changer votre existence et vie temporaires par une compréhension éclairée et acceptée de qui est Dieu, par exception avec toutes les réalités invisibles ou visibles qu'il a créées. Car c'est ainsi, par une foi toute personnelle, qu'on est joint à Dieu dans sa divinité et éternité...
Les 9 et 12 « Je suis » (eimi dans la langue du Nouveau Testament) sont en résonnance profonde avec qui est Dieu en lui-même, et en quoi les mots qui apparaissent ainsi expriment en quoi consiste ses faces dynamiques.
En plus de ces affirmations, le nom même de Jésus est porteur de sens. Dans la langue hébraïque de son pays, c'est Yeshoua, ce qui veut dire Salut ou Dieu sauve.
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* Toutess ces paroles se trouvent dans le Nouveau Testament, dans la Bonne Nouvelle selon Jean : ch. 4. 25,26 – 6.35 – 8.12 – 8.58 – 10.9 – 10.11 – 11.25 – 14.6 – 15.1
>> Pour s'en remettre à Dieu en priant, ici une aide pour savoir comment s'y prendre <<
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