"Lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies. 7 A peine mourrait-on pour un juste; quelqu’un peut-être mourrait pour un homme de bien. 8 Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. 9 A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère. 10 Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie." Lettre aux Romains, ch. 5
"Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. 17 Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu’il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. 18 Celui qui croit en lui n’est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. 19 Et ce jugement c’est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises." Evangile selon Jean, ch. 3
Soyez béni(e) par le don du Christ Jésus appliqué à votre existence.
"Je confondrais la sagesse des sages et des intelligents", dit Dieu !
Que comprenez-vous quand vous lisez cette affirmation de Jean-Paul Sartre : "L'univers sans Dieu, sans raison d'être, est absurde dans son ensemble et dans ses parties." ?
- Qu'il donne là une preuve de l'inexistence de Dieu ?
- Qu'il fait un constat à partir de son propre mode d'existence dont Dieu était exclu ?
- Qu'il n'affirme en fait qu'une vérité, qui est que si nous nous bornons à vivre sans Dieu, comme s'il n'existait, nous perdons du réel un maximum de sens, au profit d'incompréhensions, de confusions, de nihilisme ?
Pour moi cette déclaration - qui tient de la conclusion - ne démontre pas du tout que Dieu n'existe pas ; mais elle constate objectivement une relation entre la compréhension des réalités de ce monde et la place qu'on accorde (ou pas) à leur créateur.
Postuler qu'il n'y a d'intelligence initiatrice de l'univers, c'est en rendre jusqu'à tous les éléments dépourvus de signification. Quelle pauvre existence et pensée que celle-là, qui part d'elles-mêmes ! PARCE QU'elle part d'elle-même !
C'est vrai que c'est vraiment absurde ! Comme mettre, disaient les anciens, la charrue avant les bœufs !
Si on observe, on peut voir que c'est une façon de faire qui n'est pas isolée, mais que c'est une vraie cause de bien de nos problèmes : juste inverser l'ordre - horizontal, vertical, transversal... - de deux choses !
Bénédiction d'En-haut sur vous, dans le nom précieux et puissant de Jésus.
Je veux parler là de ce qui est réellement dans l'arrière-cour de notre monde, des forces invisibles qui parfois laissent faire parfois commandent, ce que nous voyons et entendons, étant en beaucoup de choses dans des effets dont les causes ne sont pas vues... C'est que le spirituel est une dimension du Réel pris dans sa plus large globalité : c'en est d'ailleurs en réalité le commencement, et la meilleure des fins...
En réalité, il existe trois "choses" à ce niveau :
- Dieu lui-même, voilé (à cause de nos comportements et d'une (large) plage de libertés qu'il nous accorde) mais connaissable (selon un chemin qu'il fait entendre à qui veut connaître le Réel en vérité) ;
- Des représentations qui sont faites de Lui, que transmettent des religions ou divers sectarismes, issues de la réalité de Dieu mal perçue, mal acceptée, volontairement ou involontairement déformée, formant le plus souvent écran à la connaissance des réalités célestes ;
- Et puis il y a celui qui est assez malin (d'où un des noms que Jésus lui donne) pour faire croire qu'il n'existe pas - pour agir (même grossièrement) sans que les hommes s'en rendent compte - pour donner même à certains de pseudo-connaissances (qui enflent l'orgueil, le moi-je, au lieu de l'éclairer) et/ou des pouvoirs capables d'élever au-dessus des foules, pour en tirer de la gloire, de l'argent, de la sexualité, de la domination, un impérialisme, une dictature... un jour planétaire.
Cette entité de l'ordre spirituel est bien connu en fait, des mots comme diabolique ou démoniaque faisant toujours partie de notre vocabulaire presque courant - dès lors qu'il se passe des choses tragiques, épouvantables... mais sans que nous réalisions de quoi nous parlons, croyant davantage avoir affaire à des métaphores, à des illustrations de type mythologique, qu'aux réalités effectives dont il s'agit.
Et donc l'humanité se retrouve coincée entre
- d'une part une évolution intellectuelle, qui se veut scientifique et donc supérieure et certaine de son fait - ce qui donne des gouvernements et personnalités à l'Occidental, fort de valeurs chrétiennes mais terriblement déchristianisés, et
- d'autre part une ou des religions dont le fondement ne peut être que l'archaïsme de lois qui DOIVENT s'imposer aux hommes, de gré ou de force, étant dans une méconnaissance de Dieu et de la grâce par laquelle il a DÉJÀ accompli lui-même la plus parfaite loi religieuse de justice - ayant été démontré qu'aucun homme/femme ne pouvait se soumettre fidèlement, honnêtement, sans hypocrisie, (ou sans offrir sans cesse des sacrifices sanglants), au légalisme sévère d'une loi morale... même seulement quelque peu juste...
Ainsi pour suivre bénéfiquement l'actualité - dans le sens de sauver, si ce n'est sa peau du moins l'essentiel de ce qu'on est : notre âme -, il nous faut voir plus haut ce qu'il en est, au plan où les choses les plus déterminantes se passent, dans les deux sphères célestes qui nous dépassent, celle du Divin véritable, et celle de son usurpateur, Satan, le diable, le serpent du premier jardin et le dragon de l'Apocalypse finale, un ange certes éternel mais déchu de son rang, qui sort sans cesse des limites qu'il devrait se donner de respecter.
La terre et nous-mêmes formons un vaste jeu d'échec, dont les joueurs actifs ne sont bien sûr pas les pions au premier chef, pas même les rois ou reines et autres présidents et tours fortes des nations, mais d'un côté Dieu et ses anges, de l'autre côté, qui pensent encore pouvoir gagner la partie, Satan et ses démons (anges déchus). Et gagner LA partie n'est rien moins que S'ASSERVIR POUR L'ETERNITE LE GENRE HUMAIN. Pas moins !
Et d'autant plus ce faux-dieu et ses hordes nous dénaturent, nous poussent ou attirent à être dans le désordre et les transgressions comme ils sont, d'autant plus nous nous faisons à leur image, et nous leur appartenons.
La seule différence d'avec un jeu d'échec - si représentatif de cette réalité -, c'est que les pions humains possèdent une relative part d'action, pouvant collaborer avec Celui qui joue pour le bien et le bonheur commun, plutôt que de subir les coups imposés par celui qui ne vise qu'à sa domination, qu'il désire ardemment faire éclater à la face de toute la planète pour qu'on l'adore effectivement comme Dieu !...
C'est un des points essentiels de l'enseignement biblique, que l'Esprit Divin nous donne de décrypter, dès lors que nous choisissons délibérément de jouer avec celui dont on a compris les objectifs bienveillants envers nous.
Usez donc de votre bon sens et curiosité pour voir et chercher combien une telle vue spiritualiste est cohérente et répond plus que toute autre, aux interrogations et besoin de sens et vraies lumières, qui sont ceux d'êtres intelligents tels que Dieu les créa et nous veut.
Qu'il vous bénisse et vous aide à trouver et passer la porte de votre salut, présent et éternel.
C'est peut-être un peu difficile à entendre pour des grandes personnes !
(Je prépare une nouvelle avec Le petit Prince qui parle des "grandes personnes", c'est sans doute pour ça ! )
La joie est réellement un don de joie, un de ses attributs, qu'il partage avec nous faits à son image, pour qu'on le reflète sur la terre.
Mais on doit bien admettre que les temps qui courent et se bousculent ne laisser guère de place à une vraie joie. Je veux dire à une joie non frelatée, non imbibée d'alcool, d'amphétamine ou autres mauvaises blagues, non faussement festive.
Et dans ce monde aux boussoles multiples mais - et d'autant - déboussolé, reste cependant une parole qui peut, peut-être encore, se frayer un chemin vers un cœur qui en a marre de la mascarade et des mascaras et autres patchoulis, qui dit par exemple : "La joie de l’Éternel sera votre force." (Une parole sortie de la bouche d'un des serviteurs de Dieu les plus éminents : Néhémie - ch. 8 de son livre - dans une bible).
Dieu VEUT nous offrir sa joie. C'est différent de : Dieu nous offre sa joie, n'est-ce pas ?!
Si Dieu imposait tout ce qu'il veut - en fait de l'amour et un bonheur total pour tous -, notre existence serait en réalité entièrement déterminée par lui, sans liberté véritable, un peu comme un chien vit sa vie de chien, un chat sa vie de chat, un panda sa vie de panda...
Mais en réalité c'est PARTICIPANTS de ses œuvres bonnes que le Dieu véritable nous veut. Participant en commençant par trouver la porte de notre "raccordement" à lui.
Et trouver comment entrer en relation avec Dieu c'est deux choses :
- C'est entendre suffisamment correctement ce qu'on a à trouver, ce qu'il veut que nous apprenions (ce qui ne dépend pas forcément que de nous perso). Et puis
- C'est accepter, c'est s'insérer personnellement dans ce que Dieu dit, c'est vouloir à notre tour, ce que Dieu veut. (D'où le schéma de prière donné par Jésus : Que ta volonté soit faire...).
Et là on est dans la liberté la plus authentique, dans le non-déterminé.
Et quand on est entré,
- par la grâce de Dieu venue jusqu'à nous d'une manière ou d'une autre,
- ET par notre acceptation des moyens qu'il a prévus pour nous réconcilier avec lui et partager avec nous son éternité,
dans cette dimension supplémentaire de vie,
il devient évident qu'on ne peut prendre sur nous, retenir pour nous, quelque gloire que ce soit de ce qu'on devient capable de faire, de dire, de produire...
C'est pourquoi J.-Sébastien Bach signait ses partitions : "A la gloire de Dieu".
Parole de Jésus : Il connaît le nombre de nos cheveux !
Réalisons ce que cela contient comme informations sur ce Dieu infini qui a tout créé ?...
Sortons - sortez ! - du starting-block des raisonnements transmis, d'un conditionnement évolutionniste préjugé et/ou de tel anthropomorphisme religieux hérité !...
Dieu est grand, il est magnifique, vivant, réel, ACCESSIBLE !... Si... si l'on cherche à entrer dans la libre part dont il nous a pourvus, qui fait de nous des gens responsables, de nos choix et de notre éternité...
C'est en faisant ce genre de distinction qu'on peut se mettre à voir plus clair ! Alors que sont ces catégories ?
1/ Il y a la catégorie où se trouvent tous les problèmes que nous voyons être les nôtres : Ceux que nous avons et devons résoudre, qui encombrent notre existence, nos vues, nos désirs, nos projets... nous débattant ou maugréant, cherchant des forces en nous - sans jamais les trouver suffisantes - et jusqu'autour de nous : dans plus de travail et/ou de rémunération, dans des cabinets de thérapeutes, dans des livres et des techniques, dans des services charitables, dans de la générosité même... Bref notre quotidien sans cesse en butte avec quelque chose qui gêne ou fait obstacle, s'il existe, à un rêve ou à un bonheur souhaité.
Face à cette catégorie, on ne sera jamais le vainqueur bien souvent, car même les succès, les résolutions, ne sont jamais que de courte durée... Alors, si nous voulons arriver à sortir de cette condition (inutilement ou stérilement) épuisante, il faut considérer qu'existe une autre catégorie de problèmes à résoudre. Celle-ci étant un peu comme une anti-chambre ou un sas d'accès qu'il faudrait traverser avant de pouvoir aller plus avant dans un désencombrement du reste de la maison.
Et comme cet espace est une catégorie de PROBLÈMES, pouvoir le traverser signifie pour nous le rendre praticable, le débarrasser d'encombrants, y frayer un passage qui doit nous apparaître nécessaire, pour pouvoir devenir suffisant.
2/ Il s'agit de la catégorie de problèmes que nous avons en vis-à-vis de Dieu !
On touche là au plan subtil, surnaturel, voilé, où se trouve la cause originelle de nos problèmes et de leur envahissante prépondérance. En deça de cette vue, nous ne faisons en fait que nous rendre un culte à nous-même ! Comme si nous étions apparus de nous-même ; comme si nous étions le dieu PAR QUI nous sommes arrivés (ici et un peu à quelque chose) et POUR QUI doit aller la reconnaissance, la gloire et les profits les plus divers qu'on peut tirer (justement ou injustement) de ce monde.
Et de fait nous oublions, nous perdons de vue, nous refusons d'admettre que tout vient de Dieu, d'un Créateur intentionné et intelligent, que notre minable modélisation des origines avec des hasards à qui on devrait tout (r)envoie de son invisibilité à un néant... en nous.
Là où le bât blesse, d'abord, il faut soigner, il faut chercher la cause pour laquelle un bœuf ou un cheval ne veut plus avancer, un aigle même ne peut plus voler.
Car Dieu a parlé, c'est indéniable, par des prophètes, par la recherche même de philosophes (étymologiquement d'amis de la sagesse), et plus clairement que jamais par un fils, de Dieu et de l'homme. Il y a rien que là, avec les perceptions de la nature..., de quoi considérer et s'arrêter à ce qu'il y a effectivement dans notre existence des difficultés parce qu'il y a un Dieu et parce que nos positionnements vis-à-vis de lui ne sont pas justes, donc sont des problèmes.
Et une vue pertinence de nous-même, qui se mesure à de l'humilité retrouvée, ne peut que nous laisser voir que si problème il y a entre Dieu et nous, ce n'est pas lui qui en est la cause, mais bien nous. C'est qu'il y a en nous "quelque chose" d'incompatible avec lui, qui nous empêche de tenir dans le bien (selon lui et/ou selon notre conscience...), qui nous pousse ou nous attire vers et dans le mal (ce que la conscience discerne, avant ou après...).
Mais vient-on à vouloir échapper à telle ou telle emprise mauvaise* et cela peut devenir le point de départ d'une vie toute nouvelle. On le voit avec une délivrance du tabac, de l'alcool, de drogues, de dépression, d'un cancer... On peut le voir avec une réconciliation avec Dieu.
C'est alors notre manque de paix, de joie, de vie, notre dégoût ou la mesure de nos insuffisances, la culpabilité, telle dépendance ou l'agitation, les pensées sordides, morbides... suffisamment aperçus et vus comme CONSÉQUENCE, EFFET de notre séparation d'avec Dieu qui vont nous permettre de (re)venir à lui. C'est-à-dire de résoudre les problèmes de cette catégorie - dont le traitement est prioritaire.
Si vous entendez cela, si vous êtes aujourd'hui concerné'e) par ces paroles, cherchez, cherchez, cherchez la paix avec Dieu, désirez voir ce qui vous sépare de lui, qu'est-ce qui est problème SELON LUI...
Il faut passer par là si vous désirer connaître la vraie vie, qui est une vie plus consciente du Réel tel qu'il est ; une existence plus pleine de sens, du sens qui peut la transformer ; si vous désirez que Dieu vous délivre de chaînes, de situations, change votre propre coeur comme il peut aussi changer vos circonstances... Cherchez sans repousser à demain, car demain ne vous appartiendra peut-être pas.
Soyez béni(e) et actif(ve)... pour l'essentiel.
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*emprise vue comme mauvaise, dès lors que nous devenons capable de RELIER ce qui apparaît alors comme étant une CAUSE à des EFFETS, à SES EFFETS.
Dans le film "Reines et rois" on entend cette remarque intéressante : "Il faut toujours prévoir que, évidemment, on a raison, mais que c'est toujours possible qu'on ait un peu tort en plus, sans s'en rendre compte. Et avoir un peu tort, c'est une très bonne nouvelle ! Ca veut dire qu'on n'a déjà pas toute la solution et que la vie va être bien plus étonnante et pleine de surprises que ce que l'on croyait."
Bien plus tôt Descartes le rationaliste - et néanmoins chrétien ! - avait dit la même chose - avec plus de précisions et non sans raison : "Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances."
Montaigne aussi avait bien remarqué : "Il vaut mieux des têtes bien faites que des têtes bien pleines."
Einstein : "Rare est le nombre de ceux qui regardent avec leurs propres yeux et qui éprouvent avec leur propre sensibilité."
Et encore : ''Le souci de parvenir à la vérité doit primer sur toutes les autres considérations.''
"En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire." G. Orwell – 1984.
"Les faits ne cessent pas d'exister parce qu'on les ignore." Aldous Huxley (Le meilleur des mondes)
Ne vous sentez-vous pas concerné(e) par de telles réflexions et affirmations de la part d'hommes qui ont cherché à comprendre ce qui se passe, ce qui fait que le monde ne tourne pas rond... parce que ça ne tourne pas rond, notamment dans les têtes les plus influentes, les plus médiatisées !?
On comprend que Jésus ait dit que son royaume - qui sera éternel, non comme celui-ci dont la fin a déjà été signée - n'était pas de ce monde ! Mais c'est du fumier de celui-ci, dont on est comme des molécules, que le Rédempteur tire la substance psychique du Royaume qui vient...
Soyez encouragé(e) à vous défaire des oripeaux d'une culture... qui s'avère ne pas en être une...
Ce n'est pas face à ses élucubrations, bonnes intentions, rêves ou volonté de bien faire, que se révèle un être humain ! Car on peut se leurrer soi-même par et dans nos pensées, tout autant qu'on peut blouser les autres par nos paroles.
Mais quand un ennemi se lève, réel ou supposé (car notre fond de perception et de réflexion n'est pas forcément juste au point de pouvoir distinguer ce qui est un vrai danger de ce qui n'est qu'une aberration de vue...) ; quand quelque chose ou quelqu'un vient se mettre en travers de nos objectifs ou plus chauds désirs, ou encore touche à ce que nous avons de plus cher, ALORS LA, et surtout là, vient à la surface, à la vue ou aux oreilles des autres, ce qui était tapi, caché, enfoui, retenu, refoulé, masqué, peut-être encore insoupçonné à nous-même mais présent au plus profond, au plus réel de soi : de la virulence, des cris, une souffrance terrible (exprimée ou muette), du mépris, de la haine, de la calomnie, de l'inconsistance, la lâcheté, le leurre de nos fondements, ce qu'on reproche aux autres, ce qu'on ne voudrait surtout pas être... C'est ce que la Bible appelle "la loi du péché et de la mort", dont chacun est habité et que notre socialisation même est incapable d'anéantir...
C'est un principe actif qui peut traverser toutes les couches de nos activités et société, depuis les plus personnelles au plus sociétales, au plus humanistes, apparemment généreuses et altruistes...
Il faut le voir pour le croire ! Et le voir ne demande que de l'honnêteté. Demande, attend, que nous en finissions avec la dissimulation à nous-même de ce qu'on est le plus réellement : quelqu'un infiniment en-dessous de ses prétentions ! Quelqu'un qui arrive trop souvent au mal alors même qu'il ne cherche que le bien ! Quelqu'un d'insuffisant là où il devrait être fort. Quelqu'un qui a besoin... de Dieu !
Pas d'une adhésion à une de ces représentations (factices, insuffisantes, impuissantes, trompeuses, dégoûtantes même de Dieu), dont la vue soudain nous fait devenir religieux - sans foi ! - ou nous donne la nausée - sans nous faire passer par LA CASE DEPART marquée : REPENTANCE !
On a franchi un seuil de non-retour au plan du développement psychique d'une grande partie de la population mondiale. En tout cas suffisamment dans ce qu'on appelle l'Occident, pour que "le mal" soit fait !
Ce qui rend et va rendre le monde de plus en plus difficile à gouverner.
Et donc bientôt faire lever une inévitable (et programmée) dictature planétaire... C'est écrit !
Seul le Dieu véritable peut faire chanter nos cœurs, dans une relation vivante établie avec lui.
Le connaissez-vous ce Dieu de Gloire, dont L'AMOUR RETROUVÉ AVEC NOUS EST LA PRINCIPALE PRÉOCCUPATION ?
Cherchez-le pendant qu'il se laisse trouver !
Il est amour DES LORS QUE nous croyons que sa justice est effectivement tombée sur Jésus livré à la mort à notre place, pour que nous puissions L'AIMER LIBREMENT et nous aimer les uns les autres, de toutes nationalités, de toutes ethnies, de toutes langues...
Un chant qui proclame et témoigne de Dieu VU ET CRU AINSI QU'IL EST, Dieu véritable unique, sans rapport avec des idées qu'on s'en fait religieusement ou dans notre incrédulité :
:
Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.