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11 juillet 2019 4 11 /07 /juillet /2019 19:42

Avez-vous déjà suffisamment aperçu que nous sommes,
bien plus qu'un corps avec un cerveau,
une âme (aux attributs psychiques subjectifs), voire un esprit (dont l'objectivité écoutée éclaire notre conscience comme nos choix) ?

Mal à avancer !? À comprendre ce qui vous arrive, ce qu'on vit ; à se défaire d'une situation problématique... Allez vers les psaumes !
Une solution aux effets parfois bien surprenants, car Dieu parle, et la Bible est un recueil de Ses Paroles qui peuvent avoir du sens et de l'effet pour n'importe qui d'entre nous, à n'importe quelle époque ou moment de notre existence.

Ainsi on trouve parmi les psaumes des paroles qui nous correspondent, qui peuvent devenir notre prière, être une amorce pour que nous apprenions à mieux nous connaître, à parler à Dieu, à entrer dans une relation de confiance avec lui.
Et cela dans la foi qu'il nous connaît déjà et qu'il nous entend - et même qu'il nous attend. Qu'on a du prix à ses yeux, malgré bien des égarements dont il désire nous libérer.

Alors commencez si vous ne l'avez jamais fait : Parlez au grand Dieu créateur de l'univers ! Dans cette idée modeste et audacieuse à la fois, que si nous le cherchons, si nous cherchons ce qui nous sépare de nous, il envoie sa lumière et se laisse trouver par nous.

Il suffit pour lire ou écouter (en cliquant ensuite sur la gauche) de cliquer sur tel ou tel nombre choisi.

PSAUMES SUR LA CONNAISSANCE DE SOI
8 - 39 - 139 - 144

PSAUMES EN VUE D'UN RECOURS A DIEU - TRISTESSE, DÉCONVENUE...
Psaumes 3 - 4 - 7 - 9 - 10 - 12 - 17 - 25 - 28 - 31 - 39 - 42 - 43 - 44 - 51 - 54 - 55 - 57 - 60 - 70 à 74 - 77 - 79 - 83 - 85 - 86 - 120 - 123 - 129 - 131 - 137 - 141 - 147

SORT DES MÉCHANTS - AVERTISSEMENTS
Psaumes 2 - 4 - 14 - 36 - 39 - 51 à 54 - 64 - 73 à 82 - 94 - 109 - 140

DEMANDE DE PARDON
32 - 38 - 51 -

PSAUMES ANNONÇANT JÉSUS LE MESSIE ET CHRIST SAUVEUR
2 - 8 - 16 - 22 - 24 - 40 - 41 - 45 - 68 - 69 - 71 - 72 - 89 - 102 - 110 - 118

DÉSOLATION
6 - 13 - 18 - 22 - 28 - 38 - 59 - 69 - 88 - 102 - 109 - 144

JOIE - CONFIANCE - RELÈVEMENT
1 - 16 - 18 - 23 - 25 à 28 - 30 - 32 - 37 - 42 - 43 - 47 - 56 - 61 - 62 - 63 - 73 - 81 - 91 - 107 -114 - 116 - 119 - 121 - 124 - 133 - 140 - 145 à 147 - 149

ADMIRATION DES ŒUVRES DE DIEU
8 - 9 - 29 - 65 - 68 - 74

LOUANGE À DIEU
5 - 8 - 9 - 15 - 19 - 20 - 21 - 24 - 29 - 32 - 33 - 36 - 40 - 45 - 47 - 48 - 50 - 64 à 68 - 72 - 75 - 78 - 80 - 84 - 87 - 89 à 101 - 103 à 108 - 110 - 112 à 119 - 125 à 129 - 134 - 135 - 136 -138 - 139 - 144 à 150

Soyez encouragé-e et béni-e pour trouver Dieu en sa grâce

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4 juillet 2019 4 04 /07 /juillet /2019 17:00

Merci de participer à diffuser vers les intéressés si vous le pouvez

Faut-il que nous soyons indécis, que la médecine ne sache pas mieux qu'existe dans notre vivant une composante majeure distincte qui s'appelle l'âme (ou psychisme, du grec psuché), et que des parents croyants ne secourent pas mieux leur fils (ou époux) par leur intervention !
Mais que cela ne soit pas une fatalité qui laisse impuissant devant l'adversité.

Car on peut heureusement pallier à ce manque terrible, cruel, sociétal, vis-à-vis de la lumière de l’Évangile, par de la connaissance et en accueillant l'amour de la vérité nous concernant et concernant Christ.

FAIRE PARLER LA BIBLE

En ouvrant la Bible, on peut lire ce fait d'actualité d'alors rapporté par le médecin grec Luc (chap. 13) : "En ce même temps, quelques personnes qui se trouvaient là racontaient à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mêlé le sang avec celui de leurs sacrifices. Il leur répondit : "Croyez-vous que ces Galiléens fussent de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu'ils ont souffert de la sorte ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. Ou bien, ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu'elle a tuées, croyez-vous qu'elles fussent plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également."

 Le fondement de notre condition est que nous sommes tous des "pécheurs", des "pécheresses", ce qui n'est guère flatteur nous l'admettons bien volontiers. Cela signifie étymologiquement des gens qui manquons régulièrement le but du bien. Pécher, mal faire (dire, penser), c'est toujours ne pas faire ce qui est bien (bien dont Jésus a dit que l'amour de Dieu déversé dans nos cœurs est la clé).

Et donc laissons-nous un peu remettre à notre place, à notre plus juste hauteur, car il vaut mieux être abaissés par une parole biblique plutôt que de jouer les arrogants. Selon que la Bonne Nouvelle de l'attitude de Dieu en face des pécheurs, c'est qu'il fait grâce aux humbles, alors qu'il résiste aux orgueilleux.
Et donc, voilà à quoi contribue, dans son état, indirectement mais combien activement, Vincent Lambert - l'épreuve étant globalement ce qui révèle le mieux ce qu'est le vrai fond de nos cœurs.

LA FOI À METTRE EN PRATIQUE

Alors maintenant soyons pragmatiques. C'est-à-dire devenons spirituels. Comprenons que les accidents graves ne nous arrivent jamais par hasard ! J'en ai connu un limite, et j'ai appris la causalité sous-jacente qui existe là (comme partout ailleurs dans l'univers).

Donc, on doit admettre, pour cet accident tragique, qu'il y a quelque part au moins une faute caractérisée commise par Vincent, dont l'aboutissement fut ce qu'il supporte encore... et pourrait supporter encore au delà de sa mort physiologique, tout ne finissant assurément pas par un encéphalogramme plat, le refroidissement du corps étant l'expression causale de la sortie finale et migration de l'âme (quand le lien entre les deux corps, physique et psychique, est rompu).

La foi chrétienne n'est pas prise de court dans tous les cas, puisque nous pouvons prier sous ces diverses formes pour le pardon des péchés (dans la mesure où nous savons et avons quelque prise de conscience de ces vérités spirituelles, avançant humblement, avec contrition et/ou compassion pour qui en a besoin).

Dans l'idéal ici, il conviendrait que les parents ou l'épouse parlent à Vincent qui, fort probablement, entend tout ce qui se dit, puisque le réceptacle des sons (des images, etc...) c'est l'âme. Lui disent qu'il a à demander (intérieurement) pardon à Dieu pour ce qu'il a fait lui-même de mal. En demandant à Dieu de ramener au plan de sa conscience ce qu'il peut avoir oublié et doit être à confesser...
Pour l'avoir fait récemment avec une tante qui ne bougeait plus, je l'ai vu, par le mouvement de sa mâchoire inférieure se mettre à parler à Dieu, répétant après moi des paroles de repentance et d'abandon à Dieu pour être reçue dans son Royaume.
Après de longues semaines de stagnation, elle partit moins de deux jours après. La Bible parle de ces cas de rédemption in-extremis, comme ce fut pour un des deux brigands crucifiés à côté de Jésus, qui fut ainsi sauvé par pure grâce, au dernier moment, par sa foi).

Et quelqu'un peut-être pourra avoir à demander pardon à Vincent, ce qui pourra libérer l'un(e) et l'autre (le pardon demandé et accordé est une puissance qui libère).

VENIR AU BÉNÉFICE DU SACRIFICE DE JÉSUS

Car pourquoi Jésus est-il mort, si ce n'est pour que les pécheurs et pécheresses puissent être libérés et mis en paix avec Dieu par le pardon qu'il désire toujours accorder aux âmes repentantes ?

En témoigne aussi l'épisode fameux de la femme adultère (Évangile selon Jean, ch. 8) ;
ce que dit aussi cette parole du même disciple (ch. 3) : "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises."

Dans la Bible, on voit encore la compassion de quatre amis qui font descendre devant Jésus un grabataire sur son lit. A la vue de la foi de ces amis, Jésus dit à l'homme : "Mon enfant, tes péchés sont pardonnés.
Enfin, les apôtres Paul et Silas dirent au geôlier désespéré de la prison de la ville grecque de Philippes : "
 Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille."

Et ne le ferait-il pas avec Vincent si une vraie foi de ses familiers dans la vertu de la grâce christique est mise en œuvre ? Dieu lit au cœur : la croyance superstitieuse ou la foi mal placée ne procure que des déconvenues. Mais la foi au Christ Jésus mort pour nos péchés et ressuscité sauve !
Et il s'agit maintenant de libérer Vincent du fardeau de ses fautes (voire d'autres, antérieures) pour le laisser rencontrer celui qui veut réellement maintenant devenir son Dieu.

Alors, parents ou amis croyants qui pouvez approcher Vincent, soyez, devenez de vrais intercesseurs afin que la gloire de Dieu, visible ou invisible et de toute façon déjà manifestée en Jésus ressuscité, puisse devenir sans plus tarder le partage bienheureux de Vincent.

"Si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même  (Jésus) dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. 8 Si nous disons que nous n'avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est point en nous. 9 Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité."

Et "...Priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace."

Soyez bénis.

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9 juin 2019 7 09 /06 /juin /2019 09:44

Suite éventuelle de l'article sur La Pentecôte...

POURQUOI LA CRUCIFIXION DE JÉSUS ?
Il peut être encore important de bien comprendre ce que fut et ce que reste la croix.
La crucifixion a pour finalité l'anéantissement, comme englouti dans un trou noir, de tout le mal qui a germé un jour parmi les créations.
Parti d'un ange qui s'est enflé d'orgueil et a contaminé 1/3 d'autres anges magnifiques puis l'humanité entière (à partir d'un premier couple originel), le mal et sa puissance désorganisatrice et désunisatrice a pris potentiellement fin à la croix, brisés contre le corps et l'âme de Jésus.

L'accomplissement de cette victoire remportée sur les forces du mal s'opère progressivement et sera achevé quand Satan et ceux qui se seront entêtés à mal faire seront jetés dans un "étang ardent de feu et de soufre" (ce qu'on appelle l'enfer éternel) et quand il n'y aura plus de mort. "Le dernier ennemi à être détruit, c'est la mort".

TOUTES LES EXPRESSIONS POSSIBLES DU MAL CONCENTRÉES EN UN POINT
Les 4 directions ou points cardinaux du mal que la mort de Jésus absorbe comme un buvard absorbe une tache, sont les suivants :

1 - LA LOI DU PÉCHÉ
C'est le mal sous la forme d'une loi dominante en nous - la loi du péché - qui nous pousse contre notre volonté même à mal faire.
La foi en la mort propitiatoire de Jésus permet le pardon de nos péchés (les effets de la dynamique de cette loi maligne intégrée dans les cœurs de tout le genre humain).

Par ailleurs, plus profondément et plus heureusement ce que Jésus subit permet de recevoir par la foi la délivrance de la force de la cause du mal en nous, de cette loi de notre dérèglement psychique et physique capable de dominer notre volonté. Une force maligne addictive donc, qui nous pousse à mentir, à dérober, à critiquer, à convoiter, à soupçonner le mal, à magouiller, à séduire à de mauvaises fins, à être déprimé, violent, incrédule, pervers, etc...) ;

2 - LA LOI DE LA MORT
L'autre aspect de cette loi sévère qui s'est inscrite en nous par la chute du premier homme, et qui se transmet génétiquement, est la loi de la mort.
Cette réalité irrépressible terrible qui est toujours source de séparation, d'inimitié, d'opposition, entre Dieu et nous et les uns envers les autres, se présente sous plusieurs formes, s'exerce sur plusieurs plans.
- Mort physique qui se voit (en réalité fin de la vie physiologique, végétale)

- mais aussi mort spirituelle - qui la précède (d'où notre impiété naturelle) dès lors que notre comportement s'enfonce hors des lois-cadre de ce qui est favorable au maintien de l'esprit de Dieu en nous. Et par là se retire aussi la paix, la joie naturelle, l'amour, l'unité en soi et avec les autres...

- Il y a aussi la mort psychique (de notre âme, c'est-à-dire de nous en tant qu'entité consciente d'exister). Cela peut être comme l'image du dernier round d'un combat de boxe, interrompu par un K.O. (know out qui signifie sortie ou perte de connaissance). Ce qui est le pire moyen de la fin du mal en nous/pour nous.
Heureusement, la rédemption par la mort de Jésus est précisément là pour se substituer à la consommation totale de cette défaite face à la vie. La foi que Jésus est mort pour nous éviter cette perdition éternelle de soi est l'unique moyen que Dieu fait connaître pour échapper à cette fatalité (qui dès lors devient relative).
(voir éventuellement mon article détaillé sur Les 5 types de mort).

- LA MISE EN ÉVIDENCE DES ESPRITS DÉPRAVÉS (ou DÉMONS) 
3e direction où la crucifixion de Jésus rencontre et intercepte le mal, la sphère céleste ouverte par Satan et peuplé des anges satanisés, devenus des démons. Là aussi la foi en Jésus, le recours à sa personne, au sang purificateur de son œuvre expiatoire, à son nom (qui est au-dessus de tout nom prononçable) sont le moyen de se dégager des influences, pressions, oppressions, obsessions, possessions occasionnées par les esprits de cette rébellion agitant des lieux célestes (spirituels), au milieu de nous et possiblement en nous ;

- L'ESPRIT DU MONDE
4e sphère où le mal sévit fort, nous influence
, peut faire de nous des moutons ou des loups, des requins, nous atteint subtilement ou encore nous fait tomber dans ses travers, ses révoltes et autres perversions et sévices exacerbées. C'est la sphère psychique de notre monde, l'anima mundi, qui est le tissu invisible mais influent dans lequel on est immergés. La somme et plus des forces humaines regroupées en société (en culture, religion ou idéologie) dans laquelle nous sommes bien obligés de vivre.

Pour défaire toutes ses forces, Jésus a eu la force, la détermination, le courage inouï, unique, d'accepter de mourir à notre place, afin que nous puissions éviter, par l'exercice du principe de la foi, tout ou partie de ce qu'il dut subir là des heures durant.
C'est ainsi qu'on peut voir en regardant cette croix dressée entre Ciel et terre comme un
e échelle ou une tour forte qui nous met Dieu à portée du cœur et de la saine raison.
C'est
encore un paratonnerre contre le mal, le lieu où regarder pour être secouru et sauvé.

ENCORE UNE AUTRE MANIÈRE DE VOIR
Cette fois il s'agit de quatre manières de voir cette crucifixion. On peut y voir sous quatre angles, comme quatre événements simultanés et quatre significations complémentaires de ce qu'est ce qu'on appelle la croix.

- On peut voir un simple homme coupable, qui a été arrêté, jugé et condamné, et qui paie par ce châtiment pour le mal qu'il a fait.
C'est en fait ce que Jésus a fait en se laissant arrêter et crucifier pour subir les effets du mal à la place de qu'importe quel simple être humain, le quidam ou personne lambda que nous sommes tous.

- On peut voir la cruauté qui peut habiter chaque personne du genre humain. Car ce sont là des chefs et des fidèles religieux rassemblés en foule qui agissent - soumis à la loi dont j'ai parlé du péché en eux. Ils en perdent toute notion de justice, toute lucidité, notamment à partir de leur hypocrisie et de leur légalisme (religieux) mis en évidence par Jésus... mais qu'ils n'ont pas accepté d'admettre.

Cela montre toute l'impuissance de commandements religieux imposés et/ou qu'on s'impose soi-même en vue d'une vie en société bénie, agréée de Dieu.
Et ce mal qui nait de la religion même, Dieu veut le rendre évident au cœur de tous croyants, quelle que soit sa religion. Aucune ne peut changer nos cœurs
et nos comportements réactifs, que Dieu seul quand on a l’honnêteté de se voir si mauvais et tellement en besoin de lui. Car Dieu par Jésus ne sauve que des pécheurs et pécheresses qui se voit comme tels.

C'est aussi la cruauté de soldats (romains d'alors ou de toute origine d'aujourd'hui), dont le cœur est devenu de pierre, car frapper ou tuer homme, femme ou enfant fait à un moment ou à un autre partie de leur quotidien. Ils sont formés (conditionnés, programmés) pour cela. 
Et de la même manière les jeux vidéos sont nombreux pour déformer jusqu'à l'anéantir de la même manière l'humanité en nous.

Autant on tient à sa propre vie, autant la vie humaine compte pour zéro quand on est mis en cette disposition de guerre...

- Et puis c'est la réalité des démons, de Satan qui est aussi là mise en évidence. Leur force destructrice indépendante de toute justice, leur hystérie qui se communique aux hommes - comme lorsque des casseurs sortent de parmi les gilets jaunes, et en profitent.
La Bible dit que par la croix Jésus a mis publiquement en spectacle la réalité des démons et du diable. Ce qu'on peut toujours observer dès lors qu'on regarde certains événements extrêmes d'actualité. Et cela d'autant plus que Jésus et sa victoire sur les forces du mal n'est pas reçu, pas cru, pas ajouté à notre existence.

Le Psaume 22 donne une image fidèle qui décrit ce qui se passe dans cette dimension invisible des esprits agissant lors de la crucifixion. Ce qu'on ne perçoit pour notre part naturelle, par nos yeux de chair, seulement par les effets produits.

- Enfin, on peut voir et entendre que les sources du mal déchaînées contre lui, pour lui infliger la pire concentration de toutes formes de maux et de souffrances (physiques, psychiques et spirituelles) sont acceptées en toute conscience préalable et immédiate par Jésus.
Il sait qu'il n'y a aucun autre moyen possible pour pouvoir reprendre au mal son autorité maléfique et mortifère et dégager le genre humain des horreurs présentes, et de l'horreur éternel possible.

Pour vaincre tout le mal, il faut être comme un trou noir dont la force gravitationnelle absorbe tout. Jésus en croix c'est aussi comme un aspivenin qui délivre des effets des forces mortelles du mal quiconque y regarde et se l'applique.
On voit alors à la fois l'horreur que représente le péché - notre péché -  pour Dieu, et en même temps
l'amour de Dieu qui se donne là corps et âme pour nous, pour qu'on puisse être purifiés, lavés, délivrés, désaliénés, sauvés. Ce qui ne dépend plus que de notre conscience honnête et de notre foi.

Ces quatre directions de délivrance et ces quatre aspects de la croix sont vrais et réels.
C'est comme de la dynamite avant qu'on lui donne le pouvoir de libérer sa puissance.
C'est comme la graine qui semble minuscule mais qui contient tout le matériel et programme génétiques d'une plante ornementale magnifique ou d'un arbre gigantesque.

Ne méprisons jamais ce qui semble petit : La Fontaine nous a dit qu'un jour un lion pris dans un filet n'a pu se délivrer lui-même, mais sa liberté lui fut rendu par un rat. Rendez-vous compte ! Sur la croix il est dit que Jésus s'est fait semblable au pire des homme (au plan de la sanction méritée). La Bible dit qu'il s'est fait péché pour nous, et l'Ancien Testament en donne l'image d'un serpent élevé sur une perche afin que le transfert des forces du mal qui nous dominent se fasse de nous à lui.

Dès lors que faire ?

UNE PUISSANCE ACCESSIBLE, LIBÉRABLE, PAR NOTRE FOI
Ce qui est évoqué ici nous est accessible par notre foi.
Ainsi ce n'est pas en un manque de force dans ce qu'il opère que nous devons croire lorsque nous sommes placés en face de Jésus crucifié, mais en la faiblesse terrible de notre foi et de notre entendement qui ne savent pas saisir tout ce qu'il y a là de miraculeux comme potentiel libérable en notre faveur.
C'est notre propre incrédulité, fausseté, manque ou absence d'amour de la vérité, légèreté, ignorance, peu d'intérêt pour l'essentiel, p
assion pour des choses ou plaisirs secondaires (bons ou malsains), idolâtrie, autosatisfaction, addiction... qui empêchent que la puissance enfermée dans cet acte d'amour inouï que fut cette mort de Jésus, qui nous privent des meilleurs effets de la victoire de la croix sur le mal auquel nous sommes si intimement liés.

Aussi plutôt que de dénigrer Jésus et ce qu'il a fait de sa vie en faveur de la nôtre, croyons, croyez, et vous permettrez à Dieu par son Esprit d'opérer en vous des effets significatifs de la mort et de la résurrection du Fils du Dieu vivant.

Un jour, un homme se trouvant face à Jésus eut l'honnêteté de crier : - Seigneur je crois, mais viens au secours de mon incrédulité ! Et Jésus a répondu.
Car il nous faut bien souvent - et moi aussi encore à certain moment difficile - que soit ajouté à notre croyance "la foi de Dieu". Celle qui ne tient pas compte de ce qui se voit, mais de ce que Dieu dit.

Une prière-guide ici si à votre tour, cela n'étant pas encore fait, vous désirez naître de la vie éternelle de Dieu par et dans une foi vivante et conquérante.

Bien cordialement

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4 juin 2019 2 04 /06 /juin /2019 12:36

La Pentecôte arrive ce week-end et lundi prochain.
Comment allez-vous la vivre ? En étranger désintéressé, ou en curieux désireux d'enrichir sa vie par les meilleures connaissances qu'on puisse avoir du Réel ?

La fête de la Pentecôte arrive 50 jours (du grec penta = 5) après la fête de(s) Pâque(s) juive et chrétienne.
De quoi est-on censés se souvenir à ces occasions calendaires ?

A l'origine la Pentecôte s'appelait Chavouoth (en hébreu semaines).
Avec Pessa'h ("la Pâque") et Souccot (qui signifie cabanes ou tabernacles), c'était les 3 principales fêtes instituées par le Dieu de la Bible... l'inventeur du jour de repos hebdomadaire et des jours fériés (jour de vacances, de réjouissances) !

Pensez qu'après plus de 400 années passées en esclavage, le peuple hébreu (israélites ou juifs c'est tout pareil) avait de quoi apprécier que le Dieu de leurs pères génétiques (Abraham, Isaac et Jacob) leur offre un jour de repos par semaine et en plus au total 7 fêtes annuelles ! Rien de plus humain et social en cette époque primitive de civilisation !

Et donc la 1ère de toute les fêtes annuelles était Pessa'h, ce qu'on traduit par la Pâque.

RAPPEL HISTORIQUE SUR L'ORIGINE DE LA PÂQUE
L'apparition de la Pâque est liée à cette fin et sortie de l’esclavage d’Égypte justement.
Pour ce faire, l’Éternel-Dieu avait demandé à chaque famille descendante de Jacob, de badigeonner les montants de leur porte d'entrée de sang pour les garder de l'ange de la mort qui une certaine nuit descendit faire mourir (à cause de l'obstination du Pharaon qui voulait tenir tête à Dieu) tous les petits-nés des humains et des animaux.
La vertu du sang nous apprend la bible, est dans le fait que cette substance est le support physique de l'âme (le moyen de son attache au corps), et que, pour que l'âme d'un coupable ne meurt pas (ne soit pas séparée de son corps, ce qui provoque la mort physique), il faut qu'une autre âme meurt à sa place - en l'occurrence on sacrifiait alors un animal innocent, au sang pur.

Et comme tous les israélites avaient pu ainsi être épargnés puis libérés, dès qu'ils furent hors d’Égypte, Dieu leur dit de faire dès cette libération accomplie un mémorial, une fête du souvenir, qui reprenne ce moyen de protection et de donc de pardon pour quiconque se l'appliqua, que fut le sacrifice d'animaux innocents (on lit ici dans le livre de l'Exode ch. 12).

Cette méthode et ce rituel se perpétuèrent pendant environ 1 400 ans, temps où Jésus paraît comme étant "L'agneau de Dieu qui ôte le péché (le mal) du monde"(Jean 1.29).

Après avoir démontré sa singularité par ses paroles, des guérisons et autres miracles tout à fait inusités, Jésus a effectivement, comme annoncé par avance, l'agneau dans la force de l'âge qu'on mène à la boucherie afin que son sang soit versé pour la rémission (l'expiation, l'effacement, le pardon) des péchés (du mal fait aux autres et des offenses envers Dieu).
Sur les annonces prophétiques qui rendent la crucifixion de Jésus pleine de justice et de sens, on peut lire par exemple Ésaïe ch. 53, le psaume 22, Zacharie 11. 12,13.

Ainsi la fête de la Pâque fut accomplie une toute dernière fois, spiritualisée par Dieu lui-même en la personne de Jésus livré en sacrifice pour le rachat (possible, potentiel) de tous de la main du démon Satan qui, depuis le premier couple humain, s'était rendu souverain de la terre. (Hébreux ch. 2)

RAPPEL HISTORIQUE SUR LA PENTECÔTE
la fête de  de la Pentecôte arrive au terme des semaines qui contribuent à la pousse des céréales jusqu'au moment joyeux de la moisson.
Par la suite, la tradition rabbinique a aussi fait judicieusement coïncider cette fête avec le don de la Torah (fondement du judaïsme) à Moïse sur le mont Sinaï.
La Torah ou Loi étant l'ensemble des (613) articles de lois qui forment une véritable Constitution par quoi régler les vies personnelles et en société. Loi dont les 10 commandements ou Paroles sont le noyau central dur, gravés dans la pierre du doigt de Dieu...

Par la suite, là aussi quand le temps en fut venu, une manifestation de Dieu dans la chair humaine (à distinguer d'une manifestation divine en chair de Dieu ou théophanie) la fête de la Pentecôte a été activée par Jésus (Dieu fait homme né de la chair) et spiritualisée pour l’avènement d'une ère et humanité vraiment nouvelles, celle-ci ayant obtenue la vie éternelle de Dieu (éternisation de l'âme par réconciliation et alliance spirituelle avec Dieu).

Ainsi Jésus fut glorifié après sa résurrection et élevé par une ascension céleste, 40 jours après sa mort. Là, partageant le trône éternel de Dieu, il a présidé dans son nouveau corps au don du Saint-Esprit aux hommes. Celui-ci se répandit parmi le genre humain, descendant notamment comme des langues de feu sur 120 disciples de Jésus demeurés dans l'attente de l'accomplissement de cette promesse. (Actes des Apôtres ch. 2)

IMPUISSANCE DES LOIS RELIGIEUSES CONTRE FORCE DU PÉCHÉ 
Ainsi ce don qui figure le nouveau mode (d'appropriation) de la justice de Dieu - ce qu'on appelle la grâce, la rédemption, le salut, le rachat... - vint se substituer très favorablement à ce qu'exigeait la Torah ou Loi écrite, c'est-à-dire une obéissance par la force de notre âme (pécheresse, amoindrie, détraquée, imparfaite) à une loi parfaite.

A cette mission impossible, imposée par Dieu pour que chacun se juge objectivement et se trouve immanquablement pécheur/pécheresse, perdu-e car incapable jamais de plaire à Dieu par lui-même, Jésus seul à pu répondre parfaitement pendant tout le temps de son périple terrestre. Par son obéissance parfaite, il a pu nous délivrer des commandements en tant que force extérieure à nous à laquelle il faudrait sans cesse veiller d'obéir, ou sacrifier (des animaux) pour effacer nos fautes.

Ce qui me fait dire qu'aucune religion n'a le pouvoir de faire de nous des gens-bons, car aucune n'a le pouvoir de tuer le cochon... qui est en nous ! Ce que la Bible appelle "la loi du péché".
C'est ainsi que la Nouveau Testament est venu s'ajouter au Tanak (la Bible juive) qui devint l'Ancien Testament. Un lieu d'écritures qui demeure de référence à plus d'un titre, mais qui n'est pas - qui n'a jamais été - le moyen pour obtenir la paix avec Dieu et avec tous nos concitoyens.

Car depuis maintenant bientôt 2 000 ans, c'est seulement par la foi au Fils unique de Dieu vivant, en sa mort sacrificielle, en sa résurrection et en sa capacité de nous sauver d'une perdition psychique éternelle par son Esprit qu'un retour à Dieu s'opère véritablement. Ce qu'on appelle aussi à partir du grec l’Évangile, ce qui signifie "bonne nouvelle" de Jésus-Christ.

UN DÉTAIL CAPITAL
on peut chacun bénéficier de jours fériés ou d'un pont par la grâce des fêtes judéo-chrétiennes. Mais ce n'est là comme bénéfice qu'un verre d'eau d'une rivière ! Dieu a tellement mieux en réserve pour nous. "Le ruisseau de Dieu est plein d'eau" !

Mais il ne nous veut pas seulement des spectateurs d'une scène heureusement vécu par d'autres. Il ne veut pas que nous soyons ce genre d'assistés profiteurs qui veulent bien prendre ou recevoir mais sans jamais s'investir, donner en retour : ils auraient un tellement meilleur bénéfice s'ils entraient dans la dynamique du partage réciproque, des échanges mutuels !

Bref, ici il est question de la vie spirituelle, qui est de la nature ou essence même de Dieu. C'est la vie jusque dans sa dimension éternelle, par opposition à ce qu'on est en tant que corps et âme, doublement mortel : Une première fois dans notre dimension physiologique, quand l'âme se détache du corps. Et une autre fois, si nous ne sommes pas réconciliés avec Dieu, lorsqu'il n'y aura plus pour circonscrire tout ce qui sera resté mal qu'un ardent étang de feu et de soufre. Ce qui est "la seconde mort" est-il dit dans l'Apocalypse. La part dernière de ceux qui n'auront pas voulu entrer selon la règle dans le bénéfice de la justice de Dieu. La règle étant de réaliser qu'on a besoin d'être pardonné de nos fautes, de demander ce pardon qui s'obtient par la foi en Celui qui l'a mis à notre portée : Jésus.

"Celui qui vaincra héritera ces choses ; je serai son Dieu, et il sera mon fils.8 Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort."

IL FAUT, POUR CONNAÎTRE DIEU, NAÎTRE DE LUI
Et donc le détail auquel j'arrive, c'est qu'on apprend par la Bible qu'entre la mort de Jésus (comme victime expiatoire de la Pâque) et son départ de la terre (ou Ascension), il se passe un événement des plus importants pour ceux qui ont suivi Jésus jusque là.
Pendant ce laps de temps où Jésus ressuscité se montre ici et là à ses disciples, on peut lire, rapporté par l'apôtre Jean dans son Évangile au chapitre 20 :
"Les portes du lieu où se trouvaient les disciples étant fermées, à cause de la crainte qu'ils avaient des Juifs, Jésus vint, se présenta au milieu d'eux, et leur dit : La paix soit avec vous !20 Et quand il eut dit cela, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent dans la joie en voyant le Seigneur.21 Jésus leur dit de nouveau : La paix soit avec vous ! Comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie.22 Après ces paroles, il souffla sur eux, et leur dit : Recevez le Saint Esprit."

Dieu crée ainsi de sa bouche, par son souffle exprimant les paroles de ce qu'il a conçu et de ce que veut sa volonté.
Ce souffle de Jésus est doublé de ce qu'il dit : il est ainsi décomposé en deux temps et réalités pour qu'on comprenne mieux ce qui se fait.
Ce souffle est créateur d'une nouvelle structure de vie en l'homme condamné à mourir à cause du péché. En grec il était parlé par les anciens du logos spermatikos (on pourrait traduire par parole séminale, fécondante). Et dans le Tanak (Bible des juifs) le Messie (pour eux à venir, pour nous déjà venu) est appelé "le germe", c'est-à-dire le cœur d'une semence.

Ainsi Dieu sème, ensemence, engendre en mettant, en enterrant sa vie dans l'humain... qui se réconcilie avec lui. C'est ce que Jésus appelle par ailleurs "naître de nouveau", naître une seconde fois, cette fois-ci par une naissance comme intra-utérine, dans ce monde, pour une manifestation qui ne paraîtra qu'au delà de cette matérialité. Quand ?
Après la fin de ce corps mortel, en rapport avec et pour la création tout autre qui va suivre la fin de celle-ci : le Paradis véritable, qui n'a encore jamais été.

Jean a écrit à ce sujet : "A tous ceux qui l'ont reçue (la lumière de Dieu, son Esprit), à ceux qui croient en son nom (yeshoua en hébreu, Jésus en français et anglais), elle a donné le pouvoir de devenir enfant de Dieu, lesquels sont nés ni du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu".

Ainsi Dieu crée encore des êtres humains d'une race totalement à part de ce que produit la naissance physique. Il crée comme on greffe un sillon d'un arbre qu'on veut voir grandir sur un tronc plus vieux d'une autre espèce qui, de ce qu'il est, va devenir tout autre chose.
On fait ainsi par exemple produire
un plant de tomate et des tomates à (sur, à la suite) d'un pied d'aubergine.
Le parallèle avec la façon dont la terre est organisée par la médiation des mots prononcés par Dieu est clair (pour qui veut voir
- relire Genèse chap. 1). "Car il dit, et la chose arrive ; Il ordonne, et elle existe." Psaume 33.

 

ÊTES-VOUS NÉ-E DE DIEU ?
C'est la principale question, après la conscience que Dieu existe et que Jésus a été sur la terre ce que la Bible en dit, la plus conséquente de tout votre présent et devenir éternel.

Il faut que vous soyez au clair à ce sujet. Si vous ne voulez pas que toute cette parenthèse d'existence - qui aura essentiellement servi à ce que vous soyez formé-e en tant qu'entité individuelle, qu'un moi, un ego conscient de lui-même - sombre dans une perdition (déconscientisation ou mort sans retour en tant que personne) à jamais.

à suivre...

Prière-guide ici si vous voulez maintenant venir à Dieu pour entrer dans son alliance de paix véritable

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19 mai 2019 7 19 /05 /mai /2019 22:14

Les psaumes sont souvent des prières, des paroles adressées au Dieu-Éternel qui peuvent devenir les nôtres.
En effet, l'être humain ne change pas, fondamentalement. On a toujours les mêmes problèmes, les mêmes besoins, les mêmes appuis véritables à trouver pour traverser les hauts et surtout les bas du temps et des événements qui participent à notre existence terrestre, et à sa fin.

En faisant nôtres certains de ces textes, nous pouvons nous placer au bénéfice des réponses qui viennent en retour des cieux spirituels. Car Dieu entend les paroles de tous les humains qui s'adressent à lui avec foi, avec intégrité, avec une saine curiosité ou à cause de quelque besoin véritable.

Psaume 1, etc...

Prochain article, les psaumes classés par thèmes...

Soyez béni-e..

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6 mai 2019 1 06 /05 /mai /2019 16:20

Qu'est-ce que visiter une cathédrale - debout ou ravagée -
sans considérer qu'existent tout autant
un Dieu vivant et des mauvais esprits !?
Le bâtiment a été rendu inutilisable - comme jadis le Temple de Jérusalem -,
mais la croix est toujours debout
pour le salut de quiconque croit (l'ère de la Grâce divine
n'est pas encore tout à fait à son terme)...

(suite de l'article commencé ici)

AUTRE EFFET DE L'INCENDIE
"Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein.29 Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils, afin que son Fils fût le premier-né entre plusieurs frères."

Ce que Dieu cherche en laissant courir ses jugements, c'est nous ramener à lui ! Pas que nous disions encore comme des enfants idiots vexés : - Même pas mal !

LA PRIÈRE DES JUSTES A UNE EFFICACE
Si l'humilité et la repentance bien comprise ont publiquement manqué, cette catastrophe a cependant suscité une réaction de nombreux chrétiens qui (je pense et sans doute eux aussi) a pu empêcher que les murs et autres "twin towers" s'effondrent : la prière.

Prière qui a pu inclure la repentance. Prière dans tous les cas qui crie à Dieu pour que le mal ne l'emporte pas - ou pas trop. Prière qui peut stopper les démons qui ne cherchent qu'à relayer et amplifier une épreuve pour pouvoir mieux et longtemps "tourner le couteau dans la plaie" et en tirer quelques réactions pour le moins inappropriées...

LE MAL EST DÉCLENCHEUR... DE CE QUE NOUS SOMMES, AU PLUS PROFOND
On a pu voir à partir de cette épreuve que globalement le cœur du peuple français, des riches comme des moins nantis, reste sensible et généreux et jusqu'à étrangement solidaire - état retard de : même si la foi a été volatilisée comme une mère arrachée à son foyer (exactions progressives qui forment un grand fil route des trois derniers siècles en Occident), les enfants de la famille se trouvent une racine (chrétienne !) comme on a un terroir.

Lorsque survient un gros cataclysme ou une guerre, l.es liens sociaux abîmés par l'orgueil, l'esprit de partis, la politique ou la doctrine sournoise de la lutte des classes, se reforment.
Le cœur reprend vie.
Plus que d'euros parlons de cœur. Car on ne rachète pas une mauvaise conduite par de l'argent, mais par l'humilité, la contrition, et/ou l'humiliation du cœur.

Et plus que de voir un jugement comme un mal, comprenons-le comme un moyen d’accéder à plus de compréhension du Réel pour une meilleure insertion en Lui, que ce soit matériel (temporaire) ou spirituel (éternelle).

Et puis Dieu est au-delà du temps, et ici encore le prouve... par l'accomplissement d'une prophétie vielle de 2 500 ans !

UNE PROPHÉTIE VIEILLE DE 2 500 ANS VIENT DE S'ACTIVER

Lundi 15 avril 2019*, on a assisté en plus du feu physique d'un jugement, à l'ouverture d'une prophétie faite par le prophète Zacharie*. Elle donne le sens profond de cet événement.
C'est la prophétie du chapitre 5 :

"Je (Zacharie) levai de nouveau les yeux et je regardai, et voici, il y avait un rouleau qui volait.2 Il me dit : Que vois-tu ? Je répondis : Je vois un rouleau qui vole ; il a vingt coudées de longueur, et dix coudées de largeur.3 Et il me dit : C'est la malédiction qui se répand sur tout le pays ; car selon elle tout voleur sera chassé d'ici, et selon elle tout parjure (ceux qui font de faux serments) sera chassé d'ici.4 Je la répands, dit l'Éternel des armées, afin qu'elle entre dans la maison du voleur et de celui qui jure faussement en mon nom, afin qu'elle y établisse sa demeure, et qu'elle la consume avec le bois et les pierres.
5 L'ange qui parlait avec moi s'avança, et il me dit : Lève les yeux, et regarde ce qui sort là.6 Je répondis : Qu'est-ce ? Et il dit : C'est l'épha qui sort. Il ajouta : C’est ce que l’on voit d’eux dans tout le pays.7 Et voici, une masse de plomb s'éleva, et il y avait une femme assise au milieu de l'épha.8 Il dit : C'est la méchanceté. Et il la repoussa dans l'épha, et il jeta sur l'ouverture la masse de plomb.9 Je levai les yeux et je regardai, et voici, deux femmes parurent. Le vent soufflait dans leurs ailes ; elles avaient des ailes comme celles de la cigogne. Elles enlevèrent l'épha entre la terre et le ciel.10 Je dis à l'ange qui parlait avec moi : Où emportent-elles l'épha ?11 Il me répondit : Elles vont lui bâtir une maison dans le pays de Schinear ; et quand elle sera prête, il sera déposé là dans son lieu."

PROPHÉTIE ET INTERPRÉTATION DE SES MYSTÈRES
Cette prophétie sous forme de parabole** (métaphorique donc) contient des mystères dont l'Esprit de Dieu me donna la signification que nous pouvons désormais en avoir dès que le toit de plomb de la cathédrale fut porté à notre connaissance (par son effondrement), et que de là je me dirigeais dans la Bible pour la consulter.

- Premier mystère : LE ROULEAU QUI VOLE
C'est la forme du support des écritures avant qu'on invente les pages et les livres. Plus précisément dans le contexte, c'est le symbole de la religion (le judaïsme) que Dieu a donnée par Moïse aux israélites (le peuple juif), et dont les articles de foi avec la connaissance du Dieu unique et les valeurs morales ont ensemencé la terre..

- Le mystère de L'ÉPHA
C'est un récipient qui ici est rond, alors qu'il devrait être, suite à la dimension rectangulaire du rouleau précédent, carré. 
Entre les deux visions on a donc fait le saut de la Loi (devenant Ancien Testament) à l’Évangile de Grâce (Nouveau Testament). Mais là il y a un problème !...

- Le mystère du COUVERCLE DE PLOMB
Et donc voilà un couvercle de plomb - vil métal - sur l'épha que représente la cathédrale !
La dimension spirituelle de l'homme est précisément qu'il n'y ait plus de séparation entre les pécheurs pardonnés (quand nous le sommes) et le Dieu trois fois saint. Certes il faut un toit à cette cathédrale, mais le plomb est un symbole suffisamment compréhensible pour qu'il apparaisse là comme un ciel de plomb au dessus de la tête des personnes qui viennent là, priants ou simples touristes. On est lui du rideau déchiré de haut en bas dans le Temple de Jérusalem au moment où Jésus meurt, "ôtant (à la fois véritablement et potentiellement) le péché du monde"...

- Le mystère d'UNE FEMME
Une femme - plutôt que Jésus le rédempteur ! - au cœur de la cathédrale, c'est - Est-ce ? - une véritable surprise !?
Si les gargouilles et aux chimères sont présentes dans les hauteurs de Notre-Dame, ce n'est un mystère pour personne que parmi les représentations, peintes ou sculptées, l'image de (soit-disant) la Vierge Marie est des plus présentes... et disproportionnées si on compare ses mensurations à celle du Sauveur le plus souvent représenté dans ses grands et puissants bras en "petit Jésus" !

L'image féminine représente en réalité non pas bien sûr la véritable Marie (Myriam), humble servante du Seigneur que Jésus confia à la bienveillance de l'apôtre Jean , mais un démon certainement très puissant, de l'ordre des cavaliers ou vents spirituels des ténèbres dont parlent Daniel, Zacharie et encore l'Apocalypse, qui parcourent la terre et cherchent à établir le règne qui vient pour un peu de temps de l’Ante-christ.
La prophétie de Zacharie prédisait donc cet état de choses final, et il fallait bien que des croyants d'obédience chrétienne s'interroge encore sur le sens d'une telle présence féminine dans l’Église de Christ. L'incendie de la cathédrale est venue interpeler la foi et les consciences...

- Le mystère des DEUX (autres) FEMMES
Enfin, c'est en tout trois femmes qui paraissent avant la fin de la prophétie. Ce qui n'est pas sans rapport avec notre actualité de "fin du temps des nations" où les femmes montent au créneau comme jamais : sous couvert de concept d'égalité ou de parité, voilà que la bascule a été faite où les femmes s'imposent (ou sont imposées) dans des places les plus stratégiques ici en Occident, et à la suite au pays de Shinéar (aujourd'hui l'Iran et l'Irak) où la femme de l'épha est transportée (exportée) comme icône de cet éveil à une suprématie féminine...

De fait, en reprenant les termes successifs de la prophétie, on se trouve à la fin (du temps de la Grâce) essentiellement avec une Loi, une religion conquérante conduite par le mâle dans sa forme adamique non transformée par la rédemption, et d'autre part une force très largement dépouillée de morale et pareillement conquérante, de nature féminine mais qui s'arroge des attributs (et à des moyens) virils, autant dire séduisante. L'une allant, d'abord en catimini, dans la place forte de l'autre... ce qui, pour faire bref, ne pourrait se dénouer que dans une conflagration planétaire... que doit précéder pour les "vierges sages" le retour de Jésus venant soustraire à ce chaos, littéralement enlever, son Épouse (d'une part qu'il ressuscite et d'autre part qui est prête) pour la faire entrer dans son éternisation finale (corporelle).

L'article complet de cette prophétie révélée compte une trentaine de pages qui ne sera délivrée que par mail sur demande privée faite ici par le bouton Contact.

Soyez éclairé-e dans l'amour de la vérité qui sauve (Nouveau Testament, 2e lettre aux Thessaloniciens ch. 2; v. 10-12).

_____________________
** Zacharie est un prophète suscité par le Dieu véritable à partir de - 520 (avant J.-C.), au moment précis où - coïncidence !? - le Temple de Jérusalem est en travaux !
Et - autre coïncidence !? - ces travaux, qui conduisent à la reconstruction du Temple détruit, vont durer... 5 ans ! (de - 520 à - 516). Pourquoi le Président Macron dit-il qu'en 5 ans la vieille dame serait relevée ? Certes les J.O. de 2024, mais peut-être pas que... cela en 2024...

** La parabole (image métaphorique ou symbolique) est un moyen de connaissance à la fois ouvert (ouvrant) et fermé (fermant), pour que l'auditeur ait une place à part entière, une responsabilité propre quant à son insertion dans la connaissance et le Réel.

Elle se fonde sur une loi de correspondance entre les réalités formant notre environnement matériel immédiat (que nous connaissons facilement), et des réalités plus subtiles (non-immédiatement accessibles à notre conscience) qui sont de l'ordre de la spiritualité et du psychisme (de notre âme).
La parabole amorce donc, suggère et mobilise notre âme, à partir de choses qu'elle connaît, pour amener à notre conscience une connaissance (découverte et conclusion nouvelles, enrichissantes) du domaine de l'Esprit, de la spiritualité, de Dieu et/ou des mauvais anges ou démons.

On voit souvent Jésus parler ainsi avec son entourage.
"Jésus leur dit cette parabole (du semeur), mais ils ne comprirent pas la portée de ce qu'il leur disait."
Après la parabole délivrée à "une grande foule" (Evangile selon Marc, ch. 4) il est encore dit: "Lorsque Jésus fut en particulier, ceux qui l'entouraient avec les douze l'interrogèrent sur les paraboles. Il leur dit : C'est à vous (à ceux qui cherchent auprès de Dieu le sens) qu'a été donné le mystère du royaume de Dieu ; mais pour ceux qui sont dehors tout se passe en paraboles, afin qu'en voyant ils voient et n'aperçoivent point, et qu'en entendant ils entendent et ne comprennent point..."

La parabole est donc comme sont une serrure et une clé. Et c'est par l'homme et non par Dieu, que s'actionne la clé, à partir de l'interprétation qu'en donne à l'un ou l'autre l'Esprit de Dieu.

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18 avril 2019 4 18 /04 /avril /2019 09:21

sa

Où sont les querelles et les divisions quand un (grand) malheur sévit ?
Où sont nos assurances face à l'improbable ?
Où est Dieu quand Paris re-brûle... depuis déjà de nombreuses années ?

Dieu n'a pas permis une fête de Pâques de plus vécue dans la saleté (le péché) dont le déballage a inondé les ondes.
Pas de hasard(s) avec lui !
Je suis croyant et me veux intègre, récepteur par grâce de la lumière divine, qu'il demande à ses enfants (disciples de Jésus) de ne pas garder sous étouffoir, mais de partager.
Car avec la justice ce sont les vérités d'En-haut qui peuvent nous faire échapper au mal (dont le mensonge - comme certains silences - est la première morsure aliénante).

DEUX DES PRINCIPALES FACES DE DIEU
La ruine de la cathédrale de Paris n'est pas sans lien avec la Bible qui nous donne de connaître Dieu.
D'une part "Dieu est Amour".
Mais l'amour qu'est Dieu et qu'il désire que nous vivions, n'a rien à voir avec les dépravations charnelles, manipulations psychiques trompeuses, fornications pornographiques et autres échanges sexuels pratiqués en dehors du cadre posé pour l'homme et pour la femme par Lui, le Créateur et Arché-organisateur de tout.

D'autre part, Dieu est justesse et garant de justice.
Il ne saurait laisser toujours impunis nos crimes et délits.
"Lorsque tes jugements s'exercent sur la terre, Les habitants du monde apprennent la justice.10 Si l'on fait grâce au méchant, il n'apprend pas la justice, Il se livre au mal dans le pays de la droiture, Et il n'a point égard à la majesté de Dieu.11 Éternel, ta main est puissante : Ils ne l'aperçoivent pas..."Ésaïe 26

Plus précisément encore, il est écrit (par Pierre) que lorsque arrivent des jugements généraux, collectifs, ils commencent par la maison de Dieu:
"Car c'est le moment où le jugement va commencer par la maison de Dieu. Or, si c'est par nous qu'il commence, quelle sera la fin de ceux qui n'obéissent pas à l'Évangile de Dieu ?18 Et si le juste se sauve avec peine, que deviendront l'impie et le pécheur ?19 Ainsi, que ceux qui souffrent selon la volonté de Dieu remettent leurs âmes au fidèle Créateur, en faisant ce qui est bien."
Paroles et vérités millénaires immuables d'un Dieu réel, qui trouvent toujours, à un moment ou à un autre, le temps de leur accomplissement. Le temps où ce qui est annoncé par avance (par donnée prophétique) arrive.

DES SIGNES ET DES FAITS
Beaucoup de signes planétaires se cumulent (crises économiques et sociétales, pollutions multiples, recrudescence de maladies et maladies nouvelles, appauvrissement des terres arables dopées par voie chimique, disparition des graines saines et des espèces animales et écosystèmes menacés, dérèglement climatique...).
Un  faisceau mesurable, alarmant, symptomatique, qui laisse entrevoir qu'on est entrés, depuis quelques années plus particulièrement, dans un temps de fin, de déconstruction, de décomposition, de jugements, appelé dans les Saintes Écritures "temps de la fin des nations". C'est le temps de la fin de l'ère bimillénaire de la Grâce...

Et donc, OÙ EST DIEU, QUE FAIT-IL ?
Il est là, par et dans ce genre de jugements dont la cathédrale de Paris a été symboliquement atteinte.
Il montre clairement - et parfois il doit crier/frapper fort, par ce qui fait mal, pour que nous nous réveillions à la vue de ce qu'est le mal que nous pratiquons qui nous domine.

Il ne se désolidarise pas de la justice des hommes quand elle est juste. Savoir en l'espèce, quand elle condamne des fautes graves réitérées de l'église catholique apostolique romaine qui se réclame de son nom.

Les jugements de Dieu témoignent qu'il se soucie de tous, compris bien sûr de ceux qui se réclament de lui.
Le pire, c'est quand il nous laisse, livrés à nos sens réprouvés, ce qui conduit rapidement à laisser à Satan et à ses acolytes démons de venir nous presser de plus près (jusqu'à l'oppression, l'obsession et la possession)*.

DES JUGEMENTS D'ORIGINES DIVERSES
L'épreuve est toujours un jugement. Mais pas forcément de Dieu. Si on sort en hiver trop peu habillé, on va tomber malade. Si on conduit sans respecter le code, ça va finir par nous coûter cher (accident, amende ou +...).
Et si on transgresse des lois morales (écrites dans les textes de notre religion ou de la société ou encore dans notre conscience personnelle), c'est la même chose. Car selon la même loi universelle de causalité, les conséquences de nos fautes viennent nous percuter à partir des cieux qui nous dominent. Et ce peut être comme ici des expressions de la justice de Dieu et de sa patience parvenue à un terme.


TOUT JUGEMENT A UNE CAUSE...
Faute d'avoir l'intelligence spirituelle suffisante (le discernement, l'Esprit de Dieu avec nous) pour voir et dominer le mal dans lequel on se fourvoie, un jour un jugement ou un autre tombe. Ils peuvent être individuels ou collectifs.

En résulte des réactions, personnelles et/ou collectives comme on le voit et entend ces jours par les ondes : l'émotion (charnelle ou spirituelle), l'incompréhension (la sidération ou le questionnement), l'arrogance (- Ah, ah, s'il y avait un Dieu !) ou le désir (quasi-revanchard) de ne pas se soumettre aux adversités et de rebondir**.

Mais est-ce là ce qu'il y a de plus juste, ce que Dieu voudrait voir paraître du tréfonds de nos âmes ?...

L'histoire et nos actualités sont pleines des effets éprouvants de ce qui part ainsi des lieux célestes vers nous.
Il peut s'agir des plus justes rétributions de nos fautes (le plus généralement morales ou dans notre rapport avec l'occulte, le ciel obscurci dangereux). Mais encore de terribles injustices initiées par quelques démons ou Satan lui-même (ces entités angéliques déchues qui ont une très mauvaise maîtrise de la justice comme de leurs propres sentiments pervertis)*...

DES CAUSES ET DES EFFETS
A travers l'épreuve que constitue un jugement divin, Dieu fait deux choses - nécessaires et utiles.
Il exerce sa justice (parfois lente à paraître, car il patiente afin que nous nous reprenions nous-même).
Va-t-on le lui reprocher ?
On sait trop bien ce qu'est une justice mollasse, qui ne punit pas les fautes, qui laisse des criminels courir et des victimes dans la frustration.
Dieu n'est pas ainsi.

Sa justice n'est pas indépendamment de sa volonté de nous aider dans notre avancée (traversée, périple temporaire) terrestre, et surtout spirituelle.
Car il sait mieux que nous nous en soucions nous-mêmes, que nous sommes mortels, et il ne veut pas que nous arrivions à son "jugement dernier" sans plus de possibilités - pour notre âme avec ce moi-je conscient d'avoir la vie qu'on est devenu - d'échapper à une dramatique fin ultime.
"Car pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort." La première mort étant celle physiologique (du corps), la seconde celle de l'âme qui n'a(ura) pas su saisir la grâce qui lui fut offerte de trouver à être en paix et bonne relation avec Dieu et ses lois d'organisations.

Par ses jugements donc, en laissant agir le bras de sa justice, le Dieu qui nous aime veut provoquer en nous une saine réaction, salutaire, source de spiritualité activée ou réactivée.

QUE RECHERCHE DIEU A TRAVERS L’ÉPREUVE DU JUGEMENT ?
Il recherche surtout une réaction simple, comme le lâcher prise et une disponibilité (qu'on se donne ou qui s'impose).
Ou une réaction raisonnée, qui s'interroge vraiment ; qui tienne compte de ce que, étant des êtres personnellement responsables, on peut voir des liens entre nos comportements (individuels et/ou collectifs) et ce qui nous arrive, dans la conscience des causalités dont le concept combiné "bien-mal"***.

A ce sujet, les médias ont été copieux pour dire et étaler jusqu'à l'humiliation et la honte, les impudicités pratiquées plus qu'accessoirement dans cette institution ecclésiale.
Quand on ne sait pas se juger soi-même, un jugement peut venir d'ailleurs, plus visible et péremptoire.

SILENCE, HUMILIATION, HONTE, ET QUOI D'AUTRE !?
Humiliation et honte sont le maximum qui peut se produire dans notre âme quand nous sommes dévoilés dans des comportements iniques (comme il s'agit ici).
C'est le résultat d'un déterminisme naturel interne qui opère à la fois contre nous et pour nous (si encore on ne s'est pas conditionné ou laissé conditionner pour les faire disparaître. Car aujourd'hui on voit bien que même ces réactifs inconscients de l'âme et de l'esprit que sont l'humiliation et la honte, ont été largement érodés et jusqu'à bannis de nos capacités conscientes préventives et réactives face au mal).

Il en résulte que lors de mises en lumière du péché, ce mode naturel moral d'abaissement n'est pas accompagné par une prise de conscience personnelle... qui seule peut heureusement tout changer dans nos désordres.
Car elle est rencontre avec Dieu dans la lumière, source de la repentance, amorce de la rédemption.

ÉPREUVE POUR MIEUX RENCONTRER OU RETROUVER DIEU
C'est cet accès (ouverture, éveil, confrontation) au plan de la conscience de soi liée à celle de ce qu'on a fait, qui permet que nous arrivions au point où Dieu veut nous rencontrer, nous retrouver : à la repentance (un vrai repentir, une contrition sincère, un amer regret, un abandon à la vérité sans calcul) qui témoigne de la vraie faiblesse et misère de soi que nous sommes - pécheur/pécheresse incapable de tenir jamais dans le bien, de satisfaire aux exigences divines et de lui plaire par nous-même.
"La grandeur de l'homme est grande en ce qu'il se sait misérable" a compris et écrit Pascal.

C'est là que Dieu veut nous amener... tous ; pour nous pardonner !
Car son amour veut toujours surpasser sa justice.

Nous pardonner et encore, bien plus, nous délivrer de ce que Paul a pu appeler "la terrible loi du péché" qui nous habite, nous affecte et nous domine. (Lire ici ce court mais grand et utile traité de la psychologie humaine condensé en 12 versets (14 à 25).

Nous délivrer et encore nous changer, selon le pouvoir de sa sanctification, "sans laquelle personne ne verra le Seigneur." (Hébreux 12.24).

"Que personne, lorsqu'il est tenté, ne dise : C'est Dieu qui me tente. Car Dieu ne peut être tenté par le mal, et il ne tente lui-même personne.14 Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise.15 Puis la convoitise, lorsqu'elle a conçu, enfante le péché ; et le péché, étant consommé, produit la mort."

NOUS SOMMES PÉCHEURS/PÉCHERESSES, DONT SURTOUT ORGUEILLEUX
Plus nous nous développons en capacités personnelles, plus nous nous exposons à devenir (plus) orgueilleux (qu'à notre naissance).
L'orgueil, c'est une trop haute estime de soi. Un piédestal artificiel, sans fondement, dont on finit toujours par descendre - intelligemment c'est mieux, le plus souvent c'est par jugement (par voies de rupture, coups d'arrêt divers).

Et "Dieu résiste aux orgueilleux.
"De même, vous qui êtes jeunes, soyez soumis aux anciens. Et tous, dans vos rapports mutuels, revêtez-vous d'humilité ; car Dieu résiste aux orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles.6 Humiliez-vous donc sous la puissante main de Dieu, afin qu'il vous élève au temps convenable ;7 et déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car lui-même prend soin de vous.8 Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera." 1Pierre 5.

Honte et humiliation ont pour effet de nous (r)amener à l'humilité ; car aussi est-il encore écrit : "L'arrogance précède la ruine, et l'orgueil précède la chute." Proverbe 16.18

Et donc qu'est-ce que penser tout de suite à la reconstruction sans chercher à comprendre ? Comme aussi de faire appel d'une décision de justice qui le condamne, comme fait le cardinal Barbarin ?...
"Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures ; car il n'y a point d'autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu...
Veux-tu ne pas craindre l'autorité ? Fais-le bien, et tu auras son approbation.
4 Le magistrat est serviteur de Dieu pour ton bien. Mais si tu fais le mal, crains ; car ce n'est pas en vain qu'il porte l'épée, étant serviteur de Dieu pour exercer la vengeance et punir celui qui fait le mal." Romains 13.

Voilà déjà la priorité de ce qu'on peut tirer comme enseignement bénéfique de la destruction massive de cette cathédrale emblématique.
Mais ce n'est pas tout !

Cependant, avant de donner une suite à cet article, voilà que Pâque(s) arrivent (cette année en coïncidence, d'une part Pessah, souvenir et prophétie dans la tradition juive et d'autre part mémorial chrétien appelé Pâques).
C'est un événement du cœur brûlant de l'amour de Dieu pour chacun-e de ce genre humain si naturellement terrible d'injustices et d'insuffisances - de prétendues suffisances - et perdu hors de Dieu (parfois ensemble et toujours isolément).

Je pressens, comme souvent tout juste après une lourde épreuve, que la gloire de Dieu va se manifester. 
La gloire de Dieu est (entre autres) de tourner le mal en bien. De faire apparaître de cendres, de tôles tordues ou de chairs déchirées, telle ou telle bénédiction étonnante, inattendue, généreuse.

Et je me dis là qu'il va le faire aussi ! Que quelque(s) bienfait(s) à sa façon va(vont) nous atteindre très vite... possiblement dans cette Pâque désormais toute particulière de 2019.

Aussi, que vous en connaissiez ou pas toute la signification et le pouvoir, pour une réelle Bonne Pâque pour vous, je vous invite à lire l'article précédent en cliquant ici. 

Soyez richement béni-e.

à suivre...
___________________
* sur la réalité des démons qui sévissent parmi nous, qu'on reconnaît aux effets produits par leurs présences : Activité démoniaque : Y voir clair !

** La réaction-élan de générosité qu'on enregistre tient d'une vieux réflexe conditionné par la christianisation de l'occident et plus encore peut-être par cette église dissidente du pur Évangile. Car elle enseigna longtemps que les œuvres de charité était un véritable moyen personnel pour se sauver de l'enfer - pour se déculpabiliser donc.
Alors que la spécificité de l'Évangile  - étymologiquement "la Bonne Nouvelle" - est que le salut de nos âmes ne vient QUE de notre foi en la mort expiatoire et rédemptrice de Jésus-Christ. Moyen de salut de notre âme unique, dont les œuvres bonnes, venant du cœur et non de l'obligation ou de la pression ecclésiale,  sont des conséquences spirituelles sans rapport avec des dépenses diverses visant à apaiser notre conscience, à rattraper notre manque de foi véritable ou de pratique, à gagner son ciel tout en demeurant dans nos péchés.  

*** Le concept du bien et du mal n'est étranger à personne. Car nous avons tous une conscience morale. Qu'on peut éteindre mais qui nous interpelle relativement bien avant que par notre stupidité nous la soufflions comme une vulgaire bougie.
Et puis nous avons pour la connaissance du bien et du mal, en plus des lois de nos sociétés, un référentiel majeur : la Bible, et notamment les 10 commandements. C'est aussi pour cela que la Bible est depuis des siècles le livre le plus traduit, le plus imprimé, le plus offert et le plus lu par toute la terre.

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14 avril 2019 7 14 /04 /avril /2019 10:57

La fête de la Pâque ou Pessach, juive et chrétienne, )
et la fête de Pâques (catholique, orthodoxe, voire laïque...)
commémorent toutes deux, qu'on l'ignore ou pas,
un sacrifice
qui n'a pas fini d'avoir des effets et du sens.

 

                                            (pour qui veut un résumé en audio, cliquez ici)

LA NAISSANCE DE JÉSUS, UNE IMAGE VENUE DU CIEL
Jésus est né en une période indéfinie dans une étable.
Une étable n'est rien d'autre qu'une écurie mal-odorante avec des mouches et des animaux qui dorment ou qui ruminent et font leurs autres besoins sur leur litière.
Comme image idyllique on peut trouver mieux !
Comme vérité, on est au cœur de la problématique humaine: Jésus est mis dans une crèche, c'est-à-dire dans une mangeoire, pour que les "bestiaux" que nous sommes puissent le manger !
C'est une image, mais particuli-rement significative. 

C'est si vrai, que quelque trente années plus tard, Jésus dira à des auditeurs à la fois attentifs et médusés: "Je suis le pain de vie.49 Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et ils sont morts.50 C'est ici le pain qui descend du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point.51 Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement ; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde.
52 Là-dessus, les Juifs disputaient entre eux, disant : Comment peut-il nous donner sa chair à manger ?" (Evang. Jean 6)

La réponse, lors d'une fête de la Pâque, c'est la croix!

CRUCIFIE ! CRUCIFIE ! VIOLE, CASSE, TUE !
Jésus se laisse arrêter, prendre sa vie jusqu'à cette crucifixion barbare, ignoble, horrible, qui met en lumière cette bestialité du cœur humain, que ce soit celui de soldats endurcis, de membres d'une foule excitée ou de religieux bien-pensants.

"Car c'est du dedans, c'est du coeur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les impudicités, les meurtres,22 les vols, les cupidités, les méchancetés, la fraude, le dérèglement, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie.23 Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans, et souillent l'homme." (Evang. Marc 7)

Par là on peut comprendre que de gentils gilets jaunes, de braves paroissiens ou employés et encore des détenteurs de pouvoir puissent, aujourd'hui encore, surprendre par leurs délits ou crimes et faire l'actualité...

Pourquoi?
Parce que l'être humain sans relation vivante avec le vrai Dieu (homme ou femme à égalité!?), rempli de l'intolérance de l'athéisme ou avec des croyances idolâtres quelconques, est toujours potentiellement la proie de démons quand ils trouvent en lui des pratiques iniques (mensonge, tromperie, vol, injustice, perversion, occultisme...).

Et donc, comment sortir de ce manque, de cette absence de spiritualité divine en nous? Car sans l'Esprit de Dieu nous habitant, nous sommes chacun réduits à un corps qui porte une âme, tout comme sont les animaux!
Avec le plus de nos capacités qui peut se traduire par un plus d'amplitude dans le déploiement du mal ;
Selon que les comportements des animaux sont essentiellement tenus par des déterminismes (selon leurs espèces), alors que nous, nous sommes pourvus d'une vaste plage de liberté(s), seulement (re)tenus par une socialisation/éducation... qui peut laisser libre cours au pire de nos instincts dénaturés! 
Telle est notre condition de chute adamique, avec ses conséquences malignes perdurantes dans quoi tous et chacun nous nous débattons (nous battons, souffrons, nous agitons ou nous laissons couler).
Connaissance de soi trop peu admise et transmise parmi nous par les détenteurs du pouvoir sociétal, au point où le gain est davantage pour ceux qui vivent à partir des souffrances que pour les lambda qui n'ont pas les capacités, temps ou moyen financier pour se procurer de la connaissance correspondant au Réel comme il est ; et par là s'enrichir des vérités qui fondent le bien (bien-être, mieux-vivre, paix intérieure, récupération, sommeil...).   

PÂQUE (PESSACH) ou PÂQUES COMMÉMORENT LE SACRIFICE D'INNOCENTS
Les juifs sont restés au souvenir du sacrifice animal, de l'agneau pascal (animal doux et innocent par nature), institué par l'Eternel-Dieu, via Moïse, à l'occasion de la sortie d’Égypte où la descendance d'Abraham et de Sarah avait été progressivement rendue captive.

Les chrétiens (et assimilés), notamment les "nés de nouveau"comme Jésus expliqua à ce maître de la Loi en Israël, Nicodème, venu le trouver de nuit) célèbre pour leur part le don sacrificiel de la vie de Jésus, "l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde". 

Sa mort est là un accomplissement parfait de ce besoin d'un sacrifice que Dieu avait fait connaître dès la chute du premier couple coupable, en tuant lui-même des animaux pour couvrir leur faute et la vue de leur nudité qui en découla.

Accomplissement prophétisé aussi par l'épisode de la vie d'Abraham lorsqu'il est appelé à sacrifier son fils Isaac, où Dieu lui donne de comprendre qu'il se pourvoira lui-même du nécessaire pour l'expiation des offenses qui lui sont faites:
"
Abraham leva les yeux, et vit derrière lui un bélier retenu dans un buisson par les cornes ; et Abraham alla prendre le bélier, et l'offrit en holocauste à la place de son fils.14 Abraham donna à ce lieu le nom de Yawhé Yiré. C'est pourquoi l'on dit aujourd'hui : A la montagne de l'Éternel il sera pourvu." (Genèse 22)

La montagne de l’Éternel c'est alors Morija, devenu Golgotha, le mont du crâne, d'où on va pouvoir en finir avec toutes les tempêtes de pensées qui sévissent sous nos crânes. Ceux-ci figurent notre âme sans l'Esprit de Dieu, déspiritualisée, qui est dès lors livrée à tous les égarements, à toutes les tentations et dépravations, toutes les injustices et l'impiété jusqu'à l'athéisme militant et armé.
"Car mes pensées (dit l'Eternel-Dieu) ne sont pas vos pensées, Et vos voies ne sont pas mes voies, Dit l'Éternel.9 Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, Autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, Et mes pensées au-dessus de vos pensées." (Ésaïe 55)

C'est pourquoi il est encore proposé (en Philippiens 4) aux croyants:
"Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces.7 Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus Christ.

POUR DIEU, HIER ET AUJOURD'HUI, RIEN DE CHANGÉ
Et cette année encore, le temps de Pâque(s) est un rappel à regarder à cette croix dressée sous un ciel de plomb, où, Parole du Dieu éternel incarnée par son Esprit, un fils d'homme bien-aimé de Dieu et unique est tué... comme un des pires brigands.
"
Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu." (2Corinthiens 5).

C'est ce que Jésus dit encore au chef juif Nicodème en lui rappelant un épisode de la vie de son peuple, ce qu'on appelle Les serpents brûlants:
Bien que délivré miraculeusement de L’Égypte concentrationnaire,  le peuple "parla contre Dieu et contre Moïse : Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d'Égypte, pour que nous mourions dans le désert ? car il n'y a point de pain, et il n'y a point d'eau, et notre âme est dégoûtée de cette misérable nourriture.6 Alors l'Éternel envoya contre le peuple des serpents brûlants ; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens en Israël.7 Le peuple vint à Moïse, et dit : Nous avons péché, car nous avons parlé contre l'Éternel et contre toi. Prie l'Éternel, afin qu'il éloigne de nous ces serpents. Moïse pria pour le peuple.8 L'Éternel dit à Moïse : Fais-toi un serpent brûlant (en bronze), et place-le sur une perche ; quiconque aura été mordu, et le regardera, conservera la vie.9 Moïse fit un serpent d'airain, et le plaça sur une perche ; et quiconque avait été mordu par un serpent, et regardait le serpent d'airain, conservait la vie." (Nombres 21)

A partir de là, Jésus expliqua ce qui allait se produire le concernant et ce qui en résulterait:
"Personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel.14 Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé (par sa mise en croix),15 afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle." (Evang. Jean 3)

Les serpents ce sont les péchés, nos fautes morales, nos mécontentements comme toutes autres formes d'injustice, qui nous tuent spirituellement (= qui font mourir Dieu en nous en obligeant son Esprit (saint, pur, qui ne peut cohabiter avec le mal) à se retirer de notre corps).

Le serpent de bronze élevé sur une perche, c'est Jésus qui accepte qu"on le monte sur la croix pour mourir à la place de tout être humain, pécheur/pécheresse, imparfait-e, coupable, dont la mort spirituelle, psychique (de l'âme) et corporelle sont en marche.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle." (Evang. Jean 3).

"Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas.4 Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié.5 Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.6 Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie ; Et l'Éternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous.7 Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent ; Il n'a point ouvrt la bouche.8 Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment ; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu'il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple ?" (Ésaïe 53).

LA CRUCIFIXION, LE SACRIFICE QUI SAUVE
Ainsi entre la crèche et la croix, Jésus a grandi, puis s'est montré puissant en œuvres bonnes pour qu'on voit ce qu'il était réellement, avant d'aller au bout de sa mission de sauvetage des âmes - ce qu'on appelle la rédemption, le salut, le rachat ou grâce divine - en prenant sur lui pour nous sauver les conséquences, le jugement final de nos fautes:

"Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur." (Romains 6).

Le nom de Jésus en hébreu, c'est Y'shoua, ce qui veut dire salut, Dieu sauve.
C'est pourquoi il est écrit, regardant Jésus crucifié comme l'Agneau pascal offert par Dieu pour que nous puissions chacun individuellement, selon notre foi, être pardonnés de nos fautes, que "Celui ou celle qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné." (Evang. Marc 16).

SAUVÉ-E DE QUOI? ET CONDAMNÉ À QUOI?
Sauvé de la perte absolue de notre personnalité par anéantissement final de notre âme - qui est le siège de notre ego, de cette conscience de soi qui nous fait dire Je ou Moi-je.

Sauvé dès après la mort physique du tunnel noir qui débouche (comme en témoignent plusieurs personnes revenues d'une EMI le dire) sur les tourments de l'enfer.
L'enfer est un terme non biblique par lequel en fait est désigné la plupart du temps le shéol (en hébreu) ou hadès (en grec), ce qu'on traduit en français par "séjour des morts"*, une immense "bulle" psychique temporelle faite de toutes les âmes devenues et restées captives des esprits satanisés (anges devenus des démons).

Ce qui sera plus précisément l'enfer comme on le pense, vient bien plus tard, comme jugement dernier irrévocable des fautes (de Satan, des anges dévoyés à sa suite, et de quiconque n'a pas reçu Christ comme son Sauveur).

C'est pourquoi  "nous faisons les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation." (2Corinthiens 5)

REVENIR A DIEU PAR LA FOI EN UI, ET EN LA CROIX !
La crucifixion de Jésus est un événement et travail inouïs de Dieu le Père et de son divin Fils, qui a des vertus salvatrices en elle-même et en potentialité, substitutive, expiatoire, propitiatoire, guérissante, libératrice, de rachat (comme les esclaves pouvaient être rachetés de mauvais maîtres).

Et croire, y croire, c'est pouvoir se nourrir spirituellement de la vérité vivifiante de cette "Bonne nouvelle" (ce que signifie le mot grec Evangélion) introduite par Jésus, qui dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'avez point la vie en vous-mêmes.54 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle ; et je le ressusciterai au dernier jour.55 Car ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang est vraiment un breuvage.56 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi, et je demeure en lui.57 Comme le Père qui est vivant m'a envoyé, et que je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi.58 C'est ici le pain qui est descendu du ciel. Il n'en est pas comme de vos pères qui ont mangé la manne et qui sont morts : celui qui mange ce pain vivra éternellement.59 Jésus dit ces choses dans la synagogue, enseignant à Capernaüm." (Evang. Jean 6)

C'est le sens du dernier repas de Jésus, qu'on appelle encore la Sainte-cène (le Saint-repas, que l'eucharistie catholique ne représente pas vraiment), qui est réellement et prophétiquement le repas de la Pâque où l'agneau sacrifié pour couvrir les péchés était mangé comme il fut ordonné à Moïse de l'instituer.

Institution qui fut respectée jusqu'au changement que produisit la venue de Jésus. C'est aussi pourquoi les juifs sont mal partout où ils se trouvent, dès lors qu'ils n'offrent plus de sacrifices sanglants selon leur Loi - la Torah, dont le livre du Lévitique, explicite, ne peut être retiré sans être remplacé par une réalité supérieure.

LE GRAND REMPLACEMENT
Sans reconnaître Jésus comme "L'agneau de Dieu" qui fait cesser en les remplaçant tous les sacrifices sanglants nécessaires pour obtenir la paix avec Dieu.

Aujourd'hui encore cette expression de l'amour de Dieu se donnant pour nous secourir, est rappelée car sans cela, nous mourrons encore dans nos péchés, loin de Dieu, sans Dieu, après notre mort comme avant.

Cette mort si particulière de Jésus et son sang d'innocent versé en sacrifice volontaire sont liés à une grande libération des captifs, non plus de l’Égypte de pharaon mais de la force du péché qui réside dans notre cœur.
Cette fête (comme aussi la Sainte-cène demandée par Jésus) figure, rappelle donc l'inimitié qu'il y a naturellement entre nous et Dieu, qu'il veut changer en amitié et intimité, restauration relationnelle possible pour qui vient à la croix et à Jésus:
"Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint Esprit.39 Car la promesse (de Dieu, du don de son Esprit qui est vie éternelle) est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera." (Actes des Apôtres 2)

"Car la vie est dans le sang" (Lévitique 17) et "sans effusion de sang, il n'y a pas de pardon" (Hébreux 9).
De la sorte, "Si nous confessons nos péchés, Dieu est fidèle et juste pour nous les pardonner et nous purifier de toute injustice" et "si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché."

FÊTER PÂQUE(S) SANS OUBLIER, SANS CACHER!...
Une fête sous forme de jeu de piste à la recherche d’œufs et de lapins en chocolat est organisée pour des enfants.
Je demande à une animatrice s'il va être parlé aux enfants de Jésus et ce qui est à l'origine de ce temps et de ce jeu. - Non, c'est laïque ici!
- Mais la laïcité c'est la liberté d'expression, concernant ce qui est religieux ou spirituel comme le reste.
- On peut pas!

Idem qu'avec Noël! Drame de l'occultation des réalités fondamentales, en fait de l'athéisme (militant, réducteur du Réel) qui s'impose à la laïcité (qui devrait rester ouverte)!... Silence qui se paie un jour ou l'autre, d'une manière ou d'une autre. Car si on ne sait pas, et si on ne met pas les souffrances et la mort de Jésus, son sacrifice pour nous, à sa place dans et pour notre propre existence, ce sont d'autres souffrances, et une mort terrible, qui viennent, qu'il veut nous éviter, qui viendront à nous et dont nous n'aurons pas assez de moyens pour échapper à la plupart!

Pâque(s) donc, sans oublier que si la mort de Jésus est à saisir comme l'extraordinaire moyen du pardon de nos fautes et de l'éternisation de notre âme (éternisation toute personnelle, de vous, de moi), c'est aussi parce qu'il est RESSUSCITÉ et vit pour toujours que tout cela peut devenir possible, opérationnel, par l'envoi gracieux de son Esprit-Saint jusqu'en nous.

"Car Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.9 A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère.10 Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie (retrouvée, ressuscitée)."

Ainsi par cette spiritualisation de la première fête, qui fit dire à Jésus expirant "Tout est accompli", chacun par toute la terre (juifs compris) peut vivre un jour pour la toute première fois (puis régulièrement) cet événement et ses effets comme lui étant particulièrement destinés.

Que Dieu y pourvoit pour vous, c'est mon vœu et ma prière.

Un chant  -  un résumé en audio, cliquez ici (3'47")

une prière (de paix avec Dieu)

_________________________
* article annexe ici d'un clic ! Les 5 types de mort

Aussi pour vous aider si vous en ressentez le besoin, une trame guide de prière

 

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17 février 2019 7 17 /02 /février /2019 08:46

"Le pouvoir de taxer est le pouvoir de détruire." John Marshall, chef de la Cour Suprême US.

L'action est nécessaire, mais le recul (le retrait  face à une situation, une prise de hauteur pour me pas se perdre dans la mêlée) est parfois bien plus utile.

A UNE INTERSECTION, IL FAUT CHOISIR
Une crise (sociétale ou individuelle) est comme une maladie, qui amène forcément à une intersection : laisser faire, prendre le bon remède, ou en choisir un qui peut paraître bon, mais qui va faire empirer le mal.
Il est ainsi des choix dont l'aboutissement est soit la vie - un retour dans la vie, bonne, apaisée -, soit la mort - un appesantissement des contraintes jusqu'à ne plus rien pouvoir faire - !

En l'espèce, un cumul d'insatisfactions a fait descendre une partie significative du peuple français dans la rue (sans compter ceux qui soutiennent le sens du mouvement sans y participer - ce qui est mon cas).

Partie significative de la population, de type Janus : S'y trouvent ensemble et sans frontière bien nette, gilets jaunes et casseurs-black blocs.
En fait deux expressions qui semblent opposées (l'une qui se veut pacifique, l'autre violente) ; en réalité deux visages expressifs d'une seule et même idéologie émise au XIXe siècle par un certain Karl Marx, qui se résume et s'applique par la formule "lutte des classes".

Une confusion des modes opératoires qui montre que ces deux visages sont intimement liés. Au point où en définitive, à l'observation et analyse, on voit bien que ce sont les casseurs qui ont obligé le gouvernement et le Président Macron à reculer dans l'avancée de leur politique, et non les "gentils"gilets jaunes.
Ce qui fait que malgré un pseudo Grand Débat, le dialogue est encore toujours impossible, et certainement pour longtemps...

Ce que cette crise montre est bien le visage d'une France dirigée depuis plusieurs décennies (voire depuis bien plus) par des prétendants à la gouvernance - élus par le peuple ! -, dont aucun n'a su ou voulu s'attaquer pour les résoudre aux problématiques de fond, savoir notamment l'enlisement dans l'impiété et les désordres moraux, la corruption dans tous les domaines que favorise grandement la mécréance.

Au lieu de nécessairement dépasser la crise de la religiosité (qui donna et perpétue un et des christianismes dénaturés) par un vrai éveil à la spiritualité chrétienne (telle que Jésus et tout le Nouveau Testament la formulent), on est descendus dans un matérialisme à outrage, d'autant plus développé qu'il ne répond jamais aux besoins les plus fondamentaux de l'âme et de l'esprit, que sont la paix intérieure, le bien-être personnel, un amour véritable (charitable, qui est bien autre chose que des relations sexuées), une joie qui n'a pas besoin d'expédients, de stupéfiants et autres alcools pour se trouver. 

De la sorte le matérialisme philosophique dialectique d’Engels et Marx pu envahir les nations (notamment aux religions non violentes) sur la base de la lutte des classes prônée et appliquée... notamment en Russie et en Chine au prix de pas moins de 100 millions de morts (sans parler des blessures, traumatismes, souffrances...).
Et si le socialisme muté en communisme n'a pas pris le pouvoir et la direction des pays d'Europe, cette idéologie, unique à deux têtes, vindicative, subversive, impérialiste, n'en a pas moins infiltré dans les nations les âmes et esprits des peuples*. Au point où nous sommes tous, avec ou sans gilets jaunes - en plus de notre nature personnelle héritée, naturellement vite agressive ou irrespectueuse - tous subtilement formatés par ce qui est devenu une culture matérialisme qui est le fond de la laïcité.

Et donc, on avance de plus en plus dans les relations les plus rapprochées par ce qui est physique, par notre corps, nos membres étant notre part évidente, ce qui semble être le plus fort et imposant, le principal moyen d'obtenir du bien pour soi.
Dès lors on est court-circuités au plan de la réflexion personnelle et des échanges où le recul et la spiritualité seuls permettraient l'émergence de solutions bonnes.
Résultat : las mobilisations et la casse ajoutent aux déficits et au besoin d'imposer ou de s'endetter encore pour trouver de l'argent-roi !

Une remarque intéressante - honnête - d'un politique qui a connu le cœur du système (Michel Rocard) : "Le métier de gouvernant est à mon sens le seul au monde dans lequel les qualités et talents rendant possible l'accès à une fonction soient radicalement étrangers à ceux qui nous sont nécessaires pour exercer efficacement la dite-fonction."

Une autre manière d'exprimer sa lucidité (Benjamin Franklin) : "La démocratie, c'est deux loups et un agneau votant ce qu'il y aura au dîner."

DE MARX À JÉSUS - INVERSER LES TABOUS !
Alors taillons un peu dans les tabous de la laïcité athée inféodée - si peu consciemment - au marxisme-matérialiste casseur.
Voyons ce qu'enseigne (suggère, préconise, intime aux êtres de bonne volonté) un certain Jésus, porteur d'une "Bonne Nouvelle" qui recentre l'homme (depuis toujours en guerre et divisé) sur son besoin fondamental : d'être aimé et d'aimer? Cela comme seul moyen et seule force pour retrouver une commune-union, une communion qui inclut (verticalement) le Dieu-incontournable-qui-ne-s'impose-pas (pour le moment).

GOUVERNÉS ET GOUVERNANTS
C'est une conséquence directe de notre condition génériquement dégradée, qu'il y ait des rapports dominant-dominé dans ce monde, qui exprime notre aspect animal déspiritualisé.

Au sujet du rapport des peuples avec leurs gouvernements on trouve écrit via l'apôtre Paul : "J'exhorte donc, avant toutes choses, à faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces, pour tous les hommes,2 pour les rois et pour tous ceux qui sont élevés en dignité, afin que nous menions une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté.3 Cela est bon et agréable devant Dieu notre Sauveur,"

Voilà pourquoi Jésus est mort ! Il a donné sa vie, crucifié, pour que nous puissions être réunis les uns et les autres par le don de son Esprit dans la paix qu'il accorde à ceux qui sont - d'abord, préalablement - réconciliés (en paix) avec Dieu.

Lisons encore :
"Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles.18 Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation.19 Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."

Car c'est seulement le pouvoir de Dieu de changer les cœurs naturels dénaturés, nos cœurs durs ( blessés et blessants, cassés et casseurs, ou encore lâches, faux-jetons ou indifférents) en cœurs nouveaux, apaisés et bons.
Il ne suffit donc pas de descendre dans la rue pour obtenir quelque satisfaction. Tout ce qu'on peut gagner d'une mauvaise manière ne profite jamais.
Il ne suffit pas non plus de prôner et désirer un vivre-ensemble pour le réaliser.
Pire, vouloir le bien social par nous-mêmes, sans Christ, c'est s'exposer à le voir reculer - et c'est ce qui se passe, car c'est une loi irréductible au milieu de nous.

Maintenant la Bible dit aussi qu'on a les chefs qu'on se donne (par le jeu de la volonté populaire) ou qu'on mérite (des leaders bienveillants ou des dictateurs, selon). Car les principales autorités sont des verdicts divins, pouvant apporter des accalmies, ou des calamités. Et donc, libéral extrême ou dictateur sont chacun des chefs en rapport avec les peuples qu'ils se mettent à gouverner !
C'est pourquoi plus que la révolte, l'élévation par soi-même, face à une épreuve - et ce gouvernement en est une de son fait et par la force des choses -, mieux vaudrait l'humilité que l'arrogance ou la violence, mieux vaudrait défiler  peut-être, mais en priant pour que Dieu fasse grâce, pardonne nos péchés respectifs - en commençant par les nôtres et jusqu'à ceux des dirigeants qui sont là.
De cette manière, il peut se passer ce qui ne s'obtiendra d'aucune autre manière.
Jésus : "Je vous dis, à vous qui m'écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent,28 bénissez ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous maltraitent."

Être chrétien ou marxiste, il faut choisir !
Entre le moindre et le mieux, même entre un bien et le meilleur, on a encore chacun des choix importants, de cet ordre, à faire. Car d'un côté c'est le chemin de la bénédiction - même pour les pires pécheurs/fauteurs/casseurs... qui se repentent ; de l'autre les chemins de la malédiction ne manquent pas si l'on n'obéit pas aux commandements de l'Éternel (d'aimer, d'être juste, honnête, de renoncer à toutes formes de mal, mensonges, idolâtrie, vices...).

Et si vous vous demandez comment faire pour prendre, déjà tout personnellement, le bon chemin de la résolution des problèmes - des plus personnels et immédiats, de votre pouvoir d'achat, de votre besoin de force et de liberté face aux tentations économico-publicitaires, et encore de la problématique de la mort, lisez la réponse qui est ici.

Soyez béni-e.

Prière-guide pour entrer dans une paix véritable avec Dieu

Article annexé : Les 5 types de mort - aussi GILETS JAUNES ET CASSEURS SOMBRES

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* Ouvrage très révélateur de Maurice Druon (ancien ministre, académicien, écrivain...) : La France aux ordres d'un cadavre - Éditions De Fallois et du Rocher.

Prochain article : L'HUMAIN INSATISFAIT ET LES DEUX TYPES DE SATISFACTIONS

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24 janvier 2019 4 24 /01 /janvier /2019 08:35

Chère lectrice, lecteur,

On ne saurait trop le redire, dans un monde qui se perd (repères, valeurs, sens général, directions particulières... et même pouvoir d'achat !) : Dieu existe et Jésus est vivant !

CROIRE QUE DIEU EST UNE PERSONNE RÉELLEMENT VIVANTE !
Pour vivre régulièrement des expériences avec lui depuis plus de trente-cinq ans, et compte tenu de mes propres difficultés et insuffisances, je peux assurer que le Dieu véritable est un Dieu fidèle, qui ne manque pas quand on l'invoque... et même quand parfois on se déroute (Il sait nous retrouver).

Telle est la vérité la plus essentielle que nous ayons non seulement à connaître de manière intellectuellement (par notre âme), mais encore à connaître par notre esprit et son Esprit. C'est-à-dire dans une relation vivante, rapprochée, qui vient et tient de la connaissance que nous pouvons avoir, lui de nous et nous de lui.

Relation faite d'expériences de ses réponses à nos prières ou attentes ; parfois de ses silences - qui n'ont d'autre but que de nous interpeller, pour une raison ou une autre - à rechercher - ; aussi de muscler notre foi pour que nous ne croyons pas seulement quand nous (le) ressentons.

Relation faite aussi bien sûr de ressentis, comme par exemple le bien dans notre cœur quand on expérimente un exaucement de prière, ou face aux merveilles de la nature, ou quand nous lisons avec à propos des paroles qui viennent de lui.

On ne doit pas se contenter de savoir qu'il y a deux mille ans Jésus a rendu vivantes des paroles de Dieu à deux disciples en train de perdre la foi (lire ici), mais on doit croire que par le même Esprit, il peut aujourd'hui, à nous personnellement, parler d'une manière toute surnaturelle ou d'une autre.

PAROLE(S) DE DIEU : DIEU PARLE TOUJOURS
Si toute la Bible est parole(s) inspirée(s) du Dieu souverain, quand nous n'avons pas une direction particulière de l'Esprit, le livre des Psaumes est comme une source abondante d'affirmations et de promesses par lesquelles il peut nous parler, établir une relation avec nous.

Hier soir par exemple, je ne me sens pas suffisamment près de Dieu, notamment sans direction spirituelle. Au bout d'un moment je décide de me placer devant la Bible, demandant à Jésus de me conduire où il a quelque chose à me dire.
Il me rappelle (par une pensée qui me vient) "psaume 84", qu'il m'a déjà dit de lire 2-3 semaines en arrière (et dont j'ai a priori oublié le contenu). 
En lisant je me rappelle du texte, mais surtout l'Esprit me met en relief le verset 6 "Heureux ceux qui placent en toi leur appui ! Ils trouvent dans leur coeur des chemins tout tracés." J'approuve cette affirmation et demande alors à voir dans mon cœur quel chemin...

Puis au verset 12 je lis une autre affirmation (que je connais, mais on est si oublieux !) qui m'interroge "l'Éternel Dieu est un soleil et un bouclier, L'Éternel donne la grâce et la gloire, Il ne refuse (ou retient) aucun bien à ceux qui marchent dans l'intégrité.". Il me semble que je marche dans l'intégrité !? Mais l'Esprit tout-divin me fait sentir que non ! Il y a un problème !
Comme je ne vois rien je m'humilie et demande sa lumière : Il me montre ce que je n'ai pas réglé, qui peut se régler - et qu'il est préférable de le faire - avant la fin du jour (si je veux être rapproché de lui).
Ce que je fais, et que l'Esprit atteste en moi.
Le lendemain matin, un, deux, trois chemins se tracent en moi, dont a résulté cet article.

Le Psaume 23 commence avec une affirmation similaire "L'Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien."
Cette fois c'est notre part de croyant de croire et d'affirmer que si je prends le Dieu de toute éternité comme conducteur de ma vie (comme un berger conduit les brebis/moutons qui lui sont confiés), je ne manquerai de rien ! 
Car si cette affirmation venue de David (le berger/poète/roi) est écrite là, c'est qu'il s'agit d'une vérité sur laquelle tout croyant authentique peut fonder sa foi. La part de Dieu est alors de répondre en rapport de notre foi, c'est-à-dire ici de faire qu'on ne manquera de rien.

On peut noter que le verbe manquer est au futur. L'affirmation est donc une promesse de Dieu. Il la tiendra quand il jugera que c'est le meilleur pour nous, et encore quand il pourra ! Puisqu'on vient de voir que peuvent exister des obstacles de notre part (manque d'intégrité mais aussi d'autres), qui empêchent Dieu de nous accorder tout le bien dont il veut nous pourvoir.

¤

Pour poursuivre une étude personnelle, voici quelques passages-clés :
- la foi qui met "en paix avec Dieu" et conduit à "l'aimer" n'a rien d'une simple croyance religieuse, mais passe par une "nouvelle naissance", toute spirituelle, qui se produit en nous :
     - Principe "A tous ceux qui l'ont reçue (la lumière de Dieu), à ceux qui croient en son nom (Jésus-Yeshoua-Issa), elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés,13 non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu."

      - Exemple : Évangile selon Jean, chap. 3, versets 1 à 21.

- Pourquoi la foi au Dieu vivant ne peut être séparée de la foi en Jésus vivant (mort et ressuscité) :
"Si quelqu'un est en Christ (né de Dieu), il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles.18 Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation.19 Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."

- Distinguer le bien du mal, avec, d'une manière générique "nos manifestations mauvaises", "les 10 commandements", le danger des contacts occultes, et en vis-à-vis "le fruit de l'Esprit" (ce vers quoi nous devons tendre pour le pratiquer par la force de la vie nouvelle de Christ en nous et la foi.
(Pour mieux cerner le mal selon Dieu qui pourrait vous concerner, voyez vous-même avec le Saint-Esprit pour qu'il vous conduise à voir/trouver ce qui vous est tout personnellement problématique).

Et bien sûr, parce qu'aucun d'entre nous n'est parfait en soi, c'est-à-dire sans pécher, sans faute, sans tomber, sans faire mal, "Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité.10 Si nous disons que nous n'avons pas péché, nous le faisons menteur, et sa parole n'est point en nous."
Et là, nous avons à apprendre à distinguer entre les fautes que nous pouvons commettre, et la force maligne qui nous habite et nous pousse à mal faire de manière répétitive (malgré notre désir de ne pas ou plus vouloir) : Pour les fautes on a besoin de pardon ; pour la force irrépressible dans un domaine donné, on a besoin de délivrance. Pardon et délivrance - et autres bénédictions - sont essentiellement au pouvoir de Dieu. 

Soyez béni-e, et réconcilié-e (jour après jour) avec Dieu par Christ "notre paix" (notre meilleur moyen disponible de paix intérieure durable). "Le Dieu de paix écrasera bientôt Satan sous vos pieds. Que la grâce de notre Seigneur Jésus Christ soit avec vous !"

un chant : Roi des cieux

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  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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