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31 mars 2024 7 31 /03 /mars /2024 17:58

Jérusalem - Canaan, Terre Promise à Abraham devenue Province romaine de Palestine - 3e décennie de notre ère. Jésus, né 33 ans avant, sait que l'heure est venue où, selon le plan (B) de Dieu envers l'humanité, il doit mourir. Il se laisse arrêter dans le jardin de Gethsémané.
Dernier épisode d'une longue et dramatique histoire d'amour contrarié entre Dieu et nous les hommes.

1er acte : Chute humaine et couverture divine (se lit dans Genèse ch. 3).
Jésus est arrêté dans un jardin, comme ce fut dans un jardin qu'à l'origine du Plan Divin A, le 1er couple du genre humain fut arrêté et sombra tout à coup sous la domination d'un ange (invisible) déchu (Satan, le diable, séducteur-trompeur et usurpateur) qui s'était servi d'un serpent pour ce faire.
Le plan A capote, non parce qu'il n'est pas bon - la terre est un paradis -, mais parce que nous avons été créés LIBRE (d'aller hors du Bien, de suivre les voies des démons plutôt que celles du Divin).

On note dès ce commencement du mal sur la terre, que pour couvrir la nudité de l'homme et de la femme (dévoilée par le retrait de leur débordante lumière intérieure), l'Éternel-Dieu tue un, ou plus certainement deux animaux.
C'est le premier sacrifice, le premier sang innocent versé à cause du péché - de la désobéissance à l'instruction divine, faute ici originelle - qui nous fait, à tous à la suite : manquer le but (c'est étymologiquement le sens du mot qu'on traduit par péché).
C'est manquer le but du Plan A, qui était que nous neutralisions Satan et ses démons et devenions tous sur une terre paradisiaque éternels par et dans l'amour de Dieu, sans devoir expérimenter la mort.
N'y étant pas parvenus, Adam et Eve sont atteints, abimés, traumatisés, dénaturés, par une force maléfique qu'ils transmettent génétiquement et psycho-génétiquement à toutes leurs descendances.
C'est pour cela aussi qu'on doit mourir, pour ne pas être éternellement soumis à la loi du mal en nous et parmi nous. Tout est donc cohérent et a du sens (le vieillissement qui nous diminue progressivement compris).

C'est ainsi qu'on voit bientôt Caïn premier fils de la terre, tuer Abel son frère, sous la pression de Satan à qui il ne peut résister parce qu'il n'a pas obéi à Dieu qui a donné le sacrifice sanglant (on va voir pourquoi plus loin), et non une offrande des fruits de la terre, comme seul moyen de paix avec Dieu et de couverture spirituelle. (Genèse 4).*

On note encore ici qu'il s'agit - et s'agira toujours - du sacrifice d'une victime innocente, càd du versement d'un sang pur, ce que Dieu peut seul agréer pour que sa justice envers nous soit faite : c'est-à-dire pour qu'on soit rendu innocent nous-même après avoir fauté...
Et donc pourquoi faut-il du sang versé jusqu'à la mort de la victime ?
- Parce que dans notre ordre des choses, le sang est l'indispensable de la vie, le support de notre vie psychique (âme). Lévitique ch. 17.
- Parce que la loi juste veut qu'on paie "oeil pour oeil, dent pour dent, vie pour vie". Ainsi est-il du
   a) réparation (quand c'est possible) vis-à-vis de la ou des personnes envers qui on s'est rendu coupable, et
   b) réparation envers Dieu - qui, dans tous les cas, est offensé par tout ce qu'on fait de mal dans/contre sa création. Envers lui, le prix de l'offense, c'est toujours une vie innocente pour prix d'une faute. Que la faute soit un mensonge, un vol ou un meurtre, le principe de justice est une mort pour chaque faute, quelle qu'elle soit. (C'est juste la richesse ou pas du coupable qui fait une différence, le sacrifice nécessaire pour couvrir une faute pouvant être soit une tourterelle, soit un animal de petit ou de gros bétail).
la raison de ce principe de justice (on le redira) est simple : la moindre de nos fautes nous fait mourir dans notre relation à Dieu (mort spirituelle). Comme on coupe une fleur...

 

2e acte : L'épreuve d'Abraham, et sa signification
Lecture de ce récit : Genèse, chap. 22.
Dieu nous montre là, en l'enseignant à Abraham qui le pratique, que le sacrifice animal n'est pas un moyen qui durera toujours pour résoudre notre problème de pécheur/pécheresse face à Dieu. Le moyen définitif, qui réponde le mieux à la pleine justice, est celui de la mort d'un homme pour les fautes d'un ou plusieurs autres.
Mais de quel homme ?
D'Isaac comme sacrifice d'un fils 'innocent) pour les fautes de la maison d'Abraham ?
De quel homme si pur que Dieu pourra accepter sa mort comme prix des fautes à pardonner ?

Le Dieu de toujours annonce là
- qu'il se pourvoira lui-même, c'est-à-dire qu'il se donnera lui-même, un jour, à la place des animaux, l'homme nécessaire pour la couverture des fautes commises... Et encore
- que c'est par la foi en lui - puisqu'il paiera tout lui-même à notre place - qu'on sera pardonné et rendu juste devant Dieu... C'est-à-dire qu'on échappera à la mort spirituelle qui forme séparation immédiate et éternelle d'avec Dieu. (événement illustratif prophétique des "serpents brûlants").


3e acte : Dieu fait sortir d'Égypte une branche de la descendance d'Abraham - Lecture Exode ch. 12
Les hébreux ou israélites ayant communautairement abandonné le Dieu de leurs ancêtres Abraham et Sarah, étaient devenus esclaves en Égypte. Entendant leurs cris et voyant leur misère, ce Dieu de leur père (le Dieu créateur venu au secours d'Adam et d'Eve), leur envoie Moïse (et Aaron) comme instrument(s) de sa libération.

C'est lors de cette délivrance des hébreux que Dieu donne à Moïse le rite de la Pâque, qui va se confirmer être le moyen par lequel Dieu couvre (pardonne) les fautes des pécheurs (des manqueurs de cible) que nous sommes, et par là peut nous délivrer.
Il faut donc aux israélites revenir à la pratique du sacrifice initial : Cela prend un nom : Pessah en hébreu.

A partir de là, la bête "sans défaut et sans taches" immolée pour protéger l'homme devient
- le mémorial de la nuit terrible où "l'Ange exterminateur" chargé de tuer tous les enfants premiers-nés d'Égypte fut obligé de passer au-dessus* des maisons des hébreux/israëlites dès lors que le linteau et les montants de leur porte avaient été aspergés de sang. (Exode ch. 11 et 12) ;
- le rappel de la nécessité de sacrifier pour être en ordre, Dieu étant apaisé envers nous et nos fautes, et nous étant apaisé en nous-même et avec les autres ;
- et, avec tout le reste de ce que Moïse va recevoir à écrire, c'est la codification de ce rite expiatoire et propitiatoire** - qui est à vivre comme une loi, une obligation de faire, mais surtout avec à propos et avec le coeur... (Lecture Exode ch. 12).


4e acte : Jésus, "l'Agneau qui ôte le péché du monde."
Voilà un Dieu qui a de la suite dans les idées : Environ 4 000 ans après Adam et Éve, et 1 500 ans après Moïse, parait Jésus que le prophète Jean dit le-baptiste présente de cette curieuse manière : "Voici l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde".
Dieu accomplit sa promesse et prophétie dite il y a bien longtemps à Abraham : Il se fait homme lui-même, par un spermatozoïde parfait qui le figure parfaitement, qu'il dépose surnaturellement dans l'utérus d'une jeune fille vierge, Myriam (Marie chez nous) : Voilà la Parole de Dieu faite Jésus dans un corps humain. Il aura donc les deux natures et identités, de fils d'homme et de fils de Dieu.

- Comme fils de Dieu il va montrer qui il est par la puissance de l'Esprit qui lui est accordé sans mesure. Il va guérir, délivrer de démons et manifester d'autres signes miraculeux de sa divinité (résurrections de morts).
Surtout, il dit qu'il a lui, le pouvoir de pardonner les péchés... parce que bientôt il va faire "le nécessaire" pour que son pardon ne soit pas une injustice, mais le bénéfice d'une justice absolue.
Quand c'est l'heure de la Pâque, il va se réduire à n'être plus qu'homme seulement. Pourquoi ?

- Comme fils d'homme, comme l'un d'entre nous, de chair et de sang,
     - il va devoir obéir en tout aux commandements et prescriptions de la religion mosaïque (judaïsme) de ses pères charnels, afin de délivrer de tous les jougs de religiosité quiconque croira qu'il a ainsi pris sur lui le poids terrible que posent, par des rites et des devoirs, toutes les religions sur leurs fidèles. (Matthieu 5).
     - et il va "faire le nécessaire" pour cela, en devenant "l'Agneau de Dieu" - la réalité incarnée que figurait le bélier qu'Abraham voit à Morija comme substitut de son fils Isaac.

L'arrestation de Jésus se passe dans le jardin des souffrances (Gethsémané veut dire "pressoir à huile", là où la tentation de renoncer est la plus forte. Il lui faut cadenasser là le puissant effet sur tout le genre humain (passé, présent et à venir) de la chute d'Adam survenue dans le 1er jardin (d'Eden, "des délices").
Jésus subit un jugement sans justice, qui le condamne à mourir comme un des meurtriers de la terre. Il est cloué nu sur la pièce de bois qu'il a porté jusqu'au lieu de son supplice, ce qui forme une croix sur laquelle sont aussi cloués ses pieds. Golgotha (le "mont du crâne", lieu de cette exécution) se substitue à Morija (où Abraham aurait eu à sacrifier son fils). (Il n'est pas impossible que ce soit le même endroit...).

En ce jour funeste, la torture dure des heures, sous le soleil, les injures et les moqueries de tous, sous la sueur et le sang qui ruissellent, piquent les yeux, font cuire les plaies, attirent les mouches, collent les poussières comme la langue au palais. "Il n'a plus l'apparence d'un homme". Il est la poubelle du monde, le réceptacle de tous les maux et de toutes les souffrances...
"Il est fait malédiction... pour nous !"
- Par Satan et ses démons qui tournent autour de lui et excitent la foule dans une hystérie collective comme il en parait par moment.
- Par Dieu qui se sert des méchants - il suffit qu'il se retire de nous pour qu'on puisse tous en devenir - pour exécuter de cette manière inouïe son Plan B.

Sur la croix Jésus les bras grand ouverts est fait rempart entre la justice de Dieu avec ses justes jugements et nous pécheurs, pécheresses, qui méritons de les subir à un moment ou à un autre. Il meurt physiquement parce que nous sommes mortels. Et son Père céleste par l'Esprit-Saint va le ressusciter, pour que nous aussi qui croirons le surnaturel absolu de cet événement soyons de la même manière ressuscités. (Il y aura deux résurrections distinctes, d'abord celle des justifiés par leur foi, et bien plus tard celle des méchants, des incrédules, en vue de leur jugement sur la base de leurs oeuvres)... 

Pâque ! Jésus est en croix. Il a 7 paroles, dont celle-ci, qui dépasse tout : "Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu'ils font."
Qui pourrait pardonner en pareille circonstance !?...
Le 3e Ciel montre sa colère : celui de la terre devient noir, des éclairs claquent, une pluie soudaine, la stupeur, l'angoisse, la sidération parmi les "acteurs/spectateurs" : des morts vont bientôt sortir des tombeaux...

C'est la nouvelle Pâque, juive et universelle ! Celle commencée au temps de Moïse selon une alliance avec Dieu scellée sur le Mont-Sinaï. Ici Jésus est fait
- Péché, à notre place - serpent brûlant -, "le salaire du péché, c'est la la mort."... 
- Il est fait Pâque, par son sang qui va pouvoir interdire à l'Ange exterminateur (Satan et ses démons) de toucher à ceux qui se réfugient sous ce sacrifice.

C'est pourquoi depuis, les sacrifices animaux ont cessé en Israël et parmi les israélites/juifs. En sont-ils interrogés ? Ce devrait être la moindre des choses ! Comme aussi pourquoi ne comprennent-ils pas leurs Écritures, comme par exemple à la lecture du chapitre 53 du livre de leur prophète Isaïe ! Satan aveugle toujours l'homme qui ne se repent pas, qui trône dans son système controuvé et dans son orgueil.

5e acte : Quand la mort de Jésus et son sang nous purifie de tous péchés
Comment tout se mit en mouvement pour le bénéfice de toute la terre : Actes des apôtres ch. 2

A mon tour un jour j'ai été atteint par ce message et touché par ce Dieu qui est le Créateur, le Dieu d'Abraham, de Moïse... de Pascal... Sa grâce ouvrit le ciel à sa présence.
Il m'a fallu du temps avant que je n'arrive au pied de cette croix sanglante, infâme, ignominieuse, barbare et salvatrice à la fois, moi pécheur ayant besoin d'être soustrait à l'emprise du diable (à cause de pratiques malveillantes et occultes, d'écritures mal inspirées...).
Et le Sauveur potentiel de tout le monde est devenu celui qui ME sauve, celui qui est meurt pour MOI ! À cause de moi (de mes fautes), autant que pour moi (pour que je puisse en être pardonné et poursuivre la route dans une relation avec lui qui sera sans fin). Dieu est un Dieu personnel : à découvrir personnellement ; et avec qui relationner sans intermédiaire - que Jésus qui est à la fois Dieu et médiateur du fait de son incarnation.

Connaissez-vous déjà Dieu ainsi ?
Créateur et Sauveur, chez qui depuis 2 000 ans son amour a surpassé sa justice, sa grâce ayant englouti notre condamnation.

" Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises.20 Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées ;21 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites en Dieu.Évangile selon l'apôtre et prophète Jean.

Soyez béni-e, et heureusement transformé-e par cette lecture.

Guide de prière pour trouver en Jésus le sauveur de VOTRE âme (pour qui cela n'est pas encore accompli).

Film Jésus

__________
* le nom de Pâque en hébreu est Pessah (prononcer Pessar), qui signifie "passer au-dessus". On le retrouve dans le nom chrétien de la Pâque en anglais : Passover (le nom anglais profane étant Easter).

**On peut ici comprendre que le sacrifice sanglant initié par Dieu et qui est mis en oeuvre de façon satisfaisante par Abel, n'a cependant pas été suffisamment compris par lui - comme on le voit encore parmi nous dans les religions dites chrétiennes -. Ce sacrifice en effet est
- substitutif - la bête est sacrifiée à notre place pour que nous n'ayons pas nous-même à mourir pour prix de notre faute,
- propitiatoire - càd qu'il est vu par Dieu comme une offrande qui nous le ren propice, favorable,
- et expiatoire - ce qui veut dire que l'animal expie, càd paye pour nos fautes, à notre place. (Sur cette base de compréhension, on peut saisir ce qu'est véritablement la mort de Jésus sur une croix...

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31 mars 2024 7 31 /03 /mars /2024 15:55

Alléluia !
C'est le cri de la victoire de Dieu et des chrétiens nés (spirituellement) de lui, sur le mal-dominant et triomphant en dehors de la foi en l'Oeuvre Pascale accomplie par le Messie et Christ Sauveur, Jésus Yeshoua (son nom hébraïque) "l'Agneau de Dieu (sacrifié) pour ôter le péché du monde".

Les preuves de cette résurrection et glorifiaction céleste éternelle, en un faisceau indiscutable, sont innombrables :

-depuis l'envoi du Saint-Esprit Divin lors de la fête de Chavouoth - la Pentecôte " lire ou écouter ici <<

- jusqu'à aujourd'hui où des cents millions de chrétiens nés de cette crucifixion et du Saint-Esprit en témoignent :

EN COLOMBIE
Des témoignages aux effets parfois fulgurants sur nos vies, de nos jours : ici ce qui se passe au coeur des trafics mafieux

 

C'est la fête = c'est l'abondance de vie ! Au choix :

Ici >> Le film : Jésus, au choix : d'après l'évangile selon Jean (3h.) ou selon Luc (1h. 11) <<

>> autre page pour guider dans une prière efficace si vous désirez venir ou revenir à Dieu << 
Pour un contact personnel par téléphone, le demander par le bouton Contact

Ici > un chant en vidéo

Ici > un article de synthèse, Pâques, de l'origine jusqu'à nous

Ici > Pâques dans le contexte du confinement

Ici >> page explicative : la solution à notre problématique séparation avec Dieu <<

PÂQUE, C'est le poids de nos fautes portées volontairement par Jésus
pour nous en éviter toutes les fâcheuses conséquences...

Soyez béni-e : Que la vie même du Dieu vivant unique (un et pluriel en lui-même) vous atteigne maintenant...

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31 mars 2024 7 31 /03 /mars /2024 13:59

 

D'une réalité unique (comme cette image), on peut souvent voir de plus d'une manière.
Que contient-elle, qu'en voyez-vous ?*


Idem de Pâques...

Les bienfaits que nous pouvons tirer annuellement de la fête de Pâques - jour férié, pont, vacance scolaire, retrouvaille familiale (mais pas cette année !), consommation de chocolat (Muuh)... - sont bien peu de choses par rapport à la portée de l'événement qu'elle rappelle.

Il serait vraiment dommage d'entendre parler de Pâques sans jamais rencontrer le sens de cet effroyable et formidable événement aux effets planétaires inachevés !

Ici >> Le film : Jésus, au choix : d'après l'évangile selon Jean (3h.) ou selon Luc (1h. 11) <<

Ici > un chant en vidéo

Ici > un article de synthèse, Pâques, de l'origine jusqu'à nous

Ici > Pâques dans le contexte du confinement

Ici >> page explicative : la solution à notre problématique séparation avec Dieu <<

__________________
* deux visages et/ou un vase (qu'ils forment)

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12 mars 2024 2 12 /03 /mars /2024 21:04

GAGNER DES GUERRES…

 

Les guerres ne finissent jamais..
Quel est ce mystère qui nous précède
Et nous poursuit,
Ce qui échappe aux Archimède
Malgré des intuitions dans la nuit ?

 

Les guerres ne finissent jamais,
Commencées un jour lumineux
Sous un soleil de justesse radieux
Alors que rien – ou presque – ne laissait présager
La venue d’une ombre, d’un coup de froid glacé…

 

Les guerres ne finissent jamais,
La totalité de la terre habitée
Semblable à un seul continent
Tant le fait est partout, rampant
Comme un serpent dans de hautes herbes
Ou s’exhibant en centre actif comme un verbe…

 

Les guerres ne finissent jamais
Dans le partage des terres vierges ou peuplées,
Des territoires immenses qu’on veut posséder
Sans même savoir pourquoi, ou parce qu’on sait
Les richesses dormant au fond de puits à creuser…

 

Les guerres ne finissent jamais
Parce qu’on ne voit même pas ce qu’on casse
Qu’on devrait aider, protéger, branches basses
Ou élevées…
Les guerres ne finissent jamais
Car elles laissent des places vides


 

 

Les guerres ne finissent jamais,
Depuis le jardin des Senteurs et des Délices
Où le mal s’est invité avec tout son vice,
Séduisant et tuant déjà par la main de Caïn
Le premier berger Abel soudain privé de ses biens ;

 

Les guerres ne finissent jamais,
De l’information, de la propagande,
Des fake news et des publi-cités marchandes,
De la connaissance repoussant l’ignorance
Hors de son rang, bardée d’outrecuidance ;

 

Les guerres ne finissent jamais,
Alexandre le grec poussant jusqu’à l’Indus
La plante de ses pieds ses coutumes et ses us,
Bonaparte en Egypte, les prussiens à Solférino
Ou quelque allemand vengeur voyant de haut
La terre ronde qu’il suffit de rouler par blindés
Pour en rejoindre les extrémités ;

 

Les guerres ne finissent jamais
Sous les tempes, dans les âmes ouvertes
Ou trop fermées, où des pensées rouges ou vertes
Se bousculent jusqu’à presser des vies,
Jusqu’à peupler de fantômes des nuits,
De fantasmes, de rêves éveillés
Controuvés ou de souvenirs réels ou arrangés
Doux sucrés ou acidulés, amers aigres acides,
Dépresseurs et somnambules jusqu’à des suicides ;
Les guerres ne finissent jamais
Changeant des vies en images qu’on ne peut plus toucher

 


 

Les guerres ne finissent jamais
Pour la possession des corps,
Depuis les cellules dispersées d’un fœtus mort ;
La douceur caressée de la peau d’un enfant,
Les troubles anxieux qu’on pare de nouveaux vêtements ,
De mode, de codes, de séries, de tics de tocs, d’émissions
De CO
2, de chanteurs, de sueurs (chaudes ou froides), de procurations ;

 

Les guerres ne finissent jamais,
De politiques comme de religions
Avec des places fortes, des bastions
A conserver, à renforcer, des adversaires
A salir, à occire, à attendre au tournant de leurs faire
De leurs mots, de ce qu’on trouve de mal chez eux
…Qui n’est que le miroir de notre propre jeu ;

 

Les guerres ne finissent jamais,
Des économies parallèles, de ghettos,
De dealers laborieux, des périphériques ruraux
Ou nouveaux, de criantes asymétries
Entre pauvres toujours plus et riches bien nantis,
Entre autistes et hautains forts de leurs programmes
De leur agenda comme si le temps était leur sésame ;

 

Les guerres ne finissent jamais
De nos intelligences belles mais infirmes
Malades, malignes, qui ignorent mais affirment,
Qui se heurtent à l’autre ou au Réel holyste
Sans trop voir ce qui manque à nos listes,
Ce qui pourrait tout changer, éclairer élargir
La palette duelle du vivre et du mourir ;

 

Les guerres ne finissent jamais
De l’affect, des coeurs, de l’amour vagabond
Qui bondit ou s’écrase sous le râteau d’un con
Ou d’une conne, qu’on avait cru-e… On croit tant de choses
Qu’on prend pour des lauriers ou des roses ;
Les guerres nous ramènent au réel par une chaise vide


 

 

Les guerres ne finissent jamais
Car Satan pugnace adversaire ancien et éternel
Ne cesse de lutter pour se donner un ciel
Une sphère aussi haute que celle du Créateur
Dont personne jamais ne sera le vainqueur
Malgré sa retenue, malgré les libertés
Qu’il permet et qui portent en leurs seins dénudés
Les murs et les bâtons qui limitent ou écrasent
Les mutins qui voudraient jouir par table rase ;

 

Les guerres ne finissent jamais,
En Afrique en Europe aux U.S. en Russie
En Ukraine à Gaza Israël Éthiopie pays arabes dissidents ou unis ;
Chez les noirs chez les blancs chez les gris ou créoles,
Chez les jaunes, racisés, dans les rues, hôpitaux, à l’école...

 

Les guerres ne finissent jamais,
maintenant entre genre - sublime écosystème
Qui fait jaillir des cœurs les plus profonds « Je t’aime » -.
Guerre ancienne qui pollue tout notre intérieur,
Le dehors, les dessus les dessous les meilleurs,
Accordant aux anges malfaisants des droits à nous frapper
De plaies de divisions de scandales comme il leur plaît.



Les guerres ne finissent jamais
Que du ciel Dieu illustre comme étant jugements
Sur les actions des hommes, sur nos dérèglements,
Notre impiété, ingratitude, égoïsme corrompu, corrupteur
Disruptif, orgueil méprisant qui fait fuir le bonheur,
Oublieux du vrai Dieu comme un ado prodigue
Qui un jour ne trouve plus que des feuilles de figues.

 

Les guerres ne finissent jamais
Car elles ne sont pas des choses des objets,
Mais alles sont de la vie mal développée
Comme des virus, des brins de molécules
Capables d’infecter les plus saines cellules,
De les tromper, de semer la panique et l’insécurité
Pour mieux gouverner les esprits, les étendues volées,
L’or, le sel, le lithium, le sable, la pierre, l’argent
Et s’il était possible le principe du vivant.
Les guerres qui laissent un lit froid

 

 

Les guerres ne finissent jamais
Qui laissent des blessures, des handicaps, des remords,
Des vêtements pliés dont on ne sait plus rien du sort,
Les garder, les donner, portés par quel corps chaud inconnu,
Des objets qui vivent plus que jamais, eux, comme retenus
Par le temps qui s’est quelque part arrêté comme un poids lourd
D’horloge bourguignonne aux sons devenus sourds ;

 

Les guerres ne finissent jamais
Dont les générations suivantes depuis la première
Sont marquées au pointeau qui perça la lumière,
Dont personne ne se remet vraiment malgré les apparences
La mort étant écrite en nous parallèle aux souffrances
Parsemant de déserts, de cris, de grimaces et de malices,
Jusqu’à perdre l’espoir qu’existe un oasis ;


 

Les guerres ne finissent jamais
D’elles-mêmes ; mais Dieu arrête, à son comble, le mal,
Roulant même un jour cet univers comme un vêtement sale
Qui aura fait son temps et d’où sortirons bienheureux,
Couronnés de diadèmes de lumière tels des dieux,
Les réprouvés de la terre, les martyrs, les rachetés
Enfants du Père, frères et sœurs et épouse bien-aimée
De Jésus, le seul Champion du mal, des violences et des vices,
Par son unique et merveilleux sacrifice.

 

Les guerres ne finissent jamais
Mais l’amour déjà en a triomphé
Qu’il s’agit de choisir comme on choisit son camp
En sachant qu’il n’y a de choix qu’entre deux :
La mort et Satan qui nous attendent, ou la vie avec Dieu.

 

Choisis la foi et choisis la vie !

C.T. fév. 24 @LGDDV

« Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et courbés sous un lourd fardeau, et je vous donnerai du repos. Acceptez mes directives et laissez-vous instruire par moi, car je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez le repos pour votre âme. En effet, mes instructions sont bonnes et mon fardeau léger.» (Evangile selon Matthieu, chap. 11, vers. 27-30

« Si vous m'aimez, gardez mes commandements. Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous, l'Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu'il ne le voit point et ne le connaît point; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous. » Jean 14.15-17

 

Ici >> guide si vous désirez adresser à Dieu une prière personnelle pour obtenir la paix en vous-même et avec Lui. <<

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27 février 2024 2 27 /02 /février /2024 20:38
P
Être à la hauteur comme ici au Brésil ou ailleurs
un challenge, un travail, une sinécure ?...
Poésie-Vie
ON N’EST PAS A LA HAUTEUR


On n’est pas à la hauteur
des vents qui soufflent et nous caressent ou nous renversent,
On n’est pas à la hauteur
Du coeur de la personne qui nous aime,

On n’est pas à la hauteur
de n’importe quel amour qui s'approche ou nous transporte,

On n’est pas à la hauteur
de l’existence qu’on a reçue avec ses bonus et ses malus,

On n’est parfois pas à la hauteur
d’un surire que quelqu’un nous adresse,

On n’est pas à la hauteur
même si nos crampons nous élèvent sur un toit du monde,

On n’est pas à la hauteur
car le mal est en nous plus fort que nos bonnes volontés et nos belles intentions,

On n’est pas à la hauteur
car les convoitises nous minent plus qu’elles ne nous aident,

On n’est pas à la hauteur
des besoins réels d’un petit enfant dont on est responsable,
On n’est pas à la hauteur
même en haut d’une échelle ou de l’intelligence reçue qu'on a élaborée,

On n’est pas à la hauteur
car le vieux grand Satan n’en a pas encore fini avec nous
désirant faire de nos vies et de la terre ses terrains de jouissances éternelles

On n’est pas à la hauteur
car on sait inutilement trop de choses et on ignore les plus essentielles
au Bien, à la paix au simple bonheur d’exister encore
On n'est pas à la hauteur
car on ne sait même pas ce qui suit la sortie programmée et inévitable du corps,

On n’est pas à la hauteur
en reconnaissance pour ce qui nous a été donné
et en ce que nous pourrions faire si…,

On n’est pas à la hauteur
car les « si » ne manquent pas en travers de nos routes et déroutes,

On n’est pas à la hauteur
pour se trouver aux bons endroits au bon moment plutôt qu’ailleurs
où le mal nous attend sans que nous nous en doutions
On n’est pas à la hauteur
car Dieu nous avertit par des alertes par des amis par des signes
et on ne peut pas lui reprocher de ne pas veiller sur nous,
On n’est d’autant pas à la hauteur
qu’on croit qu’on n’a pas besoin de Dieu pour vivre aujourd’hui et éternellement,
On n'est pas à la hauteur
quand on ne distingue pas encore entre l’âme et l’esprit,
entre le Dieu qui est et toutes les représentations qu’on nous en propose,

On n’est pas à la hauteur
quand sourd on veut faire croire qu’on entend
ou aveugle on se fait croire qu’on voit,
On n’est pas à la hauteur
tant que les pensées nous dominent sans qu’on n’y puisse rien,
On n’est pas à la hauteur
tant qu’on n’a pas la liberté de vivre bien avec le moins qu’on a
sans la frustration de ce qui nous manque de superflu,

On n’est pas à la hauteur
de l’amour, de la joie, de la paix qu’on ne sait entretenir et protéger,

On n’est d’autant pas à la hauteur
qu’on se fait Dieu de nous-même et pour les autres

On n’est pas à la hauteur
quand ne sachant pas gouverner sa propre maison ou un enfant
on s’imagine pouvoir gouverner une nation, des peuples, un continent,
On n’est pas à la hauteur
de la hauteur où nous pourrions être si notre foi était placée
en la vérité et les vérités les plus hautes,
On n’est pas à la hauteur
sans notre identité de créature précisément formée avec des manques
que nous ne pourrons jamais combler tout seuls,

On n’est pas à la hauteur
quand on vit et quand on meurt
on n’est pas à la hauteur...

Claude T. fév. 24  @LGDDV

« Cantique des degrés.
Je lève mes yeux vers les montagnes... D'où me viendra le secours ?
Le secours me vient de l’Éternel, Qui a fait les cieux et la terre. » Psaume 121
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27 février 2024 2 27 /02 /février /2024 20:37
QUELQUES MOTS SUR LE MAL

 

Le mal ne fait pas toujours mal
de suite,
Il est traître alors à qui ne le connaît pas,
et c’est sa poursuite
qui fait fondre ses fastes et ses apparats.

 

 

Le mal ne fait pas toujours mal
de suite,
quand il est mal de l’âme
qui a une fuite,
qui croit vivre d'une sereine flamme
sans voir encore que c’est un drame
qui couve sous roche, sous un plaisir
un effet qui se veut sans sa cause
qu’on ignore ou laisse choir pour finir
- inattendu - parmi les épines des roses.

 

Le mal ne fait pas toujours mal
de suite,
et parfois la distance est si longue
entre notre conduite
et le son fatal de son gong,
qu’il faut de grosses épreuves pour nous arrêter
dans une trajectoire létale qu’on a soi-même lancée.

 

Le mal ne fait pas toujours mal
de suite,
c’est pourquoi il nous faut vite
apprendre où est la frontière, universelle,
entre bien et mal, telle que la Bible nous l’a dite,
pour que nous ne passions pas à côté de l’essentiel
qui est la vie éternelle.


Ne voudrez-vous pas vivre sans fin, sans plus de souffrances, de larmes, de coups (de face ou par derrrière), de violences, de manipulation, d'égoïsme ?...

C'est possible,
Car Dieu nous a tant aimés
qu’il a donné, pour nous éviter
les tourments de l’hadès satanique,
Jésus son fils bien-aimé rt unique
livré aux supplices d’une crucifixion
Dans le but que nous y voyons par substitution
expiatoire et propitiatoire, notre rédemption
et que, croyant à ce moyen pour obtenir notre pardon,
nous ne finissions pas comme et avec les démons
et Satan dans l’étang rugissant de feu et de soufre
mais plutôt qu’on souffre
une vraie repentance, un repentir sans camouflage
qui permette à Dieu de nous faire - à n’importe quel âge -
Grâce, mettant en nous des arrhes de son Esprit
qui est éternité de bien, et de vie.


S'il suffit de croire cela pour vivre ensuite éternellement
- et jamais Dieu ne ment - ,
pourquoi croire encore des fables matérialistes,
évolutionniste,
progressiste, marxiste, wokiste
ou de religion qui n'ont que la mort pour moyen privilégié

et pour fin, aléatoire ou programmée ? 
 

C.T. Fév. 24 @LGDDV

 

La Bible, Evangile selon Jean, chap. 3, vers. 1 à 21

 

Pour prier, >> une aide ici <<

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3 février 2024 6 03 /02 /février /2024 07:57

DE LA DIFFICULTÉ D’AIMER
(Les 3 et 1 soutiens de l’amour)

Du sexe on peut bien se passer,
C’est une option de l’existence,
Mais bien vivre sans aimer
C’est oxymore,c’est une absence,

Seul, un poids qu’on ne peut porter
Qui demande au moins une moitié,
Et mieux que tout un Dieu vivant
Avec qui vivre son présent.

Le problème de l’amour ce n’est pas d’aimer,
C’est son alter ego à gérer : la liberté.
Car quand on aime on se sent bien
Au point de se lâcher, de tout quitter,
Mais sans sagesse on ne va pas loin,
Sinon décors à tout casser.

Et la sagesse c’est de savoir, aussi,
Que l’amour sans vérité ne peut durer,
Qu’il y faut encore de nos meilleurs amis
De la justice et de l’humilité.

Voilà pourquoi il est difficile d’aimer
Dans le temps comme hors du temps,
Car on vit ici sur un plancher
Où les valeurs ne valent pas leur pesant.

Liberté, amour, humilité,
Justice et sa jumelle la vérité,
Sont or d’Ophir, sont pierres précieuses
Rares, qui ne fleurent pas dans l’apparence
Mais qui se trouvent gracieuses,
Du côté de la Transcendance.

C.T. 3 Février 23 @LGDDV

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2 février 2024 5 02 /02 /février /2024 22:48

 

Prenez 1 h. pour comprendre le fond des crises et problématiques de la France et de l'Occident à l'agonie >> Etat de la France en ce début d'année 2024 <<

On peut y entendre "La thérapie passera par une bonne autopsie"

>> Aide pour échapper au maximum à ce qui vient <<

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17 janvier 2024 3 17 /01 /janvier /2024 14:55

Pour une année bonne, il nous faut déjà au minimum l'ingrédient de la vérité. ne nous racontons donc pas des histoires, admettant que nous sommes tous croyants – en quelque chose ou en quelqu'un -, et donc nous avons tous un dieu.

Avez-vous déjà pris conscience dde Quel est le vôtre ?


Un dieu, c'est tout ce qu'on place au-dessus de nous, personnes, objets, produits... qui commandent une grande partie de notre temps, beaucoup de nos mouvements, pensées et décisions.

 

TOUS A LA MÊME ENSEIGNE


Nous sommes donc tous, qu'on le veuille ou pas, qu'on le croit ou pas, à la même enseigne de la croyance comme moyen incontournable du déroulement de notre existence.
Mais que croit-on qui fait d'autre chose que nous notre Dieu ?

  • Quelqu'un m'a dit : Mon Dieu c'est mon porte-monnaie !

  • C'est peut-être pour vous le sexe !? Un véritable problème - Dieu - de société qui n'a pas fini de produire des ravages !

  • Le dieu Ecran, d'ordi ou de mobile, pour un relationnel qui tient de la grand-messe où on est au fond tout seul de ce côté du miroir ; ses enfants sont les dieux Jeux vidéos, Réseaux sociaux, Séris tv, avec un panel pouvant offrir les dieux Lares de chacun ; 

  • Les dieux du stade : après Kopa ou Pelé, Zizou ou Mbappé qu'on aime outre raison, et combien d'autres...

  • Les dieux de la chanson, qu'on idolâtre, pour lesquels on crie à s'casser la voix et dont on rêve de partager un selfie ou une nuit avec lui ou elle...

  • Les dieux – des monstres sacrés, dit-on ! - du cinéma, gloutons en gros cachets et en besoin de reconnaissance, souvent en manque d'amour ou de sexe au point de... se comporter en Dieu tyran - addiction oblige ! ;

  • Les dieux de la littérature. Là aussi les noms ne manquent pas de dieux qu'on a formés et dont on lit tout des cinq et dix fois ;

  • le dieu Pensée, Raison, Culture, souvent précuite et en surgelé plus que réflexion personnelle ;

    D'ailleurs la réflexion personnelle est aussi un petit dieu possible à se donner, qui ne fait pas beaucoup d'adeptes malgré qu'il cherche à faire des prosélytes depuis les petites classes jusqu'aux rayons universitaires ;
    Sauf qu'on n'est même pas capable de bien vivre avec son conjoint, son ou ses enfants, ses paents ou grands-parents et autres collègues de boulot ;

  • Notre dieu peut être aussi de manière générique l'Homme, le Sapiens sapiens qu'on croit capable de – bientôt – résoudre tous les problèmes de la planète, Intelligence Articielle - un Dieu qui monte des obscurités - à l'appui.

  • Le Dieu Travail, et sa version Business, où l'on se perd jusque tard dans la nuit, et où on en perd le contact avec le conjoint ou les enfants. Un Dieu-fuite. En connaissaez-vous d'autres ?

 

Il y a aussi des dieux plus spécifiques, mais qui font toujours trop d'adeptes.

  • LeDieu Alcool ! Pas cool ! 

  • Le Dieu Substance, Drogue ou Cam ou Coc' ou Shit et autres stup' licite ou pas...

  • Les dieux Médoc. Pour certains – dit hypocondriaques – le médicament est plus un dieu qu'un remède...

  • Le Dieu Tabac; dont le prélévement à la source ne suffit pas à faire sortir de la secte ;

  • Le Dieu Café, dont le temple est la cafetière

  • -le Dieu Coca : J'ai connu un homme devenu addict au Coca-Cola. Jusqu'à 5 litres par jour, irrépressible (tant qu'il n'en a pas été délivré) ;

  • J'ai vécu un temps sous la domination du dieu Ecriture, faisant des brouillons sans fin, souvent inspiré la nuit, avec des belles phrases dont on fait des citations et dont j'enrichissais un disque dur ;

  • Et bien sûr, irréductibles, les dieux des religions... et des idéologies (une idéologie étant une forme de religion sans Dieu, ce que peut aussi devenir une philosophie)
    Il s'agit de dieux qui, comme les précédents n'en sont pas réellement. Qui trouvent leur source dans un écrit ancien ou un système de pensée nouveau, pris pour vérité transcendante digne d'être cru et suivi par dessus tout, Ce qui peut être totalement indépendant et antinomique avec le Dieu créateur des cieux et de la terre.

  • Mais on peut aussi avoir pour Dieu, une ou des représentations déformées, hérétiques, aberrantes, dramatiques... du vrai Dieu, de Celui qui est, qui a toujours été et qui vient. Le Dieu Créateur et Rédempteur. Le Dieu seul totalement éternel, de Noé, révélé à Abram (qu'il changea en Abraham), de Moïse, montré de la plus fidèle manière par Jésus fils de Marie et fils de Dieu, et encore dépeint, explicité et parlant plus que partout ailleurs dans la Bible

  • Attention donc à des dieux qui en sont des faux, qui sont des usurpateurs, des placebos, du vent, visant cependant à capturer notre attention, nos pensées, notre cœur, notre temps, notre porte-monnaie, notre capacité de rencontrer le Vrai, l'Unique.

  • Au rang de ces faussaires, les moins directement discernables sont de nature spirituelle, angélique, des anges déchus, mlins, méchants, qui veulent influencer et s'imposer à nos vies.
    Satan en est un très ancien leader, qui n'a pas fini de faire des ravages à partir de ses séductions et de violences qui assujettissent par la peur...

     

  • J'en oublie forcément, où telle divinité que je ne soupçonne même pas comme pouvant exercer une emprise surnaturellement maligne sur quelque ou même une seule personne. On pense au fameux « pervers narcissique », mais parmi les femmes il y à aussi de ses déesses attractives et possessives qu'il vaut mieux ne pas croiser ou fréquenter...

    Avez-vous bien identié quel est le vôtre ? Le Dieu-maître si vous en avez plusieurs qui dominent sur vous ?
    En d'autres termes ce qui vous coûte (plus que normalement), ce qui vous pompe, ce qui vous fatigue et ne vous satisfait jamais, ce qui mange votre temps, consume que de trovotre énergie, trouble ou bousille vos relations...


    La réponse est suscitée pour vous, le premier et principal concerné...

  • Ne me dites pas, ou ne vous dites pas, que vous êtes un dieu, que Dieu est en vous par le seul fait que vous êtes un être humain ! Il y en a beaucoup à qui on fait croire cela... tout en les laissant dans une misère consécutive à cette erreur, à ce mensonge...
    Si c'est le cas observez bien quel piètre dieu vous faites, car c'est là un leurre, une illusion, plutôt facile à discerner si on est encore capable d'objectivité !...

CROIRE, C'EST TOUJOURS UNE QUESTION DE CONTENU...

à suivre.... >> ici <<

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13 janvier 2024 6 13 /01 /janvier /2024 19:01

Dans une papillote j'ai trouvé une citation. C'est un proverbe allemand (est-il écrit) qui dit :
"Nul n'est plus chanceux que celui qui croit à sa chance."

J'ai un peu réfléchi et vu la provenance j'ai pensé à HItler, me disant :
1 - Est-ce qu'il n'a pas cru à sa chance, et c'est pourquoi il a lamentablement échoué dans son projet d'établir un IIIe Reich - c'est-à-dire un empire qui durerait 1 000 ans.
Sous le nom de Saint-Empire romain germanique, le premier n'y est pas arrivé (962-1806) : le second dura de 1871 à 1918, et celui du furieux Fürher dura encore moins (1933-1945).

2 - Mais si Hitler a cru à sa chance - et c'est manifeste -  et a échoué, c'est que ce proverbe n'est pas vrai (fake news),

.

Donc attention à ne pas trop mangé de papillotte dans l'idée de trouver des citations qui vous donnent de la culture - ou de la cancel culture, et dans tous les cas possiblement une crise de foie.

Et, en rapport avec le foie, un de mes propres proverbes est le suivant  : "A l'origine de toutes nos maladies, il y a une crise de foi."

C'est pourquoi en ce début d'année, je vous souhaite de pouvoir revenir à Dieu et à son Christ-Messie, car dans le monde chaotique en déconstruction et en phase d'invasion, je ne vois pas de meilleur secours (paix intérieure, protection, pardon de nos fautes, don de la vie éternelle face à la mort...).
(Si vous trouvez mieux, après avoir comparé avec les Paroles de Jésus et autres Ecritures du Nouveau Testament, n'hésitez pas à me le faire. connaître.

Et si vous avez eu la chance ! (le courage ou la sagesse) de lire jusqu'ici, je vous place là au bénéfice de la prière de bénédictions donnée par Dieu à Moïse :
"« L'Éternel te bénisse et te garde ! L'Éternel fasse luire sa face sur toi et te fasse grâce ! L'Éternel tourne sa face vers toi et te donne la paix ! » Livre des Nombres 6. 24-26

Excellente année ! (Vous avez sans doute compris qu'elle dépend ET de Dieu ET de nous).

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Présentation

  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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