Livre des Proverbes ch. 12 "27 Le paresseux ne rôtit pas son gibier ; Mais le précieux trésor d'un homme, c'est l'activité."
Ecclésiaste 5 "19 Si Dieu a donné à un homme... de se réjouir au milieu de son travail, c'est là un don de Dieu."
Dieu serait-il content de retenir ou de retirer ses dons ? La crise que constitue le chômage (individuel ou endémique) ne témoigne-t-il pas, comme un jugement, que Dieu ne peut plus nous bénir, selon que ses lois sont bafouées ?
N'est-ce pas terrible que Dieu VOUDRAIT nous bénir de mille manières, et nous, nous restons pauvres (en compréhension ou en argent ou en paix ou en réussite ou en amour véritable...) ?
Parce que SANS VÉRITÉ la bénédiction se retire : Sommes-nous véridique ou facilement menteur, trompeur, roublard, agissant comme si personne jamais ne nous dévoilerait ?...
Parce que SANS JUSTICE des malédictions peuvent tomber sur nos existences, famille ou entreprise : Sommes-nous juste ou plus enclin à tricher, à détourner, à subtiliser, à viser des gains ou avantages iniques ?...
Parce que SANS AMOUR, SANS BONTÉ, SANS GÉNÉROSITÉ, on est mesuré par ceux qui nous entourent et par Dieu lui-même (selon sa propre justice et ses lois d'applications) sans amour, sans générositén sans largesse : Somme-nous égocentrés au point de ne pas savoir donner, accorder une grâce, un pardon rapide, une seconde chance, un avantage peut-être même immérité ?...
Et puis évitons le piège que nous nous tendons facilement à nous-même, qui consiste À COMPENSER, à faire du bien ici ou là (où cela ne nous est pas forcément demandé) pour contre-balancer des choses mauvaises qu'on fait là où nous devrions être honnête, dans le courant de notre quotidien ! On est si naturellement portés à ce genre d'auto-justice - depuis Adam et Eve en fait qui se sont faits des ceintures de feuilles de figuier pour cacher la nudité de leur faute. On est par anture les mêmes ! Mais nos œuvres d'auto-suffisances ne peuvent guerre faire taire en nous la conscience et plus particulièrement la culpabilité - signe bénéfique aussi qu'on n'est pas déjà muré dans une insensibilité désastreuse...
Marc 8 "36 Et que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s'il perd son âme ?37 Que donnerait un homme en échange de son âme ?38 Car quiconque aura honte de moi et de mes paroles au milieu de cette génération adultère et pécheresse, le Fils de l'homme aura aussi honte de lui, quand il viendra dans la gloire de son Père, avec les saints anges."
Travailler honnêtement pour que les bonnes choses durent ; s'humilier pour que Dieu fasse grâce si on a perdu (par notre faute ou pas) un emploi : en généralement on n'est jamais innocent de tout lorsqu'on subit une perte : des entreprises ferment à cause de mauvais patrons, mais aussi à cause d'employés sans intégrité : là aussi les petits ruisseaux (des petits méfaits cumulés) peuvent faire une grande rivière (une faillite ou des licenciements).
Il peut sembler un temps intéressant de ne pas travailler ou de travailler sans intégrité. Mais au cours terme immédiat ajoutons une vue plus profonde et lointaine sur notre existence.
Les lois du bien et du mal ne cessent pas de jouer, qu'on croit en Dieu ou qu'on n'y croit pas !
Jacques 1 "21 Rejetant toute souillure et tout excès de malice, recevez avec douceur la parole qui a été planté en vous, et qui peut sauver vos âmes.22 Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l'écouter, en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements.23 Car, si quelqu'un écoute la parole et ne la met pas en pratique, il est semblable à un homme qui regarde dans un miroir son visage naturel,24 et qui, après s'être regardé, s'en va, et oublie aussitôt quel il était.25 Mais celui qui aura plongé les regards dans la loi parfaite, la loi de la liberté, et qui aura persévéré, n'étant pas un auditeur oublieux, mais se mettant à l'oeuvre, celui-là sera heureux dans son activité."
Alors croyez, càd ajustons notre comportement sur ce que Dieu dit qu'on peut entendre de sa part - en lisant une Bible notamment, dont le livre des Proverbes ou des Psaumes pleins de révélations -, et encore en Le cherchant lui personnellement (Qui il est, lequel il est, comment le connaître, être pardonné-e, délivré-e d'un travers qui nous mine l'existence ?...) pour faire DES EXPÉRIENCES de sa véracité et/ou de ses réponses...
Soyez béni-e dans ce mouvement du coeur VERS lui et/ou POUR être (plus) attaché-e à lui, plus qu'à tous les vices possibles qui ne nous valent que de maigres avantages en face des vicissitudes, problèmes, adversité, souffrances occasionnés... ici-bas déjà... mais aussi possiblement en vis-à-vis d'une éternité si on n'interrompt pas ce processus de la domination du mal sur nous.
Le sommeil, comme d'autres bénédictions, se perd.
Et ne plus pouvoir dormir naturellement contribue à accroître notre vulnérabilité à divers dangers.
Là aussi c'est lorsqu'on perd qu'on peut mieux réaliser que ce qu'on avait de bien, d'apparemment automatique et sans importance, était en fait une réelle bénédiction de Dieu - selon la façon dont il a disposé les divers éléments formant ce qu'on appelle le vivant.
Un verset biblique confirme que le sommeil est un don divin :
Prov. 127 "2 En vain vous levez-vous matin, vous couchez-vous tard, Et mangez-vous le pain de douleur ; Il en donne autant à ses bien-aimés pendant leur sommeil.
Êtes-vous déjà entré-e dans le cercle béni des "bien-aimés de Dieu" ?...
ET DONC ?... (représentation symbolique où cette problématique est particulièrement à fleur de peau : Le Cap - Afrique du Sud)
La LOI ou RELIGION-SYSTÈME (quelconque) est comme LE NŒUD de cette image : le colt représente la force qui nous habite naturellement : LA LOI DU PÉCHÉ ET DE LA MORT. Soit LOI contre LOI !
On comprend déjà qu'en religion on ne peut être dans un rapport réellement apaisant et capable de nous conduire à un déploiement de soi. Dans ce rapprochement, quelle force va s'imposer à nous ?
Que va produire une simple pression sur la gâchette - initiée par nous-même, par une circonstance, un évènement ou une tentation (artifice démoniaque puissant) ?...
Cela est vrai au cœur d'une religion qui représente mal Dieu, comme dans une existence fondée sur une vue agnostique ou athée du Réel. Dangerosité et sécurité des plus aléatoires.
Tout cela à cause d'erreurs en vis-à-vis de la vérité, d'ignorance, de méconnaissance, d'aveuglement... qui placent en situation de danger, de mal faire, de transgresser (une loi religieuse ou sa conscience personnelle), et d'avoir en retour à en subir les conséquences.
Des conséquences proportionnées à un couple ou rapport (personnel ou au plan d'un groupe) qui est capacité intellectuelle/égarement en rapport de la vérité.
Cette planète et notre histoire étant devenues espaces de tous les dangers, il y a également danger pour qui dit la vérité : pour qui la découvre et la fait connaître...
Mais se taire quand il y aurait à parler est aussi une faute !
C'est là une face du message évangélique, Jésus s'étant fait l'instrument - trucidé - des vérités du Réel révélées au monde.
Comme il en coûta au Maître de dire "Je suis LE chemin et LA vérité et LA Vie", il peut en coûter à quiconque de dire qu'il connaît des vérités fondamentales.
Même pour un scientifique des vérités sont parfois difficiles à impossibles (hormis dans le temps) à faire admettre.
Rendez-vous compte dans quel monde en perte de repères, en situations toujours plus délicates et humainement ingérables, en mode décadence sévère, nous sommes ? Connaissez-vous cet exemple, "un fait divers" comme on dit ?
Un jour j'ai pris un homme en stop. Au fil de la route, on en vint à parler de travail, qu'il recherchait désespérément, avec très peu de qualification, et il fut heureux que je comprenne bien sa difficulté parce que moi-même, je lui dis avoir parfois perdu un emploi, n'être pas pris pour un autre, etc...
Mais je sentais une vraie difficulté à faire entrer Dieu dans la discussion, simplement pour lui dire comment aussi il m'avait permis d'avoir au moins à deux reprises des postes pour lesquels je n'avais même pas les qualifications recherchées.
Quand je lui avais demandé où il allait, il m'avait juste répondu : Je vous dirai. Voyant le temps passé, le trouvant sympathique et craignant d'avoir à le laisser sans lui avoir partager cette bonne nouvelle que Jésus peut l'aider, je tentais une approche - qui fut ce qu'elle fut ! - lui disant qu'on n'a pas à s'inquiéter car de toutes façons on n'est pas seuls, que du haut du ciel on est suivis... je pensais lui dire par des anges bienveillants ou par Dieu...
Je n'eus pas le temps de terminer : d'une voix soudain dure et impérieuse il me dit : - Plus un mot !!! Roule et tais-toi !
Sentant une énorme méprise, je tentais de lui dire que je voulais juste... mais je n'eus pas le temps de dire trois mots : en mettant sa main sur son blouson (côté coeur mais je compris vite qu'il montrait plutôt une poche intérieure), il me coupa en tendant son visage vers moi : J'ai là ce qui faut pour te faire taire s'il le faut ! Maintenant roule et tu t'arrêteras seulement où je te dirai.
Vous êtes-vous déjà senti pris dans une situation pareille ? Je ne voulais pas trembler bien que ça tremblait à l'intérieur de moi ; on était en pleine campagne et on peut imaginer les pensées qui s'enclenchent alors ; sans plus de force je me confiais en Dieu - la foi n'est certainement plus là de la simple croyance ! On fit ainsi au moins dix kilomètres dans ce genre de silence qui montre que tous les silences ne sont pas habités de la même façon, jusqu'à une ville où il me dit où je devais m'arrêter.
- Maintenant file !
Et encore quelque chose comme - Fais attention à toi ! en me faisant encore comprendre ce qu'il pouvait avoir dans son blouson.
Je crains qu'il relève mon numéro d'immatriculation mais je réprimai la pensée de repartir en trombe pour l'en empêcher, me demandant plutôt comment avertir du danger que je laissais là, avec des gens qui allaient et venaient innocemment autour de la Poste... C'était il y a au moins trente ans.
L'insécurité est de vieille date sur la planète malade des hommes et des démons. Avec des pics, avec une généralisation, avec une intensité alarmante (du même mot qu'alarme !), notamment en rapport de nos fautes de comportements.
Mais il faut encore savoir que la crucifixion de Jésus est un cas particulier, totalement à part, qui tient à ce qu'il donne à ce moment-là sa vie À NOTRE PLACE, pour que nous, qui un jour aurons l'opportunité de croire, soyons gardés des conséquences de nos fautes - SURTOUT si on les voit et les confesse.
Psaume 91 "1 Celui qui demeure sous l'abri du Très Haut Repose à l'ombre du Tout Puissant.2 Je dis à l'Éternel : Mon refuge et ma forteresse, Mon Dieu en qui je me confie !3 Car c'est lui qui te délivre du filet de l'oiseleur, De la peste et de ses ravages.4 Il te couvrira de ses plumes, Et tu trouveras un refuge sous ses ailes ; Sa fidélité est un bouclier et une cuirasse.5 Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, Ni la flèche qui vole de jour,6 Ni la peste qui marche dans les ténèbres, Ni la contagion qui frappe en plein midi.7 Que mille tombent à ton côté, Et dix mille à ta droite, Tu ne seras pas atteint ;8 De tes yeux seulement tu regarderas, Et tu verras la rétribution des méchants.9 Car tu es mon refuge, ô Éternel ! Tu fais du Très Haut ta retraite..."
Où chercher une vraie sécurité ? Dans les présences policières qui parcourent les villes ? Dans une religion qu'on pratique comme on peut ? Dans ce que les sciences nous apportent comme révélation ?... Ou dans une relation établie avec la personne même de Dieu ?
Bonne progression dans la connaissance qui ajoute à nos limites la foi authentique et la réalité d'un Dieu qui peut tout suivre et peut intervenir quand il veut où il veut, d'autant nous l'invoquons dans notre existence.
B - OBJECTIF, VOIRE FINALITÉ D'UNE ÉPREUVE Toute épreuve tient de la rupture d'un continuum dans lequel nous sommes relativement établis, avec des habitudes, des fondements de pensées, des relations.... Cela peut être une rupture positive, une bonne promotion qui fait changer d'entreprise ou de région..., le passage d'un statut à un autre, une forme de saut évolutif bénéfique, qui n'est pas le sujet ici.
Ici il est question des épreuves qui nous abaissent, qui nous cassent, qui nous réduisent, nous amoindrissent, nous amènent d'une manière pu une autre à un niveau inférieur de capacités (psychique ou physique, voire spirituelle). On connaît ou imagine (un peu) cet effet que peut produire un divorce (surtout subi), un licenciement, un accident, un deuil, une maladie grave... Ce que j'ai réalisé être important dans une épreuve, c'est qu'elle nous fait passer d'un comportement et d'un mode de pensée qui tient de l'automatisme (plus que de réflexions réellement pertinentes), à quelque chose de nouveau qui impose une ou des REMISES EN CAUSE de notre manière devenue habituelle d'être et de faire. Et notamment parce que cette manière de faire marcher notre existence comportait une disposition qui a pu être la cause du mal qui nous a atteint. C'était peut-être même "la chose" devenue la plus importante de notre existence qui en était (devenue) le problème, au point où l'épreuve a pu survenir comme son jugement (du grec krisis, une crise qui interpelle).
Et donc nous avons à comprendre que la fin et sortie de l'épreuve ne doit pas nous amener à nous replacer dans nos circonstances et valeurs et priorités de vie précédente, sinon - on n'aura pas tiré la leçon profitable qu'induit (sans s'imposer) la difficulté, - et un mal plus sérieux à plus définitif peut revenir sans tarder. J'ai vu des gens "partir" ou revenir à une chaise roulante après en être sorti, ou retourner à une addiction terrible... alors qu'une meilleure compréhension des mécanismes et/ou des lois à l’œuvre aurait pu éviter de telles rechutes et la mort même. Parfois le mal et ses effets (quand ils sont lourds) empêchent de revenir à un mauvais positionnement antérieur ; mais c'est aussi à nous de vouloir comprendre en quoi nous pouvons, en conscience, prendre une meilleure part à notre propre réalisation en tant que créature, essentiellement vulnérable, insuffisante et mortelle.
C'est pourquoi j'invite le lecteur, la lectrice, à saisir que telle épreuve n'a pas seulement pour effet de suspendre (certaines) de nos activités, mais encore, essentiellement - de nous remettre en cause, - de revoir la pertinence de choix ou fonctionnement qu'on a adoptés, - de laisser une aspiration spirituelle nous atteindre, un sentiment de retour au religieux nous pénétrer... en comprenant que c'est là UNE GRÂCE DE DIEU en notre faveur, - Jésus ne voulant pas que nous nous perdions par un comportement qui nous met en danger jusque dans l'éternité, - désirant nous faire entrer dans une bien meilleure perception et compréhension du Réel, de notre propre existence terrestre bornée, - voulant établir avec nous une relation bienveillante - dont les effets en nous peuvent être vitalité accrue, enthousiasme nouveau, paix intérieure et avec des personnes, vrai repos, étonnante bonté, justice, vérité...
Aussi je vous invite encore, selon où vous en êtes, à chercher, devant Dieu, ce qui vous apparaît maintenant comme de plus en plus nécessaire. De chercher peut-être autour de vous des chrétiens, une église vivante, de chercher parmi les pages ou les articles précédents de ce site (sur la droite), ce qui pourra vous aider à avancer dans la connaissance qui change la vie. Et puis un contact plus direct est aussi possible - selon comme vous le sentez, sachant que les échanges par mail ne sont pas mis sur le blog mais sont privés. Soyez conduit-e pour la meilleure suite possible en votre faveur...
LA FOI VÉRITABLE c'est croire sans voir mais non sans comprendre, non sans logique, non sans cohérence : c'est croire pour MIEUX aperceVOIR
- notre monde,
- le Réel dans toutes ses dimensions, dont les mondes spirituels -,
- ce qu'on est soi-même en vérité,
- ce qu'est la fin des réalités et leur transformation ou recyclage possible - ce qui s'appelle pour nous mort et rédemption,
- comment marcher ici en bas pour ne pas être un assisté plus qu'un aidant,
Et tout cela nécessite l'aide potentielle infinie de Dieu
- qu'il dispense
- à propos
- avec jugement mais par grâce
- en faveur de qui le veut - ou de qui il veut
- sans que la foi cesse d'être un principe de marche et de croissance.
Le monde va (de plus en plus) mal et Dieu va (toujours) bien ! Entre les deux nous sommes, dans la sphère psychique,
- soit dominés par l'illusion d'un regard artificiel, souvent controuvé, utopique, idéaliste ou idéalisateur OU pénible, déprimé et déprimant,
- soit dans la vue éclairée de la foi qui se fonde sur ce que Dieu a dit et transmet depuis des siècles... comme par exemple :
2Timothée "1 Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles.2 Car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux,3 insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien,4 traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu,5 ayant l'apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Éloigne-toi de ces hommes-là.6 Il en est parmi eux qui s'introduisent dans les maisons, et qui captivent des femmes d'un esprit faible et borné, chargées de péchés, agitées par des passions de toute espèce,7 apprenant toujours et ne pouvant jamais arriver à la connaissance de la vérité."
Edifiant non !?
1Timothée 4 "1 l'Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, quelques-uns abandonneront la foi, pour s'attacher à des esprits séducteurs et à des doctrines de démons,2 par l'hypocrisie de faux docteurs portant la marque de la flétrissure dans leur propre conscience,3 prescrivant de ne pas se marier, et de s'abstenir d'aliments que Dieu a créés pour qu'ils soient pris avec actions de grâces par ceux qui sont fidèles et qui ont connu la vérité..."
on est bibliquement dans la fin d'un temps qui dure depuis bientôt 2000 ans (oui BIENTÔT), étant déjà entrés, comme c'est reconnaissable, dans "les temps difficiles" annoncés. Si on ramène ces deux millénaires à la durée d'une journée, on est à peu de minutes de minuit - d'une fin... inouïe (= pas ouïe, en tous cas par ceux qui ne sont pas sensibles aux raisons profondes véritables des mouvements du monde et de soi-même).
La suite aussi est annoncée, et quand on connaît la Parole Écrite de Dieu, on sait où on va, même si TOUT n'est pas écrit (façon fatalité et fanalisme), mais le synopsis général oui. A nous d'entrer dans la partition de ce dessein divin qui s'accomplit sous nos yeux, selon des règles établies qui, comme toutes les lois,
- protègent ceux qui y obéissent et
- sanctionnent ceux qui transgressent,
le but étant que le plus grand nombre - quand même - viennent ou reviennent à Dieu pour des secours immédiats et encore une éternité magnifique dans sa prochaine création.
Cherchez la connaissance de Dieu, elle vous conduira dans la logique de la foi - nettement supérieure aux incohérences apparentes de ce monde que donnent des concepts athées et autres représentations religieuses, deux modes qui occultent Dieu plus qu'ils et qu'elles ne le révèlent.
Soyez éclairé-e plus que jamais jusqu'à ce jour, par la grâce de Dieu que j'invoque en la faveur de tout lecteur/lectrice parvenu-e jusque-là.
La révélation de Dieu se fait d'un coup parfois, et souvent - ou à la suite - progressivement, dans la mesure où on cherche (au moins un peu) ce qu'il en retourne du Réel, du sens de notre existence ou des épreuves, de ce qui suit la mort physique...
Bien qu'ils aient été pendant des années à vivre chaque jour (et nuit) avec lui, les premiers disciples de Jésus avaient bien du mal à saisir qui était cet homme : Un nouveau prophète à la suite des autres ? Un usurpateur - ce que crut jusqu'au bout Judas l'Iscariote qui le trahit ? Et ce n'est que par révélation venue par l'Esprit de Dieu que Pierre put dire avec conviction et comme s'il savait déjà lui-même, ce qui est fondamentalement vrai de Jésus :
Mat. 16 "13 Jésus... demanda à ses disciples : Qui dit-on que je suis, moi, le Fils de l'homme ?14 Ils répondirent : Les uns disent que tu es Jean Baptiste ; les autres, Élie ; les autres, Jérémie, ou l'un des prophètes.15 Et vous, leur dit-il, qui dites-vous que je suis ?16 Simon Pierre répondit : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.17 Jésus, reprenant la parole, lui dit : Tu es heureux, Simon, fils de Jonas ; car ce ne sont pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais c'est mon Père qui est dans les cieux."
Pour nous, pour vous il en sera de même : sans Dieu qui vous révèle précisément qui est Jésus, vous ne saurez trouver en lui ce qu'il est venu faire et apporter de bénéfique pour tous et chacun - pour vous donc.
Juste pour vous inviter - vous exciter même - à vouloir savoir personnellement qui est réellement Jésus-Christ, voici encore quelques versets qui disent ce que Jésus est devenu aux yeux (à la conscience) de certains, au fur et à mesure de leur marche dans la foi :
Jean 1 "1 Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.2 Elle était au commencement avec Dieu.3 Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans elle. 4 En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes... 14 Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père... 16 Et nous avons tous reçu de sa plénitude, et grâce pour grâce ;17 car la loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ.18 Personne n'a jamais vu Dieu ; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l'a fait connaître."
Paul écrit dans Philippiens chap. 2 "5 Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus Christ,6 lequel, existant en forme de Dieu, n'a point regardé comme une proie à arracher d'être égal avec Dieu,7 mais s'est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes ; et ayant paru comme un simple homme,8 il s'est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu'à la mort, même jusqu'à la mort de la croix.9 C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom,10 afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre,11 et que toute langue confesse que Jésus Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père."
Paul aux Colossiens 1" 12 Rendez grâces au Père, qui vous a rendus capables d'avoir part à l'héritage des saints dans la lumière,13 qui nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour,14 en qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés.15 Il est l'image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création.16 Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui.17 Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui.18 Il est la tête du corps de l'Église (faite des chrétiens rachetés du mal, à distinguer des églises-institutions ou bâtiments) ; il est le commencement, le premier-né d'entre les morts, afin d'être en tout le premier.19 Car Dieu a voulu que toute plénitude habitât en lui ;20 il a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix.21 Et vous, qui étiez autrefois étrangers et ennemis par vos pensées et par vos mauvaises oeuvres, il vous a maintenant réconciliés par sa mort dans le corps de sa chair,22 pour vous faire paraître devant lui saints, irrépréhensibles et sans reproche..."
Jean 20 "26 Huit jours après, les disciples de Jésus étaient de nouveau dans la maison, et Thomas se trouvait avec eux. Jésus vint, les portes étant fermées, se présenta au milieu d'eux, et dit : La paix soit avec vous !27 Puis il dit à Thomas : Avance ici ton doigt, et regarde mes mains ; avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté ; et ne sois pas incrédule, mais crois.28 Thomas lui répondit : Mon Seigneur et mon Dieu ! Jésus lui dit :29 Parce que tu m'as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n'ont pas vu, et qui ont cru !"
Aviez-vous une telle idée de qui peut être réellement le Christ Jésus ? Bien sûr que non ! Moi non plus ! Sans que l'Esprit de Dieu ne nous ait révélé qui est et comment est réellement Dieu et qui est en réalité Jésus !
Une autre vision de ce qu'il est actuellement dans la sphère céleste la plus haute :
Apocalypse 1 "9 Moi Jean, votre frère, et qui ai part avec vous à la tribulation et au royaume et à la persévérance en Jésus, j'étais dans l'île appelée Patmos, à cause de la parole de Dieu et du témoignage de Jésus.10 Je fus ravi en esprit au jour du Seigneur, et j'entendis derrière moi une voix forte, comme le son d'une trompette,11 qui disait : Ce que tu vois, écris-le dans un livre, et envoie-le aux sept Églises, à Éphèse, à Smyrne, à Pergame, à Thyatire, à Sardes, à Philadelphie, et à Laodicée.12 Je me retournai pour connaître quelle était la voix qui me parlait. Et, après m'être retourné, je vis sept chandeliers d'or,13 et, au milieu des sept chandeliers, quelqu'un qui ressemblait à un fils d'homme, vêtu d'une longue robe, et ayant une ceinture d'or sur la poitrine.14 Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige ; ses yeux étaient comme une flamme de feu ;15 ses pieds étaient semblables à de l'airain ardent, comme s'il eût été embrasé dans une fournaise ; et sa voix était comme le bruit de grandes eaux.16 Il avait dans sa main droite sept étoiles. De sa bouche sortait une épée aiguë, à deux tranchants ; et son visage était comme le soleil lorsqu'il brille dans sa force.17 Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant : Ne crains point !18 Je suis le premier et le dernier, et le vivant. J'étais mort ; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts."
Vous voyez, on peut tous commencer par avoir des idées sur Jésus, toujours faites d'ailleurs à partir de ce qu'on entend dire de lui par des gens... qui ne le connaissent généralement pas. Or ici, on a des témoignages de la part de personnes qui ont connu Jésus personnellement pendant son existence première sur Terre, ou qui ont reçu par l'Esprit de Dieu la compréhension de qui il est réellement en rapport des cieux et de la Terre et de l'éternité.
A partir de ce qui ne peut qu'interroger le commun des mortels qui lit jusque là, qui découvre ce que ses meilleurs témoins ont saisi et dit de Jésus, c'est maintenant à vous, personnellement, de chercher à savoir, càd à recevoir dans votre être intérieur une lumière qui vous dise à vous aussi qui est réellement Jésus, en lui-même et/ou en rapport de vous personnellement.
A vous cette part, que Dieu attend, que Jésus désire, à laquelle l'Esprit Divin peut répondre, de vous approcher de Dieu pour une vraie rencontre - en esprit et en vérité.
Soyez-y conduit-e.
On se lave le corps, mais se lave-t-on l'âme ? N'en n'aurait-on pas besoin, malgré tout ce qui nous touche chaque jour, en infos, en pensées, par les regards, par les paroles, par les proximités physiques et psychiques - voire méchamment spirituelles !?...
La connaissance vise à élargir le champ de notre conscience - cet aspect particulier de notre réalité personnelle qui dit moi-je. On commence par un embryon de conscience de soi, et cela peut s'élargir jusqu'à une connaissance significative de soi, et jusqu'à la conscience puis connaissance de Dieu. En route dans cette prodigieuse découverte du Réel dans sa globalité, voyons un peu là ce qu'il en est de l'âme que nous sommes dans un corps.
A - RAPPORT ÉTROIT ENTRE ÂME ET CORPS
1 - La somatisation C'est un principe (un des principes actifs ou moteurs du vivant) que la somatisation. C'est un processus latent et toujours activable qui fait que notre corps soit subit les bienfaits, soit subit des méfaits, résultats de la façon dont nous usons de notre âme (de nos capacités psychiques instinctives, cognitives, passionnelles, automatisées ou plus réflexives) - et encore de notre esprit... quand il est activé en nous...
Ce comportement psychique qui nous est propre se traduit dans le physique (dans nos organisations physiologiques) par une bonne santé, ou par des dérèglements, des tracas, des maladies et autres troubles cellulaires ou organiques... qui sont la répercussion des mauvais réglages de notre intelligence du monde, au monde et de nous-même, de parts de mauvaises appréhensions des réalités, des mauvaises valeurs suivies ou choisies...
Le corps permet que deviennent bien plus sensibles les problématiques de l'ordre mental, psychique et/ou spirituel (dont la mort spirituelle est bien sûr un élément non négligeable). Plus sensibles par des douleurs (alerte, symptôme ou déstructuration même), par de la perte de vitalité, des ralentissements, des dysfonctionnements. La médecine reconnaît et accepte - un peu mais pas suffisamment - ce schéma des corrélations, le fait causal qu'est la somatisation.
2 - Localisation ou effet corporel(le) et nature du problème psychique. Il semble qu'il y ait un rapport significatif entre la cause (psychique) et un problème (physiologique). Par exemple j'ai eu à souffrir d'un mal terrible qu'on appelle les impatients ou jambes impatientes : la nuit elles bougent toutes seules jusqu'à vous faire sortir du lit pour marcher... J'ai demandé à Dieu, à MON Dieu - que je connais et qui me connaît - pourquoi il permettait cela. J'ai d'abord compris que ça voulait dire, en 3D, que dans mes journées j'étais en activité (psychique) comme marchant dans la nuit, càd qu'un emploi de mon temps n'était pas dans la vue (volonté) de Dieu pour moi. Or l'essentiel de mon temps était consacré au domaine spirituel ! Je ne voyais donc pas où était le problème ! Et j'ai du insister pour obtenir de Dieu la réponse principale, claire et nette, en rapport avec ce que j'en étais arrivé à tenir une fonction pastorale auprès d'un groupe de chrétiens. La réponse était : Je ne t'ai pas demandé cela !
Arrivé à tenir cette "fonction" par du temps disponible, par mon désir de servir Dieu, et encore de faire grandir spirituellement ces personnes en leur partageant mes savoirs et expériences. Rien de mal !?... Eh bien si ! J'étais désormais placé dans un rôle de pasteur que Dieu ne m'avait pas demandé ! Ce qui mettait sur ma vie et sur mon couple une pression, une disponibilité et fatigue qui se traduisirent par le mal des impatients.
Au préalable j'avais bien vu que ça coinçait de plus en plus, que se réunir devenait de plus en plus compliqué et qu'il fallait moins en faire, que des réunions se passaient sans que j'ai une seule parole de Dieu à apporter ; mais les autres attendaient encore des apports par moi - ce qui s'était produit au début - et de nos partages... Mais on résistait tous sans le réaliser... à Dieu, par un mode habituel qui n'était pas ou plus ce qui lui permettait de nous bénir de la meilleure façon ! A la seconde où j'ai vu que mon problème c'était ça !... dans la seconde le mal a disparu ! Pour d'autres bien sûr ce sera moins "pointu", moins spirituel. Mais chacun en rapport de nos compréhensions et conscience personnelles peut être repris dans son corps, par son corps, à propos d'une marche psychique et d'un comportement correspondant qui en fait nous trouble et/ou en trouble d'autres autour de nous. C'est là un des processus universels au bénéfique ou au détriment duquel nous vivons.
Pour être complet avec cet épisode, voici ici le rapport que j'ai fait de cette guérison d'autant miraculeuse qu'il y avait avec les jambes impatientes un autre problème tout aussi lourd...
3 - Mais d'abord, avant de somatiser, effets sur le psychisme lui-même. Outre des maux physiologiques dus à des mauvaises organisations innées, il semble - et c'est logique - que la dynamique somatrice apparaisse en dernier ressort - en dernier effet et appel ! - de la façon problématique dont on - moi-je du haut de sa tourelle ! - conduit notre existence. "En dernier appel" car avant comme j'ai dit, les mauvais positionnements cognitifs et/ou sensibles et/ou relationnels adoptés, ont leurs effets les plus immédiats au plan même de notre sensibilité psychique. Troubles de l'âme, mal-être, mal-vivre, déprime, repli ou solitude, sur-activité sans contrôle, soit mise en avant excessive soit mise en retrait problématique... Tout ça tient du psy, diront certains !?... Sauf qu'il est fort préférable de chercher Le psy qui a fait lui-même TOUT le tour de la question de l'humain ! Et bien sûr qui peut être meilleur psy que Jésus, qui en tant que Parole éternelle de Dieu est à l'origine de notre conformation humaine - fut-elle aujourd'hui dans la défaillance adamique à cause de notre liberté mal utilisée ? Le constructeur d'une automobile ou d'un ordinateur saura toujours mieux que quiconque d'où viennent les pannes et comment les solutionner... et ici c'est pour toujours qu'on a besoin de soin.
4 - Mais une chose après l'autre : défricher avant d'entretenir. Avant de naître dans le sens de "venir au monde", il a fallu que nous naissions de gamètes dans un sein maternel (c'est certainement mieux que partout ailleurs), qui est réalité ET figure aussi, pour dire que pour entrer dans la lumière de la vie spiritualisée (éternelle), il nous faut aussi être d'abord conçu - en nous-même ! - par Dieu - lui-même, par son Esprit -, ce que la Bible appelle "naître de nouveau" Evangile selon Jean chap. 3. Ainsi "né de Dieu", avec une constitution de départ qui est ce qu'elle est (soit dans un état ou un autre de plus ou moins grand délabrement - bien vu ou jusque là à peine soupçonné), on va pouvoir entrer dans une phase de déblaiement et d'apports nouveaux, psychiques et spirituels, dont le corps pourra très vite aussi bénéficier... (somatisation positive).
Je vous invite, selon où vous en êtes, à chercher, devant Dieu, autour de vous (des chrétiens, une église vivante), parmi les pages ou les articles précédents de ce site (sur la droite), ce qui pourra vous aider à avancer ainsi dans la connaissance qui change la vie. Et puis le contact est possible ici - si vous le sentez (les échanges ne sont pas mis sur le blog mais seront privés) . Soyez conduit-e pour la meilleure suite possible...
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.