COMMENT le hasard aurait-il pu produire par des tâtonnements, chez certaines espèces d'animaux, tant volants, que terrestres ou aquatiques, des mouvements migratoires qui les font se déplacer sur des milliers de kilomètres ?
C'est vrai et proprement surnaturel pour des tortues, des baleines, des papillons, plusieurs espèces d'oiseaux...
C'est comme on a un GPS interne dans notre voiture ou notre portable, qui leur permet d'année en année comme de génération en génération de se rendre au même endroit bien défini, notamment pour s'y reproduire.
Le hasard a-t-il pu concevoir de telles migrations qui, malgré l'excentricité que cela représente, s'avèrent des applications d'un concept d'une complexité qui dépasse nos propres capacités intellectuelles à inventer et organiser ?
Quand de telles organisations du vivant - comme les mouvements bien réglés des astres et planètes - nous apparaîssent infiniment plus complexes et performantes que ce que nous pouvons faire en matière de nano ou bio-technologies et encore d'IA (Intelligence artificielle), n'arrive-t-on pas à un point où chercher qui est le Créateur de tout cela devrait devenir une priorité absolue, déjà pour que nous parvenions tous à la même vue de "Qui il est" parmi les représentations partielles, confuses, vraies ou fausses, qui parcourent la Terre et nous divisent jusqu'à faire poindre encore le spectre d'une guerre de religion ou d'idéologie !?
Il y a deux problèmes à régler pour entrer par une porte fermée à clé :
- Il faut avoir la clé,
- et il faut que la serrure ne soit pas bouchée par quelque chose, pour une raison ou une autre.
Et quand le bonheur nous échappe, c’est qu’une porte se ferme sur lui et s’oppose à sa faveur pour nous. Une porte qui nous en sépare comme de la permanence d’une source où on pourrait boire à satiété une eau rafraîchissante : Le bonheur tient de l'eau, ccmme de l'air, ou encore d'une flamme de bougie qui peut être soufflée.
Et cen'est pas la discontinuité que doit nous empêcher e croire que
LE BONHEUR EXISTE
On sait déjà que le bonheur existe, par des expériences heureuses, des rencontres ou des temps qui nous l’ont prouvé.
Et donc il nous appartient de chercher pourquoi c’est comme une porte qui se ferme et empêche la lumière d’entrer, ou notre coeur de brûler ou d'être apaisé.
UN RAPPORT AU BONHEUR ALEATOIRE
L’image de la porte, de la serrure et de la clé nous aide si on veut ne pas se contenter des hauts et surtout des bas qui s’imposent à nous. Car on en subit des contrariétés, sans comprendre ce qui nous arrive ; c’est-à-dire sans comprendre comment ce monde est fait et fonctionne, bien ou mal.
LA SERRURE
Il y a quatre causes essentielles qui bouchent la serrure ; et même s’il passe parfois un peu de lumière, de bonheur par son trou, d’une façon générale elle est scellée pour qu’on ne puisse pas y faire entrer et tourner la (bonne) clé.
4 OBSTACLES MAJEURS RÉCURRENTS
1 – CONDITIONNEMENT SOCIÉTAL
Ce qui rend nettement la serrure inutilisable, c’est d’abord notre conditionnement sociétal/social.
C’est tout ce qui nous a formaté pour être fondamentalement un citoyen évolutionnisme athée ou un membre attaché à une religion ou à un groupuscule marginal. C’est là l’identité première qui nous est donnée, et elle est si partisane, empaquetée et ficellée, que c’est là dès l’enfance un vrai problème.
C’est au point où chaque système ayant accès à l’école et aux médias se débat pour vouloir imposer son point de vue, ce qui crée en nous, comme dans la société, une fracture, une dualité qui empêche l’unité à tous les niveaux. Et déjà, par les pratiques qu’on nous impose ou à quoi on veut nous faire adhérer (par manipulation, par tentation, par fausse promesse...) notre bonheur est compromis.
On est "culturé" au lieu que notre jardin intérieur soit "cultivé" pour qu’il porte des fleurs et des fruits paisibles de justice.
2 - ET MOI ET MOI ET MOI !
Après cet effet délètère (pour notre esprit) plus que constructeur, qui vient dès notre conception par l’environnement dans lequel on paraît et grandi, c’est nous-même qui sommes (devenus) un élément anachronIque de la serrure bouchée. Par conséquence du formatage initial.
Car on nous a appris plein de choses (encombrantes, pas nécessaires, troublantes et même néfastes…), au point où notre faculté de réflexion, de prendre du recul, est engluée dans la systématisation qui s’est organisée en nous.
On a nous-même choisi d’ajouter ou de soustraire des éléments entendus ou vus ici et là.
Choisis ou subis de se donner avec tout ce paquetage, une dynamique plus ou moins personnelle, ou complétement assimilée à un collectif auquel on adhère plutôt qu’à un autre.
Et cela sans discernement du bien et du mal de ce qui es fait, de ce qu’on fait soi-même, la frontière entre bien et mal étant fluctuante d’un milieu à l’autre, positionnée comme il semble que cela nous arrange… ce qui n’est pas forcément le cas.
Pour libérer notre serrure, il faut commencer à prendre du recul, s’asseoir pour observer ce qui es passe ; mettre en service notre capacité de jugement critique pour la bonne cause, celle de notre désaliénation du système dominant qui a pris le dessus sur notre comportement et nos choix.
Pour cela on a une conscience naturelle, qu’il faut possiblement désenliser de la conscience socialisée qui s’est créée artificeusement en nous.
Dans le meilleur des cas, à partir de12-13 ans, on peut être capable d’activer cette nécessaire prise en main par soi-même, par une distanciation d’avec tout ce qui nous a formés jusque là et dont on supporte le poids. Le poids d’un mal-être intérieur, d’un mal-vivre avec les autres, du bonhur sans cesse contesté ou du non-bonheur.
Et pour cela, il faut avancer dans de la connaissance qu’on n’a pas du nous transmettre, ou à quoi on n’a pas assez tenu compte. Ce qui nous amène au troisième point de blocage de notre serrure.
3 - UN TENANT ET ABOUTISSANT DE TAILLE
Il s’agit de prendre la vraie mesure des agents les plus actifs de la société, de notre environnement propre, voire de ce ui se passe en nous.
Et là on doit réaliser que ce monde est dominée par le mal-vivre en soi en ensemble, parce qu’il y a plus encore que le ou les systèmes de ce monde qui nous ont moulés pour faire de nous leurs membres intégrés
Il y a en plus une force – du mal – qui n’est pas directement visible à l’oeil nu, qui existe dans l’ordre du psychisme (de l’âme, la psyché en grec) et la spiritualité (des esprits).
Cette force maléfique est conduite par un ange qui, en sortant de son rang élevé par un orgueil improbable, a donné naissance au mal en devenant Satan, ennemi de Dieu et du genre humain. Il est aussi appelé le diable (le diabolos, ce qui signifie le diviseur, celui qui désunit) et par plusieurs autres noms… Et avec ce séparatiste du bien, il y a une foule immense d’anges entraînés par lui dans sa rébellion et devenus ce qu’on appelle des démons, les esprits de la ténèbre et des discordes.
Nous ne devons jamais perdre cela de vue, et l’apprendre si on n’en a encore jamais réellement entendu parler.
On ne doit pas se laisser arrêter par le fait de eur invisibilité à nos yeux physiques, leur existence se démontrant de plus en plus clairement par les effets de leurs interventions dans les affaires humaines comme aussi dans la nature.
Et quand il est parlé de complot ou de complotisme parce qu’on voit des comportements humains anormaux, incohérents, malveillantse, on vferait mieux, plutôt que de s’en défendre, de comprendre que c’est au niveau de ce monde spirituel dénaturé et dégénéré que se situe le complot. Le complot diabolique étant de prendre un contrôle total – totalitaire, totalitariste – de la planète et de l’humanité… ce qui se voit déjà assez bien notamment par le jeu (de marionnettes) des hommes les plus riches ou le plus influents qui, à quelques-uns, veulent mettre en place une direction mondiale unique.
A ce niveau, notre serrure est bouchée au bonheur soit par l’ignorance dans laquelle on est maintenu, soit par des pensées, concepts et comportements qu’on a adoptés venant directement de l’influence démoniaque telle qu’elle agit subrepticement dans notre monde.
D’où un réel besoin de prendre encore du recul, de mieux voir, par les effets observables et par la réflexion, ce qui se passe et comment se désolidariser des effets mauvais, malsains, pervers, trompeurs, apeurants, déstructurants, pour ne pas rester dans le filet – le net – de ce complot où tous les humains sont visés, de plus en plus individuallement, pour n’avoir plus que pour chef unique, imposé, que Satan.
Parce que jusqu’à présent, il y a encore une quatrième force en présence, qui s’oppose à l’avancée des forces maléfiques et mortelles : le vrai Dieu, créateur, avec les deux-tiers des anges ses créatures qui lui sont restés fidèles.
4 – ET DIEU EST LÀ
Dieu est celui qui d’une part empêche la serrure d’être libre de fonctionner, et d’autre part à la possibilité, et veut en libérer l’accès pour qu’on puisse faire jouer le mécanisme qui libérer notre bien intérieur.
I nous faut arriver là à une notion centrale qui est celle de la vérité. Car pour que Dieu puisse agir en notre faveur, il faut que nous comprenions
- qu’il est retenu pour agir par sa justice et par la liberté dans laquelle il nous a créés, et é créé les anges – d’où la rébellion de certains et notre propre capacité à mal faire et à faire mal) ;
- et encore que pour nous sortir de la nasse piègeuse de ce monde, il a un plan qui s’active en fonction de nous, d’une réceptivité qui ne nous est pas naturelle, car le mal, inné ou acquis, et développé intempestivement, nous phagocyte, ne nous laisse pas libre d’aimer la lumière, les vérités.
Et le Dieu qui est (le) bon, amour, sainteté et justesse, se trouve un passage quand nos inconséquences nous ont affaiblis au point de pouvoir entendre que Dieu existe et qu’il nous appelle.
Appel à passer des mensonges à ses vérités, de la confusion dans la lumière qui révèle le sens, de notre présence dans ce monde ; le sens des deux courants qui cohabitent en ce monde de la vie et de la mort. Courant qui coulent vers la sortie d’ici-bas avec plus de vie et pour un bonheur éternel, ou avec plus de perte et dommages encore en descendant plus près encore de Satan et de ses sbires méchants.
Quand on en est là du savoir, de la connaissance fondamentale du Réel, il reste à mettre la clé dans la serrure qui a été dégagée.
LA CLE
C’est une vraie clé, spirituelle parce que notre problème est fondamentalement spirituel, quel que soit ce en quoi on croit (en Dieu ou en l’homme, en une religion ou au transhumanisme, à ce qu’on nous dit à la télé ou sur le net…). Bref on est tous que des croynats, qui croyons juste ou qui croyons à faux.
La clé c’est des paroles à entendre, et tourner la clé pour s’évader de la domination du mal c’est croire ce qui va maintenant être dit, plutôt qu’autre chose ou son contraire.
On va savoir que la clé est la bonne à l’effet que cela va produire en nous. Car la vérité rend libre, et la vérité se vérifie par les effets qu’on en ressent.
PAROLES DE VIE
Jésus est le seul à avoir pu dire « Mes paroles sont esprit et vie ».
Il est le seul à avoir dit au sujet de notre rapport à Dieu : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. »
Quel homme a pu affirmer ainsi ce qu’il est !?
Et si on s’interroge, on doit voir qu’il ne peut s’agir que des paroles mégalomaniaques d’un illuminé, d’un insensé, ou de la personne exceptionnelle qu’il est.
Ses œuvres surnaturelles et la notoriété qui est la sienne – unique elle aussi – au fil des sièces et depuis deux mille ne devraient que nous inciter à mieux savoir ce qu’il en est de son rapport à Dieu et de sa capacité à nous amener à lui pour un changement de vie des plus bénéfique.
Autre affirmation : « Personne ne peut venir à Dieu qu’en pensant par moi », c’est-à-dire en croyant qui je suis et ce que je dis.
Ontinuons donc à actionner la clé dans la serrure de notre entendement pour voir la porte qui nous sépare de Dieu, du bien-être intérieur, de bien-vivre, de la paix, du bonheur, d’un amour ou encore de la joie qui nous manquent, s’ouvrir.
Et là, on peut entendre Jésus dire aussi : « Je suis la porte » ! Et encore dans une image où nous sommes comparer à des brebis : « Je suis le bon berger ».
image qui nous rabaisse certes, mais aussi qui nous distingue des loups, des requins, des prédateurs que peuvent aussi être les hommes et les femmes dans ce monde.
Il précise que « Tous ceux qui sont venus avant lui…
CE QUI FAIT LA DIFFÉRENCE
Jésus fait la différence avec tous. Une différence multiforme :
- Il vient au monde comme cela a été annoncé 700 ans plus tôt par le prophète Esaïe ;
- Il vient du Ciel par le Saint-Esprit et de la Terre par la jeune juive Marie (Myriam) en vue de rapprocher et réconcilier en lui les mondes matériel et spirituel ;
- à 30 ans il se fait baptiser par son cousin Jean le Baptiste comme s’identifiant à notre humanité pécheresse qui a besoin de se soumettre à Dieu pour recevoir son Esprit comme force pour une vie nouvelle, régénérée ; Fort de ce revêtement de puissance, il est conduit dans un désert sans peur d’y perdre sa vie pour un jeûne de 40 jours et voir le diable venir à lui pour tenter de le soumetre à ce qu’il dit ; Il résiste à ses paroles trompeuses, tentantes, prononcées en rapport avec une situation circonstanciée et deux situations créées artificiellement, notamment en leur opposant des Paroles de Dieu à propos .
- Fort de ce qu’il n’a rien laissé comme emprise à Satan, Jésus entre dans trois ans et demi
- d’enseignements nouveaux, révolutionnaires, qui s’opposent à la prétendue vertu des religions comme à l’aliénation des corps et des âmes, par des paroles et par
- des manifestations de puissance visant à démonter qui il est – « le fils unique de Dieu » et un fils d’homme qui prend le risque de perdre son existence incarnée pour en soulager, délivrer, guérir, ressusciter d’autres ;
- mais il faut encore que Satan et quelques-uns des démons ses acolytes, soient laissés libres pour aussi les convaincre de leurs injustices, les dépouiller de leur domination, les mettant à notre portée pour les combattre et les vaincre... notre part de notre relation et vie éternelle avec Dieu se vivant dans la foi.
CHOISIR ENTRE DIEU ET SATN C'EST CHOISIR ENTRE BIEN ET MAL DOMINANTS
Le bien, le bonheur est parmi nous beaucoup moins permanence que le mal aux expressions multiples qui régulièrement nous perturbe, nous trouble, nous irrite, nous harcèle... Il dépend de nous de renverser ce rapport de forces, par notre foi placée en la force divine, compris la présenceet les capacités de ses anges.
Réfléchir, apprendre, méditer prend du temps,
Mais on en a tous pour cela : il faut faire des choix, pour s'intéresser à l'essentiel - qui est très rarement une réalité immédiate
***
repostage du 18/05/2023 08:42
Nous sommes chacun une âme, en grec la psyché, d’où découlent tous les mots en « psy »). Une âme dans un corps.
Les animaux aussi sont des âmes vivantes, mais ils n’ont pas été créés pour parvenir comme nous les êtres humains à une conscience distincte d’exister et de penser.
C’est qu’on n’est pas une espèce du règne animal, mais nous avons été créés par Dieu « à son image, à sa ressemblance », c’est-à-dire aussi avec un esprit résidant en nous.
De la sorte, comme Dieu est 1 en 3 (détail en *)
CHACUN RÉALITE VIVANTE CRÉÉE STRUCTURÉE : UN EN TROIS, ET PLUS...
Ainsi chacun de nous est une âme, constituée de ses 4 partitions différenciées que sont l’intellect, l’affect (émotions et sentiments), la volonté personnelle et la mémoire, l’essentiel étant la formation d’une conscience de nous-même qui se structure en tant qu’être autonome pensant.
Notre corps est pareillement fait d’intelligence (incluse dans les organes, les fluides, les systèmes physiologiques), de mémoire, de ressenti et autres forces d’adaptation et séparatives - mais pas de volonté consciente libre.
Et puis l’esprit en nous est part vivnate directement de la nature de Dieu (spirituelle) avec un contenu prédisposé, inné, savant, univsersel, d’abord en filigrane, qu’il nous appartient (et d’abord à ceux qui participent à notre commencement et nos croissances) de rendre toujours plus limpide à la conscience en le nourrissant de connaissances objectives touchant à tous les domaines du Réel : physiques, psychiques et spirituels.
C’est par lui (l’esprit) que la conscience se déploie le mieux, bien au-delà de la perception d’exister, d’être ce moi/ego qui dit « je », jusque dans une conscience sensible de la réalité des autres, en cercles horizontaux de plus en plus larges, et jusque dans la verticalité des mondes des esprits, divins et ceux sortis de l’ordre du Bien (les anges déchus ou démons qui ont fait apparaître et agissent dans le mal).
Ce qui fait qu’il a au-delà de l’existence terrestre que nous vivons ici maintenant,
- la sphère divine, appeléz le Royaume des cieux, royaume de Dieu ou encore Paradis ;
- une « poche » (le shéol, hadès ou séjour des morts) où sont les âmes qui ont quitté la terre sans foi personnelle en Dieu et en Jésus-Christ (qui seul peut racheter du mal et de ce lieu) ;
- l’univers transversal, psycho-spiirutel des esprits mal-ins, mal inspirés, séducteurs comme méchants, de différentes classes, forces et pouvoir, qui sont des anges dégradés devenus globalement ennemis de ce qui est Bien (c’est-à-dire de ce qui est Dieu ou selon Dieu, la Terre et nous compris) ;
- et puis, des myriades d’anges restés fidèles à Dieu et qui peuvent intervenir en notre faveur en tant que protecteurs et messagers aux services toujours appropriés, qu’on peut parfois soupçonner (ou réaliser longtemps après) même sans les voir.
Pour être complet – comme Dieu se dit complet par son nom éternel ou « tétragramme » (en hébreu Yawhé, qui s’écrit par trois lettres différentes dont une dédoublée) –, avec cette tri-unité qui forme en soi notre personne, nous pouvons dire que nous ne sommes complets que par une dimension de relations avec nos environnements, relations irréductibles sans mourir physiquement avec un environnement naturel (minéral, végétal, animal, psychique) d’une part. Et relations verticales avec ce qui constitue le Divin, non seulement pour ne pas mourir spirituellement mais encore pour vivre après la mort physique d’un don de la vie éternelle de Dieu.
LA BIBLE ET DES EXPÉRIENCES, PARTS ET DONS TANGIBLES DU DIVIN PARMI NOUS
La Bible enseigne que l’âme se distingue du corps dont elle est une émanation par le sang (Livre du Lévitique, hap. 17.11) . Un peu comme les nuages sont des émanations de l’eau suite à son évaporation.
Et c’est sans doute la concentration importante de sang dans notre boîte cranienne qui donne cette impression (fausse) que nos facultés mentales sont celles du cerveau.
Plus précisément, notre tête est comme une boîte qui fait la coquille du noyau ou de l’essentiel de l’âme en lien avec le sang.
Au-delà de cette impression d’une seule réalité tête/âme, on a le cerveau comme une interface entre tout ce qui est de sa nature(corporel, physique, matériel et physiologique), et l’âme elle-même qui est autre chose que du sang, une génération psychique de nature distincte, fixée au sang mais détachable de la matérialité.
La Bible rapporte que du temps du rou Achab et du prophète Élie, l'enfant d'une veuve sidonienne de Sarepta qui l'avait accueilli mourut.
Élie pris à témoin invoqua son Dieu pour qu'il redonne vie à cet enfant. Il est écrit : "Élie dit : Eternel, mon Dieu, je t'en prie, que l'âme de cet enfant revienne au dedans de lui !L'Eternel écouta la voix d'Elie, et l'âme de l'enfant revint au dedans de lui, et il fut rendu à la vie."1er livre des Rois, 17.21
Cette distinction corps/âme, physique/psychisme est si vraie que des expériences nombreuses, rapportées sur le net (souvent sous forme vidéo), par des livres ou des conférences, sous le nom de « EMI » (Espériences de Mort Imminente), témoignent de la séparation en pleine conscience de l’âme et du corps dans certaines situations dramatiques (coma, blessures très graves, mort clinique).
Pour a part, au cœur d’un accident sérieux où j’ai le bras droit presque sectionné, mon âme est déconnectée de mon corps au point où je ne ressens aucune douleur, et plus encore j’ai une force physique surnaturelle pour remonter du ravin où j’ai été projeté et je me trouve (mon âme) dans un repos et une paix extraordinaire, jamais connus de la sorte, sans pensées vagabondes, sans peur, sans impatience, avec une vision lucide de la situation (jusqu’à donner une instruction pour sécuriser le secteur- (récit détaillé en cliquant sur ACCUEIL en haut à gauche).
Depuis des millénaires, ceux qui ont réfléchi sur la connaissance (de soi et de nos environnements), ont découvert la réalité de l’âme distincte du corps, ce que la Bible depuis le temps reculé de Moïse a précisé par des mots distincts (en langue hébraïque) : nephesh (pour l’âme), rouah (pour esprit), neshamah (qui englobe l’ensemble, ce qui respire, a vie), et basar (le corps).
Plus tard, repris par de célèbres grecs de l’antiquité (écriture par laquelle nous a été transmis le Nouveau Testament, seconde partie de la Bible), on retrouve les trois mots : psyché (l’âme) , pneuma (l’esprit) et soma (le corps). (La mot âme s’est distingué de psyché par l’emploi intermédiaire du latin « anima »...)
POURQUOI EST-ON SI IGNORANT SUR NOUS-MÊME DE NOS JOURS ENCORE !
En réduisant l’univers à une somme de grand « vide » (ce qui ne se voit pas) et de corps matériels (des étoiles aux cellules vivantes), les penseurs européens (et principalement français), plus préoccupés de contrer les croyances religieuses que de chercher scientifiquement (avec objectivité) le réel, ont évacué la notion (mais pas la réalité) de Dieu de leur vocabulaire et de leurs pensées.
Du coup a disparu des consciences (collective et individuelles) ce qui fait tout notre être intérieur (notre neshamah), attribuant toutes les capacités, potentialités et décisions psychiques et du même coup les lumières de l’esprit... au cerveau !
On trouve des lors des emplacements, de chemins, qui peuvent changer, par où des informations selon leur spécificité passent des capteurs physiques qui sont partout sur et dans notre corps, des yeux, des oreilles, de la bouche, du nez, jusqu'au centre sensible qu'est l'âme. Comme sur un écran de portable ou ordinateur passent des informations de la machine à l'utilisateur.
Et si l'âme se porte mal (pour avoir ingurgité trop de salades, de concepts mensongers, de fake news, pour avoir aussi conduit le corps dans des comportements malsains, méchants, manipulateurs, anti-nature...), et selle ne se reprend pas ou ne se laisse pas reprendre, son mal descend dans le corporel pour donner une sensation plus forte du trouble psychique (ou spirituel), des douleurs et jusqu'à des déréglements formant maladie, cancer, AVC, Sclérose, sporiasis, rhumatisme, etc, etc... Ce qui est connu sous le nom de maux psychosomatiques.
C’est de la méconnaissance de vérités de fond de la condition humaine, que par exemple des troubles d’ordre psychique ou spirituel dont traités par de la chimie, avec des médicaments !
Certes il y a au moins un effet, comme celui d’ankyloser les fonctions cérébrales, de maîtriser la problématique bien qu'en agissant (mal) au mauvais endroit.**
C’est exactement comme si on réduit un portable quelconque à ses mécanismes internes et à son écran, étant capable de fonctionner sans un utilisateur (humain, d’une autre nature) qui le pilote.
On comprend pourquoi il nous est ainsi si difficile de bien vivre. Car dans cette vue configurative, l’esprit de Dieu se retire (ou s’éteint), qui ne vit bien que de (et dans les) vérités, et l’âme subsiste mais nourrit d’informations principales souvent indigestes, toute partielles ou controuvées, sans la hauteur ou la profondeur qui sont occultées.
De fait, pour prendre une image bien compréhensible, sans s’occuper de la vie de l’esprit jusqu’à le priver de cité en soi, on est (ou on se) construit comme un unijambiste, un manchot ou un cyclope. Ce qui explique toute la méconnaissance ou l’ignorance de soi, et de là le fait qu’on se développe vers le bas (la matérialité, le corps, le sexe, l’argent capitalisé) au lieu de vers le haut (connaissance des spiritualités, bonne et mauvaises, des valeurs objectives, des vérités majeures formant tenants et aboutissants de notre quotidien et des mouvements du monde.
Pour mieux vivre, il faut venir ou revenir à une conception plus juste, plus complète de soi, en faisant sauter notre formatage laïco-athée ou religieux légaliste (sans grâce) pour d’autres… Ce que j’ai du faire par rapport à
- la croyance évolutionniste athée d’abord,- puis par rapport aux cenceptions du Nouvel-âge d(ans quoi j’ai cheminé quelques années),
- et encore par rapport à la réalité de Dieu tel qu’il est et comment il est possible et il faut rélationner avec Lui, et non comme des religions nous conduisent (à faux) à le comprendre et à pratiquer.
On peut ainsi vivre plusieurs fois si nécessaire « la méthode » de René Descartes qu’il synthétise ainsi : « Pour atteindre la vérité, il faut une fois (dans son cas) se défaire de toutes les opinions qu’on a reçues, et reconstruire à nouveau tout le système de nos connaisasances. »
Pour ce faire, on a besoin d’avoir « l’amour de la vérité », qui doit nous conduire pour trouver – ou jusqu’à recevoir (au moins) une révélation divine déterminante – sur ce qui est (selon la) vérité.
Et la Bible nous avertit que cette qualité, d’aimer la vérité, est un don de Dieu, qu’on a peut-être déjà reçu, mais qui nous reste peut-être à recevoir.
Dans tous les cas, un reset (ou redémarrage) peut être une fois ou plusieurs à faire pour avoir une belle liberté qui nous permette de connecter avec le Réel (avec un grand R c’est l » mot de l’Incréé et du créé), dans sa plus grande simplicité et large étendue, par le principe de foi - commun à tous, qui nous est naturel – foi orientée vers ce qui est vrai et juste au sujet des univers spirituels (Bon et méchant) comme du réel physique.
_____________________________
* Dieu se fait connaître à nous en trois personnalités distinces, comme :
- Dieu concepteur ou Père (des lumières, des pensées), immuable autant que souverain ;
- Dieu médiateur/messager ou Parole qui dit les pensées conçues du Père, et qui est devenu Fils de Dieu pour que nous réalisions et entendions mieux ce que Dieu veut nous dire ;
- et il est Dieu en tant qu’Esprit qui peut régulièrement sortir de sa Sphère céleste (le plus haut degré des cieux), pour produire les éléments que Dieu a pensés, au point de faire paraître des tonnes d’atomes, des feux giganteques, des fusions, des exxplosions, de la vie sous diverses formes… tout ce qui fait notre univers.
** Ce qui fera un véritable changement positif dans le problème psy ou spi de la personne prise en charge par une autorité médicale, c'est précisément le changement d’autorité sous laquelle le patient évolue : une ou des autorités spirituelles malignes, démoniaques. sont neutralisées dans la mesure où la personne a été conduite à changer de "dominateur".
D'où aussi les récidives en cas d'arrêt d'un traitement par la seule décision du patient, ou lorsque la personne sort, même légalement, de sous une autorité médicale d'ordre psy, sans rien avoir compris à la cause ou aux causes cumulées de sa problématique.
C'est ainsi qu'une délivrance ou rémission a pu être accordée, mais la reprise d'un comportement ou d'un mode de penser malins devient et généralement rapidement la cause récidivée d'une dégradation plus grave encore, voire létale emortelle).... L'humilité étant toujours une attitude-clé pour un cheminement vers plus de lumière et de vraie libert... Ce qui dit le côté positif des épreuves, des jugements, des coups d'arrêt sévères et du temps de convalescence qui y succède.
La théorie du ressenti est une terrible négation
de la réalité du bien et du mal, une idolâtrie de la subjectivité... qui arrange bien les détraqués qui s'en réclament et la répandent...
RE-SENTIR
Le ressenti-ment parfois,
Plus souvent que l'on croit,
faisant de nous une proie
naïve, ou méchante, se livrant sans loi
à tous les courants d'air
Venant du ciel ou de la terre
qu'éclairent de blafardes lumières
présentées comme le bréviaire
de la nouvelle religion sans Dieu,
Venue non de plus haut des cieux
mais de délires obscurs et envieux
qui sous-tendent nos vies en creux.
Ainsi vides de Dieu nos âmes en bocaux
se remplissent de sale comme de beau,
s'engraissent et polluent le cerveau,
se parent d'or et souvent d'oripeaux.
Qui nous délivrera des dards menaçants qui volent
en plein jour et dans nos nuits qui s’affolent !?
Qui peut nous soustraire aux vols et à ces viols
qui se répandent sans que nos écoles et nos geôles
puissent contenir le mal et dire une justice
sévère - Et aussi la grâce, face aux vices et sévices,
pour les cœurs repentants qui voient le grand office
de Jésus mis en croix offert en sacrifice
pour le pardon des fautes, pour la libération
des âmes enténébrées dont la transformation
peut toujours advenir même au cœur des prisons
dans un re-ssenti vrai né de la rédemption.
L'humanité est agitée comme l'eau dans une casserole mise sur le feu !
Échauffées par la température, les molécules que nous sommes se mettent à bouger dans tous les sens, ne peuvent plus tenir en place, forment des mouvements de plus en plus désordonnés, bouillonnent comme du magma au coeur d'un volcan réveillé lançant de plus en plus des projections mortelles, aux bazookas, à la kalachnikov, au couteau, au camion Ceasar, possiblement à l'arme chimique ou nucléaire.
Les jeux vidéo forment depuis quelques décennies deux et trois générations à tirer sans émotions sur une cible humaine pour la tuer.
Comme on peut apprendre à conduire une formule 1 assis dans son salon, des armées virtuelles sont formées en tous lieux pour réagir dans des situations de guerre.
Et on sait que le passage de la fiction à la réalité n'est souvent qu'une question de temps.
Parce que la fiction, dans ce domaine comme dans d'autres n'est pas seulement de l'imagination humaine gratuite, aléatoire, superficielle, mais résulte de pensées élaborées, de stratégies qui se développent et se déploient subtilement, progressivement, obstinément, sur plusieurs générations.
Et plus particulièrement ici, c'est un ressort profond de notre nature qui est sollicité, avec lequel nous avons une sombre et puissante affinité.
Ces jeux où l'on tue comme étant nous-mêmes immortels, transcendants, d'ordre divin en quelque sorte, sont parfois si bien faits que même de hautes intelligences humaines n'arrivent pas à cerner tout ce qui est mis dans les programmes qui commandent les joueurs, les spectateurs, les acteurs, voire les leaders humains.
Baudelaire savait par expériences (comme moi-même à mon échelle) de quoi il en retourne des forces vives maléfiques agissantes de l'invisible.
Réelle ou imaginaire, il nous manifeste son humanité en nous rapportant une assertion (un avertissement, une exhortation), dont il aurait eu connaissance par Satan lui-même, d'un prédicateur qui dit en chaire : « Mes chers frères, n’oubliez jamais, quand vous entendrez vanter le progrès des lumières, que la plus belle des ruses du Diable est de vous persuader qu’il n’existe pas ! »
in « Le spleen de Paris », recueil de poèmes en prose écrit (et publié dix ans) après « Les fleurs du mal ».
La vie et les écrits de Baudelaire témoignent – comme des millions d'autres de tous les temps – de l'existence de cette créature sorti de son rang angélique pour devenir le premier des démons, Satan, ennemi de Dieu et des hommes.
Mais je voudrais surtout ici mieux regarder et faire rebondir cette parole du prédicateur qui dit tant de choses en si peu de mots !
« chers frères » pour dire qu'il considère notre fraternité humaine, qu'il nous voit face à ce qui va suivre comme partageant une condition qui suscite la compassion, l'affection les uns pour les autres.
Comme on peut davantage ressentir ce genre de sentiment et le partager quand on est pris ensemble dans une situation dramatique, tragique, au cœur de forces mauvaises puissantes, qui peuvent avoir raison de nous, de notre raison même.
« N'oubliez jamais », que voilà une exhortation solennelle ! Deux mots qui devraient suffire à ce qu'on les remarque, et jusqu'à ce qu'on les enseigne dans les écoles dès le jeune âge, s'agissant de ce qu'il a tant à cœur de partager de grave avec ses semblables, tous ses semblables, le genre humain.
L'oubli ! Qu'est-ce que l'oubli, puisque précisément c'est se souvenir de rien. C'est ce qui n'est ni dit ni pensé, de l'ordre d'un non-être, d'un néant, un vide, une absence, un trou noir.
Mais un simple oubli peut être une cause lourde d'un poids terrible de conséquences. Oublier de fermer un robinet alors qu'on part pour des heures ou des jours, robinet d'eau ou d'arrivée de gaz...
Le serviteur de Dieu, ici servi par Baudelaire qui le rapporte, a compris qu'il y a déjà eu oubli ; ce qui a ouvert sur des silences coupables et bien certainement sur des souffrances obscures, sombres, de l'âme, au plan de la santé ou des finances, qui ont ruiné des vies ou des familles, et aujourd'hui on peut dire des sociétés, des nations. Autant de désastres qui auraient pu être évitées, si on n'avait pas oublié de dire. Si la transmission de ce savoir n'avait pas été interrompue.
Et voilà par quoi le poète a été vulnérable. Pire, comme beaucoup encore, il a juste assez cru au diable pour en jouer, s'en moquer ou l'invoquer comme s'il était une personne sans pouvoir, sans méchanceté viscérale, avec qui on peut traiter des affaires.
A l'opposé, le prédicateur a « de la bouteille ». Il n'a pas forcément eu à descendre dans les bas-fonds de la misère pour en avoir saisie l'origine : Il a cru ce qu'il en a entendu de la part de l’Évangile éternel, du Fils de Dieu, au point de vouloir lui-même être lumière sur le sentier de ses semblables, flambeau pour ses frères spirituels ou d'humanité plus jeunes ou moins bien équipés.
Il aborde un point de dynamique particulière de la condition humaine, avec un mot qui n'a rien de poétique, qui s'accorderait plutôt avec quelque chose de technique : Il parle de « progrès ». D'un processus évolutif qu'il ne faut pas perdre de vue s'agissant d'un domaine qu'il va maintenant définir par deux mots seulement, mais si précis malgré qu'il soit synthétique et générique : « des lumières ».
« Les lumières » définissent ainsi le mouvement des pensées, des idées, essentiellement du XVIIIe siècle (un siècle avant lui) qui vise en Europe à se défaire du carcan de la puissance religieuse (catholique, luthérienne et anglicane) qui règle les cours des politiques royales et de l'économie. Ainsi de la liberté née du désœuvrement de quelques hommes bien instruits, souffrant du poids de dogmes inexpliqués ou controuvés, naît la capacité, à la suite notamment de la circulation des textes fondamentaux (grecs anciens, latins, bibliques) de formuler des pensées personnelles (le « Je pense, donc je suis » de Descartes).
Ce qui donne un foisonnement, désorganisé comme d'un bouillon de culture, formant des philosophies qui se veulent le plus souvent anticléricales, émancipatoires de dogmes - et de vérités !? -, caractérisées par l'impiété et la force montante de la subjectivité, qui suit sans effort cette pente qui fait « jeter le bébé avec l'eau du bain » - Dieu avec les eaux sales et usées des traditions et des religions qui le représentent et servent si mal.
C'est ainsi que Denis Diderot (qui crée la première encyclopédie) glisse d'une foi personnelle authentique (« L'oeil, l'aile du papillon, suffisent à nier la négation de Dieu ») dans la mécréance (« la philosophie est le premier pas vers l'incrédulité »).
Voilà ce que sont « les lumières », quelques philosophes dont parle Baudelaire, qui en a vu et vit de près les effets délétères.
Il y a ce pragmatisme sauvage des idées portant à la liberté à partir de la Révolution (régicide) de 1789, avec des hommes et des partis animés par l'arrogance et la haine démoniaque, les impérialismes napoléoniens et leurs destitutions, les premières républiques marquées par des affrontements sanglants, le massacre de 1848...
En famille, le goût qu'il a pris des idées progressistes se heurtent à la rigueur d'un beau-père militaire, qui aussi vient entraver sa relation sensible avec sa mère.
De ces deux faces d'une actualité violente, contraignante, qui s'imposent à la conception qui s'est forgée en lui par l'étude, Baudelaire veut croire à un idéal d'existence, où la beauté poétique pourrait se passer de morale, où encore il est acculé ou tenté de chercher dans « la confiture verte » (résine des fleurs femelles de cannabis aujourd'hui appelée haschich) et l'absinthe (alcool fort) le soutien nécessaire pour connaître en lieu et place des réalités hostiles ou pour pallier aux difficultés naturelles de l'amour, des paradis artificiels ou du moins quelque oubli temporaire.
Il écrit des émanations de ces pesanteurs et vapeurs, avec une application par la suite admirable et une lucidité spirituelle qui n'est pas encore, malgré sa notoriété, bien comprise.
Il n'a pas fait attention en lisant Descartes, que celui-ci avertit dans son « Discours de la méthode » où il dit qu'il faut remettre en cause toutes les opinions reçues, le formatage sociétal dans lequel on a grandi, qu'il faut aussi, surtout, bien veiller en cette démarche à ne pas appliquer la forme systématique du doute à la Divinité, réalité hors du monde et dont il n'y a pas à douter, étant d'un autre ordre que du nôtre foncièrement relatif.
Et le prédicant de lancer le même genre d'avertissement essentiel, plein de justesse et empreint de compassion : « Mes chers frères, n’oubliez jamais,
quand vous entendrez vanter le progrès des lumières,
que la plus belle des ruses du Diable
est de vous persuader qu’il n’existe pas ! »
Il dit là que la ou les philosophies essentiellement libérales ou libertaires du XVIIIe* ont des effets du même ordre que de se soumettre à des drogues hallucinogènes.
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* je les appelle des philonouces plus que philosophes, sophia (en grec) étant la sagesse en ce qu'elle garde un rapport à la vérité, noos étant plus typiquement la raison personnelle, qui n'en a cure des vérités transcendantes autant que des opinions des autres.
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Une tierce réponse aussi peut-être à la phrase coup de poing de Karl Marx « La religion, c'est l'opium du peuple », ce dernier se trouvant dans ce même temps, avec « ses » idées subversives, habiter ou séjournant à Paris.
Baudelaire comprend-il « au passage » que ces nouvelles lumières, matérialistes, athées, militantes, ne sont pas que de l'irréligion humaine qui libèrent les mœurs et incitent à la violence civile, mais les expressions d'une volonté et d'une activité plus subtiles, plus haut placées, en amont, qui sont sataniques !.
Il fait certainement lui-même le rapprochement des misères et souffrances avec cette source maléfique première des pressions qu'exercent à la suite, en sous-fifres, ceux qui « vantent le progrès des lumières » ? C'est-à-dire qui font la promotion de l'impiété au profit d'une évolution de société plus libre, mais dont les convulsions de plus en plus révolutionnaires, dénaturées, controuvées, attestent que devenir libre, se désaliéner, n'est pas si simple.
C'est qu'on est là, quel que soit le temps qui passe et les progrès qu'on cherche à faire, dans une dynamique d'évolution sociétale problématique, qu'on appelle progressisme, voire aujourd'hui le wokisme, où le mal se combat en cherchant des concepts et des comportements sans cesse nouveaux.
Idées et comportements à inventer, qu'on veut neufs comme jamais, alors même qu'on ne fait que revenir à des situations antiques !
Or les progrès n'amènent pas la paix qu'ils devraient être censés apporter. Les oppositions, parfois justes, sont bâillonnées, l'erreur pouvant être plus violente que la vérité pour s'imposer, pour prendre tout le terrain.
Une évolution qui devient de plus en plus transgressive, non seulement de quelque dogme ou rigueur religieuse, mais encore de la conscience personnelle en ce qu'étant du domaine de l'esprit, elle est naturellement empreinte d'objectivité, de justesse, de bon sens, et encore en correspondance avec la nature.
Et l'initiateur de ce vaste mouvement de dérives n'est pas même la pensée humaine, l'humain au cœur méchant, mais pas à ce point. C'est la puissance invisible de l'air, l'ange de lumière déchu devenu Satan, le Démon, le diable qui a réussi, outre sa création du non-bien, à s'entourer d'un tiers des anges.
à suivre... Pour des questions et recevoir personnellement la suite, c'est en me contactant par le bouton Contact du blog (sur la droite).
Pour faire des progrès qui ne soient pas des dévoiements et des régressions, il faut que le niveau moral des personnes concernées soit maintenu ou amélioré, voire que l'amour de la vérité et la maîtrise de soi grandissent.
Or, nous sommes dans un temps troublé, de crises, de jugements, et persister à innover, à tenter de nouvelles techniques, à investir et miser sur des développements technologiques incessants, c'est se compliquer la vie, c'est créer des écarts lourds à gérer entre générations, c'est ajouter significativement à l'effet planétaire de serre, au réchauffement climatique, à des événements perturbateurs des équilibres, des éco-systèmes...
A trop vouloir bouger, faire des kilomètres, parcourir la terre, on la pollue, on se condamne à des restrictions de mobilité terribles quand on va réaliser l'ampleur des déréglages humains et environnementaux.
Dieu nous a fait savoir qu'il désire nous voir abandonner le mal (selon son estimation) et nous accorder une seconde chance pour obtenir de lui de pouvoir vivre éternellement, sans plus de place pour quelque mal que ce soit.
Inimaginable !?
Bien sûr !
Mais quand on observe tout l'univers, dans sa taille astronomique comme dans ses dimensions nanométriques, est-il si difficile de croire qu'il peut nous rendre éternels même après que la mort ait séparé notre âme de notre corps !
Si Dieu est l'auteur des formes de vie - vie qu'il est en soi et éternellement -, pourquoi ne pourrait-il pas réparer des organismes ou organisations détruites !?
C'est une question qui touche à ses capacités et à notre foi, exactement comme croire que la vie est un pur produit du hasard et de hasards innombrables.
Dans tous les cas, on n'est toujours que des croyants, matérialistes ou religieux ou spirituels.
A partir de là, que continuer à croire quand tout perd son sens, quand on se trouve dans une galère ou sous une sombre vague déferlante ?
Pour trouver la foi en Dieu selon la Bonne Nouvelle amenée et portée par Jésus, le Christ devenu éteernel et son Esprit-Saint, ici >> un guide où rejoindre quelques formulations de prières qui peuvent aider <<
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La qualité de notre existence et son sens dépendent largement de ce qu'on nous donne et de ce qu'on se donne comme pensées.
Puis c'est à partir d'une plutôt que d'une autre, que nous agissons et même réagissons.
Mais nous n'avons pas tous le réflexe de regarder à nous-même pour voir ce qu'il en est de ma subjectivité réelle par rapport à celle qui s'est construite en moi par la réception et le malaxage de toutes les infos qui arrivent à moi.
Et dans un pays européen dominé par une culture laïco-athée sans plus de rapport avec les valeurs d'un christianisme authentique, non-religieux, nous restons "naturellement et automatiquement indifférent à la dimension spiritualle de notre personne (l'esprit) et, qu'on soit dans une religion ou qu'on n'en ait pas, nous sommes à côté, en exil d'une relation et communion avec Dieu, sa place et notre temps étant pris en otage au point où Dieu devient une notion comme obsolète... alors que notre vie et notre mort sont encore sous sa super-vision même si elles ne sont pas entre ses mains, sous un contrôle sécurisé et sécurisant.
Alors avez-vous appris à filtrer correctement les pensées, les informations, pour en jeter certaines sans délais, en soupeser d'autres en vue de la faire siennes ou de les relativiser !...
Quand on sait que nous pouvons être soumis aux 4 sources* réelles et potentielles de toutes les pensées, on peut en tenir compte. Mais si on n'a rien appris dans cette dimension de la connaissance de soi et du Réel !?
SECURISER SON EXISTENCE, ET SURTOUT SON POTENTIEL DE VIE ETERNELLE
Le trop c'est trop... nocif, toxique, avilissant, voire aliénant jusqu'à liberticide.
"C'st étudier pour..." par les esprits mauvais qui régissent la planète bien plus que nous ne le coupçonnons encore. Etudier pour garder la main sur les âmes jusqu'au delà de la mort physique...
Rien que cette information-là devrait nous mobiliser pour savoir si c'est vrai ou pas, ce qui est de notre part une étude importante : l'ignorance quant aux grandes réalités spirituelles est une cause majeure, voire une cause première de nos mal-vivre et autres dérèglements physiques et psychiques.
Ce qui m'a fait écrire un jour, peu après le début de mes révélations que Dieu existe - vraiment ! - :
"A l'origine de toutes nos maladies, il y a une crise de foi."
Ce qu'avait bien compris Soljenistyne qui écrivit que la drame du XXe siècle : On a oublié Dieu. Alzheimer n'est certainement pas sans relation avec cette vérité : l'oubli de Dieu, notre désintérêt généralisé de sa réalité et personne !
Il n'y a que deux manières de considérer l'origine du mal :
A - LA VUE MATÉRIALISTE
C'est un effet aléatoire de l’Évolution. Évolution qui est un mystérieux moteur qui, à partir d'elle-même et/ou de la dynamique surprenante de(s) hasards, aurait soit créé la matière et mis en route son expansion, soit l'aurait fait sortir d'une concentration phénoménale compacte au point où tout l'univers était dans un volume grand comme le contenu d'une cuillère (à soupe ou à café) !
C'est du moins le fond de la croyance matérialiste quant à l'origine des choses, le mal n'étant un mal que pour nous qui nous serions forgés ce concept à partir d'une dimension morale qu'on se serait donnée après que nous ayons cessé d'être des simiens (des singes).
De fait, cette vue fait du mal seulement de l'évolution insuffisante ou plus logiquement rien de particulier : Circulez, il n'y a rien à comprendre !
Ce que JP Sartre trasuisit - peut-on dire philosophiquement - par son fameux : Tout est absurde. D'où émerge deux conclusions contradictoires :
- Mangeons, buvons et baisons, car demain nous seront morts (ce sera la fin),Ou bien
- Tuons-nous car de toute faàon on va mourir et à quoi sert-il de souffrir encore si on peut y mettre un terme par nous-même.
B - LA VUE SPIRITUALISTE
Le mel est le résultat d'un accident survenu dès l'origine de l'humanité.
Plus question de voir ici des singes qui se redressent pour devenir des humanoïdes au milieu du mal qui n'est pas du mal, de la souffrance sans signification, mais on entre dans une vision du mal qui trouve du sens en tout.
La souffrance, le mal, est ici la conséquence d'une sortie des lois-cadres posées par la Créateur pour le bon fonctionnement - le bien - de tout ce qu'il a pré-organisé sur la planète, compris le bonheur de chacun. -
De fait, l'humanité trouve dès son origine le sens du bien et du mal. Ce n'est pas une invention culturelle ou religieuse, mais une dualité primitive, le risque dès le commencement de tomber dans le mal étant à la fois une réalité et une preuve de la liberté humaine : on n'est pas des robots prédéfinis par un Concepteur et créateur.
Comme il y a des livres et des millions de pages web sur ce sujet, je n'en dirais pas plus, que nous ne pouvons que croire une version ou une autr :
- matérialiste, dépourvue de sens, sans moralité, où le mal n'a d'explication ni en son origine ni dans les évolutions - alors même que face à tous nos maux physiques, nous savons bien qu'il y a des causes, et le rôle de la médecine est essentiellement de trouver les causes pour soigner au mieux !...
ou
- spiritualiste, telle qu'il fut rapporté après et du cœur des temps humains les plus anciens, la Bible notamment par sa conservation très exceptionnelle et unique, nous permettant toujours de nous faire une idée la plus juste possible sur le Réel tel qu'il fut et tel qu'il est.
Après libre à chacun de choisir, d'approfondir ou pas, de chercher la vérité ou pas
Tout en sachant comme pour les élections que l'abstention est une tare préjudiciable qui nous place par défaut dans le camp qui n'est pas forcément celui de la vérité.
Et le vote ici concerne non l'élection d'une personne ou d'un groupe de personnes pour quelques années sur un petit territoire, mais il concerne notre propre élection pour une durée infinie dans un territoire divin (le Royaume éternel de Dieu) ou dans le mal, c'est-à-dire un non-bien absolu.
Jésus et la foi par le Saint-Esprit est la réponse de Dieu au fait patent que nous sommes chacun mortel.
Mortel physiquement, ce qui ne signifie pas que l'âme meurt avec le corps - car si l'on en croit Jésus et la Bible, la vie de notre existence est attachée à l'âme et non à ce qui est physiologique.
Marc 8:36 "Et que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s'il perd son âme ?"
Et l'âme, qui nous donne la conscience d'être l'individualité qu'on est chacun, ne survit pas pour aller automatiquement dans le Royaume paradisiaque de Dieu, sinon nous n'aurions pas une vraie liberté de choix.
Alors que devenons-nous si un jour la mort nous surprend alors que nous sommes encore dans nos fautes, impur à cause de nos péchés et souillures pas effacés ?
Voyez-là >> ce que Jésus a dit à ce sujet <<.
Ainsi, c'est bien ici, de ce côté du Réel, que nous avons à chercher et à faire le choix de donner à Dieu sa place dans notre existence pour qu'il puisse nous sauver (pardonner, enseigner, protéger, soulager, consoler, guérir, délivrer, rendre heureux...). Car nous sommes comme les arbres : du côté où ils tombent, ils restent. Ecclésiaste 11 : 3
Saisissez bien ce que Jésus dit là, car l'offre de Dieu y est clairement exprimée, qui nous laisse le choix de répondre par la foi, ou par tout autre déroutage >> Jean ch. 3, vers. 16 à 21 << (à lire ou à écouter)
Voici éventuellement un article qui développe bien ce rapport étroit qu'il y a entre l'amour qu'est Dieu en lui-même, sa justice qui ne peut être bafouée, le sacrifice de Jésus dont l'amour pour nous l'a conduit à se livrer à la sentence de mort qui est la nôtre selon la justice divine, et encore la foi qui est notre réponse à ce moyen de sauvetage de notre âme que le séjour des morts n'aspire qu'à récupérer >>base juridique du pardon, de la rédemption totale de notre personne <<
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.