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24 octobre 2018 3 24 /10 /octobre /2018 14:30


Il y a dans ce monde ce que Dieu veut et ce qu’il permet. Les deux (volonté et permissivité divines) peuvent être – à cause de la liberté qu’il nous concède – jusqu’à diamétralement opposées.


C’est ainsi qu’il peut exister beaucoup de choses qui ne semblent pas du tout pouvoir s’accorder - alors qu’elles le peuvent -, comme aussi d’autres qui semblent associables - mais ne le sont pas pour le bien.

 

TROIS LIVRES SUPPORTS DU BIEN... OU DU MAL !?
Et parmi les ambiguïtés de notre monde, on trouve 3 livres étonnants aussi qu’importants, qui parlent de Dieu et supposément de sa part : le Tanakh, la Bible et le Coran.
A priori, si on en juge selon les personnes et communautés qui s’en réclament, ces écrits divisent l’humanité plus qu’ils ne contribuent à une fraternité universelle, produisent des frictions graves jusqu’à créer régulièrement, aujourd’hui comme hier et avant-hier, des affrontements sanglants, des assassinats horribles d’hommes et de femmes et d’enfants*.

 

Comme si ces livres étaient là uniquement pour diviser les croyants monothéistes en 3 camps ennemis : dans l’ordre d’apparition, celui des juifs - celui des chrétiens – puis celui des musulmans.
Comme si ces livres étaient foncièrement antagonistes.
Ce qui est – mais n’est qu’- une demi-vérité ! Or une demi-vérité est très souvent un mensonge, qui sert le mal.
On voit bien cela par exemple en Genèse 12.12 avec Abram (le futur Abraham, dont se réclament à un titre ou à un autre juifs, chrétiens et musulmans. Arrivant en Égypte suite à une famine, il demande à Saraï sa femme de dire aux égyptiens qui repèrent les belles femmes (et donc à Pharaon le cas échéant) qu’elle est sa sœur. Cela est vrai puisqu’elle est sa demi-sœur, fille de son père mais pas de sa mère (Genèse 20.12).
Il va recommencer une nouvelle fois ce subterfuge qui exprimait sa peur, un manque de confiance en Dieu à cet endroit de son couple.


_____________________
* Par les religions avec leurs lois et pratiques et rites obligés, Dieu cherche à ce que nous nous découvrions en vérité comme nous sommes à ses yeux : des êtres pleins de manquements, désobéissants, aux mauvaises pensées incontrôlables, hypocrites face aux autres, méchants… toutes sortes d’expressions du mal particulièrement mises en relief par les attentes exprimées par les religions.
C'est au point où ce sont souvent ceux qui veulent être les plus assidus et zélés, qui se montrent les pires des êtres humains, fourbes ou méchants.  C'est pour tout être humain honnête une vraie interrogation ! 
C'est, là où on aurait pu s'attendre à être heureux de plaire à Dieu, la démonstration d'un vrai besoin de Grâce de sa part. C'est le but essentiel que poursuit Dieu : Que nous nous voyons en vérité comme des êtres non seulement imparfaits et faillibles, mais encore pécheurs invétérés, coupables, incapables de tenir dans le bien, séparés de Dieu… tant que rien de nouveau et surnaturel ne vient changer cet ordre ordinaire de notre nature.


¤

 

ÉCRITURE ET LECTURE, DEUX COMPOSANTES
Et donc, concernant les 3 livres en question, sont-ils seulement
a) opposables et instruments de divisions, comme cela se produit par la lecture qui en est habituellement et traditionnellement faites, qui assoit et conforte les religions et leurs fidèles ou adeptes en systèmes (religieux, impuissants à transformer qui que ce soit), et de plus effectivement incompatibles les uns avec les autres !?
b) ou bien, comme Dieu éclaira Abraham qui se fit gravement menteur en ne disant pas tout, pouvons-nous être éclairés nous aussi par Lui – le même Dieu, qui ne change pas -, pour lire d’une autre manière les écritures inspirées !?

 

COMMENT LES TEXTES PEUVENT ÊTRE LUS AUTREMENT !? - EN LES ÉTUDIANT DAVANTAGE ?... MAIS COMMENT ?
On va donc voir et entendre ici une toute autre lecture possible de ces livres/fondements qui portent - mais c'est le strict minimum ! - à croire à un seul Dieu éternel.
Pas une nouvelle lecture qui justifie quelque préjugé, a priori ou parti-pris obstiné ; mais une lecture qui justifie la vérité !
Pas une lecture philosophique ou psychologique qui se perd dans un intellectualisme qui trouble la foi plus qu’elle ne lui permet de vivre le surnaturel de Dieu.
Non, une lecture qui s’appuie, à partir de chacune des écritures, sur leurs points communs indéniables, sur des correspondances, juxtapositions et recoupements qui ne peuvent laisser indifférent.

 

SUR FOND D’HUMILITÉ ET DE SINCÉRITÉ
On va voir qu'il s'agit d'une approche tangible, très concrète.
Mais Dieu faisant sa part, une condition est nécessaire de notre côté : avoir une bonne curiosité (ouverte, dépassionnée, objective) et un certain désir d’atteindre les vérités fondamentales qui traversent ces ouvrages. Vérités premières qui nous concernent tous et chacun, personnellement - en ce que nous sommes existentiellement et essentiellement souffrants et mortels - ; et qui concernent Dieu, en personne - avec qui peut s'établir une relation vivante si nous le percevons non selon des représentations religieuses approximatives, mais suffisamment tel qu'il est.

 

Bref, une recherche en vue que nous nous rencontrions, Lui et nous, par la découverte du socle commun exact et unificateur par lequel il veut, Lui, que nous trouvions
a) individuellement le repos de notre âme par l’assurance d’être sauvé : et
b) que nous devenions collectivement une humanité nouvelle.
Ce qui est le transcendantal dessein (projet, plan B) éternel de Dieu.

 

1ère PARTIE
Dans cette section de l’article, on va rapprocher le Coran et la Bible, en visionnant et écoutant les deux ou trois vidéos suivantes.

Bonne écoute bénie par le Dieu unique, le + grand et le + haut.

Vidéo 1 : Amid (film de 50 mn)

Vidéo 2 : Sergio (témoignage 15 mn)

Vidéo 3 : Moussa KONÉ (témoignage 1h 12)
Nota : l'authenticité de certaines paroles de Moussa Koné est contestée par certains musulmans ; raison de plus pour que vous jugiez par vous-même si sa quête est véridique et digne d'être entendu ou pas...
Éventuellement un autre témoignage (écrit à lire) : Mario Joseph, imam qui étudia le Coran jusqu'à des interrogations profondes... 

 

À suivre : Le Tanakh (qui est aussi l’Ancien testament ou 1ère partie de la Bible telle qu’elle est conservée par la hiérarchie catholique) et la Bible (Ancien et Nouveau Testament).

 

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21 octobre 2018 7 21 /10 /octobre /2018 08:43

Dieu a initié pour former le genre humain des dynamiques de vie (végétative, animale (dont l'âme) et plus typiquement humaine (une part de son Esprit) qui se transmettent de génération en génération - avec des gains et souvent avec des pertes. 
Il importe à chacun recevant ainsi des capacités, des dons, des talents (manuels, psychiques ou spirituels) de les mettre en œuvre, ce qui peut se faire pour servir le bien ou le mal ; Dieu, notre propre ego ou encore Satan (ces deux derniers allant comme naturellement dans le même sens).

Ainsi chacun pour sa part, dans son coin ou jusqu'à l'échelle mondiale, contribue à faire vivre et avancer ce monde, soit plutôt vers sa fin tragique (comme peut aussi être la nôtre - si le surnaturel de Dieu ne vient ou ne peut pas venir y interférer) ; soit plutôt vers sa fin heureuse (comme peut également être la nôtre - si nous entrons dans la réconciliation bénie offerte par le Divin à travers le sacrifice tout particulier de Jésus pour nous).

Et pour coller à l'actualité autant qu'aux réalités profondes et éternelles, je vous donne là deux représentations de comment, au plan européen, nous pouvons mettre nos forces en œuvre, collectivement ou individuellement, pour une manière ou une autre de bâtir...

EUROPE, REVIENS ! 

 

- Europe ! Europe ! D’où te vient cette idée d’écouter
Une voix que tu ne connais pas, après avoir éconduit
Le Christ Dieu de tes pères qui recevaient ses vérités
En comptant plus sur lui que sur l’humain qui le trahit ?

Veux-tu revenir en arrière en te croyant mieux armée
Que la belle Phénicienne séduite par le Taureau blanc
Qu’elle chevauche inconsciente que la bête n’a d’idée
Que de s’unir à elle pour assouvir son sexe vilement ?

Cherches-tu Europe d’aujourd’hui - plus qu’inconsciente -
Reprenant cette image en symbole, te faire aussi violer ?
Ou bien penses-tu, nubile déflorée de plus outrecuidante
Faire plier le molosse plein d’âge et fixe dans ses visées ?

Et ton parlement, est-ce hasard qu’il soit tour de Babel ?
Veux-tu défier le Dieu, plus souverain que tous les tiens,
Affichant ainsi un désir d’unité qui se fonde sans le Ciel ?
Et ton drapeau aussi pris de la Bible c'est pour faire bien ?

Sais-tu ce qu’il représente et le vrai sens de l’Histoire! ?...
Que fais-tu encore avec cet "hymne à la joie" aux paroles
Qui invitent à chercher Dieu le Père !? Comment te croire
Quand tu tournes le dos à son Fils, tenant le double rôle ?


Car les temps changent, mais les forces célestes antiques
Demeurent et poursuivent, inlassables, de sombres menées
Pour mettre - par l’Europe surtout - sous un joug satanique
Toute l’humanité !... Un projet qui devient vraie possibilité.

Alors Europe ! - Europe !!! Reviens à la vie et on parlera moins
De crises et de mort et de morts dans tes murs ! Car Dieu dit
Qu’il met devant chacun, des chemins de vie offrant ses soins,
Et que d'autres mènent à la mort ; et il te dit : Choisis la vie !

CT - 15 oct. 18 - ALGDDV

¤

En seconde partie, voici une manière - certes moins séduisante mais plus grande, plus juste et au final magnifique - dont l'Allemagne, l'Angleterre et la France (s'il parle en anglais l'orateur est allemand, et traduit en français) peuvent construire l'homme nouveau et préparer la terre de demain à partir du Réel comme il est.

Bonne suite de vie à vous qui avez lu jusque-là.
 

 

 

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18 octobre 2018 4 18 /10 /octobre /2018 08:23

Partition de la 9e symphonie
écrite par Beethoven.
Un langage muet (inaudible) pour qui ne le connaît pas !
Mais qui déclenche de la vie dès qu'il est interprété !
Exactement comme fait Dieu quand il crée : Des paroles que nous ne comprenons d'abord pas, mais qui tout à coup se mettent à prendre tout leur sens.

 

Dans un présent où les repères se perdent et par là le sens, jusqu'à passer de la cohérence à la co-errance (ou in'co-errance), on peut s'interroger sur le pourquoi du choix du dernier mouvement de la 9e symphonie de Beethoven comme hymne européen (qu'on appelle l'hymne ou ode à la joie) !?

Certes on veut de la joie, pensant qu'en s'unissant on va triompher des risques de guerre, vivre en paix ensemble et en être joyeux.
Depuis le temps (le choix de cet hymne remonte à 1972), et avec tout ce qui se passe en Europe depuis, on n'a pas trop vu des rassemblements de joie inter-nations !

FÉDÉRER SANS CONTRAINDRE ! RÉALITÉ OU LEURRE !?
Se serait-on trompé en croyant qu'on avait par la création pacifique, non contrainte, d'un empire européen le moyen de la paix et de la joie entre des peuples ainsi associés ?
Pour quiconque connaît d'une part la faiblesse des bonnes intentions et d'autre part la dureté égocentrique qui est tapie au fond de tous les cœurs, il est évident qu'il ne suffit pas de rapprocher les peuples, de les fédérer (exemple de l'union des républiques soviétiques entre autres) et même de les inciter à des unions sexuelles sans barrières pour faire une nouvelle humanité. Outre l'Histoire, l'actualité nous montre la voie sans issue entreprise.
Ne serait-ce que parce qu'il y a une différence énorme entre fédérer des peuples (jusqu'à contre la volonté majoritaire) et un désir spontané des peuples de fraterniser. Si le mouvement part de la base, on va vers des rapprochements heureux ; si quelques-uns veulent le contraindre, c'est aller dans le mur.

L'Europe a-t-elle été voulue par les français ? Non, fut la réponse au référendum. Mais on a été enrôlés par ruse (détournement via Lisbonne) dans l'Europe, malgré cet avis qui devait s'imposer au politique (politiquement correct !).
C'est donc déjà bien mal parti avant que ça commence ! Et on est maintenant pris dans cette machinerie (coûteuse en plus), comme il y en eut d'autres avant, toutes finissant, nous dit l'histoire, par la déconfiture !

Mais notre devenir est-il entre nos mains ou même entre celles des politiques du moment ? Certainement pas ! La Bible dit que l'homme calcule ses voies, mais c'est le dessein de Dieu qui au final l'emporte.
Et pour le moment, le dieu de notre monde culturellement ou religieusement séparé du Dieu véritable, c'est encore Satan, le serpent et diable anciens dont l'éternité de vie assure la pérennité. Mais par dessus tout, le Dieu créateur de tous - qui n'a été "castré" qu'illusoirement par cet ange déchu comme en parle la mythologie grecque* - domine, sauve, délivre, et va bientôt revenir sur terre pour instaurer son ordre en lieu et place de tous les désordres (voir Apocalypse ou ailleurs).

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* Ouranos, le Ciel primordial, figure de Dieu, est castré par Cronos, le temps, figure de Satan sa créature révoltée qui en introduisant la mort de l'homme prend le dessus sur l'éternité.
Mais Zeus, dernier de la nature des Titans laissés libres (le peuple israélite), figure de Jésus, va à son tour castré ce père cruel , ce qui se produit quand Jésus est si injustement crucifié que le créateur unique son Père va le ressusciter. Il devient ainsi le sauveur qui libère les captifs de l'Hadès ou séjour des morts (le Tartare c'est les grecs) et peut soumettre Satan à quiconque, aujourd'hui encore,  se place sous l'autorité de Christ dont il reçoit la vie éternelle.
¤

UNE (AUTRE) CONTRADICTION DE FOND
Mais revenons sur la cohérence ou cette co-errance de l'Europe au niveau de l'hymne qu'elle s'est attribuée. Car là aussi on peut s'interroger.
En effet voici là en quelque sorte une Europe bicéphale (à 2 têtes).
D'un côté elle se veut d'une gauche progressiste dont le mot laïcité est devenu plutôt une couverture sur son athéisme ou impiété que ce qu'en dit par exemple la Déclaration des Droits de l'Homme de 1948 - article 18 notamment : "Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites."

Et d'un autre, elle veut faire chanter les peuples en les incitant à chercher... Dieu "le tendre père" ! Comme vous pouvez le lire ci-après si vous ne connaissez pas les paroles de cet hymne.

SORTIR DE LA CONFUSION DONT LE MAÎTRE-MOT EST AMALGAME
La confusion qui grandit sous forme d'amalgame (notamment pluriculturel), d'indifférenciation et de noyade de l'identité, ne peut satisfaire ni les personnes qui prennent la connaissance comme un moyen* de réfléchir et de discerner dans le réel ce qui est vérité et mensonge, bon et mauvais, ni les religieux qui ont leur système (à défendre).
Ici cette incohérence vient sans doute de ce que l'Europe a été pensée et désirée par des croyants : Churchill appelle l'Angleterre (anglicane) à la prière quand l'Allemagne l'attaque ; Roosevelt et l'Amérique d'alors venus nous secourir sont essentiellement évangéliques ; les français artisans de cette idée européenne sont au moins de culture traditionnelle chrétienne et encore catholiques et protestants (non avoués ! C'est terrible de se réclamer de Christ et de n'être pas son témoin par la bouche comme par les actes).
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* moyen plutôt que comme objectif, prétentieux, d'avoir de la culture, de la pensée philosophique ou sociale, etc.
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DÉCALAGE, TENSION? DÉCHIRURE, ET PIRE ENCORE...
Mais quand la concrétisation peut être menée à terme, l'apostasie (abandon de la foi, favorisée par le retour à la paix, l'ingratitude spirituelle, l'attrait du matériel et les philosophies anti-Dieu) a pris le dessus. Dès lors veut se lever une Europe non plus unie sur un fond de christianisme, mais sur un rejet de Dieu. Proclamation que l'Europe n'a pas de racines chrétiennes, notamment dynamisée par Jacques Chirac - qui paie certainement sur sa fin ici-bas cette trahison et amnésie culturelle majeure.

De là la dichotomie - pour ne pas dire la schizophrénie - qui conduit à des décisions toujours plus privatrices de liberté et des situations économiques qui sont le contraire de ce qui est humainement recherché.
C'est que "jeter le bébé avec l'eau sale du bain", nier Dieu sur l'argument que les religions le représentent mal et en détournent n'est pas une raison suffisante. Si les hommes même responsables religieux sont infidèles, pervers ou cupides..., Dieu pour sa part reste fidèle à ce qu'il est toujours - principalement justice et amour -, à ses promesses et conditions d'alliance. (lire ici vers. 3 et ss).
Pour ne pas mieux réfléchir à ces choses de l'ordre spirituel, on devient ensemble et individuellement hémiplégique ou unijambiste, vivant avec une âme esseulée, animale, insuffisante, dans un corps, et non plus par le bel assemblage que forment une âme et l'Esprit de Dieu associés dans le pardon, l'humilité, la justice (et justesse) et l'amour pour le bien.

Il est donc évident que pour ces quelques raisons de fond déjà, l'Europe n'est pas fondée sur du roc, mais sur une base bancale. Dans laquelle la Norvège n'a même pas voulu entrer ;  d'où la Grèce en premier a bien souffert, puis l'Espagne ; d'où l'Angleterre se sort... difficilement (Curieux de vouloir la garder comme on voit si âprement dans le filet - preuve que l'amour n'était (n'est) pas le moteur de cette union).

Donc un hymne à écouter avec délectation et sans conscience autre que musicale parce que c'est du Beethoven ; ou des paroles à suivre pour comprendre ce qu'il y aurait - ou aurait eu - de réellement joyeux pour nous et glorieux pour Dieu qu'on se fédère d'un même cœur pour bannir les barrières à l'intérieur de cet Europe des volontaires de l'amitié et de la foi... et élever avec sagesse les frontières de son périmètre pour garder son unité bien fondée et exercer son hospitalité comme la Bible y incite et non avec une pseudo-compassion océane et dévastatrice comme on voit.

Mais c'est trop tard - et trop tôt en même temps... - parce qu'aussi il est écrit que cet Europe non géographique - c'est le cas puisque plus de la moitié des territoires formant l'Europe physique ne sont pas membres, dont la Russie - sera une reconstitution de l'ancien empire romain destinée à permettre à Satan - qu'on ne l'oublie pas trop vite, si on veut comprendre - de poser sur l'humanité entière un joug des plus pesants.
Pesant comme jamais en réalité, précisent les textes bibliques (notamment au livre du prophète Daniel), en vue de s'assurer une suprématie sur le genre humain qu'il pourrait revendiquer devant Dieu comme étant éternelle !

Allez-vous être, êtes-vous dans votre ignorance, de ceux qui feront allégeance à cette "bête" - c'est ainsi que l'Apocalypse a prédit et appelle le système mondial économico-politique qui monte ?
En réalité il y aura 2 bêtes. L'autre sera un système religieux syncrétique, dont les bases se posent en ce moment, ce qui a particulièrement été mis en lumière en 1986 dans la ville d'Assise. (Mais ce serait trop long de développer ici).

Ou déjà cherchez-vous à comprendre, réflexions et informations (voire révélations) à l'appui, le monde dans lequel nous sommes nés (comme le bébé d'une femme emprisonnée naît dans la captivité de sa prison) ? Cela en vue de trouver l'autre porte de sortie que la mort* ordinaire (dans l'impiété ou sous une religiosité sans ouverture spirituelle) dès maintenant ici-bas ?
__________________
* relativement à la mort, article détaillé sur Les 5 types de mort
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POUR, CONTRE, DANS, COMMENT ?
Comprenez bien qu'il n'est pas question là d'être pour ou contre l'Europe. Dans la mesure où on est dans, et à moins de s'exiler, il s'agit de discerner, comme dans notre propre existence, ce qui, selon Dieu, est mauvais et ne pas y participer ; ce qui est une vraie bonne chose et ce où, sans manifester de violence, on peut ne pas être d'accord.
Et ce n'est pas même une question de morale ou de la philosophie, avec leurs valeurs et délimitations discutables et sans cesse contredites.
On est plus nettement à la lisière - qui permet un vrai jeu de notre liberté et responsabilité - des deux courants, de vie (initié par Jésus ressuscité pour faire faire à notre humanité un saut quantique dans le spirituel divin) et de mort (qu'initient nos fautes qui s'accumulent et qu'on conserve sans chercher à en être pardonné et déculpabilisé).

Il faut savoir pour croire juste, et pour savoir juste (parmi tout ce qui est proposé), il faut chercher les vérités de fond. Surtout en remettant forcément en cause notre pack d'acquis initial car c'est autrement que culturellement ou religieusement on a à entrer dans la dimension principale de la Vie qui est amour, justice et éternité. Dieu qui nous aime désirant la transmutation et l'éternisation de notre ego (âme support de notre individuation consciente).
¤

Ode à la joie, symphonie n° 9 L. v. Beethoven,
d'après le poème de Friedrich Schiller

Joie ! Joie ! Belle étincelle divine,
Fille de l’Élysée,
Nous entrons l'âme enivrée
Dans ton temple glorieux.
Ton magique attrait resserre
Ce que la mode en vain détruit ;
Tous les hommes deviennent frères
Où ton aile nous conduit.

Si le sort comblant ton âme,
D'un ami t'a fait l'ami,
Si tu as conquis l’amour d’une noble femme,
Mêle ton exultation à la nôtre!
Viens, même si tu n'aimas qu'une heure
Qu'un seul être sous les cieux !
Mais vous que nul amour n'effleure,
En pleurant, quittez ce chœur* !

Tous les êtres boivent la joie,
En pressant le sein de la nature
Tous, bons et méchants,
Suivent les roses sur ses traces,
Elle nous donne baisers et vendanges,
Et nous offre l’ami à l’épreuve de la mort,
L'ivresse s’empare du vermisseau,
Et le chérubin apparaît devant Dieu.

Heureux,
tels les soleils qui volent
Dans le plan resplendissant des cieux,
Parcourez, frères, votre course,
Joyeux comme un héros volant à la victoire!

Qu'ils s'enlacent tous les êtres !
Ce baiser au monde entier !
Frères, au-dessus de la tente céleste
Doit régner un tendre père.
Vous prosternez-vous millions d’êtres ?
Pressens-tu ce créateur, Monde ?
Cherche-le au-dessus de la tente céleste,
Au-delà des étoiles il demeure nécessairement.

____________________
* "Dehors les rabat-joies" ! Pour une célébration de l'amour et de l'amitié dans l'unité, un peu déplacé non!? Mais ça, c'est tout l'être humain justement !...

Une suite arrive... Soyez visité-e par la lumière d'en-haut !... si vous ne la refusez pas ostensiblement.

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14 octobre 2018 7 14 /10 /octobre /2018 15:43

suite de l'article commencé ici

LA FORCE DES SYMBOLES (COMME DES PARABOLES ET AUTRES MÉTAPHORES)
Comme il y a le monde des idées, avec des concepts qui sont des abstractions avant d'être changés en des réalités sensibles, il y a 6 autres modes/univers/branches que figure depuis l'antiquité le chandelier à 7 branches dont Moïse reçut le modèle sur le Mont-Sinaï... On peut aussi parler de faces de Dieu, qui sont chacune un esprit de dimension divine, les 7 formant ce qu'on appelle le Saint-Esprit (Apocalypse ch. 5).

Par exemple la face avec son domaine spécifique de l'Esthétique, de tout ce qui est artistique, beautés, proportions, couleurs, formes, car Dieu-l'Esprit est en cette part entière de lui-même un artiste, L'artiste !

Autre est le champ des émotions, de l'affect, avec l'enthousiasme divin, notamment la joie de l’Éternel qui peut devenir notre force car Dieu veut la partager - il veut tout partager ! - avec nous... C'est pourquoi l'apôtre Paul invite les croyants à se réjouir de cette joie, pour dominer tout ce qui vient assombrir nos jours...

Mais je ne vais pas là entrer dans un développement complet des faces divines - connaissance dont notre ego pourrait se repaître et/ou se glorifier lui-même au lieu de laisser la place à l'Esprit et de donner à Dieu la gloire quant à ces réalités.
On vient maintenant à ce nec plus essentiel, que notre cœur désire, cherche comme le nourrisson cherche le sein où s'alimenter dans la délectation : l'amour.
Recherche souvent bien maladroite et sans intelligence affective - qui est une intelligence embarquée (donc instinctivement) opérationnelle chez les mammifères en général, mais à former chez nous (ce qui est un privilège et une responsabilité...).
Ce qui fait tant de souffrances, si mal à notre être intérieur quand il (l'amour) est trahi ou cesse d'être partagé.

Sans tomber dans les perversions, tentations et bassesses qui sont que trop possibles, Jésus a dévoilé l'amour (filéo au plan psychique et agâpé au plan spirituel) comme les transcendances de l'être et des existences pourvues de liberté.
Amour filial, fraternel, familial, amitié) et amour plus fort encore (de Dieu, ou qui est Dieu - sa face maitresse avec la justesse et la justice - dont l'autre nom générique et possiblement plus significatif est la bonté ! Car Dieu est bon et sa bonté dure à toujours.

PAS D'AMOUR (DURABLE) SANS BONTÉ
Quand Jésus parle de l'amour comme point vernal de nos relations (en nous-même compris), il fait référence à la bonté plus qu'au sentiment amoureux. Sachant que le sentiment ne peut être permanent chez nous. Selon qu'il se trouve ici-bas souvent éprouvé, contrecarré, soumis à des épreuves qui peuvent être autant de seaux d'eau sur un feu (seul le feu de l'amour de Dieu peut transformer l'eau pour en faire oxygène et hydrogène séparés, un comburant et un combustible qui s'associent pour ajouter à la combustion et non plus l'éteindre).

La bonté véritable possède une force volontaire que n'a pas forcément l'amour sentimental. En cela, l'amour-bonté et les sentiments (dont amoureux) sont deux branches distinctes du chandelier, deux faces de Dieu. Et là encore on peut redire avec le prophète cette parole de Dieu : "Mon peuple est détruit, parce qu'il lui manque la connaissance."
C'est qu'en rejetant Dieu on s'est aussi privés de connaissances  de base, fondamentales - qu'on croyait seulement religieuses -, dont le retrait et l'ignorance produisent l'effondrement des équilibres.

Car si notre centre psychique peut trouver sa tasse de thé ou son café noir, son tiramisu... dans le savoir et quelques concepts ou réflexions même ésotériques, métaphysiques, autant que relatives à son univers matériel terrestre, il ne doit pas nous faire oublier l'amour, si ce n'est le sentiment la bonté... et le manque flagrant qu'on en a !
Car notre capacité intellectuelle est du même ordre que l'argent, le pouvoir ou la sexualité : un bien, des biens, mais qui nous gèrent plus que nous ne sommes capables de les gérer. Et dans tous les cas, sans Dieu compris dans une alliance scellée, on n'arrive à rien de durablement bon.
"... car la loi (la religion en tant que système de médiation) n'a rien amené à la perfection, mais Jésus a introduit une meilleure espérance, par laquelle nous nous approchons de Dieu....
Jésus est devenu sacrificateur (intermédiaire entre Dieu et les hommes pécheurs) avec serment ,par celui qui lui a dit : Le Seigneur a juré, et il ne se repentira pas : Tu es sacrificateur pour toujours, Selon l'ordre de Melchisédek. -
22 Jésus est par cela même le garant d'une alliance plus excellente....
C'est aussi pour cela qu'il peut sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur.26 Il nous convenait, en effet, d'avoir un souverain sacrificateur comme lui, saint, innocent, sans tache, séparé des pécheurs, et plus élevé que les cieux,27 qui n'a pas besoin, comme les souverains sacrificateurs (des religions), d'offrir chaque jour des sacrifices, d'abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, -car ceci, il l'a fait une fois pour toutes en s'offrant lui-même....
...Maintenant il a obtenu un ministère d'autant supérieur qu'il est le médiateur d'une alliance plus excellente, qui a été établie sur de meilleures promesses."

Jésus a pu dire comme personne "Aimez-vous les uns les autres" ; "Aimez Dieu et votre prochain comme vous-même" ; et encore "Aimez vos ennemis"... parce qu'il l'a d'abord vécu lui-même dans son environnement le plus immédiat - c'est toujours là qu'on doit fleurir, sans courir le monde pour y sembler plus beau/belle, à chercher des challenges excitants mais factices le plus souvent, des accréditations de personnalités, une reconnaissance (nationale ou internationale)...

Pour fleurir en Israël, Jésus a du accepter de se voir comme (en tant que) une créature et non comme Dieu, et de dépasser de cette créature, fut-elle la plus élaborée et bien élevée, le mur du son de la force centripète de soi - du moi-je dans l'âme que pose naturellement le fait d'être une personne en soi consciente d'être soi (par distinction et opposition à tout ce qui n'est pas moi-je).

Et cet amour - qui n'est pas l’éros dans lequel on pense en premier le trouver... jusqu'à la nausée et/ou diverses formes de prostitution - n'est pas non plus seulement l'amour filéo, la belle amitié, si rare, dont quelque trahison peut vite obstruer l'accès.

C'est surtout l'amour à sa source, d'avant le big-bang primitif et tous les autres, d'avant la conception même. C'est l'amour face aimante de Dieu cause de nos créations, parce que l'amour n'a de sens que partager, qu'ayant des réalités à aimer, et si possible pouvant être aimé en retour.
Et c'est l'amour/bonté qui sait que ça ne va pas être facile avec le genre humain, comme ça s'est mis à ne pas devenir facile avec un tiers des anges parti à l'ennemi.
Aimer ce qui n'est pas aimable n'est jamais facile, voire c'est hors de notre portée. Et aimer Dieu qu'on ne voit pas, de la part de ses créatures marquées et pas mal soumises aux esprits angéliques rebelles, est un de ces challenges de la foi qu'il dut poser pour notre rachat/retour ou venue à lui, sans pouvoir savoir réellement combien répondrait à l'appel (car il ne veut pas user tout le temps de sa capacité à tout savoir d'avance).
"9 Pour nous, nous l'aimons, parce qu'il nous a aimés le premier.20 Si quelqu'un dit : J'aime Dieu, et qu'il haïsse son frère, c'est un menteur..."

"...Jésus-Christ, le témoin fidèle, le premier-né d'entre les morts et le chef des rois de la terre ! A lui (et au Saint-Esprit) qui nous aime, qui nous a lavés de nos péchés par son sang6 et qui a fait de nous un royaume, des intercesseurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la domination aux siècles des siècles ! Amen !"

SACHANT, ÉVADEZ-VOUS ! POUR TOUCHER AU BUT...
Mieux même, pour entrée dans le but, ou dans l'en-but comme au foot ou au rugby.
De la pensée qui ne tient pas en place mais qui sera toujours coincée dans un domaine spécifique ; de l'entêtement ou orgueil qui préfère la résilience à la capitulation sans condition devant un Dieu vivant qui est justice et amour ; de la peur et de l'incrédulité qui pourtant peuvent se dépasser, Évadez-vous !
Des biens matériels surabondants qui vous essoufflent et étouffent ; des honneurs, de l'apparence, de l'orgueil ; de vos fautes qui pèsent ; de votre insignifiance à vos propres yeux ou aux yeux des autres... tant de choses pouvant nous tenir dans une captivité et/ou une culpabilité.

La connaissance comme toute cette existence n'a qu'un but final (finalité du côté divin) : Faire quelques pas de foi dans l'inconnu qui semble un vide (le vide est en nous, pas en Dieu !), pour être introduit en Dieu. Par une expérience ou une autre de sa personne, ou avec une parole ou une autre qui sort de sa bouche, un songe, etc., afin de parvenir à notre éternisation en Christ.
"L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu."
"Le ciel et la terre disparaîtront, mais mes paroles ne disparaîtront pas." (Ce qui se vérifie : la Bible est depuis longtemps le livre le plus traduit, le plus imprimé et le plus lu au monde).

Ainsi l'essentiel pour chacun parmi nous, est de rejoindre la finalité conçue et à établir de toute l'existence temporaire ici-bas : être refait par Dieu créature nouvelle et éternelle :
"La vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ."

"(Il fallait) que le Fils de l'homme (Jésus) soit élevé15 afin que quiconque croit en lui [ne périsse pas mais qu'il] ait la vie éternelle.16 En effet, Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.
17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est pas jugé, mais celui qui ne croit pas est déjà jugé parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et voici quel est ce jugement : la lumière est venue dans le monde et les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière parce que leur manière d’agir était mauvaise.20 En effet, toute personne qui fait le mal déteste la lumière, et elle ne vient pas à la lumière pour éviter que ses actes soient dévoilés.21 Mais celui qui agit conformément à la vérité vient à la lumière afin qu'il soit évident que ce qu’il a fait, il l’a fait en Dieu. »"

Et donc, l'avez-vous compris, il ne s'agit pas d'une capitulation de nos capacités intellectuelles qui nous laisse végétal ou animal plus que roseau pensant !
Il s'agit de rallier en connaissance et conscience une plate-forme de la connaissance - dont la Bible et l'Esprit-Saint attestent qu'elle est venue de Dieu -, qui aborde toutes les parts de notre réalité, du matériel au spirituel ; qui dit le bien et indique le mal : qui conduit dans la liberté d'un déploiement personnel.
Dès lors il devient pertinent, performant, si on le travaille en joignant à la force divine notre volonté et désir de donner gloire à Dieu... plutôt qu'à nous.

Bien cordialement, soyez béni-e.

Annexe : guide de prière si vous désirez là remettre votre existence entre les mains de Dieu le Père et de Jésus pour qu'il pardonne vos fautes et vous accorde sa vie éternelle.

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13 octobre 2018 6 13 /10 /octobre /2018 09:56

suite de l'article qui commence ici...

Dans un curieux dialogue entre une femme cathare du XIVe siècle et un européen lambda d'aujourd'hui, on peut lire :
"- Êtes-vous un honnête homme ?
- Pardon ?
Surpris par la question autant que par le ton grave sur lequel elle l'avait posée, je ne savais trop comment réagir. Mais, comme il se doit, je répondis :
- Disons que oui. Je crois être un honnête homme.
Fabrissa pencha la tête et son regard s'aiguisa.
- Un homme qui sait distinguer la vérité du mensonge..."
K. Mosse, histoire-fiction autour de la persécution des cathares.

¤

On a normalement compris qu'une activité intellectuelle on va dire cogito-réflexive ouvre la porte à des champs d'évasion certains.
Mais tous ne sont pas des champs, des sujets pertinents, des évasions peut-être mais pas forcément de la vraie liberté. Un peu comme un prisonnier échappé qui est en cavale, ne pouvant jamais trouver le fond de repos et la vraie liberté - qui sont des réalités de notre espace intérieur (psychique et spirituel).

Dès lors il nous faut chercher, par un exercice qui ne met pas de côté la pensée, la logique, le bon sens, la réflexion, mais la solliciter autrement, au delà de cet intérieur mouvant dans lequel on ne peut pas franchement avoir confiance - en ce sens je crois à l'homme mais pas en l'homme -, en vue de lui permettre de trouver sa meilleure plage d'action et avec de trouver Celui qui est le centre d'espaces supérieurs qui tiennent de la dynamique de l'esprit et non plus de l'âme.
Mais on va garder l'évasion comme idée et expression de ce besoin fondamental qui est le nôtre - conscient ou bien inconscient -, de trouver la porte par où rejoindre le Divin véritable à partir de ce que nous sommes de plus basique...
¤

IMPORTANCE D'AIMER LA VÉRITÉ
Dans un univers où on peut choisir de marcher avec des mensonges ou en tenant à la vérité, c'est un corollaire qu'il y ait parmi nous des divisions ! Car on ne peut honnêtement pas accorder en nos pensées, toutes les pensées, erreurs et mensonges issus de nos relations, cogitations (bien ou mal intentionnées) et autres démons > sur cette dernière source (démoniaque), n'oublions pas que ce monde, s'il appartient à Dieu, appartient sur le terrain (pour encore un peu de temps) à Satan et à ses troupes invisibles, des anges devenus démons en sortant comme lui de leur rang, aussi réels que l'air qu'on respire. 
Parmi les convaincus de l'importance de la vérité, Einstein a dit : "Le souci de parvenir à la vérité doit primer toutes les autres considérations."

ET DONC POUR S’ÉVADER?
Comme Icare eut du faire : En laissant se calmer et se reposer notre âme. Dont on a compris qu'elle est aussi insuffisante qu'en pauvres effervescences*.
_______________
* abimée, entachée, désorientée, au minimum borgne et sourde au bien objectif, du fait de son égocentrisme pathologique (avec des peurs incrustées, des manques comme sont les trous de mémoire, une vue réduite comme par un glaucome... D'où naissent toutes sortes de désirs irraisonnés, de volontés obscures, de pulsions bientôt irrépressibles, de passions incontrôlables et avilissantes, de la mégalomanie pseudo-déifiante au défaitisme le plus anéantissant.

¤

Dès lors qu'on se voit comme dans un miroir non déformant, on n'a plus qu'à (oser) demander son secours à Dieu. Le fait qu'il y ait des religions oblige à préciser : le Dieu véritable, Celui sans qui il n'y aurait ni univers ni nous-même ; Celui qui se tient en retrait à cause de la liberté qu'il nous a accordée et de nos injustices non vues, reconnues et pardonnées ; mais qui aussi se révèle, parle réellement au cœur de manière à être reconnu... et re-vient sous peu.

SE MOBILISER, D'ABORD, POUR LA PREMIÈRE DE TOUTES LES CAUSES
Désirer, vouloir et demander à ce Dieu unique (imité mais jamais égalé) un bon accès aux fondamentaux du Réel (vérités premières), me concernant et le concernant. Car c'est dans cette connaissance objectivée ou ré-objectivée que se produit la rencontre entre le Ciel qu'il est et la terre que nous sommes.

Cesser - quand c'est notre cas - de viser le monde des pensées ! Il existe, comme existe l'univers imaginé et imaginatif d'internet, avec intranet et autre...
Il est haut, et peut être beau et fort appréciable par notre âme (ce qu'on vit en écrivant ou en lisant un livre, en réfléchissant ou expérimentant scientifiquement, artistiquement ou philosophiquement sur les choses... Monde des pensées haut, beau, mais pas assez pour être stable, béatifiant ou simplement source de notre victoire sur les adversités !
Il fait partie de ces choses qui nous dépassent et dont il n'est pas besoin pour vivre bien de connaître les arcanes - qui ne peuvent que conduire à Dieu (si on est honnête) ou à la folie (si on est trop ambigu, comme par exemple Icare) !
La paix et/ou un bien-être stabilité ne viennent pas plus de cette hauteur que de se livrer aux bassesses psycho-somatisées. J'ai trouvé/reçu* (comme quand même pas mal d'autres) qu'on ne peut être apaisé que par notre réception/acceptation* de Dieu en tant que Dieu rédempteur qui nous (r)achète aux forces du mal, qui nous sauve de la mort comprise (le nom Jésus, Yeshoua en hébreu, c'est "Dieu sauve" !).

Et dans cette foi "Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus Christ.2 En effet, la loi de l'esprit de vie en Jésus Christ m'a affranchi de la loi du péché et de la mort.3 Car- chose impossible à la loi (la religion et notre piété religieuse) parce que la chair (faire de notre corps et de notre âme) la rendait sans force -, Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché,4 et cela afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'esprit.5 Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l'esprit s'affectionnent aux choses de l'esprit.6 Et l'affection de la chair (qu'il s'agisse de l'âme ou du corps quand c'est dominant), c'est la mort, tandis que l'affection de l'esprit, c'est la vie et la paix ;7 car l'affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu'elle ne le peut même pas.8 Or ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu."

"Or, les oeuvres de la chair sont manifestes, ce sont l'impudicité, l'impureté, la dissolution,20 l'idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes,21 l'envie, l'ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d'avance, comme je l'ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n'hériteront point le royaume de Dieu.22 Mais le fruit de l'Esprit, c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance ;23 la loi n'est pas contre ces choses.24 Ceux qui sont à Jésus Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs."

Voilà LE choix (primordial, central, existentiel comme essentiel, crucial, final) de toute vie ! Laisser la philosophie et d'autres quêtes de second rang, démontrée(s) depuis le temps, par l'histoire et la masse considérable des écrits tâtonnants, contradictoires, rivaux, compliqués, empoussiérés, et toujours harassants (à écrire ou à lire), et concrètement stérile face à la mort et mortifère face à la vie. Car s'il s'agit de l'âme et de ses développements pour l'existence matérielle, il ne s'agit que de l'esprit pour ce qui est haut et durable, a priori (objectif) et à connecter (à notre sujet) donc.

Laisser le champ de l'esprit et du Divin à son Esprit, pour qu'il nous/vous conduise lui-même progressivement ou mieux de manière révolutionnaire, dans la révélation de l'autre versant du Réel.
Pas seulement l'occulte maléfique dont se voit tant les effets terrestres, mais conduit là où la lumière est et d'où elle vient, éclairante et réchauffante (réconfortante, consolante, vivifiante, enthousiasmante), par la présence divine même, la connaissance juste et à propos, et bien sûr l'amour qui y habitent.

Car oui les connaissances a priori existent, hors de nous - la gnose l'appelaient les grecs anciens... réalité inouïe avec quoi j'ai été mis à son contact. Elle est le monde du savoir vrai, de la connaissance sans erreur ou mensonge. De l'intelligence des choses (connaissance intelligible) en tant que relation éclairée entre les réalités en soi (qui nous précède, ce qui fait l'objectivité permanente du Réel) et le sens qui peut nous en être donné (subjectivité qui se construit, bien ou mal, bénéfique jusqu'à notre éternisation, ou maléfique jusqu'au nihilisme et annihilation alzheimérique).

LE DA VINCI CODE ! SOURCE VÉRITABLE
(S')enfoncer, captif comme Dédale et Icare, dans le champ des pensées et idées, c'est n'arriver tout au plus qu'aux abstractions premières sans mode de décodage ; peut-être aux chiffres magiques, aux proportions et formes comme principes, dont Satan peut donner des clés, et non pas Dieu ! C'est ce qui ressort du cheminement de Léonard de Vinci. Où la religion et religiosité humaine hors-Écritures ou plus précisément hors-Évangile tourne à une mystique qui est d'autant moins lumière qu'elle le semble. Voir le déroutage tout aussi subtil du juif Spinoza et de combien d'autres qui prirent des vessies pour des lumières ! Ou la folie démoniaque développant l'Inquisition, l'opiniâtreté barbare d'un Duc de Guise qui enflamme tout Paris (hécatombe de la St-Barthélémy), d'un cardinal de Richelieu, et encore sous nos yeux la cruauté sanguinaire de l'idée de califat (Daesh) ou encore des accouplements coupables qui se veulent hiérogamiques....

Au mieux, c'est comme on arrive par nos sciences et nos télescopes à voir presque-presque l'instant T de la création céleste physique, mais pas Qui l'a déclenché... parce qu'on n'y croit pas !
Ou à faire des modélisations cosmologiques qui n'ont rien à voir avec la réalité (même Einstein avec sa vision première de l'univers statique et éternel).
Et, sans doute pire, comme Darwin qui, en croyant à sa façon (sa généalogie est unitarienne, qui nie la tri-unité divine et divinité de Jésus) et peut-être en croyant bien faire, croit voir dans des ressemblances de formes animales une évolution, en réalité aberrante, des espèces. Ce qui va donner la théorie de l'évolution qui deviendra rapidement (évolution oblige !) néo-darwinisme, la doctrine pseudo-scientifique"de l'athéisme, qui s'enseigne toujours un peu partout, avec les applications directes destructrices qu'on connaît et qui continue à se développer de manière de plus en plus discutable...

Trop de savoir, trop vouloir voler haut, revient à ne plus rien savoir (comme chanta Gabin). Pire, à savoir par l'âme on sait de travers, on croit le contraire de ce qu'il faudrait, on arrive à prendre le mal pour du bien, et bientôt le bien pour du mal.
Faute d'avoir voulu chercher et trouver (ou de s'en être tenu à ce qui est vrai dans la foi), on devient enfant surdoué de Satan !

Et jusqu'à la paix mondiale, comme le bonheur avec nos proches, peut s'y perdre massivement et/ou profondément.
Et donc ne convient-il pas de s'arrêter où Gabin était arrivé et chanté à 60 ans (à moins que ce soit plutôt l'auteur du chant Harry Philip Green, alors âgé de 63 ans), mais de cheminer encore... pour savoir  ! Comme un jour : J'AI SU ! Où JE SAVAIS (désormais, dans le sens de la plus sûre conviction) que Dieu existe ! C'est pourquoi j'écris encore là, plus de 40 ans après.

DIEU AU DELÀ DE TOUT, MAIS CONNAISSABLE !
Parce que comme il est au delà d'un big-bang quelconque (création de l'univers ou accident grave, EMI, cancer, rupture sentimentale, AVC, maladie orpheline...), Dieu est au delà du champ de la pensée, structuration psychique et contenu qui seront toujours partiels chez nous ; champ particulier mais complet seulement chez Lui.
Pour notre part, c'est comme si, aveugle, on n'avait accès à un éléphant seulement en touchant sa trompe, une patte ou une oreille !
Comprendre donc que chercher "Comment ça marche là-dedans" comme s'il s'agissait d'un élément physique de la matière (ou même de l'anatomie des vies terrestres), c'est se mettre le doigt dans l’œil ! Hormis Dieu toutes choses a des limites.
"Car mes pensées ne sont pas vos pensées, Et vos voies ne sont pas mes voies, Dit l'Éternel.9 Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, Autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, Et mes pensées au-dessus de vos pensées."

Et donc la vraie connaissance, qui est limpide et réjouissante, est celle qui va permettre "d'aimer Dieu" ! Comme Jésus l'a révélé (en le disant et en le démontrant). En quoi il convient d'arrêter - de vouloir suspendre - la cogitation mécanisé (et notre agitation en mouvements de surface) qui se fait à partir de "rien", de beaucoup de vanités (de vain, que sont la plupart de nos acquisitions transmises jamais méditées (ruminées, soupesées, discernées) ou de soi (base de connaissances largement faite de préjugés, de partiellité et de partialité, fluctuante, marées-cageuses).

D'arrêter de s'enfoncer par l'âme dans cette sphère du connaissable, car ce ne sera jamais une évasion de l'aliénation de fond, mais une démarche à la force centripète, qui ferme aux autres champs à intégrer, via leur Source, voire rend solitaire et associable.
Il ne s'agit pas là de dire "Ô temps, suspends ton vol", mais à nous de suspendre des choses par quoi on se laisse occuper.

à suivre ici où il est question de l'amour comme préférable à une dynamique de pensée mal employée et mal maîtrisée (voire malmenée, tyrannique, incessante)...

Bénédictions en attendant.

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11 octobre 2018 4 11 /10 /octobre /2018 20:08

Image d'évasion !?
Réalité, rêve ou chimère.
On est vraiment libre
quand on l'est
intérieurement.
Dans nos pensées
Entre autres...
 

Évasion par rapport à quoi ?
Aux contraintes immédiates du quotidien qu'on laisse à d'autres le soin d'affronter et de gérer?
En ce sens il serait plus juste de parler de fuite, de refuge? Mais un refuge qui ne nous laissera pas forcément la paix et la compréhension... deux choses qui sont, pour des êtres normalement pensants, ce qui nous manque basiquement le plus.

Ou bien évasion plus fondamentale?
Par cet accès (avec ses possibilités de déplacements psychiques, mental, intellectuel) à ce que Platon appelait "le monde des idées"*, évasion plus large de l'aliénation qui caractérise la condition humaine dans son ensemble, en vue de lui tordre le cou une bonne fois?
_____________
* Comme toujours dans un mouvement de la pensée qui renomme ou déplace les bases au lieu de les rendre plus intelligibles, à "monde des idées" on a pensé et préféré un jour "théorie des formes", et maintenant on dit plutôt concept ou abstraction... alors que Kant avait trouvé mieux de dire accès transcendantal à des connaissances ou formes de connaissance a priori...

Cela pour dire qu'il faut arrêter de se masturber l'âme via le cerveau - ce que je tends à faire et veut dire de plus en plus simplement, savoir que le bonheur se trouve dans "le repos de Dieu", comme le 1000 pattes est certainement plus heureux de profiter de ses pattes et de leurs synchronicités que de penser à Comment ça marche !
Car Comment ça marche est la structuration dans laquelle l'âme a été conçue et appliquée (proposée), alors que la réalité et le mode esprit qui doit lui être adjoint et la dépasser apporte transcendantalement la réponse à Pourquoi ça marche : Dieu !

Et quand par notre âme - système d'accumulation et mémorisation cognitif en vue de savoir Comment ça marche et Comment faire encore (mieux) marcher les choses dans notre univers matériel - nous en arrivons à vouloir aborder le(s) domaine(s) de l'esprit (de la dimension spirituelle), de nouvelles difficultés vont apparaître car c'est se faire dieu à la place de Dieu, c'est déranger les ordres premiers car en voulant ainsi les saisir on va aussi vouloir les modifier.
Ce n'est pas que nous n'ayons par à connaître ce qui est plus jaut ou au plus à l'origine des choses, mais ce n'est par cet outil que cela doit et peut se faire.

Ainsi, venir intellectuellement (par l'âme) dans un champ qui n'a pas a être modifié mais seulement découvert, compris et par là craint et admirer, un beau principe ou moteur de notre existence - qui fait qu'on ne veut pas que tout ait été dit et inventé avant nous - devient un fichu principe de notre condition adamique abimée et étroitisée.
¤

Laissons l'idée de fuir le réel immédiat pour faire plus directement face à la problématique en soi que constitue notre condition. Le mot aliénation est alors effectivement approprié. Ce qui induit, si on cherche à s'en évader, un moyen qu'on peut appeler rédemption, dans le sens de rachat ou de libération de cette condition pour une meilleure.
Or comment peut-il y avoir solution, rédemption, rachat, libération de l'aliénation, s'il n'y a pas de compréhension, dont de connaissances, à la fois justes et élévatrices!?

ICARE PEUT-IL VOLER A NOTRE SECOURS?
Pour comprendre donc, on peut revenir, à cause de sa pérennité, à ce que dit la mythologie grecque (les psy aiment s'y référer car ils ont (au moins) compris qu'il se trouve là des vérités premières (a priori, archétypales...).

L'histoire d'Icare peut en effet figurer la nôtre, si on voit ce personnage comme l'un d'entre nous. Lui né d'un père (Dédale) ; nous être humain tout autant en danger, mal-né d'un père qui n'est pas Dieu mais Satan.
En effet Dédale est un père de bonne souche au départ, qui s'est uni avec une esclave, figurant Satan qui accepta (se donna, s'unit à) une pensée sortie de la liberté divine.
Notons! Une pensée, de l'ordre donc des idées, de l'univers des pensées, ce qui peut nous alerter sur ce qui peut se trouver au sein de ce domaine.

Si Icare nous représente individuellement, il représente notre âme, qui est essentiellement nous (comme notre élément central, berceau et "personnalisateur" de notre réalité, support de notre moi-je).
Captive, aliénée puisque nous le sommes, notre âme doit trouver le moyen de se libérer du labyrinthe qui fait son environnement : labyrinthe de l'incompréhension, de la perte de sens et d'orientation provoquée par la chute (de Satan et la nôtre à sa suite qu'il engendre).

Ce moyen d'évasion Icare ne le possède pas intellectuellement, mais Dédale va lui l'indiquer. Et on peut voir là en Dédale, en même temps que Satan l'ange déchu qui par ses trahisons répétées envers Dieu a aussi mis l'homme dans ce pétrin, Dieu lui-même. Comme étant le tout premier père, ce qu'il admet - voire revendique par le prophète Ésaïe (chap. 45). Ce qui fait que des créatures défectueuses comme Satan du fait de leur liberté, sont aussi issues de lui.
Dédale l'architecte dit alors à Icare que pour échapper, pour s'évader, il n'y a que par le haut que c'est possible - ce qui est juste. Non par les mers qui figurent la cohorte de tous les humains avec leurs cultures et systèmes religieux partisans, ni par la terre qui peut représenter la matérialité dont même les développements les plus plaisants ou confortables ne peuvent nous rendre à une vraie liberté.

Par le haut ! Notre âme peut l'entendre, et donc Dédale fait pour sa progéniture captive des ailes pour qu'il s'envole. Ainsi Dieu pourvoit notre humanité déchue, prise dans l'aliénation, par des ailes, celles de son Esprit seul capable de changer fondamentalement notre condition.
Dans la Bible le Saint-Esprit est figuré par une colombe, notamment qui nous vient en descendant premièrement sur Jésus qui, de fils de l'homme doit aussi être pleinement fils de Dieu, l'un et l'autre fusionnant pour en faire le médiateur de l'alliance nouvelle et éternelle que son Père désire sceller avec le genre humain.
Esprit divin qui peut être feu de ce renouveau, mais aussi qui est colombe dont le pouvoir surhumain est aussi fragile, ce qui demande que nous ne fassions pas n'importe quoi, suivant n'importe quelle(s) pensee(s) qui nous vien(nen)t, mais suivions les instructions du Père pour en jouir.

Ainsi Dédale avertit des dangers qui habitent les mers du monde  - dont l'humidité peut décoller les plumes des ailes -, et le soleil des pensées trop hautes - orgueilleuses, dont l'attrait peut faire comme fondre la cire, c'est-à-dire faire rendre l'esprit par sa mort, sa disparition - et non pour la vie et liberté entières qui résultent du scellement de l'âme et de (par) l'Esprit qui conduit dans son éternité bienheureuse.
Alors que faire ?

ICARE A BESOIN DE L’ÉVANGILE
On est là, chacun qui a suivi le développement, à mi-chemin entre les mers et le soleil, Icare qui a besoin de se souvenir qu'il a un père qui a parlé dans sa direction, pour qu'il l'entende et obéisse aux instructions relativement simples de ses paroles.

Où se tient la vérité ?
A sa place, partout, et là où on la cherche. Car on trouve ce qu'on cherche, si on le cherche vraiment. Car le voile ou mur de l'illusion s’effrite et tombe si on ne veut plus du mensonge dominant, la matérialité exclusive, les combats vains et autres manœuvres fabricatrices de concepts destinés à devenir des préjugés.

Aussi plutôt que de se mouler dans les habits inconfortables de loups-garous ou de se donner des dents de requin pour défendre sa vie et tâcher d'ouvrir les murs du labyrinthe, acceptons de nous voir comme Dieu nous voit, comme Jésus a dit, des brebis errantes dans un univers hostiles qui nécessite que nous ayons (trouvions, acceptions, aimions) un berger.

Attention, pas un faux berger, pas un gourou ou un pope ou quelque politicien qui se veut Sauveur du monde !  Non "un bon berger", qui a dit à un homme en recherche qui méconnaissait l'être humain : Dieu seul est bon !

"« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n'entre pas dans l'enclos des brebis par la porte mais s'y introduit par un autre endroit est un voleur et un brigand.2 Mais celui qui entre par la porte est le berger des brebis.3 Le gardien lui ouvre et les brebis écoutent sa voix ; il appelle par leur nom les brebis qui lui appartiennent et il les conduit dehors.4 Lorsqu'il les a [toutes] fait sortir, il marche devant elles et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix.5 Elles ne suivront pas un étranger, mais elles fuiront au contraire loin de lui, parce qu'elles ne connaissent pas la voix des étrangers. »
6 Jésus leur dit cette parabole, mais ils ne comprirent pas de quoi il leur parlait.7 Il leur dit encore : « En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis.8 Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands, mais les brebis ne les ont pas écoutés.9 C’est moi qui suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera et sortira, et il trouvera de quoi se nourrir.10 Le voleur ne vient que pour voler, égorger et détruire ; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie et qu'elles l'aient en abondance.
1 Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis.12 Le simple salarié, quant à lui, n'est pas le berger et les brebis ne lui appartiennent pas. Lorsqu'il voit venir le loup, il abandonne les brebis et prend la fuite ; alors le loup s'en empare et les disperse.13  Celui qui n'est que mercenaire s'enfuit car il travaille pour de l’argent et ne se soucie pas des brebis.14 Moi, je suis le bon berger. Je connais mes brebis et elles me connaissent,15 tout comme le Père me connaît et comme je connais le Père. Je donne ma vie pour mes brebis...17 Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, pour la reprendre ensuite.18 Personne ne me l'enlève, mais je la donne de moi-même. J'ai le pouvoir de la donner et j'ai le pouvoir de la reprendre. Tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père. »
19 Ces paroles provoquèrent de nouveau une division ..."

à suivre...

En attendant la suite, je vous conseille un très bon film - je trouve qu'ils sont rares ! -, issu d'une histoire vraie, relatif à une évasion spectaculaire d'un camp de prisonniers nazi, film porteur d'une dimension de vie qui n'est pas sans rappeler celle de... (vous comprendrez).
Il s'agit de "Mission évasion" (de Gregory Hoblit avec Bruce Willis et Colin Farrell - MGM - 2002)

Soyez récepteur de vérités, et émetteur de foi !

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8 octobre 2018 1 08 /10 /octobre /2018 19:30

Je n'ai pas de grosses capacités psychiques - c'est toujours relatif -, mais je comprends et je demande que, dans la mesure où notre intelligence même la plus affutée ne nous permet pas de tout comprendre (même des réalités visibles et de leurs agencements ou des énergies à l’œuvre ne serait-ce que dans la dimension naturelle physique et quantique), je demande : Qui peut se permettre de dire : - Il n'y a pas de Dieu ! ou Dieu n'existe pas !?...

La pensée peut nous en venir (aussi parce que toutes nos pensées ne viennent pas de nous), mais le dire, l'écrire !?
Ce n'est pas logique !

N'est-ce pas alors l'effet d'une prétention, sans logique, ni l'humilité de s'admettre avec nos limites dans notre compréhension de ce qui est ?
Un effet de la méconnaissance de soi et encore des tenants et aboutissants - du sens donc - du Réel (réel dans sa plus large acception, tous les invisibles compris) ?

Dire qu'il n'y a pas de Dieu c'est se montrer pire qu'ignorant : menteur ! Car il vaut mieux se taire, humblement, que de dire ce qu'on ne sait pas, ce sur quoi on n'a pas cherché. Et c'est bien malencontreux si on se trompe sur un sujet aussi important et fondamental, car alors on se trompe d'abord soi-même.

Et bien sûr croire ainsi et le dire ou vouloir le dire, rend tout absurde comme l'a conclu Jean-Paul Sartre au terme des pensées et réflexions qu'il a poussées en partant de l'a priori qu'il n'y a pas de Dieu.
Il aurait écrit  (en tout cas c'est une conclusion de l'athéisme) : "L"univers sans Dieu, sans raison d'être, est absurde dans son ensemble et dans ses parties". On est bien d'accord !

Il est allé jusqu'au bout de ce chemin - dans quelle mesure choisi !? - en tout cas ce dont il a fait son chemin, trouvant qu'il était sans issue, sans avenir, sans dépassement possible.

Si au moins cela servait à d'autres ! Si au moins des personnes intelligentes enseignaient à partir de cette expérience - nihiliste, réductrice au possible, défaitiste jusqu'à ne plus voir que son propre plaisir le plus matériel ou la mort comme échappatoire -  enseignaient que ce n'est pas une route à emprunter ! Que si elle semble praticable, ce n'est qu'une illusion, pire une séduction, comme feraient des sirènes envers des hommes qui se sont approchés d'elles - en réalité des démons déguisés -.

Or on a tous un pied et un œil directeur ! Et donc cela peut nous apprendre qu'il faut partir du bon pied, ou voir selon l’œil qui donne le meilleur point de vue, la meilleure perspective.  

CAR AU CONTRAIRE...
Si on part du postulat qu'il y a un Dieu, et qu'on le cherche, qu'on enquête sans un a priori athée ou même religieux - qui ne sont toujours que des représentations inculquées -, on arrive à une toute autre perception - et à de tout autres expériences.

Pour cela il y faut surtout de l'honnêteté, pas comme cette personne que j'ai lu quelque part qui dit qu'"il a pris de Descartes la méthode mais sans vouloir de son contenu" (de sa foi en Dieu)... Un peu comme un ado qui claque la porte du foyer parental, riche de ses capacités et autres biens transmis par ses parents mais sans plus vouloir de leur personne. Tiens, on dirait la parabole du fils prodigue - dit prodigue certes car il va l'être, mais ingrat surtout ; et s'il n'avait pas eu un père aimant comme Dieu peut nous aimer si on revient à lui...

À vous de voir, peut-être autrement, en changeant votre fusil d'épaule comme on dit aussi, pour viser juste. Tiens, justement, le sens profond (étymologique du mot péché, c'est manquer la cible, tirer ou passer à côté du but à atteindre. Alors il suffit si vous en êtes là, de mieux prendre votre temps, de vous caler, stabiliser, plutôt que de vous laisser emporter dans tous les tourbillons, vents de vanité et enchaînements que ce monde produit !...

Si vous avez du temps pour découvrir d'autres pensées à réfléchir, rendez-vous ici.

Bénédictions.

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6 octobre 2018 6 06 /10 /octobre /2018 08:38

L'écriture imprimée et e- ! Un tsunami qui enfle et déferle,
pour quoi faire ? Pour quelle finalité ? Comme disait Montaigne, ne vaut-il pas mieux "des têtes bien faites que des têtes bien pleines" ?

Des dix ou cents milliers de pages ont été écrites pour témoigner de la foi, pour justifier (dans la mesure de notre possible) la croyance en Dieu, l'existence et l'efficacité du rachat de notre condition problématique (que dominent les souffrances et la mort).

Est-ce pour autant qu'aujourd'hui nous savons et croyons mieux, plus nombreux et de manière plus certaine ?...
Est-ce suffisant pour que nous soyons parvenus à dépasser le stade de la pensée philosophique (en sa qualité de réflexion personnelle, et limitée) et de la religion (en sa qualité de moyen, pourtant puissant, de nous montrer à nous-même misérable et perdu) ?

Tenez ! Qui pensez-vous est l'auteur de ce passage :
"Un penseur n’est pas moins pénétré de foi qu’un évêque. La science est sacrée. Il y a autant d’azur dans le philosophe que dans le prêtre. La sagesse n’aboutit pas à la suppression de l’espérance. La science retirerait à l’homme l’infini ! La philosophie serait la castration du ciel ! Non ! non ! non ! croire résulte de savoir plus encore que d’ignorer. " ?

Bien que vous le connaissiez (par ouï-dire ou par la lecture de plusieurs de ses livres), vous ne connaissez certainement pas l'essentiel de ce que cet auteur a écrit de directement significatif, de profond, de convaincant, concernant la réalité de Dieu et la beauté, les équilibres et merveilles de ses créations, terrestres et célestes !

Savez-vous ou imaginiez-vous qu'il s'agit de Victor Hugo ? Qu'avez-vous lu de ses pages les plus capitales* d'Hugo (comme en ont aussi d'autres écrivains illustres, mais qu'on tient dans des stockages souterrains) où se fondent la pensée et la foi, la philosophie et la spiritualité, l'approche du Réel (réel total) comme il est, l'équilibre du savoir sans l'exclusion, sans séparation ou mauvais amalgame... ce que notre monde, notre culture - qui devrait nous instruire de manière complète - aurait du nous mettre en avant - !?
* Proses philosophiques - Partie I ou Partie II !? 

INSTRUITS DE QUANTITÉS D'INFORMATIONS, SANS À PROPOS, HORS SUJET !
On s'est rendus capables de casser un noyau d'atome et de regarder ce qui le constitue ! De voir (de remonter par la distance) le passé de notre univers jusqu'à quelques fractions de secondes avant sa création ! de se servir des ondes jusqu'à en être pollués, devenir addict à ce qu'on leur fait véhiculer, et en mourir !
Et que savons-nous en rapport du fait patent qu'on va mourir (et peut-être demain ou tout à l'heure) et que tout ce qu'on a pu vivre comme sueur, peur, émotions, sensations bonnes et douloureuses, actes généreux ou égotiques, aura peut-être servi à absolument rien de bon !?
Est-ce qu'il y a une suite, et laquelle, ou lesquelles ? Et sur cet essentiel, on est scotchés, sans force pour savoir, comme étranger, alors qu'il s'agit du sens de ce qui nous arrive, de notre présence ici, et de notre devenir éternel !

Et pourtant non seulement Dieu est, mais encore il est connaissable, personnellement, et nous aime jusqu'à vouloir nous rencontrer (en nous sauvant de la mort**).

Et si on a à connaître la vérité centrale, simple et puissante le concernant et concernant notre propre existence et vérité (passé, présente et à devenir) sans se perdre dans des argumentaires ou arguties sans fin, disputes de mots, philosophies et idéologies, on peut très bien, par un seul verset - qui résume toute la Bible, et quantité d'autres écrits -  savoir et parvenir à ce bénéfice personnelle affirmée que "Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle." Verset 16 du 3e chapitre de l’Évangile selon Jean (Nouveau Testament).

Soyez touché-e par la grâce de Dieu !
_________________
** article Les 5 types de mort

aussi peut-être rapport de la justice et de la grâce de Dieu

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3 octobre 2018 3 03 /10 /octobre /2018 12:27


Dieu s'occupe de tous les hommes.
Même de ceux qu'il abandonne à eux-mêmes... pour qu'ils atteignent plus facilement la vue du fond de leur cœur, car c'est dans l'épreuve qu'on se révèle le plus ce qu'on est vraiment. Aux autres, mais surtout il faut que ce soit à soi-même !

Car apprendre à se connaître est primordial... si du moins on ne veut pas passer cette existence à souffrir en refaisant plusieurs fois le même genre d'erreur.
Car la vie - celle-ci - est une école. L'avez-remarqué ? Si non, vous n'apprenez rien ! Si oui, il y a tant de choses à découvrir, de l'émerveillement de l'amour véritable ou de ce que nous découvre la biologie, aux horreurs de nos vices égotiques, nos penchants égocentriques, notre duplicité, la traitrise dont on est capable, toutes sortes de peurs et ce qu'elles peuvent nous faire faire, ou manquer !...

N'est-ce pas cela que nous somme ? Chacun une somme contradictoire de quelques belles choses, et d'une somme triste et obscure de critiques, de jugements à l'emporte-pièces, de mépris ou de cynisme, d'orgueil et de fatigue, de grandes envolées et de chutes vertigineuses : On est tous Icare !

L'homme !? Un curieux cocktail qui devient de plus en plus détonant, avec de la culture de méninges comme on dit - en fait un développement de la puissance de notre âme avec ses capacités psychiques. Et développer le mental, l'intellect ou quelque chose qui y ressemble, c'est se trouver une force bien difficile à gérer en réalité.
Car nous sommes des êtres abîmés, mal sortis du giron divin et en payant la note (par toutes sortes de ruptures douloureuses) avant d'avoir compris ce qui nous arrive.

Nous disons que nous ne croyons qu'à ce que nous voyons ! Mais on est plus aveugles qu'éclairés sur le Réel dans son entier.
Qui est aussi fait de ce qui ne se voit pas mieux et pas moins que dans le très petit (de la physique quantique)  - par ses effets -, et qui s'étend dans le très grand, par une transversale qui va de Dieu à Satan, ce qui nous gêne beaucoup, nous dualise, nous schizophrénise, et on ne sait pas ce qui se passe. Et pire encore, on ne cherche pas sérieusement les causes maîtresses : on ne cherche plus qu'un remède à avaler, et on en avale des choses !...

Et on avance, car les aiguilles trottent sans arrêt au cadran de la montre ou du portable, en se soumettant et/ou en résistant, plus ou moins, mais avec un minimum de conscience (qui fait peur, ou devrait nous faire peur !) de si en fait on fait bien ou on fait mal.

Car le bien et le mal dans son objectivité prédéfinie - et non dans nos conceptions individuelles ou collectivisées - nous devient étranger, sans importance, comme la mort en fait, qu'on a banalisé pendant quelques décennies sans pouvoir s'en défaire, et qu'on veut maintenant apprivoiser pour jouer - on joue à se tuer ! -comme un enfant sur un nid de cobra ! Mais a-t-on seulement la moindre idée ou connaissance sur ce qui suit la mort physique ?
Je vous invite à lire cet article si ne voulez pas être surpris-e dans votre ignorance : Les 5 types de mort (cliquez dessus).

Johnny est mort (un exemple parmi tous les autres). Mais l'album posthume qu'on sort de ses dernières sueurs (car il se donnait) met plus en mouvement l'émotion et les jambes pour vite pouvoir l'écouter - tout comme s'il était encore là - que sa mort qui devrait faire bouger l'âme, interroger encore n'importe lequel de ses fans tant qu'il ne sait pas où on va après la mort ! Non !?

Savez-vous où est Johnny en ce moment et pour longtemps ?
Sous la terre, dans une tombe ? Non ! Le corps tombe et retourne à la poussière d'où l'humain comme l'animal a été créé. Mais l'âme, le siège ou support de Johnny en tant que personne à part entière, avec ses sensations, ses réflexions, sa mémoire, et avec une volonté qui ne peut plus faire comme sur la terre, où est-elle ? Où est-il ?
Et vous, où irez-vous ? Vivez-vous comme une personne qui est montée, voire née dans le 1er train venu, et se laisse porter sans la moindre idée d'où il va et quand il faudra descendre - et pour continuer où, et quoi, et avec qui ? Est-ce que c'est ce qu'on peut appeler raisonnable ?

Peut-être même avez-vous une certaine croyance, en un au-delà, un paradis des chanteurs et un paradis des boxeurs, ou avec des vierges qui vous attendent... Permettez-moi de vous dire : Faut se réveiller ! Car même la meilleure religion u monde n'a pas le pouvoir de sauver le moindre homme, la moindre femme ! Renseignez-vous bien, en cherchant la vérité...
 

Et ainsi, ne connaissant pas Dieu en esprit et en vérité, ce sont ses lois d'encadrement morales qui jouent, contre lesquelles en aveugle on se jette ou on se heurte.
Nous avançons ainsi tous vers la mort* et la résurrection**. Et la première se voit suffisamment pour qu'on s'interroge sur la suite.

Dans tous les cas, nous n'avançons toujours que par deux versants possibles.
Celui des voies de la connaissance fondée sur du rocher*** - qui induit bien sûr une obéissance, bien comprise, et des bénédictions, autrement inatteignables - ;
Et celui des épreuves, des souffrances qui pourraient être évitées - comme des contraventions ou la prison peuvent être évitées. Sans doute aussi un AVC ou autres problèmes majeurs****...
_______________________
* Pour plus de détails comme déjà dit, vous pouvez lire Les 5 types de mort

** Pour les détails vous pouvez lire Les 5 formes de résurrection

*** "C'est pourquoi, dit Jésus, toute personne qui entend ces paroles que je dis et les met en pratique, je la comparerai à un homme prudent qui a construit sa maison sur le rocher.25 La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont déchaînés contre cette maison ; elle ne s’est pas écroulée, parce qu'elle était fondée sur le rocher.26 Mais toute personne qui entend ces paroles que je dis et ne les met pas en pratique ressemblera à un fou qui a construit sa maison sur le sable.27 La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont abattus sur cette maison ; elle s’est écroulée et sa ruine a été grande."
Les paroles de Dieu sont puissantes en effets (puisqu'il a créé le monde par ses paroles), mais vis-à-vis de nous elles ne s'imposent pas, puisque nous avons été créées disposant d'une liberté de (les) croire ou pas.

**** Dans nos épreuves il y a toujours plusieurs aspects positifs :
a) elles sont des jugements portés sur nos comportements, ce qui établit par cette forme de justice que Dieu existe bel et bien : "Si l'on fait grâce au méchant, il n'apprend pas la justice : il s’adonne au mal dans le pays de l’intégrité et ne tient pas compte de la majesté de l’Eternel."
Quand quelqu'un est licencié, c'est peut-être qu'il a trop "profité" de l'entreprise, ou qu'il a trop tapé dessus par ses paroles malveillantes, et comme l'un ou l'autre n'est pas bon pour l'entreprise, on coupe ainsi la branche sur laquelle on est posé ! Idem dans le couple, le pays, et avec Dieu... etc.

b) elles tiennent de l'avertissement : Quand une femme qui trompe son mari est surprise et menacée par la loi d'être lapidée, Jésus la sauve in-extremis en lui disant "Va et ne pèche plus." C'est dire que la honte de ce qu'elle a été découverte et exposée ainsi à la foule lui est comme un avertissement dont elle a désormais à réellement tenir compte.

c) les épreuves les plus lourdes - qu'il vaut mieux comprendre comme des retours de boomerang que comme des tuiles qui nous tombent dessus par hasard, par pure malchance -, sont aussi préventives, en ce que notre comportement ainsi jugé était déjà soumis à une influence démoniaque - ce qui fait les addictions - qui à terme conduisait notre âme directement dans "le séjour des morts" tenu par les esprits satanisés (parabole de Lazare et du mauvais riche).

Il y a donc toujours quelque chose à apprendre ou découvrir quand une épreuve nous atteint. Sous forme de livre, de film ou de chant, plusieurs témoignent que d'avoir été atteint d'un cancer ou du sida les a conduits à trouver la foi qui délivre et sauve l'âme.

¤

DU VERSANT SOMBRE AU VERSANT QUE LA LUMIÈRE ÉCLAIRE ET RÉCHAUFFE
Le Dieu vivant et vrai s'occupe de tous, mais pas de tout !
Car il nous a dévolu (laissé) des plages de liberté, qui sont un avantage notoire sur le règne animal, mais aussi une responsabilité (personnelle et collective). D'où les jugements qui tombent par moment, avertissements et autres préventions - car il n'est pas non plus si loin que cela de nous !

Et donc changer de mode de fonctionnement ! Changer de pratique, changer de vie !?

Heureusement, que ce soit par la crainte d'avoir à payer encore plus cher, ou par un réel désir de vouloir se mettre en ordre et en paix avec Dieu, c'est encore possible.

Mais pour cela c'est à nous à adhérer à son plan de réconciliation et de sauvetage éternel des âmes, opération qu'il a mené et manifesté en et sur la personne de Jésus en laissant tomber sur lui le pire des châtiments. Non celui qu'il méritait, mais celui que nous méritions, à la fois tous et chacun !

Ainsi Jésus est-il mort crucifié pour tous mais comme s'il n'y en avait qu'un à sauver. Car c'est individuellement que nous pouvons être sauvé, et "cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu.9 Ce n'est pas par nos œuvres, afin que personne ne puisse se vanter.
8 En effet, c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi."
"Si quelqu'un est en Christ (par sa foi), il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles.18 Et tout cela vient de Dieu qui nous a réconciliés avec lui par [Jésus-]Christ et qui nous a donné le ministère de la réconciliation.19 En effet, Dieu était en Christ : il réconciliait le monde avec lui-même en ne chargeant pas les hommes de leurs fautes, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous sommes donc des ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu adressait par nous son appel. Nous supplions au nom de Christ : « Soyez réconciliés avec Dieu !21 selon que celui qui n'a pas connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous afin qu’en lui nous devenions justice de Dieu. »"

Vous entendez bien ici qu'il ne s'agit que de notre foi placée au meilleur endroit (car nous avons tous foi en une chose, une valeur, une personne, une croyance ou une autre...).

Entendez, et croyez !

guide éventuel pour une prière de restauration et rencontre avec Dieu

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30 septembre 2018 7 30 /09 /septembre /2018 08:27

 

 

Une chaîne de télévision vient
de (re)diffuser une rétrospective animée par Laurent Delahousse
de la vie de Michel Delpech
(qui a quitté la scène terrestre début 2016).

Cela aurait pu être un mémorial
édifiant... si le réalisateur
ou la chaîne, n'avait pas choisi
d'amputer cette biographie...


LA GLOIRE ET LE MAL-ÊTRE - ça va souvent ensemble -
L'émission aborde les principaux épisodes-clés de son existence, avec ce mal-être intérieur qu'engendrait sa nouvelle condition de star. Comment être bien quand on devient une idole, c'est-à-dire un simulacre de Dieu - comme Dieu - pour des milliers de personnes ?
C'est le problème que rencontrent tous ces jeunes artistes soudain adulés parce qu'ils ont produit un tube ou un album.
Et la solution est toujours la même : tenter de se tenir en retrait de la scène publique, de résister aux pressions de toute la machinerie artistico-médiatio-commerciale enclenchée, ou se soumettre comme un citron qui va donner tout son jus sans respect pour la personne.
Certains réussissent ce pari de ne pas succomber à l'attrait de la gloire et de l'argent vite gagnés, refusant des contrats, des compromis, des propositions, et restent dans l'ombre qui leur assure de la sérénité.
D'autres avancent en franchissant tous les obstacles - moraux notamment, bafouant leur conscience, sourds aux avertissements de leur corps ou de certaines personnes lucides et désintéressées - jusqu'à n'avoir plus pour continuer que le recours à des stimulants médicaux, des stupéfiants, alcool, drogue, plaisirs sexuels dépravés... toutes choses qui ouvrent rapidement la porte à des démons véritables*.
On parle alors de "descente aux enfers", de démons ou "vieux démons", mais sans réaliser le contenu réel que renferment ces mots.
____________________________
* Démons : entités spirituelles invisibles capables d'agir sur notre âme, dans nos pensées et jusque sur notre corps dès lors qu'on se livre à des comportements déréglés, acceptent des accords ou liaisons injustes ; présences qui rendent irritables, colériques, exigeants, toujours plus dépendant de la recherche du bien dont elles privent.
Certains vont jusqu'à signer des pactes avec Satan, sans s'en cacher, pour obtenir de son pouvoir gloire, succès, argent, biens et plaisirs en tous genres... jusqu'au jour où il faut payer la note ! Ce n'est plus alors en argent, mais par la perte croissante de notre liberté (addiction, dépression, troubles dits psychiatriques), de notre vie corporelle (mort accidentelle), de notre âme (notre moi personnel, le cœur durable de notre personne, alors transporté dans le séjour des morts tenu par le diable). "Et que servira-t-il à un homme de gagner le monde entier, s'il perd son âme ?" avertit Jésus depuis longtemps.
¤

SA QUÊTE D'UNE SOLUTION SPIRITUELLE - bonne mais mal orientée -
Et comme bien d'autres, Michel Delpech se perd dans le surmenage, dans l'alcool, la drogue, les mauvais plaisirs (qui n'en sont plus), dans les flots qu'un environnement qui ne le laisse plus en paix. Il sent bien qu'il lui faut trouver un secours supérieur, non frelaté, sans effet secondaire, spirituel donc, pour ne pas succomber, pour tenir.

Il part en Inde - la grande séduction d'alors -, pour trouver des "maîtres", des gourous, pour essayer d'intégrer quelques concepts nouveaux dans son existence... Mais c'est en vain ! Et ça se comprend : si ça marche si mal sur des populations qui partagent (subissent) ces croyances, les laissant dans le dénuement, la misère, la stagnation, comment cela pourrait-il sortir de leurs difficultés des occidentaux, même dans l'opulence ?
L'exotisme séducteur et la sérénité artificieuse ne peuvent jouer bien longtemps. Mais la recherche est pourtant bien dans cette dimension de la spiritualité. Il reste à trouver la bonne - car là aussi, il n'en existe des fausses, des simulacres, que parce qu'il y en a une véritable - l'originale - la seule véritablement divine.

LA FONCTION DES ÉPREUVES - jamais gratuites mais effet et aussi cause nouvelle -
Et il faut finalement à Michel Delpech, après de surplus un divorce douloureux, un mal plus contraignant encore que beaucoup, pour l'arrêter : un cancer de l'organe qui précisément en fait un chanteur, une idole, un jouisseur et un pantin en même temps.
C'est ainsi que nos épreuves ont du sens, bien plus que nous ne sommes enseignés à le voir ! Elles résultent de nos erreurs accumulées, de nos fautes morales ou spirituelles, de nos obstinations, de notre aveuglement ; mais surtout elles sont significatives, des signes* qui veulent parler à notre conscience, pour qu'on se détourne du mal qu'on pratique, dans lequel on est enferré, dans lequel on est... mal forcément !
N'ayons pas peur des mots ! Les épreuves (accident, divorce, mort d'un proche, maladie grave, orpheline, trouble psychique, addictions, licenciement même...) sont des jugements personnels (comme il y a aussi des jugements collectifs sur les groupements humains, dont les nations). Mais en même temps qu'effet de cause, elles sont également positivement cause (à discerner, potentielle) d'un revirement possible de soi, d'une prise de conscience, d'une métanoïa ou conversion (changement total de point de vue, regard soudain tout nouveau).
_________________
* Cela a été particulièrement bien perçu quand le sida est apparu à partir de 1981 : c'était évident pour beaucoup qu'on était face à une conséquence directe d'une sexualité problématique. Depuis, cela nous mettant trop personnellement en cause, on a occulté la relation causale, cherchant la solution du problème dans un médicament (au prix de millions d'euros) au lieu d'une remise en cause de la cause. On est tous tellement comme ça, dans un domaine ou dans un autre... et surtout les démons se régalent de nous voir souffrir - alors que dans la foi en Jésus il y a(urait) un remède gratuit et à portée de main à s'approprier. De fait on tourne en rond en s'usant, on souffrant, au lieu de sortir de nos captivités.
¤

QUAND LA TÉLÉ - qui sait très bien exhiber - SE FAIT DRAMATIQUEMENT CENSEUR
On sait que les flots d'informations diffusées par les radios ou télévisions manquent d'objectivité (surtout où il en faudrait un minimum). C'est bien sûr déplorable, mais aussi une expression (de plus) du monde dans lequel on vit : un univers tenu par des forces maléfiques - bien autres qu'humaines, bien supérieures et souveraines que même les sectes et autres clubs très spéciaux d'êtres humains qui voudraient gouverner le monde -.

Et voilà donc que cette émission avançant vers sa fin, on passe d'un coup du cancer à la mort du chanteur ! Logique pour quelqu'un qui n'en sait pas plus. Mais réellement indigne d'un support d'informations qui, dans un monde qui prétend à la liberté, devrait transmettre sans parti pris, de manière non partisane. Car entre le travail physique obscur du cancer pour détruire jusqu'à la mort, et cette fin corporelle* advenue, on sait par ailleurs que Michel Delpech a expérimenté une vraie découverte de la foi qui sauve, de la foi au Christ Jésus.

Une conversion tellement vraie qu'en sont sortis deux livres**, et encore une dernière chanson écrite quand il sait que son Dieu et Père va le reprendre. Et cela parce que ce qui importe le plus pour Dieu n'est pas la longueur de notre existence terrestre, avec ses douleurs et ses tentations jusqu'à nous faire renier notre foi salvatrice, mais son parachèvement par la foi.
La réussite cardinale de cette existence, aux effets réellement bons et durables comme aucun autre, est celle de notre réconciliation et paix avec Dieu par le pardon de nos fautes. Et cela par la foi qui permet la réception du Saint-Esprit.
C'est par ces trois choses principalement (pardon, foi et réception de l'Esprit divin), que nous (en tant qu'âme scellée de l'Esprit, entité consciente qui choisit sa réponse face à l'offre de la grâce pour être éternisée), que nous entrons dans le Divin Royaume éternel, qui d'une part vient en nous, et d'autre part est et sera un prochain cadre de vie, une création consécutive à cet univers, le Paradis véritable sans fin.
_______________
*  Fin ou mort physique qui n'est pas la fin ou mort de l'âme, mais seulement sa séparation, la sortie de son véhicule. Voir article Les 5 types de mort   
** Livres de Michel Delpech : J'ai osé Dieu - Vivre
¤
COMME UN HOLD-UP ! - la vérité pouvant se voler comme d'autres biens -
Et donc la poursuite de vie de Michel Delpech - notre poursuite la meilleure possible de vie à tous, sauf preuve contraire ! - a été zappée*, étant rien pour ceux qui se perdent sans foi (ou dans quelque croyance dérivative) et peuvent agir sur des moyens puissants de transmission d'informations. Que Dieu leur pardonne "car ils ne savent pas ce qu'ils font. » ] Ils se partagèrent ses vêtements en tirant au sort."

Censure donc sur sa foi chrétienne, et aucun écho sur son dernier chant La fin du chemin. Un dernier chant quand même, de quelqu'un qui sait qu'il va en finir avec le lot pesant de ce monde !? N'est-ce pas un testament à respecter, un message - public en l'espèce - à laisser décacheté ? Le témoignage digne de foi d'un homme connu qui, même si c'est difficile dans cette circonstance de manifester la joie du salut, dit, chante, sa foi et son espérance que tout ne s'arrête pas ici-bas.
______________
* Je me souviens d'un rapt pareil dans une émission sur les personnes qui continuaient à vivre dans la zone irradiée mortelle de Tchernobyl. Lors de la première diffusion ces gens qui ramassaient régulièrement des champignons pour les manger - et n'en mourraient pas ! - disaient au journaliste qu'ils avaient la foi en Dieu et que Dieu les garder des radiations. Lors d'une rediffusion un an ou deux après, ce court passage avaient été coupé.
¤

UNE ATTEINTE À LA LAÏCITÉ VRAIE - synonyme de liberté et non d'occlusion -
Les témoignages sont légion de personnes touchées par Dieu, même pas attachées à une religion mais qui ont expérimenté et vivent la vie surnaturelle de l'Esprit, ayant été converties par un effet de la grâce divine comme il est écrit et illustré dans le Nouveau Testament, assurées de la rédemption éternelle de leur âme et des réalités célestes. "Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu.9 Ce n'est point par les œuvres (comprendre : par nos mérites), afin que personne ne se glorifie."  

C'est tellement vrai qu'on ne peut ainsi retirer ne serait-ce que du répertoire de Michel Delpech son dernier chant sans sortir du cadre même de la laïcité - qui s'est posée comme la gardienne de la liberté des expressions religieuses comme des autres !
Sinon ce qu'on appelle laïcité n'est qu'un athéisme déguisé, une idéologie partisane qui veut s'imposer alors qu'elle ne peut se prouver comme étant LA vérité quant à la connaissance du Réel tel qu'il est, dans toutes ses dimensions.
Cela dit pour ne pas se laisser duper, abuser voire endormir ou subtiliser par un organe puissant de communication ou tout autre chose les vérités les plus essentielles de l'univers, celles dont notre destination éternelle personnelle dépend.

Soyez gardé-e pour avoir la liberté de laisser le vrai Dieu se faire connaître à vous et/ou vous instruire "dans toute la vérité".

 

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