Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
21 septembre 2015 1 21 /09 /septembre /2015 12:23

2 - SORTIR DE SA BULLE DE PEUR(S)


La peur n'est pas toujours rationnelle, d'autant que ses causes nous sont cachées.

Les angoisses sont souvent moins compréhensibles encore, quoique leur origine peut aussi être connue.

Faute de connaissance, est-il écrit dans la Bible*, le peuple de Dieu dépérit.
Quand nous perdons de vue la vérité, est-il encore écrit, on devient une proie !
Impressionnant, non !?... Mais (oser) chercher (même de façon toute confuse) conduit à trouver, à savoir (c'est bien plus que croire...).
C'est aussi vrai pour celui ou celle qui est assailli(e) au delà d'une certaine mesure - et c'est une autre bonne raison pourquoi vous êtes là : Il y a une bonne nouvelle à découvrir - ou à bien mieux comprendre -, qui passe par la connaissance la plus exacte de l'origine de nos peurs, angoisses et autres problématiques de ce genre (cauchemars, oppressions nocturnes, pensée suicidaire...).
* La Bible n'est pas un (vieux) bouquin religieux ! C'est le meilleur livre sur la connaissance et le soin de soi. Sa finalité n'est pas que nous adhérions à une religion, mais que nous trouvions la connaissance qui peut nous restaurer dans une relation effective avec
Dieu par le solutionnement de divers problèmes.

Donc à l'origine de nos diverses formes de peurs, il y a des fautes morales, ce que la Bible appelle qu'un mot générique dont le sens (étymologie) est "manquer le but". On traduit ce mot par péché/pécher (pas pêcher du poisson comme un pêcheur), mais sortir des frontières du Bien (entrer dans ce qui est mal donc), Bien et Mal tel que Dieu le créateur du ciel et de la terre les voit et nous en informe.
Et la toute première faute morale, qui a ouvert la porte à la peur en nous, nous est précisément rapportée par le 1er livre biblique – la Genèse : vous pouvez lire ce récit au chapitre 3, avant que je revienne vous en parler...
Nota 1/ Si vous n'avez pas une Bible papier, il y en a plein sur le net...
2/ si vous avez une question urgente, posez-la par Contact. Si ce n'est pas fait, cliquez sur "Suivre ce blog" ou
abonnez-vous". Belle journée.

                      ACTUALITE : Chaude devant !

3 - NOS FAUTES MORALES SONT PLUS CONSÉQUENTES QUE NOS FOTES D'ORTHOGRAPHE ! > CAUSE ET EFFETS DU MAL A PARTIR DE... NOUS !

La lecture du chapitre 3 du livre biblique Bereshit (Genèse) est significative, qui lie la peur à la faute (péché, transgression, sortie du dessein originel -bon- de Dieu). Ici plus particulièrement la peur en tant que culpabilité devant Dieu. Celle-ci comme les autres peurs sont consécutives de nos fautes, comme expression démonstratrice, interpellante
- 1/ du trouble intérieur ou relation désharmonisée entre nos composantes majeures (corps, âme, esprit),
2/ du trouble causé sur le physique (vue d'ombre surnaturelle, poils ou cheveux qui se dressent, bruit ou mouvement d'objet...) et sur l'âme (sensations bizarres, sentiment de présence, voix intérieure...) par la réalité de présences spirituelles maléfiques (invisibles à nos yeux mais pas à d'autres sens).

Le péché est donc
1/ ce qui nous trouble intérieurement, ce qui est Bien (la paix, le repos, le bien-être, le bonheur, l'amour) étant empêché, retenu ou remplacé par du Mal (l'irritation, la nervosité, la colère, la revendication, le mal-vivre, déprime, rancune ou haine...) ;
2/ ...ce qui ouvre accès dans notre relation à des réalités mauvaises du monde angélique déchu (Satan, démons, esprits méchants...) venant perturber notre environnement ;
3/ ...à la fois la faute (mauvaise action, parole ou pensée) ET la force programmée dans notre âme (comme un virus ou malware informatique dans un ordinateur ou un programme) qui nous pousse à répéter, à concrétiser, les mêmes choses mauvaises : nous en rend ESCLAVE !

C'est pour ces choses que Jésus – qui est la Parole éternelle de Dieu détachée de son espace divin pour devenir homme (se faisant à la fois fils de l'homme et fils de Dieu) – est venu : pour nous pardonner, pour nous libérer, pour nous décharger, pour nous transformer, et cela par son Esprit (3e personne de la Divinité une) qui est bien sûr (vie) éternel(le).

Dieu en effet "a tant aimé le monde, qu'il a livré* son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle". On lit cela dans la Bible, au chap. 3 de l'Evangile selon Jean. Bonne suite à vous dans la quête des (et ouverture aux) vérités – ce qui est notre part – et avec l'assistance de Dieu – qu'il accorde aux humbles et cœurs sincères.
Cliquez sur "suivre ce blog" ou abonnez-v
o
us pour être informé des articles suivants. (posté le 23 09 15)

                      ACTUALITE : Chaude devant !

1 - LES TEMPS SONT MAUVAIS ! Des choses terribles se passent, des choses terribles arrivent. Pas forcément pour les mêmes personnes ! Plus on est exposés à des aléatoires ou improbables qui peuvent nous ôter juqu'à la vie, cherchons du sens ! Cherchons à lire ce qui est là et ce qui vient, MAIS PAS sous la lumière et le filtre des médias officiels, de notre raison immédiate (changeante, formatée, conditionnée dès l'enfance et par notre irréflexion personnelle). Lire ce qui se passe peut-être pas non plus sous la lumière de notre cœur incliné par des idées (concepts) injectées dans l'air du temps, qui culpabilisent faussement, avec parité en tout, humanisme sans frontières, priorité à tous les plaisirs, profits en tous genres, superficialité ou haine, orgueil de race, impuissance vengeresse...).

Mais lecture du quotidien, d'hier et de demain, à la lumière d'une Parole exceptionnelle (en quoi ?...), dont la pertinence et la sagesse demeurent et s'avèrent siècle après siècle pour le plus grand profit (bienfaisant, transcendant, bouleversant, apaisant...) de ceux qui y plongent leur regard en cherchant avec un cœur et une raison qui se veulent justes, la et les vérités de ce monde où nous sommes temporairement vivants.

G. Orwell - 1984 "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire." - "Les faits ne cessent pas d'exister parce qu'on les ignore."
Einstein "Le souci de parvenir à la vérité doit primer sur toutes les autres considérations."
Descartes "Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances."

Et donc deux chemins pour se donner un "système de connaissances" :
1/ Les parcourir tous - ce que j'ai aussi fait pendant des années – et mettre à jour le meilleur – il y en a forcément un!) ou
2/ partir du plus excellent signalé (dont les autres n'en portent que des fragments agglomérés à des vérités moindres) - celui que j'ai découvert ! -, sans perdre de vue qu'on peut s'assurer de ce qu'on se met à entendre, la confrontation de tous ses éléments (écrits) aux réalités (de notre existence, de ce qui (nous) arrive, de ce qui (nous) interroge...) devant laisser le moins possible de choses (surtout essentielles ou existentielles) sans réponse, càd incompatibles avec le fondement du système et de ses éléments (On parle d'alors d'"anomalies" : plus il y en a, plus cela témoigne que ce système de compréhension du Réel en est éloigné – est faux)...

OUI, LES TEMPS SONT MAUVAIS ! Mais si j'écris là, c'est qu'ils ont en filigrane une espérance possible, une issue non dramatique accessible, une compréhension satisfaisante trouvable, parce qu'il y a UNE SOLUTION ASSURÉE... Sa limite :
1/ Elle ne s'impose pas (principe de
liberté) ;
2/ Elle n'est pas matérialiste et temporelle uniquement ;
3/ Elle demande qu'on prenne au moins un peu de notre temps d'existence pour SAVOIR !...

à +....
Cliquez sur "suivre ce blog" ou abonnez-vous si vous voulez être informé(e) des articles suivants.

Partager cet article
Repost0
2 avril 2011 6 02 /04 /avril /2011 10:10

A 30 ans j'étais dans la mécréance et l'insouciance de Dieu,
jusqu'à ce jour où un voile mystérieux

fut soulevé devant mes yeux
découvrant soudain Dieu à ma conscience,
d'une façon subite, inattendue, radicale,
révolutionnaire ! Conversion, 1er acte !

 

Le développement de ce témoignage commence ci-dessous par
ACCIDENTE... MAIS PAS POUR RIEN !
Vous trouve(re)z aussi des ARTICLES et des PAGES
avec des MOTS-CLÉS sur la droite >>>
Mon désir est que chaque lecteur-lectrice qui n'a pas encore fait
l'expérience que Dieu existe réellement, puisse sentir un appel
à le chercher jusqu'à entrer dans une relation spirituelle vivante avec lui.

CAR VOUS POUVEZ A VOTRE TOUR

 OSER (ESPÉRER) ET TOUCHER LA LUMIÈRE !

 

Comment ? En lisant ici et là ; en priant (si besoin avec une prière-guide) ; en cliquant sur Suivre ce blog ou en me contactant par le bouton CONTACT >>>

Dans tous les cas soyez béni-e "à salut" - et si vous ne savez pas ce que cela signifie, vous pourrez le découvrir à partir d'ici.

ACCIDENTÉ... MAIS PAS POUR RIEN ! En l'espace d'un éclair un bolide rugissant heurtait le rocher à l'intérieur du virage, se levait sur deux roues (clic !) et fonçait droit sur moi : ma carrière de reporter-photographe spécialisé dans le sport automobile se terminait là au fond d'un ravin où j'étais projeté, bras droit presque sectionné.

J'avais trente ans; j'étais incroyant. Mais Dieu permettait par ce moyen plutôt radical - après en avoir épuisé d'autres... - un amoindrissement qui allait me placer à la portée de son désir de se faire connaître.

(pour des détails sur le Pourquoi de cet accident : MAIS COMMENT EN ETAIS-JE ARRIVE LA ? )

DIEU SE RÉVÈLE...
La convalescence fut donc le temps où de plusieurs manières et le plus souvent sans intermédiaire, Dieu commença à se révéler à moi. Vidé de toute activité et projet, j'avais le sentiment qu'une page de ma vie avait été tournée. Apaisé comme jamais, j'acceptais ce repos forcé et, dans la disponibilité qui en résultait, j'ai soudain soif de savoir(s),  d'apprendre, je ne sais pas quoi, mais c'est une vraie fringale !

...PAR UN SOUFFLE ET DANS UNE DIRECTION
Je me mets à ouvrir des livres (pas d'internet dans les années 70), ce que je n'avais plus fait depuis ma scolarité. Et curieusement déjà, rien que chez moi, je trouve ce qui me convient : Quelques livres jamais lus, arrivés là je ne sais pas toujours comment, mais qui semblent être ici tout exprès pour ce temps particulier. Tous sont empreints de surnaturel, de spiritualité, d'une dimension qui m'attire, sans la moindre idée d'où cela va me mener...

Je me sens comme porté et conduit, toujours vers cette dimension surnaturelle que je ne connais pas. Même si ado j'ai cru en Dieu et expérimenté des exaucements de prières, ici la dynamique, la soif, est toute autre. C'est un souffle qui me pousse. Mon cœur s'enfle comme une voile sous l'effet d'un vent, d'une attraction inouïe vers de la connaissances, un phénomène jamais connu jusque là.

J'ai encore le bras droit en écharpe, sans savoir quelle mobilité lui sera redonnée, mais cela est curieusement devenu secondaire : d'un coup la vie m'enthousiasme ! Les lectures répondent et alimentent en même temps ce désir tout nouveau surgi comme d'une source à la fois vivifiante et désaltérante pour mon être tout entier.

Dès le réveil je saute du lit. Et je lis, je lis, je lis, des pages d'Antonin Artaud ou des écrits de Baudelaire qui me témoignent très fort qu'ils ont connu une autre dimension que ce que mon existence jusque là m'a permis de connaître. Je lis Charroux sur les mystères de l'univers, sur les civilisations disparues, Sumer, l'Atlantide, les Incas...
Je perçois aussi dans les religions anciennes de ce vent qui souffle, avec des figures qui deviennent des symboles tout à coup parlants. Tout un pan du savoir qui est là - qui était là, mais comme mort sans cette vie qui maintenant lui donne consistance. Des pages qui me raccordent - par quel mystère, par quel déclenchement aussi soudain ? - comme à une face masquée, occultée, retenue, qui m'apparait là comme jamais.
Tout un versant latent, supra ou extra-terrestre, dont des lumières envahissent mon champ de conscience. Les mystères semblent se livrer, se raconter, par eux-mêmes ou par quelque initiateur ? Jusqu'où ? Jusqu'à quels confins du réel ?

Dans ce moment je n'ai pas la pensée de Dieu, même si tout semble ouvrir vers ce genre de surnaturel. Je ne me souviens rien du catéchisme (protestant) et de la foi que j'ai pu avoir ado, pendant deux ou trois ans.
C'est surtout d'une autre intensité, un souffle puissant, un appel vers et même dans "quelque chose" qui n'est ni un pays,ni une religion, ni de la pensée ou réflexion personnelle! Je suis comme immergée dans de la connaissance qui s'ouvre comme une route devant une voiture qui avance.

ET SOUDAIN !...
Voilà que j'arrive à un livre de Teilhard de Chardin, "La place de l'homme dans l'univers". Il y est question du rapport entre foi et science (Cet homme est un curieux, qui est prêtre, et philosophe et paléontologue). Je le suis dans ses pages denses, voire austères, et sa laborieuse volonté de concilier création et évolution, notre univers avec un Dieu qui l'a créé et soumis à la suite à des forces d'évolution qui travaillent sans lui...

Et puis j'écarte encore une fois le livre pour me détendre plus que pour une réflexion ou méditation, sans le moindre soupçon métaphysique. Je lève les yeux vers le ciel tout physique, mais que je vois immensément bleu, d'un bleu uniforme et très dense, une apparence, comme une découverte, qui capte mon attention.
Après des années de pérégrinations vécues davantage "au ras des pâquerettes" que conscient de la réalité physique ou symbolique du ciel, cette vue me retient et, sans plus de délai tout à coup s'enclenche, comme une réponse décalée à ma soif, une affirmation et évidence : Dieu est !

C'est exactement comme si un voile physique venait d'être soulevé devant mes yeux par une main invisible et qui me place en conscience face à Dieu : Dieu est !
D'un coup et sans un bruit, sans un vent, sans interférence, Dieu est sorti de son retrait! Dieu est ! Je le SAIS ! Avec une force d'évidence aussi forte si je le voyais physiquement.
C'est comme s'il était habituellement juste derrière un voile, juste derrière les choses qui d'un coup ne me séparent plus de lui. Alors JE SAIS : Dieu est!
A mes yeux intérieurs il est sorti du retrait dans lequel il est envers sa création ; D'un coup il est révélé - il s'est révélé ! Avec aussi, dans une dimension de l'ouïe (intérieure), ce nom par lequel il se présente là : Dieu! C'est étrangement dit de manière permanente sans que ce soit une répétition incessante, pendant me semble-t-il aujourd'hui quelques secondes.
Mais en réalité, c'est que je suis mis là en contact avec... l'éternité. Je l'ai perçu bien nettement 40 ans après.

Cela s'est produit sans même un questionnement préalable, hors de toute attente ou croyance personnelles. Mais suite à cette soudaine soif de savoir... qui ne pouvait venir de moi. Bien plus tard, je remarquerai que cela ressemble, de manière bien différente mais semblable aussi, à la rencontre et au dialogue décalé de Jésus avec une femme samaritaine (ce qu'on peut éventuellement lire ici).

Ainsi, en un instant, d'un coup, par un mouvement approprié de sa volonté en ma faveur, j'avais là la révélation, démonstratrice, sublime, indéniable, que Dieu existe, qu'il est ! Ce n'est même pas de la croyance : c'est le SAVOIR !

Puis le voile reprit place sans que je m'en aperçoive, mais en moi l'effet de cette expérience (qu'on l'appelle révélation, visitation ou illumination) demeurait et demeure toujours. D'incroyant (impie, mécréant, sans foi et sans trop respecter certaines lois), j'avais été instantanément rendu croyant, vivant à et par un principe et moteur du vivant jusque là inactivé au plan spirituel : la foi!

Je commence alors à le dire, avec une envie de le crier au monde entier : Dieu existe ! C'est vrai, oui il existe, vraiment! Il faut que je l'écrive....

ET REMPLI D'AMOUR
Cette autre nouveauté ne m'apparut pas immédiatement liée à la présence révélée de Dieu. Mais ce fut encore du surnaturel puissant, une expérience d'amour hors du commun.
e me retrouvais maintenant le cœur rempli et débordant d'un amour inouï, merveilleux, qui s'était mis à brûler dans mon cœur, sans cause ou objet visible particulier, inexplicable mais si fort que j'ai envie de chanter en criant, ou de crier en chantant.
Les mots des refrains qui se fredonnent alors sont trop pauvres, l'éteignent même... Je n'ai même pas la conscience que c'est encore Dieu qui se manifeste ainsi. Je le vis, c'est tout.
Cet amour me fait tout aimer ! Tout ce que je regarde ou vois est beau, aimable, source de joie : les voitures qui passent, les arbres, les gens, l'air de ce printemps enchanté comme aussi un pylône électrique ! Tout !  Le monde m'apparait comme lavé, brillant, tout neuf, comme sont les paysages après un orage.

J'ai vécu quelques semaines de ce bonheur béat qui gommait tout des incertitudes quant à mon handicap - encore sévère - et à mon avenir. C'était si merveilleux que je transposais cette expérience en un roman, en formant laborieusement les mots et des phrases brûlantes de ma main gauche seule valide. Par l'écriture je recevais encore un surplus de révélation qui attribuait maintenant totalement à Dieu ce miracle d'un tout nouveau commencement, de l'amour accordé, de la lumière qui m'inondait.

Sur le papier cela devenait un éblouissement de rayons descendant du ciel, qui inondait une campagne resplendissante où mon personnage (un journaliste qui me ressemblait !) était mystiquement engendré d'en-haut, ce qui lui ouvrait accès à un tout nouveau départ...

Bien curieusement - mais j'ai réalisé depuis qu'on est le plus souvent fait ainsi -, je ne cherchais pas pour autant à mieux savoir ce qu'il en était de Dieu! Je cherchais à traduire mon expérience, à la dire, mais non à regarder vers lui, non à m'approcher de qui il est par un mouvement vers le ciel, ou par une attente, ou une parole ou une prière. On est en fait tous, croyants ou non, terriblement ainsi.

Bien que converti, dans le sens de retourné comme une crêpe et démarrant un chemin de vie complétement différent du précédent, j'allais rester centré pendant quatre ans sur ce côté du Réel et sur ces événements, seulement soucieux de dire, d'écrire, de partager, d'être un témoin d'expériences... plus que de la personne vivante de Dieu.

SECONDE EXPÉRIENCE SURNATURELLE
Bientôt Dieu vint encore. Un soir où j'étais couché les yeux fermés mais pas encore endormi. Soudain je sentis une présence entrer dans la chambre, par le plafond. Elle se mit aussitôt à descendre assez rapidement, énergiquement, vers moi. Je la sentais à la fois très dense et d'une extrême douceur.
Très vite je me dis que "ça" allait s'arrêter à moi, sans me toucher. Mais voilà que sans préambule, sans changer sa vitesse et ce mouvement, cette réalité toute immatérielle mais tellement tangible me pénètre, s'immerge en ma totalité, se coule je sens comme en chacune de toutes mes cellules. Je vis cela sans trouble, sans crainte.

Une osmose phénoménale dont je suis à la fois un acteur passif béni et un spectateur paisible, lucide, qui n'ose ouvrir les yeux. Je suis si bien, dans la ouate, immobile, comme en suspens, sans oser bouger en rien.
Et puis, comme lors de la première visitation, il y a un nom audible dans cette présence, comme écrit et dit clairement en même temps, dense comme elle, et ce nom c'était Christ...

ET UN DANGER QUI PARAIT...
Je venais de recevoir Christ, d'être investi par Christ. Ce qui me parlait sans toutefois que je sache bien ce que signifie.
C'est au point où dans les jours qui suivent, une voix se met à insinuer une drôle de compréhension en moi !
- Tu as reçu Christ. Tu es Christ alors !
Je suis Christ !?
- Oui c'est Christ qui revient en toi...

Avec ma femme peu de mois avant, lors d'un déplacement pour faire un reportage dans le midi, on avait eu la pensée de s'arrêter à Montfavet dans le Vaucluse, où il y avait un Christ ! Le Christ de Montfavet avait bien fait parler de lui dans les années 70, un facteur choisi par Dieu pour devenir son nouveau Christ. 
On n'avait pas pu le voir - il ne recevait plus - mais sa fille nous avait bien accueillis et parlé de la mission de ce Christ (il ne me reste rien de ses dires). On avait été déçus et en même temps touchés, sans savoir par quoi et pourquoi.

Était-il mort quand cette étrange pensée me vint ? Je ne savais pas. Mais elle était là et me faisait un peu peur, car qu'est-ce que j'avais à dire, si ce n'est que Dieu existe ! Je ne me sentais pas à la hauteur, et surtout je vis que mon comportement ordinaire, auprès de ma femme et de mon fils de 5 ans, avait parfois une dureté, avec des réactions qui ne me semblaient pas compatibles avec le fait que je sois Christ ! 
Et comme je refusai de m'imaginer être Christ (malgré mon expérience de ce que je l'avais reçu), la voix changea un peu son discours : - Tu as mal compris : Ce n'est pas que tu es Christ ; tu es Jean-Baptiste, chargé de l'annoncer. 
La manœuvre ne me parut pas très crédible. Cela se présentait encore pour me donner de l'importance. Et d'un coup effectivement j'en avais beaucoup ! Dieu s'était révélé à moi ! Mais de là à croire que...
- Tu vas vivre 120 ans, me fut-il encore susurré !
Cet argument ne m'accrocha pas davantage, voire au contraire. Ça sentait trop l'argument d'impuissance. Mais si là je résistais au diable sans tomber dans sa tentation - sans trop être conscient que les choses se passaient à cette hauteur -, il n'allait pas pour autant ne pas revenir à la charge, et plus d'une fois sans que je le repère...

AUTRES RÉVÉLATIONS
Après pareilles expériences, vous pensez bien qu'on ne peut plus être le même ! (bien qu'on reste qui on est). Ma bouche débordait de cette foi empreinte d'évidence, et dans son langage de militaire mon beau-frère m'appelait maintenant "Dieu"! D'autres me disaient illuminé, mystique... En tout cas (r)éveillé, et comment ! j'étais alors dynamisé par un enthousiasme extraordinaire, vitalisé, et un désir fou de partager, de dire à tous : Oui Dieu existe ! Il existe vraiment, et on peut en faire l'expérience !...

Alors j'écrivais, j'écrivais, traduisant en mots cette découverte de la face cachée, accidentellement enfouie sous le sable ou sciemment occultée, et maintenant rendue évidente à mon âme et à mon esprit, ce qui m'animait de cette formidable envie de le crier à la terre entière!
...Mais c'était encore sans suffisamment savoir, et sans me poser la question de ce que Dieu voulait, de si c'était bien ainsi qu'il me fallait répondre...

CONTACT AVEC LA GNOSE
Puis un jour ce fut, peut-on dire plus grand encore!? en tout cas bien différent... En un temps qui sembla une infime fraction de seconde - ou peut-être était-ce plus dans le temps -, d'un coup voilà que je sais tout ! J'appelle alors cela accès à "la Centrale de Connaissances de Dieu" (ce que d'autres appelaient jadis la Gnose).
Je sais que là dans ce contact, je peux tout savoir sur tout, instantanément ! Quel nouveau chamboulement! Quel vertige merveilleux, enthousiasmant! Comment faire pour tout retenir!?... Il suffit que je commence à formuler en pensée n'importe quelle question, et instantanément la réponse est là ! Je l'expérimente à quelques reprises. Et je sais intimement qu'il peut en être ainsi pour tout ce que je peux demander!...

Mais comment fixer la somme déjà aperçue, ces réponses que je sens terriblement volatiles ? Elles sont là toutes ensembles en soi, mais pour moi pas plus permanente que le temps que dure ma question. Comment garder des traces de ce submergement tsunamique dans lequel je n'ai pas de prise et qui déjà se referme ?!... J'écrivais, fébrilement, maintenant sur une vieille machine à écrire, de plus en plus vite...
Plus tard je comprendrais que c'était juste un signe, pour me montrer qu'à la suite, je pourrais toujours me confier en Dieu : Il sait tout, et à réponse à tout sur l'instant... même si parfois la réponse ne semble pas venir !

Mais aussi sans que je le réalise, il s'était produit un glissement et progressivement ce n'allait plus être la même chose, plus la même source qui m'abreuvait... Au fil des semaines, j'arrivais à une impasse, enlisé dans tout le fatras des lectures, des révélations, des pensées, des perceptions... tout amalgamé sans discernement, ésotérisme, religieux, astrologie, médiumnité, symbolisme, mythologies... Où était Dieu au milieu de tout cela? Je me sentais las et en panne. Ne fallait-il pas maintenant encore que le Dieu qui s'était révélé vienne maintenant à mon secours? Je ne pensais même pas à le lui demander.

DIEU ME PARLE, VRAIMENT !
C'est dans un de ces jours où je suis arrêté, assis à mon bureau, qu'une voix d'homme se fait entendre, claire, très distincte et ferme, venant de l'arrière sur ma gauche : " Lis la Bible ! Lis la Bible ! " Plus que surpris que quelqu'un ait pu entrer dans la maison sans que je l'ai entendu, je me retourne : Personne ! de visible du moins. Mais je sais qu'il me faut maintenant une bible, et sans plus m'arrêter au mystère de cette voix, je lui obéis, cherchant ici et là chez moi une Bible, en vain.
Je sors alors et parcours tout Aix-les-Bains, sans succès! Jusqu'au septième et dernier libraire visité qui me dit: "Je n'en ai pas, mais ce matin un camion était stationné en face qui en proposait." Effectivement, il était encore là, venu pour ce jour d'Ardèche en Savoie. J'y achète ma première Bible (une version Darby), réalisant déjà un peu mieux comment Dieu avait conduit là, et peut conduire les choses.

MA RECHERCHE JUSQU'AU NEW-ÂGE
La lecture de la Bible "au hasard", celle de la longue préface (Darby), faisait brûler mon cœur tout à nouveau. Mais encore une fois je ne tenais pas longtemps dans ce mouvement qui pourtant avait bien été initié par Dieu. Une pensée notamment me dérouta -j'étais alors loin de distinguer ce genre de subtilités!-, qui me disait qu'il était plus rationnel, plus raisonnable, de lire comme on lit les autres livres, en commençant par le commencement !... Je passai ainsi à une lecture bien différente, qui devenait toute intellectuelle, et une nouvelle fois, je m'y perdais. J'extrayais ici et là des versets ou des pensées que j'ajoutais encore à tout ce que j'avais écrit jusque là ; de quoi sortit comme de l'or des Hébreux un veau d'or, un livre, L'Appel cosmique, que j'allais tout faire pour éditer... Mais avant d'en arriver là, je dois encore dire que durant tout ce temps j'avais aussi entrepris de trouver des personnes avec qui parler de ce que je vivais : Ce furent, après une astrologue des prêtres, qui ne captèrent pas trop, un cependant me disant que c'était la grâce qui m'avait touché, mais plus étonné que capable de répondre à ma confuse attente. Je pensais alors aux moines d'Hautecombe, de l'autre côté du lac : n'avaient-ils pas mis leur vie à part pour Dieu!? Je vivais quelques jours parmi eux, passant de longues heures à discuter, à écouter, à lire, fébrilement attiré par les livres de " l'enfer " qu'on m'ouvrait exceptionnellement et secrètement, à suivre les offices... toutefois sans trouver ce que j'avais espéré, chose que je n'aurais pas su formuler, en tout cas suffisamment insatisfait pour écourter mon séjour et chercher plus avant. Car, me disais-je, il y avait d'autres religions, et je ne devais pas m'en arrêter à cette seule expression, insuffisante, de la spiritualité! Après avoir encore trouvé le temple réformé inaccessible, dans une conduite des choses, je voyais à Aix-les-Bains une plaque de rue et la vitrine d'une assemblée évangélique, mais cela resta comme un appel qui me trouvait sans force ou sans mémoire pour y venir à un moment d'ouverture. A Chambéry par contre, j'étais été abordé par des Hare Khrisna, et quand on me présenta une autre personne qui avait connu dans sa jeunesse une fulgurante illumination et qui habitait Paris, il ne restait plus qu'à prendre le train. C'était ainsi qu'avec Marc maintenant ingénieur retraité pourvu d'un bon carnet d'adresses, et encore conduit par des affiches et autres connexions nouvelles... on se mit à faire " la tournée des grands ducs " de l'autre versant des choses, commençant par les Hare khrisna, passant à la Pure Vérité, par les Amis de l'Homme et d'autres mouvements et salons mondains où une certaine culture spirituelle avait sa place. Plus que curieux, amorcé, attiré, poussé, puis par un détail ou une énormité désillusionné, fatigué, je parcourais ainsi Paris, puis bientôt la Suisse, découvrant Findhorn, l'instinctothérapie, la macrobiotique, le végétarisme, Khrishnamurti..., élargissant jour après jour mon exploration de la galaxie des métaphysiques, mais toujours sans trouver résonance, sans parole ou contact que confusément je recherchais et qui auraient été échangés dans une évidence que c'était bien en Dieu qu'on se rencontrait...

Cette quête prenait aussi de plus en plus une autre orientation. Des personnes étaient touchées par mon témoignage. D'abord dans mon entourage direct: ma femme, puis un beau-frère et sa femme dont le couple battait de l'aile...

Mais quand j'éditais mon 1er livre, c'est moi plus que Dieu qui me trouvais propulsé sur l'avant de la scène, côté initié disait-on! Après sa parution et un stand au salon Marjolaine ( en gros New-âge et Nature) à Paris, non seulement j'étais vu, lu et écouté, mais encore je recevais les honneurs de la télévision et autre radio locale, et une petite-fille (déjà d'un âge bien avancé) d'un des maréchaux du Grand Empire (Masséna) m'offrait une aile d'un de ses châteaux pour loger "mon mouvement" me dit-elle! Un peu plus tard je recevais encore l'intégralité du prix d'édition d'un second livre (La vibration d'amour I). C'est dire que je me trouvais maintenant à l'aise dans cette auberge espagnole qu'est le Nouvel-âge: l'homme aime toujours à être élevé, écouté, regardé! Ce n'était plus Celui qui m'avait visité qui comptait (avait-il seulement déjà compté pour lui-même, hormis le fait que j'avais été mis en mouvement pour l'autre côté de la porte de l'univers?). Comme beaucoup dans cette sphère, je parlais certainement beaucoup de l'expansion de conscience ou de l'évolution cosmogonique, mais de QUI ETAIT Dieu?... Partout on se référait à la Bible, mais que ne lui fait-on pas dire? Christ aussi était très présent dans les milieux orientalistes ou médiumniques, LE MOT, sans qu'on se soucie de QUI il pouvait réellement être. Ca marchait bien -apparemment!- pour moi. Des commades de livres arrivaient de Suisse, Canada, Afrique... mais je n'avais toujours pas compris grand-chose à POURQUOI Dieu m'avait révélé son existence. Je m'attachais plus à la dimension ouverte qu'à son contenu, encore captifs, comme tant d'autres, de l'illusion d'être déjà dans ce qu'on n'a encore fait d'entrevoir...

ENCORE DU NOUVEAU !
Cependant Dieu veillait! Et s'il ne peut enfreindre certaines des libertés dont il nous a pourvus, s'il permet même, outre nos vagabondages des déroutages insidieux, Dieu n'en garde pas moins le contrôle des opérations, la maîtrise des temps et des circonstances! Alléluia! C'est ainsi qu'arriva un temps où je ne parvenais pas à mettre le mot Fin sur le second volume de La vibration d'amour, qui me semblait pourtant achevé. C'était comme un mur devant moi, invisible mais bien réel, que je cherchais un temps à contourner, puis que j'acceptais, sans comprendre autre chose que c'était mieux de ne pas insister et d'attendre. A cet endroit je dois encore revenir en arrière pour dire ce que j'avais mis en place en parallèle à mes pérégrinations et dont l'aboutissement arrivait. Face à mon incapacité à partager ce que je vivais de surnaturel avec mon fils alors âgé de sept ou huit ans, j'avais voulu qu'il soit quand même au moins enseigné de rudiments, ce qu'on trouve dans le catholicisme. Or la catéchiste sollicitée, que je ne connaissais pas, était également une sympathisante d'un mouvement chrétien international qui, traduit de l'anglais s'appelle "Association des Hommes d'Affaires du Plein Evangile". A Chambéry comme dans beaucoup de villes de nombreux pays, des soirées-témoignage étaient organisées mensuellement, et j'en trouvais dans ma boîte aux lettres des invitations avec notamment le nom de Jésus-Christ qui m'interpellait... Un soir, avec ma femme qui suivait un peu à distance ce que je vivais, on finit par rejoindre une de ces réunions. Précieux rendez-vous en vérité, car Dieu nous attendait là l'un et l'autre! Nous arrivions précisément pendant que l'assemblée des personnes présentes chantait les louanges de Dieu les bras levés vers le ciel. A cet instant, encore sur le pas de la porte, le Saint-Esprit fondit sur moi, me traversant dans un fourmillement très sensible de la tête aux pieds. Puissante manifestation qui était en même temps une attestation qui disait à mon cœur, comme d'une voix audible : "Voilà! Ils sont là, ceux que tu cherches!". Je trouvais, on pourrait dire "tout simplement", des chrétiens; mais c'en était des vrais, pas des croyants de nom ou de tradition. Ils étaient réunis là autour de ce Dieu qui était venu à moi et qui était ici pour eux, en une personnalisation ou appropriation que je ne connaissais pas, "leur" Dieu, leur Père, eux en lui et lui en eux et au milieu d'eux... Merveille de la présence de Dieu parmi les hommes! Il m'avait donc fallu un périple de quatre années, un tour d'horizon de (presque!) tout ce qui se vit ou se propose de surnaturel sous le soleil, avant d'aboutir –acceptant à la fois de laisser mon livre et de répondre à une invitation- à cette rencontre qui allait s'avérer déterminante pour la suite de ma (lente) remontée et restauration en Dieu. ...Et voilà que certains de ceux qui allaient maintenant devenir "mes frères et sœurs", habitaient en fait... tout près de chez nous!

Ma croyance à ce moment-là n'avait pas cet effet que le Créateur recherche, de nous (re)créer en lui, de nous faire entrer dans une relation vivante avec lui (on dit autrement encore nous sauver, nous racheter des forces mauvaises de ce monde, nous en rendre libres et vainqueurs...)

En vérité jusque là je n'avais encore jamais ressenti un réel besoin de Dieu. J'avais bien été grandement éveillé à lui, chamboulé, dynamisé, rendu heureux... mais je ne voyais ni n'imaginais rien de plus permanent à vivre avec Dieu. Je pouvais en parler avec conviction, la certitude de sa réalité s'étant comme écrite en moi, mais je ne priais pas et je n'avais que très peu lu la Bible. J'avais bien résisté à quelques tentations, mais à l'occasion d'un séminaire j'avais aussi glissé dans une relation coupable qui ajoutait à mon porte-à-faux et à mes nouveaux égarements... Vers la fin donc de cette soirée de l'HAPE, pour sa part ma femme avait été puissamment visitée et convaincue d'être une pécheresse devant Dieu. Elle s'était vue souillée, misérable, pleurant toutes les larmes de son corps, au moment où j'avais quitté ma place pour répondre à un appel lançé à suivre Jésus. Je m'étais levé dans l'évidence que j'avais déjà répondu depuis longtemps, et certainement sans en avoir dévié! Mais à la différence de sa femme, ma véritable condition spirituelle (pécheur, souillé, perdu, "mort dans nos offenses", dit la Bible) m'était là encore restée cachée. Des chrétiens se sont approchés, certains étaient du Renouveau Charismatique, d'autres de l'Eglise dite Réformée, d'autres encore d'églises dites évangéliques, et Christine la catéchiste de notre fils s'est présentée comme étant aussi la factrice par qui on avait pu être présents... Puis Marc et Gabrielle nous ont prêté un disque ("Si mon peuple", de Jeunesse en Mission), et je chantais de tout mon coeur ses musiques modernes et entraînantes, ses paroles spirituelles bénies, heureux... comme si j'étais déjà de ce peuple!... Mais change-t-on si facilement de direction et de maître!? La Bible dit par le prophète Jérémie (ch. 10, verset 23) que la voie de l'homme n'est pas en son pouvoir quand il marche. Ce que je devais encore l'expérimenter. Ainsi, malgré ces nouveaux contacts hyper sympathiques, je me rendais bientôt -cette fois avec ma femme- en Suisse où Khrishnamurti rassemblait toujours quelques milliers de personnes... pour moi autant d'acheteurs potentiels de mes livres! Mais quelque chose s'était passé en moi: je n'avais plus aucun allant pour proposer et vendre mes livres, ni pour écouter l'orateur d'ailleurs dont l'anglais de plus (non traduit) m'était complétement inacessible. L'événement majeur de ce déplacement se trouva ailleurs, qui montre comment les forces occultes ne sont jamais très éloignées de ce que nous vivons ou de ce que Dieu entreprend. Ce fut une rencontre avec une jolie jeune femme, notamment séduisante par un mystère qu'elle entretenait avec une certaine maîtrise. On sympathisa rapidement, et après nous avoir poussés à vouloir savoir, elle finit par nous dire à quel mouvement elle appartenait, une secte internationale qui allait avoir son grand rassemblement annuel très prochainement... à quoi elle nous invitait bien évidemment. Le soir et notre départ arrivant, elle nous offrit de partager... son lit, ce que je déclinai plutôt sèchement, surnaturellement gardé une nouvelle fois (même si la chair voudrait le voir autrement !) plus que conscient de ma réponse...

Mais la séduction fut telle que le moment venu ma femme acceptait de partir avec elle, ralliant toutes les deux de Savoie Amsterdam... en stop! Etonné plus que réalisant ce qui se passait, je les laissais à cette soudaine complicité, sans imaginer qu'en fait Dieu avait prévu de mettre cette dizaine de jours à profit pour m'approcher encore plus de lui!

CHEMINER JUSQU’À "NAÎTRE DE NOUVEAU" (SPIRITUELLEMENT)
Il se servit cette fois d'Eugène, un jeune ex-toxicomane, qui me raconta sa quête éperdue du bonheur, via toutes sortes de drogues, la méditation, l'appartenance à une secte, et comment Jésus l'avait délivré récemment, sans aucun effort de sa part, de tout (témoignage disponible sur K7 audio ou CD). On en vint à parler de mes propres expériences, et de ce qu'on vivait depuis que Dieu s'était manifesté: mes et nos rencontres avec astrologues, médiums et autres mouvements; nos séances de spiritisme, table tournante, pendule, divination, hypnose; comment, naïfs et inconscients d'avec quoi l'on jouait, on envoyait les esprits invoqués à l'hôpital pour guérir des malades du cancer!...

Alors Eugène avait ouvert la Bible, au livre du Deutéronome, chap. 18, versets 9 et suivants, lisant combien ces choses sont des pratiques abominables aux yeux de Dieu! Parce qu'elles nous mettent en contact avec le monde invisible mauvais, satanique et démoniaque, hostile à Dieu et aux hommes. Cette fois, les contours de la dualité toute spirituelle m'apparaissaient. Pouvais-je avoir été à ce point béni par Dieu et encore un jouet de l'invisible!?... Après avoir prié, Eugène m'avait laissé une K7: le témoignage d'une jeune femme entraînée dans l'occultisme et la prostitution, ses combats invraisemblables pour être libérée des liens et de l'emprise de Satan... En écoutant je me mis tout à coup à pleurer, de façon incompréhensible, telle une source ouverte de larmes chaudes, douces, bienfaisantes, libératrices. Son histoire et ses luttes parfois terribles éclairaient la mienne, et Dieu, curieusement, m'accordait dans cet instant une extraordinaire détente, un nouveau rafraîchissement, comme pour m'assurer que sa grâce était là et serait là dans les moments difficiles qui allaient bientôt être aussi les miens.

A la fin de l'écoute en effet, je compris dans quelle galère je m'étais mis! ... par mes pratiques occultes; par mes livres même, qui pourtant parlaient de Dieu!? Par mon ignorance, par mon inintelligence de tout ce qui m'arrivait! Non, tout n'était pas réglé! Par une image ou vision intérieure, je me voyais sous une voûte sombre verdâtre, glauque, visqueuse, et je réalisais combien j'avais un réel besoin de Jésus! Je lui adressais une prière toute silencieuse, pas apprise ou préparée mais en prise directe avec l'instant et la situation.

Alors il continua à conduire. Un soir suivant, à l'assemblée où Eugène m'avait invité, Roland Vivès (K7 ou CD de témoignage très intéressant) prêcha sur Josué, sacrificateur de Dieu que Satan accusait à cause de ses vêtements sales. (Zacharie chap. 3). Il ne me connaissait pas, mais il parlait vraiment pour moi, mettant en lumière ma condition à travers celle de Josué, la condamnation du diable qui était sur ma vie comme alors sur la sienne. Surtout Roland apportait la solution, proposait la délivrance (que Dieu offre quand c'est nécessaire à tout homme ou femme humilié(e) ou qui s'humilie). Assis au premier rang, je tombais à genoux au pied de l'estrade, progressivement paralysé tout autour de la bouche, les épaules, les bras... C'était le début des prières de l'Eglise vivante et agissante, qui allaient m'arracher aux ténèbres, aux effets de mes fautes et de mes errements, Dieu se servant maintenant d'hommes ses serviteurs pour me conduire dans sa liberté...

Pendant ce temps au Pays-Bas, mon épouse avait été prise à fond dans le filet de la séduction. Quand elle revint, c'était pour faire ses valises et prendre avec elle notre fils pour rejoindre un homme "extraordinaire" qu'elle avait rencontré et avec qui elle avait décidé de poursuivre sa vie... à Oslo! Je me souviens être tombé à genoux dans la chambre pendant qu'elle y prenait ses affaires, et les mains jointes (!) avoir imploré Dieu de la retenir! ...Et elle était restée -m'expliquant par la suite comment elle avait vécu ce temps comme dans la ouate, en rêve ou sur un nuage, (comme) droguée, oubliant pendant plusieurs jours tout ce qui faisait sa vie, complètement aveuglée par l'esprit qui dominait ce rassemblement... mais en même temps gardée de travers les plus terribles.

Je réalisai que j'avais vraiment besoin d'être instruit dans la connaissance de Dieu et des réalités spirituelles, de voir plus clair dans cet antagonisme subtil qui se jouait et se tramait dans les coulisses de notre monde et de nos existences, entre le merveilleux réellement bienfaisant et la poudre aux yeux qui ne vise qu'à nous asservir, entre le vrai et l'imité, entre Dieu (qui a choisi de ne jamais s'imposer, parce qu'il est Amour et que l'amour ne le peut pas), et celui qui est le mal dès lors qu'il a cherché et cherche toujours à s'imposer à sa place et à s'assujettir nos vies par la séduction ou par la violence (ses deux fonds d'action principaux). Je devais comprendre ce que Dieu faisait et voulait, ce qu'était son moyen de délivrance, de salut, dont j'entendais maintenant parler, par lequel il pouvait nous -et pour me- sortir de ces ruses du diable et de sa domination insidieuse et perverse.

Dans sa souveraineté à conduire toutes choses, le Seigneur employa encore Paul à cette fin, un missionnaire américain (des églises dites baptistes), rencontré à ce moment-là... c'est-à-dire pas par hasard! Paul et Lorraine avaient désiré venir à la maison chaque semaine, pour nous apporter leurs chants, leurs prières, leur amour et un enseignement biblique solide qui fut longtemps centré sur le salut par la personne et la mort de Jésus-Christ, et encore sur l'assurance qu'il nous faut en avoir. Paul insistait pour qu'on (mon épouse, moi et encore beau-frère et belle-soeur qui étaient en train de changer) saisisse par la foi que nous sommes sauvés dès lors que nous croyons que Jésus est Sauveur, que nous avons accepté sa mort comme sacrifice pour nos péchés, son sang les effaçant de la mémoire de Dieu dès l'instant qu'il intercède pour nous (étant maintenant ressuscité), qu'on voit et confesse nos fautes et qu'on s'en repent...

En ces jours-là je naissais donc spirituellement, d'en-haut, de Dieu comme dit la Bible (Evangile selon Jean chap.1, versets 12 et 13). Je devenais comme le papillon qui sort de la chenille, "nouvelle créature" (Jean, tout le chap. 3 - 2Corinthiens, 5.17)... Mon cœur, plusieurs fois éteint par les erreurs, les illusions ou les faux-pas, recommençait à brûler du feu de l'amour divin, notamment à l'écoute de la Parole de Dieu, cette Bonne Nouvelle de l'Evangile qui nous fait tout saisir des vérités et réalités véritables, nous avertissant aussi que si nous n'avons pas en nous cet amour, nous ne sommes rien, c'est-à-dire nous ne pouvons connaître Dieu et entrer dans son éternité...

Je me mis à apprendre comment être changé, comment revenir à Dieu quand je m'en éloigne, comment grandir spirituellement pour être établi dans une communion toujours plus permanente et intime avec lui... avec toujours le plus vif désir de le servir! Le Seigneur me permettait de renouer avec mes parents dont je m'étais bien éloigné - me mariant sans eux par exemple. Me voyant changé, ils se tournèrent vers Dieu à leur tour et entrèrent spirituellement et localement dans la famille de Dieu.

*** Rien ne se fait sans du temps, des études, des expériences, des tâtonnements et d'autres difficultés encore, mais toujours, une fois que nous avons le pied à l'étrier, dans le sens de notre formation (croissance et affermissement), et encore pour que nous ayons la joie de (quelques) victoires (que nous ne pourrions pas connaître s'il n'y avait pas d'adversités et d'adversaires). Et pour toutes ces choses, on peut encore avoir l'assurance que la force nécessaire vient de Dieu, et au(x) bon(s) moment(s); qu'on n'a donc pas à s'inquiéter, car il est un Dieu vivant et son secours, parfois même pas demandé ou inespéré, en est une preuve tangible. Je dis maintenant que la gloire de Dieu, sa grandeur suprême envers nous, ce n'est pas de s'imposer (maintenant) à tout et à tous comme il aurait largement la capacité de le faire (ce qui ferait taire tout le monde!), ce n'est pas non plus de nous préserver de toutes les difficultés pour que nous ne vivions déjà que du bien et du bon (cela viendra, mais en un autre temps - qui arrive...). La gloire de Dieu est dans sa capacité à pouvoir retourner favorablement toutes situations mauvaises, qu'elles nous aient surpris ou que nous nous y soyons enfermés nous-même. Une dernière anecdote, au sujet de mes livres. Dans ces moments-là, j'en vendais encore régulièrement plus de vingt par semaine, commandés par correspondance, ce que je ne pouvais absolument pas maîtriser. Quand je demandais à Dieu d'arrêter ce mouvement si ces livres étaient réellement un problème, le chiffre tomba à sept la semaine suivante. Demandant encore un signe plus radical, dès la semaine suivante il n'y eut plus aucune vente! C'était clair! Voyez-vous comment Dieu peut s'occuper de nous? Il nous connaît chacun, étant patient envers tous, sachant ce qu'il nous faut, où nous en sommes et encore nous accordant des aides nécessaires, avant même qu'on ait conscience de lui. (A plus forte raison si on l'invoque!). Il y aurait de quoi développer et écrire encore beaucoup après des années de marche avec Jésus! Mais il y a déjà là de quoi apercevoir certaines des vérités fondamentales, trop souvent trop bien cachées, qu'il est crucial et vital (dans le sens de notre éternité) de connaître, dont ce besoin personnel et personnalisable de la grâce que Dieu accorde, non en raison des œuvres ou mérites qui peuvent être les nôtres, mais à cause de son amour et du sacrifice incomparable -pour nous!- de Christ sur la croix.

D'UN RASSEMBLEMENT A L'AUTRE... ET A CHACUN SON TOUR !?
Au fil des années et de déménagements, le Seigneur m'a fait passé par diverses manières de vivre collectivement ma foi et vie chrétienne. Le fait est bien sûr qu'on ne peut normalement pas vivre une vie avec Dieu sans relation avec d'autres chrétiens: Sauf exception incontournable, comment le "Aimez-vous les uns les autres" de Jésus à ses disciples, peut-il s'appliquer si on reste volontairement dans son coin !? (Prov. 18.1)

Après le 1er groupe du Renouveau charismatique et la 1ère Assemblée de Dieu pentecôtiste (ADD), j'ai été conduit à rencontrer en Suisse et Haute-Savoie des églises dites Apostoliques. Changeant de région, on a fréquenté pendant 7 ans une Église Évangélique Libre (où le mot Libre parle plus de la constitution historique de ce type de rassemblement que de liberté dans l'Esprit). Ma femme préférait alors cette assemblée pour son organisation en faveur des enfants...

Pour vivre une communion fraternelle plus véritable, on a aussi été conduits à fonder un petit groupe qui, pendant plus de 12 ans, se réunit dans les maisons des uns ou des autres... sans couper avec de plus grands rassemblements. Organisés en association on fait fonctionner un local qui permet la revente de (beaux) vêtements d'occasion à bas prix (Friperie Retrouvailles 3) et de tenir des réunions spirituelles (aujourd'hui en stand-by). C'est ainsi que l'Esprit ajouta parfois de nouveaux convertis, qu'on et qu'il travailla à nous édifier en connaissance et transformation de soi, afin que nous vivions toujours plus la présence bénissante de notre Papa-Dieu par son Esprit.
Selon sa volonté dont la foi, l'amour et l'espérance sont les bases et les sommets spirituels (1ère aux Corinthiens chap. 13, vers. 13), nous nous édifiions comme les premiers chrétiens par la connaissance de la Bible, l'enseignement des apôtres (le Nouveau Testament), la communion fraternelle, la fraction du pain (ou Sainte-cène) et les prières (Actes des apôtres ch. 2, vers. 42)...

Depuis quelques années maintenant le groupe s'est fondu dans des rassemblements, je pense pour une représentation finalement moins morcelée de l’Église en tant que le Corps (mystique, spirituel) de Jésus-Christ (sa tête). Aussi parce que j'avais fini par être établi là dans une position de pasteur que le Seigneur ne m'avait pas lui-même donné. (à ce sujet l'épreuve et le miracle de Dieu en ma faveur ici).

Enfin pour l'heure, je partage mon temps entre la présence à la maison (d'où les enfants sont partis), l'écriture (de nouvelles, d'articles, de ce blog, de poèmes...), des relations régulières avec la planète chrétienne et d'autres avec le monde en général, suivant aussi d'assez près l'actualité  française et mondiale car des prophéties bibliques se réalisent en ce moment sous nos yeux et d'autres très importantes arrivent très vite, afin de savoir à quelle heure on est du timing de Dieu, concernant notamment la réunion des chrétiens à leur Sauveur et Seigneur glorieux avant que des événements plus terribles que jamais se s'embrasent subitement de partout (après une période annoncée de paix planétaire... qui ne durera pas plus de trois années et demie car faite de compromis et d'hypocrisie et non scellée sous le regard approbateur de Dieu).

 

Si ce témoignage vous interpelle ; si vous sentez que vous pouvez vous aussi être approché/e de Dieu au point de vivre une et de véritables expériences de sa réalité, cela dépend maintenant de vous !
Voici éventuellement une trame de prière pour vous aider/guider dans un 1er pas de réconciliation avec le Dieu créateur de l'univers et du genre humain.

PRIERE-GUIDE pour VOTRE RÉCONCILIATION AVEC DIEU :
- Dieu créateur du ciel et de la terre, je veux moi aussi venir à toi maintenant, tel(le) que je suis, encore souillé(e) par mes fautes, fatigué(e) par mes péchés, captif(ve) à cause de ce que tu sais encore mieux que moi... Mais surtout attiré(e) par ta grâce, désireux(se) de connaître une réelle intervention de Toi dans ma vie, afin que je te découvre et désire te connaître sans religiosité malsaine mais en esprit et en vérité.

Je te confesse ici ...(dites-lui déjà les péchés qui vous sont maintenant présents à l'esprit...).
Et je te demande sincèrement pardon pour toutes ces fautes, pour toutes mes offenses envers Toi et les autres, tous mes manquements, et encore les péchés que j'ai pu commettre sans même en avoir été conscient(e).
Je compte sur toi Seigneur-Dieu, pour me montrer tout ce qui peut être un obstacle entre Toi et moi, conduisant toutes choses pour moi en vue de toute délivrance qui m'est nécessaire.
Merci Jésus, toi qui a dis que tu es la lumière du monde, de devenir la mienne, maintenant et toujours. Oui, je crois Jésus que tu es mort pour moi, crucifié pour mes péchés, pour me sauver. J'entends et je crois que tu as donné ta vie à la place de la mienne pour que le châtiment que méritaient mes fautes ne m'atteigne pas, pour que Satan perde de sa force et de sa ruse envers moi, et pour que la mort ne soit plus pour moi qu'un passage dans ton éternité.
Merci de me laver maintenant de tout l'impur de ma vie. Je veux désormais vivre et marcher avec Toi Seigneur Jésus mort et ressuscité, aussi je t'ouvre mon coeur pour recevoir ton Esprit-Saint comme vie éternelle, comme force contre le mal, et comme lumière pour guider mes pas jour après jour dans tes voies.
Merci Seigneur de me faire grandir dans les connaissances justes nécessaires, et dans une communion réelle vivante avec Toi, et à terme de me faire entrer dans ton éternité exempte de tout mal, de pleurs et de toutes souffrances. Amen.

Si vous avez fait cette prière, réjouissez-vous, continuez avec vos propres mots, librement, comme on parle à une personne présente, remerciant Dieu pour ses bienfaits, et de vous avoir trouvé(e) là maintenant.

Prenez le temps de réaliser, parlez à Dieu, apprenez son repos, le silence et la paix d'une vraie réconciliation avec lui.
Et puis écoutez, découvrez quelques chants en rapport de notre - et votre - foi :

http://www.youtube.com/watch?v=z4BYLUFp-JI.html http://www.youtube.com/watch?v=Zhx2ucoSJ6Q.html http://www.youtube.com/watch?v=FAyXb61hJ_Q.html http://www.youtube.com/watch?v=xAPgdXKx5es&feature=channel http://www.youtube.com/watch?v=va3n0bogjH8.html http://www.youtube.com/watch?v=-p_Pk7AXL28.html http://www.youtube.com/watch?v=8NrkZQvHtbo.html http://www.youtube.com/watch?v=ojRzpyCgQeU.html ...

N'hésitez pas, en cas de questions (qui restent en suspens) ou autre partage que vous désireriez, à me contacter par mail, ou d'aller vers d'autres chrétiens capables de vous accompagner dans ce chemin de la pleine vie... Que Dieu vous bénisse, - à salut si vous sentez encore quelque obstacle qui vous empêche d'entrer vous en lui et lui en vous, dans cette relation d'Esprit à esprit et d'esprit à Esprit, avec lui.
Qu'il vous bénisse de gloire en gloire, si vous avez déjà fait correctement la démarche nécessaire à votre positionnement en Dieu, et sentez déjà les effets d'appartenir à Christ plus qu'à l'esprit (pervers, méchant, malin...) de ce monde.
Bien cordialement,

Claude

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
  • Contact

Recherche