On trouve plus facilement
la perfection dans des objets que nous fabriquons, que dans nos fonctionnements individuels...
SOUS LE SIGNE DE LA DUALITÉ MAL/BIEN
Notre existence se déroule dans le temps.
Le temps est une dimension d'espace qui permet des mouvements dans les trois dimensions physiques, dans la dimension psychique (des âmes) et dans la dimension spirituelle (de l'Esprit et des esprits... bénéfiques et maléfiques).
Tous les mouvements sont des possibles dans deux sens, positif (du Bien, du Bon, du Beau, de prolongements, développements, améliorations, transformations, lutte contre diverses formes du Mal, ou simplement appréciation bienfaisante de ce qui est), ou négatif (du Mal, de la laideur, de l'horreur, de désorganisations malignes, d'entropies (naturelles ou controuvées), de constructions illusoires, dangereuses, mortifères, jusqu'à de la jouissance tirée du mauvais).
Les mouvements humains vont ainsi de la vie (naissance) à la mort (physique, mais aussi spirituelle et psychique), mais aussi par ce qu'on appelle Rédemption, de la mort (spirituelle et physique) à la Vie plus pleine, éternelle, qui s'obtient par une seconde naissance (spirituelle).
Ainsi nous pouvons chacun vivre des mouvements (du corps ou des pensées, des idées) qui tendent vers la dégradation de (la réalité de) ce qui est, ou qui cherchent une autre réalité à atteindre - comme le bonheur ou un amour durables, des solutions à des difficultés immédiates ou une philosophie ou une idéologie, politique nouvelles...
De fait, rien n'est statique (ni au plan physique, ni au plan psychique, ni au plan spirituel), tout évoluant - qu'on y participe en conscience ou pas - vers un plus (de Bien) ou un moins (plus de mal... dont la mort est l'ultime).
La règle générale, il faut le savoir, c'est que sur notre planète, au premier degré - où l'on voit, entend, ressent... physiquement et psychiquement -, le mal domine naturellement et surnaturellement sur ce qui est bien (comme la paix, le bien-être, l'amour ou la joie véritables, l'harmonie des relations...).
Mais il y a aussi un second degré - où le spirituel, sans s'imposer, avec du recul, en laissant des longueurs de libertés, par touches (incognito ou révélé) contrôle et intervient.
Il conduit vers un retour (holistique, global), qui est une transcendance de la Vie pleine, quiconque parmi nous (vous, toi, moi, l'autre) s'unit à ce mouvement de rédemption. C'est une dynamique "négentropique" (qui renverse le cours dominant du mal), un mouvement de rachat des personnes, de libération des âmes, de sauvetage des créatures toute entières, d'extraction (des forces) du mal, conduit par Dieu le Créateur.* Y a-t-il meilleur idéal à poursuivre, à rejoindre ?
Les idéaux possibles peuvent être nombreux et variés, comme fonder une famille ou une entreprise, suivre une philosophie, développer une idélogie ou adopter un mode de vie, etc... sans problème.
Un idéal est ce qui doit ou devrait permettre de vivre "sans problème".
C'est donc ce qui devrait être, par rapport à ce qui est, ce qui est étant toujours avec des problèmes.
Autres exemples (sociétaux), dans une recherche d'un idéal de vie (pour soi et pour les autres), le gouvernement crée le concept de Vivre-ensemble. Mais comment atteindre cet idéal alors que nous ne sommes même pas capable, chacun, de vivre bien longtemps en paix, en harmonie, avec les membres de sa propre famille ?
On voudrait vivre sans cette plaie qu'est le racisme. C'est un idéal. Mais comment faire pour changer le coeur de l'homme qui est si naturellement raciste ? En imposant, par une lois, des amendes, des procès... ? Impossible !
Car d'une part les lois n'ont pour force que de nous irriter encore davantage dans la problématique qu'elles voudraient contrôler; et d'autre part cette manière de faire perturbe la liberté au point de repousser par cette perturbation nouvelle l'approche de l'idéal visé.
Certaines femmes ont vu comme un idéal d'être absolument égales aux hommes. Résultat, si cela a débloqué l'accès à des postes à responsabilité à la gente féminine, le rapport entre les gendres et jusque dans l'intimité personnelle des genres se sont terriblement dégradés du fait de la propagande (jusqu'au viol des consciences !?) entreprise.
QUEL IDÉAL ALORS PEUT-ON REJOINDRE ?
Autrement dit, un idéal, qui est en quelque sorte une perfection globale, est-il accessible à des êtres aussi imparfaits que nous ?
L'idéal humaniste mis en œuvre à partir du siècle dit des lumières (XVIIIe) a-t-il était atteint, 300 ans plus tard, après que l'on ait mis sur la touche ce qui semblait l'empêcher, la/les religion/s et autres tabous comme des réserves ou limitations sur la pratique sexuelle ?
Bien sûr que non !
Hitler avait un idéal, qu'il a appelé le IIIe Reich. Il s'agissait pour loin de réussir là où ses ancêtres germaniques avaient échoué (1er et 2e Reich).
Reich signifie règne, le rêve étant pour lui d'établir sur la terre un règne de 1 000 ans ! (Curieusement, ce que la Bible annonce que Jésus va venir établir à partir du moment où il revient de la dimension spirituelle (céleste) sur la terre).
Le résultat, on le connaît.
IDÉAL, IDÉAUX, FACE À UN MUR !
Ce que nous avons tous à comprendre, c'est qu'un idéal que nous voulons nous donner, dont on voudrait trouver la formule magique et l'application bienheureuse, va toujours devenir un danger, tourner à des effets contraires que ceux que l'idéaliste escomptait.
C'est une loi qui s'impose à toutes nos forces d'intelligence, de persuasion, d'organisation, de volonté. Toute l'histoire en témoigne... comme nos propres existences. Tout simplement parce que des êtres imparfaits, au cœur plus ou moins mais toujours habité par le mal (qui s'exprime toujours d'une manière ou d'une autre), ne peuvent rien construire de parfait, d'idéal.
EST-ON CONDAMNÉ AUX SOUFFRANCES (IMMÉDIATES, VOIRE PERPÉTUELLES) DUES À L'IMPERFECTION (AU PÉCHÉ EN SOMME) ?
En fait, pourquoi aspirer à un mieux, à un idéal, si ce monde était seulement le produit aléatoire de hasards et de nécessités comme prône la doctrine évolutionniste athée ?
Pour imaginer qu'un idéal de vie bien supérieur aux mouvements chaotiques que nous connaissons, il faut deux choses (séparées, complémentaires ou pas). Une aspiration à un idéal, ce qu'une évolution seulement physique, matérielle, matérialiste du vivant, n'aurait pu produire (car ce n'est pas une nécessité).
Autre chose, l'orientation de notre être vers un idéal ou même une amélioration de soi, vient d'un manque.
Un manque profond, inconscient, ressenti, d'une condition humaine antérieure meilleure. Ce que le défilement des ans, des décennies, des siècles et des millénaires montre comme une réalité, le temps passé devenant souvent "le bon vieux temps".
Même si on ne peut se contenter de cette vue que le meilleur c'était avant (car avant il y avait aussi eu des guerres, des perte de libertés), il y a là une marque et réalité certaines que nous avons perdu un paradis, un état de perfection (comme le rapporte notamment la Bible), une condition humaine privilégiée antérieure même à ce que d'antiques générations sont devenues de bassement primitives, comme conséquence de cette (d'une véritable) déchéance originelle.
C'est donc en toute logique et selon les meilleures probabilités, que je retiens cette vue d'une humanité déchue, ayant perdu un ordre intérieur et environnemental, une qualité de vie et de relations, que je m'oriente à partir d'elle vers les meilleures approches, compréhensions et connexions avec le Réel..
POUR DIRE QUOI EN DÉFINITIVE ?
Qu'il existe forcément, si on prend en compte un Dieu créateur - parfait lui-même et ne pouvant créer des imperfections -, une organisation de la vie - des vies, des existences - qui fut originellement parfaite, un idéal donc, tant dans les espèces qu'entre elles.
Soit dit en passant, pour qu'il y ait aspiration à, tentative et imitation de quelque chose de bon, juste, agréable, bénéfique..., il faut que cette chose désirée existe au préalable.
Par exemple, quand Nietzsche imagine un surhomme - qu'Hitler va vouloir créer sous le nom de race aryenne -, ce n'est que parce que Jésus est préalablement paru, se montrant dans une perfection inégalée pour faire le bien et dire des vérités essentielles nous concernant et concernant Dieu (lire les évangiles pour s'en convaincre).
Pourquoi aujourd'hui encore, une forme d'eugénisme est réapparue, forme nouvelle seulement par les moyens technologiques qui ont évolués, peuvant permettre des modifications d'ADN, des tris et congélation de gamètes et autres moyens de fertilisation des femmes ou de leurs ovules ?
D'une part, parce que nous nous trouvons bien imparfaits,dotés d'un ego ou moi-je problématique, et aspirons désespérément à vivre heureux alors que cela ne nous est pas possible.
D'autre part, parce que l'être humain a connu dans son lointain passé cette perfection de l'être - ce que nous portons chacun psycho-génétiquement dans un plan sous la conscience (ce qui comprend aussi la pensée de vivre éternellement) et parce que Jésus a été montré par Dieu comme un modèle nouveau de l'être humain pouvant échapper à des mille facettes du mal, et notamment à la mort spirituelle et psychique qui sont ce qu'il y a de plus dramatique (comme le pilote et le co-pilote d'une voiture de rallye sont plus importants que la voiture elle-même, qui figure le corps).
C'est ainsi que pour vaincre par exemple le pouvoir de la mort physique, il a fallu qu'il meurt, et qu'il soit ressuscité (vu l'injustice que fut sa mort en tant que jugement personnel), seul moyen pour nous ouvrir la voie d'une vie toute nouvelle, éternelle.
"Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur." Don qui se reçoit par le pardon de nos fautes, par la foi en ce que Jésus, vainqueur de la mort, a aussi le pouvoir de nous communiquer et partager cette immortalité (éternité) acquise.
Y A-T-IL QUAND MÊME UN IDÉAL A NOTRE PORTÉE, OU PAS !?
La vie avec Dieu dès ici-bas est donc devenue par jésus un idéal dans lequel il est possible d'entrer, par le moyen de notre foi. Ici comme en tout, il n'y a qu'une méthode pour parvenir à un savoir utile et efficace, qui nous forme en cette "nouveauté de vie" : apprendre (entendre, écouter, lire) et croire.
Tout ce qu'on croit de vrai se confirme, se vérifie, se valide.
Tout ce qui est mensonger, erreur ou même demi-vérité, parait comme tel un moment ou un autre... surtout en dépendance de ce qu'on cherche nous-même avec désir de connaitre en vérité.
Ainsi Jésus, par sa vie exemplaire, exempte de défauts, irréprochable, a démontré la possibilité d'une vie idéale, c'est-)à-dire victorieuse sur les forces et formes diverses du mal.
De là, il veut - Dieu veut - que nous aussi empruntions cette voie peu courante mais universel, pour vivre et apprendre à vivre toujours plus, une existence qui tient de l'idéal.
Mais - mais ! - cet idéal, pas plus que tous les autres, n'est à notre portée. On a dit pourquoi.
Cependant, s'agissant de surnaturel véritable, où Dieu se montre réel et actif en faveur de ceux qui le cherchent et vivent dans une (recherche de) communion avec lui, on peut expérimenter des plages de plus en plus larges de communion avec ce qui est de l'ordre de l'idéal. On peut demeurer progressivement de plus en plus dans une position de relation vivante, réciproque, avec Dieu.
PAS D'EFFETS SANS CAUSES, PAS DE FIN SANS MOYENS
C'est toute la nouveauté et réalité de l'Evangile, qui est l'annonce du moyen possible de notre restauration dans la réalité divine par deux raisons et moyens efficaces.
Par le sacrifice de Jésus vu comme le moyen par lequel on peut être pardonné de nos fautes, rendus purs d'elles. Par lequel aussi on peut échapper aux pressions opérées par les démons contre notre vie et intégrité; Par lequel encore la mort physique n'est pas une sombre fin et un passage pour l'âme suivie d'un jugement - juste mais qui fait mal - du mal.
La seconde raison et moyen par lesquels entrer et s'établir dans une relation restaurée, rouverte, avec le Divin Créateur, est notre foi qui est notre réponse positive, notre acceptation de ce que Dieu a fait par Jésus pour nous raccorder à lui et en lui.
Avez-vous, poursuivez-vous un idéal ?
Un idéal accessible ? A vous de répondre en toute objective honnêteté.
Selon moi, si on veut réellement parler d'idéal, il faudrait pouvoir inclure dans cet idéal la réalisation de la problématique de notre mort physique et du devenir consécutif de notre âme (dans quoi est nichée notre vraie personne, notre ego ou moi-je conscient).
Un idéal sérieux nécessite donc que nous ayons une idée le plus claire possible de ce qu'est la mort physique, de ce qu'est l'âme et sa dépendance ou indépendance d'un corps, etc...
Car dans tous les cas comment être idéalement heureux avec la mort comme épée de Damoclès toujours au-dessus de notre tête... ce qu'aussi la Covid-19 est venue faire en nous une (re)mise à jour.
La différence de l'idéal de notre protection la plus sûre et éternisation personnelle par Dieu et par la foi, avec tous les autres idéaux, c'est qu'en cette espèce on obtient le secours qui nous manque pour passer de nos inaptitudes à vivre-bien à une qualité de vie qui insert toujours plus la perfection, Parce qu'elle est en Dieu, et il a, lui, le pouvoir de communiquer à ceux qui veulent de son plan de rachat ou rédemption, les forces spirituelles (flux, influences, impulsion, de l'action victorieuse à de la patience obligée),
Dieu peut aussi arranger nos situations, nos circonstances, nos problèmes, de manière surnaturelle.
"Or, à celui qui peut faire, par la puissance qui agit en nous, infiniment au delà de tout ce que nous demandons ou pensons,21 à lui soit la gloire..."
DIEU OU RELIGION, FAUT-IL CHOISIR ?
On passe ici la question de l'athéisme, renvoyant seulement ceux qui le sont (comme je le fus un temps... d'ignorance) à ce qu'il y a d'étriqué et d'incompréhension dans une existence vue en matérialiste...
Les lois qui encadrent le vivant et nos mouvements nous amènent à répondre Oui à cette question. Car on ne peut suivre et obéir correctement à Dieu lui-même par l'esprit, en même temps qu'obéir aux termes d'une religion figée en tout.
Avec Dieu notre foi pour l'immédiat et notre espérance pour au delà des pires difficultés (dont la mort) sont établis sur l'amour et la justice parfaites du Dieu qui domine tout.
Avec une religion pour guide - pour Dieu !? -, notre croyance et espérance ne se fondent que sur notre réponse personnelle à ce que la religion pose comme obligations et interdits. Elles se fondent sur ce qui est le plus aléatoire, le plus imparfait, notre capacité à plaire à Dieu par nos propres efforts de dévotion. Ce qui ne peut qu'aboutir à notre confusion, voire à notre perdition si nous persistons dans cette voie, dans ce moyen qu'est la religion - n'importe quelle religion.
Aussi ne vous trompez pas, ne vous laissez pas tromper par un système dans lequel vous êtes inscrit par votre naissance même (ou entré en vide ou en désespoir de cause), qui peut convenir pour former les enfants à une vie morale et à une certaine socialisation, mais certainement pas pour entrer en relation avec Dieu lui-même... et dans son éternité paradisiaque - son idéal divin - par la suite.
Un paradis qui ne sera pas désincarné, mais sur une terre nouvelle, avec des corps et des cœurs nouveaux, incorruptibles... (en lire ici une description en Apocalypse chap. 21).
Soyez éclaire-e et établi-e dans une relation avec le Ciel divin par la bénédiction gracieuse du Dieu trois fois saint.
__________________
* Il est clair que les religions n'ont pas ce pouvoir de ramener les créatures dominées par les forces du mal que nous sommes si naturellement, dans une existence réorganisée avec un surcroit de vie (spirituelle, tellement nécessaire), qui ne peut que venir de Dieu lui-même, étant ajoutée par lui à ce que nous sommes par notre naissance initiale.
C'est l'opération surnaturelle qu'opère l'Esprit de Dieu - en chacun qui entre dans ce projet et cette volonté divine de rachat -, comme il en est parlé dans l’Évangile selon Jean, au chapitre 1, versets 12 et 13 et encore dans les 21 premiers versets du chapitre 3.
Ce monde offre bien peu d'occasions pour des temps de qualité personnels.
Sachez vous arrêter, sachez oser vous approcher de l'Essentiel dans la profondeur de la Vie pleine (physique, psychique et spirituel).
Notre existence n'est pas faite d'un seul bloc. Chacun sait qu'il y a une différence - énorme ! - entre un être humain (vivant mais encore très limité) dans une matrice maternelle, et un (autre être humain ou le même plus tard) qui "a vu le jour", qui est "venu au monde", né plus directement à la lumière solaire.
Deux premières étapes qu'on connaît bien et qui, déjà, ont de quoi nous interroger sur l'extraordinaire de ce changement d'état (d'un espace confiné liquide à un large espace aérien) et sur les merveilles multiples qui permettent à la vie de commencer à se déployer ainsi sur la terre.
NOUVELLE RÉVOLUTION !
Il y a presque 2 000 ans, quand Jésus paraît, venu pour une mission essentielle triple*,c'est pour nous dire qu'il y a une autre étape - possible, potentielle, en réserve et très souhaitable - à expérimenter. qui ne dépend plus de parents terrestres (biologiques, génétiques, d'adoption...), d'une transmission de leur propre existence par leurs gamètes.
Une forme de vie pour le moins aussi différente de celle par laquelle vous pouvez être à lire cet article, que sont celles des deux premières étapes.
Une sorte de saut quantique que ni les sages anciens d'Egypte ou d'Orient, ni les philosophes antiques grecs ou latins, n'ont découvert... même si Pythagore, Socrate ou Platon qui rapportel'allégorie de la caverne, approchèrent cette réalité.
Jésus explique donc plus clairement que tout autre, et notamment au leader religieux d'Israël de son temps (nommé Nicodème), de quoi il s'agit.
IL TE FAUT NAÎTRE DE NOUVEAU !
Voici la révélation la plus fantastique nous concernant - concernant la connaissance personnelle de soi - telle que nous la rapporte l'apôtre Jean :
Que voilà une parole révolutionnaire, et aujourd'hui encore ! Car combien parmi nous, au fil des siècles et dans la largeur planétaire de l'actuel présent, savent ? Combien ont entendu cette parole dont l'accomplissement constitue le troisième Himalaya** de notre existence, le point vernal à partir de quoi tout change une nouvelle fois, de manière toute surnaturelle.
Une naissance qui ne fait pas sortir sans nous - conscient - d'un sanctuaire seulement féminin mais magnifique,mais une qui fait entrer en Dieu comme on est entrés dans ce monde solaire.
Une naissance non plus physique maintenant, physiologique, faite de matière ajoutée, mais spirituelle, de la nature même de Dieu, de sa dimension la plus spécifique. Pour quoi faire ?
Pour mieux être déjà ici maintenant; pour bien mieux-être, même si les plaques tectoniques de deux mondes se frottent alors plus intensément. Puis pour être, dans la suite ainsi ouverte, comme le papillon par rapport à la chenille, vivant une toute autre existence, sublimée, réorganisée et amplifiée, dans une création qui vient dont Jésus ressuscité a été initiateur et le premier de cordée.
" il est (Jésus) le commencement, le premier-né d'entre les morts, afin d'être en tout le premier.19Car Dieu a voulu que toute plénitude habitât en lui;20il a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix."
JÉSUS, VENU POUR UNE SPIRITUALITÉ ORIGINALE ET NON POUR UNE NOUVELLE EXPRESSION DE RELIGIOSITÉ
Premier-né d'une humanité nouvelle - que sont les chrétiens "nés de Dieu"de tous les âges et espaces, qui ne se distinguent pas physiquement de l'humanité adamique courante (excepté normalement par le comportement), lesquels ont entendu et cru en Jésus qui s'est annoncé à nous comme étant (entre autre) "la lumière du monde".
"Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme.10Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l'a point connue.11Elle est venue chez les siens, et les siens ne l'ont point reçue.12Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu,13lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu." Jean chap. 1.
Nicodème est (comme beaucoup d'autres de diverses religions) un maître religieux, mais non un maître spirituel. Alors Jésus part de ce qu'il connaît de sa religion, pour lui expliquer comme on parvient à la nouvelle naissance.
C'est ici le point déterminant et la pierre sur laquelle plusieurs tombent : Pour naître spirituellement, pour Il faut regarder à Jésus élevé sur le bois de sa crucifixion comme les israélites du temps de Moïse eurent à regarder à l'image forgée d'un serpent élevé sur une hampe pour ne pas mourir après avoir été piqués par des serpents.
Le serpent qui nous mord tous s'appelle "le péché", qui est une force (une propension) qui nous habite tous, qui nous pousse régulièrement, de manière irrépressible, à mal faire, à faire mal, et par là à mourir (spirituellement) à Dieu.
L'apôtre Paul a été conduit à bien le résumer (s'adressant à des chrétiens) ici > Lettre aux Ephésiens, chap. 2, vers. 1 à 10.
Ainsi, Jésus est venu parmi le concert fort discordant non seulement des dominations armées mais, tout aussi problématique, des religions, sectes et autres spiritualités sans Dieu qui, toutes, se tiennent au plan de l'âme - ce qu'on appelle la religiosité, quand nous, par l'âme, nous intéressons à la métaphysique (mystique, surnaturel, occultisme, ésotérisme, philosophie spiritualiste...) sans le secours et surtout la présence de l'Esprit Divin (le seul de tous les esprits qui soit Saint, Bon, Pur, Juste...).
C'est pour nous ouvrir la possibilité de naître à (en, par, pour) cette spiritualité, où s'unissent en Un les différentes personnes de la Divinité unique, que Jésus est venu puis, après être mort, ressuscité, élevé et intronisé dans le Ciel le plus ahut, a envoyé cet Esprit-Saint... qui dès lors se donne - leur donne son éternité - aux pécheurs (que nous sommes tous) repentants (attitude intérieure qu'il est bon que nous connaissions).
Êtes-vous né-e de Dieu ? Alors réjouissez-vous en rendant gloire à Dieu !
Ne l'êtes-vous pas ? Mettez-vous en ordre avec Dieu, repentez-vous de vos fautes, en vous aidant si vous voulez, pour être complet dans votre prière, du guide qui est ici...
Pour la lecture quodidienne d'une vérité à connaître et à méditer, cliquez ci-après et enregistrez ce lien dans vos Favoris > "Les trésors de la foi"
Que l'Eternel-Dieu invariable ajoute à votre existence plus de sa vie, sa vie en ce qu'elle a d'éternel. C'est mon vœu pour vous lectrice/lecteur et c'est ma prière.
_____________
* La mission unique que Jésus, de Parole de Dieu s'incarnant, est venu accomplir parmi et pour les hommes en se faisant fils d'homme, comprend trois volets :
- L'enseignement, dont l'annonce dont il est parlé ici d'une étape d'existence supplémentaire, à la suite des deux premières ;
- Reprendre (par étapes là aussi) le dessus sur tout mal (sur la terre et dans les cieux... ce qui ne se fait pas sans nous) ;
- faire une création toute nouvelle (éternelle notamment, avec ceux d'entre nous qui entrent dans son plan), création qui paraitra suite à la fin de cet univers (provisoire), où il n'y aura plus de libertés (liberticide) qui permettraient de laisser paraître un mal quelconquse.
** Notre existence se présente comme une émergence des montagnes au temps primitif de l'organisation de la terre. Les quatre principaux sommets qui peuvent venir dominer notre apparition et notre cheminement ici-bas se définissent ici en terme de conscience.
- La prise de conscience de soi en tant qu'entité autonome pensante par elle-même (naissance à la conscience du soi distinct du reste) ;
- L'accès par expérience à la conscience de Dieu, qui inclut (semble-t-il toujours) une perception plus large et juste (des tenants et aboutissants) du Réel. En quelque sorte une première conversion ;
- L'accès à une conscience de nous-même perçu-e du point de vue de Dieu, qui provoque une autre conversion.
Ces deux derniers sommets peuvent être jumelés, qui enfante la seconde, nouvelle, naissance, par l'Esprit ;
- Une émergence suivante, prochaine, éternisée, consécutive pour ceux qui ont connu les trois sommets précédents, dans la sphère et conscience divine.
On a là de quoi mesurer la faillite que peut devenir cette existence qui nous en restons aux horizons seulement terrestres, matériels, charnels, du premier sommet...
Réfléchir arrive toujours un jour ou l'autre. Je veux dire réfléchir à une chose essentielle, qui ne tient pas que de la terre.
Parfois cela arrive chez des enfants de 5 ou 8 ans, pour d'autres (comme ce fut mon cas) pas avant une grosse épreuve - ce qui est un des résultats qui donnent du sens au mal qui nous atteint.
Dans tous les cas, parce que la mort est ce qu'il y a de plus certain de tout ce qui peut nous arriver, il vaut mieux s'en informer avant qu'elle nous précède dans un face à face qui peut être, dans des années ou demain, des plus tragiques ! C'est un minimum de la sagesse humaine.
Savez-vous que ce mot unique, "mort" peut désigner 5 réalités bien différentes ?
Je ne parle pas des diverses manières dont on peut mourir (par vieillissement, AVC ou cancer, poison, électrocution, hydrocution, blessure mortelle ou encore avec l'aide maligne d'un coronavirus...).
Ce genre de mort-ci (dite physique, physiologique ou biologique) n'est qu'un des 5 types de mort que je répertorie dans > l'article en lien ici < afin que nous ayons une connaissance du Réel la meilleure possible.
Savoir pour que vous puissiez en cette existence parvenir, après la prise de conscience de votre propre réalité pensante - Je pense parce que j'existe -, à un objectif bien plus haut : Entrer dans la finalité même conçue par le Créateur qui désire, malgré et indépendamment de l'écueil de la mort physique, notre éternisation (psychisme, de notre moi ou ego qui est tout).
Plus les temps deviennent graves, liberticides et incompréhensibles, plus nous avons besoin de trouver un rocher solide où s'ancrer, des connaissances fiables dans les domaines les plus essentiels : psychique (mental, intellectuel, émotionnel) et spirituel.
Au choix, voici là de quoi puiser de la bonne eau, des forces, des paroles capables de vous permettre de continuer la route de la meilleure manière possible :
Pourquoi ce tableau
(signé Edvard Munch)
a-t-il été acheté en 2012
au prix inégalé de
120 millions de dollars ?
Peut-être parce qu'il symbolise
mieux que tout l'homme moderne
emporté par sa crise d'angoisse existentielle...
Faute d'avoir pu ou voulu entendre,
devons-nous encore nous boucher les oreilles pour ne pas entendre le mal qui nous poursuit et vient encore ?...
QUE NOUS MANQUE-T-IL ?
Qu'aurions-nous dû entendre depuis longtemps, pour ne pas nous retrouver surpris, dépités, apeurés, atterrés, sans solution post-confinem qui nous redonnerait un vrai moral, qui nous ouvrirait sur le sens et encore des portes qui correspondent à ce que nous sommes et à ce qui nous va le mieux ?
Une crise n'éclate pas du jour au lendemain.
Le corona covid-19 il n'est pas né il y a trois matins.
Le mal-être était caché par le confort, les sorties, les apéros,
Chacun depuis longtemps avait, brefs, des pics hauts
Mais surtout des bas, des débats intérieurs
Et même pas ! Sans plus de réflexion, mais avec des peurs
Des langueurs, des sueurs froides ou des chaleurs,
Tout ces trucs qu'on efface en ouvrant la téloche
En regardant la misère de certains - très moche -
Puis en zappant sur les fêtes paradisiaques milliardaires,
Un film de sang avec, obligé, du sexe, puis une enquête judiciaire
Et on s'endort trop plein de vide, sans envie ou trop ragaillardi
Bref, trêve de rêves en apnée, trêve de rimes et de poésie
Trop de somnifères, de tensions, de fautes, de galères
Au point de ne plus rien comprendre du ciel et de la terre...
C'est qu'on ne nous a pas tout dire. On nous a dit beaucoup de choses et des salades, par feuilles de chou (de Bruxelles ou chinois, de droite ou de gauche), corona compris, et bientôt un vaccin, ze vaccin, pour la meilleure santé possible (financière) au moins de quelques uns.
Alors que nous a-t-on caché ? Quelle info décisive qu'on n'a pas ou plus entendue parce qu'étouffée sous des esbroufes, remplacée par "un conte de fée" comme disait le grand et pieux et lucide professeur Jérôme Lejeune*.
C'EST LES VÉRITÉS SUR DIEU QUE LA FRANCE ET L'EUROPE DEVENANT DARWINIENNES ET MARXISTES NOUS A VOILÉES
Car oui Dieu existe, on peut le rencontrer - en esprit et en vérité.
Le créateur intelligent et bien intentionné de l'univers, d'un point de vue scientifique infiniment plus probable qu'un "hasard" qui se mettrait à créer par des suites de hasards capables de produire parfois (sans foi ni la moindre pensée) de la matière, des énergies, plein de lois, des ordres, des organisations partout et autres relations significatives.
QUE CHOISIR ? THAT IS ZE GOOD QUESTION !
Rien que pour la raison libre (de penser, d'analyser, de soupeser, de conclure...), il n'y a pas photo entre
- d'une part une Intelligence (divine) qui crée un tout dynamique, mécanique et quantique, avec autant de parties bourrés d'intelligence incluse,
- et d'autre part un hasard - qui est quoi en soi ? - qui se met tout à coup en mouvement (Pourquoi ? Comment ?) et produit par des myriades de hasards plus aveugles qu'aléatoires tous les systèmes très divers et très complexes qu'on connait, dont ceux qui sont déjà présents, constituant et agissant, dans les plus simples organismes unicellulaires.
L'ingénierie incluse dans une simple cellule ! Même aujourd'hui avec nos moyens et notre intelligence, on est bien incapable de former un tel corps vivant, ne serait-ce qu'à partir de la matière déjà disponible...
LA LOI DE CAUSALITÉ FAIT QUE LES ARBRES PRODUISENT DES FRUITS À LEUR IMAGE
Et voilà pourquoi au bout d'un moment rien ne va plus ! On est comme un train dont le moteur a été coupé et qui peut encore roulé longtemps et des kilomètres dans sa lancée, mais d'avance il est voué à s'arrêter et à devenir un encombrant sur la voie.
Alexandre Soljenitsyne qui a connu le goulag et la cruauté humaine quand les hommes se déterminent à vouloir dessiner eux-mêmes leurs lendemains (sans Celui qui seul connaît ce que sera demain et voit dans l'invisible) a écrit : "Le plus grand drame du XXe siècle : on a oublié Dieu."
Et encore il est réservé dans sa formulation (la peur viscérale contractée pendant des années à toujours craindre d'être surpris en train de penser hors des normes du Parti communiste). Car on peut bien remplacer oublié par occulté, par écarté sciemment et tué délibérément... la liberté de la pensée de Dieu, comme si cela allait rendre Dieu inexistant.
Oui, on ne nous a pas (plus) dit, alors que nous ou nos parents étions enfants, qu'il y a un Dieu réel, vivant, dont on est les créatures, et qu'on peut en expérimenter la réalité si on se tourne vers lui.
Le fruit de cette décision entérinée de croire les penseurs mécréants, athées ou agnostiques du XVIIIe siècle et leurs constructions philosophiques et idéologiques controuvées, a mûri comme un fruit, jusqu'à commencer en nos jours à se décomposer, à sentir la décomposition et la mort. Rien de tel quand il y a un vers dedans ! Ne fusse qu'un virus, avant le covid on sait déjà ce que cela peut produire dans un ordinateur.
On est entrés dans cette décomposition, ce démantèlement (des couples, des familles, des entreprises, sociétés et nations même) au profit de quoi ? de qui ?
D'une mondialisation.
Que voilà un de ces mots qui cachent une forêt !
Un idée, un projet, une volonté qui pourrait sembler bonne... mais qui ne va pouvoir se mettre en place qu'en faisant disparaître l'idée et la réalité démocratique - forcément !
On a compris quand on voit et entend les divergences de vue et de solutions, les argumentations jusqu'à agressives, l'impossibilité pour des gens de même culture, couleur, racine de s'unir jamais lors de tels échanges radio ou télé sur n'importe quel thème.
Et le chômage ? Pas assez de travail pour tous !? Non, la réalité là encore est que Quelqu'un, le Dieu véritable, a tout sous le coude, comme des privilèges qu'il veut bien partager avec tous, dès lors qu'on se confie en lui. J'invite celui/celle que ce point intéresse à lire (ou écouter) ici > le livre de l'Ecclésiaste.
Alors réveillons-nous, la démocratie ne passera pas (même par la guerre civile, car elle n'a pas (assez) d'armes), mais la mondialisation avancera jusqu'à faire plier l'humain sous les programmes... comme en Russie hier, en Chine ou en Corée du nord aujourd'hui.
La phase consensuelle prendra bientôt fin, la lucidité l'emportera encore un peu sur les séductions, manipulations, faux-semblants démasqués, mais la parole sera de plus en plus muselée, la résistance aura fini d'être usée, et soudain ce sera la force, genre traité de Lisbonne, 49-3 état d'urgence, vaccin obligatoire sinon rapt d'enfants ou puce électronique permanente sinon tu es out... Par des contraintes administratives et économiques donc, des interdictions ou obligations drastiques, voire progressivement par des armes de diverses sortes (bactériologiques ou à feux) et beaucoup, beaucoup, beaucoup de morts annonce le livre prophétique de l'Apocalypse.
COMME IL Y A UNE FACE CACHÉE DE LA LUNE...
Mondialisation au profit de qui ? Quelle surprise si vous ne le savez pas encore !
Au profit d'une élite intello-financières ? D'une oligarchie humaine ?
Non, car au-dessus des hommes, de ceux-là comme de tous, de notre humanité entière, sont des esprits - que d'aucuns peuvent imaginer comme des extra-terrestres façon film de science-fiction.
En réalité des esprits méchants, méchants, trompeurs, séducteurs, dénaturés, toujours maléfiques, qui sont initialement des anges de Dieu qui ont pris la liberté de sortir du Bien absolu. Ainsi fut créé le mal, tout ce qui n'est pas (le) bien, tout ce qui ne peut pas rester bien.
Le premier de cette autonomisation fut un ange puissant et brillant comme un astre, devenu dès lors Satan, l'adversaire de tout ce qui est bien véritable, de Dieu et ses anges et de nous humains moins bien pourvus en forces, capacités, pouvoirs.
Des myriades sortirent de leur rang béni à la suite de Satan, anges se transformant alors en démons. Ce sont eux, entités spirituelles invisibles, qui cherchent à s'assurer le contrôle total et durable (éternel comme ils sont) de la terre et de ses habitants (notre humanité et tout le reste). Telle est la réalité occulte qui se cache et manœuvre sous la pensée mondialiste mondialisante.
Des hommes/femmes haut placés qui siègent en oligarques dans des clubs ou sectes croient pouvoir devenir eux-mêmes les maîtres du monde... à partir de divers rapports troubles qu'ils peuvent avoir avec ses esprits satanisés. C'est bien mal connaitre les entités avec lesquelles ils collaborent quelque peu consciemment ou qu'ils prennent pour leurs propres pensées.
S'ils voyaient mieux ils chercheraient vite du côté du vrai Dieu et de Jésus-Christ le secours dont ils ont besoin face ne serait-ce qu'à leur mortalité physique.
Au lieu de croire les mensonges du diable et de ses démons - qui se fait passer à leurs yeux pour une créature bonne (sous le nom de Lucifer en général), ils feraient mieux d'avoir l'humilité de chercher de l'aide pour être sauver. Mais on a chacun à un moment ou à un autre, des plages de liberté où on peut passer des ténèbres de Satan à la lumière de Christ. Mais attention de ne pas remettre au lendemain, car on ne sait jamais si une porte de secours ouverte aujourd'hui, ici et maintenant, le sera encore ce soir, cette nuit ou en d'autres circonstances...
ÉCHAPPER A LA DICTATURE QUI VIENT
Le livre biblique de l'Apocalypse prédit qu'effectivement, par la soumission des hommes à ces autorités spirituelles trompeuses autant que maléfiques, vient un ordre mondial qui sera une dictature terrible d'origine et de forces sataniques.
L'histoire nous permet de voir plusieurs effets de domination démoniaque derrière les hommes, avec les inquisitions, le massacre de la St-Barthélémy, des croyants brûlés ou décapités par d'autres croyants, le terrorisme sous diverses formes, les massacres ethniques, du vandalisme haineux et tueur...
Et bien sûr avec Hitler, le nazisme et la shoah, on a la figure - récente pour nous montrer que cela n'est pas une vieille histoire moyenâgeuse - réelle et en même temps prophétique, des effets concrets pouvant résulter des capacités et incitables démoniaques quand elles réussissent à tromper des hommes pour en faire les agents de leurs propres objectifs. En ce sens notre propre mal-être comme une convoitise égotique boostée par l'orgueil, peuvent l'un et l'autre devenir le ferment qui permet la greffe d'une entité ou d'une autre démoniaque sur nous.
Ces esprits sont capables de donner des moyens financiers, de l'intelligence pour trouver des solutions (apparemment bénéfiques) aux problèmes des êtres humains ou des sociétés, des voix lors d'élection, des succès divers, des tremplins qui sortent de l'ordinaire, des charismes qui peuvent séduire des foules, entrainer à sa suite indistinctement hommes, femmes ou enfants... Le tout se terminant toujours par de la casse, des brisements, des destructions plus ou moins massives, du chaos, et souvent la mort des instruments utilisés, aussi dramatique ou plus celles de leurs victimes prises sans défense suffisante sous ces influences et forces.
POURQUOI JÉSUS LE SEUL ?
La Bible nous dit que Jésus seul a été capable de résister à Satan au point de ne lui céder aucune place dans sa vie pendant toute son existence semblable à la nôtre, et plus encore il'a vaincu de manière définitive la puissance de tous ces anges déchus. Comment ?
En les laissant volontairement libres de s'en prendre à lui, à partir de son arrestation dans la nuit de Gethsémané.
En a résulté son humiliation, les coups terribles qu'il a reçu de la part de Pilate, et jusqu'à la crucifixion sollicitée par les leaders juifs, ce qui était la plus grande des injustices parues sur la terre.
En effet Jésus était sans faute et sans fraude, saint, irréprochable quant au mal, parfaitement innocent quant à lui-même. Or la mort dit la Bible, apparait comme la conséquence, la sanction, du mal (ou péché) qui nous habite et qu'on peut faire. Et donc cette mise à mort des plus ignominieuses et injustes ne pouvait qu'être comme annulée par Dieu par une résurrection de la victime innocente. Ce qui se produisit au 3e jour après la crucifixion.
Mais ce n'est pas tout. La résurrection n'annule pas tous des souffrances, de l'agonie et de la mort de Jésus. En se laissant prendre, juger et tuer injustement, Jésus en fait acceptait aux yeux de Dieu de prendre la place de coupable que nous sommes tous (par nos fautes), acceptait de supporter ce que mérite chacun de nous.
Pire même, il est mis à mort de la plus horrible manière, comme meurt les criminels, afin que son sacrifice permette aux pires des êtres humains de pouvoir être pardonnés et graciés s'ils se repentent de leurs fautes et croient en lui qui paya à leur place, pour eux, le prix de toutes leurs iniquités.
C'est ce que fit un des deux brigands qui étaient crucifiés pour ses crimes en même temps que Jésus. Sa droiture à ce moment-là lui permit d'entendre Jésus lui annoncer que dès sa mort il serait avec lui dans le paradis (ou royaume de Dieu). Quelle grâce !
Il en est tout autrement pour le second brigand resté dans son arrogance au lieu de s'humilier sous l'effet de la honte que ses actions amenèrent sur sa vie. Il mourut physiquement comme l'autre, mais son âme alors séparée de son corps, au lieu d'entrer dans la présence et sphère divines, descendit au shéol autrement appelé hadès ou séjour des morts (où sont les impies non pardonnés parmi les feux incessants des tourments de l'âme)...
Cela pour dire que Jésus peut sauver du shéol ou séjour des morts, quiconque, à sa fin terrestre, se confie en lui en reconnaissant ses fautes et en croyant en l'innocence - c'est-à-dire la divinité - de Jésus.
Mais avant le passage par la mort physique, on peut trouver à tous moments en Jésus ce sauveur qu'il est.
Il devient possible d'entrer par notre foi au bénéfice de sa protection, comme un enfant qui reste, en lui obéissant, sous la protection de son père ou de sa mère.
Aussi, face à la montée de la mondialisation et de ce qui peut paraitre pour nous soumettre tous, pour notre malheur, aux puissances occultes démoniaques, confions-nous en Dieu par Jésus, son incarnation historique et maintenant éternelle, car "Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné" ...à ce que Satan voudra et pourra imposer pour marquer chacun de nous d'un sceau irrémédiable d'appartenance (sans doute avec une puce électronique dont parle le livre de l'Apocalypse, et qui existent maintenant).
Ecoutez et cherchez si vous n'avez pas encore trouvé en Christ Jésus le sauveur et gardien de votre âme - l'âme étant l'essentiel de notre personne, le siège de notre moi conscient et autres facultés psychiques.
___________________________
* Comment Jérôme Lejeune a-t-il vécu sa première rencontre (expérience) avec Dieu ? Il la décrit à sa femme comme « Un fils retrouvant son Père très aimé, un Père enfin connu, un maître révéré, un cœur très sacré découvert, il y avait de tout cela et beaucoup plus. Comment dirais-je, de la tendresse, de la douceur, de l’affection, de l’amour timide et pourtant décidé, un besoin de faire savoir combien j’étais touché jusqu’au cœur de tant de gentillesse et de tendresse de Sa part, qu’IL voulût bien être là, qu’Il eût accepté que je L’y reconnusse, qu’Il m’eût accueilli si simplement et fraternellement. Comment dire ? Du tendre amour le plus évident. »
Cela ne donne-t-il pas envie de vivre une vraie révélation, toute personnelle, avec ce Dieu saint et aimant qui a déjà tout fait (par le don de Jésus) pour nous en accorder la grâce ?
On a vu précédemment 4 des 8
(jusqu'au coronavirus actuel)
événements d'ampleur planétaire initiés par Dieu au fil des siècles et millénaires.
Il y a deux mille ans paraissait le 5e de ces événements majeurs, d'abord invisible, puis croissant jusqu'à emplir de son message et de ses effets la terre toute entière.
5e événement planétaire - JÉSUS
En symbolique le 5 est le chiffre de la Grâce.
L'événement suivant, comme un rejeton tout particulier de la foi et descendance d'Abraham, c'est encore un homme unique : Jésus de Nazareth.
"Il s'est élevé comme une faible plante", prophétisa de lui Ésaïe environ 700 ans à l'avance ! Le lieu (Bethléem) et le moyen hautement improbables de la naissance de Jésus aussi furent prophétisés ainsi que des dizaines d'autres détails, ce qui lui confère un statut à nul autre pareil.
En quoi la naissance et la vie de Jésus forment-elles un événement à portée planétaire ?
C'est que Jésus est venue comme une incarnation divine dont la finalité est de "sauver tous les hommes", de toutes nations, de toutes tribus, de toutes couleurs et langues.
C'est pourquoi aussi le Nouveau Testament qui résulte de la venue de Jésus est traduit en plus de 1 300 langues et dialectes.
JÉSUS VENU NOUS SAUVER DE QUOI ?
- des pressions, oppressions, accaparations et autres méfaits douloureux, aliénants, traumatisants, handicapants, invalidants, formés contre le genre humain par Satan et ses multitudes d'anges révoltés et dégénérés (devenus des démons de différentes forces).
Certes si les démons peuvent ainsi nous imposer leurs forces répressives (ou séductrices pour mieux prendre possession de nous), c'est que nous le leur permettons, en agissant, parlant ou pensant mal, en nous positionnant contre Dieu ou dans l'indifférence à son égard.
- Jésus sauve donc aussi de la force du mal qui nous habite chacun et nous pousse, même malgré notre bonne volonté, à mal nous comporter, à pécher pour employer un terme générique (qui signifie "manquer le but, rater la cible de ce qui est bien).
On pèche tous d'une ou l'autre des multiples manières de manifester du mal, dans tous les cas toujours à notre détriment (malgré parfois que ça ne semble pas) et au détriment de ceux que nous atteignons (parfois en voulant faire nous-même notre propre justice).
La Bible appelle cette propension à mal faire (par actions ou par omissions) "la loi du péché", une dynamique dominatrice de notre âme que Jésus peut venir réduire et soumettre en nous, en nous communiquant son Esprit avec sa "loi de l'Esprit de vie";
- sauver de "la loi de la mort", mort physique mais aussi mort spirituelle, et jusqu'à plus gravement encore mort psychique (anéantissement dramatique et éternel de la conscience de soi, de notre moi-je).
Par la même foi qu'Abraham en la vérité révélée de Dieu et de Jésus son Christ rédempteur, chacun peut échapper à ce terrible jugement de finir éternellement hors du Bien que Dieu (seul) est, défend et partage;
- nous sauver encore donc des influences et tentations qui nous environnent, ce que la Bible appelle "l'esprit du monde" que forme les cultures, les religions, les idéologies de toutes sortes. Que ce soit celle du pays ou de la famille dans lesquels on grandit? ou une (trompeuse, insuffisante) à quoi on se met à adhérer de nous-même par quelque séduction qui peut facilement avoir raison de nous si nous n'avons pas "l'amour de la vérité" pour être sauvés;
- ainsi, nous sauvant en nous délivrant de l'ignorance, des erreurs ou mensonges qui circulent, Jésus et son Esprit nous reforment (réforment, transforment) afin que nous devenions toujours plus une représentation "à l'image de Dieu"... ce qu'on n'est plus trop par nature. On est d'abord tout naturellement formés et fabriqués socialement à l'image du "père du mensonge" qui est le diable (qu'on l'appelle Satan ou Lucifer c'est le même), le chef des démons.
On sait aujourd'hui combien la foi en Dieu et en son Christ Jésus ont, depuis deux mille ans, changé la face des continents et nations, bien sûr surtout de celles dont les autorités ont elles-mêmes été touchées par le message évangélique de la grâce que Dieu accorde par la foi.
FOI EN QUOI (MOYEN EMPLOYÉ POUR NOUS SAUVER) ?
- en la personne de Jésus paru comme Sauveur (c'est la signification de son nom en hébreu, Yeshoua, Dieu sauve), autrement dit aussi Rédempteur. (Matthieu ch. 16, vers. 16 et 17);
- foi en son sacrifice volontaire, sa mort étant le prix a payé pour racheter les pécheurs que nous sommes de nos fautes et des griffes, caresses ou pommades séductrices des esprits mauvais. (Pour ceux qui veulent saisir le sens en approfondissant les réalités, on dit que cette mort est (toujours) à la fois expiatoire, substitutive et propitiatoire). Toutes choses à la fois accomplies et potentielles qui s'activent pour chacun dans sa foi personnelle;
- idem pour la foi en la résurrection de Jésus, qui est apparu physiquement après un bref séjour dans un tombeau à des centaines de personnes (1Co 15).
Il apparait aujourd'hui encore, parfois en songe ou vision à certains (notamment à des musulmans pieux qui veulent aimer Dieu sans faux-semblants et sans le connaître suffisamment), et aussi par des attouchements sensibles (expériences diverses) dans l'ordre psychique et/ou spirituel, en faveur de ceux qui l'aiment ou de ceux qu'il appelle au salut;
- la preuve permanente de la résurrection de Jésus et de sa montée au (3e) Ciel, est qu'il a envoyé son Esprit, le Saint-Esprit. Celui-ci a pris sa place, avec l'avantage qu'il peut être possiblement en même temps sur toute la terre au même moment (ce qui est de l'ordre de l'esprit échappant à l'espace-temps tel que nous le rend sensible la limitation de la vitesse de la lumière);
- foi encore en ce que Dieu a été capable de dicter ses instructions, enseignements, promesses, avertissements... à de ces serviteurs pour que quiconque veut croire en lui ait des écritures lisibles ou audibles, immuables, fiables, par lesquelles connaître les vérités fondamentales nécessaires à notre connaissance de Dieu, de nous-même et de nos environnements.
C'est ainsi que la venue et émergence de Jésus a conduit à la rédaction et formation de la deuxième partie de la Bible, le Nouveau Testament, Nouvelle Alliance, Bonne nouvelle (gospel) ou Évangile de Jésus-Christ.
Ainsi est apparu sur toute la terre, ce fait unique que des hommes, femmes et enfants marqués et limités par les lois fondamentales activées par le péché, échappent à cette finitude essentielle qu'est la mort (sous ses diverses formes - lien d'étude possible : Les 5 types de mort).
En résulte, par le jeu d'une "nouvelle naissance" ou born again, la création inédite d'une humanité qui pourra vivre éternellement avec Dieu quand ce temps sera venu, c'est-à-dire quand il n'y aura plus personne sur terre à s'intéresser à cela, c'est-à-dire plus de repentance, le nombre de personnes ainsi sauvées n'étant plus modifiable.
6 et 7 - GUERRES MONDIALES ET RÉVOLUTION BOLCHÉVIQUE
Par l'effet de La Science érigée en Europe depuis le XVIIIe siècle en divinité ultime, les découvertes scientifiques et développements technologiques se sont multipliés et approfondis, donnant au XXe siècle de devenir le plus meurtrier de tous les temps. Tels sont les progrès sans la supervision divine. Rabelais déjà l'avait aperçu et dit il y a longtemps : "Science sans conscience, n'est que ruine de l'âme."
Le fait - et problème - est qu'on n'est pas des êtres naturellement profonds, pour s'arrêter et faire le point quand des choses graves arrivent.
C'est ainsi qu'après avoir déposé plus radicalement que jamais, en 1905, sans distinction Dieu le Créateur avec ses représentants peu représentatifs (les religions bâtardes issues de la pure et saine doctrine produite par le Christ Jésus), la France orgueilleuse a été jugée par Dieu et attaquée par l'Allemagne au point de produire ce qu'on a appelé les deux guerres mondiales.
Une aurait pu suffire, si l'attaque en 1914 avait été vue comme un jugement divin sur son orientation politique maligne, tout jugement portant à la repentance et appelant à changer (de voie, de choix, de comportement, de priorité...).
Au lieu de cela, la victoire, non sans l'aide d'alliés, n'a débouché que sur des "années folles" (comme les ont baptisées les historiens). Ou il ne fut pas question de "changer son fusil d'épaule", c'est-à-dire à replacer Dieu (épuré si on peut dire des fatras religieux qui en déforment la réalité) au centre des vies et de la société. Car au lieu de cela, on se lança plus encore dans l'abandon des fondements chrétiens, dans l'illusion d'un bonheur possible sans Dieu, dans des libertés de plus en plus liberticides, au point où le jugement revint 20 ans plus tard, sur une génération et jeunesse après l'autre.
En parallèle dans le même temps, donnant aux conflits barbares leur dimension planétaire, la vue marxiste et les pensées socialistes devenaient le moyen d'un jugement sur la grande Russie et son gouvernement tsariste perverti, jusqu'à produire, après sa défaite infligée par le Japon en 1905, la révolution bolchévique (en 1917) qui allait conduire au bloc soviétique formé en Union de Républiques Socialistes Soviétiques (URSS) au prix de dizaines de millions de vies sacrifiées, tuées, déportées, mutilées...
Le chiffre 6 est le chiffre de l'homme quand il se définit ou déploie dans sa nature charnelle problématique. Et le 7 est un chiffre divin pour dire qu'en dernier ressort c'est Dieu qui reste le maître, fut-ce au prix de jugements qu'on l'oblige : Si nous ne savons pas marcher sous et selon la justice de sa Grâce, on se trouve un jour ou l'autre (collectivement comme individuellement) soumis à sa stricte justice, sans clémence, et parfois rendue inique par les esprits qui l'exercent.
Faute de tirer en conscience les leçons de nos histoires, nous sommes amenés, à notre encontre, pour notre malheur, à devoir subir les conséquences de nos mauvais comportements réitérés.
Et nous voilà parvenant, avec le covid-19, comme au temps de la 1ère guerre mondiale...
8 - LE VIRUS COVID-19
Le 8 est un chiffre de fait référence à quelque chose de nouveau. Une nouveauté en soi, qu'on a à comprendre comme un moyen de chercher un nouveau chemin, une nouvelle manière de poursuivre l'aventure chaotique de l'existence.
Nous voilà arrivés à ce virus pas ordinaire.
Il constitue, au vu des jugements précédents et des orientations d'existence prises par les instances gouvernementales et par les peuples les plus dominants, un de tout derniers avertissements divins.
Ce qu'on peut encore appeler un jugement de grâce, selon que le mal a vocation de sanction, mais aussi de permettre une remise bénéfique sur de meilleurs rails que ceux qui ont conduit jusque là.
C'est en ce sens que la parole d'Einstein est pertinente pour ici maintenant, qui dit que "On ne peut pas sortir d'un problème avec les modes de pensée qui ont créé ce problème."
En d'autres termes, ne revenons surtout pas à la "normale" d'avant le covid, car c'est cette normalisation de certains comportements (généralisés ou marginaux, commerciaux, politiques, moraux) qui a amené cette crise (et déjà d'autres avant) en tant que jugement sanction du mal.
TOUT JUGEMENT FAIT CESSER UN ORDRE (MALIN) DES CHOSES, EN VUE D'UN AUTRE (À RE-CHERCHER)
Jugement sur des orientations d'existence et des système dominées par la cupidité, l'avidité, l'avarice, la rapine - le dieu Mammon comme Jésus personnifie l'argent, la finance -; dominés par les plaisirs et gains personnels amoraux, égoïstes,avec des alliances, compromis et connivences malignes, les usages pervertis de connaissances (psychologiques, scientifiques, technologiques) pour manipuler les personnes, pour les monter les unes contre les autres ou pour les rapprocher artificieusement, pour fabriquer des armes de plus en plus hyper-sophistiqués (coûteuses et terriblement meurtrières)...
Résulte de ce regard de plus en plus égotique des grands de ce monde et de tous, que grandit la faiblesse du plus grand nombre.
Une majorité de plus en plus grande est bernée, séduite, craintive ou indifférente, vindicative mais impuissante (à cause de ses propres péchés), est conduite (contrainte, sollicitée pour, poussée) vers un appauvrissement multi-face (financier, culturel, éthique, moral, spirituel), voire est éliminée (démographiquement).
Cela au profit organisé de quelques minorités (personnalités) toujours plus concentrées, des mieux-nés, des plus débrouillards, iniques ou mégalomanes, chacun dans tous les cas devant un jour rendre compte de ses faits, gestes, paroles et choix devant Celui qui prête vie.
Ce qui forme une cour de terrain privilégiée, au service d'une oligarchie de type Nemrod - par exemple en Europe qui veut poursuivre la construction arrêtée par Dieu - quelle défiance ! - de la tour de Babel. Sans réaliser qu'ils touchent dans l'invisible aux puissances occultes, qu'ils ne font que se placer sous les auspices d'entités spirituelles qui se veulent divines mais ne le sont pas, dont l'objectif final est d'obtenir de Dieu qu'elles puissent régner éternellement sur le genre humain sans le moindre regard de Dieu sur cette part de ses créations....
Voilà ce que Dieu voit et vient juger : les commerces et appropriations éléphantesques iniques des grands, et en rapport, les commerces pervertis goguenards des foules qui ne voient rien de "ce qui n'est pas à leur dire" et se satisfont à peu près de la belle étiquette "Démocratie" et de ce qu'on leur accorde sous ce label hautement honorifique.
L'ESSENTIEL DE LA CRISE
Dans cette situation Dieu agit largement auprès des plus faibles, des humbles, des affligés, des contrits, se révélant à ceux que leur instruction et éducation ont privé de lumière, de possibilité de foi, de connaissance de Dieu.
En ce sens, un de ces jours de confinement où je demandais à Dieu qu'il me dise quelque chose sur sa manière de voir cette actualité (outre que je sache qu'on est à la fin du chapitre 9 de l'Apocalypse), il me dit de lire le psaume 12. En quelques lignes, il me dit là l'essentiel de ce qu'il opère (qui se voit et qui ne se voit pas).
Notamment que chacun peut se fier à la Bible, étant "la parole de Dieu" qu'il a gardée au fil des générations pour que nous puissions en disposer maintenant encore dans l'assurance que rien n'a été déformés ou falsifiés des plus anciens manuscrits à partir de quoi on traduit encore la Bible dans toutes les langues.
Ainsi ce coronavirus, cette peste comme il y en eut d'autres mais jamais avec un tel effet dominant, nous dit que la colère de Dieu approche de son comble quand il voit où nous sommes parvenus, malgré de grands progrès divers, en matière d'injustices, de magouilles, de trafics, manipulations, exploitations, tromperies, perversions, violences...
De quoi amener encore bientôt un jugement plus final, plus terrible, dont la seconde guerre mondiale et la Shoah sont une image (géographiquement partielle) autant qu'une réalité déjà apocalyptique de ce qui vient, ce qui a été depuis longtemps prophétisé par divers livres bibliques (Apocalypse, Daniel, Zacharie, Ézéchiel, Ésaïe...).
Avez-vous réaliser comment avec quasiment rien, le Dieu éternel tout-puissant peut arrêter l'essentiel de nos activités, voire nos existences.
En ce sens, le nombre de morts annoncé dans l'Apocalypse laisse entendre qu'il y aura certainement usage d'armes atomiques... et sans doute bactériologiques (virales ?).
Pour ce qui est de la suite de cette liste des événements planétaires qui restent à venir, on peut la connaître dans ses divers points... mais je m'arrêterai ici seulement au suivant.
9 - LA PAROUSIA
Ce mot grec du Nouveau Testament signifie Présence, la venue, l'arrivée, l'avènement, le retour futur et visible de Jésus depuis les cieux, pour ressusciter les morts dans la foi en lui et enlever dans les airs les chrétiens préparés pour cet événement planétaire.
Le chiffre 9 parle de fin de cycle, de mouvement complet, en l'occurrence l'entrée dans une brève plage de temps où va se signer la fin des 2 000 ans de la grâce christique.
Voici quelques références* pour qui veut faire une étude de cet événement qui sera à coup sûr le plus surnaturel et imposant de tout ce que la terre a connu jusque là.
Ce ne sera pas du tout pour autant la fin de la terre et de l'humanité, mais le point de départ cependant d'une transition planétaire phénoménale qui amènera en rien de temps sur le monde une dictature et un totalitarisme comme il n'y en a jamais eu et comme il n'y en aura plus jamais.
Telle est, nous dit la Bible, le sens eschatologique de l'histoire : une fin qui tient de la domination de la loi d'entropie (usure, érosion, décomposition).
A quoi sert d'avoir remarqué que l'apparition du corona covid année 2019 est un des rares grands événements qui a changé et changent encore la face habitée de la terre ?
L'histoire est toujours faite de leçons qu'on peut en tirer. Sans aller trop loin dans le passé, le XXe siècle nous donne de voir à la fois comme le cœur humain n'évolue pas, reste barbare (malgré ce que fut une remontée significative des ténèbres avec le christianisme), tous les bienfaits d'une civilisation avancée (morale, juste, humaine) pouvant se perdre totalement en deux et trois générations.
De plus il semble que les deux guerres mondiales apparaissent comme une réalité et une image. Que si on ne tire pas leçon d'un événement grave (comme fut la 1ère G. M. pour la France et pour l'Allemagne, ou encore la défaite russe contre les japonais en 1905), il doit être répété avec plus de violences encore.
Pourquoi ? Rappelons-le : Parce qu'après 14-18, au lieu d'une reprise en main de la foi chrétienne (et de comportements en adéquation), en revenant, dans l'humiliation des vaincus et l'humilité des vainqueurs, à sa source - divine et biblique -, ce furent "les années folles", c'est-à-dire un retour et un redéploiement d'immoralité, du non-pardon, de pensées vengeresses sous couvert, de débauches, d'insouciances coupables ou de soucis purement matériels.
Aussi je vous invite à sentir comment Dieu s'approche de vous avec grâce, à cause de son amour et par cette vertu imméritée que Jésus a payé le prix de vos fautes par sa mort. Laissez-vous convaincre de culpabilité pour le mal que vous avez fait avant (voire pendant) cette peste, demandez pardon à Dieu et recevez son Esprit en signe de votre réconciliation avec lui.
Car c'est par la grâce de Dieu que nous pouvons être et sommes sauvés, grâce comme celle présidentielle qui amnistie, efface les condamnations et libére les prisonniers. Grâce qui vient de Dieu et non de nous, non de nos mérités, afin que personne ne puisse se glorifier d'avoir fait quelque chose pour se sauver lui-même.
Et grâce qui se reçoit par la foi, comme il faut tendre la main et prendre un cadeau que vous offre un ami, comme il faut saisit avec déterminantion la bouée de sauvetage que vous lance un sauveteur.
Oui oui, avec le Réel ! Qui est bien plus large que le versant matérialiste qu'on aperçoit du monde !
Un simple virus, comme l'air qu'on respire, comme les ondes (énergétiques ou de transport) qui sont partout, comme les pensées ou les sentiments, comme l'âme (psyché) et l'esprit, comme les quantas subatomiques, toutes choses puissantes bien qu'initialement invisibles, peuvent nous aider à croire bien au delà du visible.
Bon visionnage. Attention, prévoyez, il va durer 6 h. (C'est la transcription du Réel sous forme de film de Franco Zeffirelli).
Autres articles correspondants Osez l'Évangile (textes bibliques essentiels dévoilant le véritable message de Jésus). Chronique de Corona (tous les articles relatifs au covid-19 et au confinement - vue spiritualiste du Réel)
La Bible, un livre souvent écrit
au cœur des tourmentes, des confinements*, scellée par le sang, la souffrance et la foi victorieuse.
Il devient paroles vivantes, lampe et lumière, semence, nourriture, eaux vives, pluie rafraîchissante, marteau, épée, miroir, feu ou puissance, quand il est ouvert et lu ou écouté. Qu'il soit papier ou numérique, jugez vous-même de ces écritures sans compromis au pouvoir surnaturel.
___________________________ * Confinement du peuple de Jacob devenu jusqu'à Moïse esclave en Égypte - de plusieurs prophètes déportés et exilés en Babylonie ou Assyrie - de la nation israélite occupée par l'Empire romain - de 120 disciples entre Pâques et Pentecôte - des apôtres Paul (prisonnier à Rome) ou Jean (exilé sur l'île de Patmos)...
AVEZ-VOUS UNE IDÉE DE CE QU'EST L'ÉVANGILE ?
Du grec evangelion, qui signifie Bonne nouvelle
L'Évangile est la bonne nouvelle, faite de quatre parties très particulières,
- que Dieu (le seul véritable) s'est incarné en prenant forme humaine,
- que cet homme (Jésus) est mort crucifié,
- qu'il est ressuscité d'entre les morts,
- et qu'il va revenir (selon des promesses).
A chacune de ses étapes, il y a une raison (une cause en amont) et un ou des effets (consécutifs). Tout cela peut (et veut, désire) être en rapport direct (étroit, vivant, intime) avec chacun de nous.
Tel est l'essentiel, tenu en suspens dans le temps depuis presque 2 000 ans... à la manière du pompon d'un manège aux chevaux de bois et au camion de pompiers, agité et à attraper pour gagner un nouveau tour.
Avec Dieu le gain possible c'est un super merveilleux nouveau tour: la vie éternelle (notre éternisation) qui nous sort (de la domination) du mal...
Ce projet (rédempteur) divn, se dit avec des mots et des phrases, des pensées, des rapports, des affirmations et promesses qui sont par essence d'un pays (d'un Royaume) étranger - qui est un peu comme la face cachée de la lune, existant dans un autre versant, invisible mais accessible quand même, de ce monde où ne se voit (de prime abord) que ce qui est matériel.
Alors lisons, écoutons, entendons et saisissons ce que sont ces 4 points qui fondent cette Bonne Nouvelle qu'est l'Évangile du Christ.
(Tous les textes en vert sont de ces paroles du Royaume de Dieu, à la fois permanent et en cours de création. Chacune est en lien: par un clic, vous pouvez les retrouver sur la toile avec leurs références bibliques).
Or Dieu seul est à adorer. Nous n'avons pas à adorer, c'est-à-dire à nous prosterner, à nous mettre à genoux de nous-même, devant aucune créature (et à plus forte raison devant une statue): c'est de l'idolâtrie - ce que Dieu abhorre et condamne (> voir les 2 premiers des 10 commandements).
Voilà donc Jésus décrit comme étant un être humain (pleinement), et comme étant Dieu, juste différemment qu'il ne l'était avant son incarnation.
2 - POURQUOI CET HOMME, JÉSUS, EST-IL MORT ?
Il est évident que Dieu ne peut pas mourir - il est vie éternellement. C'est pourquoi il retire de Jésus son Esprit quand celui-ci prend réellement la place de nous tous (êtres pécheurs, séparés de Dieu), quand il est élevé sur une croix.
Dieu le laisse alors comme un simple être humain (physiologique et psychique, ensemble corps et âme privé de la dimension spirituelle, qui est de Dieu).
EFFET POSSIBLE (POTENTIEL) DE LA MORT DE JÉSUS... PAR (LE MOYEN) DE LA FOI
Au moment d'expirer, Jésus dit: "Tout est accompli".
Du côté de Dieu donc, tout est fait pour que nos péchés puissent être pardonnés, pour que notre âme échappe au diable, au séjour des morts post-mortem, et à la perdition éternelle dans l'étang ardent de feu et de soufre (la géhenne ou enfer).
Pour que cette potentialité qui fit dire à Jean-Baptiste voyant Jésus venir à lui "Voici l'Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde" soit activé dans nos vies à chacun, nous avons à y ajouter la foi, notre foi. Notre part est donc de croire en Dieu et de croire en Jésus en tant que ce don unique de Dieu comme Sauveur sacrifié pour notre sauvetage de tout mal.
L'histoire biblique, l'histoire de Jésus et les nôtres ne s'arrêtent pas à ce commencement de la vie de Jésus et de la naissance de l'Église.
Savez-vous que cela peut maintenant encore s'écrire au plus profond de notre être - du vôtre ?
Comment ? En recevant en nous l'Esprit même de Dieu, qui est la vie éternelle, désireux de nous conduire dès ici et en ce temps, jusque dans le Royaume éternel magnifique du Dieu vivant.
Pour vivre donc déjà une vie avec Dieu (qui change fondamentalement tout), et pour connaître (expérimenter de la bonne manière) ce qu'on va voir ensuite, le retour de Jésus, il convient premièrement d'avoir fait la paix avec Dieu par le regret de notre existence passée (qui n'a pas tenu compte de la réalité de Dieu) et par le pardon de nos péchés.
Ce pardon résulte d'un positionnement personnel devant Dieu, fait de regret du mal fait, de la repentance, de la confession à Dieu, et de la réception en retour de l'Esprit de Dieu en nous.
Ici une aide de prière en lien qui permet de vérifier ou de formaliser une vraie relation avec Dieu.
4 - JÉSUS DOIT REVENIR.... TRÈS BIENTÔT...
Que pouvons-nous savoir du retour de Jésus ?
Le Dieu éternel en sa tri-unité a préparé pour ceux qui acceptent humblement d'être ses enfants par la foi, une seconde création qui ne finira jamais, exempte de tout mal, où l'amour régnera entre tous et où la justice sera automatique (comme l'annonce par exemplel'Apocalypse chap. 21.
Enfin retour, 2e venue de Jésus, "très bientôt". C'est une expression de la Bible qui veut dire que Dieu ne tarde pas dans l'accomplissement de ses promesses, et donc que Jésus reviendra au jour et à l'heure que Dieu décrétera.
"très bientôt" veut plus précisément dire, en ces jours de début du 3e millénaire christique, sans plus beaucoup d'années à attendre. En cela Jésus (et autres prophètes) a donné des repères, indiqué des signes précurseurs de son retour. Une recherche et étude très intéressantes... que je vous invite à faire, dans l'amour de la vérité, en vous aidant des moyens (nombreux) que peuvent fournir les librairies chrétiennes et des sites et blogs de l'internet.
Bonne marche sur le chemin qu'est Christ, qui ne mène peut-être pas à Rome, mais bien certainement jusqu'à la "Jérusalem céleste", capitale de la prochaine création.
La foi en l'homme - en nous-même ou en d'autres - fond.
L'espoir humain est une béquille qui se casse.
Ce temps crépusculaire nous amème
Les jeux sont faits !?
Par nos comportements coupables, arrogants, pervers, anti-Dieu, nous avons mis le comble à nos insolences, et globalement, collectivement,
on a perdu la main.
La folie serait maintenant de croire à un retour à la normale.
Notre normalité civilisationnelle est la cause de la crise planétaire
qui nous englobe.
Nos normalités (économiques, idéologiques, religieuses, morales...) sont devenues un consensus normatif souillé, utopique, chimérique, vulnérable à "l'effet papillon" (loi d'imprévisibilité mise à jour par E. Lorenz), inconduisible.
A vouloir vivre sans Dieu, d'Europe en Chine, on s'est attirés un jugement qui ne laisse plus de place à nos caprices et choix imposés par nos ego.
LES PROPHÉTIES BIBLIQUES S'ACCOMPLISSENT TOUJOURS
Dans la chronologie biblique apocalyptique, il reste une petite fenêtre (de très peu d'années) où un pseudo-sauveur va paraître pour relancer les économies... et les idéologies... comme ce fut dans les années 30 en Allemagne - car l'histoire se répète selon un procédé pédagogique autant que causal -.
Ce sera le pire mal... se présentant comme un bien miraculeux...
On est donc avertis, par l'histoire (ancienne et récente) et par la Bible depuis longtemps. C'est pourquoi il ne faut pas attendre demain une reprise bienheureuse, à l'identique, ou une suite seulement fatale et déprimante,
en restant maintenant laxiste ou impatient.
Le temps est à un positionnement personnel de fond.
Entre les erreurs, les mensonges, l'ignorance, les demi-vérités,
et les vérités vraies, immuables, universellement objectives en elles-mêmes,
un choix déterminant est à opérer. Tout retard pris - comme face au covid - risque de nous coûter (très) cher.
C'est l'amour et la patience de Dieu qui permettent encore ce temps à part.
Qu'on soit membres de corps de métiers hyper-sollicités en première ligne,
des politiques format la seconde ligne, ou des confinés lambda
sur les lignes arrières, ce temps est appel à interrogation.
...Exactement comme eut à faire le fils prodigue d'une parabole qui n'a pas fini de nous parler (ne manquez pas de la lire ou écouter ici).
Interrogation, entrée en soi-même, en vue de prendre une grande décision:
Dans ce monde que dominent les injustices, les contraintes, les extravagances faussement prometteuses et novices, soit nos restons coincés ensemble, insécurisés ensemble, à l'étroit dans nos situations personnelles
et dans la vue des choses;
soit nous venons, chacun pour sa part, ou revenons (non physiquement mais en associant raison, foi et espérance) en contact avec "la maison du Père" (avec le Dieu réel dans les dimensions psychique, spirituelle, transversale, de son royaume, avec ses grâces*, sa bienveillance, ses protections, sa justice).
La consigne sanitaire, solidaire et salutaire est claire:
Ne pas rester où on est tombé, où la vie ne nous satisfait plus - ou nous séduit trop (par une addiction ou une autre) -, là où "les esprits méchants dans les lieux célestes" nous veulent sous leur pouvoir, nous aident à nous y mettre, nous foulent ensuite aux pieds et, à un moment qui peut être le leur, arrachent les âmes des corps pour les jeter dans le shéol ou Séjour des morts
(qui est les prémices de l'enfer terminal.
QUAND LE CHEMIN SE PERD
Quand le chemin se perd
De nos vies, de nos entreprises, de la compréhension,
Quand on ne sait plus rien de comment la gestion
Du temps, de l'espace, des organisations,
Du conjoint, des enfants, des parents, de la raison,
Où trouver le secours, à qui regarder de fiable,
Sur quel rebord s'appuyer qui soit convenable,
Vers quel patron, vers quel chef capable,
Vers quel saint se tourner qui nous rendra vivable
Le présent arrêté ?
Quand les chemins se perdent qui étaient mal assurés,
Sur quoi on avançait sans soucis d'où cela menait,
Quelle folie que d'aller sans voir et regarder
Où on met ses pieds, à quelle fin arriver !
Et nous voilà défaits, pantelants, interdits.
Nous voilà face au Réel tel qu'il est écrit
Sinon à écrire... peut-être encore, suspendu
En dessous du vide de notre coeur rendu
A une extrêmité. Comme face à une savane,
A quel bush, quelle jungle remplie de lianes,
Impraticable comme sont tant de pensées lourdes
Ou volatiles, toutes possiblement des bourdes,
Voies sans issue, impasses, autant de culs-de-sac...
Mais points de départ possibles !? Entre l'adret et l'ubac
Comme en Tolkien, jeux vidéo, où une Terre du Juste Milieu
Existe, est à trouver qui touche aux cieux,
Pour enfin pour de vrai les toucher,
Et y gagner.
Quand le chemin se perd... une voix comme d'un désert,
Comme d'un rivage pas si lointain, sonne claire:
- Venez enfants, j'ai du pain et des poissons cuits !
Vous n'avez rien pris de votre nuit ?
Mais laissez là vos barques et vos soucis, moi je suis
Le chemin, la vérité et la vie.
C'est ce que Jésus dit encore aujourd'hui
Pour sauver ce qui est perdu, malade, sans toit ou sans abri
Spirituel, sans Dieu dans ce monde où les malédictions
Sévissent, font payer des tributs, démolissent les maisons.
- Croyez en Dieu et croyez en moi ! Croyez que je suis
La lumière de ce monde et que devant moi s'enfuient
L'ombre de la mort, tous les plus forts que vous, les raisons
Insensées... Parce que j'ai payé pour votre rançon
Par mon corps livré, fait péché, mal vivant crucifié,
Payé par tout mon sang versé pour le pardon de vos méfaits.
Car Dieu mon Père a tant aimé chacun de nous de ce monde déchu
Qu'il a donné son bien-aimé fils Jésus,
Pour que l'âme de quiconque croit en lui ne périsse pas
Mais qu'il reçoive en lui la vie divine qui le guidera pas à pas.
Par la prière on devient son enfant
Dès ce moment, et éternellement.
Écritures incluses dans le poème : Romains chap. 3.11,12 - Matthieu chap. 21.4,14 - 18.11 - Évangile selon Jean chap. 14.1-6 - Hébreux 2.14,15 - Jean chap. 3.16... - chap. 1.12,13 - chap. 8.12...
___________________
* Les grâces = faveurs imméritées, que Dieu peut nous accorder par la médiation de Jésus mort pour nous et ressuscité sont multiples.
Les plus fondamentales sont qu'il ajoute en nous, comme force contre le mal, la vie - éternelle - de son Esprit. Il élargit dans une dimension de profondeur, notre vue des réalités, visibles et invisibles, des tenants et des aboutissants de notre existence ici-maintenant. Il nous assure de sa protection et de son assistance face à ce que nous n'avons pas (enore, assez) la force de voir par nous-même qui nous serez préjudiciable. Il est une force, qui s'exerce dans notre foi, face aux esprits méchants, aux démons, qui nous tentent et veulent mettre la main sur nous pour nous faire faire toutes sortes de mauvaises choses...
:
Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.