Je ne suis pas là pour des blagues ou des devinettes.
Je veux partager ici ce qu'il y a de sérieux, voire de grave, dans notre condition humaine accidentée, dérégulée, insuffisante... N'est-ce pas cet état fébrile, malade, incertain, que nous montre plus que jamais, en direct, "en live", l'actualité planétaire, covid-19 et confinement !?
L'ESSENTIEL DE LA SOLUTION
Et donc la part essentielle de la solution à cette pandémie - avec le travail des corps médicaux et d'autres secours, alimentation, sécurisation... -, vient d'apparaître par l'Australie.
Lisez cette nouvelle :
"Coronavirus : Le Premier Ministre australien Scott Morrison prie pour sa nation et pour le monde
6 avril 2020 -Scott Morrison, le Premier Ministre australien, est chrétien évangélique. Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux par la Queensland Parents for Secular State Schools, il évoque sa foi et prie pour l’Australie mais également pour le monde, face à cette pandémie de COVID-19.
Le Premier Ministre commence par citer des passages bibliques où Dieu a secouru son peuple, puis il commence par prier pour l’Australie, mais aussi pour les « gens qui souffrent encore plus » dans le monde entier.
« Père céleste, nous te confions simplement notre nation en cette période terrible de grand besoin et de souffrance pour tant de gens. Et nous le faisons aussi pour le monde entier. Dans des endroits éloignés de ce pays, il y a des gens qui souffrent encore plus, qui vivent d’énormes difficultés et crient. Seigneur, nous prions pour que tu entendes leurs voix, nous prions pour que tu les délivres, que tu leurs procures la paix et que tu leur donnes du réconfort. Envoie-leur de la force en cette période de grand, grand besoin. »
Scott Morrison demande ensuite à Dieu d’accorder « force » et « sagesse » à l’Australie.
« Père, donne-nous la force ici dans ce pays, donne-nous la sagesse, donne-nous le jugement, donne-nous des encouragements. Que ta paix règne, que ton amour inonde cette nation en ce moment, et que ton peuple, ceux qui ont confiance en toi, Seigneur, soient des instruments de ton amour, de ta compassion, de ta justice, de ta miséricorde, de ta grâce. Soyons lumière dans un temps de grande obscurité. Puisses-tu nous élever en ce moment. Puisses-tu nous renforcer et nous encourager. Et en toutes choses, Seigneur, puisses-tu briller sur nous tous en ce moment, alors que nous recherchons ta grâce et que nous recherchons ta force et ta faveur. Nous prions cela au nom de Jésus. »
Dans sa prière, le Premier Ministre cite ensuite les dirigeants australiens, parlementaires, ministres, et « collègues du Cabinet », dans un désir d’unité.
« Je prie pour que tu gardes le cabinet national fort et uni, et que nous puissions faire face à chaque jour et à chaque défi dans l’unité d’objectif. »
Il termine ensuite sa prière en demandant à Dieu que son « règne vienne », que sa « volonté soit faite » et que sa « paix » soit apportée « dans notre monde ».
« Que ton royaume vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Apporte la paix dans notre monde. Apporte-la à notre nation, au nom de Jésus, nous prions. Amen. »
REVENIR AU DIEU VIVANT POUR LUI PERMETTRE DE SE MONTRER... (RÉ)ACTIF
Au début de la seconde guerre mondiale, Winston Churchill, un autre Premier ministre (du Royaume-Uni) avait appelé l'Angleterre à une journée de jeûne et de prière lors de la seconde guerre mondiale. Peut-être que sans cet appel Londres aurait été rayée de la carte, et sans le secours des ricains (américains qui avaient à cette époque une foi chrétienne plus vive qu'aujourd'hui), la France aurait certainement été asservie à la botte démoniaque nazie.
On sait encore qu'avec l'élection de Donald Trump, un virage important s'est opéré aux E.-U. qui courait déjà à l'écueil diabolique de la mondialisation.
Comprenons donc la situation covid-19 - qui vient encore d'empirer avec l'annonce du confinement prolongé jusqu'au mois de mai -.
Revenons, venez ou revenez à la foi des français qui firent la France, depuis Clovis, qui devint le 1er roi des francs (d'ou la france) après avoir été mis au contact de la foi chrétienne de son épouse Clotilde et en mettant Christ à l'épreuve.
Il ne s'agit pas de venir ou revenir à une religion, fusse-t-elle dite chrétienne, mais bien à une approche vivante et vivifiante, expérimentale, de Dieu lui-même par et en la personne de Jésus le Christ.
Cela concerne chacun-e d'entre nous, compris bien sûr les autorités politiques (établies ou de l'opposition).
Car si ce covid est un jugement de Dieu sur les comportements sociaux, moraux, commerciaux, idéologiques et politiques, globalement de la terre entière - et donc des nations -, Dieu donne toujours avec la sanction du mal, une solution pour y échapper.
C'est-à-dire que dans sa justice - qui corrige, secoue ou frappe les coupables, et on l'est tous* -, le Dieu éternel peut aussi accorder sa grâce (comme il existe des grâces présidentielles, figuration politique de ce comportement divin).
Que la force spirituelle et détermination nous aide à entrer en nous-même et faire un come-back des plus salutaires.
Le courage de ce 1er ministre australien face aux nations formées (formatées) à l'athéisme, devrait, pourrait, nous amener, citoyens et surtout dirigeants de nations, à réaliser que la situation est telle qu'elle dépasse et nos prospectives (pronostic, prévision, projection) dans tous les domaines, et nos capacités à réagir comme il convient.
Faute d'un retour à Dieu, même si nous réussissons à faire stopper la propagation du covid, on peut s'attendre à des jugements plus sévères encore... comme il y eut la 1ère guerre mondiale, puis la seconde (l'histoire se répète souvent, ce qui devrait nous permettre d'apprendre).
DIFFÉRENTES MANIÈRES DE PRIER
On ne prie de la même manière si on est chrétien ou si on n'est pas.
Les chrétiens prient leur Père céleste, par la grâce de la médiation de Jésus qui est devenu leur Sauveur.
Celui/celle qui n'est pas encore enfant de Dieu, né/e de Dieu selon les Écritures, doit prier autrement pour le devenir et trouver en Dieu le Sauveur et Père dont notre vie insuffisante a besoin.
Des millions d'enfants de Dieu prient donc désormais pour la situation. Mais il ne faut pas compter sur cela seulement. Car dans tous les cas, chacun reste face à son devenir personnel éternel.
La protection la plus sûre comme la survie de l'âme après la mort (côté Paradis ou côté enfer) dépendent de notre relation à Dieu - restaurée ou pas - et de notre manière de nous comporter.
C'est là toute la Bonne nouvelle de la foi par laquelle nous sauvons notre âme (notre moi, notre personne, d'une perdition éternelle), non pas par des rites et pratiques purificatrices (religieuses, occultes, ésotériques, humanistes), mais en croyant que Jésus est Celui qu'il a montré et dit qu'il était, qu'il est mort et ressuscité pour nous sauver... ce que des centaines de millions ont cru et expérimenté depuis presque deux mille ans (dont j'ai pour ma part la grâce d'avoir pu et de faire partie).
ici > des trames pour aider à prier, à trouver ses mots, pour quelqu'un qui veut venir à Dieu pour entrer au bénéfice de son plan de rédemption (de rachat de nos âmes).
Soyez fortifié-e et sauvé-e.
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* Cette pandémie et ce qu'elle produit ressemble à ce que Jésus fit lorsque, armé de cordes (corde commence comme corona) pour s'en faire un fouet, il renversa les tables des marchands du temple de Jérusalem, libéra les animaux destinés au sacrifice, dispersa l'argent des changeurs (des banquiers). Jean ch. 2 et Matthieu ch. 21
LES 5 ÉVÉNEMENTS PLANÉTAIRES (PANDÉMIQUES) LES PLUS DÉTERMI-
NANTS DE TOUTE NOTRE HISTOIRE HUMAINE
Manifestement, la pandémie* du covid-19 en fait partie.
La Bible nous rapporte, avec la plus juste approche de la connaissance de Dieu, 4 événements majeurs, planétaires, dont le Créateur des cieux et de la terre est l'origine.
Il nous est dit qu'alors les anges déchus pouvaient encore se matérialiser, et avec cette possibilité ils faisaient l'amour aux filles des hommes.
De ces unions dénaturées naquirent des géants et surtout une confusion terrible faites de toutes sortes de violences insupportables.
Insupportables pour Dieu - qui voit et entend toujours les plaintes et les cris des persécutés. C'est ainsi que leurs méfais et persistance dans le mal fut jugés quand Dieu vit Noé qui se gardait de forniquer et d'entrer dans ces conflits incessants.
Par lui et sa famille(sa femme et ses trois fils et leurs épouses), et avec un très grand bateau qu'il lui fit construire (l'arche de Noé), Dieu sauva la race humaine.
Ce fut la première intervention à l'effet planétaire que Dieu opéra.
Là il jugea les pécheurs (tous ceux des hommes qui commettent le mal, injustices et perversités); il jugea les anges déchus devenus de véritables démons (leur faisant perdre semble-t-il à partir de ce moment le pouvoir de s'exprimer avec un corps charnel).
Dieu mit ainsi un grand coup d'arrêt au mal... et nous permettre d'être là aujourd'hui.
LA TOUR DE BABEL
Dans la suite le genre humain se multiplia à nouveau et tout ce monde restait naturellement accroché les uns aux autres (alors que Dieu avait donné l'ordre de "remplir la terre"),
Se déplaçant ensemble, il s'arrêtèrent pour se bâtir une ville, et une tour, la tour de Babel.
Conscients de leur vulnérabilité face aus démons matérialisables qu'ils ne voyaient plus mais dont le souvenir s'était perpétué parmi eux.
Leur idée était de pouvoir rester unis, sous un même nom, pour résister au mal, et notamment aussi par cette tour de monter au plus près de Dieu pour qu'il les voit et les garde.
Mais ils ne savaient pas qu'entre Dieu et eux, qu'entre le véritable ciel divin et la terre avec notre ciel atmosphérique, se trouve un ciel intermédiaire, qui est la sphère céleste des anges déchus devenus des démons, des entités spirituelles maléfiques formant un royaume de ténèbres (avec Satan, aussi appelé le diable, à son origine et sa tête.
Dieu qui veillait là encore vit vers quel danger, qu'ils ne soupçonnaient pas, les hommes se dirigeaient.
Il s’immisça alors dans leur faculté mentale pour mettre la confusion dans leur langage au point qu'ils s'en irritèrent, se disputèrent et se divisèrent, commençant à remplir la face de la terre.
Mais il y avait toujours le risque d'un retour vers une unité physique comme moyen de vaincre leurs peurs et angoisses.
Une idée dangereuse en fait, car ce n'est pas une unité des forces physiques humaines qui peut suffire à vaincre un ennemi spiituel. Il y fait la présence de Dieu même, scellée par une réconciliation et paix faite avec lui.
LE PARTAGE DE LA TERRE EN CONTINENTS
Dieu désiraient laisser les hommes, le genre humain, faible, pour que ce soit en se tournant par eux-mêmes vers lui qu'ils reçoivent le secours suffisant, puissant, nécessaire, pour échapper aux vilaines et possiblement terribles entités célestes qui n'aspiraient qu'à revenir sur terre pour dominer et se jouer des humains.
Alors il provoqua un troisème événement aux conséquences pandémiques (qui s'impose à toute la terre habitée).
On sait par les premiers versets de la bible que l'organisation initiale de la terre en faisait un seul continent - comme une île immense - entouré d'un océan.
Au chapitre 10 de la Genèse nous lisons: " Il naquit à Héber deux fils : le nom de l'un était Péleg, parce que de son temps la terre fut partagée..."
C'est pourquoi on compte aujourd'hui cinq continents et des îles.
L'événement est signalé très brièvement dans la Bible(il est rapporté dans d'autres traditions très anciennes), mais on voit bien sur un planisphère qu'il s'agit d'une fracture gigantesque, qu'a pu causer (au minimum) la chute d'un astéroïde énorme là où se trouve désormais le Golfe du Mexique.
LA MORT D'UN HOMME
C'est une toujours étonnante (et 4e) intervention divine. Elle n'est pas passée plus inaperçue que les précédentes**: les effets témoignant de la cause.
Il s'agit de la venue au monde toute particulière de Jésus.
Un homme-Jésus qu'il est difficile de nier du point de vue historique. Mais il est bien bien plus, une conception et incarnation inouïes, Dieu-Parole fait homme pour devenir Dieu Sauveur et Roi de tous les rois...
Il s'agit de la révolution planétaire la plus profonde en ce qu'elle ouvre à tous homme/femme et enfant même, de pouvoir entrer comme jamais en relation vivante, spirituelle, bénie, avec le Dieu créateur infini. Selon qu'il veut et peut venir habiter notre intérieur par son Esprit saint et éternel...
ET LE COVID-19 !
Ce virus nous permet de vivre "en direct", "en live", un des plus grands événements planétaires que Dieu ait produit depuis l'apparition de l'homme sur terre.
Il est parfois des choses comme ça, dont on ne mesure la réalité que plus tard... comme fut la venue, la mort, la résurrection et la glorification de Jésus Christ des nations et Messie d'Israël.
C'est que cette pandémie est un jugement de Dieu de la même manière que le déluge, puis la confusion du langage à la Tour de Babel, puis le télescopage de la terre par un ou deux ou trois morceaux d'un astéroïde, puis la venue de Jésus - pour un jugement (à la fois définitif et potentiel) sur les forces du mal (qui sont en nous et autour de nous en la présence de Satan et autres démons qui étaient au moment de la crucifixion de Jésus sur le point de prendre, à partir du pouvoir impérialiste totalitaire romain d'alors, le contrôle de toute la terre habitée.
De fait le confinement occasionné par la propagation du covid-19 apparait seulement comme une première expression de ce qui vient de plus final et terrible sur les puissances terrestres humaines et sur les peuples. Une possibilité très rapide de mise en place d'une loi martiale concertée s'appliquant à tous, voire avec le consentement de (presque) tous... exceptés les chrétiens qui savent et croient suffisamment en quel temps nous vivons et ce que la Bible annonce de ce temps. Suffisamment pour s'y préparer et y échapper - par la 6e intervention la plus puissante de Dieu, ce qu'on appelle la parousie et que traitent par exemple ici le chapitre 15 de la 1ère lettre aux Corinthiens et là le chapitre 4 de la 1ère lettre aux Tjessaloniciens...
Le jugement actuel qui va laisser "un peu de temps" à chacun et aux gouvernements pour changer leur paradigme - fondé sur l'attrait du pouvoir (et de son potentiel jamais atteint avant ce temps), la capitalisation éhontée de la monnaie, des moyens de productions, des biens et bientôt des persoones (par un système de contrôle monétaire déjà quasiment en place), et sur les plaisirs ouverts au plus grand nombre (pour annihiler les résistances) - "buvons, mangeons... et baisons". Version tendance de l'empire romain reconstitué... mais pas pour longtemps (est-il prophétisé).
C'est donc maintenant qu'on est vivement exhortés, par Celui qui juge tout en son temps et en rapport de nos positionnements personnels vis-à-vis du mal (violences et plaisirs qu'il abhorre) et vis-à-vis du 4e événement qu'on a vu un peu plus haut.
DES PAROLES DE VIE... OU DE MORT, SELON COMMENT ON LES REÇOIT
Voici des fragments essentiels qui disent le coeur du Pourquoi et du Pour quoi Jésus est paru et comment on peut échapper aux temps les plus terribles qui vont suivre (après une courte période euphorique comme il y a toujours après les guerres).
Ici Guide de prière pour aider à formaliser un réel désir de venir ou revenir à Dieu pour être sauvé.
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* le mot pandémie venant du grec pan, qui signifie tout, et de dêmos, le peuple, mot formé sur le modèle d'épidémie, maladie qui touche abondamment la population d'un lieu déterminé, ou très largement des populations de diverses nations.
** Les traces du déluge sont visibles en de très nombreux endroits de la terre, avec des coquillages marins fossilisés sur des montagnes, etc...
Les vestiges de la tour de Babel ont été retrouvés (ici article du National Geographic). Ce qui atteste aussi de sa réalité passée, c'est l'architecture du Parlement européen de Strasbourg et la volonté fédéraliste d'une certain Europe de poursuivre la construction que Dieu a suspendue et se retrouver autour d'une seule langue.
La fracture de la terre en continents et îles est acceptée scientifquement, la terre unique ayant été appelée la PangéeL
De là, le fœtus a grandi, est né Jésus (Yeshoua en hébreu, la langue juive) et sa reconnaissance comme "fils du Dieu vivant" par des multitudes au cours des siècles, a fait les nations les plus civilisées et industrieuses (avant que l'abandon de la foi à grande échelle ne laisse la place à des puissances non-chrétiennes... pour un peu de temps, bref délai qui court défini par le prochain retour de Jésus...
Vous pouvez reprendre l'écriture initiale, voir comment elle s'applique pleinement à la venue et ascension de Jésus... comme, si on le veut, au coronavirus. Pourquoi ?
Parce que les deux sont des événements initiés par la même personne et volonté - le Dieu qui est au dessus de tout -, exerçant avec le minuscule covid-19 un jugement planétaire, et avec une incarnation semblable à celle de tous, un moyen de grâce capable de s'étendre à tous les vivants de tous les temps...
Foi salvatrice en Jésus donc, car s'il a donné sa vie pour nous obtenir le droit d'être pardonné de nos fautes par la foi, il est aussi ressuscité, et donc il n'est pas un Dieu mort, mais un Dieu enrichi d'une humanité désormais éternelle.
Bien plus puissante que l'histoire du corona covid-19, cette histoire de comment Dieu s'est fait "germe", créant un spermatozoïde tout nouveau pour l'implanter dans l'utérus d'une jeune fille juive (Marie chez nous).
Deux moyens de changer les trajectoires dangereuses - pour nous - des vies humaines... avant que l'âme ne se retrouve - Ô combien confinée, dans le séjour des morts (Shéol ou Hadès) tenu par les suppôts de Satan.
Que vous reste-t-il donc à faire (si ce n'est fait) pour être sauvé d'une vie dominée par le mal qui s'impose à vous d'une manière ou d'une autre, sauvé d'une perdition éternelle de votre âme ou psychisme (contenant votre moi conscient qui est le cœur de votre personne) ?...
En cliquant ici, un guide pour prier Dieu de manière efficace pour trouver réconciliation et paix avec lui.
Quand Jésus dit:
Je suis la porte,
Voyons-nous à quoi il est en train de penser ?
Pour mieux voir, mieux entendu,
il peut être très bon
de tirer notre porte sur nous, de
RESTER CHEZ SOI, RENTRER EN SOI
Pascal a écrit sur la misère de l’homme sans Dieu qui a une peur panique de se retrouver face à lui-même, sans divertissement:
« Tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre ».
Rentrer en soi c'est descendre dans une profondeur de soit où se trouve (entre autre) la réflexion, le dépassement possible des préjugés... genre - Moi je crois qu'à c'que je vois, clament plusieurs !
C'est faux ! Réfléchis donc un peu.
Est-il possible de croire sans voir ? Oui bien sûr !
Avez-vous besoin qu'on vous prouve que confinés ou pas, tout le monde chaque jour croit sans voir ?
Exemple : Avez-vous déjà vu une pensée ?
Certainement oui, comme tout le monde, car bien qu'elles soient invisibles, les pensées se voient.
Ou une idée, que vos yeux n'ont pas vue, qui soudain vous met en marche pour faire quelque chose ?
Concernant Dieu, c'est exactement le même processus.
On peut le voir (et pas seulement "en esprit") ou l'entendre (avec ou sans nos oreilles). Comprenez-vous ?
Soyons logique, pratique (pragmatique) même. Le temps est à rentrer en soi.
Comment connaissez-vous les pensées par exemple de Michel Houellebecq ou de Guillaume Musso (écrivains), et plus précisément ce que ce dernier pensait en 2015 et 2016 ?
La réponse est simple : En lisant "Central Park" (publié en septembre 2015) et son roman "Et après" (publié en janvier 2017). Je ne dis pas cela pour que vous les lisiez (je n'ai jamais lu Musso et une seule fois Houellebecq), mais simplement comme exemple.
DE LA PENSÉE A UNE CONCRÉTISATION
Je dis que les écrivains (comme les musiciens avec des notes traçées sur des partitions...) concrétisent, matérialisent, mutent littéralement leurs pensées en écrivant.
L'écriture est un des moyens pour rendre visible (lisible et compréhensible) une pensée, et donc aussi son auteur.
Le principal écrit de (Blaise) Pascal s'appelle "Les pensées".
Personne n'a vu les pensées qui étaient dans sa tête, mais beaucoup ont pu les lire.
Cet auteur (cette personne) nous reste-t-il étranger (insondable, inaccessible, invisible) ? Oui, tant que nous ne l'avons pas lu.
C'est tout à fait pareil concernant Dieu !
Pour voir les pensées, et par elles aussi la personnalité de Pascal, il nous faut regarder à ce qui nous reste de visible de lui, ce qu'il a eu de plus précieux à coucher sur le papier, et par là à nous laiiser en héritage.
Idem pour se faire une idée (invisible elle aussi mais pourtant réalité active importante), de Platon, de Descartes, Einstein, De Gaulle... Une idée de leur fond le plus véritable (pour peu bien sûr qu'ils soient vrais dans leurs écrits). Et plus on saura ce que tel ou telle a écrit, plus on le ou la connaitra jusqu'à intimement...
ET LES BIOGRAPHES...
On peut aussi prendre connaissance d'une personne et de sa personnalité, en lisant une biographie, ou en écoutant une conférence, une émission... animée par quelqu'un qui a bien connu (un témoin direct) ou bien étudié la personne en question.
Le fait est si sensible qu'on peut ainsi, sans même n'avoir jamais eu un contact réel avec elle, aimer avec affection, ou haïr, une personne jamais vu en chair et en os ni toucher physiquement.
Ainsi c'est évident qu'on peut croire des réalités subtiles (comme les pensées, des émotions, le talent, des cheminements, le caractère de quelqu'un...) sans les voir, sans avoir pu les voir de nos propres yeux, en croyant par une médiation ou une autre, une oeuvre (ou même des brouillons) ou des rapporteurs honnêtes, objectifs.
Et c'est tout à fait comme ça avec avec Dieu !
APPROCHER DIEU VIA DES TEMOINS INTÈGRES, DES MÉDIATEURS FIDÈLES
Sur la réalité de la personne de Dieu, de sa et ses pensées essentielles, de sa volonté... ont été écrites des millions et des millions de pages.
Certaines à partir de colporteurs peu scrupuleux, déformateurs plus que rapporteurs, mauvais messagers ou représentatns, peut-être plus soucieux de leur propre personne, renommée ou succès, que de Celle dont ils parlent.
Certaines autres écritures ou paroles relatives au Divin, sont nées seulement de quelques approximations perçues, de l'imagination personnelle (ou collective), de nos propres limites qu'on prête à Dieu (anthropomorphisme)... ou encore de Satan, le ténèbreux ange sorti de son rang et devenu un ennemi du Bien, qui a trompé le 1er couple humain en déformant ce que Dieu avait dit, en faisant suspectant que Dieu n'est pas sympa avec eux (de leur cacher des choses), etc...
- S'il existait il n'y aurait pas de guerres !?
- Il y a trop à faire pour que Dieu s'occupe de tout - pour qu'il me voit et écoute ma prière !
Mais il y a aussi, et on peut le vérifier, des écrits très anciens qui été fixées dans la matière (sur des tablettes d'argile, du papyrus, des rouleaux de peaux, des pages manuscrites), puis qui ont été recopiés avec fidélité, minutie, sérieux, dans la compréhension et le respect qu'il s'agissait de "paroles de Dieu" c'est-à-dire de paroles inspirées transcrites fidélement.
De la sorte, la et les pensées de Dieu nous deviennent accessibles, les écrits offrant d'en avoir la compréhension, et par là jusqu'à nous permettre, par l'esprit (de notre esprit à son Esprit via l'écrit) d'entrer dans son intimité, dans une communion, où nous touchons tout personnellement... en live, à la réalité invisible de Dieu, ce qui fait alors qu'on peut croire avec une grande certitude et onfiance, sans voir Dieu de nos yeux physiques.
Ainsi a-t-on d'une part quelques personnes dignes de foi qui ont connu Dieu et ont écrit, à partir de Moïse, puis des prophètes, des rois, des chantres consacrés, des apôtres et autres évangélistes, d'où nous vient la Bible.
Et d'autre part, dans la dimension invisible, l'Esprit de Dieu qui peut à tous moments où il le désire venir pour attester jusque dans notre âme, dans notre esprit, ou encore à nos oreilles et à nos yeux physiques (par songe ou vision), que telle parole écrite, lue ou entendue, est vrai, vient bien de lui et nous parle de sa part, oarce qu'étant expression de sa pensée, de ce qu'il veut nous dire à ce moment-là et/ou de vérités générales, immuables, qu'il désire que nous connaissions - et qu'il est bien de croire, donc de les d'adopter - comme base primordiale du savoir et de nos comportements.
Certes on peut douter de tout. Même de l'honnêteté de plus de quarante hommes qui ne se sont pas forcément connus, qui disent avoir reçu de Dieu ses paroles, et cela au long d'une période d'environ 1 500 ans. Ce qui nous a donné la Bible, avec 39 livres complémentaires reliés en ce qui forme l'Ancien Testament, et, après la venue et le départ de Jésus (Yeshoua en hébreu, la langue de son pays et de ses ascendants physiques), 27 livres regroupés pour former le Nouveau Testament ou Nouvelle Alliance, seconde partie de la Bible.
On peut douter, mais aussi savoir que douter sans rien mettre de mieux à la place, c'est une autre manière de croire, c'est tout simplement croire d'autres pensées (que c'est faux, que Dieu n'existe pas, que les écrits ont été falsifiés, mal traduits...).*
C'est croire des pensées qui s'opposent à ce que Dieu et ses témoins fidèles ont transmis et par quoi il peut et veut nous faire du bien, nous rendre plus libre dans la justice et dans l'amour..
Pour ma part, convaincu de la réalité de Dieu dans l'instant où il se révéla étonnament un jour à moi, il m'a aussi convaincu de ce que la Bible est le livre fondamntal à connaître pour le connaître lui, et de là, depuis maintenant plus de quarante ans, je vis cette existence terrestre basée, fondée, stabilisée, sécurisée, par ma connaissance et foi dans les écritures biblique, avançant dans des apprentissages sans fin, des expériences de diverses sortes avec Celui qui est devenu mon Dieu, et des partages (le plus honnête possible) de la vraie vie déjà possible ici-bas avec lui.
Ainsi je crois que sont authentiques en tant qu'écrit divinement inspiré, toutes les paroles bibliques.
J'en donne ici quelques-unes pour qui veut en toute vérité savoir si Dieu existe, s'il peut nous parler, se faire connaître avec certitude bien que restant (encore pour un temps) invisible.
Ce qui est unique avec Jésus, c'est qu'il n'a pas fait que parler, enseignant aux autres de faire des choses qu'il n'aurait pas lui-même. Ses actes, ses pensées et ses paroles ont été sans faille en cohésion. Qui peut montrer le contraire ?
Sans jamais avoir écrit une parole - ce qui allait être à sa suite le rôle de quelques disciples conduits par le Saint-Esprit - nous avons un rapport à quatre faces sur ses œuvres, sa vie, sa mort et sa résurrection, soit quatre évangiles.
Et pourquoi est-ce important ? "Jésus répondit : Il est écrit : L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu."
Parce qu'en tant que créature tripartite, nous avons besoin d'aliments solides pour notre corps, de connaissances et expériences diverses pour alimenter et entretenir notre psychisme (ou âme, psyhé en grec), et encore de Paroles divines pour activer notre esprit (qui souvent s'éteint en nous sous l'effet de nos mauvaises pensées, paroles et comportements) et le stipuler (quand nous l'avons reçu).
à suivre, par un article ou un autre et/ou selon commment Dieu vous y conduira...
Soyez béni-e.
Pour prier, ici un guide pour aider à trouver ses mots ou ce qu'il est important d'aborder une première fois.
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* Pour quel(s) gain(s) et par quelle autre force que la conduite divine, ces hommes si éparpillés dans le temps, souvent soumis à des oppositions et persécutions sévères, auraient-is pu produire un tel livre... qui est aujourd'hui encore dans le monde le livre le plus traduit, le plus imprimé et le plus lu de tous les temps ?
Si quelqu'un a des arguments solides contre la véracité de la Bible en tant qu'Écritures traçées par des hommes mais parfaitement inspirées et agréées par Dieu, qu'il ne lise bien sûr surtout pas ce livr..., ou encore qu'il fasse tout pour le démolir avec des arguments patents.
Beaucoup ont tenté de le faire... dont le fameux Général américain Wallace, athée qui voulut démontrer en la lisant des incohérences et la non pertinence de la Bible, qui fut bientôt toucher par l'Esprit de Dieu, convaincu au point de devenir chrétien et un témoin fidèle, écrivant notamment pour sa part le livre Ben Hur, qui devint un des plus grands films de tous les temps.
On sait (normalement) que Jésus a été crucifié injustement.
Certes, on ne peut pas se trouver ainsi crucifié pour rien, sans raison : La raison était qu'il prenait alors sur lui toutes nos fautes et leurs conséquences (dont la mort fait partie).
Depuis quelques semaines la plus grande église de France, vivante par ses près de 2 000 membres réguliers, La Porte Ouverte de Mulhouse, est montrée du doigt, huée, accusée, moquée, blessée... comme son Maître Jésus-Christ à partir du jardin de Gethsémané jusqu'au mont Golgotha.
QUEL EST SON CRIME ?
On lui reproche d'avoir été le point d'insertion de l'épidémie en France, par un grand rassemblement (annuel) qui se déroula du 17 au 21 février (2020).
Il convient de démentir cette rumeur (plutôt que de la colporter).
Cet habitant de Colmar âgé de 46 ans explique: « J’ai été atteint par le coronavirus début décembre 2019 sans pour autant avoir quitté le territoire français depuis plus de six mois. En date du 3 décembre, j’ai eu mes premiers symptômes qui se sont manifestés par une énorme fatigue, les jours précédents, des céphalées très douloureuses, une baisse de pression artérielle […], une perte de goût, d’odorat pendant au moins 3 jours, de la fièvre naturellement qui est montée très brutalement et que le paracétamol ne faisait pas beaucoup baisser, aussi des sensations que l’infection descende dans les voies respiratoires, c’est-à-dire larynx, pharynx et poumons. S’en est suivi une surinfection pulmonaire foudroyante au point d’entendre ma respiration siffler, comme si j’avais été asthmatique, et ce en moins de 96 heures. Et tout ça malgré le traitement aux aérosols et antibiotiques prescrit par un ami médecin. Cependant il m’a fallu presque quatre semaines après le 23 décembre pour récupérer mes facultés respiratoires et pulmonaires totales, parce qu’une toux intempestive ne cessait de me gêner...
J’ai commencé à m’inquiéter parce que la fièvre restait élevée. […] Au radio scanner des poumons, j’avais 5 tâches, 4-5 tâches sur les poumons. […] Je ne m’attendais pas à être foudroyé de cette manière-là. […] Ça a été énorme. […] Une respiration coupée, une respiration sifflante comme ça, je n ‘ai jamais eu. […] Ça a été foudroyant. Ça a été très, très, très violent. »
Le témoin évoque ensuite plusieurs personnes de son entourage qui ont été malades, dont une pharmacienne et un dentiste.
Pour Liliane Held-Khawam, ce témoignage « revêt une importance capitale ». Entre autres raisons, parce qu’il a été testé positif, que son infection « remonte à novembre 2019, si l’on prend en compte la période d’incubation de 14 jours », et qu’il n’a « pas quitté le territoire français durant les 6 mois qui ont précédé son infection » et ne peut donc pas être le « patient zéro ».
L’économiste affirme alors sur son blog :
« Le virus était donc déjà présent sur sol alsacien/français. La gestion de l’épidémie a démarré avec des mois de retard. »
"SEUIL AYANT PERMIS L'ALERTE" PLUS QUE POINT DE DÉPART
Le pasteur de l'église de Mulhouse Samuel Peterschmitt, lui-même atteint par le COVID-19 et aujourd'hui sorti d'affaire, rappelle que l’église fut plutôt « le seuil d’alerte » de la contamination en France:
« C’est nous qui avons donné l’alerte et fait les premiers dépistages. Ce sont les membres de la Porte Ouverte qui ont été les premiers dépistés. Mais il est clair qu’ils n’étaient pas les premiers malades. Seulement les premiers détectés. D’où le fait que nous avons la conviction que nous ne sommes pas le point de départ, mais le seuil d’alerte. »
Il précise que « c’est établi aujourd’hui de plus en plus clairement, que des patients très suspects du COVID-19 étaient déjà infectés à la fin du mois de janvier et au début du mois de février. À l’appui, il y a l’observation d’une recrudescence de syndromes grippaux. Et à cette période, ces symptômes n’étaient pas perçus comme le COVID-19, mais aujourd’hui, il y a des signes évocateurs, qui étaient déjà signalés, comme la perte de l’odorat et du goût notamment. Et ces malades victimes de la contagion, étaient sans lien, ni entre eux, et sans lien avec l’église de la Porte Ouverte. »
COUPABLES OU VICTIMES
Certes le fait d'un rassemblement de milliers de personnes à ce moment-là a favorisé la propagation de ce coronavirus où des personnes contaminées retournèrent chez elles, à une date où il n'était encore question ni d'un risque grave de contamination en France ni de confinement (mis en place le 17 mars, plus de trois semaines après la fin des réunions).
En tant que chrétien, la question de notre responsabilité au sujet de ce qui nous arrive, de bien comme de mal, ne peut être escamotée.
Si on lit bien, on ne peut occulter le 1er verset : "Celui qui demeure sous l'abri du Très Haut Repose à l'ombre du Tout Puissant."
Or, bien que chrétien aimant Dieu et désirant suivre fidèlement Jésus dans ses voies justes, agréables et parfaites, on reste chacun des pécheurs, imparfait quant aux lois (protectrices) divines, des fauteurs potentiels, soumis à des tentations et à la force pas toujours encore maîtrisée de pulsions ou autres centres d'intérêt mauvais dont on n'arrive pas (encore) à se détacher. (La vie chrétienne étant une marche de libération en libération, comme de connaissance en connaissance).
Et donc ainsi, on peut ne pas "demeurer" sous la protection absolue de Dieu. Ce qui explique que des chrétiens ont pu être - sont - contaminés.
C'est alors, surtout dans un contexte de jugement global de toute la terre habitée, une conséquence d'une faute réitérée non vue ou mal vue en tant que telle. C'est donc un rappel à se tenir dans une plus grande proximité et lumière du Très-Haut, du Tout-Puissant.
Donc ne "jetons pas la pierre" comme voulaient faire les religieux face à une femme surprise en adultère, mais ayons compassion... non sans chercher ce qu'on peut apprendre de toutes nos épreuves.
Les progrès en tout ne passent pas souvent par la facilité, et l'épisode de la tour de Siloé nous rappelle ou apprend ce qu'il en est nous concernant tous.
Je pense aussi que s'il y eut des fautes (par faiblesses psychiques) causes de la contamination dans ce camp de Dieu, la faiblesse physique de personnes ayant jeûné pendant cette semaine (de jeûne et prières), peut avoir favorisé l'emprise du virus sur des corps sous-alimentés. De même la fatigue accumulée par des surcharges régulières de travail (trop d'activités, de choses à gérer, de projets mis en route...) peuvent affaiblir nos organismes.
L'église Porte Ouverte de Mulhouse fait référence à une porte dont parle le livre de l'Apocalypse, "que nul ne peut fermer."
Elle reste donc ouverte, par internet, et surtout par la foi qui demeure de tous ceux qui en sont la vie, le corps spirituel, les "pierres vivantes".
Si donc elle est ici par le covid-19 et les mesures gouvernementales - auxquelles se soumettre - pours le moment fermée, ses membres blessés, affectés, c'est aussi pour qu'elle sache mieux trouver comment permettre à Celui qui en est l'origine, Jésus et le Saint-Esprit, de mieux la visiter et la conduire, de mieux l'épurer (spirituellement) et la centrer au plus près possible de la Parole écrite... afin qu'en sortent davantage des disciples aguerris que des chrétiens (encore) trop nourris sans efforts personnels, ce qui les laisse faibles dans la foi et vulnérables.
Enfin que tous nous réalisions qu'il n'est plus temps de faire n'importe quoi, que les temps sont fâcheux (les signes sont nombreux pour nous en avertir) étant ceux de la fin d'un ordre du monde appelé à disparaître - et non à être amélioré.
Un ordre qui tient d'une volonté persistante maligne à vouloir globaliser, uniformiser, dépersonnaliser, soumettre, jusqu'à l'esclavage, le genre humain, ce qui tend régulièrement à des prises de décisions visant à établir un impérialisme, une gouvernance mondiale centralisée, et par là toujours un totalitaire déshumanisant.
Profitons donc chacun de ce confinement pour que ce soit comme une porte fermée de notre chambre dans laquelle nous pouvons mieux nous isoler avec le Dieu véritable, pour le prier... et chercher loin des bruits (différents aspects de) sa face.
Une représentation de Dieu créant l'homme faite par Léonard de Vinci.
Les représentations peuvent nous aider à voir l'invisible...
mais n'en restons pas là, pas plus qu'au minuscule coV covid-19
(Le mot virus vient du latin "virus" qui désigne le poison, le venin, la bave)
Les leçons à tirer de l'apparition et des effets de ce coV covid-19 ne manquent pas pour qui veut "ne pas mourir idiot", c'est-à-dire veut comprendre le monde dans lequel nous vivons, et nous comprendre - nous connaître - nous-même.
EST-IL TEMPS DE CHANGER DE LUNETTES !?
Certes si on veut être et rester un matérialiste étroit, à la vue causal relâchée, on ne comprendra pas... si ce n'est que c'est le hasard, la faute à pas-de-chance, un mal comme il en arrive parfois, ou encore un effet de la sélection naturelle qui va éliminer les plus faibles...
Mais si on adopte une vision plus complète du Réel, qui comprend une dimension spirituelle, d'origine divine, on peut plus richement tirer de toutes choses, de ce coronavirus aussi, des enseignements.
L'un d'entre eux peut venir du rapprochement qu'on peut faire du rapport de taille et de force qu'il y a entre nous êtres humains et un virus.
La taille des virus les situe tout en bas de l'échelle des dimensions. Elle varie d'environ 20 à 300 nanomètres. Les coronavirus sont parmi les plus gros virus, de l'ordre de 250 nanomètres.
Un nanomètre c'est un milliardième de mètre, ou un millionnième de millimètre !
C'est en moyenne mille fois plus petit qu'une bactérie (qui est la plus petite expression d'un corps vivant).
Par contre, nous voilà face à un ennemi des plus puissants dans son rapport à nous. Le covid-19 comme d'autres coronas est capable de nous tuer pour peu qu'on ait des faiblesses.
Par faiblesses on doit entendre des failles dans notre système immunitaire physiologique, et failles aussi - ce que la science n'aime pas considérer car elle n'a pas de moyen pour mesurer ce qui est typiquement psychique ou spirituel - dans nos données (admises) mentales, émotionnelles et/ou de volonté...
Et donc, malgré notre taille physique (de l'ordre de cinq millions de fois supérieure à celle d'un coV), voilà qu'on peut être moins fort qu'un tel minuscule et partiel morceau de "matériel génétique" même pas vivant en lui-même.
Cela ne nous donne-t-il une idée de notre petitesse en fait ? en tant que personne physique qui peut être impactée, et en tant que personne psychique prise de court face à cette invasion sournoise ?
Une idée qui rabat l'opinion que nous avons couramment de nous-même et de nos pouvoirs... tout relatifs - qu'ils soient économiques, politiques, philosophiques, idéologiques athées ou religieux !?
Mais en rester seulement là, même si c'est une réalité tangible et qui peut nous menacer "pour de vrai", ne nous tiendra pas longtemps dans la réflexion sur la vie et la mort, sur le sens de notre présence dans ce monde et des rapports de force entre le mal et le bien - le mal physique étant dans cette affaire le covid-19 et le bien qu'est l'existence qu'on a reçue en partage.
Une existence qu'on peut voir fragile, comme tous les systèmes d'organisations gigantesques qu'on est capables de monter...à notre image.
Une existence éphémère, on se sait mortel... mais on prête si peu d'attention à cet aspect pourtant dominateur de ce que nous sommes.
Une existence peu intelligente donc en fait, puisqu'on se soucie davantage de suivre une série tv, de lutter pour quelques euros de plus qu'on va gaspiller en cigarettes, alcools, drogues, et tant de choses qui, même si elles ne sont pas directement nuisibles, sont si inutiles et toujours coûteuses.
Des milliards d'euros ou de dollars sont ainsi dépensés pour envoyer du matériel jusqu'à Mars par exemple comme s'il n'y avait pas de besoins plus immédiats et plus proches à quoi répondre.
On est des êtres de déséquilibres, à l'extérieur parce que d'abord en nous-même.
Bref, "on est bien peu de chose", et si notre amie la rose ne le laisse plus entendre à nos oreilles assourdies par toutes nos activités, c'est un virus qui vient nous ramener les pieds sur terre.
Un "coV" (c'est l'abréviation officielle d'un coronavirus) qui vient nous arracher à nos virtualités et autres usages immaîtrisés, irréfléchis de notre temps, en lui redonnant de la place jusqu'à une reconsidération - forcée - de nos agendas et priorités. Jusqu'à, surtout, nous permettre, de nous-même, sans contrainte supplémentaire de s'asseoir (devant des écrans éteints) et de s'interroger en faisant face... au vide qui nous habite !
Blaise Pascal déjà avait remarqué et dit qu'une des choses les plus grave est que "nous ne savons pas rester une heure seul(e) dans son cabinet." (bureau ou salon).
SE DÉCOUVRIR EN VÉRITÉ... SANS MASQUES
Car si le virus est minuscule autant que pouvant nous dominer de fond en comble, le coup d'arrêt qu'il met sur nos activités peut aussi être vu comme une sanction sur le développement de nos cultures... et plus précisément encore comme un jugement divin.
Une pensée qui chez certains monte à la conscience de l'inérieur - justement parce qu'on a une conscience, capable de saisir, quand on ne l'a pas étouffée, autant des vues spirituelles que psychiques ou seulement matérielles.
Une pensée qui a besoin d'être reboostée tant elle a été mise en veille, en stand-by. Mise à jour, reset, redémarrage ! Pour saisir que tout de nos matérialités peut aussi exprimer un seconde degré, qui peut avoir un sens spirituel.
Hermès le trimégiste antique disait déjà que "tout ce qui est en bas (sur la terre) est comme ce qui est en haut (dans un ciel spirituel), et inversement.
C'est pourquoi Jésus utilisait - et emploie toujours - des paraboles pour donner de comprendre les réalités invisibles, les plus puissantes, des dimensions de l'esprit, du divin.
Il n'y a pas à s'étonner que les réalités invisibles "d'en-haut" sont très puissantes puisque ici "en bas" on s'en aperçoit bien. Que ce soit par les forces cosmiques qui tiennent les corps célestes dans leurs rotations; l'énergie (dite "sombre") qui tient tout l'univers dans son expansion très maîtrisée, les forces telluriques, magnétiques ou électromagnétiques, l'électricité et toutes sortes d'ondes porteuses, agissantes, que notre oeil ne voir pas...
C'est pourquoi encore existe avec le sens propre le sens figuré, ou tout ce qu'on appelle la symbolique...
Et donc en s'éveillant, notre conscience peut s'élargir à bien plus grand que nous !
Ce n'est pas parce qu'il nous est quasi impossible d'imaginer ou de visualiser ce qu'est la taille d'un virus, que nous ne croyons pas qu'il existe. Eh bien de la même façon, dans la direction opposée, ce n'est pas parce que nous avons a priori du mal à imaginer ou se figurer Dieu, qu'il n'existe pas et qu'il n'agit.
C'est que selon la loi générale de causalité, les causes peut se voir à partir de leurs effets. C'est ainsi qu'on a découvert en médecine que des maux localisés dans les corps sont révélés par des effets sur le corps (les symptômes).
Ou encore qu'une mauvaise gestion des données bonnes ou mauvaises, justes ou fausses, par le compartiment intellect de otre âme peut se traduire (finit souvent par se traduire) dans notre corps, c'est la somatisation.
Ces réalités connues, vérifiables, sont aussi là pour nous parler au seconde degré, nous dire que dans le versant caché du Réel, il y a de même des lois qui jouent, des principes actifs, et une gouvernance... qui gère comme nous avons à le faire ici-bas, des conflits d'ordre moral, de l'ordre du Bien et du mal, dans les sphères spirituelles comme dans notre monde.
UN JUGEMENT A TOUJOURS DEUX FACES
Le grand principe qui justifie le mal sans que Dieu puisse être accusé d'être seulement une idée ou un mauvais dieu, c'est que tout mal peut être tourné en bien. Et cela, même nous ne sommes pas souvent capablesde le faire (on sait très bien faire le contraire par contre !).
La Bible assure que Dieu a disposé les choses de telle manière que non seulement il peut, lui, intervenir pour faire sortir d'un mal un bien, mais il a aussi disposé des lois d'ordre et de régulation qui font que "toutes choses peuvent par elles-mêmes concourir au bien de ceux qui cherchent à vivre selon les instructions divines et de ceux qu'il appelle à venir à lui. (Pour ma part j'ai vécu ce miracle d'un accident grave que Dieu a magistralement tourné en la plus grande des bénédictions, celle de découvrir qu'il existe, qu'il est, et qu'on peut vivre des relations exceptionnelles avec lui).
Et donc ce jugement qu'est l'apparition du covid-19 qui nous réduit et nous emprisonne - c'est d'une part bien sûr un côté sanction, coup d'arrêt sur nos mauvais comportements (collectifs, sociaux, familiaux, individuels, et même intimes).
Mais aussi son côté grâce, secours de Dieu, délivrance par son intervention, c'est qu'il nous donne individuellement du temps, afin que nous puissions revisiter notre vie, ce qu'elle vaut, où elle va (où elle allait!), ce qu'on en ignore, ce qu'en sont les forces - bonnes mais aussi mauvaises, à revoir, dont être libéré.
Pour ceux qui sont sur le pont, en première ligne, soignants, actifs surchargés de tous autres, c'est aussi pour leur montrer leurs propres limites, insuffisances, pertes de forces, face à un monde bien plus malade qu'on ne le voit généralement.
Ce qui nous donne ce super témoignage de Lilian Urban, médecin italien qui raconte > ici dans cet article, comment la surcharge de besoins a produit parmi le personnel exténué un travail de l'âme qui autrement ne se fait pas...
Et finalement donc, parvenant à une limite quelconque de soi-même, dans sa vie de célibataire ou de couple, de famille ou au travail, face à soi-même autant que face aux autres, venir ou revenir à l'essentiel - l'essence du ciel -, à Celui qui peut tout, qui n'est qu'un peu en retrait de nos existences - because il nous a créés libre -, qui veut se révéler vivant par divers moyens (divers effets).
Venir, revenir au sens, à la paix de la nature quand il fait cesser les tempêtes, à la simplicité, à notre taille de créature bien perdue sans notre créateur.
Découvrir ou rouvrir l'espace qui est de l'ordre de la permanence, de l'Esprit, notre spiritualité - éteinte, envolée, morte ! - et la réalité quasi incroyable qu'il y a un tel Dieu (que décrit et déploie la Bible) et que, malgré les dynamiques organisées de la nature, malgré les beautés des bébés, des fonds marins ou de la voûte céleste..., on ne le sait même pas !
Cherchez et vous trouverez, dit Jésus. Et si on a cru et appliqué cette ivitation au plan des réalités physiques de la création en développant des sciences, croyons aussi que c'est valable au sujet des réalités immatérielles, de l'ordre de notre âme (psychisme immatériel) et de l'ordre supérieur de la Divinité.
Bon confinement (puisqu'il est là). Soyez béni-e. à suivre...
Mais si Dieu ne jugeait pas, serait-il vraiment Dieu
- à la fois amour ET justice !?
CORONA-19, TOUS VISÉS PAR CE JUGEMENT
Écoutez ces paroles qui jaillissent désormais de la Bible avec toute la puissance de l'Esprit du Dieu qui les a faites écrire prophétiquement (d'avance):
"Devant Lui (l'Éternel-Dieu) marche la peste (le covid), et la fièvre brûlante du mal plus fort encore) suit ses pas. Il s'arrête, et de l'œil il mesure la terre ; Il regarde, et il fait trembler les nations;" (Habakuk 3 : 5-6).
De tous côtés les chrétiens sont persécutés, rendus au silence, déclassés, chassés, violés, décapités, que ce soit par des athées (virulents ou se disant tolérants) ou par des reigieux fanatisés.
A quoi le Seigneur-Dieu a une réponse à propos... bien que préparée d'avance puisque ces agressions reviennent de manière récurrente au cours de l'histoire:
En a-t-on tenu compte ou avons-nous progressé dans ce qui fut mis en cause ?
On a cherché à se protéger avec des bouts de latex, en votant même des lois et cherchant d'autres moyens illusoires? Exactement comme Adam et Eve se découvrant nus, soudain dominés par un mal terrifiant inattendu après (causé par) leur désobéissance au commandement bienveillant de leur créateur. Ils cherchèrent à se couvrir, à faire disparaître leur culpabilité, en se faisant un habit de feuilles de figuier.
Ne pas connaître la juste solution d'un problème et se tromper en essayant d'en inventer une au lieu de la chercher, ne résoud rien, ne va pas arrêter l'effet maléfique.
Alors certes on va se laver les mains et rester au maximum chez soi. Mais est-ce seulement en cherchant à passer - à tuer - le temps sans aucune profondeur d'âme ?
Ou bien en cherchant à comprendre que nous vivons peut-être bien un jugement divin, une conséquence directe de comportements humains mauvais généralisés !
Un jugement plus sévère encore que les inondations et autres tempêtes localisées. Sévère comme déjà le climat et la nature devenant hostile parce qu'on en a détruit les équilibre.
A cause des pollutions de l'air, des eaux et aussi de nos rapports humains, de plus en plus irrespectueux des lois morales comme des lois physiques, des autres qu'on conditionne par des cultures, des médias, des films, des slogans... Qu'on exploite pour des gains égoïstes, abusant, pervertisant, violentant l'humain - ce qui a été créé à l'image de Dieu, homme, femme enfant né ou à naître, au profit de gains ou de plaisirs prioritaires, coupables...
Et donc tous, nous avons à suivre la pente que ce jugement et ce confinement obligent, savoir s'abaisser, revenir au niveau le plus juste de ce que nous sommes, qui est le niveau et l'identité de créature de Dieu abîmée par le péché.
Le péché est, selon la Bible, exactement comme un mauvais virus dont nous sommes tous des porteurs "sains".
Il est un mal résident en nous, immédiatement actif dès la petite enfance... et qui a donc besoin d'être contré par une éducation appropriée (rôle parental capital).
De la sorte, dans tous les cas, maitrisé par une éducation ou pas, le péché est toujours au minimum tapi au fond de notre coeur, que des circonstances, une situation ou une autre nous affectant particulièrement, rend actif jusqu'à des manifestations virulantes extrêmes...
Et on sait déjà que le confinement provoque l'activation du péché latent chez beaucoup, jusqu'à des scènes de violences verbales ou physiques surprenantes...
C'est aussi là l'effet d'un jugement: rendre manifeste notre fond, notre intérieur le plus vrai et prioritairement réactif, qui peut glisser comme c'est le mieux dans l'humilité, et par là par exemple manifester une bonté solidaire; ou éructer sous la pression en propos ou gestes, en clashes, dont on n'aurait jamais soupçonner être capable.
Cette épreuve est, par différents aspects, une exhortation véritable à venir ou revenir à Dieu, pour trouver en lui, atteints ou épargnés, l'essentiel du secours dont on a besoin, savoir la purification de notre âme (voire de notre corps) par le pardon de nos péchés, de tout le mal qu'on a fait et accumulé.
En cela vous pouvez trouver ici un guide de prière qui peut vous aider à faire cette démarche existentielle comme essentielle.
C'est ma foi que c'est encore par les prières des rachetés et leurs effets que ce mal pourra cesser au plus vite.
Mais attention si le monde, ses leaders, les puissants notamment, ne comprennent pas la leçon et reprennent sans changement fondamental à leurs mauvaises pratiques (économiques, politiques, morales et même sexuelles), toutes choses notables que cette épreuve a arrêtées !
EN FORME DE RÉSUMÉ PROVISOIRE
Par le corona-19 et les contraintes qu'il fait mettre en place, il est possible que du bien plus que tu mal nous soit fait, en rapport de ce qu'on aura voulu mettre nos vies en ordre avec notre foi en Dieu (par priorité sur toutes autres croyances que nous avions - et on en a tous qui ne sont pas à leur bonne place).
L'important, c'est la rose, chantèrent Ronsard, Bécaud ou encore Françoise Hardy.
Pour nous parler de la fuite du temps, de la vanité de beaucoup de nos mouvements, et d'une fin inévitable.
Alors quand on est arrêtés, voyons la chance (au lieu de regimber) de se trouver face à soi-même, de se découvrir quand on est seul-e, au fond si désemparé-e, si vide, si perdu-e, face à l'imprévisible comme face à la mort (jamais vacante) et jusqu'à face à un Dieu réel, si méconnu, inconsciemment voilé ou sciemment occulté (par soi ou par les sociétés athéisées).
C'est en ce temps précieux qui est à vous seul, et qui ici vous est restitué par la crise du covid-19 - un vrai jugement pour toute la terre habitée - que ce poème (et autres articles de ce blog) est venu et cherche à vous rencontrer pour, surtout, que vous-même fassiez une réelle rencontre et paix avec Dieu.
À LA RECHERCHE DU TEMPS ET DU DIEU PERDUS
Quand au fil tendu des jours on n'entend plus
Que la rose nous dit - Tu es si peu de chose...
Quand on se perd en vanités et qu'on ose
Braver de Dieu les lois comme s'il n'existe plus,
Ô oui on s'expose aux coronas vilains
Pouvant sortir des ombres et changer nos choses,
Nos systèmes, nos ordres, nos illusions roses,
De nos vies fébriles arrêtant les trains.
Car où courons-nous sans destination
Orphelins du Ciel par nos homicides,
Coupables et mortels redit ce covid
...Dont le bon côté qui tarit nos fêtes
Est que seul-e au monde, par un tête à tête,
On revienne à Dieu par sa rédemption.
Ce 20 mars 2020, dans un temps passé devant mon Dieu, soudain est montée l'amorce de ce poème, livré sur mon blog en live, tout chaud, le matin même, et repris ici.
Je souhaite et je prie le vrai Dieu, qui n'est pas loin de loin, qu'il vous aide à sortir du pire des confinements, celui de notre psyché, celui de l'âme, veuve et orpheline de la vie de l'Esprit.
MAIS OÙ VA TON ÂME ?
Notre existence a tout d'une flamme
D'un feu de cheminée ou d'une bougie,
Elle doit s'alimenter, elle se nourrit
Entre un départ et un dernier drame.
Mais où va ton âme ?
On craint et on a raison les amalgames,
Il faut distinguer, discriminer les sons, les pousses,
Ne pas croire que la mort est la même fin pour tous
Car pour finir du bon côté il faut connaître le sésame.
Où va ton âme ?
On peut ne pas le croire, choisir de notre vie la trame
De fond, les pensées, les comportements,
Faire comme s'il n'y a pas de Dieu... un temps,
Mais bien vite arrive des chaos et la fin du programme,
Alors où va ton âme ?
Tu ne le sauras jamais que trop tard
Si tu ne veux croire que les discours ambiants,
Alors que Jésus est venu parler et priant
Pour que chacun ne meure pas au hasard,
Sans savoir où l'âme part.
Où va ton âme, c'est où vas-tu toi être conscient
Quand le corps tombe, comme on laisse sa voiture
Qui ne roule plus, coque de noix sans voilure
Que ne pousse qu'une loi inexorable officiant,
Âme pleurant ou riant.
Tu sais, rien n'est compliqué - si ce n'est nous-même
Et tout ce qu'on veut faire de grand
Qui nous embarrasse, qui nous cache le présent
Et le futur, et aussi que Dieu nous aime,
Oui, nous aime.
- Ce sont vos péchés nous crie-t-il encore,
Qui font écran entre vous et moi vous aimant,
M'obligeant à vous juger, vous sanctionnant,
Alors que je n'aspire pour vos âmes et vos corps
Qu'à pardonner encore.
Revenez à Moi, dit Dieu qui ne veut pas
Que nos libertés vécues en irresponsable
Nous imposent les fers et un enfer épouvantable,
Vous donnant ici maintenant de faire le pas
De votre rachat.
Car c'est Satan qui tient le monde et frappe
Parfois précis parfois aveugle exécutant
Une justice à sa façon sur tous les habitants,
Mais Dieu n'est jamais loin et il rattrape
Ceux qui voient la trappe,
Ceux qui, subissant les serpents brûlants,
Les effets de leurs mauvaises causes,
Pour le pardon de leurs fautes osent
Regarder à Jésus mis en croix mourant,
Et par là nous sauvant.
Car Dieu a tant aimé notre monde mortel
Qu'il a donné crucifié son bien-aimé, Jésus,
Pour que n'importe qui, âme se voyant perdue
Qui regarde à ce sacrifice étonnant perpétuel
Ait la vie éternelle.
Claude T. @LGDDV 20 mars 2020 (passage de l'Hiver au Printemps)
Si vous voulez prier en vue d'être mis en ordre avec Dieu, réconcilié-e, en paix intérieure et avec lui, une aide en cliquez ici.
(Dans le sens de l'article précédent Continuer à tirer le meilleur parti du covid-19 et du confinement), voici un bref et authentique témoignage d'Italie qui montre quel est le sens (voilé, au second degré) du mal (d'un jugement)*, et invite de manière implicite à se repositionner dans notre relation (coupée ou superficielle) avec le Dieu créateur.
Le retour du fils prodigue**
par Rembrandt.
Lulian Urban 38 ans · Docteur en Lombardie :
"Jamais dans les cauchemars les plus sombres je n’ai imaginé que je pourrais voir et vivre ce qui se passe ici dans notre hôpital depuis trois semaines. Le cauchemar coule, la rivière devient de plus en plus grande. Au début, certains sont arrivés, puis des dizaines puis des centaines et maintenant nous ne sommes plus médecins mais nous sommes devenus des "trieurs sur la bande" et nous décidons qui devrait vivre et qui devrait être renvoyé chez lui pour mourir, même si tous ces gens ont payé des impôts italiens pendanttoute leur vie.
Jusqu’à il y a deux semaines, mes collègues et moi étions athées ; c’était normal parce que nous sommes médecins et nous avons appris que la science exclut la présence de Dieu.
J'ai toujours ri de mes parents qui allaient à l’église.
Il y a neuf jours, un pasteur de 75 ans est venu à nous ; c’était un homme gentil, il avait de graves problèmes respiratoires mais il avait une Bible avec lui et nous a impressionnés qu’il la lisait aux mourants et les tenait par la main.
Nous étions tous des médecins fatigués, découragés, psychiquement et physiquement finis quand nous avons eu le temps de l’écouter.
Nous devons maintenant admettre que nous, en tant qu’humains, avons atteint nos limites plus, nous ne pouvons pas faire et de plus en plus de gens meurent chaque jour.
Et nous sommes épuisés, nous avons deux collègues qui sont morts et d’autres ont été infectés.
Nous nous sommes rendu compte que là où se termine ce que l’homme peut faire, nous avons besoin de Dieu et nous avons commencé à lui demander de l’aide quand nous avons quelques minutes de libre ; nous parlons entre nous et nous ne pouvons pas croire qu’en tant que féroces athées nous sommes maintenant tous les jours à la recherche de notre paix, en demandant au Seigneur de nous aider à résister pour que nous puissions prendre soin des malades.
Hier, le pasteur de 75 ans est mort ; que jusqu’à aujourd’hui, bien que nous ayons eu plus de 120 morts en 3 semaines ici et que nous étions tous épuisés, détruits, avait réussi, malgré ses conditions et nos difficultés, à nous amener Une paix que nous n’espérions plus trouver.
Le pasteur est allé vers le Seigneur et bientôt nous le suivrons aussi s'il continue comme ça.
Je ne suis pas à la maison depuis 6 jours, je ne sais pas quand j’ai mangé la dernière fois, et je me rends compte de mon inutilité sur cette terre et je veux consacrer mon dernier souffle à aider les autres. Je suis heureux d’être de retour à Dieu alors que je suis entouré de la souffrance et de la mort de mes semblables « .
Témoignage récolté par : Gianni Giardinelli ❤
Traduit de : Italien
En cliquant ici > un guide de prière pour vous aider à prier pour un vrai retour ou une (re)consécration au Dieu vivant.
Soyez béni-e, secouru-e et sauvé-e.
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* Dès le commencement de nos problèmes avec le mal, dans le 3e chapitre du livre (biblique) de la Genèse, on voit comment le genre humain tombe en ne résistant pas à une tentation, et comment, avec le jugement qui en résulte, l'Éternel-Dieu donne aussi le moyen qui permet que les fautes soient effacées, que la relation avec Lui soit tout à nouveau restaurée > Genèse 3. 1 à 21
(pour comprendre ce qu'est le moyen révélé dès ce moment par Dieu - le besoin d'un sacrifice - cherchez parmi les pages de ce blog (ou ailleurs, ou directement dans une Bible) en quoi Jésus est celui qui s'est donné lui-même à Dieu comme ce sacrifice, pour nous soustraire à la puissance du mal en nous ramenant au Dieu-Père. 2Corinthiens 5. 17 à 21
:
Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.