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28 septembre 2019 6 28 /09 /septembre /2019 14:26

Dieu est AMOUR.
Mais pour nous il doit être amour... éducatif.
C'est plus dur que l'amour béat, que la compassion sans limites qu'on croit être le vrai amour envers les pauvres... et contre les riches...
La compassion tous azimuts ne mène qu'au chaos. Car l'amour sans justice et sans vérité n'est que du laxisme préjudiciable.

Dieu est JUSTESSE.
Il fait tout avec précision, sans se tromper, aux temps qu'il estime les plus propices pour nous rejoindre, nous appeler ou nous répondre.

Mais avec nous (indifféremment pour ou contre), il doit aussi devenir juge et justice.
D'où alors certains préfèrent se mettre à croire qu'il n'existe pas... Sans rien résoudre de nos problèmes personnels et de notre aliénation générique.
Sans penser que de toutes façons il faudra bien au final le rencontrer !...

Dieu est SAINT (ou PUR, IMMACULÉ).
Mais pour nous il a du se faire homme afin de prendre à son compte le poids lourd et toxique et mortel de nos insanités.
Non qu'il ait péché lui-même, mais pour pouvoir prendre sur lui notre péché, Jésus est mort pour nous sauver des conséquences de nos fautes.
C'est l'explication de son arrestation et de ses souffrances jusqu'à son agonie et sa mort en croix.

Là, cloué parce que c'était pour nous nécessaire, il ouvre entièrement ses bras à la justice impitoyable du Ciel, en rempart pour protéger des pires méfaits du mal ceux qui veulent croire en lui comme Divin Sauveur.

Il ouvre grand ses bras d'amour pour accueillir dans sa sainteté inviolée et dans la vie éternelle que Dieu cherche à nous accorder, comme un père nous engendrant, quiconque croit en cette œuvre rédemptrice de son Fils.

"Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé, toi et ta famille." Prolongement intemporel pour vous de cette parole de la Bible scellée dans le Nouveau Testament, livre des Actes des apôtres, chapitre 16, verset 31.

"Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé.10 Car c'est en croyant du coeur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut, selon ce que dit l'Écriture :11 Quiconque croit en lui ne sera point confus.12 Il n'y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec, puisqu'ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l'invoquent.13 Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé."

Croyez-le ! Soyez sauvé-e !

 

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24 septembre 2019 2 24 /09 /septembre /2019 11:48

suite de l'article commencé ici.

Albert Einstein dit qu'il y a deux manières de vivre : En voyant tout comme un miracle (c'était sa vue des choses) ; et en ne voyant rien comme miraculeux.
Et quand on sait que notre regard personnel part à priori d'un conditionnement sociétal (nécessaire) au milieu duquel on est né et qui nous a formés (formatés parmi ce qui est bien et juste et bon, et parmi ce qui est mal et problématique), on peut envisager avec quelque sagesse de peut-être bien avoir des choses à revoir dans notre manière de voir.

Il faut bien entendre (si ce n'est dèjà comprendre) que la manière de voir occidentale, matérialiste,laïcisée (c'est-à-dire agnostique et/ou athée) nous a donné très possiblement un champ visuel rétréci des réalités ! Une aberration de vue !?...

Car malgré tant de merveilles dans l'univers, au cœur de toutes les complexités, organisations et connexions fantastiques, on vit tant de gâchis ! Tant d'incompréhension. Voire de sidération.

Et cela, on peut se le dire, comme résultat d'exercices insensés de notre liberté, de nos beaux et bons moyens (intellectuels, affectifs, physiques, financiers...) déployés sans se soucier de Dieu et de ses lois (physiques, physiologiques, psychologiques, morales, spirituelles) ! Libertés libertaires et liberticides, constatent même des incroyants.
Même la dégradation des équilibres climatiques et ses effets dévastateurs plaident contre nos comportements !
Lire à ce sujet ce verset des plus significatifs.


Malheureusement, globalement (ensemble), on n'a pas fini d'en découdre avec de ces situations dramatiques nouvelles, conséquences directes de nos anciens et derniers égarements dans la liberté, de nos aberrations de vue, de nos conceptions controuvées, de nos partisanismes réducteurs et diviseurs.

Conséquences de ce qu'on part d'un point de vue insuffisamment large, non panoramique, qui n'embrasse pas tout le Réel (formé du créé et de l'Incréé).

Liberté conséquente dans notre rapport à ce qui nous environne.

Tant que notre conception de la liberté n'intègre pas que la plus grande liberté est intérieure, au plan de notre être profond (plus que par nos mouvements, par ce qu'on peut faire), en rapport de notre comportement dans notre environnement, on est coincés et en danger du pire (chacun ou ensemble).

Tant qu'il nous manque une révélation, une expansion de conscience jusqu'au Divin, on ne peut vivre un re-ajustement et une conformité aux vérités divines (intrinsèques, existantes en soi, objectives) avec lesquelles notre part lucide et consciente (responsable) est de s'harmoniser, comme moyen pour accéder à la paix, voire à un bonheur nouveau, plus durable.

Paix et bien-être se rejoignent en nous, quand nous modélisons volontairement nos comportements libres sur les fondements et critères préétablis par le Créateur pour créer en nous du bonheur - de son bonheur.

Comment être heureux de jouer au foot (ou autres) si on en ignore ou bafoue les règles ?

Le bien se trouve dans le cadre où par détermination il se manifeste, comme résultat, comme émergeant des lois-cadres préalables de tous ordres connues et respectées.
Respectées car reconnues comme indispensables à la bonne organisation et gestion de tout ce qui nous précède, et de ce qui suit, au sein desquelles notre liberté peut se déployer de bonne manière. C'est-à-dire en des découvertes vivifiantes (et non aliénantes), des jeux (simples, sains, et non de guerre et de vidéo), des rencontres (qui édifient), des combats certes mais avec des victoires, de la souffrance encore sans doute mais comprise et non plus transcendante.
Avec aussi des sentiments et contacts d'ordre divin surprenants, inconnus, éclairants, enthousiasmants ; avec une éducation et des connaissances nouvelles, qui s'édifient à partir de et sur un rocher et non plus sur des sables mouvants.

Pourquoi Jésus et ses paroles ont-ils le rocher comme image des fondements qu'ils représentent ?

Revoir sa copie donc pour des ouvertures d'entendement, des ouvrages de dimension éternelle, petits pour commencer mais susceptibles de se déployer en d'innombrables développements d'envergure puisque jusque dans l'au-delà de cette existence terrestre, sans fin.

Avancer en prenant le meilleur courant

Pour l'heure, ici, maintenant, se vivent dans le même temps et sur les mêmes espaces, dans l'invisible qui fait l'âme du monde (anima mundi) deux courants.
L'un, à voie unique, courant de vie (comme Dieu l'appelle), l'autre (à bras multiples) courant de mort.
Il n'est que regarder et écouter ce qui fait le fond et les mouvements de notre société agitée, largement angoissée, stressée, surexcitée ou déprimée, trop dure ou trop molle... pour constater une quasi omniprésence des troubles et même du mot mort, réalité et perspective qui court d'avant même que l'on vienne au monde et jusqu'à l'abrégement du dernier souffle.

Et comme la mort et le mal-vivre et les manques sont trop partout, on veut de plus s'inventer de la vie à notre manière, par des acharnements thérapeutiques, d'un bout à l'autre de l'entrée et de la sortie de ce monde, et entre deux en légalisant toutes les fuites imaginées (vente libre de drogues jusque là illicites, professionnalisation de la prostitution, etc...).

Mais ça ne va pas durer toujours

La patience de Dieu est très très très grande, mais il va devoir mettre un terme à l'exercice de notre liberté collective dans la mesure où les plus puissants vont déployer leurs forces (d'intellectuelles à armées) au détriment de la liberté du plus grand nombre.
Dans la mesure aussi où les pratiques des uns et des autres ne vont plus engendrer que du mal, des souffrances nouvelles, des déchirements, des crimes subtiles, de la manipulation, des pressions, des abus intolérables - car Dieu, s'il tolère beaucoup de choses, ne tolère et ne tolérera pas tout.

Car par tous nos développements sans conscience du bien et du mal, c'est toujours plus à Satan et aux démons qu'on ouvre des portes, qu'on concède de la puissance - puissance du mal malgré tout ce qu'on peut croire et avoir comme bonnes intentions, comme humanisme.

A quoi il faudra bien évidemment un coup d'arrêt venant du Ciel le plus haut.

L'histoire nous rapporte que ce genre de coups d'arrêt venant du Ciel est déjà apparu dans des proportions significatives : le déluge du temps de Noé - la confusion du langage humain lors de la construction de la Tour de Babel - la destruction de villes entièrement soumises à des démons comme étaient devenue Sodome et Gomorrhe - l'engloutissement de toute l'armée du Pharaon qui voulut se lancer à la poursuite des hébreux sortis libres de l’Égypte antique sous la conduite de Moïse.

Que le parlement européen à Strasbourg ait la forme d'une tour inachevée (qui reprend une peinture ancienne figurant la Tour de Babel) ne vous parle-t-il pas sur la prétention - réitérée - des hommes associés au monde occulte face à un ancien jugement de Dieu (qui a fait la confusion et multiplication des langues dans le monde) dont on veut se libérer par notre propre capacité !?

... et à des degrés moindres, Dieu n'a jamais cessé de (faire) stopper des iniquités devenues criantes, ou dès lors que des malheureux crient en faisant entendre leur détresse jusqu'au Ciel. (lire le psaume 107 par ex.)

Un futur fantastique s'en vient

On a du déjà comprendre que les lendemains qui auraient du chanter ne sont toujours à portée ni de nos bonnes idées, ni de notre coeur, ni de nos rêves, ni de notre porte-feuilles... Car on sait casser mieux que construire ! Plus on s'éloigne des ordres basiques divins, plus on s'enfoncent dans les divisions et marasmes.

Mais pour demain - très bientôt - sont aussi annoncés des temps prodigieux... pour qui a décidé de suivre Jésus. Une (première) résurrection d'entre les morts pour eux, et en même temps un enlèvement céleste fabuleux pour ceux qui vivent sur terre quand cela arrive.

Sortie des tombeaux (oui oui, aussi surprenant qu'il y parait et que ce sera) et retrait de ce monde (devenant trop corrompu et méchant et pervers) des chrétiens vivants informés et préparés à cet événemen : les uns comme les autres rejoignant leur Sauveur dans les airs. (voir Matthieu chap. 25 ; 1Thessaloniciens chap. 4, vers. 13-17 ; 1Corinthiens chap. 15).
C'est aussi cela le vrai Dieu auquel nous pouvons croire !

Pas besoin d'inventer de la science-fiction ou des émissions ou séries TV pour avoir des sensations authentiques !
La suite de l'histoire humaine n'a pas fini de nous paraître étrange, surréaliste, irréaliste, sidérante, prodigieuse, inouPie...
Les années 2020 ne vont pas manquer de piment, et "le sel de la terre" que sont les chrétiens, laisseront la place à la moutarde qui monte au nez ou au poivre noir ou au vinaigre millésimé !... Et ça vient très vite.

Les choses sont déjà en crises, en souffrances accrues, psychologiques surtout, en perte de sens, insécurisées déjà... aussi afin qu'on se réveille de notre somnambulisme et qu'on croit et cherche la vérité sur Dieu et sur notre réalité (passagère et en danger d'extermination) MAINTENANT !

Avec Dieu, chaque jour est encore pour nous "un aujourd'hui divin", où le mal peut être changé en bien, oùil peut se manifester de manière gracieuse d'une manière ou d'une autre ! Si vous le cherchez de tout votre cœur, il n'est pas loin de vous...
Sinon, quand le temps de la grâce sera clos, le mal et les maux, les souffrances, n'auront plus une capacité aussi ouverte pour qu'en sorte du bien, pour que nous puissions recevoir l'Esprit de Dieu qui est la vie éternelle.  

"et en même temps..." comme dit quelqu'un

Il y a donc bien mieux à faire qu'à jouir (si on y arrive encore !) et à souffrir (sans comprendre, ce qui est de plus en plus) sous les auspices de la permissivité divine !
Il ne faut surtout pas croire que les horreurs de 39-45 et de la Shoah ne seront plus jamais !
Il ne suffit pas de dire "Plus jamais ça" ! Ou "C'est insupportable !", pour que cessent les plus sombres déploiements du mal. Il ne suffit pas de se divertir pour fuir le réel, de se clore dans le déni du Réel, pour bien s'en sortir !

Quand on sent que ça va mal, on peut avoir des réactions extrêmes, très différentes mais génériques. Comme se suicider ou chercher du plaisir à tout va ; différentes trouvailles pour partir dans l'inconscience face au réel immédiat ; surtout sans la moindre conscience que de l'autre côté, au bout du déni qui conduit à une mort certaine, la vie se continue, l'âme ne meurt pas, c'est-à-dire qu'on continue à vivre notre dimension psychique, désincarnée mais de manière très lucide, en rapport de nos options de libertés terrestres.

Ce qui fait postérieurement ce qu'on appelle de manière générique paradis ou enfer. Plus précisément ré-union en Dieu, ou descente au séjour des morts (l'hadès grec tenu par des démons)...

Ainsi le vrai enfer et le vrai paradis n'existent pas ici-bas. On en trouve cependant des images très significatives, suggestives, sensibles, les unes pour nous attirer au réel du Royaume de Dieu à venir, les autres pour nous effrayer afin de nous détourner des voies malsaines qui y conduisent.

C'est là que doit intervenir la foi.
Car elle permet de croire et/ou d'expérimenter que Dieu existe réellement, qu'on peut en connaître les caractéristiques, les plans et les pensées. Et encore qu'on peut vivre déjà maintenant par le don de son Esprit des expériences d'une relation restaurée, vivante, dynamisante, surnaturellement apaisée et aimante avec lui, en sa divine tri-unité.
Des expériences d'un secours certain, d'un enseignement réellement parlant (parce que véridique), de réponses (souvent inattendues mais toujours opportunes, même quand elles sont silence - épreuve de la foi).

Tout un relationnel vivant dès lors qu'on est vivifiés par l'Esprit reçu et rapprochés sans obstacles entre lui-nous et l'Esprit-Dieu.
Relationnel pour des échanges dans l'éducation (une nouvelle éducation) et dans l'amour (maîtrisé, contrôlé, soutenu), dans les découvertes (de soi et de Lui, et du surnaturel démonisé), dans notre transformation chrysalidique...
Toutes choses qui vont bien au delà de nos mérites et de nos capacités (à bien faire et à mal faire), de ce qu'on comprend du Réel et de nos limitations à le dépasser (comme on fait voler un avion malgré la contrainte naturelle de la gravité).

Jésus dit "Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ;32 vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira... Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres. " Évangile selon Jean, ch. 8.

L'apôtre Paul explique "Ce sont des choses que l'oeil n'a point vues, que l'oreille n'a point entendues, et qui ne sont point montées au coeur de l'homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l'aiment. 10 Dieu nous les a révélées par l'Esprit. Car l'Esprit sonde tout, même les profondeurs de Dieu. 11 Lequel des hommes, en effet, connaît les choses de l'homme, si ce n'est l'esprit de l'homme qui est en lui ? De même, personne ne connaît les choses de Dieu, si ce n'est l'Esprit de Dieu. 12 Or nous, nous n'avons pas reçu l'esprit du monde, mais l'Esprit qui vient de Dieu, afin que nous connaissions les choses que Dieu nous a données par sa grâce. 13 Et nous en parlons, non avec des discours qu'enseigne la sagesse humaine, mais avec ceux qu'enseigne l'Esprit, employant un langage spirituel pour les choses spirituelles.
14 Mais l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge. 15 L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n'est lui-même jugé par personne." 1Corinthiens ch. 2

"Or, le Seigneur c'est l'Esprit ; et là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté. "

Avez-vous reçu l'Esprit de Dieu pour le connaître et être sauvé-e dès ici-bas et éternellement ?
Surtout ne restez pas dans la position inconfortable qui consiste à avoir hérité (ou même choisi) une religion (quelconque) car aucune religion ne peut sauver personne.
Car aucune n'a de force en elle-même pour rendre libre du péché, pour faire sortir quiconque de l'aliénation psycho-génétiquement héritée d'Adam.
Personne que Dieu pour, ultérieurement, bientôt, nous ressusciter d'entre les morts ou nous soustraire surnaturellement hors des tribulations virulentes qui s'approchent d'un monde sans désir de Dieu, et de plus en plus sans frein.

Bonne suite, au plus vite dans la grâce du Dieu vivant. Qu'il vous bénisse en cet instant.

 

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14 septembre 2019 6 14 /09 /septembre /2019 09:48

Lien vers un article que je vous invite à découvrir (avant d'en lire ci-dessous mon commentaire) > C’est bon pour la morale, c’est bon, bon

Commentaire :
"
Vue lucide qui devrait la rendre ou la donner à plusieurs. Car c'est un fond de la connaissance de soi que :

1/ ce qu'on reproche aux autres, c'est le plus souvent notre propre problème. Fondement > La Bible, Nouveau Testament, lettre aux Romains (que nous sommes tous !?) ch. 2, vers. 1.

2/ La Loi (ou religion) est "un ministère de mort" (dans la même section du même livre, 2e lettre aux Corinthiens (nous en sommes tous !?) vers. 6 à 9, "un ministre de condamnation". Si l'humanité comprenait ce passage, la face de la terre en serait changée !

3/ autre expression biblique de cette loi fondamentale (universelle, élémentaire, de notre psychologie) : "la Loi (ou religion) produit (ou provoque) la colère" (lettre aux romains que nous... chap. 4, vers. 15).

Ce que les faits prouvent absolument.

Par Loi il faut comprendre TOUTES lois dans ce qu'elles ont d'ordre MORAL, qu'il s'agisse de ce qu'on appelle religion, ou de ce qu'on appelle laïcité (D'ailleurs le "philosophe" Peillon a nettement vu la laïcité comme une religion en devenir...).

La clé donc face à toute loi qui est ou qui se veut morale, se trouve dans la compréhension de : Pourquoi Dieu permet des système religieux (religieux ou athée) ?

La lettre le dit aux Romains qui veulent savoir (ch. 5, v. 20) : "La loi est intervenue pour que l'offense abondât..."
Pourquoi ?

Pour que, notre conscience perso étant endormie ou séquestrée (par exemple par e conditionnement sociétal qui nous a construits), une loi écrite, lisible, extérieure à nous, vienne nous montrer que plus on veut être et se conduire en être moral, plus ce qui est tapi au fond de notre cœur (que la Bible appelle "la loi du péché") monte à la surface, afin que nous ne nous leurrions pas sur nous-même !

Et tout ça est bon... si on est intègre de cœur, désireux de se voir tel qu'on est véritablement. Sinon, on sait (normalement) ce que Jésus a dit les religieux...

Mais pour les intègres qui veulent en sortir, l'apôtre Paul (un religieux passé à la Grâce de Dieu) a observé, analysé et écrit le descriptif magnifique (communiqué aux Romains, ch. 7, vers. 14 à 25) :

"Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair : j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ;mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?...
Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur !...
Ainsi donc, moi-même, je suis par l'entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché.".

Voilà tout le sens de la religion, de notre condition problématique dominé par les forces obscures qui nous habitent (d'autant on n'a pas ou plus de fondement du bien en nous), et de la Bonne nouvelle de la Grâce qu'apporte Jésus à quiconque aspire à (re)trouver son identité véritable, primordiale, de créature de Dieu.

Bref un article que j'apprécie au point de le mettre en lien sur mon blog... avec ma réponse. Merci Franck C."

Cher lecteur, lectrice, soyez béni-e.

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11 septembre 2019 3 11 /09 /septembre /2019 19:38

Présent et avenir : Savoir ce qui peut être su d'essentiel

> Problèmes et solution <

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7 septembre 2019 6 07 /09 /septembre /2019 20:34

Pour croire en Dieu en Occident, il faut se secouer du conditionnement matérialiste dans lequel on baigne de la maternelle à l'université... et de là le restant de notre existence appauvrie par cette réduction du Réel.

Conditionnement parce que naturellement on ingurgite ce qu'on nous dit, sans avoir la capacité ou la curiosité de vérifier si c'est vrai ou erreur. On peut ainsi avaler des couleuvres. Ou comme dit le poète
"Mon âme est malade,
Elle a mangé trop de salades."

Et donc on ne reçoit la plupart du temps pas pour fondement d'existence que Dieu existe et qu'il nous aime. On peut même se moquer des croyants (rétrogrades, réactionnaires, ennemis du progrès...) jusqu'à l'article de la mort, et partir dans les immensités de l'au-delà sans la moindre idée de ce qu'il en est ou de ce qu'on peut en connaître.

Cependant oui, Dieu nous aime, car l'amour est sa nature même. Il ne peut s'arrêter d'aimer !
C'est en ce sens que Jésus dit un jour que "Dieu fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes."

Mais que sentez-vous, goûtez-vous, expérimentez-vous en conscience de cet amour ? Peut-être RIEN !

DEUX MANIERES DONT DIEU NOUS AIME

Il n'y a pas longtemps, ce Dieu magnifique dans sa relation possible avec nous m'a dit de quelles manières il nous aime : 

Je vous aime avec bonheur, sinon je vous aime avec souffrance.

Il nous aime avec bonheur quand on est entré dans une relation vivante, d'esprit à Esprit , avec lui, et qu'on s'attache à marcher à la suite de Jésus comme font des disciples.
Rien de religieux là-dedans, mais c'est vivre son quotidien avec le sérieux d'une relation qu'on respecte... comme il en est - ou devrait en être - dans un mariage.

Sinon Dieu nous aime avec souffrance.
En souffrant de nous voir prendre de mauvaises routes, scabreuses, dangereuses, illusoires, insatisfaisantes, qui nous enferment dans le mal-vivre, dans des malaises, de mauvaises perceptions, des liens problématiques, dans la mort spirituelle.
Des conduites qui peuvent nous conduire dans des espaces où fraient (en plus de personnes maléfiques, toxiques) les mauvais esprits ou des démons, et prématurément jusqu'à une porte de la mort physique.

DIEU SOUFFRE

Dieu souffre de voir ce gâchis de nos vies, ce gâchis du beau projet de bonheur qu'il avait conçu pour chacun de nous, et dont on ne se soucie pas, qu'on ignore sans chercher prioritairement de solutions de son côté - because le conditionnement laïco-athée...
Or "je connais les projets que j'ai formés sur vous, dit l'Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance."

Souffrance semblable à celle d'un père, d'une mère, qui voit ses enfants  commencer à avoir de mauvaises relations, et progressivement s'enfoncer dans la marginalité où dominent la drogue ou l'alcool, les mauvaises fêtes, la fornication et autres comportements qui méprisent le corps et détruisent les âmes.

C'est qu'on a été créés libres - pour de vrai ! - et Dieu, s'il met sur nos mauvaises voies des obstacles, des signes, des alertes pour nous détourner, ne peut bientôt que nous laisser aller au bout de nos égarements, le coeur lourd et attendant qu'on en puisse plus. Qu'on arrête de rebondir d'une mauvaise expérience à une autre, de dix projets échoués à un onzième...

C'est que tout ce qui nous attire hors du bien selon Dieu est parsemé de souffrances - qui en général vont croissantes. Et Dieu souffre avec nous dans le secret comme le père de la parabole qui attend le retour à la maison de son fils parti dissiper toutes ses forces dans des libertés qu'il croyait être LA liberté.
Mais elles n'étaient que des leurres, des pièges, des chimères, des chemins ayant pour seule issue le mal qui s'accroit et les souffrances qui sont, tels des jugements, "le retour sur comportement". (la parabole de ce fils).

Dieu nous suit et compatît à ce que nous nous imposons de vivre, perdant d'autant plus notre liberté que nous en prenons.

La preuve de son intérêt et compassion pour nous est qu'il s'est fait homme pour prendre sur lui, à notre place, la somme de toutes ces souffrances liées à nos vies brimées ou débridées véçues loin de lui et de ce qu'est le Bien, le Beau, le Bon, le Juste, selon lui.

Tel est le sens de la mort en croix de Jésus, les membres et la tête percés de clous et d'épines, le dos labouré par 39 coups de fouet terribles, immobilisé, paralysé, ankylosé, le souffle coupé, pendant des heures dans un supplice inimaginable...
Voilà jusqu'où Dieu nous a aimés avec souffrance : "Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation.19 Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."

Croyez et vous vivrez de la vie véritable. D'une vie de résurrection qui peut se recevoir déjà de ce côté-ci du Réel, s'expérimenter dans l'amour de Dieu nous aimant... avec bonheur.

Soyez béni-e.

Ici > guide pour une prière qui vous réconcilie avec Dieu maintenant et pour l'éternité.

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16 août 2019 5 16 /08 /août /2019 13:25

"Gardez-vous des idoles !"
Ainsi l'apôtre Jean termine-t-il sa (1ère) lettre (chap. 5, vers. 21). Comme s'il craignait - comme si Dieu savait - que l'idolâtrie est et reste toujours pour les croyants un risque majeur.

D'où cette exhortation particulière :

Notre-Dame est tombée !
La croix demeure, débout, où regarder.

Résister
Revenir au Dieu qui donne la vie.

"Comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle." Jean chap. 3.
Origine de cette image (1400 ans plus tôt) :
"Le peuple s'impatienta en route, et parla contre Dieu et contre Moïse : Pourquoi
nous avez-vous fait monter hors d'Égypte, pour que nous mourions dans le désert ? car il n'y a point de pain, et il n'y a point d'eau, et notre âme est dégoûtée de cette misérable nourriture. Alors l'Éternel envoya contre le peuple des serpents brûlants ; ils mordirent lepeuple, et il mourut beaucoup de gens en Israël. Le peuple vint à Moïse, et dit : Nous avons péché, car nous avons parlé contre l'Éternel et contre toi. Prie l'Éternel, afin qu'il éloigne de nous ces serpents. Moïse pria pour le peuple. L'Éternel dit à Moïse : Fais-toi un serpent brûlant, et place-le sur une perche ; quiconque aura été mordu, et le regardera, conservera la vie. Moïse fit un serpent d'airain, et le plaça sur une perche ; et quiconque avait étémordu par un serpent, et regardait le serpent d'airain, conservait la vie." (livre des Nombres ch. 21).

Sur la croix, crucifié, réduit au rang de malfaiteur - de pécheur -, Jésus ressemble à ce qu'est le péché : "Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation... : Soyez réconciliés avec Dieu ! Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu." (2Corinthiens 5).

Dieu le Père a fait de Jésus le mal incarné, péché absolu afin que nous devenions juste pour revenir à Dieu.
> devenir (grec ginomai) : venir dans l'existence, commencer à être. Revenir au passé, arriver pour des événements, provenir de, apparaître dans l'histoire d'un homme apparaissant en public, être fait, terminé.

> afin que (grec hina) : pour, dans le but, pour un objectif, une raison, une finalité, en vue de...

"La lumière (Jésus, Parole de Dieu faite chair) est venue chez les siens, et les siens ne l'ont point reçue. Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir (ginomai) enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu."(Jean ch. 1)

> pouvoir (exousia) : pouvoir de choisir, liberté de faire ce qui plaît, capacité ou force dont chacun dispose, qu'il possède ou exerce, pouvoir des décisions judiciaires.

RECEVEZ donc, lecteur, lectrice, attirés là par l'action rédemptrice de l'Esprit-Saint, la liberté, le pouvoir de venir à l'existence comme enfant de Dieu. D'enfant de ce monde de ténèbre, né-e de la volonté humaine ou des ardeurs de la chair, naissez maintenant en croyant, en regardant Jésus donnant sa vie pour vous sur cette croix de tous les supplices.
Naissez à une autre vie, par la vie éternelle de
Dieu.

"Jésus répondit (à Nicodème, chef religieux croyant mais encore mort dans ses offenses): En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. Nicodème lui dit : Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère et naître ? Jésus répondit: En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l'Esprit est Esprit. Ne t'étonne pas que je t'aie dit : Il faut que vous naissiez de nouveau. Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit ; mais tu ne sais d'où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l'Esprit (sous-entendu il se met à être conduit par l'Esprit de Dieu). Nicodème lui dit : Comment cela peut-il se faire ?" (Jean ch. 3)

> "Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, pour signe du pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit (qui est la vie éternelle). Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. Et, par plusieurs autres paroles, il les conjurait et les exhortait, disant : Sauvez-vous de cette génération perverse." (Actes des apôtres ch. 2)
> se repentir (metanoeo) : changer son esprit (pour mieux), changer d'avis, de voie, de direction, regretter, s'amender (modification en vue d'amélioration) de bon cœur avec une aversion extrême pour ses péchés (fautes, offenses, tout mal) passés.

Tels sont le moyen et l'offre de salut gratuit de Dieu.
Qui a payé le prix ? C'est Jésus, par sa mort.
"Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur." (Romains ch. 6).

Prophétie d’Ésaïe ch. 52 et 53, dans l'Ancien Testament (le Tanakh des juifs), prononcée 700 ans avant la crucifixion de Jésus :
"Voici, mon serviteur prospérera ; Il montera, il s'élèvera, il s'élèvera bien haut. De même qu'il a été pour plusieurs un sujet d'effroi, -Tant son visage était défiguré, Tant son aspect différait de celui des fils de l'homme, - De même il sera pour beaucoup de peuples un sujet de joie ; Devant lui des rois fermeront la bouche ; Car ils verront ce qui ne leur avait point été raconté, Ils apprendront ce qu'ils n'avaient point entendu.

Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de l'Éternel ?2 Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée ; Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n'avait rien pour nous plaire.3 Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas.4 Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié.5 Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.6 Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie ; Et l'Éternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous.7 Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent ; Il n'a point ouvert la bouche.8 Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment ; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu'il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple ?9 On a mis son sépulcre parmi les méchants, Son tombeau avec le riche, Quoiqu'il n'eût point commis de violence Et qu'il n'y eût point de fraude dans sa bouche.10 Il a plu à l'Éternel de le briser par la souffrance... Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, Il verra une postérité et prolongera ses jours ; Et l'oeuvre de l'Éternel prospérera entre ses mains.11 A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards ; Par sa connaissance mon serviteur juste justifiera beaucoup d'hommes, Et il se chargera de leurs iniquités.12 C'est pourquoi je lui donnerai sa part avec les grands ; Il partagera le butin avec les puissants, Parce qu'il s'est livré lui-même à la mort, Et qu'il a été mis au nombre des malfaiteurs, Parce qu'il a porté les péchés de beaucoup d'hommes, Et qu'il a intercédé pour les coupables."

 

Qui intercède pour nous ? Jésus !
N'est-il pas suffisant ? Pas assez fort ou compatissant ? Pas assez aimé du Père ?
La Bible ne nous parle de personne d'autre qui, dans et du haut du Royaume céleste de Dieu, prie pour nous. C'est ainsi !

Jésus a dit : "Maintenant a lieu le jugement de ce monde ; maintenant le prince de ce monde sera jeté dehors.Et moi, quand j'aurai été élevé de la terre, j'attirerai tous les hommes à moi.." (Jean ch. 12). N'en est-il pas capable ?...


Cessez donc l'idolâtrie ! Ne laissez rien d'autre se mettre entre le Dieu Père et vous, que Jésus. Tout le reste est idolâtrie qui ferme le ciel ! Qui attire les démons et pose un jugement pesant, une condamnation sur quiconque se comporte ainsi.

 

"Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus Christ homme,6 qui s'est donné lui-même en rançon pour tous." (1Timothée ch. 2).

 

Dieu est-il menteur ? La Parole de Dieu ment-elle ? La Bible est-elle mensongère, moins vraie que les dires de quelqu'homme (ou femme) que ce soit ? Peut-on en contredire ses versets et son sens, et prétendre être (encore) dans la vérité ?Jésus ment-il ?
"Thomas dit à Jésus : Seigneur, nous ne savons où tu vas ; comment pouvons-nous en savoir le chemin ?6 Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi."
LE chemin - QUE par moi.


Alors abandonnez vos idoles, votre idole ! tout ce que vous pouvez mettre entre Dieu et vous. La Bible affirme que Satan lui-même peut se déguiser en ange de lumière (2Corinthiens 11.14). Il peut se présenter comme ce qu'il n'est pas, défunt masculin ou féminin, Napoléon ou Vierge Marie, pour lui pas de problème !


"Lorsque tu seras entré dans le pays que l'Éternel, ton Dieu, te donne, tu n'apprendras point à imiter les abominations de ces nations-là.10 Qu'on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d'astrologue, d'augure, de magicien,11 d'enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts.12 Car quiconque fait ces choses est en abomination à l'Éternel ; et c'est à cause de ces abominations que l'Éternel, ton Dieu, va chasser ces nations devant toi.13 Tu seras entièrement à l'Éternel, ton Dieu.14 Car ces nations que tu chasseras écoutent les astrologues et les devins ; mais à toi, l'Éternel, ton Dieu, ne le permet pas." (Deutéronome ch. 18)

 

"Celui qui vaincra héritera ces choses (le Paradis qui vient) ; je serai son Dieu, et il sera mon fils.8 Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort." (Apocalypse ch. 21)

 

"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises.20 Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées ;21 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont en accord avec Dieu." (Jean ch. 3)

 

Alors CROYEZ EN DIEU ET CROYEZ EN JÉSUS, et (RE)VIVEZ !

 

"Jésus leva les yeux au ciel, et dit : Père, l'heure est venue ! Glorifie ton Fils, afin que ton Fils te glorifie,2 selon que tu lui as donné pouvoir sur toute chair, afin qu'il accorde la vie éternelle à tous ceux que tu lui as donnés.3 Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ." Jean ch. 17

 

"Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu.9 Ce n'est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie.10 Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus Christ pour de bonnes oeuvres, que Dieu a préparées d'avance, afin que nous les pratiquions." (Éphésiens ch. 2)

 

Comprenez catholiques, réformés et incrédules que Dieu aime - comme vous ne le soupçonnez pas -, que Dieu attire - par d'invisibles cordages d'amour -, païens, paillards, athées, agnostiques, incrédules, religieux, idolâtres de toutes sortes, membres à naître et éclopés du Corps spirituel du Seigneur Jésus  !
Il veut vous séparer du péché, du mal - qu'il abhorre. Potentialité absolue à saisir par notre foi.

Fuyez l'idolâtrie qui emmielle votre foi ! Fuyez les faux dieux de ce monde en perdition ! Cessez de vous donner des protections qui vous attirent des problèmes ! Cessez de vous donner des béquilles qui ne vous aideront jamais à marcher de manière spirituelle, de manière à plaire à Dieu, de manière à être sauvé des tourments psychiques de l'après-mort loin de Dieu l
Veillez à ne rien élever au-dessus de vous, à tort à un rang injuste entre Dieu et nous.

Invitez Jésus à régner comme Christ (envoyé et Seigneur) en vous.
Il est mort et ressuscité et glorifié et il intercède pour vous en ce sens et en ce moment.
Que sa bénédiction franchisse les mauvaises murailles qui nous/vous trompent et nous/vous accaparent, afin que nous connaissions ensemble Dieu comme il veut que nous le connaissions - "en esprit et en vérité".

Guide de prière pour se réconcilier avec lui.

 

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13 août 2019 2 13 /08 /août /2019 06:11

On peut vivre longtemps sans une connaissance qui permette une véritable relation avec Dieu.

Ce matin j'ai eu une image:
Notre existence sans (le seul vrai) Dieu, c'est comme une machine à écrire du siècle dernier - que ce soit la machine dont les bras se lèvent pour frapper les lettres sur le papier (via un ruban) ou une machine électrique à boules.
Alors que l'Existence avec Dieu, c'est comme un ordinateur.

La différence est assez énorme !
C'est en ce sens que l’Évangile nous dit que si nous sommes réellement réconciliés et en paix avec Dieu, nous sommes devenus une "nouvelle créature", une nouvelle "création" de Dieu.
Cela ne vient pas de nous, mais de Dieu, qui a le POUVOIR de faire d'une machine à écrire ancienne un ordinateur plein de capacités nouvelles.

"Voici donc ce que je dis et ce que je déclare dans le Seigneur, c'est que vous ne devez plus marcher comme les païens, qui marchent selon la vanité de leurs pensées. Ils ont l'intelligence obscurcie, ils sont étrangers à la vie de Dieu, à cause de l'ignorance qui est en eux, à cause de l'endurcissement de leur cœur. Ayant perdu tout sentiment, ils se sont livrés à la dissolution, pour commettre toute espèce d'impureté jointe à la cupidité. Mais vous, ce n'est pas ainsi que vous avez appris Christ, si du moins vous l'avez entendu, et si, conformément à la vérité qui est en Jésus, c'est en lui que vous avez été instruits à vous dépouiller, par rapport à votre vie passée, du vieil homme qui se corrompt par les convoitises trompeuses, à être renouvelés dans l'esprit de votre intelligence, et à revêtir l'homme nouveau, créé selon Dieu dans une justice et une sainteté que produit la vérité. C'est pourquoi, renoncez au mensonge, et que chacun de vous parle selon la vérité à son prochain ; car nous sommes membres les uns des autres.."

Vous POUVEZ par de telles paroles de la "nouvelle alliance" (conçue, accomplie et offerte par Dieu), comprendre qu'avec Jésus il n'est plus question que la religion soit le moyen qui permette d'entrer en contact avec Dieu - aucune religion ne le permet jamais à cause de notre cœur abîmé, mauvais, impur... -, mais il est question d'être transformé par Dieu - comme d'une chenille il a prévu de pouvoir faire un papillon.

Alors le POUVOIR est à DIEU !?
Bien évidemment, ne serait-ce que par la mort qui est toujours là pour nous convaincre de nos propres limites.

Mais aussi le VOULOIR de notre part, si nous désirons accéder au meilleur pour lequel nous avons été conçus et créés originellement et engendrés un jour.

De la sorte, si nous VOULONS pour nous (par la foi) le bénéfice de la valeur du sacrifice de Jésus - qui est Parole de Dieu incarnée pour nous obtenir auprès de Dieu son Père par sa mort le pardon de nos péchés -, celui-ci va nous donner de son POUVOIR: celui de DEVENIR un enfant adopté, adoptif de Dieu. (lire ou écouter Évangile selon Jean, chap. 1, versets 12 et 13).

Le Dieu créateur des cieux et de la terre le VEUT et le PEUT ! 
De vous - de notre réponse à chacun - dépend que vous soyez pardonné-e (ou pas) de toutes vos fautes, que vous deveniez (ou pas) fils/fille pour son Royaume éternel (qui est et qui vient).

"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises.20 Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées ;21 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites en conformité avec Dieu."

Bonne réponse (si elle n'a jamais été faite), bonne journée et suite de vie...

Aide à la prière ici si vous désirez vous mettre en règle avec Dieu et devenir son enfant racheté-e du mal.

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15 juillet 2019 1 15 /07 /juillet /2019 08:06

Pour être heureux on n'a pas besoin de tout ce qu'on a, et encore moins de tout ce qu'on voudrait encore avoir.
On n'a pas besoin non plus de vivre caché (quoique que le retrait soit préférable à trop se montrer)...

 

SAVOIR N'EST PAS CONNAÎTRE
On peut accumuler du savoir, des savoirs, sans avoir l'intelligence de connaître comme il faut connaître. C'est-à-dire sans avoir le bon ou le meilleur rapport à ce qu'on a appris, à ce qui est.

 

C'est en ce sens que Montaigne, mûri par sa découverte de l’Évangile et devenu de débauché un vrai chrétien (non religieux), écrit qu'il est plus important de former chez les élèves "des têtes bien faites plutôt que des têtes bien pleines".

 

Ainsi on peut savoir plein de choses - comme avoir plein de choses -, et ne pas obtenir le gain que devrait procurer une vraie connaissance - ou une juste propriété -, c'est-à-dire le plaisir du connaître, la compréhension véritable, le sens des réalités selon leurs justes relations.

 

Ainsi des enfants gavés de "culture" (savoirs académiques trop tôt amenés, sans préparation suffisante à l'éveil (curiosité) personnel), comme on engrais-se des oies ou une terre épuisée, ne peuvent trouver ni intérêt, ni enthousiasme, ni émerveillement dans le savoir, alors que ce serait possible.
De fait on les alourdit là où il devrait être question de les dégager de l'aliénation générationnelle (adamique)

 

TROUVER LA TROISIÈME VOIE
Le merveilleux est recouvert par la poussière des habitudes et des routines, la pesanteur envahit les âmes qui n'ont plus pour s'en sortir que des fuites dans des pensées de suicide, des distractions source d'une addiction ou d'une autre... ou, par la grâce de Dieu, de trouver en Jésus la seule porte de la véritable liberté.

Il s'agit du retour ou de l'entrée dans le sens par la connaissance, par la vérité de notre condition empreinte de misère et d'insuffisances et conjointement la connaissance de la manière merveilleuse dont Jésus a donné sa vie pour nous sortir de cette galère dont l’aboutissement n'est que la mort.  Entre deux, la place responsable de notre foi...

 

LA BIBLE, SOURCE INTARISSABLE DU SAVOIR ET DE LA CONNAISSANCE
En réalité le mot connaître contient un sens de partage harmonieux entre ce qu'on considère et ce que nous sommes. C'est ainsi que la Bible emploie le verbe connaître s'agissant de la relation intime entre Adam et Eve : Connaître donne de la vie !

En 1Corinthiens 8:2 on peut lire : "Si quelqu’un croit savoir quelque chose, il n’a pas encore connu comme il faut connaître."

 

En Éphésiens 1:9, l'écrivain dit agir pour faire "connaître le mystère de la volonté de Dieu*, selon le bienveillant dessein qu’il avait formé en lui-même, et connaître l’amour de Christ, qui surpasse toute connaissance".

 

Projet ambitieux - déraisonnable !? - de Dieu, qui vise à faire de nous (hommes et femmes qui nous soucions bien peu et de lui et de notre âme), des "petits Christ" : C'est ainsi que les habitants anciens d'Antioche donnèrent aux premiers disciples de Jésus ce nom qui est devenu "chrétien".

 

AVOIR INTIMITÉ AVEC DIEU
Et en Philippiens 3:10, il est dit que l’Évangile (cette Bonne Nouvelle qu'on peut DÉJÀ, dès ici-bas, entrer dans une vraie relation avec le Dieu qui a créé les cieux et la terre) est annoncé "afin de connaître Christ, et la puissance de sa résurrection..."


Nous y voilà donc, dans cette connaissance de Dieu qui est intimité (amoureuse, comme sexuelle) avec lui, où Jésus-Christ vient jusqu'à se donner en nous par son Esprit qui est vie éternelle : Car Dieu a tant aimé le genre humain qu'il a livré à la mort Jésus son fils sans pareil, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas dans le feu et le soufre de l'étang du jugement dernier (l'enfer), mais qu'il ait la vie éternelle de Dieu unie à lui/elle (à l'âme que nous sommes essentiellement) afin de vivre son éternité bienheureuse exempte de tout mal (le Paradis).
Et en attendant, et en croyant, le présent devient déjà une mine de découvertes toutes nouvelles - du Réel tel qu'il est, de Dieu et de nous-même - et encore un chantier de construction de notre personnalité la plus véritable, dont les potentialités peuvent au mieux se libérer. ..

 

Ainsi nous appartient-il à chacun-e de choisir dès maintenant quelle destinée nous allons nous accorder à nous-même, selon qu'on voudra croire ou pas dans les termes de l'accord (l'alliance) que Dieu nous tend de son Ciel infini et du haut de la croix.

 

Et avec une multitude de chrétiens authentiques disséminés par toute la terre, je peux dire "Et nous, nous avons connu l'amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour ; et celui qui demeure dans l'amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui."

 

Bonne quête de vie. Bon choix. Bonne suite...

 

un chant ou un autre

 

(guide de prière pour vous rapprocher ou réconcilier avec Dieu).

 

________________________________
* mystère qui est de nous sauver de la perdition éternelle de notre âme et nous aider déjà maintenant à mieux vivre cette existence en recevant l'Esprit de Dieu en nous. Tel est le coeur de l’Évangile, qui n'apporta pas une ou des religions (de plus) mais la clé de notre relation perdue avec le Créateur.

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14 juillet 2019 7 14 /07 /juillet /2019 08:04

La connaissance doit - devrait ! - porter à l'émerveillement.

Et si vous alliez à Mulhouse suivre une retransmission en direct basée sur la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ !?

C'est par ici que La Porte (est) Ouverte...

Soyez béni-e

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12 juillet 2019 5 12 /07 /juillet /2019 18:42

Aussi préfiguratif, deux ans avant la 1ère guerre mondiale.

L'état d'entropie (déstructuration, décomposition, mutation incontrôlée) croissante des sociétés et relations humaines, ne doit pas nous empêcher, pour le temps qu'il nous reste à vivre dans ce monde, de mettre nos mains à la pâte de sa finalité.

Il s'agit au final de parvenir à une conscience du Réel élargie, qui va de la conscience basique initiale de soi à celle du non-soi, savoir celle des autres, de nos environnements et essentiellement de Dieu - le vrai ! qui est à la fois Créateur et Rédempteur. 

Voici encore écho de sa voix attentive aux perdus cosmiques et spirituels et aliénés psychiques que nous sommes tous par condition naturelle (générique et ajouts personnels).

PENSÉE DIVINE GÉNÉRALE

Dans sa première partie (Ancien Testament ou Tanakh initialement destiné au peuple juif), la Bible rapporte et indique à quiconque (peuples de tous les temps et individus) ce qu'il faudrait faire - et comment cela n'est pas fait  !- pour parvenir à entrer dans une relation rétablie et durable (qu'on a tous perdue) avec Dieu. 
On parle ici de la finalité recherchée par le Divin, de ré-unir en lui le genre humain par la voie système qu'on appelle religion.

L'histoire entière rapporte l'échec de ce moyen. Moyen cependant légitime de la part d'un Dieu saint, parfait en lui-même, voire agréable à pratiquer, mais surtout impuissant pour changer nos cœurs (notre nature adamique, malencontreusement marquée par une dynamique interne maléfique appelée "le mal" ou "le péché").

Dieu laissa en effet environ 15 siècles à la descendance d'Abraham,d' Isaac et de Jacob pour qu'elle tente de suivre cette Loi (ou Torah) et surtout - finalité de toute religion, que Dieu permet à cette fin - pour réaliser avec contrition, voire avec larmes, que cela n'est pas possible en l'état.
C'est à cette sincérité navrée et navrante que Dieu attend que tous croyants parviennent. Car ce n'est que de là qu'une solution victorieuse peut apparaître... de sa part. 

C'est ainsi que l'histoire de la terre n'est très largement qu'expressions lamentables (tragiques, conflictuelles, horribles, douloureuses, de cet état d'échec sans cesse réitéré de la part des générations d'Israël et plus largement des descendances d'Abra(ha)m et autres goïm (étrangers à cette descendance sémitique).

D'UN SYSTÈME À UNE PERSONNE

Et donc, parce que quand même un petit reste de juifs s'attendent (il y a un peu plus de 2  000 ans) à la venue de la solution divine - un "Schilo", un "mashiah (Messie) promis comme libérateur, Dieu après 400 ans de silence lance la seconde partie de son plan de rédemption : C'est l'apparition de la personne de Jésus.
En substance, désormais Dieu dit que l'approche de la divinité par quelques pratiques religieuses que ce soit - toujours marquées d'infidélité, d'hypocrisie, de stagnation, d'irritation ou de frustration) n'aura jamais lieu. Que les croyances et efforts religieux avérés impuissants doivent maintenant être changés en une foi tout autre, où l'on ne pas plus avoir à chercher à gravir la montagne (inviolable) de Dieu, mais simplement croire que quelqu'un - Jésus, le Messie juif, le Christ des nations) l'a gravie avec succès pour nous tous.
Cela s'appelle Évangile (du grec ancien evangelion qui signifie Bonne Nouvelle - Gospel en anglais), formant pour sa transmission la seconde partie de la Bible : le Nouveau Testament.

C'est ainsi que l'état du cœur des hommes, femmes et enfants commença à changer sous l'effet de la foi placée en Jésus comme Sauveur et libérateur du mal.
Malgré que des hommes trafiquèrent avec l’Évangile au point de créer des "religions chrétiennes" - un oxymore -, des nations entières se formèrent sur les fondements évangéliques, d'abord après la chute de l'Empire romain (IVe siècle), et plus tard par le renouveau que fut le réveil spirituel initié par le moine Martin Luther pour désenliser de la religiosité résurgente (au XVIe siècle). 

MAIS L'HUMAIN PEUT ENCORE ÊTRE RELIGIEUX ET TERRIBLE - USURPATEUR

C'est un des risques de la liberté dont Dieu nous apourvu.
Ainsi, dès le XVIIIe siècle quelques antireligieux (dont Voltaire n'est pas le moindre, non sans raison mais de bien mauvaise manière) entreprirent de jeter (dénoncer) les eaux sales, agitées et sanglantes ecclésiales... jusqu'à progressivement occulter parmi toute l'Europe la pensée de Dieu (dans la mesure où les trahisons des hommes l'obligent). 

D'où naquit l'humanisme, où l'on prend les valeurs, les bonnes choses, les bénédictions héritées issues de la foi des ancêtres, tout en ne voulant pas de Celui qui les dispensent...
Un ersatz, un placebo même, qui ne peut durer (tromper son monde sur la justesse de son point de vue) qu'un temps.

C'est ainsi que comme l'institution ecclésiale dominante (catholique) fut jugée pour ses déviances et intrigues de manière sévère à partir de 1789 (notamment par des expropriations massives de biens et autres assassinats de religieux), l'humanisme va être jugé à son tour.
(Mal) habité par un concept de laïcité tôt dévié du bien-fondé de son origine), l'humanisme va vite laisser voir le cœur de ses principaux leaders (agitateurs), se mutant en socialisme, une idéologie qui n'est pas étrangère à la pensée de Marx et Hegel fondée sur la lutte entre humains.  
La virulence de la doctrine éclate fin du XIXe et début du XXe siècle, avec un combat politique qui emporte la "séparation de l’Église et de l’État", une formule inappropriée (qui nomme Église ce qui n'en est pas la plus juste expression) qui n'est en fait que la prise du pouvoir politique français par des athées (ou athées et croyants affiliés à quelque secte occulte).

On est en 1905. Jean-Jaurès, passionné par la force que représente le pouvoir politique autant qu'il l'est au plus profond par sa foi vivante au Christ est amené à lâché cette dernière : l'amalgame n'est pas tenable, il apostasie... et il est assassiné (pour cette trahison spirituelle ? car comment vouloir la paix sans son divin Prince !?) et la France prise d'assaut par ceux qui veut son bonheur et des libertés sans le secours de Dieu est envahit : 1ère guerre qui devient "mondiale".

L'humanisme a été là une tentative d'impérialisme à partir du nationalisme (orgueilleux) allemand.
A quelque distance (géographique et temporelle) de là, en Russie Lénine s'empare de la même idéologie commençant son action marxiste révolutionnaire avec le Parti ouvrier social-démocrate.
Mais très vite, pour mieux soumettre les hommes, il faut les collectiviser de force, les tenir par la dépendance en l’État propriétaire de tout. Une expérience athée qui tourne à une nouvelle forme de l'esclavage, ou d'un totalitarisme progressivement terriblement meurtrier et horrible - démoniaque pour tout dire, comme c'est avec Hitler plus à l'Ouest...

XXe siècle, LE PLUS MEURTRIER DE TOUTE L'HISTOIRE

Faute de revenir à Dieu en tant que nation, en 1918 la France n'a que le temps de se donner une nouvelle jeunesse qui va devenir de "la chair à canon".
La liste des dizaines de millions de morts s'allongent.

Après 1945, le bilan d'une politique menée en laissant délibérément Dieu et la foi en retrait de nos affaires, n'ai pas mieux fait en matière de justice sociale que ce qui était reproché aux religieux tenant les rênes du pouvoir : désormais les morts se comptent par dizaines de millions !

Alors que les survivants de l'Europe disloquée cherchent des termes de paix - toujours sans revenir à Dieu, que pourtant ils ont ô combien invoqué au cours des hostilités ! -, en Chine l'humanisme collectiviste trouve en Mao Tsé-Toung un nouvel outil bien disposé pour imposer l'unité des hommes sans l'amour (de Christ) qui serait nécessaire, donc par les armes et toutes sortes de répression et de meurtres.

C'est que pas plus les valeurs chrétiennes qu'on veut appliquer humainement sans Christ, que les religions qui poursuivent le même but d'unir et de faire grandir une unité par une religion, n'ont de force pour le bien.

NOUVELLE STRATÉGIE... OU TRAGÉDIE ?

Ne faisons plus la guerre mais faisons l'amour, proposent - et s'illusionnent - les jeunesses occidentales qui fleurissent malgré tout des guerres.
Les années 60 avec le pic de Mai 68 sont ces nouvelles années folles qui avaient suivies l'armistice de 18.

Mais ce débridement des mœurs va s'avérait en moins de trois générations une véritable bombe à retardement... comme on a appris à en fabriquer, des nucléaires, par ailleurs.
Car les plaisirs immédiats obtenus par cette prétendue libération des corps (féminin surtout) vont faire apparaître de plus en plus de grossesses non désirées, toute une progéniture naturelle, adultérine, voire née d'inceste ou d'acte pédophile.

La science comme l'art et les réflexions philosophiques impies avancent sans frein, apportant effectivement au fils des ans un confort matériel heureux à surabondant ; le cubisme et autres arts abstraits et musiques déjantées jusqu'aux confessions des satanistes ; l'existentialisme qui confesse de son côté l'échec de la compréhension et ouvre la voie à la désespérance suicidaire ; la subjectivité va prendre le dessus à la place du sens : les opinions - même des enfants - sont érigés en vérités objectives.

Il résulte de toutes ces forces développées sans schéma directeur, dans la quête d'un développement de soi qu'on prend pour la désaliénation qui nous est nécessaire, des productions technologiques qui nous étouffent, des relations obligées de toutes sortes de plus en plus difficiles, éprouvantes, dégradées, conflictuelles. Et on n'est qu'au début de la fin...

On crée des concepts artificieux qui vont s'avérer dramatiques, toujours plus mortifères et meurtriers.
On confond progrès (calculés, mûris, bénéfiques) et progression (réactive, obstiné, aléatoire, où le changement importe plus que ce qui va effectivement en résulter (ce qu'on appelle progressisme).

Bref, on a construit un Titanic aquatique (1912), puis des Titanic sociétaux, "culturels", qu'on veut maintenant unifier par le calcul mental humain, toujours sans Dieu.
On navigue dans la nuit, dans l'éclairage - et moins encore - insuffisant des lumières du XVIIIe (siècle), et de très gros icebergs se promènent à la surface de notre monde, qui ne veulent certainement pas se dérouter pour laisser l'avantage à Lord Humanisme-social-capital, à Dame Républicaine laïque.

DES PROPHÉTIES POUR REPÈRES

La Bible semble montrer que l'Amérique va être mise complétement out dans la préparation du sprint final pour l'hégémonie planétaire.  Catastrophe naturelle énorme ou cataclysme par une attaque ou riposte nucléaire qui va mettre le géant au sol !?...
Toujours est-il que la Bible fait référence à un Empire romain reconstitué - en tout cas géographiquement -Christ Sauveur, c'est-à-dire dans toute la vulnérabilité qui a déjà permis plus d'une fois à Satan et ses légions d'anghes déchus et dépravés de s'imposer aux créatures intelligentes mais pas très futées (affutées) que nous sommes de manière naturelle.

RETOUR AUX SOURCES

Là où l'eau n'a pas encore été polluées.
Avec un rappel à la loi divine - comme base de la connaissance du bien et du mal et moyen de que nous nous voyons coupables devant Dieu par plus d'un acte, d'une parole ou d'une pensée ;
Et le rappel que Dieu est compatissant à la vue de nos faillites, de notre imbécilité, de nos illusions, de notre mégalomanie, de nos déboires et souffrances..., tenant encore en réserve pour nous sa Grâce, le pardon de nos fautes (que notre conscience connaît bien ou que l'Esprit de Dieu nous rappelle maintenant) et le don de son Esprit pour nous changer et transmettre sa vie éternelle même.
Et cela consiste à nous faire naître une nouvelle fois, à une compréhension et à une vie tout autre ancrée dans le Ciel spirituel (lire Jean chap. 1, vers. 12 et 13 et chap. 3.1... ).

Dans 1Corinthiens 15. 33 on peut lire : "Ne vous y trompez pas : les mauvaises compagnies corrompent les bonnes mœurs.34 Revenez à vous-mêmes, comme il est convenable, et ne péchez point ; car quelques-uns (parmi les dits-chrétiens ou autres croyants) ne connaissent pas Dieu, je le dis à votre honte." Lire encore Luc 15, 10,24.

Ce qui arrive dans les rues (grèves, manifs, attentats, vagues de violence...) et encore dans les campagnes au milieu des agriculteurs, n'est-ce pas aussi des signes d'un temps mauvais comme dit le berger-prophète Amos ? chap. 5, vers.15 : "Haïssez le mal et aimez le bien, Faites régner à la porte la justice ; Et peut-être l'Éternel, le Dieu des armées, aura pitié Des restes de Joseph.16 C'est pourquoi ainsi parle l'Éternel, le Dieu des armées, le Seigneur ; Dans toutes les places on se lamentera, Dans toutes les rues on dira : Hélas ! hélas ! On appellera le laboureur au deuil, Et aux lamentations ceux qui disent des complaintes."

Malgré leur ancienneté les Écritures venues de Dieu n'ont pas vieillies et peuvent encore parler à quiconque ouvre son oreille pour connaître ce qu'est véritablement ce monde que nous vivons, et qui est le Dieu véritable encore capable de sauver et protéger ceux qui se confient dans son nom rédempteur : Jésus, Yeshoua en hébreu d'origine, ce qui signifie "Dieu sauve". (Matthieu 1.21).

Le Titanic est en train de se casser en deux. Dans un soubresaut, pendant 3 ans et 1/2 on va croire avoir trouvé la solution pour une paix durable entre les peuples - notamment entre Israël et les pays arabes -. Mais les accords ne tiendront pas. Alors une ruine soudaine arrivera sur le monde...

Jésus a parlé. Sans qu'il ait rien écrit lui-même ses disciples mus par l'Esprit de Dieu nous ont rapporté ses paroles essentielles et donné la Bible. L'internet même participe de cette ouvre de salut de nos âmes, de VOTRE âme comme de la mienne.

Allez-vous rester indécis-e, seulement soumis-e à la mollesse générale, aux sur-informations endormantes et à la grande boucherie qui vient ? Ou bien dès maintenant réagissez-vous, cherchez-vous le Dieu vivant - qui fait partie du domaine de ce qui nous est connaissable ?

Soyez béni-e, et sauvé-e.

Mon secours est en toi Impact

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  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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