9 janvier 2022
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Le genre humain a été représenté par plusieurs, avec un homme à la peau rouge (c'est un des des sens du mot Adam), et la femme (tirée de son côté) avec une une peau plus claire. D'où, selon la loi de Mandel sur l' hérédité biologique les diverses races consécutives.
LE GRAVE DANGER DE LA GUERRE DES GENRES
Et qu'est-ce qui me fait dire que cette année 2022 va être une année de bascule, aussi avec la gente féminine, par quelques-unes parmi les plus... viriles, ou virulentes ?
C'est déjà que l'équilibre appelé "égalité" ou "parité" entre les sexes n'est pas, n'est déjà plus tenu dans les secteurs les plus influents. Les "féministes" (hommes et femmes) ont en effet provoqué que des postes-clés – notamment dans des ministères et autres institutions (préfecture, magistrature...), parmi les élus et bien sûr dans les médias - reviennent majoritairement à des femmes.
Si on ajoute encore du surnaturel, voire de la "mystique" à ce qui est factuel (aux faits), on peut savoir que le mot femme - ishah - apparaît curieusement la première fois dans la Bible, en Genèse 2.22.
Au verset 22 du chapitre 2, on lit : "22 L'Eternel Dieu forma une femme du côté (du flanc) qu'il avait prise de l'homme, et il l'amena vers l'homme."
(Pourquoi recourir à la Bible sur ce sujet ?
Déjà simplement parce que ce livre est toujours le best-seller de toute la littérature mondiale, à la fois le plus traduit, le plus imprimé et le plus lu par le monde, et donc son contenu apparaît pour beaucoup moins temporel qu'in temporel et universel).
Ainsi le chapitre 2 de la Genèse nous dit comment naquit l'amour divin sur la terre. Amour à la fois agapè (en grec l'amour de Dieu en soi, a priori inconditionnel) et l'amour filéo (en grec l'amour filial, qui dépend "d'atomes crochus", d'attirance ou de répulsion au plan des âmes).
En hébreu (langue originale dans laquelle nous avons cette information), l'homme mâle est ish אִיש ; et la femme c'est Ishah אִשָּׁה.
Ces deux mots sont chacun formés avec une particule, une lettre qui figure la divinité en eux, le fait de leur ressemblance au Dieu qui les a conçus et réalisés. On a ainsi
- le י (yod) au cœur de l'homme, du physiquement mâle, qui symbolise Dieu dans sa pérennité immuable, dans ce qu'il a de primordial et fixe (sans que ce soit une fermeté qui s'impose), de paternel (terme préférable aujourd'hui à celui de patriarche),
- et le ה (hé) à la fin du mot femme,, qui figure l'Esprit Divin (qui est un féminin en hébreu) dans ce qu'il est mouvant, mobile, adaptable à ce qui lui est extérieur, réalisatrice au plan terrestre, intendante..., charnière entre Dieu et ses environnements.
TENTATION ET CHUTE
Malheureusement on peut lire aussi, et par là comprendre le fond de nos situations de malaise toujours présent en tous, que du chapitre 2 de la Genèse on est passé à un chapitre 3, qui est tout différent de ce qui présidait en Eden, dans ce jardin originel des Délices, avant cet événement.
"Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que l'Eternel Dieu avait faits. Il dit à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? 2 La femme répondit au serpent : Nous mangeons du fruit des arbres du jardin. 3 Mais quant au fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n'en mangerez point et vous n'y toucherez point, de peur que vous ne mouriez. 4 Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez point; 5 mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal.6 La femme vit que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir l'intelligence; elle prit de son fruit, et en mangea; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d'elle, et il en mangea.7 Les yeux de l'un et de l'autre s'ouvrirent, ils connurent qu'ils étaient nus, et ayant cousu des feuilles de figuier, ils s'en firent des ceintures. 8 Alors ils entendirent la voix de l'Eternel Dieu, qui parcourait le jardin vers le soir, et l'homme et sa femme se cachèrent loin de la face de l'Eternel Dieu, au milieu des arbres du jardin."
Nous sommes ici avertis de ce que la position de la femme face à la réalité - et non seulement une connaissance intellectuelle - du bien et du mal, en première ligne, risque de mal tourner.
Il est normal que la femme soit ouverte à la curiosité, capable d'entrer dans des connaissances nouvelles, des révélations. On connaît bien ce qu'on appelle pour elle "l'intuition féminine".
Sauf que cette ouverture sur l'extérieur peut devenir un vrai problème !
D'une part parce que la même force occulte, capable de se déguiser pour tromper, maléfique, intéressée à prendre un ascendant sur nous, existe toujours ! La même entité qui parle à partir d'un serpent monté dans un arbre, le même esprit séducteur et méchant, avec les mêmes intentions.
D'autre part, on voit là que l'homme n'est pas spécialement à sa plus juste place, de leader, de tête de pont, de barrage face au mal présignalé, de protection face à ce qui se présente de nouveau.
Ce que Dieu a mis en lui de stable, de certain, comme la parole qu'il a reçu de ne pas toucher à cet arbre sous peine de mort, aurait sans doute suffit pour répondre aux insinuations du serpent satanisé s'il l'avait confronté directement.
Mais en retrtait de la femme qu'il aime, avec qui il n'a sans doute jamais eu le moindre différent, la moindre égratignure psychique ou morale, il ne sait pas tenir son rôle de bouclier, de gardien de l'ordre établi pour leur bien par le Créateur. D'où l'importance de notre position, physique ou plus encore psychique et spirituel dans nos situations.
Alors l'ish l'homme, mange à son tour, et l'un plus l'autre sont alors précipités dans un effondrement terrible, dramatique, sidérant, de leur condition paradisiaque à un contact avec ce qu'on peut appeler par métaphore l'enfer.
D'un coup la présence invisible de Dieu par son Esprit autour d'eux et en eux est percutée, se retire d'eux. La lumière en émanant dans et au travers de leur corps physique, qui en faisait des êtres de llumière, s'éteint.
Les voilà entièrement dépouillés, se découvrant nus à leur propre regard et l'un face à l'autre, comme sont les animaux dont ils étaient si différents.
D'un coup leur conscience des réalités est complétement modifiée, à la fois agrandie - par la perception à vif de l'univers du mal -, et rapetissée - enfermée sans rayonnement dans la perte de sens, dans un inconnu sombre jamais envisagé ni imaginable. Avec la sensation, la perception, trouble, insécurisante, malveillante, de la présence de Satan, l'adversaire de Dieu devenu là concrètement le leur... et à la suite le nôtre !
Car ce n'était pas qu'un serpent - qui n'avait rien à faire dans ce jardin puisqu'il est appelé « animal des champs »- qu'il s'agissait, mais bien de l'ange déchu Satan venu poursuivre sa conquête des créatures de Dieu pour se faire leur Dieu souverain sans violence, en toute légalité.
D'où en suite immédiate la peur, le sentiment d'insécurité maximale, la honte rien qu'à la pensée de ce que Dieu va penser de ce qu'ils ont fait. Bien des sentiments, des ressentis qui sont encore à notre conscience quand elle n'est pas trop étouffée, aveuglée, rendue inopérante...
A ce moment-là, comme Dieu les en avait avertis, l'homme et la femme sont véritablement « morts », spirituellement. L'esprit de Dieu en eux s'est évanoui, éteint, envolé...
CONNAÎTRE LE PASSÉ, D’OÙ ON VIENT, POUR SAVOIR OÙ ALLER
Ainsi le désordre ancien est bien près de devenir le désordre désordre nouveau, avec pour volonté et effet un ordre mondial nouveau, tout autre dans lequel nous nous débattons depuis des millénaires, qui commence par des tentations, des pressions, des contraintes, et bientôt des restrictions de liberté(s) drastique(s). Nous en sommes avertis : Nous ne pouvons pas repprocher à Dieu de ne pas nous avoir fait connaître par avance ce qui vient.
C'est ce qui a été, en amplifié, en démesuré. En trouvant de moins en moins des portes ou de fenêtres qui de toute façon, en permettent pas d'échapper à cette dernière aliénation génétique et psychogénétique qui nous est annoncée dans le 13e chapitre du dernier livre de la Bible.
Que sera 2022 avec les crises monumentales
- du climat ;
- de l'immigration ;
- de la montée des marginalités ;
- des genres, c'est-à-dire de l'identité même d'être humain, qui n'est ni un animal évolué, ni un objet modifiable comme un mécano ou un légo ;
- d'une élection présidentielle qui sent déjà la poudre
???
Elle sera AUSSI cette année qu'on sait d'avance particulière, ce que VOUS en ferez ! Chacun pour sa part.
UNE ANNÉE SPÉCIFIQUE POUR CHACUN
Chacun selon ses choix existentiels et essentiels, selon son positionnement ;
Chacun selon sa distanciation morale avec le mal (l'immoralité, la pornographique, les vols, les rapines, les méchancetés, les non-pardons, l'amour de l'amour pour l'argant...) ;
Chacun selon ce qu'il se lavera non seulement les mains au gel hydroalcoolique pour lutter contre les virus traitres invisibles, mais aussi le coeur des mauvaises pensées, l'âme des péchés (fautes) commises, qu'il faut confesser à Dieu pour retrouver une meilleure liberté ;
Chacun en enlevant son masque d'apparence, d'apparat, pour être vrai devant Dieu, sans fard, sans raison valable pour être ou rester caché, à Celui à qui de toute façon on ne peut rien cacher.
MON CONSEIL EST SIMPLE : CHERCHEZ DIEU !
Cherchez Dieu - le vrai, le créateur, Celui qui s'est incarné pour venir nous sauver - toujours individuellement - de toutes les situations.
Pas le Dieu des religions, de la politique, des idéologies, des psy athées ou des philosophes, non, mais Celui qui se tient en retrait du monde, à cause de la liberté qu'il a accordée dans ses créations, et spécialement à nous les humains.
Cherchez-le en lui parlant, en croyant qu'il existe effectivement, en lui demandant de vous guider vers lui...
Car il n'est pas loin. Quand on veut croire qu'il est. Ou quand nous souffrons ; lorsque nous ne voyons pas de chemin, lorsqu'on déprime ou qu'on enrage (en toute impuissance), lorsqu'on n'a plus rien ni personne en qui se confier, à qui se vouer.
Cherchez le Dieu qui EST, et qui vous attend !
Mon voeu et ma prière pour celle ou celui qui a lu jusque là : "Que l'Eternel te bénisse, et qu'il te garde ! 25 Que l'Eternel fasse luire sa face sur toi, et qu'il t'accorde sa grâce ! 26 Que l'Eternel tourne sa face vers toi, et qu'il te donne la paix !" Lisez et prenez par la foi ce qui vous semble le plus approprié à votre besoin, attente ou désir.
Et avancez avec Dieu, la vraie vie, apaisée, sécurisée, voire belle, et ensuite éternellement bonne, n'est pas ailleurs.
> Guide de prière pour entrer en relation ou revenir en relation avec Dieu.
Shalom. Grâce et Paix vous soient partagées.
Published by Claude Thé, humanité et spiritualité
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