Le monde est en mode remorquage. Qui vous remorque ?...
Le monde est malade d'une crise de foi.
A l'origine de toutes nos maladies, il y a une crise de foi.
Et pourtant -le croyez-vous ? -, nous sommes tous essentiellement croyant, tous croyants d'une manière ou d'une autre !
Même l'athée, l'agnostique ou l'indifférent à tout croit.... ce que va démontrer cet article.
LE BONHEUR EST DANS QUEL PRE ?
Quand je subissais cette crise de la foi, que je ne la soupçonnais même pas - comme on peut avoir un cancer sans encore s'en douter -, j'étais mal, alors qu'il semblait que je ne manquais de rien : jolie petite femme avec qui j'avais eu un fils paisible ; un métier indépendant passionnant qui me laissait pas mal de temps (photographe et correspondant de sport automobile) ; une grande maison bourgeoise avec parc en Savoie près du plus grand lac de France ; la plus grosse des Audi berline d'alors et un petit Transit Ford sympa pour mes reportages ; la jeunesse, moins de trente ans, et une santé relativement bonne.
Qui ne rêverait d'avoir cela, en pensant même : Quel con celui-là de ne pas savoir être heureux avec tant d'avantages !
Je n'étais pas malheureux, mais je ne savais pas jouir de ces biens... comme on peut faire l'amour et ne pas jouir.
Il y a une insatisfaction sournoise, non conscientisée, de l'ordre de la frustration, comme en fond d'écran. Qui, ajoutée à l'impatience naturelle, rend irritable et même quand tout va bien fait chercher autre chose ou plus, ailleurs (une autre femme, une autre agence (de photo, puis de graphisme et publicité...).
Bref, en toute inconscience, on agit comme ayant un manque au tableau . Tableau qui pourrait devenir une œuvre qui apporte bonheur et enthousiasme, surtout un enthousiasme durable. Mais ce n'était pas le cas.
Étais-je à part (comme je le sentais parfois), spécial ? Certainement... comme chacun, ce mal-être des profondeurs étant, je l'ai appris bien plus tard, un fond commun à notre humanité.
Certes, vue du dehors, ma vie était belle, enviable, admirable même (parti de rien, étudiant fauché 10 ans plus tôt). Mais une existence un peu comme celle d'un clown qui fait rire tout en étant triste au dedans. Quelque chose de pas logique, de difficilemnt compréhensible.
C'est que le bonheur ne dépend pas QUE du matériel, d'une femme, d'un conjoint ou du dernier produit à la mode qu'on s'achète.
Il est plus exigeant. Il demande plus.
Il demande une construction intérieure, une paix qui ne nous est pas naturelle, parce qu'on n'en sait pas assez sur la vie !
Parce qu'entre la flemme (la paresse paralysante) et l'activisme (qui ne nous laisse jamais en repos), il y a une plage privilégiée, privée, étroite mais qui ne nous met pas à l'étroit, intime, peu discernable, que je ne connaissais pas, à trouver.
Qui doit naître !
Par un "re-made", une reconstruction de soi - Et on en est bien incapable ! -, parce qu'on est mal construit, n'importe comment, sans plan d'origine et sans finalité...
ET DONC COMMENT ?
Alors - chance !? -, au seuil de la trentaine, par la grâce de Dieu j'ai reçu ce qui me manquait.
Je ne l'avais pas, lui, le vrai Dieu, dans ma vie. Dans cette existence naturellement soumise à la pesanteur des biens acquis ou convoités autant qu'à celle des manques réels ; à la vanité des pensées (le plus souvent injustes, brouillonnes, non maîtrisées et mal traitées) ; à des élans genre soufflet au fromage ; à un vide indistinct que rien de ce qui est de la terre ne peut jamais longtemps combler.
En son temps Blaise Pascal l'a identifié: "un vide en forme de Dieu".
A l'époque ma mystique ou métaphysique ne dépasse pas la possibilité qu'il y ait des extra-terrestres, et que j'aimerais bien qu'ils se révèlent à moi, s'il y en a.
Les remèdes qu'on cherche pour soigner notre état en fait de crise de foi - insoupçonnée dans mon cas - et dont la plupart de toutes les autres crises ne sont que des symptômes - sont multiples.
De la consultation psy à telle pratique ritualiste ; des démarches les plus populaires (popularisées) aux plus marginales (auto-marginalisées), ésotériques, passant par diverses (mises en) formes physiques ou mentales de quêtes d'absolu : croyances fondées sur du roc ou sur du sable, sur des mélanges stables ou instables... ils ne sont jamais suffisants ces remèdes, c'est-à-dire pas le bon, pas l'adéquat - voire un pire, qui ajoute au mal être -, parce que pas la pièce du puzzle qui manque.
C'est qu'il nous faut un véritable re-made !
Un re-façonnage par une régénération globale, de notre personne, mal agencée (en commençant par une socialisation voulue et formée par d'autres, voire par leurs perversités et autres Maux Socialement Transmissibles).
D'où l'être social plus ou moins lambda ou marginal qu'on est devenu, dans tous les cas faisant partie de la courbe de Gauss* des populations dont tous sont des abîmés, des défaillants, des sursitaires de vie, incapables de se suffire jamais réellement à eux-mêmes (et bien sûr aux autres).
DIEU ET NON UNE RELIGION OU AUTRE CHOSE
Et cela - ce "re-faire" qui nous est impossible, - Dieu lui, - le vrai, l'unique, celui qui se révèle -, seul le peut.
Pas question de religion (ou secte), qui toutes en montrent telles représentations à travers des prismes déformants.
Pas question d'images, d'icônes, de placebo, d'ersatz et autres voies (voix) de connexion qui restent culs-de-sac, paroles ou actes sans ré-engendrement bénéfique.
Pas question de philosophie, comme l'écrit Pascal par sa nuit du 23 novembre 1654 au moment où ce Dieu le visite: "Certitude. Certitude. Sentiment. Joie. Paix.
Dieu de Jésus-Christ... Pas le Dieu des philosophes et des savants."
Pas question d'idéologie non plus, toujours controuvées, qui s'inventent et séduisent, appelant à des luttes inter-humaines, auxquelles s'enflammer... jusqu'aux meurtres (...1572 -1789 - 1917 - 1939...)
Seulement besoin pour commencer d'une rencontre déterminante... qui rend libre et laisse libre plus que tout système dont on fait partis. Rencontrer Dieu : Notre Big-bang ! Conversion-révolution ! Découverte comme quantique.
Je sais aujourd'hui par mes propres expériences que le Dieu vivant et vrai, sa présence, ce qu'il peut nous faire ressentir, goûter, vivre, comprendre... n'est pas davantage dans les quêtes scientifiques que dans les passions et plaisirs innombrables que peuvent procurer les découvertes et les biens de la terre et qu'il peut s'en former en nous !
La lecture, l'écriture, les arts, la parole en public, les mathématiques, la réussite, la célébrité, la vénération d'idole, les défonces et extrêmes de toutes sortes... rien ne peut combler le vide qui nous habite (voire qui nous hante pour certains).
Que Dieu. Qui est le seul vrai Dieu, le concepteur lointain et le pourvoyeur attentionné.
MODE DE CONNAISSANCE, LA RÉVÉLATION
Un jour du printemps de 78, en début d'après-midi, dans mon parc, en un instant précis, Dieu a levé devant les yeux de ma conscience le voile qui nous obscurcit naturellement tous. D'un coup, il était là, et du coup je SAVAIS ! Que oui Dieu existe, pas loin, juste derrière les choses (certaines choses), en exil de notre conscience... plus que de nos existences.
Révélation qui booste, première conversion, qui me donne une envie criante de le dire au monde entier !
D'un coup, conscientisée ou pas, la crise de foi est guérie à sa racine, jusqu'à pousser des ailes. L'amour - sans objet, en soi, agapé (en grec) - se met à brûler dans mon cœur comme jamais auparavant. Je vis un bonheur béa(n)t.
(Et je me mets à écrire, écrire, écrire...).
VÉRITÉS PREMIÈRES
Expérience personnelle, certes toute subjective, de Dieu. Cependant outre cela, le concept de Dieu est suffisamment permanent, universel, récurrent, irréductible, pour affirmer qu'il est une réalité, une vérité, et que cette expérience tient aussi de l'objectivité générale du Réel (écrit avec un grand R pour dire "somme du créé et de l'Incréé").
Ce n’est pas la variabilité possible des opinions qui fait qu’une vérité objective et universelle est impossible. L'impossible au contraire est d’affirmer « à chacun sa vérité », puisqu’on l’affirme faussement comme une vérité.
Ainsi est-il des réalités qui sont des vérités en soi, sans qu'on ait besoin de saisir tout ce qui les fait ni de les prouver: ce sont des vérités premières que nous sommes amenés, invités, voire obligés d'admettre, et possiblement un jour heureux de rencontrer sans aucun filtre, de connaître intimement, d'en recevoir une révélation (démonstration) personnelle indubitable.
COMME JOB... SI POSSIBLE SANS LA SOUFFRANCE
Ainsi la Bible nous parle de Job.
Cet homme avait une croyance - psychique, personnelle, naturellement acceptable par son âme, issue de sa culture avec sa religion.
On peut croire ainsi en Dieu (comme en plein d'autres choses) en lieu et place d'une connaissance expérimentale, spirituelle, tout autre, de la réalité personnelle du Dieu qui est.
C'est ce passage révolutionnaire (que j'appelle seconde conversion) qui manquait à Job et que l'Objet véridique de sa croyance voulait lui donner de connaître, dans les dimensions et essence de la spiritualité divine.
Là où nous en sommes chacun, Dieu veut nous mener plus loin, c'est-à-dire en lui (par esprit) et plus en lui (ce qui se fait schématiquement par trois degrés de conversion).
Pourquoi Dieu eut-il recours à Satan pour cela ?
Parce qu'il a (acquis d'avoir) la main sur la terre et les hommes. Et il tient Job comme les autres sous cet assujettissement qui se concrétise par une séparation effective d'avec Dieu.
Alors Dieu doit pousser Satan à la faute. A exercer sur Job une pression parfaitement injuste, une iniquité qualifiée.
Et parce que Satan le fait - image également prophétique de ce qui va se passait (presque quatre millénaires plus tard) à Golgotha sur la personne de Jésus crucifié -, Dieu peut rendre justice à Job en le faisant entrer dans sa dimension céleste.
Si ce n'est dimension du moins possibilité même pas soupçonnée par l'homme, dans laquelle il est impossible à quiconque d'entrer sans l'aval, l'appel ou la grâce divine.
C'est en cela que Dieu nous cherche...
C'est ce que le Dieu authentique veut toujours faire avec nous ses créatures atteintes par le mal, séparées, réduites, invalides côté Ciel, ce qui s'appelle la rédemption (le salut, la grâce ou encore le rachat car il s'agit que nous soyons rachetés à Satan)...
Alors rejoignons le surnaturel au cœur de notre naturel...
à suivre avec LE SURNATUREL DEVANT ET JUSQUE DANS NOS PORTES
Soyez béni-e pour chercher... et trouver
__________________
* La courbe de Gauss est une courbe valable pour beaucoup d'ensemble, dans notre cas une population, avec sa partie centrale conforme au système qu'elle forme, et sur les côtés 10-15 % de marginaux qui ne cadrent pas vraiment avec le système.
J'ai un arbre.
Est-il très beau objectivement,
Comme je le trouve subjectivement ?
C'est un tamaris
Au feuillage doux et si fin
Qu'il forme comme des taches
De peinture impressionniste bruissante
Vert tendre en ce début d'août
Et rose clair quand il fleurit.
J'ai envie de l'écrire,
Comme une représentation vivante
De celui qui l'a conçu, si magnifique au dehors
Et en dedans.
Il est tortueux de tronc
Et si élancé par ses branches ployantes.
Il est comme s'il ne faisait rien
Et ainsi il apaise.
Il me donne de la fraîcheur
Par son ombre ocelée et il respire
Échangeant avec moi pour le bien des deux
Oxygène contre dioxyde de carbone.
Il pompe aussi ;
Ô pour pomper il pompe,
Sans le moindre bruit, plus fort
Qu'un moteur de machine, plus haut
Que le toit d'une haute maison.
Ingénierie si magnifique
Qui passe inaperçue
A l’œil asservi par nos occupations,
A nos palabres, pensées et rêves absorbants,
A tant de connaissances qui voilent
Plus qu'elles n'aident.
Et je ne vois pas tout ! Je sais,
Et le regardant je rêve, de le voir un jour
Sous l'aspect vibratoire quantique des particules,
Attachées relativement, aux dessins des formes
Et couleurs, au dessein qu'il expose,
Réalise et poursuit
Selon la plus Haute Sagesse
Que l'être que nous sommes jamais
N'égalera.
Je crois qu'ainsi se miraient l'un dans l'autre
Le premier couple, chacun mu mais habillé comme l'eau
Quand elle est paisible et renvoie mille et un éclats du soleil,
De la lumière irisée de leur esprit baignant leur âme,
Leur innocence, de l'amour paternel du Ciel,
S'aimant et aimant tout en retour
Sans questions !?...
Attention ! Si nous manquons
Comme eux d'une saine curiosité !...
Plutôt donc que de vouloir toujours réformé,
Ouvrir des boîtes de Pandore ou de Schrödinger,
Changé tout comme si tout le monde était trop mal fait,
Je me dis (écologique sans le mot
Mais dans l'âme)
Combien on gagnerait
A mieux voir ce qui est, et comment
Bien sûr, mais surtout pourquoi, et pour quoi et par Qui !?
Prodiges simples et si complexes
Qui marchent pas si mal
Depuis si longtemps,
Plein de sens pour qui voient
Émerveillés d'être témoins et acteurs
Avant d'être facteurs ;
Avant d'être les plus sombres
Apprentis-sorciers,
Du fait de notre liberté,
Incomprise et
Gâchée.
L'état d'entropie (déstructuration, décomposition, mutation incontrôlée) croissante des sociétés et relations humaines, ne doit pas nous empêcher, pour le temps qu'il nous reste à vivre dans ce monde, de mettre nos mains à la pâte de sa finalité.
Il s'agit au final de parvenir à une conscience du Réel élargie, qui va de la conscience basique initiale de soi à celle du non-soi, savoir celle des autres, de nos environnements et essentiellement de Dieu - le vrai ! qui est à la fois Créateur et Rédempteur.
Voici encore écho de sa voix attentive aux perdus cosmiques et spirituels et aliénés psychiques que nous sommes tous par condition naturelle (générique et ajouts personnels).
PENSÉE DIVINE GÉNÉRALE
Dans sa première partie (Ancien Testament ou Tanakh initialement destiné au peuple juif), la Bible rapporte et indique à quiconque (peuples de tous les temps et individus) ce qu'il faudrait faire - et comment cela n'est pas fait !- pour parvenir à entrer dans une relation rétablie et durable (qu'on a tous perdue) avec Dieu.
On parle ici de la finalité recherchée par le Divin, de ré-unir en lui le genre humain par la voie système qu'on appelle religion.
L'histoire entière rapporte l'échec de ce moyen. Moyen cependant légitime de la part d'un Dieu saint, parfait en lui-même, voire agréable à pratiquer, mais surtout impuissant pour changer nos cœurs (notre nature adamique, malencontreusement marquée par une dynamique interne maléfique appelée "le mal" ou "le péché").
Dieu laissa en effet environ 15 siècles à la descendance d'Abraham,d' Isaac et de Jacob pour qu'elle tente de suivre cette Loi (ou Torah) et surtout - finalité de toute religion, que Dieu permet à cette fin - pour réaliser avec contrition, voire avec larmes, que cela n'est pas possible en l'état.
C'est à cette sincérité navrée et navrante que Dieu attend que tous croyants parviennent. Car ce n'est que de là qu'une solution victorieuse peut apparaître... de sa part.
C'est ainsi que l'histoire de la terre n'est très largement qu'expressions lamentables (tragiques, conflictuelles, horribles, douloureuses, de cet état d'échec sans cesse réitéré de la part des générations d'Israël et plus largement des descendances d'Abra(ha)m et autres goïm (étrangers à cette descendance sémitique).
D'UN SYSTÈME À UNE PERSONNE
Et donc, parce que quand même un petit reste de juifs s'attendent (il y a un peu plus de 2 000 ans) à la venue de la solution divine - un "Schilo", un "mashiah (Messie) promis comme libérateur, Dieu après 400 ans de silence lance la seconde partie de son plan de rédemption : C'est l'apparition de la personne de Jésus.
En substance, désormais Dieu dit que l'approche de la divinité par quelques pratiques religieuses que ce soit - toujours marquées d'infidélité, d'hypocrisie, de stagnation, d'irritation ou de frustration) n'aura jamais lieu. Que les croyances et efforts religieux avérés impuissants doivent maintenant être changés en une foi tout autre, où l'on ne pas plus avoir à chercher à gravir la montagne (inviolable) de Dieu, mais simplement croire que quelqu'un - Jésus, le Messie juif, le Christ des nations) l'a gravie avec succès pour nous tous.
Cela s'appelle Évangile (du grec ancien evangelion qui signifie Bonne Nouvelle - Gospel en anglais), formant pour sa transmission la seconde partie de la Bible : le Nouveau Testament.
C'est ainsi que l'état du cœur des hommes, femmes et enfants commença à changer sous l'effet de la foi placée en Jésus comme Sauveur et libérateur du mal.
Malgré que des hommes trafiquèrent avec l’Évangile au point de créer des "religions chrétiennes" - un oxymore -, des nations entières se formèrent sur les fondements évangéliques, d'abord après la chute de l'Empire romain (IVe siècle), et plus tard par le renouveau que fut le réveil spirituel initié par le moine Martin Luther pour désenliser de la religiosité résurgente (au XVIe siècle).
MAIS L'HUMAIN PEUT ENCORE ÊTRE RELIGIEUX ET TERRIBLE - USURPATEUR
C'est un des risques de la liberté dont Dieu nous apourvu.
Ainsi, dès le XVIIIe siècle quelques antireligieux (dont Voltaire n'est pas le moindre, non sans raison mais de bien mauvaise manière) entreprirent de jeter (dénoncer) les eaux sales, agitées et sanglantes ecclésiales... jusqu'à progressivement occulter parmi toute l'Europe la pensée de Dieu (dans la mesure où les trahisons des hommes l'obligent).
D'où naquit l'humanisme, où l'on prend les valeurs, les bonnes choses, les bénédictions héritées issues de la foi des ancêtres, tout en ne voulant pas de Celui qui les dispensent...
Un ersatz, un placebo même, qui ne peut durer (tromper son monde sur la justesse de son point de vue) qu'un temps.
C'est ainsi que comme l'institution ecclésiale dominante (catholique) fut jugée pour ses déviances et intrigues de manière sévère à partir de 1789 (notamment par des expropriations massives de biens et autres assassinats de religieux), l'humanisme va être jugé à son tour.
(Mal) habité par un concept de laïcité tôt dévié du bien-fondé de son origine), l'humanisme va vite laisser voir le cœur de ses principaux leaders (agitateurs), se mutant en socialisme, une idéologie qui n'est pas étrangère à la pensée de Marx et Hegel fondée sur la lutte entre humains.
La virulence de la doctrine éclate fin du XIXe et début du XXe siècle, avec un combat politique qui emporte la "séparation de l’Église et de l’État", une formule inappropriée (qui nomme Église ce qui n'en est pas la plus juste expression) qui n'est en fait que la prise du pouvoir politique français par des athées (ou athées et croyants affiliés à quelque secte occulte).
On est en 1905. Jean-Jaurès, passionné par la force que représente le pouvoir politique autant qu'il l'est au plus profond par sa foi vivante au Christ est amené à lâché cette dernière : l'amalgame n'est pas tenable, il apostasie... et il est assassiné (pour cette trahison spirituelle ? car comment vouloir la paix sans son divin Prince !?) et la France prise d'assaut par ceux qui veut son bonheur et des libertés sans le secours de Dieu est envahit : 1ère guerre qui devient "mondiale".
L'humanisme a été là une tentative d'impérialisme à partir du nationalisme (orgueilleux) allemand.
A quelque distance (géographique et temporelle) de là, en Russie Lénine s'empare de la même idéologie commençant son action marxiste révolutionnaire avec le Parti ouvrier social-démocrate.
Mais très vite, pour mieux soumettre les hommes, il faut les collectiviser de force, les tenir par la dépendance en l’État propriétaire de tout. Une expérience athée qui tourne à une nouvelle forme de l'esclavage, ou d'un totalitarisme progressivement terriblement meurtrier et horrible - démoniaque pour tout dire, comme c'est avec Hitler plus à l'Ouest...
XXe siècle, LE PLUS MEURTRIER DE TOUTE L'HISTOIRE
Faute de revenir à Dieu en tant que nation, en 1918 la France n'a que le temps de se donner une nouvelle jeunesse qui va devenir de "la chair à canon".
La liste des dizaines de millions de morts s'allongent.
Après 1945, le bilan d'une politique menée en laissant délibérément Dieu et la foi en retrait de nos affaires, n'ai pas mieux fait en matière de justice sociale que ce qui était reproché aux religieux tenant les rênes du pouvoir : désormais les morts se comptent par dizaines de millions !
Alors que les survivants de l'Europe disloquée cherchent des termes de paix - toujours sans revenir à Dieu, que pourtant ils ont ô combien invoqué au cours des hostilités ! -, en Chine l'humanisme collectiviste trouve en Mao Tsé-Toung un nouvel outil bien disposé pour imposer l'unité des hommes sans l'amour (de Christ) qui serait nécessaire, donc par les armes et toutes sortes de répression et de meurtres.
C'est que pas plus les valeurs chrétiennes qu'on veut appliquer humainement sans Christ, que les religions qui poursuivent le même but d'unir et de faire grandir une unité par une religion, n'ont de force pour le bien.
NOUVELLE STRATÉGIE... OU TRAGÉDIE ?
Ne faisons plus la guerre mais faisons l'amour, proposent - et s'illusionnent - les jeunesses occidentales qui fleurissent malgré tout des guerres.
Les années 60 avec le pic de Mai 68 sont ces nouvelles années folles qui avaient suivies l'armistice de 18.
Mais ce débridement des mœurs va s'avérait en moins de trois générations une véritable bombe à retardement... comme on a appris à en fabriquer, des nucléaires, par ailleurs.
Car les plaisirs immédiats obtenus par cette prétendue libération des corps (féminin surtout) vont faire apparaître de plus en plus de grossesses non désirées, toute une progéniture naturelle, adultérine, voire née d'inceste ou d'acte pédophile.
La science comme l'art et les réflexions philosophiques impies avancent sans frein, apportant effectivement au fils des ans un confort matériel heureux à surabondant ; le cubisme et autres arts abstraits et musiques déjantées jusqu'aux confessions des satanistes ; l'existentialisme qui confesse de son côté l'échec de la compréhension et ouvre la voie à la désespérance suicidaire ; la subjectivité va prendre le dessus à la place du sens : les opinions - même des enfants - sont érigés en vérités objectives.
Il résulte de toutes ces forces développées sans schéma directeur, dans la quête d'un développement de soi qu'on prend pour la désaliénation qui nous est nécessaire, des productions technologiques qui nous étouffent, des relations obligées de toutes sortes de plus en plus difficiles, éprouvantes, dégradées, conflictuelles. Et on n'est qu'au début de la fin...
On crée des concepts artificieux qui vont s'avérer dramatiques, toujours plus mortifères et meurtriers.
On confond progrès (calculés, mûris, bénéfiques) et progression (réactive, obstiné, aléatoire, où le changement importe plus que ce qui va effectivement en résulter (ce qu'on appelle progressisme).
Bref, on a construit un Titanic aquatique (1912), puis des Titanic sociétaux, "culturels", qu'on veut maintenant unifier par le calcul mental humain, toujours sans Dieu.
On navigue dans la nuit, dans l'éclairage - et moins encore - insuffisant des lumières du XVIIIe (siècle), et de très gros icebergs se promènent à la surface de notre monde, qui ne veulent certainement pas se dérouter pour laisser l'avantage à Lord Humanisme-social-capital, à Dame Républicaine laïque.
DES PROPHÉTIES POUR REPÈRES
La Bible semble montrer que l'Amérique va être mise complétement out dans la préparation du sprint final pour l'hégémonie planétaire. Catastrophe naturelle énorme ou cataclysme par une attaque ou riposte nucléaire qui va mettre le géant au sol !?...
Toujours est-il que la Bible fait référence à un Empire romain reconstitué - en tout cas géographiquement -Christ Sauveur, c'est-à-dire dans toute la vulnérabilité qui a déjà permis plus d'une fois à Satan et ses légions d'anghes déchus et dépravés de s'imposer aux créatures intelligentes mais pas très futées (affutées) que nous sommes de manière naturelle.
RETOUR AUX SOURCES
Là où l'eau n'a pas encore été polluées.
Avec un rappel à la loi divine - comme base de la connaissance du bien et du mal et moyen de que nous nous voyons coupables devant Dieu par plus d'un acte, d'une parole ou d'une pensée ;
Et le rappel que Dieu est compatissant à la vue de nos faillites, de notre imbécilité, de nos illusions, de notre mégalomanie, de nos déboires et souffrances..., tenant encore en réserve pour nous sa Grâce, le pardon de nos fautes (que notre conscience connaît bien ou que l'Esprit de Dieu nous rappelle maintenant) et le don de son Esprit pour nous changer et transmettre sa vie éternelle même.
Et cela consiste à nous faire naître une nouvelle fois, à une compréhension et à une vie tout autre ancrée dans le Ciel spirituel (lire Jean chap. 1, vers. 12 et 13 et chap. 3.1... ).
Dans 1Corinthiens 15. 33 on peut lire : "Ne vous y trompez pas : les mauvaises compagnies corrompent les bonnes mœurs.34 Revenez à vous-mêmes, comme il est convenable, et ne péchez point ; car quelques-uns (parmi les dits-chrétiens ou autres croyants) ne connaissent pas Dieu, je le dis à votre honte." Lire encore Luc 15, 10,24.
Ce qui arrive dans les rues (grèves, manifs, attentats, vagues de violence...) et encore dans les campagnes au milieu des agriculteurs, n'est-ce pas aussi des signes d'un temps mauvais comme dit le berger-prophète Amos ? chap. 5, vers.15 : "Haïssez le mal et aimez le bien, Faites régner à la porte la justice ; Et peut-être l'Éternel, le Dieu des armées, aura pitié Des restes de Joseph.16 C'est pourquoi ainsi parle l'Éternel, le Dieu des armées, le Seigneur ; Dans toutes les places on se lamentera, Dans toutes les rues on dira : Hélas ! hélas ! On appellera le laboureur au deuil, Et aux lamentations ceux qui disent des complaintes."
Malgré leur ancienneté les Écritures venues de Dieu n'ont pas vieillies et peuvent encore parler à quiconque ouvre son oreille pour connaître ce qu'est véritablement ce monde que nous vivons, et qui est le Dieu véritable encore capable de sauver et protéger ceux qui se confient dans son nom rédempteur : Jésus, Yeshoua en hébreu d'origine, ce qui signifie "Dieu sauve". (Matthieu 1.21).
Le Titanic est en train de se casser en deux. Dans un soubresaut, pendant 3 ans et 1/2 on va croire avoir trouvé la solution pour une paix durable entre les peuples - notamment entre Israël et les pays arabes -. Mais les accords ne tiendront pas. Alors une ruine soudaine arrivera sur le monde...
Jésus a parlé. Sans qu'il ait rien écrit lui-même ses disciples mus par l'Esprit de Dieu nous ont rapporté ses paroles essentielles et donné la Bible. L'internet même participe de cette ouvre de salut de nos âmes, de VOTRE âme comme de la mienne.
Allez-vous rester indécis-e, seulement soumis-e à la mollesse générale, aux sur-informations endormantes et à la grande boucherie qui vient ? Ou bien dès maintenant réagissez-vous, cherchez-vous le Dieu vivant - qui fait partie du domaine de ce qui nous est connaissable ?
Qu'est-ce que visiter une cathédrale - debout ou ravagée -
sans considérer qu'existent tout autant
un Dieu vivant et des mauvais esprits !?
Le bâtiment a été rendu inutilisable - comme jadis le Temple de Jérusalem -,
mais la croix est toujours debout
pour le salut de quiconque croit (l'ère de la Grâce divine
n'est pas encore tout à fait à son terme)...
Ce que Dieu cherche en laissant courir ses jugements, c'est nous ramener à lui ! Pas que nous disions encore comme des enfants idiots vexés : - Même pas mal !
LA PRIÈRE DES JUSTES A UNE EFFICACE
Si l'humilité et la repentance bien comprise ont publiquement manqué, cette catastrophe a cependant suscité une réaction de nombreux chrétiens qui (je pense et sans doute eux aussi) a pu empêcher que les murs et autres "twin towers" s'effondrent : la prière.
Prière qui a pu inclure la repentance. Prière dans tous les cas qui crie à Dieu pour que le mal ne l'emporte pas - ou pas trop. Prière qui peut stopper les démons qui ne cherchent qu'à relayer et amplifier une épreuve pour pouvoir mieux et longtemps "tourner le couteau dans la plaie" et en tirer quelques réactions pour le moins inappropriées...
LE MAL EST DÉCLENCHEUR... DE CE QUE NOUS SOMMES, AU PLUS PROFOND
On a pu voir à partir de cette épreuve que globalement le cœur du peuple français, des riches comme des moins nantis, reste sensible et généreux et jusqu'à étrangement solidaire - état retard de : même si la foi a été volatilisée comme une mère arrachée à son foyer (exactions progressives qui forment un grand fil route des trois derniers siècles en Occident), les enfants de la famille se trouvent une racine (chrétienne !) comme on a un terroir.
Lorsque survient un gros cataclysme ou une guerre, l.es liens sociaux abîmés par l'orgueil, l'esprit de partis, la politique ou la doctrine sournoise de la lutte des classes, se reforment.
Le cœur reprend vie.
Plus que d'euros parlons de cœur. Car on ne rachète pas une mauvaise conduite par de l'argent, mais par l'humilité, la contrition, et/ou l'humiliation du cœur.
Et plus que de voir un jugement comme un mal, comprenons-le comme un moyen d’accéder à plus de compréhension du Réel pour une meilleure insertion en Lui, que ce soit matériel (temporaire) ou spirituel (éternelle).
Et puis Dieu est au-delà du temps, et ici encore le prouve... par l'accomplissement d'une prophétie vielle de 2 500 ans !
UNE PROPHÉTIE VIEILLE DE 2 500 ANS VIENT DE S'ACTIVER
Lundi 15 avril 2019*, on a assisté en plus du feu physique d'un jugement, à l'ouverture d'une prophétie faite par le prophète Zacharie*. Elle donne le sens profond de cet événement.
C'est la prophétie du chapitre 5 :
"Je (Zacharie) levai de nouveau les yeux et je regardai, et voici, il y avait un rouleau qui volait.2 Il me dit : Que vois-tu ? Je répondis : Je vois un rouleau qui vole ; il a vingt coudées de longueur, et dix coudées de largeur.3 Et il me dit : C'est la malédiction qui se répand sur tout le pays ; car selon elle tout voleur sera chassé d'ici, et selon elle tout parjure (ceux qui font de faux serments) sera chassé d'ici.4 Je la répands, dit l'Éternel des armées, afin qu'elle entre dans la maison du voleur et de celui qui jure faussement en mon nom, afin qu'elle y établisse sa demeure, et qu'elle la consume avec le bois et les pierres.
5 L'ange qui parlait avec moi s'avança, et il me dit : Lève les yeux, et regarde ce qui sort là.6 Je répondis : Qu'est-ce ? Et il dit : C'est l'épha qui sort. Il ajouta : C’est ce que l’on voit d’eux dans tout le pays.7 Et voici, une masse de plomb s'éleva, et il y avait une femme assise au milieu de l'épha.8 Il dit : C'est la méchanceté. Et il la repoussa dans l'épha, et il jeta sur l'ouverture la masse de plomb.9 Je levai les yeux et je regardai, et voici, deux femmes parurent. Le vent soufflait dans leurs ailes ; elles avaient des ailes comme celles de la cigogne. Elles enlevèrent l'épha entre la terre et le ciel.10 Je dis à l'ange qui parlait avec moi : Où emportent-elles l'épha ?11 Il me répondit : Elles vont lui bâtir une maison dans le pays de Schinear ; et quand elle sera prête, il sera déposé là dans son lieu."
PROPHÉTIE ET INTERPRÉTATION DE SES MYSTÈRES
Cette prophétie sous forme de parabole** (métaphorique donc) contient des mystères dont l'Esprit de Dieu me donna la signification que nous pouvons désormais en avoir dès que le toit de plomb de la cathédrale fut porté à notre connaissance (par son effondrement), et que de là je me dirigeais dans la Bible pour la consulter.
- Premier mystère : LE ROULEAU QUI VOLE
C'est la forme du support des écritures avant qu'on invente les pages et les livres. Plus précisément dans le contexte, c'est le symbole de la religion (le judaïsme) que Dieu a donnée par Moïse aux israélites (le peuple juif), et dont les articles de foi avec la connaissance du Dieu unique et les valeurs morales ont ensemencé la terre..
- Le mystère de L'ÉPHA
C'est un récipient qui ici est rond, alors qu'il devrait être, suite à la dimension rectangulaire du rouleau précédent, carré.
Entre les deux visions on a donc fait le saut de la Loi (devenant Ancien Testament) à l’Évangile de Grâce (Nouveau Testament). Mais là il y a un problème !...
- Le mystère du COUVERCLE DE PLOMB
Et donc voilà un couvercle de plomb - vil métal - sur l'épha que représente la cathédrale !
La dimension spirituelle de l'homme est précisément qu'il n'y ait plus de séparation entre les pécheurs pardonnés (quand nous le sommes) et le Dieu trois fois saint. Certes il faut un toit à cette cathédrale, mais le plomb est un symbole suffisamment compréhensible pour qu'il apparaisse là comme un ciel de plomb au dessus de la tête des personnes qui viennent là, priants ou simples touristes. On est lui du rideau déchiré de haut en bas dans le Temple de Jérusalem au moment où Jésus meurt, "ôtant (à la fois véritablement et potentiellement) le péché du monde"...
- Le mystère d'UNE FEMME
Une femme - plutôt que Jésus le rédempteur ! - au cœur de la cathédrale, c'est - Est-ce ? - une véritable surprise !?
Si les gargouilles et aux chimères sont présentes dans les hauteurs de Notre-Dame, ce n'est un mystère pour personne que parmi les représentations, peintes ou sculptées, l'image de (soit-disant) la Vierge Marie est des plus présentes... et disproportionnées si on compare ses mensurations à celle du Sauveur le plus souvent représenté dans ses grands et puissants bras en "petit Jésus" !
L'image féminine représente en réalité non pas bien sûr la véritable Marie (Myriam), humble servante du Seigneur que Jésus confia à la bienveillance de l'apôtre Jean , mais un démon certainement très puissant, de l'ordre des cavaliers ou vents spirituels des ténèbres dont parlent Daniel, Zacharie et encore l'Apocalypse, qui parcourent la terre et cherchent à établir le règne qui vient pour un peu de temps de l’Ante-christ.
La prophétie de Zacharie prédisait donc cet état de choses final, et il fallait bien que des croyants d'obédience chrétienne s'interroge encore sur le sens d'une telle présence féminine dans l’Église de Christ. L'incendie de la cathédrale est venue interpeler la foi et les consciences...
- Le mystère des DEUX (autres) FEMMES
Enfin, c'est en tout trois femmes qui paraissent avant la fin de la prophétie. Ce qui n'est pas sans rapport avec notre actualité de "fin du temps des nations" où les femmes montent au créneau comme jamais : sous couvert de concept d'égalité ou de parité, voilà que la bascule a été faite où les femmes s'imposent (ou sont imposées) dans des places les plus stratégiques ici en Occident, et à la suite au pays de Shinéar (aujourd'hui l'Iran et l'Irak) où la femme de l'épha est transportée (exportée) comme icône de cet éveil à une suprématie féminine...
De fait, en reprenant les termes successifs de la prophétie, on se trouve à la fin (du temps de la Grâce) essentiellement avec une Loi, une religion conquérante conduite par le mâle dans sa forme adamique non transformée par la rédemption, et d'autre part une force très largement dépouillée de morale et pareillement conquérante, de nature féminine mais qui s'arroge des attributs (et à des moyens) virils, autant dire séduisante. L'une allant, d'abord en catimini, dans la place forte de l'autre... ce qui, pour faire bref, ne pourrait se dénouer que dans une conflagration planétaire... que doit précéder pour les "vierges sages" le retour de Jésus venant soustraire à ce chaos, littéralement enlever, son Épouse (d'une part qu'il ressuscite et d'autre part qui est prête) pour la faire entrer dans son éternisation finale (corporelle).
L'article complet de cette prophétie révélée compte une trentaine de pages qui ne sera délivrée que par mail sur demande privée faite ici par le bouton Contact.
Soyez éclairé-e dans l'amour de la vérité qui sauve (Nouveau Testament, 2e lettre aux Thessaloniciens ch. 2; v. 10-12).
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** Zacharie est un prophète suscité par le Dieu véritable à partir de - 520 (avant J.-C.), au moment précis où - coïncidence !? - le Temple de Jérusalem est en travaux !
Et - autre coïncidence !? - ces travaux, qui conduisent à la reconstruction du Temple détruit, vont durer... 5 ans ! (de - 520 à - 516). Pourquoi le Président Macron dit-il qu'en 5 ans la vieille dame serait relevée ? Certes les J.O. de 2024, mais peut-être pas que... cela en 2024...
** La parabole (image métaphorique ou symbolique) est un moyen de connaissance à la fois ouvert (ouvrant) et fermé (fermant), pour que l'auditeur ait une place à part entière, une responsabilité propre quant à son insertion dans la connaissance et le Réel.
Elle se fonde sur une loi de correspondance entre les réalités formant notre environnement matériel immédiat (que nous connaissons facilement), et des réalités plus subtiles (non-immédiatement accessibles à notre conscience) qui sont de l'ordre de la spiritualité et du psychisme (de notre âme).
La parabole amorce donc, suggère et mobilise notre âme, à partir de choses qu'elle connaît, pour amener à notre conscience une connaissance (découverte et conclusion nouvelles, enrichissantes) du domaine de l'Esprit, de la spiritualité, de Dieu et/ou des mauvais anges ou démons.
On voit souvent Jésus parler ainsi avec son entourage.
"Jésus leur dit cette parabole (du semeur), mais ils ne comprirent pas la portée de ce qu'il leur disait."
Après la parabole délivrée à "une grande foule" (Evangile selon Marc, ch. 4) il est encore dit: "Lorsque Jésus fut en particulier, ceux qui l'entouraient avec les douze l'interrogèrent sur les paraboles. Il leur dit : C'est à vous (à ceux qui cherchent auprès de Dieu le sens) qu'a été donné le mystère du royaume de Dieu ; mais pour ceux qui sont dehors tout se passe en paraboles, afin qu'en voyant ils voient et n'aperçoivent point, et qu'en entendant ils entendent et ne comprennent point..."
La parabole est donc comme sont une serrure et une clé. Et c'est par l'homme et non par Dieu, que s'actionne la clé, à partir de l'interprétation qu'en donne à l'un ou l'autre l'Esprit de Dieu.
Où sont les querelles et les divisions quand un (grand) malheur sévit ?
Où sont nos assurances face à l'improbable ?
Où est Dieu quand Paris re-brûle... depuis déjà de nombreuses années ?
Dieu n'a pas permis une fête de Pâques de plus vécue dans la saleté (le péché) dont le déballage a inondé les ondes.
Pas de hasard(s) avec lui !
Je suis croyant et me veux intègre, récepteur par grâce de la lumière divine, qu'il demande à ses enfants (disciples de Jésus) de ne pas garder sous étouffoir, mais de partager.
Car avec la justice ce sont les vérités d'En-haut qui peuvent nous faire échapper au mal (dont le mensonge - comme certains silences - est la première morsure aliénante).
DEUX DES PRINCIPALES FACES DE DIEU
La ruine de la cathédrale de Paris n'est pas sans lien avec la Bible qui nous donne de connaître Dieu.
D'une part "Dieu est Amour".
Mais l'amour qu'est Dieu et qu'il désire que nous vivions, n'a rien à voir avec les dépravations charnelles, manipulations psychiques trompeuses, fornications pornographiques et autres échanges sexuels pratiqués en dehors du cadre posé pour l'homme et pour la femme par Lui, le Créateur et Arché-organisateur de tout.
DES SIGNES ET DES FAITS
Beaucoup de signes planétaires se cumulent (crises économiques et sociétales, pollutions multiples, recrudescence de maladies et maladies nouvelles, appauvrissement des terres arables dopées par voie chimique, disparition des graines saines et des espèces animales et écosystèmes menacés, dérèglement climatique...).
Un faisceau mesurable, alarmant, symptomatique, qui laisse entrevoir qu'on est entrés, depuis quelques années plus particulièrement, dans un temps de fin, de déconstruction, de décomposition, de jugements, appelé dans les Saintes Écritures "temps de la fin des nations". C'est le temps de la fin de l'ère bimillénaire de la Grâce...
Et donc, OÙ EST DIEU, QUE FAIT-IL ?
Il est là, par et dans ce genre de jugements dont la cathédrale de Paris a été symboliquement atteinte.
Il montre clairement - et parfois il doit crier/frapper fort, par ce qui fait mal, pour que nous nous réveillions à la vue de ce qu'est le mal que nous pratiquons qui nous domine.
Il ne se désolidarise pas de la justice des hommes quand elle est juste. Savoir en l'espèce, quand elle condamne des fautes graves réitérées de l'église catholique apostolique romaine qui se réclame de son nom.
Les jugements de Dieu témoignent qu'il se soucie de tous, compris bien sûr de ceux qui se réclament de lui.
Le pire, c'est quand il nous laisse, livrés à nos sens réprouvés, ce qui conduit rapidement à laisser à Satan et à ses acolytes démons de venir nous presser de plus près (jusqu'à l'oppression, l'obsession et la possession)*.
DES JUGEMENTS D'ORIGINES DIVERSES
L'épreuve est toujours un jugement. Mais pas forcément de Dieu. Si on sort en hiver trop peu habillé, on va tomber malade. Si on conduit sans respecter le code, ça va finir par nous coûter cher (accident, amende ou +...).
Et si on transgresse des lois morales (écrites dans les textes de notre religion ou de la société ou encore dans notre conscience personnelle), c'est la même chose. Car selon la même loi universelle de causalité, les conséquences de nos fautes viennent nous percuter à partir des cieux qui nous dominent. Et ce peut être comme ici des expressions de la justice de Dieu et de sa patience parvenue à un terme.
TOUT JUGEMENT A UNE CAUSE...
Faute d'avoir l'intelligence spirituelle suffisante (le discernement, l'Esprit de Dieu avec nous) pour voir et dominer le mal dans lequel on se fourvoie, un jour un jugement ou un autre tombe. Ils peuvent être individuels ou collectifs.
En résulte des réactions, personnelles et/ou collectives comme on le voit et entend ces jours par les ondes : l'émotion (charnelle ou spirituelle), l'incompréhension (la sidération ou le questionnement), l'arrogance (- Ah, ah, s'il y avait un Dieu !) ou le désir (quasi-revanchard) de ne pas se soumettre aux adversités et de rebondir**.
Mais est-ce là ce qu'il y a de plus juste, ce que Dieu voudrait voir paraître du tréfonds de nos âmes ?...
L'histoire et nos actualités sont pleines des effets éprouvants de ce qui part ainsi des lieux célestes vers nous.
Il peut s'agir des plus justes rétributions de nos fautes (le plus généralement morales ou dans notre rapport avec l'occulte, le ciel obscurci dangereux). Mais encore de terribles injustices initiées par quelques démons ou Satan lui-même (ces entités angéliques déchues qui ont une très mauvaise maîtrise de la justice comme de leurs propres sentiments pervertis)*...
DES CAUSES ET DES EFFETS
A travers l'épreuve que constitue un jugement divin, Dieu fait deux choses - nécessaires et utiles.
Il exerce sa justice (parfois lente à paraître, car il patiente afin que nous nous reprenions nous-même).
Va-t-on le lui reprocher ?
On sait trop bien ce qu'est une justice mollasse, qui ne punit pas les fautes, qui laisse des criminels courir et des victimes dans la frustration.
Dieu n'est pas ainsi.
Sa justice n'est pas indépendamment de sa volonté de nous aider dans notre avancée (traversée, périple temporaire) terrestre, et surtout spirituelle.
Car il sait mieux que nous nous en soucions nous-mêmes, que nous sommes mortels, et il ne veut pas que nous arrivions à son "jugement dernier" sans plus de possibilités - pour notre âme avec ce moi-je conscient d'avoir la vie qu'on est devenu - d'échapper à une dramatique fin ultime.
"Car pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort." La première mort étant celle physiologique (du corps), la seconde celle de l'âme qui n'a(ura) pas su saisir la grâce qui lui fut offerte de trouver à être en paix et bonne relation avec Dieu et ses lois d'organisations.
Par ses jugements donc, en laissant agir le bras de sa justice, le Dieu qui nous aime veut provoquer en nous une saine réaction, salutaire, source de spiritualité activée ou réactivée.
QUE RECHERCHE DIEU A TRAVERS L’ÉPREUVE DU JUGEMENT ?
Il recherche surtout une réaction simple, comme le lâcher prise et une disponibilité (qu'on se donne ou qui s'impose).
Ou une réaction raisonnée, qui s'interroge vraiment ; qui tienne compte de ce que, étant des êtres personnellement responsables, on peut voir des liens entre nos comportements (individuels et/ou collectifs) et ce qui nous arrive, dans la conscience des causalités dont le concept combiné "bien-mal"***.
A ce sujet, les médias ont été copieux pour dire et étaler jusqu'à l'humiliation et la honte, les impudicités pratiquées plus qu'accessoirement dans cette institution ecclésiale.
Quand on ne sait pas se juger soi-même, un jugement peut venir d'ailleurs, plus visible et péremptoire.
SILENCE, HUMILIATION, HONTE, ET QUOI D'AUTRE !?
Humiliation et honte sont le maximum qui peut se produire dans notre âme quand nous sommes dévoilés dans des comportements iniques (comme il s'agit ici).
C'est le résultat d'un déterminisme naturel interne qui opère à la fois contre nous et pour nous (si encore on ne s'est pas conditionné ou laissé conditionner pour les faire disparaître. Car aujourd'hui on voit bien que même ces réactifs inconscients de l'âme et de l'esprit que sont l'humiliation et la honte, ont été largement érodés et jusqu'à bannis de nos capacités conscientes préventives et réactives face au mal).
Il en résulte que lors de mises en lumière du péché, ce mode naturel moral d'abaissement n'est pas accompagné par une prise de conscience personnelle... qui seule peut heureusement tout changer dans nos désordres.
Car elle est rencontre avec Dieu dans la lumière, source de la repentance, amorce de la rédemption.
ÉPREUVE POUR MIEUX RENCONTRER OU RETROUVER DIEU
C'est cet accès (ouverture, éveil, confrontation) au plan de la conscience de soi liée à celle de ce qu'on a fait, qui permet que nous arrivions au point où Dieu veut nous rencontrer, nous retrouver : à la repentance (un vrai repentir, une contrition sincère, un amer regret, un abandon à la vérité sans calcul) qui témoigne de la vraie faiblesse et misère de soi que nous sommes - pécheur/pécheresse incapable de tenir jamais dans le bien, de satisfaire aux exigences divines et de lui plaire par nous-même.
"La grandeur de l'homme est grande en ce qu'il se sait misérable" a compris et écrit Pascal.
C'est là que Dieu veut nous amener... tous ; pour nous pardonner !
Car son amour veut toujours surpasser sa justice.
NOUS SOMMES PÉCHEURS/PÉCHERESSES, DONT SURTOUT ORGUEILLEUX
Plus nous nous développons en capacités personnelles, plus nous nous exposons à devenir (plus) orgueilleux (qu'à notre naissance).
L'orgueil, c'est une trop haute estime de soi. Un piédestal artificiel, sans fondement, dont on finit toujours par descendre - intelligemment c'est mieux, le plus souvent c'est par jugement (par voies de rupture, coups d'arrêt divers).
Honte et humiliation ont pour effet de nous (r)amener à l'humilité ; car aussi est-il encore écrit : "L'arrogance précède la ruine, et l'orgueil précède la chute." Proverbe 16.18
Voilà déjà la priorité de ce qu'on peut tirer comme enseignement bénéfique de la destruction massive de cette cathédrale emblématique.
Mais ce n'est pas tout !
Cependant, avant de donner une suite à cet article, voilà que Pâque(s) arrivent (cette année en coïncidence, d'une part Pessah, souvenir et prophétie dans la tradition juive et d'autre part mémorial chrétien appelé Pâques).
C'est un événement du cœur brûlant de l'amour de Dieu pour chacun-e de ce genre humain si naturellement terrible d'injustices et d'insuffisances - de prétendues suffisances - et perdu hors de Dieu (parfois ensemble et toujours isolément).
Je pressens, comme souvent tout juste après une lourde épreuve, que la gloire de Dieu va se manifester.
La gloire de Dieu est (entre autres) de tourner le mal en bien. De faire apparaître de cendres, de tôles tordues ou de chairs déchirées, telle ou telle bénédiction étonnante, inattendue, généreuse.
Et je me dis là qu'il va le faire aussi ! Que quelque(s) bienfait(s) à sa façon va(vont) nous atteindre très vite... possiblement dans cette Pâque désormais toute particulière de 2019.
Aussi, que vous en connaissiez ou pas toute la signification et le pouvoir, pour une réelle Bonne Pâque pour vous, je vous invite à lire l'article précédent en cliquant ici.
Soyez richement béni-e.
à suivre...
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* sur la réalité des démons qui sévissent parmi nous, qu'on reconnaît aux effets produits par leurs présences : Activité démoniaque : Y voir clair !
** La réaction-élan de générosité qu'on enregistre tient d'une vieux réflexe conditionné par la christianisation de l'occident et plus encore peut-être par cette église dissidente du pur Évangile. Car elle enseigna longtemps que les œuvres de charité était un véritable moyen personnel pour se sauver de l'enfer - pour se déculpabiliser donc.
Alors que la spécificité de l'Évangile - étymologiquement "la Bonne Nouvelle" - est que le salut de nos âmes ne vient QUE de notre foi en la mort expiatoire et rédemptrice de Jésus-Christ. Moyen de salut de notre âme unique, dont les œuvres bonnes, venant du cœur et non de l'obligation ou de la pression ecclésiale, sont des conséquences spirituelles sans rapport avec des dépenses diverses visant à apaiser notre conscience, à rattraper notre manque de foi véritable ou de pratique, à gagner son ciel tout en demeurant dans nos péchés.
*** Le concept du bien et du mal n'est étranger à personne. Car nous avons tous une conscience morale. Qu'on peut éteindre mais qui nous interpelle relativement bien avant que par notre stupidité nous la soufflions comme une vulgaire bougie.
Et puis nous avons pour la connaissance du bien et du mal, en plus des lois de nos sociétés, un référentiel majeur : la Bible, et notamment les 10 commandements. C'est aussi pour cela que la Bible est depuis des siècles le livre le plus traduit, le plus imprimé, le plus offert et le plus lu par toute la terre.
Dans un monde où la grille de lecture qui s'impose est loin d'être sécurisée, mieux encore qu'une loupe, cherchez Le Meilleur Conseiller, qui permet de distinguer entre... âme-sœur et hameçon ! Et pas que !...
Nous vivons dans un monde qui attise les convoitises, développe les moyens d'illusion, attire les tentations, détourne des essentiels, déroute de la finalité de cette existence qui est réconciliation et paix avec le Créateur - ce qui lui permet de nous communiquer sa vie éternelle -, et dans tous les cas fin dernière de tout mal... dont nous sommes chacun marqué et porteur. Que celui qui veut comprendre comprenne.
Jadis - c'était il y a quelques... décennies ! -, on parlait pour se marier de trouver l'âme-sœur. Mieux encore, croyant simple mais véritable, on s'attendait à Dieu pour qu'il participe à cette rencontre. Aujourd'hui on parle plus d'hameçons que d'âme-sœur ! Hameçonnage sur le net, par le net, par phoning (ces appels téléphoniques réguliers où on a gagné un super cadeau, où on obtiendra le meilleur tarif !...).
Et plus on va être dans une démarche tendue, inquiète - ou impure - pour trouver quelqu'un qui puisse rompre ou combler notre manque existentiel, plus on a de chances de trouver des... hameçons. Car derrière les écrans ou devant les petites annonces pour rencontres, il y a des pécheurs, voire des chasseurs, qui cherchent, plus qu'une âme-sœur des proies, du gibier, de la chair à plaisir, pour satisfaire des pulsions plus que des besoins ou un désir sain et légitime.
Sans une foi effective en Dieu, on se complique assurément l'existence. On avance plus qu'à tâtons, souvent en se précipitant sur tout ce qui semble bon pour nous. Et quel discernement pouvons-nous avoir quand on n'a que nos yeux pour juger d'une personne... qui peut-être aussi à poster une photo qui n'est pas la sienne !? Quand on a seulement de belles paroles induites par l'illusion (sur l'autre ou sur soi) et peut-être encore un esprit de séduction qu'on ne soupçonne même pas qui nous manipule ! Idem d'ailleurs pour des associations commerciales ou autres.
On est tous premièrement plongés - comme des cornichons dans un pot de vinaigre blanc ! - dans un monde qui nous imprègne, à la transparence trouble, trop acide ou doucereux, piégeux et dangereux, nous-même souvent pas assez au clair sur nos intentions et nos réels besoins, agité(e) par tout ce qui bouge sans cesse autour de nous ou dans nos pensées... Avec le risque de se refermer sur soi ; avec le risque que les blessures (psychiques) qui déjà nous ont atteint nous aigrissent et hérissent - au lieu que nous ayons une bonne lucidité pour continuer à marcher en croyant que le meilleur est à venir...
Que savoir, que faire donc pour ne pas être essentiellement un poisson qui va mordre à un hameçon jusqu'à être mangé dans un relationnel problématique ?... ou jusqu'à être tenté de consommer et consommer encore, ce qui n'est pas bon, ou n'est pas nécessaire ?
Pour avoir vécu mes trente premières années sans la connaissance qu'il y a un Dieu vivant - et réellement connaissable - à l'origine de tout et avec qui on peut entrer dans une relation effective (aux plans psychique et spirituel), j'ai souffert (surtout de manques) et failli mourir au moins deux fois. Et croyez-moi, mourir à moins de trente ans, ne peut être le fait du hasard ! On est tous pour quelque chose dans ce qui nous arrive de grave ! La loi de causalité joue là aussi, entre ce qu'on fait dans (de) notre existence, et sa qualité, sa santé, et jusqu'à sa pérennité ! En tant qu'être conscient(e) de soi et, par tout ce qui en témoigne muettement ou à voix haute autour de nous, de la possibilité qu'existe réellement un Dieu, nous sommes chacun responsable de chercher ce qu'il en est. Comme nous sommes responsable de nos études pour une meilleure insertion professionnelle et sociale, pour réussir dans un sport ou un art, etc...
POUR JEUNES, ET MOINS JEUNES... Alors plutôt que de chercher et trouver par vos seules propres forces et divers moyens un conjoint - une âme-sœur qui ne sera peut-être qu'un hameçon - , cherchez et trouvez Dieu* pendant qu'il est possible ! Pendant qu'il est possible car il n'est pas, et il ne sera pas toujours, possible de le faire !
Chercher Dieu, c'est le chercher pour entrer en relation avec lui ; pour recevoir de lui des réponses aux paroles qu'on lui adresse ; pour bien mieux comprendre le sens des choses qui sont et qui arrivent dans ce monde et dans notre quotidienneté ; pour qu'il nous fasse sentir sa réalité, expérimenter sa présence, toute spirituelle, invisible mais tangible, et aussi possiblement visible (par une vision).
Que manquait-il donc à cet homme érudit dans la connaissance de Dieu - qui se trouvait là juste en face, tout près, de Jésus - pour entrer en esprit, immédiatement, dans le royaume de Dieu ? De Le reconnaître pour ce qu'il était, pour ce qu'il est - le "Je-suis" incarné (du buisson ardent) !
Je prie qu'il vous y aide. Soyez béni-e. ____________ * Les articles ou pages ne manquent pas sur ce blog par lesquels vous pouvez être conduit-e jusqu'à entrer en relation avec le Dieu unique véritable.
Soyez béni-e ! Je vous informe que je viens de compléter la page (accessible par un clic ici ou dans la liste des pages sur la droite) et finis de la mettre en ligne. Vous y trouverez pourquoi elle est titrée LA PORTE(S)..., puisqu'on se trouve là encore devant un de ces mots singuliers qui peuvent cacher (contenir) une pluralité : en fait 3 portes bien distinctes de l'unique moyen d'accès dans (la sphère de) la présence de Dieu. J'ajoute un complément important avec les EMI ou NDE, puisque ces expériences sont (en conformité avec l'existence d'une des trois portes) des accès accordés au Divin... mais pas que... Si donc le sujet vous intéresse...
A que voilà des paroles d'une force incroyable ! Mais que signifient-elles !?
En français, il y a plusieurs mots qui permettent de parler d'amour : l'amour-éros ou sexuel ; mais aussi l'amour-compassion (qui parle de souffrir avec...) ; l'amour miséricorde (une corde - de Dieu, affective - lancée à la misère pour en secourir) ; l'amour-filéo (affection fraternelle, amitié par affinité) ; l'amour-agapé qui est l'amour de Dieu (l'amour qu'il est en lui-même de la même manière qu'est la lumière blanche, en laquelle se trouvent toutes les couleurs). Et il y a encore des séductions qui ne sont pas de l'amour mais y ressemblent, des imitations comme Satan et certains de ses démons savent les produire...
ET quand Johnny devient "forçat de l'amour", de quel amour s'agit-il ? Explicitement de l'amour physique, en vue du plaisir charnel qui peut en résulter, possiblement indépendant de l'amour qui est le véritable amour entre un homme et une femme (à la fois filéo et agapé), celui qui n'a même pas besoin de mettre les corps en mouvement ni pour être, ni pour brûler ni pour s'entretenir.*
C'est qu'il est des amours dont le feu est destructeur, de l'âme ou du corps indifféremment, et bien sûr de la spiritualité. Comme il en est qui sont semblables au feu qui brûlait devant Moïse dans un buissonsans le consumer.
Quand même le meilleur de l'amour se mêle de convoitise, d'envie charnelle qu'on ne maîtrise pas, de désirs impudiques, s'en est fait de l'amour ! Apparaît une emprise qui va croissant, d'autant on se soumet à des tentations, à toutes les occasions et séductions, jusqu'à nous posséder. On devient ainsi addict au sexe, comme à l'alcool, à la drogue, à l'argent ou à la nourriture... C'est-à-dire que de certains comportements humains dont Dieu nous met en garde, on va tomber sous une double domination, d'une part de nous-même dont le corps après l'âme se dérègle (phénomène de somatisation) ; et d' autre part d'un démon (minimum) qui, nous voyant ainsi amorcé, peut entrer dans le jeu de nos ébats (comme de nos beuveries ou prises de stup', actes de cupidité ou boulimique...).
Il y a une frontière entre l'humain et le démoniaque, qui est "matérialisée" par notre conscience morale et des lois de société, par des préceptes d'une religion quand on en a une, aussi par des situations ou circonstances défavorables (qu'on doit apprendre à discerner comme étant significatives), et même des songes. Frontière dont le passage un peu répété ouvre en nous la porte à une présence démoniaque, d'abord sous forme de convoitise excessive, pressante et exacerbée au point qu'on y pense sans pouvoir le contrôler, voire tout le temps. Oppression donc, compulsion et dépendance avec toutes les souffrances de l'obsession, du manque créé artificieusement, de la frustration..., jusqu'à une possible possession où l'on ne s'appartient plus. Quand on arrive à dire "C'est plus fort que moi ! C'a été plus fort que moi !". D'où des comportements que dominent la violence, l'insolence, des abus, l'irrespect le plus absolu, jusqu'au viol ou meurtre comme l'actualité nous donne parfois de voir. ...Ce qui peut également se produire dans le cadre du mariage, ce qui fait dire à la Bible cette exhortation interpellative : "Que le lit conjugal soit exempt de toutes souillures." Est-ce que Dieu est voyeur et despote jusqu'à ne pouvoir s'empêcher d'instruire de telles dispositions concernant nos intimités, ou parle-t-il ainsi pour notre bien ?... sachant mieux que nous que les anges déchus, démons séducteurs autant que méchants, plongent leur regard dans nos vies jusqu'à vouloir et pouvoir les posséder pour en jouir selon leurs lubies, leurs dérèglements, leurs perversités, leur rage et haine du bonheur du genre humain. Ainsi si Satan peut dénaturer l'amour et les beautés qui y sont liées, il réussit à nous asservir à ses propres vices, et donne au monde l'image de la bassesse humain qui cherche à nous faire conclure, à partir de là, qu'il ne peut y avoir un Dieu.
Ainsi dès lors qu'on suit de moins en moins le comportement individuel et/ou sociétal que la Bible présente comme le bien, ce qui est bon, on donne de plus en plus accès à des esprits méchants et trompeurs qui, de leur sphère céleste sombre coincé entre le ciel divin et notre ciel atmosphérique, peuvent descendre jusqu'à nous, parmi nous, et quand c'est possible jusqu'en nous (possession). C'est seulement avec ce regard sur le Réel qu'on peut comprendre ce qui arrive de plus en plus parmi nous, qu'il s'agisse des drames terroristes, de l'amour de l'argent, des addictions à des produits ou d'abus sexuels.
Il est ainsi des libertés qu'on se donne dont l'issue n'est pas plus de libertés encore, mais un enfermement, un esclavage, - des conditions de forçat -, souvent accompagné de solitude qui grandit... En ce sens, dans les libertés prises, le sexe tue l'amour véritable bien plus qu'il ne le sert. Le beau, précieux, fragile, exclusif et intime cadeau de Dieu perd de ses attraits (par impuissance, déception, frustration, asynchronicité, mépris, dégoût, nausée, haine...) quand il est foulé aux pieds, abordé dans la boue des péchés... Il n'est pas difficile dès lors de comprendre que l'amour véritable n'a rien à voir avec ces mélanges et ce gâchis. Et là aussi on peut dire que "rien n'est pire que la corruption du meilleur."
Vouloir mourir d'amour enchaîné, est donc une folie, parmi d'autres auxquelles nous adhérons sans discernement, inconscient de ce qu'est la vie réelle, ses forces les plus fortes, ses tenants et aboutissants... dont la souffrance, la maladie, les accidents et autres ruptures toujours douloureuses, la mort étant l'ultime.
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Ce qu'on ne nous apprend pas, c'est que l'amour, s'il est du domaine du sentiment, de l'affect, du cœur, est aussi une réalité qui se vit par la volonté... Le pasteur noir Martin Luther a écrit un livre qui s'appelle "La force d'aimer". Il sait de quoi il parlait ! Et on devrait savoir de quoi on parle, quand on parle d'amour, d'aimer. Pour le défendre comme il y a des plantes à protéger de prédateurs, ou encore pour l'entretenir et le soigner intérieurement comme avec les plantes prises par une maladie.
Que de paroles, d'injustices (dont l'infidélité, les mensonges), de comportements qui sabordent un couple pourtant uni, parfois avec des enfants ! Quelqu'un qu'on voudrait aimer, mais qui le rend impossible parce qu'il est ou fait ce qui est trop injuste. Quelqu'un qui a voulu nous aimer mais a dû abandonner à cause de notre fichu caractère ou de telle lubie !...
à suivre, demain...
____________________ * L'amour physique étant avec cet amour-là, dans un couple, cadeau particulier de Dieu. Mais cet amour n'est pas forcément celui dont parlait Platon (l'amour platonique), qui est plutôt l'amour filéo qui donne la véritable amitié, indépendamment du genre des personnes.
Jeune, j'ai aimé les musiques rock et yéyé du temps de "Salut les copains", les Johnny, Sylvie, Sheila, Eddy, Antoine, Dutronc, Claude François, Françoise Hardy... (pour les français).
Et puis j'ai découvert la réalité de Jésus, non pas sous sa forme Super-star ou hippie comme on le chantait alors, mais de Jésus mort crucifié pour moi !!!? J'ai appris qu'il avait ainsi donné SA vie pour MOI ! Cela ayant été fait comme une réponse pré-établie, tenue en réserve, solution à ce qui allait un jour m'apparaître comme mon besoin de lui, besoin de cette mort pour que mes fautes puissent être pardonnées... Après quoi aussi Dieu le ressuscita...
Et maintenant donc je donne gloire à Dieu - ce que signifie le mot Alléluia - et non plus à des hommes ou femmes qui ont reçu un talent même certain - de qui ? - et qui l'utilisent, bien trop souvent pour obtenir une gloire toute personnelle, sans rendre la moindre gloire (qui devrait revenir) à Dieu. (Ceux qui le font le montrent ou en parlent, comme certains sportifs notamment, ou encore le chantent comme le font voir et entendre les vidéos qui suivent).
Dans les années 60-70, il y avait aussi de vrais chrétiens dont les chants traversaient l'Atlantique ou des pays, mais la plupart du temps on ne comprenait rien aux paroles, seule la musique plaisait (ou ne plaisait pas) et leur témoignage de foi se perdait (Simon et Garfunkel - Bob Dylan - Elvis*, qui disait : Non, le king c'est pas moi, c'est Christ - ici vidéo reportagesur la vie d'Elvis).*
Et maintenant donc, connaissez-vous de ces chants actuels qui donnent gloire à Dieu et à Jésus qui donne à qui croit en lui la vie ÉTERNELLE ! Pour les jeunes comme pour les soixante-huitards, écoutez et voyez : C'est la musique sacrée de notre temps !
Plus spécifiquement comme style, il y a bien sûr tout le Gospel, ce mot anglo-américain qui est contraction de God spell(s) : appel de Dieu ou Dieu appelle, et plus largement chants issus de la foi en Jésus le Christ et Messie. A l'origine le chant - récitatif, heureux, libéré, joyeux - des esclaves noirs travaillant sur les champs de coton des américains du sud, et mis en contact avec les écrits bibliques qui changeaient leur perspective de vue et bientôt de vie.
Pour finir ici avec la musique chrétienne, il est certain que parmi la musique dite classique, on peut toujours apprécier, selon la sensibilité de chacun, les pièces souvent enjouées de Vivaldi (comme les 4 saisons), de Beethoven (sa 9e symphonie** avecl'hymne à la joie), de Bach, de Haendel, etc, etc...
Dieu se crée parmi le genre humain une famille innombrable de toutes les ethnies, tribus, couleurs, langues et nations de la terre, en faisant naître spirituellement des êtres en manque de Dieu comme nous sommes, morts à sa vie, à la vie de son Esprit (qui est la vie éternelle). Et les membres de cette famille sont amenés à sortir de leur enlisement adamique (torpeur, vanité vaine, endormissement spirituel, illusion, angoisse, impuissance, mensonge, insuffisance...) au point de chanter librement, joyeusement et heureusement les louanges de leur Père (céleste) et Dieu (rédempteur) : De tout mon être.
Ce n'est donc pas d'avoir ou de rejoindre une religion qui donne une vie telle qu'on peut, comme ici chanter des louanges de reconnaissance, de satisfaction, de joie, amour, à ce Dieu manifesté en la personne humaine de Jésus-Christ, mais c'est d'avoir reçu de lui sa vie et de ses dons.
Et encore éventuellement, pour mieux comprendre comment vivre avec un Dieu vivant qui n'est pas qu'une morne religion à pratiquer, voici un message : Amazing grâce pour un nouveau style de vies.
Que le Dieu vivant et vrai vous bénisse par une (et plusieurs) expérience(s) qui change(nt) - en bien et éternellement - votre existence et votre être le plus profond. Pour moi and U2*** !
____________ * On peut aussi voir à travers l'existence déréglée et décadente de plusieurs stars, idoles, gloires (de la chanson notamment mais pas que...), des dérives, des excès, des stupéfiants, des délires... autant de glissements et changements malsains, de perte de maitrise, dont on doit aussi comprendre qu'il s'agit des effets de pressions et tentations d'ordre démoniaque sur leur nature charnelle adamique. leurs pensées, désirs et autres manques essentiels...
** La particularité de cette symphonie est qu'elle est la première sur laquelle ont été mises des paroles ! A l'époque une révolution. Il s'agissait des paroles du poète Schiller qui avaient particulièrement touché le compositeur.
*** U2 (you too, toi aussi) est un groupe chrétien à grands succès surtout dans les années 80
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.