Il y a deux problèmes à régler pour entrer par une porte fermée à clé :
- Il faut avoir la clé,
- et il faut que la serrure ne soit pas bouchée par quelque chose, pour une raison ou une autre.
Et quand le bonheur nous échappe, c’est qu’une porte se ferme sur lui et s’oppose à sa faveur pour nous. Une porte qui nous en sépare comme de la permanence d’une source où on pourrait boire à satiété une eau rafraîchissante : Le bonheur tient de l'eau, ccmme de l'air, ou encore d'une flamme de bougie qui peut être soufflée.
Et cen'est pas la discontinuité que doit nous empêcher e croire que
LE BONHEUR EXISTE
On sait déjà que le bonheur existe, par des expériences heureuses, des rencontres ou des temps qui nous l’ont prouvé.
Et donc il nous appartient de chercher pourquoi c’est comme une porte qui se ferme et empêche la lumière d’entrer, ou notre coeur de brûler ou d'être apaisé.
UN RAPPORT AU BONHEUR ALEATOIRE
L’image de la porte, de la serrure et de la clé nous aide si on veut ne pas se contenter des hauts et surtout des bas qui s’imposent à nous. Car on en subit des contrariétés, sans comprendre ce qui nous arrive ; c’est-à-dire sans comprendre comment ce monde est fait et fonctionne, bien ou mal.
LA SERRURE
Il y a quatre causes essentielles qui bouchent la serrure ; et même s’il passe parfois un peu de lumière, de bonheur par son trou, d’une façon générale elle est scellée pour qu’on ne puisse pas y faire entrer et tourner la (bonne) clé.
4 OBSTACLES MAJEURS RÉCURRENTS
1 – CONDITIONNEMENT SOCIÉTAL
Ce qui rend nettement la serrure inutilisable, c’est d’abord notre conditionnement sociétal/social.
C’est tout ce qui nous a formaté pour être fondamentalement un citoyen évolutionnisme athée ou un membre attaché à une religion ou à un groupuscule marginal. C’est là l’identité première qui nous est donnée, et elle est si partisane, empaquetée et ficellée, que c’est là dès l’enfance un vrai problème.
C’est au point où chaque système ayant accès à l’école et aux médias se débat pour vouloir imposer son point de vue, ce qui crée en nous, comme dans la société, une fracture, une dualité qui empêche l’unité à tous les niveaux. Et déjà, par les pratiques qu’on nous impose ou à quoi on veut nous faire adhérer (par manipulation, par tentation, par fausse promesse...) notre bonheur est compromis.
On est "culturé" au lieu que notre jardin intérieur soit "cultivé" pour qu’il porte des fleurs et des fruits paisibles de justice.
2 - ET MOI ET MOI ET MOI !
Après cet effet délètère (pour notre esprit) plus que constructeur, qui vient dès notre conception par l’environnement dans lequel on paraît et grandi, c’est nous-même qui sommes (devenus) un élément anachronIque de la serrure bouchée. Par conséquence du formatage initial.
Car on nous a appris plein de choses (encombrantes, pas nécessaires, troublantes et même néfastes…), au point où notre faculté de réflexion, de prendre du recul, est engluée dans la systématisation qui s’est organisée en nous.
On a nous-même choisi d’ajouter ou de soustraire des éléments entendus ou vus ici et là.
Choisis ou subis de se donner avec tout ce paquetage, une dynamique plus ou moins personnelle, ou complétement assimilée à un collectif auquel on adhère plutôt qu’à un autre.
Et cela sans discernement du bien et du mal de ce qui es fait, de ce qu’on fait soi-même, la frontière entre bien et mal étant fluctuante d’un milieu à l’autre, positionnée comme il semble que cela nous arrange… ce qui n’est pas forcément le cas.
Pour libérer notre serrure, il faut commencer à prendre du recul, s’asseoir pour observer ce qui es passe ; mettre en service notre capacité de jugement critique pour la bonne cause, celle de notre désaliénation du système dominant qui a pris le dessus sur notre comportement et nos choix.
Pour cela on a une conscience naturelle, qu’il faut possiblement désenliser de la conscience socialisée qui s’est créée artificeusement en nous.
Dans le meilleur des cas, à partir de12-13 ans, on peut être capable d’activer cette nécessaire prise en main par soi-même, par une distanciation d’avec tout ce qui nous a formés jusque là et dont on supporte le poids. Le poids d’un mal-être intérieur, d’un mal-vivre avec les autres, du bonhur sans cesse contesté ou du non-bonheur.
Et pour cela, il faut avancer dans de la connaissance qu’on n’a pas du nous transmettre, ou à quoi on n’a pas assez tenu compte. Ce qui nous amène au troisième point de blocage de notre serrure.
3 - UN TENANT ET ABOUTISSANT DE TAILLE
Il s’agit de prendre la vraie mesure des agents les plus actifs de la société, de notre environnement propre, voire de ce ui se passe en nous.
Et là on doit réaliser que ce monde est dominée par le mal-vivre en soi en ensemble, parce qu’il y a plus encore que le ou les systèmes de ce monde qui nous ont moulés pour faire de nous leurs membres intégrés
Il y a en plus une force – du mal – qui n’est pas directement visible à l’oeil nu, qui existe dans l’ordre du psychisme (de l’âme, la psyché en grec) et la spiritualité (des esprits).
Cette force maléfique est conduite par un ange qui, en sortant de son rang élevé par un orgueil improbable, a donné naissance au mal en devenant Satan, ennemi de Dieu et du genre humain. Il est aussi appelé le diable (le diabolos, ce qui signifie le diviseur, celui qui désunit) et par plusieurs autres noms… Et avec ce séparatiste du bien, il y a une foule immense d’anges entraînés par lui dans sa rébellion et devenus ce qu’on appelle des démons, les esprits de la ténèbre et des discordes.
Nous ne devons jamais perdre cela de vue, et l’apprendre si on n’en a encore jamais réellement entendu parler.
On ne doit pas se laisser arrêter par le fait de eur invisibilité à nos yeux physiques, leur existence se démontrant de plus en plus clairement par les effets de leurs interventions dans les affaires humaines comme aussi dans la nature.
Et quand il est parlé de complot ou de complotisme parce qu’on voit des comportements humains anormaux, incohérents, malveillantse, on vferait mieux, plutôt que de s’en défendre, de comprendre que c’est au niveau de ce monde spirituel dénaturé et dégénéré que se situe le complot. Le complot diabolique étant de prendre un contrôle total – totalitaire, totalitariste – de la planète et de l’humanité… ce qui se voit déjà assez bien notamment par le jeu (de marionnettes) des hommes les plus riches ou le plus influents qui, à quelques-uns, veulent mettre en place une direction mondiale unique.
A ce niveau, notre serrure est bouchée au bonheur soit par l’ignorance dans laquelle on est maintenu, soit par des pensées, concepts et comportements qu’on a adoptés venant directement de l’influence démoniaque telle qu’elle agit subrepticement dans notre monde.
D’où un réel besoin de prendre encore du recul, de mieux voir, par les effets observables et par la réflexion, ce qui se passe et comment se désolidariser des effets mauvais, malsains, pervers, trompeurs, apeurants, déstructurants, pour ne pas rester dans le filet – le net – de ce complot où tous les humains sont visés, de plus en plus individuallement, pour n’avoir plus que pour chef unique, imposé, que Satan.
Parce que jusqu’à présent, il y a encore une quatrième force en présence, qui s’oppose à l’avancée des forces maléfiques et mortelles : le vrai Dieu, créateur, avec les deux-tiers des anges ses créatures qui lui sont restés fidèles.
4 – ET DIEU EST LÀ
Dieu est celui qui d’une part empêche la serrure d’être libre de fonctionner, et d’autre part à la possibilité, et veut en libérer l’accès pour qu’on puisse faire jouer le mécanisme qui libérer notre bien intérieur.
I nous faut arriver là à une notion centrale qui est celle de la vérité. Car pour que Dieu puisse agir en notre faveur, il faut que nous comprenions
- qu’il est retenu pour agir par sa justice et par la liberté dans laquelle il nous a créés, et é créé les anges – d’où la rébellion de certains et notre propre capacité à mal faire et à faire mal) ;
- et encore que pour nous sortir de la nasse piègeuse de ce monde, il a un plan qui s’active en fonction de nous, d’une réceptivité qui ne nous est pas naturelle, car le mal, inné ou acquis, et développé intempestivement, nous phagocyte, ne nous laisse pas libre d’aimer la lumière, les vérités.
Et le Dieu qui est (le) bon, amour, sainteté et justesse, se trouve un passage quand nos inconséquences nous ont affaiblis au point de pouvoir entendre que Dieu existe et qu’il nous appelle.
Appel à passer des mensonges à ses vérités, de la confusion dans la lumière qui révèle le sens, de notre présence dans ce monde ; le sens des deux courants qui cohabitent en ce monde de la vie et de la mort. Courant qui coulent vers la sortie d’ici-bas avec plus de vie et pour un bonheur éternel, ou avec plus de perte et dommages encore en descendant plus près encore de Satan et de ses sbires méchants.
Quand on en est là du savoir, de la connaissance fondamentale du Réel, il reste à mettre la clé dans la serrure qui a été dégagée.
LA CLE
C’est une vraie clé, spirituelle parce que notre problème est fondamentalement spirituel, quel que soit ce en quoi on croit (en Dieu ou en l’homme, en une religion ou au transhumanisme, à ce qu’on nous dit à la télé ou sur le net…). Bref on est tous que des croynats, qui croyons juste ou qui croyons à faux.
La clé c’est des paroles à entendre, et tourner la clé pour s’évader de la domination du mal c’est croire ce qui va maintenant être dit, plutôt qu’autre chose ou son contraire.
On va savoir que la clé est la bonne à l’effet que cela va produire en nous. Car la vérité rend libre, et la vérité se vérifie par les effets qu’on en ressent.
PAROLES DE VIE
Jésus est le seul à avoir pu dire « Mes paroles sont esprit et vie ».
Il est le seul à avoir dit au sujet de notre rapport à Dieu : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. »
Quel homme a pu affirmer ainsi ce qu’il est !?
Et si on s’interroge, on doit voir qu’il ne peut s’agir que des paroles mégalomaniaques d’un illuminé, d’un insensé, ou de la personne exceptionnelle qu’il est.
Ses œuvres surnaturelles et la notoriété qui est la sienne – unique elle aussi – au fil des sièces et depuis deux mille ne devraient que nous inciter à mieux savoir ce qu’il en est de son rapport à Dieu et de sa capacité à nous amener à lui pour un changement de vie des plus bénéfique.
Autre affirmation : « Personne ne peut venir à Dieu qu’en pensant par moi », c’est-à-dire en croyant qui je suis et ce que je dis.
Ontinuons donc à actionner la clé dans la serrure de notre entendement pour voir la porte qui nous sépare de Dieu, du bien-être intérieur, de bien-vivre, de la paix, du bonheur, d’un amour ou encore de la joie qui nous manquent, s’ouvrir.
Et là, on peut entendre Jésus dire aussi : « Je suis la porte » ! Et encore dans une image où nous sommes comparer à des brebis : « Je suis le bon berger ».
image qui nous rabaisse certes, mais aussi qui nous distingue des loups, des requins, des prédateurs que peuvent aussi être les hommes et les femmes dans ce monde.
Il précise que « Tous ceux qui sont venus avant lui…
CE QUI FAIT LA DIFFÉRENCE
Jésus fait la différence avec tous. Une différence multiforme :
- Il vient au monde comme cela a été annoncé 700 ans plus tôt par le prophète Esaïe ;
- Il vient du Ciel par le Saint-Esprit et de la Terre par la jeune juive Marie (Myriam) en vue de rapprocher et réconcilier en lui les mondes matériel et spirituel ;
- à 30 ans il se fait baptiser par son cousin Jean le Baptiste comme s’identifiant à notre humanité pécheresse qui a besoin de se soumettre à Dieu pour recevoir son Esprit comme force pour une vie nouvelle, régénérée ; Fort de ce revêtement de puissance, il est conduit dans un désert sans peur d’y perdre sa vie pour un jeûne de 40 jours et voir le diable venir à lui pour tenter de le soumetre à ce qu’il dit ; Il résiste à ses paroles trompeuses, tentantes, prononcées en rapport avec une situation circonstanciée et deux situations créées artificiellement, notamment en leur opposant des Paroles de Dieu à propos .
- Fort de ce qu’il n’a rien laissé comme emprise à Satan, Jésus entre dans trois ans et demi
- d’enseignements nouveaux, révolutionnaires, qui s’opposent à la prétendue vertu des religions comme à l’aliénation des corps et des âmes, par des paroles et par
- des manifestations de puissance visant à démonter qui il est – « le fils unique de Dieu » et un fils d’homme qui prend le risque de perdre son existence incarnée pour en soulager, délivrer, guérir, ressusciter d’autres ;
- mais il faut encore que Satan et quelques-uns des démons ses acolytes, soient laissés libres pour aussi les convaincre de leurs injustices, les dépouiller de leur domination, les mettant à notre portée pour les combattre et les vaincre... notre part de notre relation et vie éternelle avec Dieu se vivant dans la foi.
CHOISIR ENTRE DIEU ET SATN C'EST CHOISIR ENTRE BIEN ET MAL DOMINANTS
Le bien, le bonheur est parmi nous beaucoup moins permanence que le mal aux expressions multiples qui régulièrement nous perturbe, nous trouble, nous irrite, nous harcèle... Il dépend de nous de renverser ce rapport de forces, par notre foi placée en la force divine, compris la présenceet les capacités de ses anges.
Si ce n'est fait, venez à Dieu avant que la porte de sa Grâce, de son pardon, de la réconciliation et paix éternelles avec lui ne se ferme. ici >> un guide pour prier de manière personnelle et efficace en ce sens <<
ses ingrédients étant l’amour, la gentillsse, la paix, de bonnes relations…
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