Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
25 mars 2024 1 25 /03 /mars /2024 21:18

 

TEMPS DE FIN,
ET DE RETOURS

 

Dernier bastion des vérités fondamentales,
L’aile évangélique qui lit et qui vole
Avec celle des Écritures hors d’âge
Est tombée.
C’est la fin amorcée et la chute libre

- Mais de quelle liberté ! -
Qui va s’accélèrer avant de s’écraser
Dans des bains de lait, d'eaux sales, de sangs,
De jets spermiques, d’horreur, de glace
Comme de banquises qui disparaissent
Sous des soleils de plomb,
Nucléaire, viraux ou de mitrailles.

 

Tombée comme en ces années 30
De sinistre et pesante mémoire,
Quand l’Église luthérienne d’Allemagne refusa,
Sous prétexte que c’était Satan leur producteur,
Les manifestations vocales des dons de l’Esprit-Saint
Qui tentait une ultime fois d’empêcher le pire,
De changer la trajectoire.

 

Quand la colonne du Temple de la vérité
Se met à pencher plus que de Pise,
Son appui millénaire même risque une nouvelle fois
Les bûchers d’inquisiteurs, qu’ils soient laïcs
Ou religieux.

 

Ce n’est pas la première fois
Que le meilleur des mondes, plus humain même
Que Dieu, veut établir son empire et son emprise
Sur les masse devenues informes à des yeux
Injuectés de sang ou d’un amour fou, violent,
d’Arrogance, d’égoïsme éhonté, de haine
Et de salivantes convoitises
Qui font érection et sécrétion et éructer.

 

Le dernier bastion bascule sous la pression
Des forces hostiles au Divin et à notre genre duo
- Que les anges n’ont pas et que certains envient - ;
Et les faits blessent où des faiblesses déjà sévissent
Car il n’est jamais bon de laisser des blessures
Sans soin, qui s’infectent jusqu’à profusion
De pénétrations sales, d’infusions de toutes sortes
De souillures, de fautes non confessées et pardonnées,
De mal inaperçu ou traité par impiété
Par des « grandes personnes » (dit le Petit Prince)
A la fausse jeunesse frivole.


Et las dès lors s’affaisse la charpente,
Le faîte, le faîtage et les fêtes chantées,
L’adoration est tournée en dérision,
On adore le chocolat, tiramitsu ou baklavas…

 

Mais il se rit de ses adversaire le Dieu vivant !
Le Dieu qui laisse des mystères subsister
Pour qu’on s’exerce à la sagacité
Et qu’on connaisse l’enthousiasme des découvertes,
Des dévoilements, des apocalypses les meilleures.

 

Dieu est l’instituteur des mystères dont il soulève
Lui-même le mur ou le tissu, quand on ne cherche plus,
Quand on n’a pas trouvé, quand on est écrasé
Comme par ce qui vient sur le monde qui
Ne s’en doute pas, ou si peu.

 

A genoux encore humbles et fiers soldats et soldates
Que de rien Dieu fit quelque chose,
Comme des roses qui se voient ou se sentent
Et parfois piquent encore.
Attends chrysalide en chemin
Le grand retour de ton preux Chevalier
Sans peur et sans reproche investi de puissance
Dont l’épée aigüe à double tranchant sort de sa bouche
Pour guérir ou occire, pour renverser encore
Les vindicatifs et les marchands de rêves
Qui s’enrichissent, et restaurer l’ordre
Menacé par un chaos... qui ne l’impressionne pas.

 

C’est un peu hermétique, tout ce qui vient de Dieu,
A la fois simple à croire et impossible à recevoir
Ou à vivre, sans qu’il soit là ;
C’est différent de la ténèbre qui elle est occulte,
Aux symboles troublants autant que séduisants,
Bientôt toute éventée, précipitée et réduite
Singulière et plurielle en trois esprits impurs
Semblables à des grenouilles : telle est la force
Devant Dieu « du Dragon, de la bête et du faux prophète ».

 

Alors sans peur face aux imperfections
Comme face aux tensions, allons !
Car c’est pendant sa marche que le juste
Renouvelle ses forces, et les vieillards même
Rajeunissent comme l’aigle quand les jeunes gens
Attablés jour et nuit à des écrans et à leurs idoles
Se fatiguent à ne plus savoir que faire.

 

« On me crie de Séir : Sentinelle, que dis-tu de la nuit ?
Sentinelle, que dis-tu de la nuit ?

La sentinelle répond : Le matin vient, et la nuit aussi.
Si vous voulez interroger, interrogez; Convertissez-vous,
et revenez. »*

Ce qui ne se fait pas sans notre adhésion,
Consentement et action,
Mobilisation.

 

 

* Ésaïe 21.11,12
 

C.T. mars 24

Partager cet article
Repost0
25 mars 2024 1 25 /03 /mars /2024 21:16

VÉGÉTAL

ELOGE DU HASARD PRODIGIEUX

 

Je loue le Hasard
Pour les oranges à la couleur si éclatante
organisées à l’intérieur en quartiers
Qui donnent sous ma main pressante
Jus et vitamines fortifiantes, boisson sucrée…

 

Je loue le Hasard
Pour le kiwi qui cache sous la banalité
De son vert foncé et velu une harmonie subtile
Qui se découvre une fois coupé, au cœur blanc
Qui rayonne en couronne ses graines noires utiles
Et jusqu’en sa chlorophylle au vert tendre suintant...

 

Je loue le Hasard
Pour les courges et les tomates aux variétés
Innombrables qui se préservent ou s’hybrident
Pour nous donner des potages ou des plats cuisinés
Dont on laisse gourmands, l’assiette vide…

 

Je loue le Hasard prodigue
Qui nous nourrit par tant de prodiges
De créativité et d’ingéniosités à partir de la terre
Pourvoyant selon les continents des tiges
De plantes sélectionnées qui captent la lumière
Et transforment des racines profondes
Aux feuilles les plus hautes, en des sèves
Élaborées et des pulpes charnues, des ondes
Des eaux, des minéraux qui les précédent ou les suivent…

 

Je loue le Hasard et son art
De faire aux fruits des emballages appropriés,
Minutieux, beaux, minces ou résistants
En trois couches différentes imbriquées
Pour la châtaigne, bogue hérissée et deux peaux dedans...

Et les arbres, Dieu et la arbres !


Je loue le Hasard glorieux
Qui de graines minuscules bourrées de potentialités
Font s’élancer vers le ciel des bois inouïs,
Des branches, des essences aromatisées 
De feuilles oblondes au vert terne ou qui luit,
Aux bords lisses ou dentelés, palmées en folioles
Uniiques ou multiples… Que de mots pour décrire
Tant de richesses dont on tire pour des fioles
Des onguents, des nards qui portent l’âme jusqu’au délire,
Ou des nectars, des gommes arabiques, élastiques,
Du liège… toutes choses très utiles dont naissent, capables,
Des menuisiers, d’habiles ébénistes et sculptures artistiques,
Des commodes, des bahuts et des lits, des sièges et des tables,
Des violons, des cure-dents, des pianos, des bûches à brûler
Pour se chauffer, des flûtes, des charpentes, des chalets suisses,
Des cadres de tableaux, des clôtures, et dressés bien fichés
En terre des poteaux de tortures, pour faire payer crime et sévices,
Recevant en traverse formant croix un patibulum
Où les romains clouaient par leurs mains pleines de sang
Des coupables, des maudits, forçats du mal, des hommes
Mauvais... parmi lesquels fut un jour percé et pendu un innocent...

 

Je loue le Grand Hasard
Pour toutes ses bonnes choses qui se mangent ou se sèment
Et que même notre génie humain peut arranger autrement,
Développer, prolonger avec grâce en rapport de ce qu’on aime
Et on s’aime, en renonçant au mal ambiant et nous imprégnant…

 

Je loue le Hasard Souverain,
Un Dieu à qui rien n’échappe peut-on dire quand on voit
Tant de merveilles achevées si parfaites, fécondantes
Sans fin, dont le mal il est vrai pose question… Mais qui de bonne foi
S’en soucient et cherchent l’origine, compréhension satisfaisante !  !?

Bref, rejoignant ce que dit Albert Einstein - qui ne fut pas le dernier
Des savants intégres et réfléchissants – de pertinent sur le hasard ,
On peut entendre et croire que c’est un des noms cryptés que le Dieu vrai
Se laisse donner quand il veut échapper à nos premiers regards,
Rester incognito, en raison de la liberté dont il nous a pourvus
Pour chercher, pour trouver, parmi tant de réalités d’abord cachées
Avec le bonheur de découvrir, de faire monter dans la lumière crue
Révolutionnaire notre conscience, qu’on désire vivre amplifiée…

 

C. T. @LGDDV Mars 24



A. Einstein : « Le hasard c’est Dieu qui se promène incognito. »
Un jour l’illustre savant se trouve confronté à Niels Bohr spécialiste de la mécanique quantique aux règles incompatibles avec celles de la physique ordonaire, à qui il dit : »Dieu ne joue pas aux dés ». Le danois lui répond du tact au tac : « Et qui êtes-vous pour dire à Dieu ce qu’il doit faire ! »

Oui, qui sommes-nous, ne serait-ce que face au Végétal ?

Partager cet article
Repost0
25 mars 2024 1 25 /03 /mars /2024 21:14

QUEL DIEU EST VOTRE DIEU !

Rien n’est impossible à Dieu,
Il fait tout ce qu’il veut,
Mais s’il n’en fait pas mieux
Pour nous, c’est que parmi ce qu’il veut
Se trouve le désir qu’à notre tour
Nous voulions et désirons jour après jour
Le considérer dans son Être qui est Amour
Afin de le partager avec nous toujours.

Car Dieu se partage
Comme un bon pain, comme un bon vin,
Comme une richesse qui n’a pas d’âge,
Accessible hier aujourd’hui et demain.

Mais voilà que nous avons d’autres dieux !
Du moins quelques réalités dont on attend mieux,
Plus de satisfaction, d’émotions, de merveilleux,
Venant de la terre en tous lieux.

Pour toi est-ce d’abord le dieu Mammon ?
Tout l’argent et l’or qui donnent du pouvoir
D’achat de friandises, ou d’une grosse maison
Avec piscine et vue sur mer, en banque un avoir


Qui fait des petits et devient gros, des restos
Sans compter, des voyages à tourner en rond
Tout autour de la Terre, des chaussures haut
De gamme, des games à s’endormir dans le salon…

Ou bien appelles-tu ton dieu Hasard ?
Pas intelligent mais fort au point d’avoir créé
L’univers, les galaxies, les trous noirs et les pulsars,
Des systèmes et la vie dans ses inouïes complexités,


Le sentiment amoureux, les genres, les multiplications…
Avec qui on est libre d’ajouter nos idées comme on veut,
Comme un dieu auto-apprenti de l’imagination
Que la morale embête et qu’on enterre à qui mieux mieux.

On se donne ainsi des multitudes de dieux
Qui nous font collectionneurs ou trafiquants
D’énergies, de corps, de chair, d’envieux
Qu’on arnaque, de produits vains ou stupéfiants,


Où le sexe même devient un dieu qu’on débarrasse
De ses « scories » comme on blanchit plus blanc que blanc
Des acquis fraudés, des deals, des notes salasses,
Car même si l’on veut bien faire, c’est toujours le dégradant


Qui finit par triompher, le déconsistant par un virus,
Une maladie soudaine qui n’était pas au programme,
Qui change nos agendas, le vol d’un Boeing ou d’un Airbus,
Une fête en deuil, une joie assurée en drame.

Et j’en passe, de ces dieux qu’on se donne
Sans même la conscience qu’on devient esclave
De ce qui s’impose à nous, même d’une chose bonne
Qu’on déplace où il ne fallait pas, qui nous enclave


Dans un mauvais endroit à un mauvais moment
Sans moyen de retour, car tombent aussi des jugements
Sur des pratiques, sur des comportements et événements
Quand le dieu réel mauvais de ce monde appelé Satan


Peut nous atteindre comme il fit avec Caïn
Qu’il poussa à tuer Abel et exila sur un sol aride ;
Comme ce fut avec Jonas fuyant loin du chemin
Prévu par Dieu quand il se montra craintif et acide


Contre Ninive, et se trouva jeté à la mer pour ôter ce poison,
Ce mal vivant de la terre… Dieu seul ayant alors pitié
- A qui rien n’est impossible –, envoyant un gros poisson
Pour le sauver, accordant finalement à Ninive la cruelle d’écouter


L’appel de Dieu à la repentance, le roi par son abaissement
Obtenant son pardon… Et qui ne connaît l’histoire singulière
Et édifiante de Job que Dieu montre à l’ange rebelle Satan
Comme preuve qu’on peut marcher de manière régulière


Avec Dieu, en devenir très riche et apprécié plutôt que détesté.
Mais le diable ne saisit pas l’occasion offerte de revenir dans le camp
Du Bien, de la paix, de la bonté, et déclenche une guerre pour montrer
A Dieu que ce n’est pas l’amour et la foi qui motivent ce vétéran


De la lutte contre le mal, mais son propre intérêt. Alors il lance ses traits,
Il frappe, il tue, il décime, il dépèce, trop content de pouvoir assouvir
Sa haine contre un tel croyant et sa communauté jusque là protégée.
Il persiste dans sa perte que Dieu voudrait lui éviter qui un jour va s’ouvrir


Sur une éternité de maux, de souffrances, ce qu’il ne croit pas.
Difficile pour nous à comprendre cette compassion encore vive de Dieu
Envers ses anges grands et resplendissants devenus des démons ingrats
Et barbares qui persécutent hommes femmes enfants, puis il se sert d’eux


Pour frapper à leur tour des coupables et des innocents, des bébés même
Abandonnés par leurs parents, pour en tirer le sang comme de sacrifices
Qui leur donneraient de la vitalité, vie éternelle et pouvoirs extrêmes…
Mais Dieu veile et ne permet aucun mal dans avoir après de tels sévices


Et meurtres et injustices, quelque bénédiction toujours plus ample,
Inattendue, voire inimaginable, vengeresse et plus que justificative,
Comme Job reçut, qui nous saide par son épreuve et sa fin d’exemple
Et de moyen par quoi Dieu reprend la main en justice et rend l’initiative


A qui s’attache à lui et malgré la faiblesse de notre condition
Peut s’attendre à ce que Dieu au final peut tourner tout mal en bien.
C’est par la réalité du mal, avec la liberté que nous héritons,
Qu’on peut faire de vrais choix, existentiels et essentiels, aux effets certains,

Éternels, bénéfiques qui s’acquièrent par la foi
Et non par des efforts religieux ou forcede la pensée,
Ou des effets maléfiques si ce que l'on croit
Exclut Dieu et Jésus, l'Esprit-Saint dont on renaît...

Cette foi vient de ce qu'on entend, qui nous vient de paroles de Dieu.
Par elles il créa les cieux et la terre et tout ce qu’elle renferme,
Par elles il guérit et ressuscite des morts, chasse les démons impétueux…
Paroles qu’encore on peut lire pour tenir dans le Dieu Sauveur d'une foi ferme.

C.T. Mars 24

Pour s'approcher ou se rapprocher de Dieu, >> ici une page d'aide <<

Partager cet article
Repost0
12 mars 2024 2 12 /03 /mars /2024 21:04

GAGNER DES GUERRES…

 

Les guerres ne finissent jamais..
Quel est ce mystère qui nous précède
Et nous poursuit,
Ce qui échappe aux Archimède
Malgré des intuitions dans la nuit ?

 

Les guerres ne finissent jamais,
Commencées un jour lumineux
Sous un soleil de justesse radieux
Alors que rien – ou presque – ne laissait présager
La venue d’une ombre, d’un coup de froid glacé…

 

Les guerres ne finissent jamais,
La totalité de la terre habitée
Semblable à un seul continent
Tant le fait est partout, rampant
Comme un serpent dans de hautes herbes
Ou s’exhibant en centre actif comme un verbe…

 

Les guerres ne finissent jamais
Dans le partage des terres vierges ou peuplées,
Des territoires immenses qu’on veut posséder
Sans même savoir pourquoi, ou parce qu’on sait
Les richesses dormant au fond de puits à creuser…

 

Les guerres ne finissent jamais
Parce qu’on ne voit même pas ce qu’on casse
Qu’on devrait aider, protéger, branches basses
Ou élevées…
Les guerres ne finissent jamais
Car elles laissent des places vides


 

 

Les guerres ne finissent jamais,
Depuis le jardin des Senteurs et des Délices
Où le mal s’est invité avec tout son vice,
Séduisant et tuant déjà par la main de Caïn
Le premier berger Abel soudain privé de ses biens ;

 

Les guerres ne finissent jamais,
De l’information, de la propagande,
Des fake news et des publi-cités marchandes,
De la connaissance repoussant l’ignorance
Hors de son rang, bardée d’outrecuidance ;

 

Les guerres ne finissent jamais,
Alexandre le grec poussant jusqu’à l’Indus
La plante de ses pieds ses coutumes et ses us,
Bonaparte en Egypte, les prussiens à Solférino
Ou quelque allemand vengeur voyant de haut
La terre ronde qu’il suffit de rouler par blindés
Pour en rejoindre les extrémités ;

 

Les guerres ne finissent jamais
Sous les tempes, dans les âmes ouvertes
Ou trop fermées, où des pensées rouges ou vertes
Se bousculent jusqu’à presser des vies,
Jusqu’à peupler de fantômes des nuits,
De fantasmes, de rêves éveillés
Controuvés ou de souvenirs réels ou arrangés
Doux sucrés ou acidulés, amers aigres acides,
Dépresseurs et somnambules jusqu’à des suicides ;
Les guerres ne finissent jamais
Changeant des vies en images qu’on ne peut plus toucher

 


 

Les guerres ne finissent jamais
Pour la possession des corps,
Depuis les cellules dispersées d’un fœtus mort ;
La douceur caressée de la peau d’un enfant,
Les troubles anxieux qu’on pare de nouveaux vêtements ,
De mode, de codes, de séries, de tics de tocs, d’émissions
De CO
2, de chanteurs, de sueurs (chaudes ou froides), de procurations ;

 

Les guerres ne finissent jamais,
De politiques comme de religions
Avec des places fortes, des bastions
A conserver, à renforcer, des adversaires
A salir, à occire, à attendre au tournant de leurs faire
De leurs mots, de ce qu’on trouve de mal chez eux
…Qui n’est que le miroir de notre propre jeu ;

 

Les guerres ne finissent jamais,
Des économies parallèles, de ghettos,
De dealers laborieux, des périphériques ruraux
Ou nouveaux, de criantes asymétries
Entre pauvres toujours plus et riches bien nantis,
Entre autistes et hautains forts de leurs programmes
De leur agenda comme si le temps était leur sésame ;

 

Les guerres ne finissent jamais
De nos intelligences belles mais infirmes
Malades, malignes, qui ignorent mais affirment,
Qui se heurtent à l’autre ou au Réel holyste
Sans trop voir ce qui manque à nos listes,
Ce qui pourrait tout changer, éclairer élargir
La palette duelle du vivre et du mourir ;

 

Les guerres ne finissent jamais
De l’affect, des coeurs, de l’amour vagabond
Qui bondit ou s’écrase sous le râteau d’un con
Ou d’une conne, qu’on avait cru-e… On croit tant de choses
Qu’on prend pour des lauriers ou des roses ;
Les guerres nous ramènent au réel par une chaise vide


 

 

Les guerres ne finissent jamais
Car Satan pugnace adversaire ancien et éternel
Ne cesse de lutter pour se donner un ciel
Une sphère aussi haute que celle du Créateur
Dont personne jamais ne sera le vainqueur
Malgré sa retenue, malgré les libertés
Qu’il permet et qui portent en leurs seins dénudés
Les murs et les bâtons qui limitent ou écrasent
Les mutins qui voudraient jouir par table rase ;

 

Les guerres ne finissent jamais,
En Afrique en Europe aux U.S. en Russie
En Ukraine à Gaza Israël Éthiopie pays arabes dissidents ou unis ;
Chez les noirs chez les blancs chez les gris ou créoles,
Chez les jaunes, racisés, dans les rues, hôpitaux, à l’école...

 

Les guerres ne finissent jamais,
maintenant entre genre - sublime écosystème
Qui fait jaillir des cœurs les plus profonds « Je t’aime » -.
Guerre ancienne qui pollue tout notre intérieur,
Le dehors, les dessus les dessous les meilleurs,
Accordant aux anges malfaisants des droits à nous frapper
De plaies de divisions de scandales comme il leur plaît.



Les guerres ne finissent jamais
Que du ciel Dieu illustre comme étant jugements
Sur les actions des hommes, sur nos dérèglements,
Notre impiété, ingratitude, égoïsme corrompu, corrupteur
Disruptif, orgueil méprisant qui fait fuir le bonheur,
Oublieux du vrai Dieu comme un ado prodigue
Qui un jour ne trouve plus que des feuilles de figues.

 

Les guerres ne finissent jamais
Car elles ne sont pas des choses des objets,
Mais alles sont de la vie mal développée
Comme des virus, des brins de molécules
Capables d’infecter les plus saines cellules,
De les tromper, de semer la panique et l’insécurité
Pour mieux gouverner les esprits, les étendues volées,
L’or, le sel, le lithium, le sable, la pierre, l’argent
Et s’il était possible le principe du vivant.
Les guerres qui laissent un lit froid

 

 

Les guerres ne finissent jamais
Qui laissent des blessures, des handicaps, des remords,
Des vêtements pliés dont on ne sait plus rien du sort,
Les garder, les donner, portés par quel corps chaud inconnu,
Des objets qui vivent plus que jamais, eux, comme retenus
Par le temps qui s’est quelque part arrêté comme un poids lourd
D’horloge bourguignonne aux sons devenus sourds ;

 

Les guerres ne finissent jamais
Dont les générations suivantes depuis la première
Sont marquées au pointeau qui perça la lumière,
Dont personne ne se remet vraiment malgré les apparences
La mort étant écrite en nous parallèle aux souffrances
Parsemant de déserts, de cris, de grimaces et de malices,
Jusqu’à perdre l’espoir qu’existe un oasis ;


 

Les guerres ne finissent jamais
D’elles-mêmes ; mais Dieu arrête, à son comble, le mal,
Roulant même un jour cet univers comme un vêtement sale
Qui aura fait son temps et d’où sortirons bienheureux,
Couronnés de diadèmes de lumière tels des dieux,
Les réprouvés de la terre, les martyrs, les rachetés
Enfants du Père, frères et sœurs et épouse bien-aimée
De Jésus, le seul Champion du mal, des violences et des vices,
Par son unique et merveilleux sacrifice.

 

Les guerres ne finissent jamais
Mais l’amour déjà en a triomphé
Qu’il s’agit de choisir comme on choisit son camp
En sachant qu’il n’y a de choix qu’entre deux :
La mort et Satan qui nous attendent, ou la vie avec Dieu.

 

Choisis la foi et choisis la vie !

C.T. fév. 24 @LGDDV

« Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et courbés sous un lourd fardeau, et je vous donnerai du repos. Acceptez mes directives et laissez-vous instruire par moi, car je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez le repos pour votre âme. En effet, mes instructions sont bonnes et mon fardeau léger.» (Evangile selon Matthieu, chap. 11, vers. 27-30

« Si vous m'aimez, gardez mes commandements. Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous, l'Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu'il ne le voit point et ne le connaît point; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous. » Jean 14.15-17

 

Ici >> guide si vous désirez adresser à Dieu une prière personnelle pour obtenir la paix en vous-même et avec Lui. <<

Partager cet article
Repost0
4 mars 2024 1 04 /03 /mars /2024 21:00

XTRÊM DOUBLE SONNET

 

Extrême droite extrême gauche sports extrêmes,
Tutoyer les toits du monde ou ses basses fosses
Où les fesses s’exhibent se pénètrent et osent
Se dire se vanter pavaner avec fierté xtrême.

 

L’existence est devenue si plate quand oisif on a
Toucher à tout, explorer le sublime et l’indécent,
Les froideurs dépressives se scarifiant mortifiant
La chair sous l’effet d’hôtes impurs qu’on a laissés venir là.

 

Extrêmes ou le centre perd sa gravité, le désir et oscille
Ou bascule comme un vieux rocking chair qui casse
Sous le poids surabondant gras ou maigre et las


De pensées nauséeuses qui fritent sans famille
Jusqu’à déposséder cœur et âme d’équilibre
L’être vivant entier qui finit d’être libre.

 

¤

 

Xtrêm hors sonnet et premier de cet ordre
Le don de sa vie par Jésus accomplissant
La justice divine. Quelle étrangeté que ce désordre
D’un peuple excité et de leaders l’excitant

 

Pour pousser une armée à tuer un des leurs
Simplement parce qu’il dit toujours des vérités
Et témoigne par sa vie à ses contracteurs
Combien ils ne sont pas ce qu’ils voudraient montrer.

 

Extrême la violence des cœurs que la lumière éclaire
Perdant et le sourire et le contrôle des rôles,
Dieu voulant de la sorte nous aider à voir clair

 

Au prix éclaboussant du sacrifice sanglant
Qui prive le Dieu qui parle de sa sainte parole,
Mais ouvre accès au ciel à tous cœurs repentants.

 

C.T. 27 fév. 24


Pour faire la paix avec Dieu (si cela n'est pas encore activé chez vous), >> une page pour aider à prier de manière efficace <<

Partager cet article
Repost0
4 mars 2024 1 04 /03 /mars /2024 20:57

 

Une chrysalide,
entre la chenille
et le papillon

 

 

 

SANS DIEU ON NE VA PAS LOIN...
 

Sans Dieu on ne va pas loin
Même si tu vis jusqu’à soixante ou cent ans,

Sans Dieu on ne va pas loin.

 

Tu peux faire vingt fois le tour de la terre,
Sans Dieu tu tournes en rond
Et le mal s’accroît visible ou en sourdine
A chaque spire de tes périples
Sans Dieu on ne va pas loin.

 

Sans Dieu on ne va pas loin
Car sans morale on ne voit pas le mal
Et même avec quelques valeurs
On est loin du bonheur.

 

Aussi jeune je suis entré dans une carrière
Que m’ouvrait l’existence
Comme on se jette à l’eau par défaut
Sans savoir ni ramer ni nager.

 

Sans Dieu on ne va pas loin
Même à plusieurs dans l’océan,
Ce monde est plus profond que large
Et nous aspire vers ses bas-fonds
Où la lumière d’en haut ne descend pas.

 

Oh sans Dieu on peut en faire
Des brasses, des kilomètres,
Des exploits, des réussites
En solitaire ou en conférences,
Mais on ne va toujours pas loin
Pas haut, on ne quitte pas la circonférence
De la terre qui nous reste plate,
Dont les reliefs comme peau d’orange
sont ceux des choux pour les chenilles,
Des herbes hautes pour les rampants.

 

Je suis monté sur des sommets
De ce niveau qui donne des tournis
Bien vite des vertiges sans bastingages
Où s’accrocher, je n’ai pas voulu ramper
Mais le mal en retour de manivelle
m’a sonné.

 

Sans Dieu on ne va pas loin
Et il faut des coups d’arrêt
Pour entrer dans cette grâce de le savoir,
De se voir tel que l'on est, de découvrir
Le mal tapi derrière nos mouvements
Ou dessus, ou dedans, qui empêche
Qu’on aille bien loin.

 

Car entre le ciel fermé
Et la fosse qui se creuse à notre insu
Sans Dieu on ne va pas loin.

Entre le centre souterrain
De la planète, de matière incandescente,
Aux chaleurs suffocantes qu’on approche,
Aux chaleurs insupportables qui demeurent,

Et le ciel aux infinies beautés,
A la douceur plus qu’angevine
A la paix féconde et l‘amour fort et tendre,
je suis, tu es, on est, nous sommes
En conjuguaison, en conjonction, en conspiration,
Déjà partie sur des bûchers que les vents mauvais
Du souffle des démons attisent
Sous nos pieds ou dans nos mains ;
Dans nos seins, sur nos reins, dans les têtes
Et nos fêtes bientôt ne servent de rien

 


Car sans Dieu on ne jouit pas bien
Et même s’il nous semble qu’on va loin
C’est illusoire, effet d’optique, miroirs déformants
Comme il y a dans des cirques
Et dans le nôtre.

 

Alors il faut une fusée, déjà construite,
Pour échapper à l’attraction puissante
Gravitationnelle, grave et universelle du mal
Qui ici-bas habite comme en un fief avec son chef
Imprégnant, tachant, souillant tout
Et empêchant qu’on ailleurs, plus haut
Où l’air pour l’âme est respirable,
Rafraîchissant ou chauffant quand il le faut,
Dans l’à propos.

 

Sans Dieu on ne va pas loin,
Si tu l’a découvert, si tu le vis,
Heureux déjà es-tu – même si
Parfois ça sent le roussi –,
Regarde et vois encore dans l’invisible
Où sont les plus grandes forces

De l’univers, de Satan et de Dieu,
De Jésus blessé devenu le vainqueur
De la mort, des mauvaises ondes,
Des champs fleuris trompeurs
Et des champs dévastés, capable
Comme personne de nous élever,
Régénérer, compléter, aimer
Au point de partager plus que sa couche
Son trône, les gains de sa rédemption
Son éternelle vie de ressuscité.

 

Jésus est de la fusée du Ciel de Dieu
Le premier étage, et le second est notre foi
En lui, qui porte toi et moi et quiconque croit
En orbite dans la sphère du Dieu vivant
Où sa grâce est éternelle.

 

Avec Dieu donc on ira, ici tout près
Ou infiniment loin, avec d’autres notions,
D’autres ordres transcendents et ouverts,
Des ailes, de la vraie liberté,
Fraternité égalité et des différences heureuses
Avec du zèle au coeur, le peps de l’amour,
De l’amour, de l’amour, dont les rayons
Nous feront des habits purs colorés de lumière.

 

C.T. 4 mars 24

Pour entrer, si ce n'est fait, dans cette relation possible, immédiate, bénie et sans fin, avec le Dieu véritable, >> ici une page pour aider à d'efficaces prières <<

Partager cet article
Repost0
27 février 2024 2 27 /02 /février /2024 20:41

Dans des flots du monde où on se laisse dominer par... quelle bête, séduisante mais vénale !... Quand l'actualité rejoint la mythologie, rien de nouveau sous le soleil

Une courte vidéo (17 mn) qui peut vous faire gagner... de la confiance dans le présent et l'avenir >> en cliquant ici <<
et recevez la bénédiction que je vous envoie de la part de Dieu.

ici >> pour une aide pour prier <<

Image : Europa chevauchant Zeus sous la forme d'un taureau séduisant qui l'entraîne dans la mer pour mieux pouvoir abuser d'elle.

Partager cet article
Repost0
27 février 2024 2 27 /02 /février /2024 20:38
P
Être à la hauteur comme ici au Brésil ou ailleurs
un challenge, un travail, une sinécure ?...
Poésie-Vie
ON N’EST PAS A LA HAUTEUR


On n’est pas à la hauteur
des vents qui soufflent et nous caressent ou nous renversent,
On n’est pas à la hauteur
Du coeur de la personne qui nous aime,

On n’est pas à la hauteur
de n’importe quel amour qui s'approche ou nous transporte,

On n’est pas à la hauteur
de l’existence qu’on a reçue avec ses bonus et ses malus,

On n’est parfois pas à la hauteur
d’un surire que quelqu’un nous adresse,

On n’est pas à la hauteur
même si nos crampons nous élèvent sur un toit du monde,

On n’est pas à la hauteur
car le mal est en nous plus fort que nos bonnes volontés et nos belles intentions,

On n’est pas à la hauteur
car les convoitises nous minent plus qu’elles ne nous aident,

On n’est pas à la hauteur
des besoins réels d’un petit enfant dont on est responsable,
On n’est pas à la hauteur
même en haut d’une échelle ou de l’intelligence reçue qu'on a élaborée,

On n’est pas à la hauteur
car le vieux grand Satan n’en a pas encore fini avec nous
désirant faire de nos vies et de la terre ses terrains de jouissances éternelles

On n’est pas à la hauteur
car on sait inutilement trop de choses et on ignore les plus essentielles
au Bien, à la paix au simple bonheur d’exister encore
On n'est pas à la hauteur
car on ne sait même pas ce qui suit la sortie programmée et inévitable du corps,

On n’est pas à la hauteur
en reconnaissance pour ce qui nous a été donné
et en ce que nous pourrions faire si…,

On n’est pas à la hauteur
car les « si » ne manquent pas en travers de nos routes et déroutes,

On n’est pas à la hauteur
pour se trouver aux bons endroits au bon moment plutôt qu’ailleurs
où le mal nous attend sans que nous nous en doutions
On n’est pas à la hauteur
car Dieu nous avertit par des alertes par des amis par des signes
et on ne peut pas lui reprocher de ne pas veiller sur nous,
On n’est d’autant pas à la hauteur
qu’on croit qu’on n’a pas besoin de Dieu pour vivre aujourd’hui et éternellement,
On n'est pas à la hauteur
quand on ne distingue pas encore entre l’âme et l’esprit,
entre le Dieu qui est et toutes les représentations qu’on nous en propose,

On n’est pas à la hauteur
quand sourd on veut faire croire qu’on entend
ou aveugle on se fait croire qu’on voit,
On n’est pas à la hauteur
tant que les pensées nous dominent sans qu’on n’y puisse rien,
On n’est pas à la hauteur
tant qu’on n’a pas la liberté de vivre bien avec le moins qu’on a
sans la frustration de ce qui nous manque de superflu,

On n’est pas à la hauteur
de l’amour, de la joie, de la paix qu’on ne sait entretenir et protéger,

On n’est d’autant pas à la hauteur
qu’on se fait Dieu de nous-même et pour les autres

On n’est pas à la hauteur
quand ne sachant pas gouverner sa propre maison ou un enfant
on s’imagine pouvoir gouverner une nation, des peuples, un continent,
On n’est pas à la hauteur
de la hauteur où nous pourrions être si notre foi était placée
en la vérité et les vérités les plus hautes,
On n’est pas à la hauteur
sans notre identité de créature précisément formée avec des manques
que nous ne pourrons jamais combler tout seuls,

On n’est pas à la hauteur
quand on vit et quand on meurt
on n’est pas à la hauteur...

Claude T. fév. 24  @LGDDV

« Cantique des degrés.
Je lève mes yeux vers les montagnes... D'où me viendra le secours ?
Le secours me vient de l’Éternel, Qui a fait les cieux et la terre. » Psaume 121
Partager cet article
Repost0
27 février 2024 2 27 /02 /février /2024 20:37
QUELQUES MOTS SUR LE MAL

 

Le mal ne fait pas toujours mal
de suite,
Il est traître alors à qui ne le connaît pas,
et c’est sa poursuite
qui fait fondre ses fastes et ses apparats.

 

 

Le mal ne fait pas toujours mal
de suite,
quand il est mal de l’âme
qui a une fuite,
qui croit vivre d'une sereine flamme
sans voir encore que c’est un drame
qui couve sous roche, sous un plaisir
un effet qui se veut sans sa cause
qu’on ignore ou laisse choir pour finir
- inattendu - parmi les épines des roses.

 

Le mal ne fait pas toujours mal
de suite,
et parfois la distance est si longue
entre notre conduite
et le son fatal de son gong,
qu’il faut de grosses épreuves pour nous arrêter
dans une trajectoire létale qu’on a soi-même lancée.

 

Le mal ne fait pas toujours mal
de suite,
c’est pourquoi il nous faut vite
apprendre où est la frontière, universelle,
entre bien et mal, telle que la Bible nous l’a dite,
pour que nous ne passions pas à côté de l’essentiel
qui est la vie éternelle.


Ne voudrez-vous pas vivre sans fin, sans plus de souffrances, de larmes, de coups (de face ou par derrrière), de violences, de manipulation, d'égoïsme ?...

C'est possible,
Car Dieu nous a tant aimés
qu’il a donné, pour nous éviter
les tourments de l’hadès satanique,
Jésus son fils bien-aimé rt unique
livré aux supplices d’une crucifixion
Dans le but que nous y voyons par substitution
expiatoire et propitiatoire, notre rédemption
et que, croyant à ce moyen pour obtenir notre pardon,
nous ne finissions pas comme et avec les démons
et Satan dans l’étang rugissant de feu et de soufre
mais plutôt qu’on souffre
une vraie repentance, un repentir sans camouflage
qui permette à Dieu de nous faire - à n’importe quel âge -
Grâce, mettant en nous des arrhes de son Esprit
qui est éternité de bien, et de vie.


S'il suffit de croire cela pour vivre ensuite éternellement
- et jamais Dieu ne ment - ,
pourquoi croire encore des fables matérialistes,
évolutionniste,
progressiste, marxiste, wokiste
ou de religion qui n'ont que la mort pour moyen privilégié

et pour fin, aléatoire ou programmée ? 
 

C.T. Fév. 24 @LGDDV

 

La Bible, Evangile selon Jean, chap. 3, vers. 1 à 21

 

Pour prier, >> une aide ici <<

Partager cet article
Repost0
15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 21:39

C'EST UNE LOI

C’est une loi
de la gouvernance de Dieu
sur la terre
qu’un pays soit envahi
quand il a persisté dans la corruption
la débauche
et autres formes d’iniquité.

 

C’est un jugement
sur le péché
le mal faire, mal vivre mal penser –
qui amoindrit
en vue de restaurer
un équilibre
dans le bien.

 

Faute de le comprendre
par la génération adulte visée
c’est la suivante encore
qui devra payer…

Obervez l’Histoire du monde
des empires
et des nations
et vous le verrez
comme une dominante
parmi les mouvements
délibérations
et choix
des leaders
gérant des êtres humains.

 

Pour sortir d'une situation ressenti de jugement personnel  (de culpabilité) de votre propre existence, ici >> une page d'aide à la prière <<

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
  • Contact

Recherche