Des mots définissent des choses. Choses qui sont ce qu’elles sont avec le mot sur lequel on s’est tous entendu pour en parler.
Le lait, une chaise, une bibliothèque, un vélo, voire un virus ou une molécule...
Par là on a tous, dans une langue donnée, les mêmes mots pour dire les choses et par là de la compréhension qu’on peut partager, qui favorisent les échanges, les relations.
On apprend le lien entre un mot et une chose, et le tour est joué ; on se comprend.
Mais voilà que depuis des siècles et millénaires, on n’est pas (encore) parvenu à définir certaines choses, ou plutôt quel contenu on peut mettre dans un mot. Et cela pour ce qui nous est pourtant trs important ; d’où tant de drames...
DES CHOSES À DES OBJETS DE CONNAISSANCE ET DE RÉFLEXION
Par exemple, malgré nos capacités d’accès à des connaissances jusque dans la dimension nanométrique (en physique quantique) ou astronomique (en astrophysique), on n’a pas réussi à s’entendre sur ce qui est bien et ce qui est mal ! Etonnant quand même, c’est si important !
On en est même à dire que des choses sont bien (des pratiques par exemple), alors qu’elles sont mal pour d’autres, et inversement.
Dans ces conditions comment s’entendre ?
On est comme constrisant des immeubles de 5 ou 100 étages sans avoir assuré leurs dondations !
Pareil dans un autre domaine sensible : les religions.
Ce n’est pas du tout un domaine accessoire de notre existence, même si notre croyance est qu’il n’y a ni Dieu ni mauvais esprits. La preuve est là, avec la force (déjà démographique) des musulmans, dont ceux qui veulent imposer cette Loi à la terre entière.
Nous voilà avec au moins quatre-cinq (et bien plus) grandes religions, toujours incapables de savoir si une est de Dieu et pas les autre, dans la mesure où il est impossible qu’un Dieu créateur de l’univers - super-intelligent donc - ait pu donner au genre humain des régles d’existence différentes et inconciliables ! Et même si aucune des religions n’a l’aval divin comme moyen pertinent d’organisation de vie collective et personnelle, il n’en resterait pas moins que par traditions l’immense majorité parmi nous continuerait à croire à sa façon, et les athées à la leur.
Et plus on avance dans le temps et dans ce qui semble de l’intelligence, moins on y voit clair sur des frontières qui depuis longtemps devraient nous être communes, sur des réalités pourtant basiques, incontournables, déterminantes, comme les pratiques sexuelles ou encore depuis peu, ce qu’est un homme et ce qu’est une femme, et même un enfant, on ne sait pas quand cela commence et à partir de quand il n’en est plus un.
C'est comme un vent mauvais nouveau qui souffle et voudrait une vraie tempête pour mieux asseoir son autorité en déboussolant plus que jamais les créatures de Dieu que nous sommes (par défaut et avec et malgré nos défauts).
Un vent dit woke, que je dis plus significativement démoniaque qui balaie devant toutes les portes et embrouille les étiquettes pour mieux assujettir les âmes qui, en masse, adhère à cette perdition supplémentaire.
Pourquoi sommes-nous si peu intelligents pour gérer nos essentiels, de tels incontournables qui, laissés en l’état, nous rendent l’existence encore bien plus compliquée qu’avant, les guerres (dans les couples, les familles, les sociétés, les relations étant loin d’expirer dans ces conditions-là !
Sommes-nous intelligents quand nous ne savons que dire : - Plus jamais àa ! - C’est inacceptable ! - On ne comprend pas ! Il faudrait arrêter àa !…
C’est que la condition humaine est bien plus abîmée (même mot qu’abïme) qu’on ne s’en aperàoit. On tient tous, génétiquement déjà, d’une jambe plus courte que l’autre - l’esprit délaissé alors que seule notre âme (notre ego, moi-je, est développée ; tous habités par un germe d’Alzheimer, un autisme du côté Ciel (même si on est de autistes asperger), une hémiplégie du côté coeur, un regard qui convoite, une langue qui ment avant que la conscience ait le temps de se faire entendre, un manque acidentel de vie – et qui va finir sous terre ou cramé pour la partie corps -, cherchant comme un aveugle en plein jour à combler par toutes sortes
- de produits toxiques,
- de pratiques astreignantes,
- ou des mouvements incessants qui nous donnent l’impression d’être pleins... alors que s’arrêter de soi-même, tout seul, rien qu’une heure suffirait à nous montrer à nous-même combien on ne sait pas vivre, combien on ne tient pas en place sans raison comprise, combien la venue de la nuit - ou du jour pour certains - nous fait peur, combien l’inaction se peuple vite d’angoisse, de tentations démoniaques et autres mauvaises pensées.
Mais qu’est-ce qu’une bonne ou une « mauvaise » pensée !?
On n’en sait rien ; on n’a pas appris que les pensées ne sont pas produites par le cerveau mais ont réellement ou possiblement quatre origines bien distinctes, quatre sources* dont la méconnaissance favorise qu’on peut faire des choix dramatiques !
Socrate conseillait déjà il y a vingt quatre siècles « Connais-toi toi-même, et tu connaitras l’univers ». On en fait des sujets de philo, de bac, mais on n’apprend toujours pas aux enfants et aux adultes à se connaître en tant que ce qu’ils sont… ce qui pourrait tellement aider en tout.
ALORS POURQUOI ?
C’est simple, et cela aussi on devrait tous le avoir, depuis le temps :
Nous sommes d’abord des créatures de Dieu, du Dieu éternel créateur et rédempteur, et cette vérité-là de notre plus véritable et profonde identité, Satan ne veut pas qu’on en parle, qu’on le sache dans une vérotable fraternité originelle curieuse et éprise de lumière avec la même force instictive qui attire (attirait) dans la nuit les insectes autour des lampadaires.
C’est que notre instinct spirituel a été cassé et reste amplement tenu dans la nuit psychique qui a suivi un premier accident, la première mauvaise rencontre, le traumatisme psychique et jusqu’ADNique.
Et donc notre existence n’est pas achevée, ni en notre âme – qui survivra à l’arrêt du corps -, ni au plan de l’Esprit qui permet comme peronne la conscience du bien et du mal et nous entraîne (notre moi-je) jusque dans les sphères de l’éternité divine.
Ce dimanche midi en rentrant d'un culte, je croise un passant avec son chien sur l’autre trottoir, qui m’interpelle gentiment au sujet des trois gouttes de pluie tombées un peu plus tôt et alors que pour un mois de mai il fait déjà bien chaud et sec : - Vous avez vu (il me montre le sol qui déjà sèche) cette pluie, vraiment pas grand’chose.
Il semble désolé, et vouloir parler.
Je lui réponds : - Si on priait, Dieu pourrait en envoyer.
Il me fait signe qu’il n’a pas entendu. Je répète mais comme le propos doit être bien loin de ce qu’il entend habituellement, il me montre son oreille et traverse la rue :
- Je dis que si nous croyions encore en Dieu, il pourrait envoyer la pluie qu’on lui demande.
Il n’a pour réponse qu’un mouvement du corps qui montre qu’il est pris de court et ne peut rien dire.
En substance je lui dis encore : - Eh oui, on abandonne Dieu et il ne faut pas s’étonner si plus rien ne va. N'est-ce pas lui qui peut changer ou pas le temps !?
Là son envie de parler a fondu et déjà il se remet en marche.
Il commence à s’éloigner sans un mot puis finit par lancer : - Bonne journée.
- Merci, pour vous aussi.
Un homme visiblement dans l’âge de la retraite, blanc, français de souche comme on dirait, qui a certainement entendu parler de Dieu dans son enfance, dans l’après-guerre et jusqu’aux années 60.
Puis les philosophies matérialistes en vogue et les enseignants formés par « la gôche » socialo-marxiste ou léniniste (comme se déclarait mon prof de philo) ont fini leur travail de sape, la religion étant repoussée au plan de la vie privée... et la sexualité amenée dans la vie publique (Mai 68 et ses suites).
En reprenant ma route, je prie pour lui, que le Dieu qui ne change pas et qui le connaît, réveille son âme que les années, la culture prégnante ou quelque épreuve possiblement a anesthésié, la conscience du Réel se réduisant d’autant qu’on ne tient plus compte de la vie de notre esprit, et de ce que Dieu peut encore dire.
Il n'y a pas si longtemps, lors de son émission sur CNews* et alors qu'il était question de sécheresse dramatique pour les agriculteurs - qui cherchaient toutes sortes de complications pour arroser quand même, Christine Kelly conclut le reportage en disant : "On pourrait aussi prier Dieu",
Je me rappelle aussi cette parole de Soljénitsyne qui a vu de très près (dans son âme et et jusque dans sa chair) les effets terribles de l'idéologie marxiste athée (version communiste, la version « national-socialime » ayant été du même acabit mais dura moins longtemps) : « « Le drame du XXe siècle : On a oublié Dieu ».
Ajout du mardi soir :
Cet homme a-t-il prié !? Toujours est-il que deux jours après, ce mardi, il est tombé très régulièrement, sans précipitation, une pluie bienfaisante qui a bien détrempé la terre et rafraîchit l'atmosphère, et sans doute aussi quelques pensées sèches et stériles...
C’est un fait général que lorsque tout va bien dans notre existence, on n’a pas besoin de Dieu.
La réalité, c’est qu’on ne voit pas le besoin qu’on a de lui.
La réalité, c’est qu’on peut alors être seulement au bénéfice de bénédictions, de grâces, qui ne viennent pas de nous, mais de parents ou grands-parents, ou encore de personnes qui ont prié pour nous, qui ont eu la foi et dont on hérite quelques effets. (ce fut mon cas, témoignage en cliquant sur Accueil).
DU ROSE AU GRIS, VOIRE DU GRIS AU NOIR
Mais pour tous, arrive toujours un moment où une mauvaise nouvelle, une situation inattendue, des circonstances qui semblent se liguer contre nous, nous mettent gravement en échec.Sur le plan du travail, ou affectif, de la santé...
On boit la tasse, on se noie, on ne voit plus clair, dépourvu et dépité, on ne sait même plus mettre un pied devant l’autre.
Cela est inévitable pour tout le monde, et rebondir, avoir de la résilience, n’est pas forcément la meilleure solution (c’est souvent comme reculer pour tomber plus bas une autre fois).
Et si d'aventure on ne croit pas cela, au final c'est la mort qui montrera qu'on n'est pas si maitre de son destin qu'on voudrait le croire.
Alors, autant croire juste (bien) avant !
Car dans tous les cas le Dieu vivant qui voit tout, et notamment les coeurs brisés, les volontés sans plus de ressort, les corps malades qui affligent l’âme, la dépression qui est à la porte, un divorce ou un deuil, ou encore la rage qui tombe sous l’impuissance, peut alors s’approcher avec quelque chance de détourner nos yeux de la montagne qui nous est tombée dessus.
Car il est le Dieu qui ne s’impose pas – même si on use mal de la liberté dont il nous a pourvus –, mais il peut et veut venir nous faire grâce, se faire sentir, se faire entendre, se faire voir même.
Toute situation d’échec, de crise grave, de rupture, l’incite à venir à nous d’une manière ou d’une autre. Comme peut-être par exemple par cet article et ce blog, par un songe ou une pensée étonnante qui nous interpelle, par un désir de question au web sur un sujet comme la mort, sur la personne de Jésus ou la croyance ; ou encore par un attrait soudain pour entrer dans une église ou un temple ou pour suivre une réunion, en semaine ou le dimanche matin, sur la toile.*
Êtes-vous pour une raison ou une autre dans la confusion, depuis bien longtemps ou cela vient-il de vous tomber dessus, Dieu peut et veut vous aider.
Ne cherchez pas à relever la tête sans Lui, mais au contraire gardez-la baissée car Dieu fait grâce aux humbles, aux humiliés, aux pauvres (en esprit ou en bien matériel), aux sens-forces, à quiconque se trouve minable au regard de sa vie passée et d’où elle l’a amené.
Et c’est bien de voir où nous sommes arrivés, comprenant que ce n’est pas la faute des autres – ou que la faute des autres –, mais qu’on y est aussi pour quelque chose, qu’on a une responsabilité dans l’échec quand il nous atteeint.
Mais Dieu est là, et il suffit d’admettre nos fautes, de plaider coupable, de dire « Mea culpa » ("c’est (aussi) de ma faute"), pour que Dieu dans son amour pour notre personne nous pardonne et commence à nous relever.
« Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés (secourus, délivrés, éclairés, remis sur pied), par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. 9 Ce n'est point par les œuvres (nos propres effots), afin que personne ne se glorifie. » Bible, Ephésiens chap. 2
« Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. 20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! 21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu. » 2e aux Corinthiens chap. 5
« Car le salaire (le résultat, la conséquence, le pris à payer) du péché (de mal), c'est la mort (de nos projets, de nos constructions, et pire notre mort spirituelle); mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. » Pomains chap. 6
« Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. 17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. 18 Celui qui croit en lui n'est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. 19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises. 20 Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées; 21 mais celui qui (ré)agit selon la vérité vient à la lumière. » Jean chap. 3
(On peut les appeler les "4 CAR" magnifiques divins.
Relisez-les, saisissez-les, car en ces mots se trouve le pouvoir de vous rendre la vie et meilleure... et éternelle !
DEUX MOITIÉS D'UN BILLET À RÉUNIR
Le moyen pour Dieu de nous déculpabiliser par son pardon c’est LA CROIX sur laquelle Jésus « s’est fait péché pour nous », prenant notre place de pécheur/pécheresse ! C’est là comme la moitié d’un billet... de 500 euros.
Mais qu’est-ce que cela vaut si on le voit dans la nature sans le saisir !?
Et donc le moyen à ajouter pour que cette mort substitutive de Jésus entre dans toute sa valeur et puissance, c’est LA FOI ! Notre foi, croire que cela est pour moi ; que c'est vrai et suffisant pour que quelqu'effet commence à se produire en moi et pour nous.
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* Les trois plus grands rassemblements chrétiens facilement joignables sur le web qui enseignent et existent au plus près de l’Evangile (grec evangelion signifiant Bonne-nouvelle) de la Grâce apporté par le Messie et Christ Jésus (yeshoua en hébreu), sont Momentum près de Bordeaux, La Porte Ouverte près de Mulhouse, et MLK (Martin Luther King) dans la région parisienne.
Soyez béni-e par cette Grâce si magnifique du Dieu véritable.
Oui, Jésus à parlé d'internet et en a donné une démonstration prophétique sur les bords du Lac de Tibériade il y a presque deux mille ans.
On peut lire dans la Bible, dans l'Evangile selon Matthieu chapitre 13 : "Le royaume des cieux est encore semblable à un filet jeté dans la mer et ramassant des poissons de toute espèce. Quand il est rempli, les pêcheurs le tirent; et, après s'être assis sur le rivage, ils mettent dans des vases ce qui est bon, et ils jettent ce qui est mauvais."
Le mot "filet", c'est "net" en anglais, et un filet jeté sur le monde, c'est inter(national)net.
PAS UN HASARD, MAIS UNE PROPHÉTIE
Ainsi Dieu fait ce qu'il veut quand il veut, se servant des développements informatiques de communication de l'armée américaine pour accomplir cette prophétie des temps de la fin (des nations) que nous vivons.
On peut encore lire en relation avec cette parole du Christ et Maghiah (Messie) Jésus (Yeshoua en hébreu), celle dites aux premiers disciples qu'il appelle (Simon/Pierre et André) :
"Comme il passait le long de la mer de Galilée, il vit Simon et André, frère de Simon, qui jetaient un filet dans la mer; car ils étaient pêcheurs. 17 Jésus leur dit : Suivez-moi, et je vous ferai pêcheurs d'hommes. 18 Aussitôt, ils laissèrent leurs filets, et le suivirent." Matthieu 4 : 19
Quelque trois années plus tard, Jésus crucifié - pour obtenir de son Père céleste le pouvoir de pardonner nos fautes (péchés) est ressuscité ; il donne rendez-vous à ces premiers disciples au bord de la mer de Galilée (autrement appelé lac de Tibériade...).
On voit d’une boucle est bouclée par Pierre qui, dans l’attente de Jésus, entraîne quatre disciples sur le lac pour une pêche nocturne… d’où ils reviennent au matin bredouille.
Mais Jésus est sur la rive qui a allumé un « barbecue » et leur dit : « Enfants, n'avez-vous rien à manger ? Ils lui répondirent : Non. Il leur dit : Jetez le filet du côté droit de la barque, et vous trouverez. Ils le jetèrent donc, et ils ne pouvaient plus le retirer, à cause de la grande quantité de poissons. Alors le disciple que Jésus aimait (Jean) dit à Pierre : C'est le Seigneur ! Et Simon Pierre, dès qu'il eut entendu que c'était le Seigneur, mit son vêtement et sa ceinture, car il était nu, et se jeta dans la mer. Les autres disciples vinrent avec la barque, tirant le filet plein de poissons, car ils n'étaient éloignés de terre que d'environ deux cents coudées.
Lorsqu'ils furent descendus à terre, ils virent là des charbons allumés, du poisson dessus, et du pain. Jésus leur dit : Apportez des poissons que vous venez de prendre. Simon Pierre monta dans la barque, et tira à terre le filet plein de cent cinquante-trois gros (grands) poissons; et quoiqu'il y en eût tant, le filet ne se rompit point. Jésus leur dit : Venez, mangez. Et aucun des disciples n'osait lui demander : Qui es-tu ? sachant que c'était le Seigneur. Jésus s'approcha, prit le pain, et leur en donna; il fit de même du poisson. C'était déjà la troisième fois que Jésus se montrait à ses disciples depuis qu'il était ressuscité des morts. » Jean ch. 21
On dit généralement que ces 153 poissons symbolisent ou préfigurent les 153 plus grandes nations qui vont suite à la venue de Jésus naître (spirituellement et socialement) du message évangélique porté à travers le monde entier dès lors que l’effondrement programmé de l’Empire Romain arriva.
AVEC JESUS NON UNE RELIGION, MAIS UNE HUMANITE NOUVELLE VIENT AU MONDE
Maintenant que la pêche des âmes a été illustrée et comprise, Jésus prend Pierre à part et lui parle non plus de poisson, mais de brebis ; du troupeau qui va se former (l’Église véritable) par le retour de l‘Esprit-Saint sur terre, Jésus en étant le souverain Berger (voir Psaume 23).
Quand celui-ci dit à Pierre « Pais mes brebis », il lui dit en image qu’il va falloir prendre soin et nourrir ses âmes pêchées, sorties de la mer inique de ce monde pour devenir des « nouvelles créatures » dans le Royaume éternel de Dieu. (2Corinthiens 5.17)
Malheur aux bergers, pasteurs et autres religieux anciens qui se nourrissent des sauvés comme on mange les poissons ! Ils ont à comprendre que ce sont des brebis (dont plus d’une caractéristique correspondent à nos mentalités égocentrées, têtues, obtuses, dépouillées des passions injustes et problématiques de la vie d’avant)…
ET MAINTENANT...
Nous voilà dans la phase finale de la pêche miraculeuse des âmes pour un salut éternel, notamment désormais par ce filet jeté sur le monde qu’est la toile ou internet… avec l’Evangilequi y est proclamé dans toutes les langues, sous tous les cieux, jusqu’à travers les portables et réseaux sociaux…
Ainsi s’accomplit la dernière instruction du Maître et Roi avéré Jésus : «Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, 20 et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous(par l’Esprit-Saint qu’il a envoyé du Ciel) tous les jours, jusqu'à la fin du monde. » Matthieu 18.19,20.
On est à la fin du monde... commencé par Jésus après sa résurrection selon que sa crucifixion fut l’équivalent de l’endormissement d’Adam quand Dieu l’opéra pour en faire sortir la femme : son côté percé par le centenier romain fut exactement la réalité et l’image qui ouvraient la voie à une humanité toute nouvelle, l’épouse de ce dernier Adam (comme Jésus est appelé dans le Nouveau Testament) étant ce corps spirituel intemporel qu’on appelle l’Église, humanité nouvelle, spiritualisée par la foi en ce sacrifice rédempteur parfait que fut la mort volontaire délibérée (substitutive, expiatoire et propitiatoire) de Jésus pour nous sauver… (voir article sur la « nouvelle naissance » ou « naissance spirituelle » opérée par l’Esprit-divin.
PRINCIPE (SURNATUREL) DE CORRESPONDANCE
Pour prendre une image de la nature, nous naissons physiquement en tant que foertus comme une chenille naît d’abord comme larve, puis nous changeons de mode respiratoire en entrant dans ce monde de la même faàon qu la larve devient une chenille.
Mais le processus conçu et voulu par Dieu ne s’arrête pas à ce stade pour nous, pas plus que la chenille n’est destinée à être que chenille. Et dans notre cas, comme la chenille doit subir un changement fondamental - tout en restant le même insecte -, nous sommes prédesinés à devenir des êtres non plus charnels seulement (à brouter des « feuilles de choux ») mais conduit par vivre bien plus large par l’ esprit divin venant en nous, devenant dès lors une chrysalide pendant le reste de temps à vivre ur cette terre, et un jour nous envoler comme un papiilon pour le Royaume céleste de Dieu… pour des aventures « sans fin », qui ne s’arrêtent certainement ni à ce monde et univers temporels connus)...Alors vive Internet, qui permet une circulation inoïe du message de salut engendrant après des poissons des brebis et après des brebis des papillons éternels…
Bien sûr Satan va chercher et cherche déjà à soumettre cet outil à ses volontés et à une caste planétaire oligarchique qui monopoise les richesses terrestres, à qui il fait croire qu’ils seront les maîtres du monde... et ils le croient – c’est leur foi !….
Le vrai complot qui sévit et s’intensifie sur notre univers humain est celui-là.
A moins que vous fassiez partie des quelques centaines de personnes et familles en mesure de recevoir un contrôle global des populations, vous allez faire partie du sous-peuple qui dépendra de « la manne » que donnera – ou pas -, selon votre soumission et parfaite obéissance – le système planétaire de la « bête » politico-économique… que les livres bibliques les plus prophétiques annoncent depuis longtemps… (Les servants nantis du système de cette bête, ou de l’autre – car il y en aura deux marchant la main dans la main – seront à leur tour dépouillés par ces mortels dont l’âme descendra dans l’hadès, le séjours des morts sans Christ) Apocalypse chap. 13 et bien d’autres passages qui prennent corps sous nos yeux... quand ils sont ouverts…
De Jeanne d'Arc on a fait une idole, plus qu'une héroïne... et un avertissement !
Car est-ce bien Dieu qui la conduisit ?!
A la lumière d'où, français, nous en sommes, d'où en est l'Angleterre, et de ce que dit la Bible,
interrogeons-nous, dans l'idée des "leçons de l'histoire"...
SI JEANNE D'ARC...
Si Jésus d'Arc n'avait pas,
Je serais anglais et j'en serais heureux.
Si elle avait su, elle n'aurait pas
Pris des voix pour la voix de Dieu.
Si on avait nous-même plus de lumière,
On aurait vu depuis longtemps,
Athées comme croyants,
Que son oeuvre était d'un autre père
Que Celui qui nous a avertis
Qu'on ne change pas ses habits
De femme pour ceux d'un homme
Et inversement, car nous dit le Deutéronome
“Quiconque fait ces choses est en abomination
A l'Eternel, son Dieu”. En abomination
Au Dieu qui donna à sa guise
Des Ecritures immuables déjà à Moïse
Pour nous garder d'un plus filou et cruel
Que nous, le Satan-Lucifer dont on rit
Mais qui agit et nous trompe encore à l'envi
Par des ruses et des peurs sempiternelles.
Jeanne la pauvre bergère mal instruite
Brûlée comme du bois mort dans l'incompréhension
Par ces autres instruments qu'aveugle l'inconduite,
Fin violente que provoque le méchant Démon en action.
Devenus anglais, l'Allemagne par deux fois
Nous aurait-elle attaqués ?... On ne refait pas l'histoire
Mais elle a des leçons en son sein qu'il faut voir
Et des Ecrits sont à connaître et à vivre dans la foi.
Car Dieu a une volonté “bonne, agréable et, parfaite”
Qu'il veut nous faire connaître, faute de quoi
C'est dans ce qu'il permet qu'on se perd, loin des fêtes,
Dans l'aigreur, les horreurs, religieuses ou sans foi ni loi.
Si aujourd'hui encore on savait mieux,
Qui est Dieu – le vrai et non quelque usurpateur –
Ce qu'il dit, ce qu'il veut pour notre unité, à deux
Ou à beaucoup, combien fleurirait du bonheur !
La face du monde changerait, le sens de l'histoire
S'inverserait, qui nous précipite encore en ces jours
Loin de la vie enthousiasmante, loin de l'amour,
Vers le versant sombre et sanglant de terribles coupes à boire.
Ce qui compte alors, pour qui veut savoir,
C'est son propre salut au coeur de la tempête,
- S.O.S., Sauve Mon Âme, et ma famille de ce froid gris-noir
Vertigineux qui envahit la terre et laisse à d'affreuses “bêtes”
Qu'annonce de bibliques prophètes, la main mise
Sur le genre humain
Bientôt marqué sur le front ou sur la main
Comme bétail soustrait de toute grâce, qui se dégrise
Mais trop tard.
C.T. 2021
Pas de quoi se culpabiliser ou se lyncher, mais de quoi réfléchir sur l'importance - pour chacun, pour chacune - à connaître ce que Dieu a pris la peine d'inspirer à une quarante de ses serviteurs au fil de quelque mille cinq cents ans, pour nous donner un livre crucial à lire ou à écouter : La Bible.
L'amour ici-bas est donné
Mais il n'est jamais gagné
Par nos propres forces et volontés,
Seul Jésus en triomphant, crucifié puis ressuscité,
Pour le mettre plus largement à notre portée
Sur laquelle peuvent danser
Les notes graves ou aigües de son Esprit
Et de Sa vie,
L'éternelle.
C.T. 2021
La plus extraordinaire définition que nous puissions connaîtrede de l'amour est >> ici, à lire ou à écouter <<
Demain dimanche matin peut-être une rencontre avec Dieu lors d'une réunion >> ici en direct sur le net <<
On peut croire que la nature (céleste et terrestre)
est création d'un Dieu véritable ; ou croire qu'elle est le produit de hasards innombrables :
C'est un type de la liberté qui nous établit responsable de nos choix et de notre devenir... éternel.
Les vérités spirituelles dévoilées peuvent être de bien meilleures sources d’enthousiasme (présent etpar anticipation) que nos illusions préfabriquées coutumières, circulaireset routinières...
Des gens ne croient pas en Dieu – c’st-à-dire croit ou se persuade qu’il n’existe pas – quand ils veulent sentir la liberté dont le Créateur nous a pourvus comme une liberté de penser qu’ils posséderaient du fait qu’il n’y a pas de Dieu et donc uniquement comme étant une réalité de leur seul propre fait.
Mais qu’as-tu que tu n’aies reçu ?
De ton corps tout entier à tes facultés mentales, de tes cellules qui meurent sans cesse et se renouvellent sans que tu y sois pour rien, tu n’es rien de toi-même.
Par quelle liberté de penser a été organisé ton système respiratoire qui se combine avec l’air ambiant , ton système digestif alimenté par la terre ou ton système sanguin aux déterminimes inouïs avecce coeur 24/7 pendant un siècle ou plus !?
Et que veux-tu donc penser de plus intéressant, iimaginer, inventer, produire de mieux organiser que tu mettrais en place à partir de rien qui ne soit pas de toi !?
La libre-pensée dont tu veux te prémunir comme si tu n’en avais pas reçu toutes les capacités, comme s’il te fallait cette idée pour te sentir réellement libre, est-elle un don fabuleux d’un hasard (comme serait venu ta naissance), d’un hasard « absolu » qui serait le Dieu de tout, évidemment sans aucune faculté intelligente - comment un hasard serait-il intelligent en soi -, qui fonctionnerait cependant comme un moteur de recherche autrement plus performant que celui de Google et de ses inventeurs… des plus inteliggents !
Un libre-penseur qui se proclame, qui l’affiche et se cache derrière ce paravent… percé, passoire, peut-il être sérieux au plan de la pensée ?
Au plan de la connaissance, de la recherche, de la relation qui nécessite tant d’humilité pour pouvoir être fructueuse et durable?
Bref, homme-frère, femme-sœur, tu vas mourir et tu penses que tu peux choisir de mourir quand tu veux, où tu veux et comme tu veux – idée qui déjà n’a rien d’absolu – et qu’après ce rapide épisode de conscience ce sera le grand retour au rien éternel et à ses hasards fantômes originels.
Tu joues perdant – de ton âme, de ton moi-je unique et plein de potentialités – à 100 %, c’est mathématique.
Alors qu’on peut continuer gagnant à x fois 100 % si on a l’humilité de se voir tel qu’on est et tel qu’on s’est fait : insuffisant -edéjà pour notre quotidien d’existence ; insuffisant-e pour vivre heureux sans les autres et sans amour, impermanent, trop insouciant et orgueilleux – de cet orgueil dont la Bible dit, comme Dieu, sans changer ses fondements au gré de ce qui nous arrange, qu’il précède la ruine (une ruine ou une autre, ici matérielle possiblement, et aussi après, possiblement aussi, psychique et spirituelle, éternellement.
Ce n’est toujours – d’abord – que quastion de foi : As-tu librement pensé et observé qu’on n’est en fait TOUS que des croyants, pour grandir et pour bouger !…
Je crois en un Dieu qui s’est lui-même révélé à moi alors que je ne le cherchais pas du tout.
Il s’est avéré être, après tâtonnements pour le trouver agissant chez d’autres, le Dieu d’un certain type de chrétiens et l’inspirateur sans faille de la Bible et de son unique message : Tous les hommes/femmes sont enfermés et s’enferment dans des voies/choix mauvais, aléatoires, aveugles, aux conséquances douloureuses pour le corps et/ou pour l’âme… et pour Dieu qui voit nos trajectoires et oeuvrent plus d’une fois, pour nous dévier, avant qu’un accident grave, une rupture sévère, une descente « aux enfers » ne surgisse. Un « comme par hasard » qui est un jugement comme il y en a pour les coupables dans les sociétés humaines.
Et comme il peut y avoir une « grâce présidentielle », Dieu aussi peut nous faire grâce, car la dette accumulée par nos mauvaises gestions d’existence a déjà été payée par un tiers caution : Jésus (le Mashiah d’Israël et Christ des nations) crucifié les bras ouverts et attachés pour recevoir année après année tous les coupables qui comprennent ce sacrifice d’amour inouï.
QUI SERAIT INTÉRESSÉ POUR STAGE(S) "CONNAIS-SENS" ORGANISÉ(S) EN ARDÈCHE SUR BOFFRES ?
- à la journée ou sur 2-3 jours - sur les thèmes CONNAISSANCE ET DÉPLOIEMENT "HOLYSTIQUE" DE SOI - CONNAISSANCE "HOLYSTIQUE" DU RÉEL - GESTION DE MAL-ÊTRE, MAL-VIVRE, DE CRISE et/ou DE RUPTURE SÉVÈRE (deuil, divorce, accident, licenciement...), QUESTION D'ADDICTION... ?
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.