Aimer les courges ou les citrouilles, c'est une question de goût personnel, mais surtout pensez à cette occasion à Aimer... les enfants !
Pensez-vous que l'horreur, la chair de poule et la peur, l'occulte et autres réalités en rapport avec la mort, soient pour les enfants - dont nous avons la responsabilité -, des supports ludiques ou une forme éducative qui puissent participer de façon immédiatement bénéfique à la construction de leur personnalité?
Se déguiser en démon ou en diable, se montrer méchant, jouer avec des représentations de tête de mort ou de squelette, faire peur, peut-on seulement parler de "fête" ? Et si Halloween était franchement une fête maléfique !? Y avez-vous pensé ? Que savez-vous à ce sujet ? Avez-vous creusé la question, pris tous les avis, fait une synthèse objective qui intègre le fait que les démons et Satan sont des réalités spirituelles véritables, toujours malveillantes quelles que soient les apparences qui leur permettent de nous approcher pour nous investir de ce qu'ils sont et/ou de ce qu'ils véhiculent ?
Si vous êtes commerçant, croyez-vous réellement que pour gagner plus, tout est bon, qu'on peut se servir de n'importe quel support pour attirer la clientèle, jusqu'à peut-être un jour vendre son âme au diable - et je vous assure que ce n'est pas qu'une expression ! -, ou du moins jusqu'à accepter déjà de la soumettre à des esprits occultes (invisibles mais agissants et mal intentionnés envers tout le genre humain) ?...
...Car c'est bien en ces termes que la question d'Halloween se pose (ou doit se poser) ...en tout cas si nous sommes des personnes qui ne se contentent pas de suivre des modes ou des courants sans savoir ce qui les inspire, ce qu'est leur contenu réel, et quels en sont leurs effets ou conséquences sur nos vies déjà tellement malmenées…
Et donc il peut être pour le moins intéressant de choisir, entre la réalité que figure Halloween, et ce que figure le mot presque semblable Hallowed ! Mot qui signifie sanctifié, béni, mis à part. Mis à part des forces séductrices ou méchantes, toujours maléfiques, du monde occulte que suscitent et que veulent encore utiliser en ces jours les esprits de mauvaise augure. En sachant que seul Jésus, le Christ, a su les vaincre pour qu'on puisse en être gardés. C'est tout un pan du message de l'Évangile ou Bonne Nouvelle qu'il faut profiter de connaître ou mieux connaître... à l'occasion de cette "fête" - selon que se servir du mal pour amener du bien, c'est la capacité glorieuse de Dieu, raison pour laquelle il permet ce qui est mal(éfique).
Et donc la TOUSSAINT !? Car Halloween - qui signifie "veille", de la Toussaint donc - est directement lié à cette... fête des morts ? ou des vivants ? de tous-les-saints, qui sont ceux qui sont entrés dans la vie éternelle de Dieu ? Reprise donc d'une tradition païenne - d'une croyance très ancienne - contre une tradition qui se veut chrétienne, mais ne l'est pas ! Parce que ce n'est pas une fête qu'on trouve inscrite dans la Bible - qui donne les textes et éléments fondateurs de la religion mosaïque et à la suite de son accomplissement et sublimation par Jésus ; ensuite parce que bibliquement un saint n'est pas forcément quelqu'un de mort (physiquement), mais plutôt, d'abord, un vivant comme on est là, qui entre dans la vie et sanctification qu'offre Dieu par la foi en Christ possiblement à tout le monde ; la preuve est que les lettres des apôtres sont adressés aux saints des divers rassemblements à qui elles sont envoyées : De la part de Paul, apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, et du frère Timothée à l'Eglise de Dieu qui est à Corinthe et à tous les saints qui sont dans toute l'Achaïe... L'Achaïe n'est pas une zone du 3e ciel mais une région de la terre ! De la part de Paul, apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, aux saintsqui sont [à Ephèse] et qui sont fidèles en Jésus-Christ...
Un des aspects les plus profonds et unique de la Rédemption possible, potentielle, de nos âmes s'appelle la RÉGÉNÉRATION.
Elle est (bonne, nécessaire, recevable) pour quiconque veut avancer dans la plus juste connaissance du Réel et de soi, jusqu'à saisir le sens le plus fondamental de notre présence ici en bas...
En quoi aurions-nous besoin d'être régénéré ? C'est-à-dire de trouver, de recevoir, un regain de forces vives, vitales, physique, psychique (mentale, sentimentale, sensible, émotionnelle…) et/ou spirituelle. N'est-ce pas ce que nous recherchons chacun-e plus ou moins confusément, en regardant "L'amour est dans le pré" ou en suivant telle série, en rejoignant telle émission ou tel lieu où on peut rigoler ou être touchés par les talents de tel ou telle ; en trouvant sur internet des sites qui nous boostent et/ou font réagir ici ou là ; en se faisant masser, en pratiquant telle activité sportive et/ou en se douchant, ou en se mettant en posture ou condition pour tels exercices de relaxation, de concentration, méditation ou autre prière ; en étant assidu aux réunions de tels groupes (religieux ou pas), ou en aspirant à une rencontre déterminante, qui redonne au cœur - ou au portefeuille… - une plénitude qui change beaucoup de choses.
Qui se trouve suffisant en lui-même pour être toujours au top, et pour s'assurer une pérennité que rien ne va pouvoir arrêter ? Outre plusieurs des moyens énumérés que j'ai connus comme apportant, pendant des moments plus ou moins longs, du bien-être et une vitalité physiologique ou psychique accrue, aucun n'a été capable de mettre à demeure en moi une vie et force nouvelle qui se maintienne ! Aucun si ce n'est, il y a maintenant plus de 35 ans, Dieu par son Esprit, "lorsqu'il plut à Dieu… de révéler en moi son fils.." : seule la vie même de Dieu ajoutée à nos forces de vie existentielle est réellement régénératrice, dès ce présent et jusqu'en vie éternelle. Comment ?
Le Nouveau Testament ou Évangile nous enseigne qu'à un homme ou femme sais-e par le sentiment de son indigence, insuffisance, corruption morale ou autre addiction perverse, Dieu peut donner son Saint-Esprit ! Alors le propre esprit de cette personne est régénéré, c'est-à-dire qu'elle est déjà transformée par l'Esprit de Dieu, qui a ensuite la possibilité de faire croître en elle cette vie nouvelle - greffée sur l'ancienne - "jusqu'à ce que Christ soit formé en nous".
Ainsi le grand miracle intérieur, caché mais perceptible par ses effets, produit par la rédemption, c'est que Dieu peut mettre en nous, une vie et tendance nouvelles, qui nous rendent capable de vivre une vie totalement nouvelle, plus forte et plus légère, jusqu'à pouvoir sentir et dire "Ce n'est plus moi qui vis, c'est (d'abord) Christ qui vit en moi". Qu'on est loin de la religion ! Dont les lois, préceptes, rassemblements et autres rituels sont toujours sans force pour nous changer, pour dégager notre nature habitée par "la loi du péché et de la mort".
Ce n'est qu'au point de ma mort (en quelque sorte, spirituelle) à vouloir continuer mon existence sans Dieu, que Dieu, qui me traite en être moralement responsable, peut mettre en moi les dispositions qui étaient en Jésus-Christ. Si, seulement SI, j'éprouve ce besoin d'un + de vie, de pureté, de repos intérieur, de grâce… sinon je reste encore comme je suis.
Certes ce n'est pas tous les croyants, religieux, chrétiens ou de quelque croyance que ce soit, qui peuvent entrer dans cette nouveauté de vie spirituelle, et il ne faut pas que les comportements de tels ou telles nous dissuadent de chercher Dieu et de vouloir vivre avec lui ce dont il parle. Dieu ne donne ainsi de ses innombrables bienfaits qu'en rapport de notre soif d'en désirer, de vouloir vivre de la meilleure façon qu'il est possible dans ce monde.
Car ce que nous sommes, n'est pas d'abord la sainteté ! Ce que je suis au plus profond, c'est précisément ce que Dieu va avoir à changer en moi. Car par mon hérédité comme par mes propres agissements et pensées, je ne suis pas saint, ni près de l'être ! mais pécheur, c'est-à-dire enclin à mal faire, à ne pas terminer victorieusement ce que j'entreprends, d'autant que dans tous les cas, la mort vient tout interrompre de mes engagements.. Si tout ce que Jésus-Christ peut faire est de me dire que je dois être saint, son enseignement ne peut que me jeter dans le désarroi, dans le désespoir. Mais si Jésus-Christ par son Esprit est un vrai Régénérateur, qui peut substituer aux forces malignes de mon hérédité et de mes travers peu glorieux une part significative de ses propres forces en moi, alors je comprends mieux à quoi il veut aboutir lorsqu'il me dit qu' il me faut être (un) saint.
Ainsi, grâce à l'œuvre de la Rédemption - opérée par les souffrances et la mort de Jésus crucifié -, il peut mettre en nous ses propres dispositions, et ses exigences supposent toujours qu'il donne ce qu'il ordonne. C'est en cela que Dieu nous commande d'aimer, selon son double et triple commandement (qui accomplit les autres), qui est d'aimer, d'aimer et encore d'aimer ! Aimer Dieu (de toutes nos forces), et aimer son prochain (quel qu'il ou qu'elle soit), comme nous-même. Aïe aïe aïe, sans Dieu, comment aimer l'Un ou les autres, voire s'aimer soi-même !? Ce que nous devons faire de notre côté, ce n'est pas de nous efforcer - sans cesse et toujours lamentablement - à obéir aux commandements divins, mais c'est accepter pour… moi, la condamnation du péché prononcée par Dieu sur la croix où Jésus est mort. Accepter que la condamnation du péché en la personne crucifiée de Jésus en tue la puissance en moi si je crois.
Qu'arrive-t-il donc à celui ou celle qui croit en la mort substitutive de Jésus ? "Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie selon la tradition des hommes, selon les principes élémentaires du monde, et non selon Christ. 9 Car en lui, habite corporellement toute la plénitude de la divinité. 10 Et vous avez tout pleinement en lui, qui est le chef de toute principauté et de tout pouvoir. 11 En lui aussi vous avez été circoncis d’une circoncision (du cœur) qui n’est pas faite par la main des hommes… 12 Ensevelis avec lui par le baptême, vous êtes aussi ressuscités en lui et avec lui, par la foi en la puissance de Dieu qui l’a ressuscité d’entre les morts. 13 Vous qui étiez morts par vos offenses et par l’incirconcision de votre chair, il vous a rendus à la vie avec lui, en nous faisant grâce pour toutes nos offenses; 14 il a effacé l’acte rédigé contre nous et dont les dispositions nous étaient contraires; il l’a supprimé, en le clouant à la croix; 15 il a dépouillé les principautés et les pouvoirs (tous les types de démons et Satan leur chef), et les a publiquement livrés en spectacle, en triomphant d’eux par la croix."
Que voilà des paroles puissantes en elles-mêmes ! Leur force produit en nous de la vie, dès lors qu'on est dans cette croyance.
"De même que la tendance au péché est entré par un homme dans la race humaine, de même le Saint-Esprit est entré en nous par un autre Homme. La Rédemption signifie qu'à l'hérédité du péché, Jésus-Christ substitue une hérédité nouvelle, sans tache : le Saint-Esprit." (Oswald Chambers).
Soyez béni-e en saisissant la merveille qu'est pour vous l'œuvre de Dieu ainsi opérée par le Christ Jésus pour le salut éternel des âmes humaines.
Curieuse image, des plus significatives, qui fait que selon notre subjectivité, nous pouvons voir de la même réalité une figure (de jeune femme) ou une autre (d'une vieille femme).
De la même façon, notre monde peut permettre de voir une vie bonne et éternelle qui peut en être extraite, ou la vie mauvaise dont la mort est un terminal inconnu...
Dieu cherche l'homme comme un berger consciencieux cherche une brebis qui s'est perdue. Trop attirée par quelque nourriture appétissante, chacune porte en elle cette propension à vouloir brouter de l'autre côté de la clôture qui la garde. Et parfois elle se trouve une ouverture ou force pour s'en créer une pour sortir, parfois elle se prend la laine ou les cornes dans les mailles de fer d'un système justement protecteur, ou de systèmes cloisonnants néfastes… dont le tressage du filet de l'oiseleur (Satan, le diable éternel).
Si le XVIIIe siècle fut le siècle de quelques lumières psychiques, le XVIe fut le siècle de la lumière christique libérée à partir de l'expérience profondément humaine, dramatique et authentique du religieux en mal de relation avec Dieu Martin Luther. Mal de relation signifiant sentiment de culpabilité prégnant, insuffisance métaphysique (spirituelle) irréductible bien vue, et encore chez lui recherche insistante de la solution présumée, pressentie, soupçonnée, aspirée, désirée, que pouvait bien contenir l'Évangile qu'est la "Bonne Nouvelle" de Jésus-Christ. Il connaissait ces écritures, mais tant qu'il ne chercha pas suffisamment Dieu, elles restaient - comme souvent en religion - fermées à la réception que peut en accordée l'Esprit saint de Dieu
Quand Dieu donc eut répondu à la quête de ce cœur tourmenté, c'est ensuite, par la force de caractère et la rigueur de cet homme mises au service de (l'amour de) la vérité, le chamboulement de la terre habitée, en commençant par l'Europe, qui fut mis en œuvre. Ce fut comme une comète paraissant et traversant le champ des cœurs des hommes, avec sa combustion propre et, dans son sillage, décennie après décennie, une longue traîne (comme de mariée)... dont on n'est plus en train de vivre que les dernières étincelles...
Mais l'Esprit à l'origine de cette naissance spirituelle d'un homme et de ce réveil de peuplements reste le même. D'autres à la suite sont apparus, restés plus localisés, avec cependant -
- et surtout à peu près au même moment celui de Azuza street à Los Angeles en 1904-1906 qui devint le formidable mouvement international dit de La Pentecôte.
comme de météorites éteintes mises à faut par le Dieu Tout-puissant qui visite toujours les cœurs insatisfaits des religions, de leur propre religiosité, en quête de lui-même. Mais à la vue et suite aux effets puissants de cette météorite embrasée, Satan - qui n'est jamais très loin quand Dieu fait une œuvre quelque, part - mobilisa à son tour et à sa façon bien des cœurs lui appartenant potentiellement, pour organiser une répression sanglante, faite d'horreurs et de traumatismes, dignes de ce qu'il est et de ce qu'il est capable de faire lorsqu'il est poussé à se démasquer. Parmi ces cœurs souillés celui de rois, de reines, de régents et autres prélats religieux. Une bien sombre période et histoire de notre Histoire, qui aboutit à deux solutions plutôt contradictoires. D'une part, Dieu sauve ses croyants en les faisant fuir ou en les faisant chasser de leurs lieux, en Amérique du nord et en Afrique du sud notamment ; d'autre part quelques hommes qui se sentent pris entre deux feux sans vouloir ni de l'un ni de l'autre, vont développer par leurs connaissances culturelles et capacités intellectuelles, un courant philosophique, ce qu'on va appeler "les lumières". Des lumières certes en face d'obscurantismes religieux récurrents, mais si différentes de celle venue d'en-haut pour ceux qui se voient réellement comme ils sont, égarés et perdus tant qu'ils ne connaissent pas personnellement une vraie descente de (l'Esprit de) Dieu sur et dans leur vie. Et nous sommes là, 500 ans après que la comète Luther se soit embrasée dans quelque atmosphère, comme dans la fin de sa queue, chaque chrétien vivant de par l'Esprit divin petite lumière dans le noir sidéral - sidérant, qui rend tout dépourvu de sens - de notre monde. Cette obscurité ouverte comme une boîte de Pandore depuis le temps du premier jardin cultivé de la terre, en Eden terre des délices, et perpétuée sans interruption jusqu'au jour de la résurrection dernière et des derniers jugements qui suivront la disparition totale de cette terre et de ce ciel - enseigne la Bible.
Et comme toujours jusque-là, quand Satan agit avec force et iniquité, Dieu aussi est prêt à intervenir, à stopper ou inverser des mouvements insanes, à changer des coins obscurs en puits de lumière. Et c'est ce qu'il veut faire encore, alors que (seulement) quelques hommes/femmes puissants avancent dans l'incrédulité et autres croyances dévoyées, dans le sens désiré par Satan, dans l'objectif d'établir un contrôle de plus en plus global, totalitaire, du genre humain et de sa planète.
Dans ce contexte apocalyptique avancé, à l'accélération exponentielle, Dieu voit toujours des hommes comme un bon berger voit des brebis égarées et menacées, qu'il désire rejoindre, rattraper et sauver. Brebis rétive, pervertie et perverse, désobéissante au bien, livrée à sa nature animale désorganisée, quand encore elle ne s'est pas mutée pour un temps en loup, en hyène ou autres prédateurs peu fréquentables... C'est, au fond, ce que nous sommes tous par nature et par quelques développements aveugles ; c'est ce que vous êtes peut-être encore là maintenant d'une manière ou d'une autre, dans un mal-être qui en est l'écho ; c'est ce que Dieu dans son immense amour veut encore sauver, pourvu qu' on en ait assez de la galère, que ce soit dans des draps de soie sous un baldaquin ou sur un carton dans un recoin de toit ; pourvu qu'on en ait assez de se débattre pris dans un filet qu'on ne distingue même pas - mais qu'on ressent bien - ; qu'on en ait assez de rebondir et de rebondir encore, toujours pour rien, pour capituler enfin, une bonne fois, en toute bonne foi, au pied de la croix ensanglanté où Jésus donna entièrement sa vie pour nous arracher à une fin éternelle d'où tout bien sera exclus.
Dans l'Ancien Testament, livre de l'Exode, on lit : " L’Éternel envoya contre le peuple des serpents brûlants; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens en Israël. 7 Le peuple se rendit auprès de Moïse et dit: Nous avons péché, car nous avons parlé contre l’Éternel et contre toi. Prie l’Éternel, afin qu’il éloigne de nous ces serpents. Moïse pria pour le peuple.8 L’Éternel dit à Moïse: Fais-toi un (serpent) brûlant et place-le sur une perche; quiconque aura été mordu et le contemplera, conservera la vie.9 Moïse fit un serpent de bronze, et le plaça sur la perche; et si quelqu’un avait été mordu par un serpent et regardait le serpent de bronze, il conservait la vie. "
Cela a été un événement, un fait passé, mais cela est aussi une image prophétique qui concerne notre temps et notre existence à chacun. C'est pourquoi cela fut repris par Jésus au cours d'un dialogue des plus édifiants pour la connaissance de soi et notre devenir éternel : "Mais il y avait parmi les Pharisiens un chef des Juifs, nommé Nicodème; 2 il vint de nuit auprès de Jésus et lui dit: Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de la part de Dieu; car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu n’est avec lui.3 Jésus lui répondit: En vérité, en vérité je te le dis, si un homme ne naît de nouveau il ne peut voir le royaume de Dieu. 4 Nicodème lui dit: Comment un homme peut-il naître quand il est vieux? Peut-il une seconde fois entrer dans le sein de sa mère et naître? 5 Jésus lui répondit: En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. 6 Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l’Esprit est esprit. 7 Ne t’étonne pas que je t’aie dit: il faut que vous naissiez de nouveau. 8 Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais pas d’où il vient ni où il va. Il en est ainsi de quiconque est né de l’Esprit. 9 Nicodème reprit la parole: Comment cela peut-il se faire? 10 Jésus lui répondit: Tu es le docteur d’Israël, et tu ne sais pas cela! 11 En vérité, en vérité, je te le dis, nous disons ce que nous savons, et nous rendons témoignage de ce que nous avons vu; et vous ne recevez pas notre témoignage. 12 Si vous ne croyez pas quand je vous ai parlé des choses terrestres, comment croirez-vous quand je vous parlerai des choses célestes? 13 Personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme qui est dans le ciel. 14 Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut, de même, que le Fils de l’homme soit élevé, 15 afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle. 16 Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. 17 Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. 18 Celui qui croit en lui n’est pas jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et voici le jugement: la lumière est venue dans le monde, et les hommes ont aimé les ténèbres plus que la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. 20 Car quiconque fait le mal a de la haine pour la lumière et ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient réprouvées; 21 mais celui qui pratique la vérité vient à la lumière, afin qu’il soit manifeste que ses œuvres sont faites en Dieu." (Évangile selon Jean, chap. 3).
Toi aussi "Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé-e (toi et ta famille)". (Actes des apôtres chap. 16). C'est tout le bien que je vous offre de saisir et souhaite d'expérimenter.
"Quand on interroge le passé, il répond Présent !" Sacha Guitry
C'est le 31 octobre 1517 que le moine et ermite augustin, maître es Arts, docteur et lecteur de la Sainte Théologie, Martin Luther, publiait sur la porte du château de Wittemberg ses 95 THÈSES, notamment dirigées contre la pratique simonieuse (simonie : trafic de biens touchant au divin) des indulgences papales*.
Un fait local qui aurait pu rester mineur, mais son intégrité est telle que l'Esprit de Dieu atteste, soutient et démultiplie sa démarche, des plus courageuses, et par ce petit feu va embraser la chrétienté enlisée, et bien au delà.
Dieu a suscité ce moine authentique en lui-même dans sa quête d'une paix non factice avec le Ciel, en lui révélant que ses fautes et sa culpabilité d'homme pécheur ne se résolvent pas dans les mortifications et autres bonnes oeuvres qu'il peut déployer pour plaire à Dieu, mais fondamentalement dans la foi - sa foi ! - en l'oeuvre parfaitement accomplie (crucifixion)pour lui, par et en la personne de Jésus-Christ.
C'est une révolution formidable qui fait que le christianisme est bien moins une religion qu'une relation qui s'établit avec Dieu par une foi toute personnelle en ce Christ mort comme victime expiatoire suffisante pour obtenir le pardon des péchés, potentiellement de tous les hommes, et l'accorder effectivement à celui/celle qui croit en ce Sauveur. Cette disposition de Dieu apparaît donc comme bien plus excellente que les formes proprement religieuses de piété où la grâce s'obtiendrait par des œuvres personnelles, quelque mérite ou autres pratiques prétendues propitiatoires. Luther ouvre il y a 500 ans, la porte à une restauration de la vérité évangélique primordiale changée au fil des siècles par des hommes largement soutenus par Satan en des mensonges éhontés.
Il en résulta un chamboulement planétaire aux effets encore actifs aujourd'hui : une libération des croyants de contraintes (jougs) artificieuses, sans rapport avec le message christique et les écrits des apôtres. D'où une formidable promotion de la conscience personnelle, ainsi qu'une dynamique économique sans précédente. D'autant plus large et profonde que ceux qui embrassent ce retour aux sources sont - très nombreux (presque la moitié de la France au XVIIe siècles dont beaucoup de seigneurs, entrepreneurs et notables), - et de plus persécutés par les instances en place, qui se sentent menacées et dispersent de diverses manières les transfuges, véritables convertis à Christ, en divers horizons, des Pays-Bas jusqu'au continent américain et l'Afrique du Sud notamment.
On peut voir une synchronicité comme seul Dieu peut en organiser au sujet de ce réveil spirituel à l'ampleur jamais égalée, avec 1 - la découverte de l'imprimerie à caractères mobiles par Jean Gutenberg, dont le 1er livre imprimé est la Bible à 42 lignes en deux colonnes achevé en 1455. Ce qui l'anima se trouve en cette parole de l'inventeur : "Donnons des ailes à la vérité". Le temps de roder et améliorer caractères typographiques et presses, et voilà que
2 - Christophe Colomb rend le continent du Nouveau monde plus accessible et attractif que l'Inde ou l'extrémité sud de l'Afrique - où s'installeront au XVIIe siècle des réformés hollandais et des huguenots français. Le premier voyage de Colomb est retenu par l'historiographie de la civilisation occidentale comme l'événement majeur marquant le passage du Moyen Âge aux temps modernes (1492). On peut dire la même chose de l'imprimerie.
3 - Et puis c'est Martin Luther (1517), quand tout est prêt pour faire de sa lutte contre la corruption spirituelle, pour la vérité, les vérités divines révélées, un ensemencement d'ampleur planétaire...
Quel dommage que les leaders catholiques n'aient pas eu, et n'ont toujours majoritairement pas "l'amour de la vérité" - dont la Bible dit qu'elle est condition pour le salut de l'âme -, qui aurait fait, au lieu d'un schisme (de plus), un tsunami de grâce autrement plus bénéfique aux populations de la terre que ce qu'ont été à la suite les colonisations impulsées par des chefs politiques ou religieux irrégénérés...
La célèbre formule née depuis cinq siècles de ce retour aux sources est : - L'Écriture seule - La grâce seule - La foi seule. il fallait alors trancher avec les hérésies. De manière plus détaillée, on peut dire aujourd'hui : - L'Écriture seule... mais pas sans le Saint-Esprit ; - La grâce seule... mais pas sans justice et justesse ; - La foi seule... mais pas sans ses œuvres ;
C'est de ce temps que l'accès à la Bible prise comme Parole révélée de Dieu - "qui fait de chaque protestant un pape la Bible à la main" a permis les changements moraux et économiques les plus spectaculaires, donnant à l'Europe, puis l'Amérique du nord, des avances intellectuelles et technologiques considérables. Pour ma part, devenue athée par l'influence de la culture matérialiste, Dieu est venu me chercher dans une impasse en me disant notamment "Lis la Bible, lis la Bible", et plus tard "Je t'enseignerai moi-même". D'un coup mon existence est devenue autre, apaisée, guérie de diverses manières, et si cela n'empêche pas des épreuves de nous atteindre, c'est en moins grand nombre, et pour en être sortis plus fort par notre Dieu.
_______________ * Des pratiques douteuses, non scripturaires, avaient déjà été dénoncées un siècle et demi plus tôt - par John Wyclif(1320-1384) en Angleterre, qui déclarait que seul un homme en état de grâce peut légitimement exercer une autorité ecclésiastique (ce qui était souvent loin d'être le cas !), sa sainteté intérieure devant fonder sa légitimité à l'exercer. - et par Jan Hus (1369-1415), théologien et universitaire tchèque devenu réformateur contre l'oppression catholique, impériale et allemande. Les Tchèques ont fait de lui un héros national : son supplice, le 6 juillet, est commémoré par un jour férié. Il compte au nombre des martyrs de la pensée. (L'Église Catholique a amorcé une forme de réhabilitation en 1999).
Les dimanches matin (à partir de 9h 30), en direct de Mulhouse, le live d'une église vivante au delà de ses murs et de l'hexagone : ici pour rejoindre.
Belle journée quel que soit le temps...
Et demain je vais vous parler d'un BIG anniversaire...
Le Dieu vrai n'est pas à confondre avec Satan l'ange usurpateur, esprit invisible qui séduit (par de belles apparences, l'argent, le sexe, le succès, du pouvoir...), fait peur et/ou fait souffrir. Parmi nous, c'est parfois moins évident de faire la différence que de bien vouloir le croire !
Ici par un clic le témoignage d'un homme qui parle en toute simplicité et vérité de ses expériences des profondeurs possibles de l'existence - profondeurs démoniaques, mais aussi céleste...
Tout le monde ne peut pas se vendre des millions d'euros comme certains champions ou acteurs ! Ces personnes se louent en fait, se font mercenaires ou serviteurs d'un projet, car on ne les achète qu'un certain temps de leur existence, pour quelques mois ou quelques années. Mais combien vaut la vie d'un être humain ?
Pour un pur matérialiste, elle a été évaluée à moins d'1 euro si on la résume à un corps fait de quelques dizaines de litres d'eau sale et quelques autres éléments chimiques. Maintenant, c'est oublier qu'on est bien plus que de la matière organisée : on est aussi et principalement âme, et potentiellement esprit... autres composantes subtiles qui ne sont pas mesurables avec nos instruments.
Quel est donc le poids d'une âme - en fait de toi, de moi, de nous, dans ce qu'on est de plus conscient -, son prix pour Celui qui a tout créé ? Ce qui veut dire : À quel prix devons-nous nous estimer ? Comme quantité négligeable, même comme pouvant se supprimer (de la surface de la terre) ? Ou comme une réalité irremplaçable ? Comme si c'était peu de choses qu'on puisse faire et laisser faire n'importe quoi avec notre corps et/ou avec nos pensées ?...
Il y a 2 000 ans un autre homme - pourtant cupide mais certainement qui n'avait pas voulu se laisser éclairer - a estimé que la vie de Jésus valait 30 pièces d'argent. Après qu'il ait eu touché cet argent les yeux de Judas se sont ouverts : il a réalisé ce qu'il avait fait en le "balançant", et dès lors il estima sa propre vie n'être plus rien : Il se suicida.
Aujourd'hui encore parmi nous, la vie des autres ne vaut souvent - pas grand-chose : le prix de vente d'un organe soustrait au corps vivant d'un enfant... pour en sauver un autre !?... - ou rien : quand on a les yeux ouverts (comme il faudrait toujours), on voit combien on tue sans conscience, en créant des guerres, sur les champs de bataille ou devant des écrans, et encore jusque dans ce qui devrait nous être de plus cher...
Quel est donc le prix D'UNE VIE, DE N'IMPORTE QUELLE VIE ? Je ne dis pas d'années échangées contre de l'argent ou autres recherches de gloire, d'honneur, de plaisirs ou de pouvoir ? Non, je parle de ce qu'on est réellement, "D'UNE VIE" voulant dire du temps d'une existence ici-bas ET ENCORE de ce qui va suivre cette existence temporaire... après que nous - en tant que moi psychique, qu'âme - soyons séparés de notre corps ! Car c'est bien de cela qu'il s'agit. Il suffit d'y réfléchir, de s'interroger vraiment sur le sens de la vie, de chercher, pour parvenir à cette conclusion...
Alors sortons des critères de mesure que ce monde utilise envers hommes et femmes et enfants, pour arriver à une vraie et plus juste mesure de ce que nous valons, ce qu'est notre vrai prix SELON le DIEU qui nous a conçus. Et là ne nous trompons pas encore ! Ne nous faisons pas d'illusion, en pensant que nous avons beaucoup de valeur aux yeux de Dieu à cause de nos mérites personnels, de nos bonnes œuvres et précieux travaux, fussent-ils altruistes, humanistes, religieux ou spirituels ! En réalité nous valons pour Dieu... encore bien plus que cela !
Tellement plus que cela, que pour nous permettre de poursuivre notre existence éternellement avec lui (synonyme de Paradis, de vie nouvelle qui se poursuivra dans une prochaine création...), tous nos mérites sont à voir comme... ZÉRO ! Ne peuvent être apportés à la place ou en plus de l'unique prix que Dieu a mis dans la balance et agrée en notre faveur.
En effet Dieu a montré et nous a fait savoir que le vrai prix d'un être humain, de quiconque - de toi comme de moi - c’est Dieu qui se fait homme pour mourir à notre place ! Car un jour Dieu se sépara de lui-même, le Père (infini immuable...), la Parole Divine (qui dit hors de Dieu, médiatrice...) et le Saint-Esprit (mobile, mouvant, applicateur...) décidant d’un commun accord :
que la Parole de Dieu soit changée en un être humain, ce qui fit la personne de Jésus (Philippiens 2.5-8). Voici une partie du passage adapté pour vous : "Mais Jésus-Christ s'est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes, semblable à... toi."
de venir ainsi pour payer une rançon, pour payer un prix… celui de notre liberté et de notre victoire sur la mort. (1 Timothée 2.5-6) "Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous, donc en rançon pour... toi !"
Le prix du rachat de votre corps et de votre âme, c’est le sacrifice de Jésus sur la croix, c’est sa mort. Votre prix est incalculable - rien qu'en quantité de souffrances pour amoindrir les nôtres -, vous avez exactement cette valeur immense : le don, à 33 ans, de sa vie par Jésus.
Pourquoi besoin d'une rançon ? Parce que nous sommes visiblement mortels à cause de la force du mal qui nous habite, et, moins évidemment mais tout aussi certainement, parce qu'au lieu d'exister sous la souveraineté bienfaisante et protection de Dieu, nous vivons sous l'autorité maléfique de Satan - un ange de Dieu sorti orgueilleusement de son rang et qui a réussi à séduire le genre humain et à le mettre très très très largement sous sa botte ! Il suffit de regarder le monde (les actus, les films, les jeux...) sans se leurrer pour le VOIR ! (Bien des causes se voient indirectement, par/à travers leurs effets ; ici maléfices, malfaisances, dysfonctionnements, horreurs, destructions... via violences, perversions, peurs, vols, injustices, manipulations, déstabilisations, exploitations...
Et donc dans ce RACHAT ou ACHAT de notre personne par Dieu, contre le prix versé par lui-même sous forme de la vie sacrifiée de Jésus, 1/ il y a qu'un jour notre corps corrompu, habité par le mal et mortel, sera changé en un corps nouveau, bien plus puissant, incorruptible et éternel (lire ce chapitre).
2/ Et en attendant, le rachat par Jésus de quiconque croit à ce moyen initié par Dieu pour changer fondamentalement notre existence (insuffisante et brève), s'opère sur notre âme*, dès lors que nous croyons en lui comme nous sauvant, produisant dès lors une et des transformations significatives (en bien !) : Nous recevons sur le champ le secours immédiat de Dieu sous la forme du don (de sa part) et de la réception en nous (de notre part) de son Esprit éternel. Par cela, au moment de la mort physiologique (physique), quand l'âme sort du corps, celle-ci ne descend pas au "séjour des morts" - qui appartient à Satan et ses démons -, mais rejoint la sphère divine et Dieu en qui l'on a cru de la bonne manière. C'est la Rédemption telle que la Bible l'enseigne.
Vous valez donc beaucoup plus que ce qu'en disent les autres, ou que ce que vous vous-même pourriez imaginer. Oui, vous avez du prix aux yeux de Dieu, vous avez une valeur qu’on ne peut pas calculer, tellement elle est grande. Ne laissez pas votre apparence, vos handicaps ou vos faiblesses vous faire croire que vous n’avez pas de valeur. Ne laissez pas non plus l'orgueil, une propre suffisance qui ne peut que vous être préjudiciable, vous faire mépriser ou éviter ou détourner du don de Dieu. Devenez par la foi un-e enfant bien-aimé-e de Dieu, pour redressez (sans arrogance) la tête et voir la réalité de vous-même et de ce monde, tout autrement, bien plus justement. Et marchez dés lors en vainqueur !
Tout au long de cette journée et des jours qui viennent, laissez Dieu vous rappeler quelle importance vous avez à ses yeux ; et invitez-le à prendre votre vie entre ses mains pour que le prix versé par Jésus, son sang et sa mort, soit mis à votre crédit personnel, afin que vous ne craigniez plus la mort, et ne la verrez pas.
Enclos dans un espace que bordent la mort et d'autres limites pas toujours bien aperçues, noyé dans la foule ou esseulé, nous avons pour recours, parfois ultime, la vraie prière qui est dialogue (au début balbutiant) avec Dieu.
On n’avance tous qu’avec l’aide d’autres (choses et personnes). D’où l’importance de choisir celles qui nous tirent vers le haut. D’où l’importance d’avoir d’abord conscience de quel côté se trouve le bas et de quel côté se trouve le haut. Et notre conscience des réalités résulte de la somme de ce qu’on sait et de ce qu’on ne sait pas.
Ainsi notre tranquillité intérieure peut être due à notre ignorance. Ce qui n’est certainement pas la meilleure façon dont nous pouvons avoir la paix. La paix ne nous habite pas naturellement. Pas plus que l’amour, la patience et autres qualités qui sont en fait des attributs de Dieu (Galates 5.22).
Êtes-vous en ce moment dans une tranquillité qui n'est due qu'à votre ignorance ? Dans ce cas viendra forcément un moment, un événement, une mauvaise surprise, qui montrera que votre sécurité n’est qu’illusoire, sans force face à une de ces adversités qui peuplent notre monde et nous rencontrent un jour ou l’autre. Êtes-vous inversement dans une inquiétude qui vous taraude, tellement chevillée à vous que vous ne discernez même pas quelle en est la raison véritable ?
Dans les deux cas, vous n’avez pas la paix que Dieu donne. Car la paix intérieure qui tient même quand notre barque est secouée ou menacée, ne vient que par Celui qui la possède... parce qu’il l’est en sa personne. C’est là ce que Jésus possède comme il se possède lui-même et veut nous transmettre parce qu’il en a le pouvoir. Quand Jésus dit « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre coeur ne se trouble point, et ne s'alarme point.», il le fait en même temps qu’il le dit, car ses paroles sont « esprit et vie ». Si vous écoutez et prenez cette affirmation pour vous, vous en recevez et ressentez en même temps l’effet. Et cela chaque fois que vous viendrez à Jésus après avoir perdu sa paix, par votre légèreté, votre inattention, méconnaissance, ou autre adversité.
Ne voudriez-vous pas trouver - faire - la paix avec Dieu, en vous laissant adopter par lui ? Il s’agit là d’une réalité de portée spirituelle éternelle, bien plus qu’une simple idée ou métaphore qui ne serait que temporairement plaisante à notre psychisme, dans notre seule dimension intellect !
Si quelqu’un le veut, ce Jésus Sauveur des âmes égarées, pourvoyeur de paix comme personne, la démarche est simple pour notre part : Il nous suffit de vouloir laisser nos vieux vêtements de mendiant. Vêtements de athée, agnostique ou religieux dont les étoiles brillantes ne sont que les trous faits par la vermine des erreurs, de l’ignorance, des mensonges, des mauvaises actions et autres pensées fauuses… Voulez-vous revêtir les habits de fête que ce Père adoptif veut nous donner à tous, individuellement, par l’entremise de Jésus le premier qui en a été revêtu ?
Si vous en ressentez le besoin, dépouillez-vous donc ainsi : - Dieu méconnu, je veux venir à toi maintenant pour trouver la paix de l’âme, pour connaître le bien qu’il peut y avoir à être adopté par ton amour, pour ne plus vivre de saletés, de bassesses, d’insatisfactions successives, de plaisirs qui ne sont suivis que d’amertume, de déconvenues ou de mépris… Pardonne-moi mes erreurs, mes fautes, mes manquements (les lui dire… il les connaît mais les lui confesser c’est dire qu’on devient d’accord avec lui sur ce qu’est le mal…). Merci père céleste de m’adopter comme un enfant de ton éternité. Merci d’avoir envoyé et donné Jésus ton fils premier-né comme lumière pour me faire connaître tes vérités, comme chemin ouvert devant moi jusqu’à toi, comme sacrifice purificateur. Amen (ce qui signifie : Qu’il en soit ainsi).
"Ne vous inquiétez de rien, mais en toute occasion exposez vos demandes devant Dieu, par des prières et des supplications, avec des actions de grâces,7 Et la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus-Christ.8 Au reste, frères, que toutes les choses qui sont véritables, toutes celles qui sont honnêtes, toutes celles qui sont justes, toutes celles qui sont pures, toutes celles qui sont aimables, toutes celles qui sont de bonne réputation, et où il y a quelque vertu, et qui sont dignes de louange ; que toutes ces choses occupent vos pensées.9 Vous les avez aussi apprises, reçues et entendues de moi, et vous les avez vues en moi. Faites-les, et le Dieu de paix sera avec vous." Autre lecture ici versets 25 à 32.
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Dimanche matin 9h30 et mardi soir 19h30. Bonne suite dans la grâce que l'Éternel-Dieu voudra bien vous accorder... Dans l'attente découvrez, écoutez des chants ou cantiques certainement significatifs, d'un clic ici...
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.