Réfléchir, apprendre, méditer prend du temps,
Mais on en a tous pour cela : il faut faire des choix, pour s'intéresser à l'essentiel - qui est très rarement une réalité immédiate
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repostage du 18/05/2023 08:42
Nous sommes chacun une âme, en grec la psyché, d’où découlent tous les mots en « psy »). Une âme dans un corps.
Les animaux aussi sont des âmes vivantes, mais ils n’ont pas été créés pour parvenir comme nous les êtres humains à une conscience distincte d’exister et de penser.
C’est qu’on n’est pas une espèce du règne animal, mais nous avons été créés par Dieu « à son image, à sa ressemblance », c’est-à-dire aussi avec un esprit résidant en nous.
De la sorte, comme Dieu est 1 en 3 (détail en *)
CHACUN RÉALITE VIVANTE CRÉÉE STRUCTURÉE : UN EN TROIS, ET PLUS...
Ainsi chacun de nous est une âme, constituée de ses 4 partitions différenciées que sont l’intellect, l’affect (émotions et sentiments), la volonté personnelle et la mémoire, l’essentiel étant la formation d’une conscience de nous-même qui se structure en tant qu’être autonome pensant.
Notre corps est pareillement fait d’intelligence (incluse dans les organes, les fluides, les systèmes physiologiques), de mémoire, de ressenti et autres forces d’adaptation et séparatives - mais pas de volonté consciente libre.
Et puis l’esprit en nous est part vivnate directement de la nature de Dieu (spirituelle) avec un contenu prédisposé, inné, savant, univsersel, d’abord en filigrane, qu’il nous appartient (et d’abord à ceux qui participent à notre commencement et nos croissances) de rendre toujours plus limpide à la conscience en le nourrissant de connaissances objectives touchant à tous les domaines du Réel : physiques, psychiques et spirituels.
C’est par lui (l’esprit) que la conscience se déploie le mieux, bien au-delà de la perception d’exister, d’être ce moi/ego qui dit « je », jusque dans une conscience sensible de la réalité des autres, en cercles horizontaux de plus en plus larges, et jusque dans la verticalité des mondes des esprits, divins et ceux sortis de l’ordre du Bien (les anges déchus ou démons qui ont fait apparaître et agissent dans le mal).
Ce qui fait qu’il a au-delà de l’existence terrestre que nous vivons ici maintenant,
- la sphère divine, appeléz le Royaume des cieux, royaume de Dieu ou encore Paradis ;
- une « poche » (le shéol, hadès ou séjour des morts) où sont les âmes qui ont quitté la terre sans foi personnelle en Dieu et en Jésus-Christ (qui seul peut racheter du mal et de ce lieu) ;
- l’univers transversal, psycho-spiirutel des esprits mal-ins, mal inspirés, séducteurs comme méchants, de différentes classes, forces et pouvoir, qui sont des anges dégradés devenus globalement ennemis de ce qui est Bien (c’est-à-dire de ce qui est Dieu ou selon Dieu, la Terre et nous compris) ;
- et puis, des myriades d’anges restés fidèles à Dieu et qui peuvent intervenir en notre faveur en tant que protecteurs et messagers aux services toujours appropriés, qu’on peut parfois soupçonner (ou réaliser longtemps après) même sans les voir.
Pour être complet – comme Dieu se dit complet par son nom éternel ou « tétragramme » (en hébreu Yawhé, qui s’écrit par trois lettres différentes dont une dédoublée) –, avec cette tri-unité qui forme en soi notre personne, nous pouvons dire que nous ne sommes complets que par une dimension de relations avec nos environnements, relations irréductibles sans mourir physiquement avec un environnement naturel (minéral, végétal, animal, psychique) d’une part. Et relations verticales avec ce qui constitue le Divin, non seulement pour ne pas mourir spirituellement mais encore pour vivre après la mort physique d’un don de la vie éternelle de Dieu.
LA BIBLE ET DES EXPÉRIENCES, PARTS ET DONS TANGIBLES DU DIVIN PARMI NOUS
La Bible enseigne que l’âme se distingue du corps dont elle est une émanation par le sang (Livre du Lévitique, hap. 17.11) . Un peu comme les nuages sont des émanations de l’eau suite à son évaporation.
Et c’est sans doute la concentration importante de sang dans notre boîte cranienne qui donne cette impression (fausse) que nos facultés mentales sont celles du cerveau.
Plus précisément, notre tête est comme une boîte qui fait la coquille du noyau ou de l’essentiel de l’âme en lien avec le sang.
Au-delà de cette impression d’une seule réalité tête/âme, on a le cerveau comme une interface entre tout ce qui est de sa nature (corporel, physique, matériel et physiologique), et l’âme elle-même qui est autre chose que du sang, une génération psychique de nature distincte, fixée au sang mais détachable de la matérialité.
La Bible rapporte que du temps du rou Achab et du prophète Élie, l'enfant d'une veuve sidonienne de Sarepta qui l'avait accueilli mourut.
Élie pris à témoin invoqua son Dieu pour qu'il redonne vie à cet enfant. Il est écrit : "Élie dit : Eternel, mon Dieu, je t'en prie, que l'âme de cet enfant revienne au dedans de lui ! L'Eternel écouta la voix d'Elie, et l'âme de l'enfant revint au dedans de lui, et il fut rendu à la vie."1er livre des Rois, 17.21
Cette distinction corps/âme, physique/psychisme est si vraie que des expériences nombreuses, rapportées sur le net (souvent sous forme vidéo), par des livres ou des conférences, sous le nom de « EMI » (Espériences de Mort Imminente), témoignent de la séparation en pleine conscience de l’âme et du corps dans certaines situations dramatiques (coma, blessures très graves, mort clinique).
Pour a part, au cœur d’un accident sérieux où j’ai le bras droit presque sectionné, mon âme est déconnectée de mon corps au point où je ne ressens aucune douleur, et plus encore j’ai une force physique surnaturelle pour remonter du ravin où j’ai été projeté et je me trouve (mon âme) dans un repos et une paix extraordinaire, jamais connus de la sorte, sans pensées vagabondes, sans peur, sans impatience, avec une vision lucide de la situation (jusqu’à donner une instruction pour sécuriser le secteur- (récit détaillé en cliquant sur ACCUEIL en haut à gauche).
Depuis des millénaires, ceux qui ont réfléchi sur la connaissance (de soi et de nos environnements), ont découvert la réalité de l’âme distincte du corps, ce que la Bible depuis le temps reculé de Moïse a précisé par des mots distincts (en langue hébraïque) : nephesh (pour l’âme), rouah (pour esprit), neshamah (qui englobe l’ensemble, ce qui respire, a vie), et basar (le corps).
Plus tard, repris par de célèbres grecs de l’antiquité (écriture par laquelle nous a été transmis le Nouveau Testament, seconde partie de la Bible), on retrouve les trois mots : psyché (l’âme) , pneuma (l’esprit) et soma (le corps). (La mot âme s’est distingué de psyché par l’emploi intermédiaire du latin « anima »...)
POURQUOI EST-ON SI IGNORANT SUR NOUS-MÊME DE NOS JOURS ENCORE !
En réduisant l’univers à une somme de grand « vide » (ce qui ne se voit pas) et de corps matériels (des étoiles aux cellules vivantes), les penseurs européens (et principalement français), plus préoccupés de contrer les croyances religieuses que de chercher scientifiquement (avec objectivité) le réel, ont évacué la notion (mais pas la réalité) de Dieu de leur vocabulaire et de leurs pensées.
Du coup a disparu des consciences (collective et individuelles) ce qui fait tout notre être intérieur (notre neshamah), attribuant toutes les capacités, potentialités et décisions psychiques et du même coup les lumières de l’esprit... au cerveau !
On trouve des lors des emplacements, de chemins, qui peuvent changer, par où des informations selon leur spécificité passent des capteurs physiques qui sont partout sur et dans notre corps, des yeux, des oreilles, de la bouche, du nez, jusqu'au centre sensible qu'est l'âme. Comme sur un écran de portable ou ordinateur passent des informations de la machine à l'utilisateur.
Et si l'âme se porte mal (pour avoir ingurgité trop de salades, de concepts mensongers, de fake news, pour avoir aussi conduit le corps dans des comportements malsains, méchants, manipulateurs, anti-nature...), et selle ne se reprend pas ou ne se laisse pas reprendre, son mal descend dans le corporel pour donner une sensation plus forte du trouble psychique (ou spirituel), des douleurs et jusqu'à des déréglements formant maladie, cancer, AVC, Sclérose, sporiasis, rhumatisme, etc, etc... Ce qui est connu sous le nom de maux psychosomatiques.
C’est de la méconnaissance de vérités de fond de la condition humaine, que par exemple des troubles d’ordre psychique ou spirituel dont traités par de la chimie, avec des médicaments !
Certes il y a au moins un effet, comme celui d’ankyloser les fonctions cérébrales, de maîtriser la problématique bien qu'en agissant (mal) au mauvais endroit.**
C’est exactement comme si on réduit un portable quelconque à ses mécanismes internes et à son écran, étant capable de fonctionner sans un utilisateur (humain, d’une autre nature) qui le pilote.
On comprend pourquoi il nous est ainsi si difficile de bien vivre. Car dans cette vue configurative, l’esprit de Dieu se retire (ou s’éteint), qui ne vit bien que de (et dans les) vérités, et l’âme subsiste mais nourrit d’informations principales souvent indigestes, toute partielles ou controuvées, sans la hauteur ou la profondeur qui sont occultées.
De fait, pour prendre une image bien compréhensible, sans s’occuper de la vie de l’esprit jusqu’à le priver de cité en soi, on est (ou on se) construit comme un unijambiste, un manchot ou un cyclope. Ce qui explique toute la méconnaissance ou l’ignorance de soi, et de là le fait qu’on se développe vers le bas (la matérialité, le corps, le sexe, l’argent capitalisé) au lieu de vers le haut (connaissance des spiritualités, bonne et mauvaises, des valeurs objectives, des vérités majeures formant tenants et aboutissants de notre quotidien et des mouvements du monde.
Pour mieux vivre, il faut venir ou revenir à une conception plus juste, plus complète de soi, en faisant sauter notre formatage laïco-athée ou religieux légaliste (sans grâce) pour d’autres… Ce que j’ai du faire par rapport à
- la croyance évolutionniste athée d’abord,- puis par rapport aux cenceptions du Nouvel-âge d(ans quoi j’ai cheminé quelques années),
- et encore par rapport à la réalité de Dieu tel qu’il est et comment il est possible et il faut rélationner avec Lui, et non comme des religions nous conduisent (à faux) à le comprendre et à pratiquer.
On peut ainsi vivre plusieurs fois si nécessaire « la méthode » de René Descartes qu’il synthétise ainsi : « Pour atteindre la vérité, il faut une fois (dans son cas) se défaire de toutes les opinions qu’on a reçues, et reconstruire à nouveau tout le système de nos connaisasances. »
Pour ce faire, on a besoin d’avoir « l’amour de la vérité », qui doit nous conduire pour trouver – ou jusqu’à recevoir (au moins) une révélation divine déterminante – sur ce qui est (selon la) vérité.
Et la Bible nous avertit que cette qualité, d’aimer la vérité, est un don de Dieu, qu’on a peut-être déjà reçu, mais qui nous reste peut-être à recevoir.
Dans tous les cas, un reset (ou redémarrage) peut être une fois ou plusieurs à faire pour avoir une belle liberté qui nous permette de connecter avec le Réel (avec un grand R c’est l » mot de l’Incréé et du créé), dans sa plus grande simplicité et large étendue, par le principe de foi - commun à tous, qui nous est naturel – foi orientée vers ce qui est vrai et juste au sujet des univers spirituels (Bon et méchant) comme du réel physique.
Pour y aider, trouvez ici >>une page pour formuler une ou quelques prières à la fois personnelles et efficaces (en proporrion de notre intégrité et désir d’expérimenter du tangible avec Dieu <<
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* Dieu se fait connaître à nous en trois personnalités distinces, comme :
- Dieu concepteur ou Père (des lumières, des pensées), immuable autant que souverain ;
- Dieu médiateur/messager ou Parole qui dit les pensées conçues du Père, et qui est devenu Fils de Dieu pour que nous réalisions et entendions mieux ce que Dieu veut nous dire ;
- et il est Dieu en tant qu’Esprit qui peut régulièrement sortir de sa Sphère céleste (le plus haut degré des cieux), pour produire les éléments que Dieu a pensés, au point de faire paraître des tonnes d’atomes, des feux giganteques, des fusions, des exxplosions, de la vie sous diverses formes… tout ce qui fait notre univers.
** Ce qui fera un véritable changement positif dans le problème psy ou spi de la personne prise en charge par une autorité médicale, c'est précisément le changement d’autorité sous laquelle le patient évolue : une ou des autorités spirituelles malignes, démoniaques. sont neutralisées dans la mesure où la personne a été conduite à changer de "dominateur".
D'où aussi les récidives en cas d'arrêt d'un traitement par la seule décision du patient, ou lorsque la personne sort, même légalement, de sous une autorité médicale d'ordre psy, sans rien avoir compris à la cause ou aux causes cumulées de sa problématique.
C'est ainsi qu'une délivrance ou rémission a pu être accordée, mais la reprise d'un comportement ou d'un mode de penser malins devient et généralement rapidement la cause récidivée d'une dégradation plus grave encore, voire létale emortelle).... L'humilité étant toujours une attitude-clé pour un cheminement vers plus de lumière et de vraie libert... Ce qui dit le côté positif des épreuves, des jugements, des coups d'arrêt sévères et du temps de convalescence qui y succède.
Soyez béni-e de manière tangible.
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