Des mots définissent des choses. Choses qui sont ce qu’elles sont avec le mot sur lequel on s’est tous entendu pour en parler.
Le lait, une chaise, une bibliothèque, un vélo, voire un virus ou une molécule...
Par là on a tous, dans une langue donnée, les mêmes mots pour dire les choses et par là de la compréhension qu’on peut partager, qui favorisent les échanges, les relations.
On apprend le lien entre un mot et une chose, et le tour est joué ; on se comprend.
Mais voilà que depuis des siècles et millénaires, on n’est pas (encore) parvenu à définir certaines choses, ou plutôt quel contenu on peut mettre dans un mot. Et cela pour ce qui nous est pourtant trs important ; d’où tant de drames...
DES CHOSES À DES OBJETS DE CONNAISSANCE ET DE RÉFLEXION
Par exemple, malgré nos capacités d’accès à des connaissances jusque dans la dimension nanométrique (en physique quantique) ou astronomique (en astrophysique), on n’a pas réussi à s’entendre sur ce qui est bien et ce qui est mal ! Etonnant quand même, c’est si important !
On en est même à dire que des choses sont bien (des pratiques par exemple), alors qu’elles sont mal pour d’autres, et inversement.
Dans ces conditions comment s’entendre ?
On est comme constrisant des immeubles de 5 ou 100 étages sans avoir assuré leurs dondations !
Pareil dans un autre domaine sensible : les religions.
Ce n’est pas du tout un domaine accessoire de notre existence, même si notre croyance est qu’il n’y a ni Dieu ni mauvais esprits. La preuve est là, avec la force (déjà démographique) des musulmans, dont ceux qui veulent imposer cette Loi à la terre entière.
Nous voilà avec au moins quatre-cinq (et bien plus) grandes religions, toujours incapables de savoir si une est de Dieu et pas les autre, dans la mesure où il est impossible qu’un Dieu créateur de l’univers - super-intelligent donc - ait pu donner au genre humain des régles d’existence différentes et inconciliables ! Et même si aucune des religions n’a l’aval divin comme moyen pertinent d’organisation de vie collective et personnelle, il n’en resterait pas moins que par traditions l’immense majorité parmi nous continuerait à croire à sa façon, et les athées à la leur.
Et plus on avance dans le temps et dans ce qui semble de l’intelligence, moins on y voit clair sur des frontières qui depuis longtemps devraient nous être communes, sur des réalités pourtant basiques, incontournables, déterminantes, comme les pratiques sexuelles ou encore depuis peu, ce qu’est un homme et ce qu’est une femme, et même un enfant, on ne sait pas quand cela commence et à partir de quand il n’en est plus un.
C'est comme un vent mauvais nouveau qui souffle et voudrait une vraie tempête pour mieux asseoir son autorité en déboussolant plus que jamais les créatures de Dieu que nous sommes (par défaut et avec et malgré nos défauts).
Un vent dit woke, que je dis plus significativement démoniaque qui balaie devant toutes les portes et embrouille les étiquettes pour mieux assujettir les âmes qui, en masse, adhère à cette perdition supplémentaire.
Pourquoi sommes-nous si peu intelligents pour gérer nos essentiels, de tels incontournables qui, laissés en l’état, nous rendent l’existence encore bien plus compliquée qu’avant, les guerres (dans les couples, les familles, les sociétés, les relations étant loin d’expirer dans ces conditions-là !
Sommes-nous intelligents quand nous ne savons que dire : - Plus jamais àa ! - C’est inacceptable ! - On ne comprend pas ! Il faudrait arrêter àa !…
C’est que la condition humaine est bien plus abîmée (même mot qu’abïme) qu’on ne s’en aperàoit. On tient tous, génétiquement déjà, d’une jambe plus courte que l’autre - l’esprit délaissé alors que seule notre âme (notre ego, moi-je, est développée ; tous habités par un germe d’Alzheimer, un autisme du côté Ciel (même si on est de autistes asperger), une hémiplégie du côté coeur, un regard qui convoite, une langue qui ment avant que la conscience ait le temps de se faire entendre, un manque acidentel de vie – et qui va finir sous terre ou cramé pour la partie corps -, cherchant comme un aveugle en plein jour à combler par toutes sortes
- de produits toxiques,
- de pratiques astreignantes,
- ou des mouvements incessants qui nous donnent l’impression d’être pleins... alors que s’arrêter de soi-même, tout seul, rien qu’une heure suffirait à nous montrer à nous-même combien on ne sait pas vivre, combien on ne tient pas en place sans raison comprise, combien la venue de la nuit - ou du jour pour certains - nous fait peur, combien l’inaction se peuple vite d’angoisse, de tentations démoniaques et autres mauvaises pensées.
Mais qu’est-ce qu’une bonne ou une « mauvaise » pensée !?
On n’en sait rien ; on n’a pas appris que les pensées ne sont pas produites par le cerveau mais ont réellement ou possiblement quatre origines bien distinctes, quatre sources* dont la méconnaissance favorise qu’on peut faire des choix dramatiques !
Socrate conseillait déjà il y a vingt quatre siècles « Connais-toi toi-même, et tu connaitras l’univers ». On en fait des sujets de philo, de bac, mais on n’apprend toujours pas aux enfants et aux adultes à se connaître en tant que ce qu’ils sont… ce qui pourrait tellement aider en tout.
ALORS POURQUOI ?
C’est simple, et cela aussi on devrait tous le avoir, depuis le temps :
Nous sommes d’abord des créatures de Dieu, du Dieu éternel créateur et rédempteur, et cette vérité-là de notre plus véritable et profonde identité, Satan ne veut pas qu’on en parle, qu’on le sache dans une vérotable fraternité originelle curieuse et éprise de lumière avec la même force instictive qui attire (attirait) dans la nuit les insectes autour des lampadaires.
C’est que notre instinct spirituel a été cassé et reste amplement tenu dans la nuit psychique qui a suivi un premier accident, la première mauvaise rencontre, le traumatisme psychique et jusqu’ADNique.
Et donc notre existence n’est pas achevée, ni en notre âme – qui survivra à l’arrêt du corps -, ni au plan de l’Esprit qui permet comme peronne la conscience du bien et du mal et nous entraîne (notre moi-je) jusque dans les sphères de l’éternité divine.
Si vous avez à coeur de venir à Dieu pour le connaître "en esprit et en vérité" >> ici une page-guide pour prière(s) personnalisable(s) efficaces(s) <<
En voilà des mots et des droits. A l'époque il était si évident qu'avec les droits il y avait des devoirs, que cela n'a même pas était écrit...
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