Cette croix !... Qu'est ce bois, sur le mont grave et chaud du crâne !...
Jje suis attiré, je vois surtout un homme pendu, comme suspendu entre ciel et terre,
Qui semble rouge sombre, comme un pain trop cuit
Sur ce Golgotha sans ombre et aussi sous la pluie,
Nu comme un ver comme tous les brigands
Qu'on envoie de ce monde hors du temps...
Mais que vois-je ! Quelle apparition, presque un mirage...
La lumière revient parfois à son zénith
Dardant ses photons aussi sur une foule qui s'agite.
Je pense à une étoile super nova qui peu à peu et soudain s'éteint,
Avec encore de la lumière dedans,
Et sur le pourtour quel magma... que du sang.
Que fait-il là ? Il semble encore noble,
Alors qu'il n'est couvert que d’opprobre,
De cris que j'entends, de rires, de mépris,
D'une folie qui tourbillonne un coup là, un coup ici,
Comme des mouches autour d'une blessure qui suinte
Ou un troupeau aux bêtes excitées et disjointes...
Est-ce sa place là ! Pourquoi glisse-t-il vers le trépas ?
On me dit qu'il a peu d'années
Bien qu'il ait l'air si usé.
Mais que fait-il là ? Accroché, ficelé, cloué sur ce bois
Comme un malfrat, qu'il ne semble pas,
Entre deux terroristes qui méritent leur supplice...
- Il meurt pour toi.
Hein ! Qui a dit ça ! Quel rapport aurais-je avec cela ?
Il souffre, il meurt pour quoi ? Pourquoi serait-ce pour moi..
Qui aurait besoin d'un tel sacrifice en sa faveur,
Comme d'une offrande faite à un Dieu pour la justice,
Pour L'apaiser de son courroux face à quelque injustice !
- Ton injustice ! Tes méfaits !
Quoi, mes quoi ?...
C'est vrai que je ne suis pas parfait... J'ai fait du mal
A ma... , à mes... ,
Mais c'est loin
- Et plus près ?
Rien. Je me suis... amélioré , certes ce n'est pas parfait...
Non ce n'est pas parfait. Je suis bien toujours imparfait, au présent. au fil des jours...
Mais ne m'en parlait pas de ça s'il-vous-plaît.
Et surtout pas ici.
- Si, justement. C'est pour que tu te souviennes,
Pour que tu viennes jusque là qu'il meurt ici, mis en croix
Pour tracer une croix -une ultime croix - sur tes mauvais choix,
Sur des actes encore pesants, des paroles trop dures,
Et même de ces pensées dont tu sais bien que...
Oui... Oui je sais. Et... et donc... que faire, s'il y a un rapport, entre cet homme, crucifié, et moi ?
Que faire s'il ne faut pas se taire !
- Oui baisser la tête, comme tu fais déjà ; humilier ton cœur ;
Lui dire ; lui parler de toi. De tout ce qui fait toi.
Mais qui n'a jamais fait de mal !?...
- Personne. Mais toi c'est toi, et personne d'autre.
C'est honteux d'en parler.... Surtout là, devant ces pieds
Percés, saignants, Tout crispés...
Je ne m'expose pas ainsi, c'est ma vie privée
- Et lui, la sienne, sans tenue, pour cacher justement la tienne
Dans ses plaies, dans ses mains déchirés,
Son dos et ses flancs lacérés...
Là, c'est pour toi qu'il s'est substitué,
Qu'il a pris cette position, cette place...
Paroles suivantes ci-dessous, ou en musique chantées >> vidéo ici <<
« Jésus a du souffrir
Et accepter de mourir
Pour enlever tes péchés,
Rendons-lui grâce à jamais.
Par cette croix sais-tu, que le mal est vaincu,
Elle libère ceux qui croient que Jésus est leur roi,
Elle libère ceux qui croient que Jésus-Christ est roi. »
Ce qui se passe parmi nous en France et Europe est symptomatique de sociétés en fin de course dont une bascule va se faire.
LE PRINCIPE DU BASCULEMENT
Et comme on ne se repent pas institutionnellement et collectivement de notre abandon de Dieu, de nos fautes morales érigées en nouveaux dogmes, de nos dénis de réalité, de nos contacts ou collaborations plus ou moins conscients avec le monde occulte, ou encore de nos rebondissements illusoires sans fin, la bascule ou basculement va se faire comme on tombe de Charybde en Scylla (de mal en pire), devant abandonner nos forces et capacités à des "plus forts que nous" de l'ordre chaotique des démons.
Il ne va plus s'agir alors de nous livrer au mal (toujoursavec quelques avantages qu'on peut ou pense en tirer et nous y incitent), mais de s'y abandonner en toute impuissance et sans le moindre avantage.
LES DEUX FACES DU RÉEL ET DU PRÉSENT
Heureusement aussi Dieu règne au-dessus de tout ce qui se passe, laissant jouer des libertés accordées ou permises aux créatures conscienctes, jusqu'à un point où il ne permet plus.
Et c'est dans cette transition qu'il est bon de se donner, individuellement, si on veut échapper au maximum aux malheurs et maux qui sont là et qui viennent. Pour passer avec intelligence du règne du mal qui s'impose au règne de Dieu qui ne se connaît en notre faveur que si nous en voulons, si nous le réclamons, si nous croyons qu'il est règne de paix, de bonté, de grâces, et de notre éternisation personnelle.
On n'est pas en crise par hasard, surtout avec autant d'éléments combinés et conséquents.
Or, à tout problème il y a une solution, un remède. Encore faut-il se le voir prescrire et le prendre.
Je mets la balle dans votre camp :
La Bible, 2 Chroniques 7:14 "si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s'humilie, prie, et cherche ma face, et s'il se détourne de ses mauvaises voies,-je l'exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays."
Psaumes 18:28 "Dieu sauve le peuple qui s'humilie, Et il abaisse les regards hautains."
1 Jean 1:9 "Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de tout ce qu'on a fait ou dit d'injuste."
Les épreuves poursuivent un travail de sape, d'amoindrissement ou de destruction de la part des méchants* et des anges devenus démons qui n'ont plus le droit de prendre forme humaine ;
Elles nous servent en tant que jugement afin que nous soyons éduqués par la justice, revenions à une juste humilité nécessaire, et puissions nous repentir du mal que nous avons fait ;
Elles sont pour Dieu qui veut nous sauver d'une perdition de la précieuse conscience que nous avons de nous-même, un moyen pour que nous réalisions que nous sommes méchants* (comme tous, à ses yeux), ce qui parait dans l'adversité, quand quelqu'un s'en prend à nos biens les plus chers, matériels ou physiologiques (personne ou animal), voire touche à notre idéologie ou religion.
Elles s'opposent aux bonnes volontés qui veulent faire du bien sans discernement (humanisme aveugle), car Satan ne supporte pas que nous soyons heureux les uns avec les autres, et parce que nos "bonnes" oeuvres peuvent être factuellement mauvaises : Quand un gros producteur de lait en poudre en donne des tonnes de boîtes en Afrique, la mortalité infantile augmente, car le lait est alors fait avec l'eau locale infestée de mauvais germes...
Or Dieu veut que nous vivions, non que nous mourions.
Et pour parvenir à entrer dans son éternité même de vie, il nous faut, par des épreuves quand on n'a pas l'intelligence de cette compréhension, être rendus réceptifs à son message d'amour rédempteur, dont Jésus innocent crucifié pour nous est la plus haute expression.
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* Pour Dieu la notion de "méchant" englobe tous les agents de violences et de sentiments destructeurs, les séducteurs manipulateurs, les menteurs, fourbes, iniques, les abonnés à la critique, et compris les moqueurs qui tournent en dérision les faiblesses humaines au lieu de s'en humilier à la vue des misères de notre condition commune.
Pour s'en remettre à Dieu afin d'éviter le jugement qui vient forcément sur ceux qui restent sous la domination de méchancetés, ici >> un guide pour prier de manière efficace <<
Une explication plausible, qui confirme une nouvelle fois que tout cce que l'être humain entreprend de bien dans sa quête, sans Dieu, de progrès, s'avère un jour ou l'autre tourner au mal. Message vidéo : >> "Le grand problème - planétaire - du désordre hormonal" <<
L'humanité est agitée comme l'eau dans une casserole mise sur le feu !
Échauffées par la température, les molécules que nous sommes se mettent à bouger dans tous les sens, ne peuvent plus tenir en place, forment des mouvements de plus en plus désordonnés, bouillonnent comme du magma au coeur d'un volcan réveillé lançant de plus en plus des projections mortelles, aux bazookas, à la kalachnikov, au couteau, au camion Ceasar, possiblement à l'arme chimique ou nucléaire.
Les jeux vidéo forment depuis quelques décennies deux et trois générations à tirer sans émotions sur une cible humaine pour la tuer.
Comme on peut apprendre à conduire une formule 1 assis dans son salon, des armées virtuelles sont formées en tous lieux pour réagir dans des situations de guerre.
Et on sait que le passage de la fiction à la réalité n'est souvent qu'une question de temps.
Parce que la fiction, dans ce domaine comme dans d'autres n'est pas seulement de l'imagination humaine gratuite, aléatoire, superficielle, mais résulte de pensées élaborées, de stratégies qui se développent et se déploient subtilement, progressivement, obstinément, sur plusieurs générations.
Et plus particulièrement ici, c'est un ressort profond de notre nature qui est sollicité, avec lequel nous avons une sombre et puissante affinité.
Ces jeux où l'on tue comme étant nous-mêmes immortels, transcendants, d'ordre divin en quelque sorte, sont parfois si bien faits que même de hautes intelligences humaines n'arrivent pas à cerner tout ce qui est mis dans les programmes qui commandent les joueurs, les spectateurs, les acteurs, voire les leaders humains.
Baudelaire savait par expériences (comme moi-même à mon échelle) de quoi il en retourne des forces vives maléfiques agissantes de l'invisible.
Réelle ou imaginaire, il nous manifeste son humanité en nous rapportant une assertion (un avertissement, une exhortation), dont il aurait eu connaissance par Satan lui-même, d'un prédicateur qui dit en chaire : « Mes chers frères, n’oubliez jamais, quand vous entendrez vanter le progrès des lumières, que la plus belle des ruses du Diable est de vous persuader qu’il n’existe pas ! »
in « Le spleen de Paris », recueil de poèmes en prose écrit (et publié dix ans) après « Les fleurs du mal ».
La vie et les écrits de Baudelaire témoignent – comme des millions d'autres de tous les temps – de l'existence de cette créature sorti de son rang angélique pour devenir le premier des démons, Satan, ennemi de Dieu et des hommes.
Mais je voudrais surtout ici mieux regarder et faire rebondir cette parole du prédicateur qui dit tant de choses en si peu de mots !
« chers frères » pour dire qu'il considère notre fraternité humaine, qu'il nous voit face à ce qui va suivre comme partageant une condition qui suscite la compassion, l'affection les uns pour les autres.
Comme on peut davantage ressentir ce genre de sentiment et le partager quand on est pris ensemble dans une situation dramatique, tragique, au cœur de forces mauvaises puissantes, qui peuvent avoir raison de nous, de notre raison même.
« N'oubliez jamais », que voilà une exhortation solennelle ! Deux mots qui devraient suffire à ce qu'on les remarque, et jusqu'à ce qu'on les enseigne dans les écoles dès le jeune âge, s'agissant de ce qu'il a tant à cœur de partager de grave avec ses semblables, tous ses semblables, le genre humain.
L'oubli ! Qu'est-ce que l'oubli, puisque précisément c'est se souvenir de rien. C'est ce qui n'est ni dit ni pensé, de l'ordre d'un non-être, d'un néant, un vide, une absence, un trou noir.
Mais un simple oubli peut être une cause lourde d'un poids terrible de conséquences. Oublier de fermer un robinet alors qu'on part pour des heures ou des jours, robinet d'eau ou d'arrivée de gaz...
Le serviteur de Dieu, ici servi par Baudelaire qui le rapporte, a compris qu'il y a déjà eu oubli ; ce qui a ouvert sur des silences coupables et bien certainement sur des souffrances obscures, sombres, de l'âme, au plan de la santé ou des finances, qui ont ruiné des vies ou des familles, et aujourd'hui on peut dire des sociétés, des nations. Autant de désastres qui auraient pu être évitées, si on n'avait pas oublié de dire. Si la transmission de ce savoir n'avait pas été interrompue.
Et voilà par quoi le poète a été vulnérable. Pire, comme beaucoup encore, il a juste assez cru au diable pour en jouer, s'en moquer ou l'invoquer comme s'il était une personne sans pouvoir, sans méchanceté viscérale, avec qui on peut traiter des affaires.
A l'opposé, le prédicateur a « de la bouteille ». Il n'a pas forcément eu à descendre dans les bas-fonds de la misère pour en avoir saisie l'origine : Il a cru ce qu'il en a entendu de la part de l’Évangile éternel, du Fils de Dieu, au point de vouloir lui-même être lumière sur le sentier de ses semblables, flambeau pour ses frères spirituels ou d'humanité plus jeunes ou moins bien équipés.
Il aborde un point de dynamique particulière de la condition humaine, avec un mot qui n'a rien de poétique, qui s'accorderait plutôt avec quelque chose de technique : Il parle de « progrès ». D'un processus évolutif qu'il ne faut pas perdre de vue s'agissant d'un domaine qu'il va maintenant définir par deux mots seulement, mais si précis malgré qu'il soit synthétique et générique : « des lumières ».
« Les lumières » définissent ainsi le mouvement des pensées, des idées, essentiellement du XVIIIe siècle (un siècle avant lui) qui vise en Europe à se défaire du carcan de la puissance religieuse (catholique, luthérienne et anglicane) qui règle les cours des politiques royales et de l'économie. Ainsi de la liberté née du désœuvrement de quelques hommes bien instruits, souffrant du poids de dogmes inexpliqués ou controuvés, naît la capacité, à la suite notamment de la circulation des textes fondamentaux (grecs anciens, latins, bibliques) de formuler des pensées personnelles (le « Je pense, donc je suis » de Descartes).
Ce qui donne un foisonnement, désorganisé comme d'un bouillon de culture, formant des philosophies qui se veulent le plus souvent anticléricales, émancipatoires de dogmes - et de vérités !? -, caractérisées par l'impiété et la force montante de la subjectivité, qui suit sans effort cette pente qui fait « jeter le bébé avec l'eau du bain » - Dieu avec les eaux sales et usées des traditions et des religions qui le représentent et servent si mal.
C'est ainsi que Denis Diderot (qui crée la première encyclopédie) glisse d'une foi personnelle authentique (« L'oeil, l'aile du papillon, suffisent à nier la négation de Dieu ») dans la mécréance (« la philosophie est le premier pas vers l'incrédulité »).
Voilà ce que sont « les lumières », quelques philosophes dont parle Baudelaire, qui en a vu et vit de près les effets délétères.
Il y a ce pragmatisme sauvage des idées portant à la liberté à partir de la Révolution (régicide) de 1789, avec des hommes et des partis animés par l'arrogance et la haine démoniaque, les impérialismes napoléoniens et leurs destitutions, les premières républiques marquées par des affrontements sanglants, le massacre de 1848...
En famille, le goût qu'il a pris des idées progressistes se heurtent à la rigueur d'un beau-père militaire, qui aussi vient entraver sa relation sensible avec sa mère.
De ces deux faces d'une actualité violente, contraignante, qui s'imposent à la conception qui s'est forgée en lui par l'étude, Baudelaire veut croire à un idéal d'existence, où la beauté poétique pourrait se passer de morale, où encore il est acculé ou tenté de chercher dans « la confiture verte » (résine des fleurs femelles de cannabis aujourd'hui appelée haschich) et l'absinthe (alcool fort) le soutien nécessaire pour connaître en lieu et place des réalités hostiles ou pour pallier aux difficultés naturelles de l'amour, des paradis artificiels ou du moins quelque oubli temporaire.
Il écrit des émanations de ces pesanteurs et vapeurs, avec une application par la suite admirable et une lucidité spirituelle qui n'est pas encore, malgré sa notoriété, bien comprise.
Il n'a pas fait attention en lisant Descartes, que celui-ci avertit dans son « Discours de la méthode » où il dit qu'il faut remettre en cause toutes les opinions reçues, le formatage sociétal dans lequel on a grandi, qu'il faut aussi, surtout, bien veiller en cette démarche à ne pas appliquer la forme systématique du doute à la Divinité, réalité hors du monde et dont il n'y a pas à douter, étant d'un autre ordre que du nôtre foncièrement relatif.
Et le prédicant de lancer le même genre d'avertissement essentiel, plein de justesse et empreint de compassion : « Mes chers frères, n’oubliez jamais,
quand vous entendrez vanter le progrès des lumières,
que la plus belle des ruses du Diable
est de vous persuader qu’il n’existe pas ! »
Il dit là que la ou les philosophies essentiellement libérales ou libertaires du XVIIIe* ont des effets du même ordre que de se soumettre à des drogues hallucinogènes.
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* je les appelle des philonouces plus que philosophes, sophia (en grec) étant la sagesse en ce qu'elle garde un rapport à la vérité, noos étant plus typiquement la raison personnelle, qui n'en a cure des vérités transcendantes autant que des opinions des autres.
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Une tierce réponse aussi peut-être à la phrase coup de poing de Karl Marx « La religion, c'est l'opium du peuple », ce dernier se trouvant dans ce même temps, avec « ses » idées subversives, habiter ou séjournant à Paris.
Baudelaire comprend-il « au passage » que ces nouvelles lumières, matérialistes, athées, militantes, ne sont pas que de l'irréligion humaine qui libèrent les mœurs et incitent à la violence civile, mais les expressions d'une volonté et d'une activité plus subtiles, plus haut placées, en amont, qui sont sataniques !.
Il fait certainement lui-même le rapprochement des misères et souffrances avec cette source maléfique première des pressions qu'exercent à la suite, en sous-fifres, ceux qui « vantent le progrès des lumières » ? C'est-à-dire qui font la promotion de l'impiété au profit d'une évolution de société plus libre, mais dont les convulsions de plus en plus révolutionnaires, dénaturées, controuvées, attestent que devenir libre, se désaliéner, n'est pas si simple.
C'est qu'on est là, quel que soit le temps qui passe et les progrès qu'on cherche à faire, dans une dynamique d'évolution sociétale problématique, qu'on appelle progressisme, voire aujourd'hui le wokisme, où le mal se combat en cherchant des concepts et des comportements sans cesse nouveaux.
Idées et comportements à inventer, qu'on veut neufs comme jamais, alors même qu'on ne fait que revenir à des situations antiques !
Or les progrès n'amènent pas la paix qu'ils devraient être censés apporter. Les oppositions, parfois justes, sont bâillonnées, l'erreur pouvant être plus violente que la vérité pour s'imposer, pour prendre tout le terrain.
Une évolution qui devient de plus en plus transgressive, non seulement de quelque dogme ou rigueur religieuse, mais encore de la conscience personnelle en ce qu'étant du domaine de l'esprit, elle est naturellement empreinte d'objectivité, de justesse, de bon sens, et encore en correspondance avec la nature.
Et l'initiateur de ce vaste mouvement de dérives n'est pas même la pensée humaine, l'humain au cœur méchant, mais pas à ce point. C'est la puissance invisible de l'air, l'ange de lumière déchu devenu Satan, le Démon, le diable qui a réussi, outre sa création du non-bien, à s'entourer d'un tiers des anges.
à suivre... Pour des questions et recevoir personnellement la suite, c'est en me contactant par le bouton Contact du blog (sur la droite).
Épinglé : Je pense qu'il y a dans la Bible au moins un psaume dans lequel nous pouvons trouver une réponse, un secours, une direction, une prière, appropriés à notre situation.
La foi consiste à faire nôtres ces paroles de tout son coeur.
Et d'autant nous irons ainsi dans une quête de vérité, de réponse judicieuse, de solution véritable, de connaissance et de communication avec le vrai Dieu et ses grâces divines, d'autant nous comptons sur l'Esprit de Dieu (en priant ou en nous attendant à lui) pour nous conduire et nous parler personnellement, en situation, d'autant nous réalis(er)ons combien Dieu est réel, vivant, a l'oreille fine, et n'est pas du tout si loin de nous.
Le psaume peut aussi être écouté (en cliquant sur un n° de verset)
UNE SITUATION UN PSAUME
Psaume 73 ,d'Asaph - Influence et résistance
"Oui, Dieu est bon pour Israël, Pour ceux qui ont le coeur pur. 2Toutefois, mon pied allait fléchir, Mes pas étaient sur le point de glisser;3Car je portais envie aux insensés, En voyant le bonheur des méchants.4Rien ne les tourmente jusqu'à leur mort, Et leur corps est chargé d'embonpoint;5Ils n'ont aucune part aux souffrances humaines, Ils ne sont point frappés comme le reste des hommes.6Aussi l'orgueil leur sert de collier, La violence est le vêtement qui les enveloppe;7L'iniquité sort de leurs entrailles, Les pensées de leur coeur se font jour.8Ils raillent, et parlent méchamment d'opprimer; Ils profèrent des discours hautains,9Ils élèvent leur bouche jusqu'aux cieux, Et leur langue se promène sur la terre.
10Voilà pourquoi son peuple se tourne de leur côté, Il avale l'eau abondamment,11Et il dit : Comment Dieu saurait-il, Comment le Très-Haut connaîtrait-il?12Ainsi sont les méchants : Toujours heureux, ils accroissent leurs richesses.13C'est donc en vain que j'ai purifié mon coeur, Et que j'ai lavé mes mains dans l'innocence :14Chaque jour je suis frappé, Tous les matins mon châtiment est là.
15Si je disais : Je veux parler comme eux, Voici, je trahirais la race de tes enfants.16Quand j'ai réfléchi là-dessus pour m'éclairer, La difficulté fut grande à mes yeux,17Jusqu'à ce que j'eusse pénétré dans les sanctuaires de Dieu, Et que j'eusse pris garde au sort final des méchants.18Oui, tu les places sur des voies glissantes, Tu les fais tomber et les mets en ruines.19Eh quoi! en un instant les voilà détruits ! Ils sont enlevés, anéantis par une fin soudaine !20Comme un songe au réveil, Seigneur, à ton réveil, tu repousses leur image.
21Lorsque mon coeur s'aigrissait, Et que je me sentais percé dans les entrailles,22J'étais stupide et sans intelligence, J'étais à ton égard comme les bêtes.
23Cependant je suis toujours avec toi, Tu m'as saisi la main droite;24Tu me conduiras par ton conseil, Puis tu me recevras dans la gloire.25Quel autre ai-je au ciel que toi! Et sur la terre je ne prends plaisir qu'en toi.
26Ma chair et mon coeur peuvent se consumer : Dieu sera toujours le rocher de mon coeur et mon partage.27Car voici, ceux qui s'éloignent de toi périssent; Tu anéantis tous ceux qui te sont infidèles.28Pour moi, m'approcher de Dieu, c'est mon bien : Je place mon refuge dans le Seigneur, l'Eternel, Afin de raconter toutes tes oeuvres."
Annexes :
Pour un tour panoramique des psaumes selon leurs thèmes principaux, >> ici une page pour vous <<
Pour une ou des prières de mise en paix et relation avec Dieu >> cliquer ici <<.
Je prie que Dieu se révèle à vous en vous faisant la grâce de voir le mal que vous avez fait comme il le voit.
>> Comment il a fait avec moi <<
Quand les plus grands scientifiques ne comprennent pas le comment ou le pourquoi de beaucoup de choses, si complexes en elles-mêmes et si pertinentes mises en système, témoignant de lois, de forces et d'organisations si intelligentes, comment penser encore et croire que tout cela n'a été formé que par des jeux innombrables de hasards répondant en aveugle à des nécessités, hasards qui auraient aussi créé, sans intelligence et sans réflexion, des lois de sélection, les systèmes indispensables immédiatement : sanguin, respiratoire, digestif, reproducteur, de duplication, de croissance, de réparation, d'immunité...
Tout croyant que Dieu n'existe pas, autrement dit athée ou agnostique (comme j'ai été) pourrait aussi réfléchir sur cette phrase très pertinente de Ralph Shallis : "Il faut plus de foi pour être athée que pour croire en Dieu."
Image de deux visages en un ! Celui de la jeunesse et celui de la vieillesse.
Une illustration de ce qu'on peut soi-même choisir d'être...
Ce qui compte, c'est AVOIR LE DERNIER MOT. On s'en rend bien compte dans plus d'un échange ou événement.
Un jour pour nous la mort aura le dernier mot ! UN dernier mot, car c'est Dieu – le véritable – qui aura le dernier de tous les mots significatifs.
...ce qui ne veut pas dire que nous n'avons rien à dire, avant !
Car le dernier mot pour tout, c'est la vie éternelle, ou une disparition à jamais : Entre les deux, il y aura eu pour nos consciences individuelles des plages de liberté...
La liberté n'est pas à élever et brandir comme un étendard, ni à manipuler comme un ballon, mais elle demande qu'on la traite avec l'attention nécessaire au déplacement d'un récipient plein de nitroglycérine (voir le livre ou le film Le salaire de la peur).
La liberté n'est pas un bien absolu, mais il s'agit d'une réalité aux effets relatives, tout comme l'exprime le grand médecin/chirurgien suisse Paracelse au XVIe siècle « Tout est poison, rien n'est poison, c'est la dose qui fait le poison. »
C'est pourquoi nous pouvons nous donner des libertés qui sont de vraies bénédictions, comme aussi des libertés... liberticies
(selon le dessin
de l'Ouroboros)
PREMIERS ET DERNIERS MOTS
Les premiers mots de la création de l'univers étaient, comme seront les derniers, Paroles créatrices de Dieu, « la Parole étant avec Dieu et étant Dieu » écrit l'apôtre Jean en tête de son évangile.
Ce qui fait dire à Jésus se présentant un peu plus tard au même Jean en être humain glorifié, métamorphosé, divinisé « 8 Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout-Puissant. » (Apocalypse 1.8).
Ce qu'il répète à la fin (22.8) « Voici, je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon ce qu'est son oeuvre. 13 Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. »
Alpha et Oméga sont les première et dernière lettre de l'alphabet grec.
Si donc notre existence est perturbée, semble n'avoir plus de sens, nous apparaît comme une vie dans un désert sans rien de solide à regarder à quoi se fixer pour avancer, sachons avec confiance que le Dieu véritable aura le dernier mot ; ce qui nous amène à croire en lui, peut-être pour la première fois, à lui faire encore confiance qui nous avons déjà saisi qu'il est réel et digne de foi.
Cette foi au Dieu vivant éternel indissociable de la personne de Jésus-Christ « Parole de Dieu faite chair » et devenu premier « homme nuveau », germe, prémices, d'une nouvelle humanité créée pour vivre éternellement avec Dieu, dans une liberté à la fois finie et absolue en Dieu, c'est-à-dire d'un autre ordre que celui de ce monde qui n'est qu'une matrice temporaire, provisoire, comme est le sein maternel pour l'apparition et la formation d'une nouvelle créature.
Comprenons donc aussi que le ventre de la mère, bien que sanctuaire très élaboré où une existence se forme, n'est pas à l'abri de tous les dangers, au point où une personne qui n'a encore que la forme d'un fœtus peut y être attaquée, blessée, et mourir en ne voyant jamais le jour sous le soleil.
Ce qui montre (par la loi des correspondances) que notre existence « solaire » même – qui a passé cette étape et franchi ce cap étroit avec succès – n'est pas certaine de traverser ce temps jusqu'à y trouver la vie autre, inaugurée en son propre corps par le Christ Jésus ; la vie projetée pour nous par Dieu, faite de « l'éternisation » de notre âme et le don d'un nouveau corps formé pour vivre éternellement.
insi, de la même manière que le fœtus va devenir être humain tel que nous sommes devenus, nous avons à « naître à nouveau », à la suite de Jésus le Messie et Christ dont il fut dit aux Colossiens (chap. 1) : « Il est l'image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création. 16 Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui. 17 Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui. 18 Il est la tête du corps de l'Eglise; il est le commencement, le premier-né d'entre les morts, afin d'être en tout le premier. 19 Car Dieu a voulu que toute plénitude habitât en lui; 20 il a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix. »
« Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d'entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous.
Telle est la clé, sans rapport avec quelque réligion que ce soit à pratiquer pour obtenir ce passage de notre finitude, existence temporaire maintenant ici-bas, à la dernière étape de ce projet de Dieu envers nous, qui est exactement ce qui se passe dans la nature avec la chenille par exemple, appelée à devenir un papillon.
Appelée dans le sens où ce processus de transformation est génétiquement écrit en elle, et qu'il se déploie en son temps, avec passage d'un sas de transformation qu'est la chrysalide, comme un automatisme naturalisé.
A la différence de la chenille – et la différence est majeure – pour nous cette métamorphose tient compte de notre capacité de compréhension et de choix, comme si la chenille pouvait dire Oui ou Non à la suite du projet divin qui gère sa fin d'existence.
Capacité de compréhension qui dépend d'une part de ce qu'on a entendu, ou pas, ce qu'il faut savoir au sujet de cette manière dont Dieu a conçu l'être humain en vue de partage avec lui de sa viee éternelle merveilleuse – qui est amour, paix, joie, partage, créativité, développements sans nombre et sans fin, et d'autre part de notre réponse à ce qu'il nous montre des conditions pour entrer dans cette potentialité suprême de notre présence ici-bas.
Qui peut être assez insensé pour ne pas mieux tendre l'oreille à un tel projet quand il vient jusqu'à nous !?
Qui serait assez sot, idiot, pour prendre cela à la légère et ne pas s'en soucier alors qu'il ou qu'elle va mourir demain – un jour certainement dans tous les cas – après avoir galéré, souffert, connu plus de difficultés et malheurs que de paix et de bonheur : Pour quoi !?
Cependant, la réalité est que, dans le confort ou quelque plaisir qu'on trouve encore satisfaisant et suffisant dans cette matrice, on peut préférer, choisir, de ne pas vouloir d'une émergence divine dans notre existence en réalité étroitisée, peu confortable, mal éclairée, dépourvue de forces contre certaines agressions...
Ce que Dieu respecte. Comme un usage possible, temporaire et responsable de notre liberté...
nota : Cet article laisse des blancs, n'est pas exhaustif sur le moyen de devenir "une nouvelle création de Dieu", selon que chacun doit personnellement suffisamment s'investir dans le processus pour connaître la joie véritable, l'enthousiasme, qui en est un des aboutissements.
Le mot Être se distingue des mots Exister ou Existence.
2 MOTS POUR 2 RÉALITÉS DIFFÉRENTES
On devrait beaucoup mieux les comprendre et les utiliser, car ils peuvent servir à saisir la différence entre deux réalités possibles bien distinctes : ce que nous vivons en ce moment dans le temps qui s'écoule essentiellement au niveau de notre corps.
on fait avec certitude qu'en principe un jour il va se refroidir et se raidir, parce que la vie qui est attachée et qui forme notre âme va le quitter pour une autre destination que la poussière de la terre ou d'une crmation.
Par et dans ce corps, nous pouvons dire que nous existons, mot dont la racine - exit - signifie hors de, sortir, comme aussi en anglais les mot exit pour sortie ou encore Brexit pour la sortie de l'Europe.
Bien distinct du corps est l'esprit, que la Bible la première en a parlé (déjà par les livres de Moïse qui datent d'environ 3 500 ans). L'esprit est alors la Rouah, le souffle de Dieu en l'homme (seul, les animaux n'ont pas ce souffle-là, on va y venir.
La particularité de la Rouah est d'être un souffle de vie en lui-même éternel, qui se rapporte donc à l'Être, au fait de l'éternité.
Sauf que son attache à nous est un peu comme le parfum pour les fleurs, très volative, d'une nature différente.
Ce qui fait que l'esprit de Dieu en nous peut s'éteindre (si on lui donne l'image d'un feu, qu'il est), peut s'envoler si on prend l'image de la fumée dont le feu est alors ce qui reste de vie en nous, un couple fait du corps et de l'âme.
On peut aussi parler de mort spirituelle* quand cette part de vie divine n'est plus en nous, non qu'elle soit morte - car l'esprit est éternel - mais c'est nous qui mourrons dans cette dimension quand nos comportements obligent l'esprit à se retirer de nous.
NOUS SOMMES BIEN PLUS QUE DES ANIMAUX
Si les singes peuvent descendre des arbres, nous, nous ne descendons pas des singes, de cet arbre évolutionniste qui veut nous faire croire qu'il n'y a que des évolutions hasardeuses, aveugles et aléatoires comme moteur du vivant* et comme origine de la vie et des espèces...
On peut savoir, par la Bible et l'Esprit de Dieu qui en témoigne en tous chrétiens authentiques (qui l'ont reçu), que nous sommes essentiellement une âme - ce qui se dit psyché (psuké) en grec, d'où tous les mots en psy... construits sur cette racine.
L'âme est décrite comme une émergence du corps à partir du sang, c'est-à-dire apparaissant dès le sein maternel.
C'est le siège psychique ou psychisme dont le premier sommet de conscience important à atteindre est la conscience de soi : la conscience que nous existons en tant qu'entité individuelle, distincte de tout le reste. Ce qu'on appelle le moi ou ego, qui développe de l'autonomie aux plans subtils de la pensée, des émotions, de la volonté, avec une capacité de mémorisation.
On peut observer que par les fonctions de notre corps (physiologique ou biologique) et de l'âme, nous sommes conformés comme les animaux, ce qu'on appelle à notre sujet la vie charnelle ou animal. Non que nous venions d'évolutions des espèces animales, mais parce que Dieu nous a créés issue de la matière (vivifiable et vivifiée), avec la même organisation de base physiologique (corps et âme) que l'animal.
Et là on arrive au coeur de ce que nous sommes, avec la question de Quelle pérennité a l'âme ?
Et là, ce n'est pas parce qu'on parle de l'âme distincte du corps, qu'on peut conclure à ce qu'elle est immortelle.
Certes, on peut le croire - comme tant d'autres choses, des pires mensonges aux vérités en passant par des erreurs ou des demi-vérités).
Cependant Jésus et d'autres écrivains inspirés de la Bible disent que l'âme humaine aussi est mortelle. Par exemple ici : "28Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l'âme; craignez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps dans la géhenne."Matthieu chap. 10.
QUI ENTRE DANS LA MAISON DE DIEU !?
Le chat du quartier n'a pas le droit d'entrer dans ma maison, car même si je le nourris (dehors), je ne l'ai pas adopté au point qu'il soit chez lui chez moi.
Et Dieu fait de la même manière avec nous : Il fait lever son soleil sur les justes et sur les méchants, sans distinction donc au sujet de certaines bénédictions, mais par ailleurs, il peut, par la dimension spirituelle, donner - ou pas - accès dans sa maison, ou simplement nous laisser exister en-dehors.
Et si cela dépend delui, c'st aussi que cela dépend de nous :
1 - Parce qu'il ne va pas nous obliger à vivre éternellement avec lui si nous ne le voulons pas. Comme si je capturais ce chat, me l'appropriant pour l'enfermer dans mon bien, alors même qu'il me montrerait qu'il ne veut pas.
2 - Par contre, son souhait le plus cher et que nous ne restions pas enfermés hors de sa propriété spécifique qui est immense (un royaume), paradisiaque, baigné de son amour, juste et harmonieuse.
Car dans ce monde, vivant le plus clair ou sombre de notre temps trop éloigné de Dieu, on est comme ce chat qui parfois se trouve en bagarre terrible avec un ou deux autres du même territoire. Il y avait aussi un joli rouquin un moment, et puis un jour, disparu ! Passé sous une voiture ?
Empoisonné (comme j'ai vu, par un voisin dont mon chat allait gratter les semis)...
En ce sens Dieu souhaite nous adopter en pleine propriété, et choisir entre nous appartenir à nous-même, pauvre mortel, ou appartenir à Satan dont les démons attendent notre mort (qui récupère les âmes défuntes séparées de Dieu dans l'hadès ou séjour des morts qui est sa prison spirituo-psychique), ou appartenir à Dieu - le souverain qui est amour, justice, pureté, infinités, est une bonne chose à savoir pour avoir une vraie liberté de choix.
3 - On sait les chats ont été créés propres, sachant recouvrir leurs besoins et ne les faisant pas n'importe où quand on leur donne un lieu pour cela.
Alors pour nous, pourvus d'une intelligence non déterminée comme celle du chat mais libre de faire des choix responsables, en connaissance de cause, c'est la même chose : on doit comprendre que pour entrer dans la maison, il faut vouloir en accepter les règles autant qu'en jouir des biens, de la sécurité, de la paix et d'une liberté intérieure qu'on ne trouvent pas ailleurs.
C'est pourquoi nos saletés passées avec leurs effets qui continuent à déformer notre caractère et nos comportements, on doit vouloir les laisser dehors.
4 - Comme il faut montrer "patte blanche" pour entrer dans des lieux sélect, comme il faut des mot de passe pour entrer sur des sites internet, il faut se présenter propre devant la porte de la maison spirituelle de Dieu, et pour cela il faut connaître le protocole, simple mais stricte.
Que voilà :
"Si nous marchons dans la lumière (sans faux-semblant, sans hypocrisie, sans vanité), comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. 8Si nous disons que nous n'avons pas de péché (de fautes morales, de méchanceté, de culpabilité...), nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est point en nous.9Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité.10Si nous disons que nous n'avons pas péché, nous le faisons menteur, et sa parole n'est point en nous." 1ère lettre de l'apôtre Jean, chap. 1
IL NOUS FAUT TOURNER CETTE CLÉ
"Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu." 2e lettre aux Corinthiens chap. 5
"C'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu.9Ce n'est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie." Lettre aux Ephésiens, chap. 2
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18Celui qui croit en lui n'est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises.20Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées;21mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont conformes au bien selon Dieu." Evangile selon Jean, chap. 3
"Que faut-il que je fasse pour être sauvé ?31Paul et Silas répondirent : Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille." Livre des Actes des Apôtres, chap. 16
Telle est la clé à tourner pour passer de seulement Exister (une existence temporaire aléatoire livrée à un destin fait de forces aussi méconnues qu'imprévisibles) à Être (être vivant par l'Esprit de Dieu dès maintenant et pour une vie sans fin dans le prochain univers annoncé qui suivra celui-ci).
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.