Voilà une image simple et parlante de notre existence : pour en sortir vainqueur, nous devons franchir la barre placée tout là-haut !
* Cela montre que c'est humainement impossible.
Qu'il y faut bien plus que des forces musculaires, c'est-à-dire de nos capacités psychiques (de connaissance technique, d'intelligence, de volonté, de mental...), et pas que !...
* Comme ce perchiste, nous avons besoin d'une perche.
C'est comme pour franchir un mur trop haut, il ne faut pas avoir rien qu'une échelle trop courte !
* Et pourquoi la barre est-elle si haute ? Par qui a-t-elle été posée ?
Ce qui nous montre que la barre est si haute, c'est deux choses :
- d'une part tous nos échecs, toutes nos tentatives pour vivre en paix et heureux plus ou moins lamentablement ratées. Et le découragement où l'on n'a parfois même plus envie de vivre : le burnout, la dépression, voire des pensées de suicide :
- Et ce dernier point (la pensée de se suicider), nous met dirrectemement en rapport avec la seconde réalité qui nous montre que la barre est vraiment trop haute : c'est la mort !
Car franchir la barre avec succès, signifie en fait réussir à vivre toujours, dans la joie de la victoire, cette joie dont on sait bien qu'elle existe quand on gagne, quand on marque un but, quand on bat un record, quand on fait une prestige qui enthousiasme les spectateurs.
* Qui donc a-t-il posé la barre de notre existence qui haute ?
C'est Dieu bien sûr ! Sa volonté a toujours été que nous vivions éternellement ! Il nous faut bien le savoir quand même !
Dieu nous aime et si nous sommes si petits et insuffisants par rapport à son projet d'éternité pour nous, ce n'est pas de sa faute, mais de la nôtre, par le mauvais usage que nous pouvons faire de notre liberté.
Ainsi nous sommes devenus mortels, incapables de conserver indéfiniment notre existence, en nous séparant de Dieu, en sortant des lois et des instructions qu'il a posées pour cadre à un bien-être et bonheur qui pourraient durer tioujours. Et donc, comme quand on se met gravement hors-la-loi (comme un terroriste pris en train de tuer), on est abattu soi-même.
Nous sommes tous, naturellement, dans cette position d'abattus, de vivants-morts, comme des fleurs coupées qui autrement pourraient se renouveler sans fin année après année.
* Et donc comment cependant pouvoir passer la barre des difficultés dominantes et de la mort ?
En trouvant une perche (ou une échelle assez haute pour un mur) et en prenant notre élan avec la tenant fermement pour en recevoir toute la force de propulsion.
Ainsi pour pouvoir être propulsé dans la vie éternelle - une éternisation concrète de l'essentiel de notre existence (ce qu'est notre âme, notre moi donc), Dieu en tant que Père nous a donné Jésus. C'est lui le médiateur, l'intermédiaire qui, tel la perche, nous permet de trouver et connaître la plus extraordinaire de toutes les victoires de la terre : celle de pouvoir continuer à vivre éternellement, sans plus de larmes ni de mort, dans la présence de Dieu et habité du Bien le meilleur, rendu permanent : l'amour.
* Par quelle force se propulser soi-même, à l'aide de la perche toujours suffisante qu'est Jésus ?
Par la foi.
La foi, c'est-à-dire croire avant de voir des effets qui résultent de ce qu'on croit, est la force dynamique (le moteur universel) qui permet toutes les conquêtes :
- foi du scientifique qui cherche à percer un mystère, à trouver un remède, à développer une invention ;
- foi de quelqu'un qui monte en avio, se lance pour créer une entreprise ou encore pour fonder une famille...
Et donc, il n'est pas plus difficile de placer ce ressort de la foi en Dieu, en la capacité de Jésus de sauver notre âme de la mort, que dans un projet qu'on forme nous-même ou dans la parole d'un homme (politique, philosophe, idéologue ou religieux).
Avec Dieu, on est même plus sûr de ne pas être trompé, de recevoir des effets positifs de cette démarche de confiance qu'est une vraie foi.
Pas besoin d'être religieux ou de le devenir ; c'est une question de lumière et de relation entre nous et lui.
* Alors, allez-vous prendre votre élan et faire le saut de la foi qui propulse notre âme jusque dans le Ciel divin ?
Comme le sportif prend ses marques pour se trouver en bonne position pour s'élever, pour assurer sa prestation, nous devons compter avec le chemin à parcourir jusqu'à arriver au pied de la barre et faire le saut qui peut tout changer.
* Regardez bien cette photo - pas truqyée du tout ! N'est-elle pas aussi une image excellente de ce qu'est LA FOI !? En fait un principe universel qui précède tous les autres, et peut s'appliquer à tout, dont bien sûr la recherche de vérités au sujet de Dieu !...
Pour vous aider à vous élancer dans votre premier saut - ou dans une tantative nouvelle -, cliquez sur le lien du guide de prière.
Devenez un vainqueur ! C'est possible pour tous, pour vous aussi, car Jésus a fait l'essentiel de notre établissement en bons termes avec Dieu et l'éternité. Il nous reste ç le croire, à chacun.
Soyez aidé-e dans cette démarche.
UN TAUX D'ABSENTION SIGNIFICATIF
Le bel idéal antique ressorti par "les lumières" (du XVIIIe siècle, pas les plus brillantes !)) a fini de séduire les citoyens français : le taux record d'abstention à ces élections du 20 Juin le dit.
Mieux que des arguments du moment (qui engagent aussi la responsabilité du pouvoir en place), voici un bref regard panoramique à la fois historique et prophétique de la démocratie.
De quoi comprendre, pour peu qu'on le veuille vraiment.
LA DÉMOCRATIE, UN MODÈLE UTOPIQUE ?... EN FIN DE VIE ?
Épisode 1 :
Rien qu'en parlant des années 2000, l'illusion du pouvoir (politique ou économique, ou encore moral ou éthique) par le peuple a été gravement sabrée par le Président Sarkozy en 2007. C'est l'année où il livra la France à une gouvernance politico-économique européen en signant le ttaité de Lisbonne alors que les français avaient majoritairement répondu NON à cette adhésion par référendum peu avant.
Dès cet instant, on savait que le glas était sonné de l'idée grecque ancienne, généreuse mais combien idéaliste.
C'était alors déjà comme une mise au lit.
Mais l'alitement laissait le concept Démocratie encore trop vivace pour qui ne se sentait pas encore ou refuser de se voir soudain si malade.
L'homme Sarkozy y perdit son panache, mais qu'à cela ne tienne ! le fil rouge visant à la concentration des pouvoirs sur le monde entre un minimum de mains ne manquerait pas pour autant d'un candidat de remplacement.
Et la voix démocratique se fit entendre sans surprise : Quand la droite s'est mal conduite, on passe à gauche, comme vice-versa !
Épisode 2 :
De fait, à l'image de sa politique, la France avait été (en Afrique du Sud 2010) lamentablement sortie de la Coupe du monde de ballon rond, on entrait avec un nouveau Président, dans un match France-Hollande où dès l'engagement, le pouvoir socialisme allait faire de la France... un pays-bas, en passant en force la loi dite "du mariage pour tous". Là encore la vox populi de la France profonde, radicale car ayant des racines, fut bafouée pour satisfaire une minorité militante opiniâtre.
La malade ne se relèverait pas ! Malgré des spasmes un peu comme dans les crises dépilepsie, les françaises et les français restèrent couchés, plus intéressés d'ailleurs globalement pour les jeux de lit que pour une virilité citoyenne.
Bien sûr le bialn fut catatrophique, le mal s'était creusé, et il ne restait plus qu'à plonger la grande souffrante dans un coma artificiel si un miracle de guérison ne se produisait pas ! (Mais comment ce miracle aurait-il pu avoir lieu puisqu'il aurait fallu - et suffi - que l'on revienne massivement du bouillon de culture laïco-athée à la foi des pères (la foi chrétienne qui avait fait, malgré les mécréants et les religieux hypocrites unis, dans tout l'Occident la preuve de ses capacités et potentialités humaines et techniques.
Épisode 3 :
On change de Président, mais pas de direction. La course vers la mondialisation est plus que jamais lancée, dont l'Europe - est-il cru notamment par la France et l'Allemagne - pourrait être la tête, le pivot, la tour de contrôle.
Pour ce faire, il faut finir de déconstruire la France, par les moyens les plus subtils comme les plus grossiers, le covid étant même trouvé comme un moyen opportun pour faire ranger les gilets jaunes et plus encore, pour tester la résistance ou la docilité par les injonctions multipliées d'un discoursvaccinal politico-pseudo-scientifique sans stabilité (qui tiennent de l'expérimentation animale - rien d'étonnant à ce que cela nous arrive si nous ne sommes que des animaux (dénaturés de plus) selon la croyance et doctrine évolutionnistes.
Mais tout n'a pas dépendu que de trois présidents. Depuis Les De Gaulle et Pompidou, l'accès de jeunes loups de la politique au pouvoir n'a cessé de conduire le pays de Charybde en Scylla.
OÙ EN SOMMES-NOUS le 21-6-21 ?
C'est une sorte d'apostasie à quoi nous venons d'assister ce dimanche, apostasie pour dire "abandon de la foi... en la démoceatie" par 2/3 des personnes pourvues de la responsabilité électorale du pays.
Un effondrement dont on ne se relève pas. Car il y a trop de raisons pour que l'idéal démocratique (révolutionnaire ou antique) ne soit pas un moyen validable de gouvernement. L'illusion a fait son temps. Dommage ! Mais c'était garder une bénédiction née des troubles du christianisme devenu pipé qui ne pouvait subsister longtemps : Quand on jette le bébé avec les eaux sales de ses bains, on se retrouve avec un vide, de Dieu, de sens, de bien, et tout est près à s'engouffrer dans un vode (c'est une loi pas seulement physique).
VERS UNE gOUVERNANCE QUI VA FINIR PAR FAIRE TRES MAL
Alors la suite, une fois que la démocratie a "jeté l'éponge" (ce qui signifie un abandon en boxe) ? Une fois que le corps sociétal paraisse comme on y arrive en phase de soins palliatifs ? Faut-il intuber pour redonner de l'oxygène (des arguments) en multipliant les tentatives de réveil ? Faire des massages (des messages) cardiaques (touchant au coeur) ?
La peur d'un sursaut du demi-mort tenaille ceux qui ballotent entre tout et rien ? Un sursaut nationaliste qui fait plus peur que d'autres montées sévères qu'on laisse faire !
Un peu de lucidité montre que les jeux sont faits, avec de toute façon des coalitions tous azimuts anti-lepéniste.
Surtout les jeux sont faits au plan plus général de la politque mondiale, dès lors que la France finit de se vendre par morceaux à des puissances extérieures sans rapport avec les racines chrétiennes et même seulement humanistes.
il suffit de regarder les yeux ouverts ce qui se passe derrière les rideaux de fer relativement baissés, pour voir comment l'ultra-libéralisme (avec ses lois de libertés liberticides) va basculer, s'inverser en contrôle et surveillance de plus en plus sophistiquées : ce sera cela le fruit le plus abouti du progrès de sciences sans conscience (sans Dieu) en matière de technologies (bio ou nano notamment).
LES VRAIES LIBERTÉS SOUS ÉTOUFFOIR
Rien qu'à mon minuscule niveau, mon blog dont la pensée n'est pas particulièrement celle de la pensée unique (qui appelle fakenews tout ce qui la contredit), est passé il y a quelques mois d'environ 3 000 visiteurs uniques par mois à 1200. Et ces dernières semaines, c'est autour de 500-600. Pourquoi ?
Parce que tout à coup, sans la moindre concertation possible, deux tiers de celles et ceux des quatre coins de la francophonie qui cherchent des lumières, de la compréhension, des vérités solides, ont décidé en même temps de ne plus s'intéresser aux sujets comme "la mort et après" ou les EMI/NDE ou les songes ou la prière ou les moyens d'aacès au Divin ? Et puis en une seconde vague, entre la moitié moins !?
Non, la réponse est que par des mots-clés tous les posts du net sont analysés et le référencement est changé pour que certains articles n'appaaraissent plus aussi facilement.
Ce n'est un secret pour personne, et le dernier bastion de vraies libertés qu'est la toile est en train d'être passer au peigne fait pour trouver les ADN qui ne collent pas avec le nouvel humain humanoïde que certains visent de mettre à leur propre disposition. (le dernier qui avait été envisagé, par Nietzsche, devait donné sous la botte de fer d'Hitler le sur-homme aryen (grand, blond, aux yeux bleus... comme le petit Fürher !?)*.
Une dictature, dure, va jaillir.
Elle se met en place en catimini, de manière encore sournoise, mais pour éclater au grand jour comme un volcan qu'on voyait fumer mais sans jamais croire qu'il allait sortir de son sommeil.
La Bible en parle depuis longtemps, et ce qui a été prophétisé arrive, de plus en plus évident...
il est même annoncé qu'un temps de paix exceptionnel va fleurir avant que tout ne s'embrase. Il ne duera pas plus de 1260 jours après un accord historique (il y a bien des chances que ce soit entre Israël et les nations arabes), est-il écrit.
N'oubliez pas, et cherchez dès maintenant : Il n'y a qu'en Christ, que par la foi mise en Jésus et en l'Esprit-Saint que des croyants seront gardés des pires calamités qui se prépaent et arriveront.
Je voudrais bien annoncer autre chose, mais c'est d'abord cela qu'il faut savoir et qui doit nous faire réagir.
Ensuite, c'est sûr qu'un avenir radieux suivra les événements rapides et un peu plus lointains qui viennent.
L'essentiel est écrit dans n'importe quelle Bible ! Lisez, cherchez Dieu, avant que ce livre même devienne interdit ! Car les autorités du mal à l'ouvre pour prendre le contrôle du monde, ne veulent pas tolérer et ne toléreront bintot plus - ce qui est bien commencé - ce qui n'est pas cp,forme au discours de la bien-pensance mondialiste et mondialisante.
Lisez la Bible pour mieux savoir comment trouver la paix intérieure dans les temps troublés. Lisez même éventuellement les livres dits de fiction mais en réalité très prophétiques dans le versant sombre : "1984" et "Le meilleur des mondes".
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* Les hommes comme Satan ne pouvant rien créer de vraiment original, la notion de sur-homme n'est qu'une tentative (plusieurs fois mis en oeuvre) et une imitation d'une vérité essentielle que Jésus a été le nouvel homme de Dieu (appelé dans la Bible le second ou dernier Adma), venu à la fois réduire les forces du mal (avec aussi la foi exercée par ceux qui croiraient en lui) et communiquer de sa vie - éternelle - à quiconque croirait en lui et en sa mort rédemptrice. Et cela se passe depuis 2 000 ans, pas trop visiblement, mais cela va devenir (très vite maintenant) éclatant comme un Big bang ou bouquet final... Lisez la Bible !
A l'origine des merveilles de la terre et du ciel,
Sagesse ou hasards ? La réponse ne peut pas être ailleurs...
Pas sûr du tout que tout ce qu'on peut entendre sur les grands médias soit ce qui peut nous communiquer une sagesse pratique !
Une sagesse que la complexité et les complications de notre monde en perte de repères nous attire à rechercher.
Il y en a pour tous les âges : > Cliquez ici <
La vie à deux - où l'on partage un même lit - est un cas d'école passionnant !
Passionnant en ce qu'il s'agit dans ce cas d'école, d'une situation où ce qui est passion et donc possiblement passionnel en nous, joue au maximum.
MAIS QU'EST-CE QUE LA PASSION ?
"Ce qui est passionnel" signifie ce qui dépasse l'entendement ordinaire (qu'on appelle la raison ou l'intellect, voire le mental ou la volonté).
La réalité de ce qui est passionnel s'impose parfois, voire souvent, à notre maitrise courante (de nos humeurs, réactions, pulsions ou compréhension).
Ainsi, dans la vie à deux, dans la vie en couple, la passion offre toute sa palette de sentiments et d'émotions confondus, qui va de l'amour le plus tendre et chaleureux à la haine la plus froide et dure.
Dit autrement, du don de soi jusqu'à mourir pour l'autre - de plus en plus rare - à l'emprise ou appropriation de l'autre jusqu'à le ou la tuer - ce qu'on voit de plus en plus paraître.
Qu'on ne se raconte pas des histoires : La vie à deux nous place sur ce terrain du jeu des relations, magnifique certes, mais dont aucune des deux extrêmes ne peut être a priori exclue. Donc la pire comprise.
VERS DES DURCISSEMENTS DANS LES RELATIONS
L'univers humain bizounours s'achève ! Il n'y aura pas de reprise significative de 'ancienne normalité. Après un pétard de liberté(s) et de fêtes retrouvées, on risque d'être pris dans une autre pandémie (possiblement des connexions informatiques dégradées) - parce qu'on n'a rien compris à l'affaire de la vie, de l'existence, de la souffrance, et de la mort.
C'est pourquoi je préfère écrire sévère, plutôt ferme et réaliste qu'utopique, illusoire, style "tout le monde il est beau et gentil", "On ira tous au Paradis" ou encore "amour inconditionnel de Dieu"..
Il suffit d'entendre les infos que rapportent régulièrement les médias pour se persuader que lorsque notre affect est mobilisé, lorsque notre volet sentimental s'ouvre et plus encore lorsque notre sexualité est mise dans la balance des rapports humains, pour être convaincu (si on peut ou veut bien avoir cette intelligence) que nous ne sommes pas si facilement - personne ! - maître du jeu des relations humaines.
Donc à l'abri de débordements incontrôlés graves, qu'ils proviennent d'une réaction totalement impulsive "plus forte que nous", ou d'une réflexion mûrie, induite bien sûr par quelque démon trompeur et destructeur dont on s'est mis à entrer dans quelque pratique maligne (occulte, surnaturelle non sécurisée) ou à écouter des pensées perverses...
Et le mal extrême, à commencer par des violences verbales et/ou des coups, vient aussi parce que se mettre à vivre à deux, à partager son intimité avec un(e) autre, c'est se donner - ce qui est une réalité extrême... dont on ferait mieux de bien prendre la mesure avant de (commencer à) s'engager.
APPRENDRE À VOIR PLUS LUCIDEMENT
Passionnant donc aussi en ce qu'il s'agit d'une situation d'obervation possible (pour les protagonistes comme pour des tiers).
Bien sûr c'est quand on est déjà entré - au moins une fois - dans ce laboratoire d'expériences qu'est la formation d'un couple (qui peut devenir un terrible laboratoire expérimental), qu'on peut le mieux devenir attentif à ce qui se passe, et vers où l'on va.
Car dans tous les cas ce type de relation est par nature "métastable", c'est-à-dire jamais assuré de tenir longtemps ou de casser vite.*
Quand donc nous réalisons (déjà un peu) dans quelle situation et position insécures, voire dangereuses, nous sommes déjà par le fait individuel de vivre, et plus encore quand nous vivons une unité d'existence à deux, ne devons-nous pas chercher un nouvel élément actif positif, fort, transcendant, pour que nous ne sombrions pas d'une manière ou d'une autre ?
LE SECOURS LE PLUS PERTINENT
Quel coach, quel psy, quel humain peut être à la hauteur pour prévenir ET garder de comportements à risques - de soi-même et des autres - ? Qui est suffisamment fort et parfait pour savoir anticiper et résoudre nos problématiques relationnelles (qui se dégradent sans cesse sous l'effet entropique généralisé notamment d'une civilisation laïco-athée qui s'est mise par ses options d'existence prématurèment à l'agonie ?
C'est là que nous avons peut-être (si ce n'est fait) à découvrir que Dieu, notamment avec la personne ressuscitée de Jésus, existe réellement, et qu'il est pour nous le moyen (comme il est aussi origine et fin) de stabiliser notre existence, et encore de l'assurer au delà du terme incarné de notre périple.
Car nous sommes là comme une embarcation soumise aux plaisirs mais aussi aux dangers d'un océan immense et profond, et comment, sans Dieu dans notre barque, pouvons-nous parvenir au port dans lequel il est possible de se réfugier (et de se reposer) lorsque quelque tempête vient à nous rejoindre et tente de nous submerger ?
Port qui sera aussi notre entrée (bien vivant, vivifié même par l'Esprit divin raccordé à nous) dans l'éternité du Bien divin.
Voilà déjà du bien réel que Dieu peut nous offrir, immédiatement.lors de la fin de ce pèlerinage terrestre, sinon où l'âme que nous sommes(plus que notre corps physique) va-t-elle poursuivre seule sa course de conscience ?... (ce blog répond en plusieurs endroits à cette question fondamentale - parcourir les rubriques du côté droit, avec notamment la page Prière-guide).
Bonne suite de vie.
_________________
* De manière intéressante pour qui a de la connaissance scientifique, la vie de couple se fait ainsi à l'image (on peut dire sous les mêmes lois que celles) de l'univers tout entier au plan de la physique des particules, savoir dans une configuration qui dépend de deux paramètres - pour l'univers il s'agit de la réalité du Quark top et de son énergie, et du Boson de Higgs et de sa masse.
Pareillement en chacun de nous, on peut voir nos instabilités (dans le champ d'une métastabilité générale) comme dépendant de deux facteurs - qui en nous sont de l'ordre psychique et moral - qu'on peut appeler (avant de mieux les définir) Bien et Mal... dont résulte des comportements qui vont de la dépression borderline à l'orgueil mégalomane, deux extrêmes qui approchent pareillement de la mort.
Les EMI ou NDE ne se rapportent pas à l'univers céleste matériel, mais se produisent dans des cieux d'une autre nature, car entièrement de l'ordre psychique et spirituel.
Dans la mesure où ce type d'expériences de mort imminente - ou plus justement de mort dépassée ou de vie post mortem - a été catégorisé dans l'article précédent; avec le sommeil, comme une "petite mort", il convient ici d'approfondir ce qui concerne, si ce n'est le contenu des expériences (dont chacun peut prendre largement connaissance sur le net), en tous cas ce qui en est dit après le retour d'expérience.
NE PAS AMALGAMER L’EXPÉRIENCE ET LA CONCLUSION QU'ON PEUT EN TIRER
Suite à l'audition ou à l'audio-vision de vidéos sur une ou des EMI ou NDE, on doit toujours distinguer deux choses :
1 - le rapport objectif des faits : globalement il est significatif de deux "lieux" (sphères, espaces typiquement psychique et spirituel), qui correspondent parfaitement à ce qui est connu depuis l'antiquité et qu'on appelle communément - sans suffisamment de précisions - le paradis et l'ender ;
- L'interprétation subjective de l'expérience qui se fait essentiellement à partir de la connaissance que les personnes ont acquis avant cet événement. Ce qui est toujours une connaissance partielle, avec ses préjugés.
> C'est le cas où l'opinion préalable est complétement inexistante sur le sujet (cas de personnes jusque-là athée par exemple).
> La connaissance antérieure peut aussi comprendre une vue spiritualiste erronée, l'expérience étant alors donnée pour redresser la vue non conforme au Réel.
> l'expérience peut aussi venir conforter une croyance à peu près exacte, la confirmant, complétant, scellant (comme Dieu le fait d'une manière ou d'une autre) dans sa vérité.
D'UNE EXPÉRIENCE AVÉRÉE A SA TRANSMISSION... ALÉATOIRE
De cet état de fait des acquis subjectifs de chacun, justes ou erronés rn tout ou partie, des expérimenteurs, on se trouve rapidement face à deux risques de dommage, pouvant suivre un retour de EMI :
- Du fait que des extrapolations, des déviations dans la conclusion tirée de ce vécu d'un autre ordre, peuvent déformer le rapport qui en est fait, dans sa conclusion notamment ;
Cela vient du fait que les personnes revenues d'une EMI ne cherchent le plus souvent pas ce qu'on peut savoir par ailleurs (et depuis longtemps) sur la question, et notamment les "vérités", précises, significatives, réellement instructives sur le sujet. On en parle sans savoir assez ce qui est pertinent à dire au delà de l'expérience qui a été a) toute personnelle, et b) unique.
Cela permet bien évidemment d'en témoigner - c'est une des raisons du retour -, mais cela être nourri par une quête de sens de l'expérience, et de l'après mort en général.
- En second, l'expérimenteur qui revient d'une EMI déduit très souvent de manière totalement naturelle (à notre constitution psychique abîmée) mais non pertinente, que ce qu'il a vécu est ce qui attend tout le monde après la mort.
Ce qui est une extrapolation trompeuse, des plus dangereuses.
- Ceux qui reviennent qu'un tel "voyage" dans des zones infernales, ont moins tendance à dire cela - ce qui se comprend parfaitement, leur souci devant surtout être personnel, de savoir comment remédier à ce qui leur est ainsi montré.
De là déjà, on peut réfléchir que l'expérience n'est pas un jugement arrêté, ce qui va arriver de manière absolue au moment de la mort plus définitive.
C'est un vrai jugement qui est tombé, mais aussi seulement une image de où nous conduit la trajectoire de vie qu'on s'est mise à suivre depuis un certain temps. C'est là un avertissement solennel de la part du Divin.
- D'autres sont portés, en tant qu'âmes conscientes, libérées des contraintes charnelles, dans quelque espace paradisiaque régi par le Divin, selon qu'"Il y a de très nombreuses demeures dans la maison du Père (ou Royaume de Dieu)", enseigne Jésus - évangile de Jean ch. 14.1.
Pour ceux-là, généralement, la conclusion est que là où ils ont été, est une réalité merveilleuse, qui baigne dans un amour inouï, où ils retourneront au moment de quitter plus définitivement la terre, et où tout le monde ira, comme de plein droit.
Ce qui est pour l'essentiel en contradiction avec la pensée et les vérités de l’Évangile - Et on sait (ou on devrait savoir) que même une demi-vérité peut avoir des effets aussi néfastes qu'un mensonge évident.
ATTENTION AUX CONCLUSIONS HÂTIVES INFONDÉES, ET DANGEREUSES
Car "le salut" des âmes, qui est notre réconciliation et entrée éternelle en Dieu, n'est pas un automatisme pour tous.
Sinon, ce serait
a) une négation de l'essentiel qu'est un libre-arbitre ou liberté réelle de choix ! Si nous n'avons pas eu le choix de notre naissance, Dieu a fait les choses de manière à ce qu'on ait un choix essentiel, celui de choisir si nous voulons de ma possibilité de vivre éternellement avec lui, dans son giron, dans son univers, ou pas.
Dieu ne s'imposera jamais à personne de manière éternelle et sans retour.
b) une négation de la foi personnelle comme moyen de ce salut ou rédemption ou ré-harmonisation avec Dieu. Une telle vue détruit le fondement de l'alliance proposée par Dieu par la médiation de Jésus qui, sauf preuve du contraire, est la seule qui permet le pardon de nos fautes sans bafouer la justice divine.
Penser ainsi - On ira tous au Paradis ! - est une aberration de vue grave de la part de quelqu'un qui a vécu une EMI. Car on oublie alors qu'avant de vivre cette expérience dans sa forme qui nous révèle un Dieu d'amour, on a été victime d'un jugement sévère à très sévère, qui a été une expression de la justice de Dieu. Car celle-ci doit s'exercer en sanction de comportements récurrents mauvais qu'on n'a changés même après des alertes ou avertissement (voir mon propre accident en page Accueil).
L'AMOUR DE DIEU NE PEUT ÊTRE INCONDITIONNEL !
Ainsi, il est aberrant de séparer l'amour de Dieu de sa justice !**** C'estde la sorte une erreur grave de parler sans discernement de "l'amour inconditionnel de Dieu".
C'est confondre - et semer la confusion - par un amalgame trompeur de deux vérités :
- la 1ère est qu'effectivement, en lui-même, Dieu est amour. C'est son essence, sa nature, et cela s'expérimente dans sa sphère céleste où règne en maître souverain son amour.
On peut aussi expérimenter certaines degrés de cet amour en étant dans ce corps mortel, quand il décide de nous visiter (occasionnellement, ce que je connais par expériences).
C'est là l'amour qu'est Dieu, sans condition bien sûr vis-à-vis de lui-même, et de tout ce qui vit (des myriades d'anges) près ou loin de lui, en respect et en fidélité dans les ordres et organisations ouvertes qui fondent tout ce qui est divin.
Mais un ange vient-il à sortir des lois-cadres des créations, et d'un coup il sort de l'amour de Dieu, du bien, de la lumière, du beau, sombrant dans tout ce qui n'est pas Dieu.
C'est un jugement sur un mauvais usage de la liberté, usage présomptueux, orgueilleux, motivé par une faute de subjectivité qui veut élever au-dessus de règles infra-structurantes inviolables sans conséquences... ce qui devrait nous amener à mieux réflméchir quand on provoque ou adhère à des réformes législatives qui touchent aux bases des créations de Dieu...
En amont de l'humaine humaine, la Bible nous dit que cela est arrivé, chez les anges et dans notre humanité, ce qui est la cause première de la condition humaine telle que nous la vivons, la subissons, en souffrons...
Ainsi, nous sommes dans la preuve que la vie des créations de Dieu est parfaitement libre,mais d'une liberté qui peut se perdre par une sortie intempestive des conditions générales de vie (On parle souvent de nos jours de ce genre de liberté liberticide). ;
- La seconde chose, est que sur la terre, nous vivons tous dans la sortie dramatique, la séparation effective d'avec Dieu, d'avec le bien qu'est sa présence, et son amour donc. D'où le mot exister, de la même racine qu'exil, exit en anglais.
Si l'amour de Dieu était inconditionnel sur la terre, pourquoi en serions-nous séparés ? Pourquoi ne le ressentirions-nous que lorsque qu'un jugement sévère nous atteint - c'est-à-dire comme une grâce exceptionnelle, comme une compensation qui vient nous permettre de sortir du schéma de compréhension (du conditionnement psychologique) qui dit seulement deux choses (fausses) :
- Soit il y a pas de Dieu, tout est hasard, absurde, sans causalité (hérésie de l'incrédulité, agnostique ou athée) ;
- Soit Dieu existe mais ce n'est qu'un père fouettard, qui semble bien se plaire à nous faire mal, à nous blesser ou tuer même. Ce qui est une confusion grave entre les personnes du Dieu véritable, "le bon Dieu", et celle du Méchant, le faux dieu de notre monde, cet ange sorti de son rang et s'ayant acquis par la ruse un droit souverain sur le genre humain). Lire le récit du chap. 3 du livre de la Genèse qui explique mieux que tout la terrible origine qui fait toute l’ambiguïté de la condition de notre humanité.
- Et donc, il nous reste à voir selon une troisième voie, médiane, qui dit que Dieu est amour et justice et sainteté, et que la seule conciliation possible de sa justice - qui doit sanctionner les fautes, sans quoi ce n'est plus de la justice - et son amour (qu'il veut que nous connaissions et dont il veut nous remplir) a dû passer par la crucifixion de Jésus - seul moyen - CONDITION absolument nécessaire ! - par laquelle nous puissions recevoir le pardon de nos fautes qui nous rend pur, saint, comme Dieu est saint.
Que le Dieu véritable vous rencontre dans cette approche des vérités essentielles.
____________
**** L'amour de Dieu sans sa justice est une séduction trompeuse, tout comme considérer la justice de Dieu sans son amour, est un légalisme meurtrier.
Que vous croyez en un homme-singe sorti de nulle part par hasard et ayant évolué,
ou en Adam et Eve créés par un Dieu intelligent, dans tous les cas, vous ne faites que CROIRE.
Mais de croire, l'important est de passer à SAVOIR...
ARGUMENT SCIENTIFIQUE : A CHACUN DE NOUS D'Y RÉFLÉCHIR ET DE VÉRIFIER
Partant des faits observables, je suis arrivé à la conclusion - et chacun peut le faire -que la croyance est le moteur numéro 1 de notre existence, comme de tout ce qui vit.
Il ne s'agit donc pas - plus - de réduire le concept de croyance, sans réflexion, par préjugé, à la religion.
Car la croyance apparaît nettement à l'étude du vivant, principalement comme un moteur des mouvements de tout ce qui se bouge.
C'est une disposition, et même une prédisposition, dynamique qu'on peut aussi appeler la foi.
Jugez-en vous-même :
Un enfant d'un an, debout sur ses jambes, se lance à marcher, lâchant pour la première foi, les mains qui le tiennent.
Il n'est bien sûr pas conscient de ce qu'il fait, mais il le fait, et c'est un pas de foi.
Voilà des oisillons au bord d'un nid, le père ou la mère voletant, voire les poussant, pour qu'ils prennent leur envol pour la première foi ! Un moment arrive où les parents "savent" - par quelque préscience qui tient aussi de la foi - que c'est le moment pour leurs petits de sortir du nid en se lançant dans le vide.
On continue dans on apprend à faire du vélo, à nager, à conduire une voiture, à monter en avion ou une entreprise, quand on décide de sarier...
Voyez-vous que tout se fait par une dynamique incluse en nous, qui est un vrai moteur primordial de ce qui a vie, qu'on ne peut qu'appeler croyance ou foi, que définir par le verbe d'action CROIRE !
Cela va bien au delà du mimétisme, qu'on peut évoquer comme un mode d'acquisition de certaines connaissances ou comportements certes, mais qui n'exclut jamais la foi, qui est le pas de faire soi-même ce qu'on voit faire....
Ainsi sommes-nous tous croyants, des croyants qui s'ignorent pendant longtemps, ne vivant pour bouger que par le bénéfique de ce déterminisme premier qui est une organisation dynamique incluse (plus explicitement qu'ailleurs) dans le vivant,un système - la croyance ou la foi - mise en nous... Par qui ?
LE HASARD, CRÉATEUR DE CE MOTEUR !?
Par qui, si ce n'est un Créateur - qui lui-même a agi avec foi chaque fois qu'il y a pensé à une création, et qu'il l'a réalisée passant de la conception (de la pensée) à la concrétisation (les forces et la matière formant l'univers).
Rien que cette observation des plus objectives de la vie comme elle apparait quand on y réfléchit avec attention, en dehors de tout préjugé athée, permet de s'émanciper de la théorie matérialiste évolutionniste qui ne prête à la vie que des mouvements évolutifs hasardeux, non programmés d'avance, ce qui ne reflète qu'une très faible partie de ce qu'on peut comprendre et de tout ce qu'est l'univers.
Seuls l'inobservation, le manque de sérieux ou d'intérêt pour la vérité, voire le déni initié par une position matérialiste jamais contestée, peut laisser au(x) hasard(s) la paternité des organisations célestes et terrestres en corps séparés mis en relation et en forces gigantesques.
Et cela - a du admettre la communauté sceintifique - depuis un commencement - dénommé Big bang - survenu pourquoi, décidé par qui, par quoi ? - et déployé jusqu'à la vie, jusqu'à nous, c'est-à-dire jusqu'à l'intelligence incluse dans la matière, et la pensée autonome...
Aujourd'hui nous savons que tout ce qui existe de visible ou même invisible, de matière ou d'énergies plus subtiles, est essentiellement de l'information.
Et qui dit information, dit organisation, ordre, programme, prédisposition orientée vers des mouvements cohérents et des fonctions qui ont du sens, qui sont des expressions d'intelligence(s), multiple(s), différenciée(s), forccément primordiale(s), cause première, visant des objectifs déterminés, utiles, accessoirement beaux, comme respirer, manger, dormir, éliminer, se reproduire... autant de actions qui réclament de plus du discernement (Qu'est-ce qui est bon et mauvais à manger ?...), des attirances, des accointances, des complémentarités préétablies, comme il se trouve aussi des répulsions, des aversions, des inimitiés...
Et donc les actions du vivant, comme les mouvements automatisés de l'univers, sont d'abord mues par une dynamique, un dispositif actif, un programme originel aux applications multiples, dont seuls le mot foi et le verbe croire peuvent dire au mieux de quoi il s'agit.
DES PRÉDISPOSITIONS (INNÉISME) A DES EXTENSIONS CONSCIENTES (EMPIRISME)
Une définition de la foi est la suivante : "La foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas."
Et c'est ce que nous faisons, sans nous en rendre compte, parce que cette manière de bouger, d'avancer, de passer d'une chose ou d'une situation connue à une chose ou situation inconnue, est là, active par elle-même en son temps (programmée donc), et encore, plus largement et progressivement, s'ouvrant à la disposition de notre volonté : on peut choisir de manifester de la foi... Et on ne fait quasiment que cela !
Car, au delà de cette disposition déterminée qui précède... tout, il y a la possibilité supplémentaire que nous prenions conscience de cette capacité, au point d'en déclencher nous-même en conscience des mouvements, des applications, des actions.
De la sorte, dès qu'il y a une part de risque dans un mouvement, dans ce qui est visé, c'est de la foi que nous manifestons.
Foi pour décider d'avoir un ou des enfants, pour faire et envoyer un CV, pour se lancer dans une recherche scientifique, pour manger les aliments qui sont chaque jour sur notre table ! Et oui, même manger ce sur quoi nous n'avons aucun moyen effectif de vérifier s'ils sont sains ou toxiques, c'est avoir la foi.
Spécifiquement chez nous, humains, la foi tend donc, par sa nature et son organisation intelligente, à (faire) entrer en conscience dans des champs inconnus, à nous ouvrir des horizons dans le faire et dans la compréhension, dans le sens des choses et des relations, etc...
Ainsi va-t-on d'émerveillement en émerveillement par le jeu de ce principe appliqué à certains domaines... comme aussi on peut se casser les dents, s'accidenter le corps, les biens ou l'âme, en ayant mal calculé notre saut dans le vide. Toujours la notion de risque, que nous devons apprendre à calculer avec nos autres capacités, de la connaissance, de la réflexion, des craintes justifiées, la prudence, la maîtrise de soi...
Ainsi est le challenge de notre existence, qu'on peut vivre rikiki, replier sur nous-même, dans la peur de perdre ce qu'on a, ou nous ouvrant sur le don, le partage,l'exploration du Réel, la recherche de nouvelles vérités, avec le risque de se planter ou de (se) faire du bien sans effets secondaires néfastes.
Sortir de nos limites naturelles ou artificieuses (culturelle, idéologique, religieuse, familiale...), lâcher des zones de confort, de connu, pour entrer dans plus de sens... jusqu'à découvrir, savoir, qu'il y a bien un Créateur, et qu'on peut se connaître lui et nous !
Car dans une quête véritable de sens, il est évident que la question de la foi, en Dieu, apparaît.
Le croyons-nous déjà par éducation familiale ? Ou croyons-nous qu'il n'y a pas de Dieu par éducation sociétale, par l'école et les médias, notamment dans notre occident devenu subreptisement athée ?
Dans tous les cas, on ne sait pas au départ, mais on se met à croire et à nous comporter en fonction de ce qu'on nous dit, ce qu'on voit et entend.
Et à partir de là, exactement comme dans une recherche scientifique ou un développement économique, commercial, etc.., on va pouvoir découvrir la pertinence de cce qu'on aura cru... jusqu'à savoir si Dieu existe réellement. Pour le savoir, je puis vous assurer qu'il nous est possible de savoir, ce qui est bien plus que de croire.
AVANCER EN AVEUGLE OU EN VOYANT
On se marie ou se mit en couple, et c'est le divorce brutal, douloureux, au bout de 6 mois ! On investit pour monter une boîte ou un commerce à son compte, et au bout de deux ans, l'investissement se perd car l'affaire s'évère non viable.
On a pu faire une étude des compatibilités de caractères, ou une étude de marché, rien dans ce monde ne peut garantir d'un succès à l'avance, et surtout de ce que cela va durer. C'est ainsi - loi d'imprévisibilité de E. Lore,z notamment.
Et la vérité que nous avons à rejoindre, c'est que Dieu seul sait tout d'avance, et peut nous aider à cheminer dans la foi, en évitant des écueils cuisants.
Et quelqu'un s'est peut-être mis à croire qu'il ya un Dieu selon ce qu'il a entendu de tel ou telle croyant-e ou religion, et ça ne marche pas : on ne sent rien de réel de la part de Dieu, on se trouve pris dans un système où on fait semblant plus qu'on ne montre vrai, on se sent coincé et obligé, etc...
A l'inverse, on a cru bon de ne rien croire de ce qu'il y ait un Dieu ; on a fait son chemin sans cette dimension d'une spiritualité, et les échecs, les baffes, les accidents s'accumulent et nous submergent ; on déprime, on ne trouve plus de sens et de goût à rien, on pense au suicide, on est mal et plus rien ne suffit pour nous sortir de ce malaise.
CHOISIR DE CHERCHER LE VRAI POUR NE PLUS SUBIR CE QUI EST FAUX
Dans tous ces cas, ce qu'on a cru être juste s'avère... faux ou vrai. Une fausse piste, une croyance mal placée peut commencer par un temps d'euphorie (comme il y en a souvent en quelque nouveauté). Mais bientôt, une nouvelle, un choc, un coup d'arrêt ou une grande insatisfaction vient nous dire qu'en fait c'est un mauvais chemin pour nous, une voie sans issue, une erreur, une illusion qui se dévoile. On a perdu l'enthousiasme et la paix, peut-être le sommeil ou le goût de manger... La ou les raisons d'être et de continuer disparaisent, que ce soit dans une relation, dans un boulot, dans une religion, dans un mouvement politique ou quelqu'autre cause que ce soit.
La maladie même peut-être est là pour nous "aider" à voir que quelque chose ne marche pas... parce qu'on a cru en quelque chose de faux, ou de la mauvaise manière.
Et c'est là que, à bout de ressources naturelles ou d'expédients, de tentatives, de déconvenues ou d'un lâcher-prise forcé, une lumière nouvelle peut encore arriver : Il y a un Dieu, et on peut le connaître, expérimenter sa réalité, en direct, sans religion, sans système, sans pratique obligée, sans rituel... juste en capitulant devant lui, par et dans la foi qu'il est là, même si on ne ressent encore rien, et qu'il peut, lui comme personne, faire quelque chosede bien, de bon, de solide, pour nous.
Il ne reste plus qu'à faire ce pas supérieur à tous les autres, de la foi, à activer ici dans la direction la plus haute, la plus déterminante de toute notre réalité et présence ici à ce moment-là : la foi en Dieu.
Il suffit de commencer à croire qu'il existe vraimen (ou peut-être, car à ce stade rien ne peut encore être certain).
Croire qu'il nous voit, compatit à la situation ou l'état dans lequel on s'est mis. Il nous voit humilié-e, misèrable, en réel besoin. On touche au côté positif des erreurs, des fautes, des égarements : un abaissement qui permet de croire que Dieu peut quelque chose pour moi. Une attitude de vérité, d'authenticité qui permet à Dieu de nous voir dans la vérité admise de ce qu'on est : des créatures séparées de notre Créateur, des enfants sans père - sans le Père du Ciel, voire sans la mère qu'il peut devenir pour nous par le côté féminin de son Esprit.
Dieu voit alors votre démarche, et va y répondre.
Il y répond parfois dans l'instant, nous donnant d'avoir une perception inouïe de sa présence, d'une délivrance, d'une chaleur surnaturelle, d'une joie, de pleurs qui font du bien... Et parfois c'est plus tard que nous allons nous apercevoir qu'il a répondu... Dans tous les cas croyez, et vous verrez.
Car Dieu, comme toutes les autres réalités de l'univers, se découvre à ceux qui cherchent, qui veulent savoir, de tout leur coeur, comme du plus profond de leur détresse, ou d'un vide accidentel qu'il a soudain envie de combler - Diverses situations qui lui permette de nous approcher, de se faire entendre comme un Dieu vivant qui a compassion de nous, pour nous pardonner, et nous donner un tout nouveau départ d'existence et de vie avec lui.
C'est tout le bien que je souhaite, et pour quoi je prie, pour toi qui a lu jusqu'ici. Que Dieu fasse luire sur toi sa face, révèle sa réalité merveilleuse et bienveillnte, sa réalité et son amour pour toi, de la manière qu'il jugera la meilleure.
Quand notre existence est cassée, comme morte,
on a besoin d'un secours surnaturel,
que seul Dieu peut nous accorder...
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Ne remettons pas à demain, car demain ne nous appartient pas !...
Neymar : Il a marqué un nouveau but,
mais qu'est-ce qu'il fait ?...
Les songes* nous donnent de voir des réalités qui nous sont ordinairement voilées.
En voici un des plus intéressants.
« J'ai rêvé que j'étais au paradis et un ange me faisait visiter les lieux.
Nous marchions côte à côte dans une grande salle de travail où s' activaient beaucoup d'anges.
l'ange qui me guidait s'arrêta au 1er département dit celui de la réception. Il me dit que c'est ici que sont reçues toutes les requêtes faites à Dieu en prières. Je regardais tout autour et les anges étaient très affairés, sortant, de volumineux classeurs, des requêtes écrites, venant du monde entier.
Nous longeâmes un long couloir avant d'atteindre le second département. Et l'ange me dit, ici, c'est le département d'emballage et de livraison. Ici, sont traitées les grâces et les bénédictions demandées par les Hommes, ensuite, elles leur sont livrées. Je remarquais aussi que les anges étaient très très affairés à cet endroit et cela à cause des milliers de requêtes de bénédictions à emballer et livrer sur terre.
Finalement, plus loin à la fin du couloir, nous nous arrêtâmes à la porte d'une toute petite salle, et à ma grande surprise un seul ange y était assis, n'ayant pratiquement rien à faire. Mon ange guide était gêné de me dire qu'ici, c'est le département de "la Reconnaissance".
Je lui demandais comment se faisait-il qu'il n'y ait rien à faire?
Tout triste, l'ange soupira et me dit qu'une fois que les Hommes reçoivent les bénédictions qu'ils demandent au Père, très peu , Lui en sont reconnaissants.
Je lui demandais comment pouvons-nousêtre reconnaissants envers Dieu pour ses bénédictions?
C'est très simple, me répondit l'ange, il suffit juste de dire < Merci Seigneur>.
Je lui demandais ensuite, pour quelles bénédictions, les Hommes doivent-ils être reconnaissants envers Dieu?
Si tu as de quoi manger dans ton réfrigérateur, des vêtements sur toi, un toit au-dessus de ta tête, une place pour te coucher, tu es donc plus riche que 75% d'Humains sur terre.
Si tu as de l'argent dans ton compte bancaire, dans ton porte-monnaie et un surplus pour t'abonner aux chaines de tv câblées, tu es parmi les 8% des riches de ce monde. Et si tu as reçu ce mail, sur ton ordinateur, tu fais partie du 1% d'hommes et femmes de ce monde qui ont eu cette opportunité.
Si, ce matin, tu t'es levé en bonne santé, tu es plus béni que ceux qui sont malades et certains même ne survivront pas à la fin de la journée.
Si tu n'as jamais expérimenté la peur dans la bataille, la solitude de l'emprisonnement, l'agonie de la torture, la souffrance de la famine, tu es donc, aux premières lignes des 700 millions de personnes de ce monde.
Si tu peux tranquillement te rendre à l'église sans aucune crainte, d'être embêté, arrêté, torturé ou tué, tu es donc envié par, et plus béni que, 3 milliards de personnes de ce monde.
Si tes parents sont vivants et encore mariés, tu fais parti de ceux qui sont rares dans ce monde.
Si tu peux tenir ta tête haute et sourire au monde, tu es hors norme, tu es unique par rapport à ceux qui sont dans le doute et désespérés.
Ok ! Qu'est ce qui suit? par quoi commencer?
Si tu peux lire ce message, c'est que tu es doublement béni, parce que quelqu'un a pensé que tu es très spécial, et que tu es plus béni que plus de 2 milliards de personnes sur terre qui ne savent pas lire du tout.
Passe une très bonne journée, compte tes bénédictions, et si cela te plaît transfère ce maessage aux autres, afin que tous, nous réalisions combien nous sommes bénis. »
A L'ATTENTION DU DEPARTEMENT DE LA RECONNAISANCE
Merci Seigneur pour la grâce que tu m’as fais d’avoir reçu ce message, afin que je me recentre aussi sur la reconnaissance.
Pardonne-moi la dureté de cœur, et tous mes autres péchés…
Change mon cœur Seigneur Dieu vivant que je connais (encore) si mal, afin que je puisse vivre dans une relation apaisée et continue avec Dieu.
Merci de me révéler comment (toujours mieux) me positionner vis-à-vis de Toi, et des autres mes semblables, de ce qui est juste et bien et bon.
Ici Vidéo > LA FOURMI BLEUE - nouvelle extraite de CHANGER POUR LE MEILLEUR - 136 pages poétisées réunissant raison et foi, science et spiritualité, connaissance de soi et actualité (sombre)... et solution à notre mal-être, non-sens, questionnement...
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.