Quand Jésus dit:
Je suis la porte,
Voyons-nous à quoi il est en train de penser ?
Pour mieux voir, mieux entendu,
il peut être très bon
de tirer notre porte sur nous, de
RESTER CHEZ SOI, RENTRER EN SOI
Pascal a écrit sur la misère de l’homme sans Dieu qui a une peur panique de se retrouver face à lui-même, sans divertissement:
« Tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre ».
Rentrer en soi c'est descendre dans une profondeur de soit où se trouve (entre autre) la réflexion, le dépassement possible des préjugés... genre - Moi je crois qu'à c'que je vois, clament plusieurs !
C'est faux ! Réfléchis donc un peu.
Est-il possible de croire sans voir ? Oui bien sûr !
Avez-vous besoin qu'on vous prouve que confinés ou pas, tout le monde chaque jour croit sans voir ?
Exemple : Avez-vous déjà vu une pensée ?
Certainement oui, comme tout le monde, car bien qu'elles soient invisibles, les pensées se voient.
Ou une idée, que vos yeux n'ont pas vue, qui soudain vous met en marche pour faire quelque chose ?
Concernant Dieu, c'est exactement le même processus.
On peut le voir (et pas seulement "en esprit") ou l'entendre (avec ou sans nos oreilles). Comprenez-vous ?
Soyons logique, pratique (pragmatique) même. Le temps est à rentrer en soi.
Comment connaissez-vous les pensées par exemple de Michel Houellebecq ou de Guillaume Musso (écrivains), et plus précisément ce que ce dernier pensait en 2015 et 2016 ?
La réponse est simple : En lisant "Central Park" (publié en septembre 2015) et son roman "Et après" (publié en janvier 2017). Je ne dis pas cela pour que vous les lisiez (je n'ai jamais lu Musso et une seule fois Houellebecq), mais simplement comme exemple.
DE LA PENSÉE A UNE CONCRÉTISATION
Je dis que les écrivains (comme les musiciens avec des notes traçées sur des partitions...) concrétisent, matérialisent, mutent littéralement leurs pensées en écrivant.
L'écriture est un des moyens pour rendre visible (lisible et compréhensible) une pensée, et donc aussi son auteur.
Le principal écrit de (Blaise) Pascal s'appelle "Les pensées".
Personne n'a vu les pensées qui étaient dans sa tête, mais beaucoup ont pu les lire.
Cet auteur (cette personne) nous reste-t-il étranger (insondable, inaccessible, invisible) ? Oui, tant que nous ne l'avons pas lu.
C'est tout à fait pareil concernant Dieu !
Pour voir les pensées, et par elles aussi la personnalité de Pascal, il nous faut regarder à ce qui nous reste de visible de lui, ce qu'il a eu de plus précieux à coucher sur le papier, et par là à nous laiiser en héritage.
Idem pour se faire une idée (invisible elle aussi mais pourtant réalité active importante), de Platon, de Descartes, Einstein, De Gaulle... Une idée de leur fond le plus véritable (pour peu bien sûr qu'ils soient vrais dans leurs écrits). Et plus on saura ce que tel ou telle a écrit, plus on le ou la connaitra jusqu'à intimement...
ET LES BIOGRAPHES...
On peut aussi prendre connaissance d'une personne et de sa personnalité, en lisant une biographie, ou en écoutant une conférence, une émission... animée par quelqu'un qui a bien connu (un témoin direct) ou bien étudié la personne en question.
Le fait est si sensible qu'on peut ainsi, sans même n'avoir jamais eu un contact réel avec elle, aimer avec affection, ou haïr, une personne jamais vu en chair et en os ni toucher physiquement.
Ainsi c'est évident qu'on peut croire des réalités subtiles (comme les pensées, des émotions, le talent, des cheminements, le caractère de quelqu'un...) sans les voir, sans avoir pu les voir de nos propres yeux, en croyant par une médiation ou une autre, une oeuvre (ou même des brouillons) ou des rapporteurs honnêtes, objectifs.
Et c'est tout à fait comme ça avec avec Dieu !
APPROCHER DIEU VIA DES TEMOINS INTÈGRES, DES MÉDIATEURS FIDÈLES
Sur la réalité de la personne de Dieu, de sa et ses pensées essentielles, de sa volonté... ont été écrites des millions et des millions de pages.
Certaines à partir de colporteurs peu scrupuleux, déformateurs plus que rapporteurs, mauvais messagers ou représentatns, peut-être plus soucieux de leur propre personne, renommée ou succès, que de Celle dont ils parlent.
Certaines autres écritures ou paroles relatives au Divin, sont nées seulement de quelques approximations perçues, de l'imagination personnelle (ou collective), de nos propres limites qu'on prête à Dieu (anthropomorphisme)... ou encore de Satan, le ténèbreux ange sorti de son rang et devenu un ennemi du Bien, qui a trompé le 1er couple humain en déformant ce que Dieu avait dit, en faisant suspectant que Dieu n'est pas sympa avec eux (de leur cacher des choses), etc...
- S'il existait il n'y aurait pas de guerres !?
- Il y a trop à faire pour que Dieu s'occupe de tout - pour qu'il me voit et écoute ma prière !
Mais il y a aussi, et on peut le vérifier, des écrits très anciens qui été fixées dans la matière (sur des tablettes d'argile, du papyrus, des rouleaux de peaux, des pages manuscrites), puis qui ont été recopiés avec fidélité, minutie, sérieux, dans la compréhension et le respect qu'il s'agissait de "paroles de Dieu" c'est-à-dire de paroles inspirées transcrites fidélement.
De la sorte, la et les pensées de Dieu nous deviennent accessibles, les écrits offrant d'en avoir la compréhension, et par là jusqu'à nous permettre, par l'esprit (de notre esprit à son Esprit via l'écrit) d'entrer dans son intimité, dans une communion, où nous touchons tout personnellement... en live, à la réalité invisible de Dieu, ce qui fait alors qu'on peut croire avec une grande certitude et onfiance, sans voir Dieu de nos yeux physiques.
Ainsi a-t-on d'une part quelques personnes dignes de foi qui ont connu Dieu et ont écrit, à partir de Moïse, puis des prophètes, des rois, des chantres consacrés, des apôtres et autres évangélistes, d'où nous vient la Bible.
Et d'autre part, dans la dimension invisible, l'Esprit de Dieu qui peut à tous moments où il le désire venir pour attester jusque dans notre âme, dans notre esprit, ou encore à nos oreilles et à nos yeux physiques (par songe ou vision), que telle parole écrite, lue ou entendue, est vrai, vient bien de lui et nous parle de sa part, oarce qu'étant expression de sa pensée, de ce qu'il veut nous dire à ce moment-là et/ou de vérités générales, immuables, qu'il désire que nous connaissions - et qu'il est bien de croire, donc de les d'adopter - comme base primordiale du savoir et de nos comportements.
Certes on peut douter de tout. Même de l'honnêteté de plus de quarante hommes qui ne se sont pas forcément connus, qui disent avoir reçu de Dieu ses paroles, et cela au long d'une période d'environ 1 500 ans. Ce qui nous a donné la Bible, avec 39 livres complémentaires reliés en ce qui forme l'Ancien Testament, et, après la venue et le départ de Jésus (Yeshoua en hébreu, la langue de son pays et de ses ascendants physiques), 27 livres regroupés pour former le Nouveau Testament ou Nouvelle Alliance, seconde partie de la Bible.
On peut douter, mais aussi savoir que douter sans rien mettre de mieux à la place, c'est une autre manière de croire, c'est tout simplement croire d'autres pensées (que c'est faux, que Dieu n'existe pas, que les écrits ont été falsifiés, mal traduits...).*
C'est croire des pensées qui s'opposent à ce que Dieu et ses témoins fidèles ont transmis et par quoi il peut et veut nous faire du bien, nous rendre plus libre dans la justice et dans l'amour..
Pour ma part, convaincu de la réalité de Dieu dans l'instant où il se révéla étonnament un jour à moi, il m'a aussi convaincu de ce que la Bible est le livre fondamntal à connaître pour le connaître lui, et de là, depuis maintenant plus de quarante ans, je vis cette existence terrestre basée, fondée, stabilisée, sécurisée, par ma connaissance et foi dans les écritures biblique, avançant dans des apprentissages sans fin, des expériences de diverses sortes avec Celui qui est devenu mon Dieu, et des partages (le plus honnête possible) de la vraie vie déjà possible ici-bas avec lui.
Ainsi je crois que sont authentiques en tant qu'écrit divinement inspiré, toutes les paroles bibliques.
J'en donne ici quelques-unes pour qui veut en toute vérité savoir si Dieu existe, s'il peut nous parler, se faire connaître avec certitude bien que restant (encore pour un temps) invisible.
Ce qui est unique avec Jésus, c'est qu'il n'a pas fait que parler, enseignant aux autres de faire des choses qu'il n'aurait pas lui-même. Ses actes, ses pensées et ses paroles ont été sans faille en cohésion. Qui peut montrer le contraire ?
Sans jamais avoir écrit une parole - ce qui allait être à sa suite le rôle de quelques disciples conduits par le Saint-Esprit - nous avons un rapport à quatre faces sur ses œuvres, sa vie, sa mort et sa résurrection, soit quatre évangiles.
Et pourquoi est-ce important ? "Jésus répondit : Il est écrit : L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu."
Parce qu'en tant que créature tripartite, nous avons besoin d'aliments solides pour notre corps, de connaissances et expériences diverses pour alimenter et entretenir notre psychisme (ou âme, psyhé en grec), et encore de Paroles divines pour activer notre esprit (qui souvent s'éteint en nous sous l'effet de nos mauvaises pensées, paroles et comportements) et le stipuler (quand nous l'avons reçu).
à suivre, par un article ou un autre et/ou selon commment Dieu vous y conduira...
Soyez béni-e.
Pour prier, ici un guide pour aider à trouver ses mots ou ce qu'il est important d'aborder une première fois.
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* Pour quel(s) gain(s) et par quelle autre force que la conduite divine, ces hommes si éparpillés dans le temps, souvent soumis à des oppositions et persécutions sévères, auraient-is pu produire un tel livre... qui est aujourd'hui encore dans le monde le livre le plus traduit, le plus imprimé et le plus lu de tous les temps ?
Si quelqu'un a des arguments solides contre la véracité de la Bible en tant qu'Écritures traçées par des hommes mais parfaitement inspirées et agréées par Dieu, qu'il ne lise bien sûr surtout pas ce livr..., ou encore qu'il fasse tout pour le démolir avec des arguments patents.
Beaucoup ont tenté de le faire... dont le fameux Général américain Wallace, athée qui voulut démontrer en la lisant des incohérences et la non pertinence de la Bible, qui fut bientôt toucher par l'Esprit de Dieu, convaincu au point de devenir chrétien et un témoin fidèle, écrivant notamment pour sa part le livre Ben Hur, qui devint un des plus grands films de tous les temps.
On sait (normalement) que Jésus a été crucifié injustement.
Certes, on ne peut pas se trouver ainsi crucifié pour rien, sans raison : La raison était qu'il prenait alors sur lui toutes nos fautes et leurs conséquences (dont la mort fait partie).
Depuis quelques semaines la plus grande église de France, vivante par ses près de 2 000 membres réguliers, La Porte Ouverte de Mulhouse, est montrée du doigt, huée, accusée, moquée, blessée... comme son Maître Jésus-Christ à partir du jardin de Gethsémané jusqu'au mont Golgotha.
QUEL EST SON CRIME ?
On lui reproche d'avoir été le point d'insertion de l'épidémie en France, par un grand rassemblement (annuel) qui se déroula du 17 au 21 février (2020).
Il convient de démentir cette rumeur (plutôt que de la colporter).
Cet habitant de Colmar âgé de 46 ans explique: « J’ai été atteint par le coronavirus début décembre 2019 sans pour autant avoir quitté le territoire français depuis plus de six mois. En date du 3 décembre, j’ai eu mes premiers symptômes qui se sont manifestés par une énorme fatigue, les jours précédents, des céphalées très douloureuses, une baisse de pression artérielle […], une perte de goût, d’odorat pendant au moins 3 jours, de la fièvre naturellement qui est montée très brutalement et que le paracétamol ne faisait pas beaucoup baisser, aussi des sensations que l’infection descende dans les voies respiratoires, c’est-à-dire larynx, pharynx et poumons. S’en est suivi une surinfection pulmonaire foudroyante au point d’entendre ma respiration siffler, comme si j’avais été asthmatique, et ce en moins de 96 heures. Et tout ça malgré le traitement aux aérosols et antibiotiques prescrit par un ami médecin. Cependant il m’a fallu presque quatre semaines après le 23 décembre pour récupérer mes facultés respiratoires et pulmonaires totales, parce qu’une toux intempestive ne cessait de me gêner...
J’ai commencé à m’inquiéter parce que la fièvre restait élevée. […] Au radio scanner des poumons, j’avais 5 tâches, 4-5 tâches sur les poumons. […] Je ne m’attendais pas à être foudroyé de cette manière-là. […] Ça a été énorme. […] Une respiration coupée, une respiration sifflante comme ça, je n ‘ai jamais eu. […] Ça a été foudroyant. Ça a été très, très, très violent. »
Le témoin évoque ensuite plusieurs personnes de son entourage qui ont été malades, dont une pharmacienne et un dentiste.
Pour Liliane Held-Khawam, ce témoignage « revêt une importance capitale ». Entre autres raisons, parce qu’il a été testé positif, que son infection « remonte à novembre 2019, si l’on prend en compte la période d’incubation de 14 jours », et qu’il n’a « pas quitté le territoire français durant les 6 mois qui ont précédé son infection » et ne peut donc pas être le « patient zéro ».
L’économiste affirme alors sur son blog :
« Le virus était donc déjà présent sur sol alsacien/français. La gestion de l’épidémie a démarré avec des mois de retard. »
"SEUIL AYANT PERMIS L'ALERTE" PLUS QUE POINT DE DÉPART
Le pasteur de l'église de Mulhouse Samuel Peterschmitt, lui-même atteint par le COVID-19 et aujourd'hui sorti d'affaire, rappelle que l’église fut plutôt « le seuil d’alerte » de la contamination en France:
« C’est nous qui avons donné l’alerte et fait les premiers dépistages. Ce sont les membres de la Porte Ouverte qui ont été les premiers dépistés. Mais il est clair qu’ils n’étaient pas les premiers malades. Seulement les premiers détectés. D’où le fait que nous avons la conviction que nous ne sommes pas le point de départ, mais le seuil d’alerte. »
Il précise que « c’est établi aujourd’hui de plus en plus clairement, que des patients très suspects du COVID-19 étaient déjà infectés à la fin du mois de janvier et au début du mois de février. À l’appui, il y a l’observation d’une recrudescence de syndromes grippaux. Et à cette période, ces symptômes n’étaient pas perçus comme le COVID-19, mais aujourd’hui, il y a des signes évocateurs, qui étaient déjà signalés, comme la perte de l’odorat et du goût notamment. Et ces malades victimes de la contagion, étaient sans lien, ni entre eux, et sans lien avec l’église de la Porte Ouverte. »
COUPABLES OU VICTIMES
Certes le fait d'un rassemblement de milliers de personnes à ce moment-là a favorisé la propagation de ce coronavirus où des personnes contaminées retournèrent chez elles, à une date où il n'était encore question ni d'un risque grave de contamination en France ni de confinement (mis en place le 17 mars, plus de trois semaines après la fin des réunions).
En tant que chrétien, la question de notre responsabilité au sujet de ce qui nous arrive, de bien comme de mal, ne peut être escamotée.
Si on lit bien, on ne peut occulter le 1er verset : "Celui qui demeure sous l'abri du Très Haut Repose à l'ombre du Tout Puissant."
Or, bien que chrétien aimant Dieu et désirant suivre fidèlement Jésus dans ses voies justes, agréables et parfaites, on reste chacun des pécheurs, imparfait quant aux lois (protectrices) divines, des fauteurs potentiels, soumis à des tentations et à la force pas toujours encore maîtrisée de pulsions ou autres centres d'intérêt mauvais dont on n'arrive pas (encore) à se détacher. (La vie chrétienne étant une marche de libération en libération, comme de connaissance en connaissance).
Et donc ainsi, on peut ne pas "demeurer" sous la protection absolue de Dieu. Ce qui explique que des chrétiens ont pu être - sont - contaminés.
C'est alors, surtout dans un contexte de jugement global de toute la terre habitée, une conséquence d'une faute réitérée non vue ou mal vue en tant que telle. C'est donc un rappel à se tenir dans une plus grande proximité et lumière du Très-Haut, du Tout-Puissant.
Donc ne "jetons pas la pierre" comme voulaient faire les religieux face à une femme surprise en adultère, mais ayons compassion... non sans chercher ce qu'on peut apprendre de toutes nos épreuves.
Les progrès en tout ne passent pas souvent par la facilité, et l'épisode de la tour de Siloé nous rappelle ou apprend ce qu'il en est nous concernant tous.
Je pense aussi que s'il y eut des fautes (par faiblesses psychiques) causes de la contamination dans ce camp de Dieu, la faiblesse physique de personnes ayant jeûné pendant cette semaine (de jeûne et prières), peut avoir favorisé l'emprise du virus sur des corps sous-alimentés. De même la fatigue accumulée par des surcharges régulières de travail (trop d'activités, de choses à gérer, de projets mis en route...) peuvent affaiblir nos organismes.
L'église Porte Ouverte de Mulhouse fait référence à une porte dont parle le livre de l'Apocalypse, "que nul ne peut fermer."
Elle reste donc ouverte, par internet, et surtout par la foi qui demeure de tous ceux qui en sont la vie, le corps spirituel, les "pierres vivantes".
Si donc elle est ici par le covid-19 et les mesures gouvernementales - auxquelles se soumettre - pours le moment fermée, ses membres blessés, affectés, c'est aussi pour qu'elle sache mieux trouver comment permettre à Celui qui en est l'origine, Jésus et le Saint-Esprit, de mieux la visiter et la conduire, de mieux l'épurer (spirituellement) et la centrer au plus près possible de la Parole écrite... afin qu'en sortent davantage des disciples aguerris que des chrétiens (encore) trop nourris sans efforts personnels, ce qui les laisse faibles dans la foi et vulnérables.
Enfin que tous nous réalisions qu'il n'est plus temps de faire n'importe quoi, que les temps sont fâcheux (les signes sont nombreux pour nous en avertir) étant ceux de la fin d'un ordre du monde appelé à disparaître - et non à être amélioré.
Un ordre qui tient d'une volonté persistante maligne à vouloir globaliser, uniformiser, dépersonnaliser, soumettre, jusqu'à l'esclavage, le genre humain, ce qui tend régulièrement à des prises de décisions visant à établir un impérialisme, une gouvernance mondiale centralisée, et par là toujours un totalitaire déshumanisant.
Profitons donc chacun de ce confinement pour que ce soit comme une porte fermée de notre chambre dans laquelle nous pouvons mieux nous isoler avec le Dieu véritable, pour le prier... et chercher loin des bruits (différents aspects de) sa face.
Une représentation de Dieu créant l'homme faite par Léonard de Vinci.
Les représentations peuvent nous aider à voir l'invisible...
mais n'en restons pas là, pas plus qu'au minuscule coV covid-19
(Le mot virus vient du latin "virus" qui désigne le poison, le venin, la bave)
Les leçons à tirer de l'apparition et des effets de ce coV covid-19 ne manquent pas pour qui veut "ne pas mourir idiot", c'est-à-dire veut comprendre le monde dans lequel nous vivons, et nous comprendre - nous connaître - nous-même.
EST-IL TEMPS DE CHANGER DE LUNETTES !?
Certes si on veut être et rester un matérialiste étroit, à la vue causal relâchée, on ne comprendra pas... si ce n'est que c'est le hasard, la faute à pas-de-chance, un mal comme il en arrive parfois, ou encore un effet de la sélection naturelle qui va éliminer les plus faibles...
Mais si on adopte une vision plus complète du Réel, qui comprend une dimension spirituelle, d'origine divine, on peut plus richement tirer de toutes choses, de ce coronavirus aussi, des enseignements.
L'un d'entre eux peut venir du rapprochement qu'on peut faire du rapport de taille et de force qu'il y a entre nous êtres humains et un virus.
La taille des virus les situe tout en bas de l'échelle des dimensions. Elle varie d'environ 20 à 300 nanomètres. Les coronavirus sont parmi les plus gros virus, de l'ordre de 250 nanomètres.
Un nanomètre c'est un milliardième de mètre, ou un millionnième de millimètre !
C'est en moyenne mille fois plus petit qu'une bactérie (qui est la plus petite expression d'un corps vivant).
Par contre, nous voilà face à un ennemi des plus puissants dans son rapport à nous. Le covid-19 comme d'autres coronas est capable de nous tuer pour peu qu'on ait des faiblesses.
Par faiblesses on doit entendre des failles dans notre système immunitaire physiologique, et failles aussi - ce que la science n'aime pas considérer car elle n'a pas de moyen pour mesurer ce qui est typiquement psychique ou spirituel - dans nos données (admises) mentales, émotionnelles et/ou de volonté...
Et donc, malgré notre taille physique (de l'ordre de cinq millions de fois supérieure à celle d'un coV), voilà qu'on peut être moins fort qu'un tel minuscule et partiel morceau de "matériel génétique" même pas vivant en lui-même.
Cela ne nous donne-t-il une idée de notre petitesse en fait ? en tant que personne physique qui peut être impactée, et en tant que personne psychique prise de court face à cette invasion sournoise ?
Une idée qui rabat l'opinion que nous avons couramment de nous-même et de nos pouvoirs... tout relatifs - qu'ils soient économiques, politiques, philosophiques, idéologiques athées ou religieux !?
Mais en rester seulement là, même si c'est une réalité tangible et qui peut nous menacer "pour de vrai", ne nous tiendra pas longtemps dans la réflexion sur la vie et la mort, sur le sens de notre présence dans ce monde et des rapports de force entre le mal et le bien - le mal physique étant dans cette affaire le covid-19 et le bien qu'est l'existence qu'on a reçue en partage.
Une existence qu'on peut voir fragile, comme tous les systèmes d'organisations gigantesques qu'on est capables de monter...à notre image.
Une existence éphémère, on se sait mortel... mais on prête si peu d'attention à cet aspect pourtant dominateur de ce que nous sommes.
Une existence peu intelligente donc en fait, puisqu'on se soucie davantage de suivre une série tv, de lutter pour quelques euros de plus qu'on va gaspiller en cigarettes, alcools, drogues, et tant de choses qui, même si elles ne sont pas directement nuisibles, sont si inutiles et toujours coûteuses.
Des milliards d'euros ou de dollars sont ainsi dépensés pour envoyer du matériel jusqu'à Mars par exemple comme s'il n'y avait pas de besoins plus immédiats et plus proches à quoi répondre.
On est des êtres de déséquilibres, à l'extérieur parce que d'abord en nous-même.
Bref, "on est bien peu de chose", et si notre amie la rose ne le laisse plus entendre à nos oreilles assourdies par toutes nos activités, c'est un virus qui vient nous ramener les pieds sur terre.
Un "coV" (c'est l'abréviation officielle d'un coronavirus) qui vient nous arracher à nos virtualités et autres usages immaîtrisés, irréfléchis de notre temps, en lui redonnant de la place jusqu'à une reconsidération - forcée - de nos agendas et priorités. Jusqu'à, surtout, nous permettre, de nous-même, sans contrainte supplémentaire de s'asseoir (devant des écrans éteints) et de s'interroger en faisant face... au vide qui nous habite !
Blaise Pascal déjà avait remarqué et dit qu'une des choses les plus grave est que "nous ne savons pas rester une heure seul(e) dans son cabinet." (bureau ou salon).
SE DÉCOUVRIR EN VÉRITÉ... SANS MASQUES
Car si le virus est minuscule autant que pouvant nous dominer de fond en comble, le coup d'arrêt qu'il met sur nos activités peut aussi être vu comme une sanction sur le développement de nos cultures... et plus précisément encore comme un jugement divin.
Une pensée qui chez certains monte à la conscience de l'inérieur - justement parce qu'on a une conscience, capable de saisir, quand on ne l'a pas étouffée, autant des vues spirituelles que psychiques ou seulement matérielles.
Une pensée qui a besoin d'être reboostée tant elle a été mise en veille, en stand-by. Mise à jour, reset, redémarrage ! Pour saisir que tout de nos matérialités peut aussi exprimer un seconde degré, qui peut avoir un sens spirituel.
Hermès le trimégiste antique disait déjà que "tout ce qui est en bas (sur la terre) est comme ce qui est en haut (dans un ciel spirituel), et inversement.
C'est pourquoi Jésus utilisait - et emploie toujours - des paraboles pour donner de comprendre les réalités invisibles, les plus puissantes, des dimensions de l'esprit, du divin.
Il n'y a pas à s'étonner que les réalités invisibles "d'en-haut" sont très puissantes puisque ici "en bas" on s'en aperçoit bien. Que ce soit par les forces cosmiques qui tiennent les corps célestes dans leurs rotations; l'énergie (dite "sombre") qui tient tout l'univers dans son expansion très maîtrisée, les forces telluriques, magnétiques ou électromagnétiques, l'électricité et toutes sortes d'ondes porteuses, agissantes, que notre oeil ne voir pas...
C'est pourquoi encore existe avec le sens propre le sens figuré, ou tout ce qu'on appelle la symbolique...
Et donc en s'éveillant, notre conscience peut s'élargir à bien plus grand que nous !
Ce n'est pas parce qu'il nous est quasi impossible d'imaginer ou de visualiser ce qu'est la taille d'un virus, que nous ne croyons pas qu'il existe. Eh bien de la même façon, dans la direction opposée, ce n'est pas parce que nous avons a priori du mal à imaginer ou se figurer Dieu, qu'il n'existe pas et qu'il n'agit.
C'est que selon la loi générale de causalité, les causes peut se voir à partir de leurs effets. C'est ainsi qu'on a découvert en médecine que des maux localisés dans les corps sont révélés par des effets sur le corps (les symptômes).
Ou encore qu'une mauvaise gestion des données bonnes ou mauvaises, justes ou fausses, par le compartiment intellect de otre âme peut se traduire (finit souvent par se traduire) dans notre corps, c'est la somatisation.
Ces réalités connues, vérifiables, sont aussi là pour nous parler au seconde degré, nous dire que dans le versant caché du Réel, il y a de même des lois qui jouent, des principes actifs, et une gouvernance... qui gère comme nous avons à le faire ici-bas, des conflits d'ordre moral, de l'ordre du Bien et du mal, dans les sphères spirituelles comme dans notre monde.
UN JUGEMENT A TOUJOURS DEUX FACES
Le grand principe qui justifie le mal sans que Dieu puisse être accusé d'être seulement une idée ou un mauvais dieu, c'est que tout mal peut être tourné en bien. Et cela, même nous ne sommes pas souvent capablesde le faire (on sait très bien faire le contraire par contre !).
La Bible assure que Dieu a disposé les choses de telle manière que non seulement il peut, lui, intervenir pour faire sortir d'un mal un bien, mais il a aussi disposé des lois d'ordre et de régulation qui font que "toutes choses peuvent par elles-mêmes concourir au bien de ceux qui cherchent à vivre selon les instructions divines et de ceux qu'il appelle à venir à lui. (Pour ma part j'ai vécu ce miracle d'un accident grave que Dieu a magistralement tourné en la plus grande des bénédictions, celle de découvrir qu'il existe, qu'il est, et qu'on peut vivre des relations exceptionnelles avec lui).
Et donc ce jugement qu'est l'apparition du covid-19 qui nous réduit et nous emprisonne - c'est d'une part bien sûr un côté sanction, coup d'arrêt sur nos mauvais comportements (collectifs, sociaux, familiaux, individuels, et même intimes).
Mais aussi son côté grâce, secours de Dieu, délivrance par son intervention, c'est qu'il nous donne individuellement du temps, afin que nous puissions revisiter notre vie, ce qu'elle vaut, où elle va (où elle allait!), ce qu'on en ignore, ce qu'en sont les forces - bonnes mais aussi mauvaises, à revoir, dont être libéré.
Pour ceux qui sont sur le pont, en première ligne, soignants, actifs surchargés de tous autres, c'est aussi pour leur montrer leurs propres limites, insuffisances, pertes de forces, face à un monde bien plus malade qu'on ne le voit généralement.
Ce qui nous donne ce super témoignage de Lilian Urban, médecin italien qui raconte > ici dans cet article, comment la surcharge de besoins a produit parmi le personnel exténué un travail de l'âme qui autrement ne se fait pas...
Et finalement donc, parvenant à une limite quelconque de soi-même, dans sa vie de célibataire ou de couple, de famille ou au travail, face à soi-même autant que face aux autres, venir ou revenir à l'essentiel - l'essence du ciel -, à Celui qui peut tout, qui n'est qu'un peu en retrait de nos existences - because il nous a créés libre -, qui veut se révéler vivant par divers moyens (divers effets).
Venir, revenir au sens, à la paix de la nature quand il fait cesser les tempêtes, à la simplicité, à notre taille de créature bien perdue sans notre créateur.
Découvrir ou rouvrir l'espace qui est de l'ordre de la permanence, de l'Esprit, notre spiritualité - éteinte, envolée, morte ! - et la réalité quasi incroyable qu'il y a un tel Dieu (que décrit et déploie la Bible) et que, malgré les dynamiques organisées de la nature, malgré les beautés des bébés, des fonds marins ou de la voûte céleste..., on ne le sait même pas !
Cherchez et vous trouverez, dit Jésus. Et si on a cru et appliqué cette ivitation au plan des réalités physiques de la création en développant des sciences, croyons aussi que c'est valable au sujet des réalités immatérielles, de l'ordre de notre âme (psychisme immatériel) et de l'ordre supérieur de la Divinité.
Bon confinement (puisqu'il est là). Soyez béni-e. à suivre...
Mais si Dieu ne jugeait pas, serait-il vraiment Dieu
- à la fois amour ET justice !?
CORONA-19, TOUS VISÉS PAR CE JUGEMENT
Écoutez ces paroles qui jaillissent désormais de la Bible avec toute la puissance de l'Esprit du Dieu qui les a faites écrire prophétiquement (d'avance):
"Devant Lui (l'Éternel-Dieu) marche la peste (le covid), et la fièvre brûlante du mal plus fort encore) suit ses pas. Il s'arrête, et de l'œil il mesure la terre ; Il regarde, et il fait trembler les nations;" (Habakuk 3 : 5-6).
De tous côtés les chrétiens sont persécutés, rendus au silence, déclassés, chassés, violés, décapités, que ce soit par des athées (virulents ou se disant tolérants) ou par des reigieux fanatisés.
A quoi le Seigneur-Dieu a une réponse à propos... bien que préparée d'avance puisque ces agressions reviennent de manière récurrente au cours de l'histoire:
En a-t-on tenu compte ou avons-nous progressé dans ce qui fut mis en cause ?
On a cherché à se protéger avec des bouts de latex, en votant même des lois et cherchant d'autres moyens illusoires? Exactement comme Adam et Eve se découvrant nus, soudain dominés par un mal terrifiant inattendu après (causé par) leur désobéissance au commandement bienveillant de leur créateur. Ils cherchèrent à se couvrir, à faire disparaître leur culpabilité, en se faisant un habit de feuilles de figuier.
Ne pas connaître la juste solution d'un problème et se tromper en essayant d'en inventer une au lieu de la chercher, ne résoud rien, ne va pas arrêter l'effet maléfique.
Alors certes on va se laver les mains et rester au maximum chez soi. Mais est-ce seulement en cherchant à passer - à tuer - le temps sans aucune profondeur d'âme ?
Ou bien en cherchant à comprendre que nous vivons peut-être bien un jugement divin, une conséquence directe de comportements humains mauvais généralisés !
Un jugement plus sévère encore que les inondations et autres tempêtes localisées. Sévère comme déjà le climat et la nature devenant hostile parce qu'on en a détruit les équilibre.
A cause des pollutions de l'air, des eaux et aussi de nos rapports humains, de plus en plus irrespectueux des lois morales comme des lois physiques, des autres qu'on conditionne par des cultures, des médias, des films, des slogans... Qu'on exploite pour des gains égoïstes, abusant, pervertisant, violentant l'humain - ce qui a été créé à l'image de Dieu, homme, femme enfant né ou à naître, au profit de gains ou de plaisirs prioritaires, coupables...
Et donc tous, nous avons à suivre la pente que ce jugement et ce confinement obligent, savoir s'abaisser, revenir au niveau le plus juste de ce que nous sommes, qui est le niveau et l'identité de créature de Dieu abîmée par le péché.
Le péché est, selon la Bible, exactement comme un mauvais virus dont nous sommes tous des porteurs "sains".
Il est un mal résident en nous, immédiatement actif dès la petite enfance... et qui a donc besoin d'être contré par une éducation appropriée (rôle parental capital).
De la sorte, dans tous les cas, maitrisé par une éducation ou pas, le péché est toujours au minimum tapi au fond de notre coeur, que des circonstances, une situation ou une autre nous affectant particulièrement, rend actif jusqu'à des manifestations virulantes extrêmes...
Et on sait déjà que le confinement provoque l'activation du péché latent chez beaucoup, jusqu'à des scènes de violences verbales ou physiques surprenantes...
C'est aussi là l'effet d'un jugement: rendre manifeste notre fond, notre intérieur le plus vrai et prioritairement réactif, qui peut glisser comme c'est le mieux dans l'humilité, et par là par exemple manifester une bonté solidaire; ou éructer sous la pression en propos ou gestes, en clashes, dont on n'aurait jamais soupçonner être capable.
Cette épreuve est, par différents aspects, une exhortation véritable à venir ou revenir à Dieu, pour trouver en lui, atteints ou épargnés, l'essentiel du secours dont on a besoin, savoir la purification de notre âme (voire de notre corps) par le pardon de nos péchés, de tout le mal qu'on a fait et accumulé.
En cela vous pouvez trouver ici un guide de prière qui peut vous aider à faire cette démarche existentielle comme essentielle.
C'est ma foi que c'est encore par les prières des rachetés et leurs effets que ce mal pourra cesser au plus vite.
Mais attention si le monde, ses leaders, les puissants notamment, ne comprennent pas la leçon et reprennent sans changement fondamental à leurs mauvaises pratiques (économiques, politiques, morales et même sexuelles), toutes choses notables que cette épreuve a arrêtées !
EN FORME DE RÉSUMÉ PROVISOIRE
Par le corona-19 et les contraintes qu'il fait mettre en place, il est possible que du bien plus que tu mal nous soit fait, en rapport de ce qu'on aura voulu mettre nos vies en ordre avec notre foi en Dieu (par priorité sur toutes autres croyances que nous avions - et on en a tous qui ne sont pas à leur bonne place).
L'important, c'est la rose, chantèrent Ronsard, Bécaud ou encore Françoise Hardy.
Pour nous parler de la fuite du temps, de la vanité de beaucoup de nos mouvements, et d'une fin inévitable.
Alors quand on est arrêtés, voyons la chance (au lieu de regimber) de se trouver face à soi-même, de se découvrir quand on est seul-e, au fond si désemparé-e, si vide, si perdu-e, face à l'imprévisible comme face à la mort (jamais vacante) et jusqu'à face à un Dieu réel, si méconnu, inconsciemment voilé ou sciemment occulté (par soi ou par les sociétés athéisées).
C'est en ce temps précieux qui est à vous seul, et qui ici vous est restitué par la crise du covid-19 - un vrai jugement pour toute la terre habitée - que ce poème (et autres articles de ce blog) est venu et cherche à vous rencontrer pour, surtout, que vous-même fassiez une réelle rencontre et paix avec Dieu.
À LA RECHERCHE DU TEMPS ET DU DIEU PERDUS
Quand au fil tendu des jours on n'entend plus
Que la rose nous dit - Tu es si peu de chose...
Quand on se perd en vanités et qu'on ose
Braver de Dieu les lois comme s'il n'existe plus,
Ô oui on s'expose aux coronas vilains
Pouvant sortir des ombres et changer nos choses,
Nos systèmes, nos ordres, nos illusions roses,
De nos vies fébriles arrêtant les trains.
Car où courons-nous sans destination
Orphelins du Ciel par nos homicides,
Coupables et mortels redit ce covid
...Dont le bon côté qui tarit nos fêtes
Est que seul-e au monde, par un tête à tête,
On revienne à Dieu par sa rédemption.
Ce 20 mars 2020, dans un temps passé devant mon Dieu, soudain est montée l'amorce de ce poème, livré sur mon blog en live, tout chaud, le matin même, et repris ici.
Je souhaite et je prie le vrai Dieu, qui n'est pas loin de loin, qu'il vous aide à sortir du pire des confinements, celui de notre psyché, celui de l'âme, veuve et orpheline de la vie de l'Esprit.
MAIS OÙ VA TON ÂME ?
Notre existence a tout d'une flamme
D'un feu de cheminée ou d'une bougie,
Elle doit s'alimenter, elle se nourrit
Entre un départ et un dernier drame.
Mais où va ton âme ?
On craint et on a raison les amalgames,
Il faut distinguer, discriminer les sons, les pousses,
Ne pas croire que la mort est la même fin pour tous
Car pour finir du bon côté il faut connaître le sésame.
Où va ton âme ?
On peut ne pas le croire, choisir de notre vie la trame
De fond, les pensées, les comportements,
Faire comme s'il n'y a pas de Dieu... un temps,
Mais bien vite arrive des chaos et la fin du programme,
Alors où va ton âme ?
Tu ne le sauras jamais que trop tard
Si tu ne veux croire que les discours ambiants,
Alors que Jésus est venu parler et priant
Pour que chacun ne meure pas au hasard,
Sans savoir où l'âme part.
Où va ton âme, c'est où vas-tu toi être conscient
Quand le corps tombe, comme on laisse sa voiture
Qui ne roule plus, coque de noix sans voilure
Que ne pousse qu'une loi inexorable officiant,
Âme pleurant ou riant.
Tu sais, rien n'est compliqué - si ce n'est nous-même
Et tout ce qu'on veut faire de grand
Qui nous embarrasse, qui nous cache le présent
Et le futur, et aussi que Dieu nous aime,
Oui, nous aime.
- Ce sont vos péchés nous crie-t-il encore,
Qui font écran entre vous et moi vous aimant,
M'obligeant à vous juger, vous sanctionnant,
Alors que je n'aspire pour vos âmes et vos corps
Qu'à pardonner encore.
Revenez à Moi, dit Dieu qui ne veut pas
Que nos libertés vécues en irresponsable
Nous imposent les fers et un enfer épouvantable,
Vous donnant ici maintenant de faire le pas
De votre rachat.
Car c'est Satan qui tient le monde et frappe
Parfois précis parfois aveugle exécutant
Une justice à sa façon sur tous les habitants,
Mais Dieu n'est jamais loin et il rattrape
Ceux qui voient la trappe,
Ceux qui, subissant les serpents brûlants,
Les effets de leurs mauvaises causes,
Pour le pardon de leurs fautes osent
Regarder à Jésus mis en croix mourant,
Et par là nous sauvant.
Car Dieu a tant aimé notre monde mortel
Qu'il a donné crucifié son bien-aimé, Jésus,
Pour que n'importe qui, âme se voyant perdue
Qui regarde à ce sacrifice étonnant perpétuel
Ait la vie éternelle.
Claude T. @LGDDV 20 mars 2020 (passage de l'Hiver au Printemps)
Si vous voulez prier en vue d'être mis en ordre avec Dieu, réconcilié-e, en paix intérieure et avec lui, une aide en cliquez ici.
(Dans le sens de l'article précédent Continuer à tirer le meilleur parti du covid-19 et du confinement), voici un bref et authentique témoignage d'Italie qui montre quel est le sens (voilé, au second degré) du mal (d'un jugement)*, et invite de manière implicite à se repositionner dans notre relation (coupée ou superficielle) avec le Dieu créateur.
Le retour du fils prodigue**
par Rembrandt.
Lulian Urban 38 ans · Docteur en Lombardie :
"Jamais dans les cauchemars les plus sombres je n’ai imaginé que je pourrais voir et vivre ce qui se passe ici dans notre hôpital depuis trois semaines. Le cauchemar coule, la rivière devient de plus en plus grande. Au début, certains sont arrivés, puis des dizaines puis des centaines et maintenant nous ne sommes plus médecins mais nous sommes devenus des "trieurs sur la bande" et nous décidons qui devrait vivre et qui devrait être renvoyé chez lui pour mourir, même si tous ces gens ont payé des impôts italiens pendanttoute leur vie.
Jusqu’à il y a deux semaines, mes collègues et moi étions athées ; c’était normal parce que nous sommes médecins et nous avons appris que la science exclut la présence de Dieu.
J'ai toujours ri de mes parents qui allaient à l’église.
Il y a neuf jours, un pasteur de 75 ans est venu à nous ; c’était un homme gentil, il avait de graves problèmes respiratoires mais il avait une Bible avec lui et nous a impressionnés qu’il la lisait aux mourants et les tenait par la main.
Nous étions tous des médecins fatigués, découragés, psychiquement et physiquement finis quand nous avons eu le temps de l’écouter.
Nous devons maintenant admettre que nous, en tant qu’humains, avons atteint nos limites plus, nous ne pouvons pas faire et de plus en plus de gens meurent chaque jour.
Et nous sommes épuisés, nous avons deux collègues qui sont morts et d’autres ont été infectés.
Nous nous sommes rendu compte que là où se termine ce que l’homme peut faire, nous avons besoin de Dieu et nous avons commencé à lui demander de l’aide quand nous avons quelques minutes de libre ; nous parlons entre nous et nous ne pouvons pas croire qu’en tant que féroces athées nous sommes maintenant tous les jours à la recherche de notre paix, en demandant au Seigneur de nous aider à résister pour que nous puissions prendre soin des malades.
Hier, le pasteur de 75 ans est mort ; que jusqu’à aujourd’hui, bien que nous ayons eu plus de 120 morts en 3 semaines ici et que nous étions tous épuisés, détruits, avait réussi, malgré ses conditions et nos difficultés, à nous amener Une paix que nous n’espérions plus trouver.
Le pasteur est allé vers le Seigneur et bientôt nous le suivrons aussi s'il continue comme ça.
Je ne suis pas à la maison depuis 6 jours, je ne sais pas quand j’ai mangé la dernière fois, et je me rends compte de mon inutilité sur cette terre et je veux consacrer mon dernier souffle à aider les autres. Je suis heureux d’être de retour à Dieu alors que je suis entouré de la souffrance et de la mort de mes semblables « .
Témoignage récolté par : Gianni Giardinelli ❤
Traduit de : Italien
En cliquant ici > un guide de prière pour vous aider à prier pour un vrai retour ou une (re)consécration au Dieu vivant.
Soyez béni-e, secouru-e et sauvé-e.
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* Dès le commencement de nos problèmes avec le mal, dans le 3e chapitre du livre (biblique) de la Genèse, on voit comment le genre humain tombe en ne résistant pas à une tentation, et comment, avec le jugement qui en résulte, l'Éternel-Dieu donne aussi le moyen qui permet que les fautes soient effacées, que la relation avec Lui soit tout à nouveau restaurée > Genèse 3. 1 à 21
(pour comprendre ce qu'est le moyen révélé dès ce moment par Dieu - le besoin d'un sacrifice - cherchez parmi les pages de ce blog (ou ailleurs, ou directement dans une Bible) en quoi Jésus est celui qui s'est donné lui-même à Dieu comme ce sacrifice, pour nous soustraire à la puissance du mal en nous ramenant au Dieu-Père. 2Corinthiens 5. 17 à 21
Parmi les innombrables messages chrétiens qui décryptent l'actualité à la lumière des Écritures bibliques, et notamment des prophéties, je vous soumets là une vidéo enregistrée dans une église d'Antibes.
Je la trouve intéressante car ce qui est dit à propos du coronavirus covid-19 n'est pas seulement un message préparé dans un pasteur dans son bureau, mais il s'agit d'un partage fait de diverses paroles de connaissance données par l'Esprit de Dieu à plusieurs, ce qu'on appelle des paroles rhema (en grec biblique) par opposition à des paroles seulement écrites et pas forcément vivifiées par l'Esprit divin (paroles logos).
Vous pouvez commencer l'écoute à 27 mn si vous voulez sauter les chants ou les écouter plus tard. Le message dure alors 26 mn.
Soyez béni-e par cette écoute.
Si vous désirez pour la première fois (ou pour un retour à lui) adresser une prière toute personnelle à Dieu, vous pouvez trouverici > un guide pour vous y aider.
B - DRAMES COLLECTIFS AVEC ATTEINTES (PLUS OU MOINS GRAVES) DIFFÉRENCIÉES
La différence avec la première partie de cet article (A - ici) vient de ce qu'on aborde la question de notre responsabilité morale et d'un secours qu'on peut recevoir - ou pas - dans une épreuve, non plus d'une manière générale, collective, indifférenciée, mais en tenant compte de la personne particulière de chacun.
C'est ainsi que dans un même accident ou un attentat des personnes peuvent être tuées et d'autres en réchpper avec des blessures plus ou moins graves et invalidantes.
PRINCIPE GÉNÉRAL ET PARTICULARITÉ
Le principe général définit par Jésus en 1ère partie subsiste : On est tous par nature des êtres imparfaits, vulnérables, en sursis de vie, la Bible dit "pécheurs", c'est-à-dire ayant une propension dominante et irréductible à mal faire, à faire mal et par là à se rendre coupable.
Une disposition maligne commune à tous qui, devant la juste justice de Dieu, nous trouve méritant tous de subir la sanction qu'est la mort - ce qui arrive à tous, remarquons-le bien ! (sans qu'existe aucune autre raison, logique, scientifique, pertinente à ce phénomène de notre finitude physique.
Mais surtout abordons ici la question de la différence de traitement entre tel ou telle pris dans un même événement catastrophique. Pourquoi certains survivent, voire pourquoi avec plus ou moins de handicap ?
C'est que la question de la grâce de Dieu peut se substituer à celle de sa justice légale, stricte, que figure la fameuse loi du talion qui s'énonce notamment par la formule "Œil pour œil, dent pour dent, vie pour vie".
La grâce de Dieu ne balaie pas de façon aléatoire cette loi de justice, mais s'y substitue dans la mesure où une autre forme de la justice est mise en place.
C'est précisément ce que Jésus est venu faire en paraissant sur la terre en vue de mourir à notre place, pour que par la foi en lui, nous échappions à l'essentiel des menaces que suscitent nos comportements coupables.
De la sorte, celui et celle qui croit en cette identification du Christ Jésus qui a donné sa vie avec nous pécheurs voués à la mort, est rtendu juste par sa foi.
C'est comme si, recevant d'une personne riche un gros chèque qui permet d'éponger tout d'une dette dont je ne peux me sortir tout seul, il me suffisait de croire que ce n'est pas une mauvaise blague, mais que, prenant ce chèque et l'encaissant, j'étais d'un coup libéré de ce poids. C'est ce que Jésus a fait pour nous. C'est ce que nous aons à croire pour être dégagé de la pression sourde sous laquelle nous tiennent nos péchés, toutes nos fautes, paroles et actes mauvais, et encore pensées fausses.
DES EFFETS MULTIPLES, AVEC DEUX NIVEAUX DE PRIOTECTION
Les effets bénéfiques et déterminants sont nombreux d'une existence fondée par choix sur la foi en le Christ Sauveur (plutôt que fondée par défaut sur la stricte loi de la justice divine, qu'elle soit eprimée par une religion dans laquelle on évolue ou ou par une propre conscience).
Sans entrer ici dans tous ces effets, sachons que la différence va toujours se faire entre une telle personne devenue, comme le définit la Bible, "un enfant de Dieu" (lire ici), et ceux qui reste dans leur état naturel de pécheur/pécheresse sur qui plane, dans une grande inconscience, des dangers (que traduisent des peurs, du stress, de l'agressivité, des dépressions, insomnies, mal-être, etc...).
La grâce de Dieu protège les enfants de Dieu de deux maznières.
C'est d'une part une protection totale d'un mal surgissant, d'autre part une protection partielle, qui limite un mal sans en préserver totalement.
PROTECTION TOTALE...
Elle est toujours possible de la part de Dieu. Notamment quand le mal qui nous vise et va nous atteindre est injuste, par exemple disproportionnée, par rapport à une faute qu'aurait commise et qu'on répète sans trop nous en apercevoir.
L'intervention divine, par son Esprit-Saint ou par quelque ange serviteur, peut aussi résulter du jeu total de sa grâce, alors que notre comportement aurait pu nous valoir une correction.
Pour ma part bien sûr, sur plusieurs décennies de marche avec Christ, j'ai pu voir quelques-uns de ces secours où, in-extrémis, on sent clairement un fait, un mouvement, un changement surnaturel qui, actionné d'une manière ou d'une autre, modifie une situation qui a frôlé devenir une catastrophe...
Le propre de la grâce divine manifestée par Jésus et notre foi se trouve ainsi fondamentalement dans la volonté, le désir et le pouvoir de Dieu de nous garder du mal, notamment le plus sévère comme l'effet d'une mort survenue sans qu'on ait mis notre âme en règle avec lui.
... ET PROTECTION PARTIELLE
Et puis il y a toujours cette possibilité, dans notre imperfection et manque de conscience ou de connaissance des voies du bien et du mal selon Dieu, que nous nous exposions à quelque esprit maléfique qui réussit à nous pousser dans un comportement mauvais ou un autre (adultère ou autres impudicités, alcoolisme, toxicomanie, mensonge réitéré, mauvais caractère persistant...
Toutes choses qui attirent les démons et leur donnent du pouvoir sur notre existence (ce i se traduit par ce qu'on appelle dépendance ou addiction, oppression, possession).
Et de là, après quelques alertes, sonnettes ou trompettes bienveillantes de la part de Dieu, des châtiments qui finissent par tomber, par faire mal, dans l'âme et jusque dans le corps (par effet de somatisation).
Là, on peut prier et obtenir de Dieu qu'il arrête ou adoucisse le mal qui nous atteint, qu'il guérit, soulage, console, répare...
Et quand notre abaissement est tel que nous n'avons même plus la force ou la pensée de prier, la grâce de Dieu va cependant se manifester à un moment ou à un autre. Selon le principe que Dieu abaisse ce(ux) qui s'élève(ni) et élève ce(ux) qui s'abaisse(nt) ou est(sont) abaissé(s).
Et tout cela peut se voir avec la pandémie du covid-19, comme cela s'est vu pendant des attentats et autres guerres (et même la Shoah)..., où des personnes meurent, d'autres affectées guérissent et d'autres ne subissent pas l'action infectieuse du virus.
Ainsi un véritable croyant sait que rien de son existence n'échappe au regard et à la capacité de protection de Dieu, tout ce qui peut l'atteindre étant d'une manière ou d'une autre quelque chose que Dieu va faire jouer en sa faveur.
C'est là vivre dans la confiance quasi enfantine que s'il est un Dieu tout puissant (créateur de toutes choses) et aussi amour, ce Dieu est capable de s'occuper de nos gros comme des petits bobos, dominant - notamment quand on fait appel à lui - les tempêtes, les calamités, tout ce qui nous est problématique. > Matthieu 8.24...
Ainsi, le Dieu véritable, créateur de l'univers (des êtres humains et même des virus) et rédempteur des perdus, est toujours capable de faire des différences, même s'agissant de jugement comme celui sous lequel est tombée d'une manière unique, éminemment surnaturelle, toute la terre habitée.
ALORS CROYEZ !
Croyez, commencez à croire ! - que ce qui nous atteint à cause de nos fautes diverses, multiples et persistantes, iniquités et autres failles dans la connaissance, n'est pas une fatalité sans secours pour vous.
Outre vous confiner, confiez-vous par la foi en la personne de Dieu et de Jésus-Chrsit, pour la protection immédiate, et surtout pour la protection de votre âme. Et faite confiance. Que vous viviez ou même mouriez, vous serez pris en compte par Dieu pour le meilleur pour vous.
De la sorte, chaque épreuve, chaque adversité peut être vue comme étant aussi un tremplin pour entrer dans plus de communion ou d'expériences avec lui.
Quelle différence y a-t-il entre celles et ceux qui souffrent et meurent en ce moment du coronavirus covid-19, et celles et ceux qui sont ou semblent ne pas être atteints ?
C'est la vieille question de la responsabilité personnelle qui est la nôtre, qui est celle de chacun et de tous les autres, quand un groupe de personnes est soudain entraîné dans la mort (ou une même sanction grave).
CHERCHER UNE RÉPONSE JUSTE ET UTILE
Pour être sûr d'avoir une réponse pertinente, on peut revenir, comme à une situation archétypale, à cette épisode de la vie de Jésus où il est interrogé par ses disciples au sujet de deux accidents collectifs mortels qui viennent d'arriver.
Que comprendre par ce texte, qui ait un sens et soit une réponse utile, révélatrice, à propos de la pandémie qui est à toutes nos portes ?
A - UN MÊME SORT POUR TOUS
On lit qu'il s'agit dans les deux cas rapportés, de la mort de toutes les personnes concernées.
On n'est pas là dans un autre cas de figure (qu'on va voir ensuite, en B -) où se trouvent mêlés dans un même drame collectif des morts et des blessés.
Ici la réponse est générique et sans ambiguïté, qui signifie : vous, les êtres humains, êtes tous des coupables devant Dieu, méritant la mort qui est comme une épée de Damoclès au-dessus de chaque tête.
Cela signifie - et rappelle - qu'on est tous en sursis de mort. (Pour les intellectuels ou littéraires, rappel de l'excellent livre de Kafka Le procès, dont c'est le thème... codé).
C'est ainsi qu'un peu après Jésus, c'est l'apôtre Paul qui va être chargé de formaliser en enseignement cette vérité essentielle, écrivant dans sa lettre aux Romains (que nous rapporte la Bible) : "Car tous ont péché et sont privés de la glorieuse présence de Dieu..." Présence de Dieu qui est la vie éternelle et sa source unique.
Plus loin il explique le fondement de la justice divine : "Car le salaire du péché, c'est la mort...", le péché étant tout ce qui est injuste en rapport des lois et enseignements divins, tout ce qui se fait, se pense, se dit à partir de nos travers et subjectivités partielles, changeantes et toujours insuffisantes, ce que produit nos égoïsmes, orgueil ou lâcheté, actions, paroles ou pensées mauvaises, méchantes ou trompeuses.
Mais le message évangélique n'est pas pour nous laisser livrés à ce seul constat général, autant affligeant et culpabilisant qu'affirmatif et réprobateur.
Voilà ! Il y a une solution pour passer d'une mort certaine - que figure autant qu'est en soi la mort physique - à une vie éternelle, par une vie - divine, spirituelle - surajoutée à la nôtre - physique et psychique - jusqu'à pouvoir nous éviter de voir la mort comme une épouvante - qu'elle est naturellement -, en nous donnant l'assurance de pouvoir un jour vivre éternellement à partir d'une résurrection glorieuse qui donne au croyant un corps tout nouveau. (Lire ou écouter le développement en cliquant ici > 1ère lettre aux Corinthiens, tout le chapitre 15)*
QUO VADIS ? OÙ VAS-TU ? OÙ VA-T-ON, LES UNS ET LES AUTRES ?
A partir de là, il nous reste à nous arrêter - ce que le confinement favorise ! - pour nous interroger : Où en sommes-nous au sujet de notre culpabilité indéniable dans la manière dont on fait de la terre un chaos ? Dont on a (et dont on) défait encore tous les équilibres naturels, écologiques et moraux ?
Comment passer pour innocent devant Dieu ? Un Dieu juste et saint, pur, généreux parce qu'il est amour, mais aussi juge parce que garant de la justice ?
Dès lors il dépend de nous que nous rencontrions de force Dieu dans les effets de sa justice quand elle se met en marche, avec de justes et sévères jugements; ou que nous le rencontrions dans l'humilité et la paix en reconnaissant son amour qu'il a manifesté comme jamais en la personne, parole et actions de Jésus sa personne et son envoyé incarnés.
CHOISIR DE PASSER DE SOUS UNE JUSTICE (QUI NE PEUT QUE NOUS TUER) À UNE JUSTICE QUI NOUS FAIT GRÂCE (AFIN QUE NOUS VIVIONS)
En fait donc, cela signifie que face au fait qu'on est mortel, on a tous à demander pardon à Dieu pour qu'il efface nos fautes, nos offenses, toutes nos injustices.
Cela s'appelle sa Rédemption.
La base de ce pardon, de cette grâce, c'est le don de sa vie par Jésus, qui s'est offert à Dieu pour nous, subissant, par ce fait de se mettre à notre place (de s'identifier à notre condition de misérables), les pires souffrances et la mort qui peuvent à tous moments nous atteindre tous.
Tout l'Évangile, qui constitue la seconde partie du Nouveau Testament, est cette Bonne nouvelle de la grâce que Dieu peut accorder aux pécheurs/pécheresses qui veulent croire.
Il s'agit en fait de la rencontre fécondante, productrice d'une vie nouvelle, spirituelle, en nous, de deux causes déterminantes.
D'une part la mort sacrificielle (volontairement sacrifiée) de Jésus pour nous. Une mort injuste pour lui dont l'existence fut un parfait sans faute, mais qui constitue aussi un salaire, un du à la justice divine, payé au prix le plus fort pour (nous) racheter (de) nos fautes;
D'autre part il faut notre foi, toute personnelle, placée en la personne de Jésus-Christ et en son sacrifice où il est crucifié parce que prenant notre place pour nous éviter les pires effets du mal que nous avons commis (activement ou par passivité).
Dès lors ne dites jamais que vous ne savez pas ! Surtout entrer dès maintenant au bénéfice de ce secours hautement immérité... si ce n'est par les mérites uniques du Christ et Messie Jésus (Yeshoua en hébreu, Issa en arabe...). Et quand vous savez être vous-même sauvé-e, partagez cette merveilleuse nouvelle...
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* Je prends ici chaque fois la Bible comme étant le support majeur, immuable, avéré au fil des siècles, des plus importantes vérités que nous avons besoin de connaître.
Sinon quoi ? Croire quelques philosophes - dont Sartre qui a poussé la réflexion humaine logique jusqu'à son terme où il doit admettre que "L'univers sans Dieu, sans raison d'être, est absurde dans son ensemble et dans ses parties".
Croire les idéologues ?... dont Marx est le plus suivi, qui prône la violence, les luttes, pour imposer une vue des choses dont on a les preuves qu'elle est maléfique et mortifère.
Croire nos propres opinions, "nos vérités", faites de bric et de broc, sans aucune valeur en soi pour la simple raison logique qu'il est impossible que les grandes vérités puissent se croire et se dire par des idées multiples différentes et antagonistes.
:
Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.