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21 juin 2017 3 21 /06 /juin /2017 07:16

La bénédiction de l'Eternel-Dieu nous rend (dans l'absolu, mais notre imperfection ne se réforme pas d'un coup de baguette magique) imperméable au mal comme les plumes du canard : elles figurent la nécessaire connaissance dont on a à être instruits pour être d'autant mieux
gardés...

suite de l'article ici

Réalisons-nous que nous pouvons choisir la qualité de notre existence ? Cela ne veut pas dire que nous en aurons seul-e la capacité et la maîtrise, mais que nous sommes chacun coparticipant de notre devenir, au moins au niveau de deux ou trois de nos choix les plus déterminants : Croire ou non qu'il y a un Dieu - Chercher lequel il est parmi les propositions (souvent contradictoires) qui nous en sont faites - Vouloir vivre une existence toujours plus en résonance (reliée, connectée, pertinente) avec le réel et le Dieu vivant et vrai...

En fait, qu'on le sache ou pas, bénédictions et malédictions forment le fond de nos existences à chacun. Conséquences, effets de jugements qui peuvent être... récompenses ou châtiments, globalement ordres ou désordres, sens ou confusion...

BÉNÉDICTIONS OU MALÉDICTIONS
Les bénédictions sont le bien que Dieu nous accorde ou veut nous accorder, et encore le résultat de lois diverses qui répondent à notre obéissance aux lois divines et/ou à notre propre conscience.

Les malédictions sont le résultat (négatif, difficile, douloureux, chaotique...) d'existences développées hors des (ou en opposition ouverte aux) lois-cadres intangibles, notamment morales, posées par le Créateur.

Les bénédictions et les malédictions
- peuvent être un héritage dont les causes peuvent remonter à quelques ou beaucoup de générations. Un package inclus dans notre domaine physique et/ou psychique, livré avec notre existence - ce que TOUS donc nous recevons, plus ou moins heureusement ou malencontreusement ;
- elles sont à la suite les conséquences de nos propres choix, pensées et paroles et actions et réactions. Ce qui peut corriger un mauvais héritage, mais aussi l'alourdir (pour soi et pour la et les générations qu'on peut mettre eu monde).
En ce sens, chacun est tenu par Dieu pour plus ou moins responsable de ses faits et gestes, et donc de ce qui lui tombe dessus comme mal ou comme de bien .

C'est doublement impressionnant, en ce qu'on trouve, on va le voir à la suite, 4 fois plus de malédictions que de bénédictions !
Pourquoi ?
Tout simplement parce que
- d'une part il en faut peu pour être heureux ! Jésus a résumé le fait que nous ayons sur nous une religion à l'obéissance à seulement deux commandements : Aimer Dieu, et aimer son prochain comme soi-même... De là les autres bénédictions découlent ;

- d'autre part, nous sommes particulièrement sourds à ce qui nous atteint comme étant des conséquences de nos comportements. Et donc le mal doit souvent être multiplié avant que nous apercevions que Dieu - ou Satan ! - est derrière ce qui nous arrive... autant d'épreuves voulues ou permises dont la finalité est de nous (r)amener au Divin...

Cela s'adresse essentiellement aux juifs qui sont les premiers à avoir bénéficier de la connaissance de la Loi Divine, avec ses avertissements abrupts et ses instructions salutaires.
Mais cela s'adresse à la suite aux populations qui ont connu la Bible, dans le cadre d'une des religions dites chrétiennes ayant suivi l'annonce du message évangélique. Les musulmans sont aussi concernés par cette liste puisque le Coran indique qu'il faut connaître les Livres descendus avant, c'est-à-dire la Torah (Ancien Testament) comme l'Injil (l'Évangile ou Nouvel Testament), car ils transportent "lumière et guidance" pour approcher de Dieu, et nous le faire connaître.

On est avertis par ailleurs que les malédictions peuvent sévir jusqu'à 3 et 4 générations (et plus) après des pères ou mères particulièrement transgresseurs. Et comme on ne connaît pas forcément ce qui s'est passé plus d'un siècle avant nous, dans tous les cas il est bon que nous prenions ces données au sérieux. Cela pour ne pas trop (continuer à) compter sur nos propres capacités à bien faire, alors que des forces qu'on ne voit pas nous tiennent captifs. Mais pour venir nous cacher en Dieu par Jésus-Christ, par la connaissance et par la foi, afin que nous soyons un maximum épargnés - car de très grosses épreuves sont encore à venir et viennent.

APARTÉ MAJEURE
En passant, comprenons que bien des "chrétiens" sont dits persécutés par le monde. Ces persécutions sont terribles et plus nombreuses que les médias nous les rapportent. Or elles frappent souvent des personnes qui sont de confession chrétienne sans être forcément chrétiens - c'est-à-dire nés de Dieu comme développé dans ce chapitre 3 de Jean ou dans ce verset.
C'est un vrai drame de la connaissance et de l'orgueil ou l'inintelligence humaine, qui a fait naître des religions se réclamant toutes de Christ, entretenant des fidèles qui sont catholiques, orthodoxes, protestants, anglicans, luthériens, coptes... sans forcément qu'ils soient bibliquement et spirituellement chrétiens.
Jésus a pourtant parlé au sujet de forces déviantes (maléfiques) de la vraie foi, qui méconnaissent ou modifient les paroles divines et son enseignement justes, jusqu'à former des traditions. Leurs divergences et séparations occultent alors ou empêchent
- la lumière de Christ de mieux se répandre dans le monde,
- et à la vraie vie, de l'Esprit, de transformer les âmes...

C'est ce genre de faux-croyants - mus par des esprits (démons) religieux usurpateurs - qui ont déjà
- lutté contre Moïse quand il s'est agi de faire sortir le peuple de Dieu de l'Égypte ancienne,
- contré et crucifié Jésus
- persécuté les huguenots lors du grand réveil spirituel du XVIe siècle,
- et produisent encore aujourd'hui attentats et persécutions...

Dieu garde d'autant les croyants qu'ils sont nés de lui, connaissent ses vérités fondamentales et pratiquent l'Évangile comme des disciples, sur la base de leur foi plus que sur la vertu de leurs pratiques méritoires et de croyances qui peuvent n'être que de l'idolâtrie...
(je prépare un article sur ce sujet capital).

 

QUELLES SONT LES LOIS DE JUSTICE(s) DIVINE(s) QUI S'APPLIQUENT À TOUS ?

1 - JUSTICE COURANTE OU "ORDINAIRE"
Le fondement "ordinaire" (du genre automatique, prédéfini) par lequel Dieu nous juge, ce sont les oeuvres, c'est-à-dire le bien ou le mal que par nos facultés individuelles nous sommes capables de produire.
Notre disposition adamique accidentée nous fait immanquablement et principalement produire des oeuvres... mauvaises, qui donc nous attirent sous un jugement ou le déclenche.
Il s'agit de toutes nos actions ou réactions, pensées et même paroles regardées au plan de la morale et de la justice, et jugées bonnes ou mauvaises en fonction d'une loi référente qui nous domine. Cette loi peut-être :
     a) religieuse et/ou spirituelle, expression d'une religion ou autre secte sous laquelle on est né ou à laquelle nous avons adhéré.

     b) ou psychique et/ou spirituelle. C'est (la loi de) notre conscience, prédéterminée, développable et escamotable. Elle fait sentir à notre âme ce qui est mal. Ce fondement moral individuel éclaire et juge plus particulièrement les mécréants (ceux qui n'ont ni croyance ni religion qui leur donne une loi, ni l'Esprit de Dieu venu les habiter...).

Selon le canon immuable divin, l'une ou l'autre de ces lois est attachée à qui en dépend comme un époux est lié à son épouse, et vice-versa. C'est dire qu'on est là dans une alliance à la vie à la mort !
C'est là le schéma déterminé auquel personne n'échappe, pas plus qu'au vieillissement ou à la mort.
Plus encore que les désobéissances (transgressions), l'abandon de ce type de loi (apostasie religieuse ou mépris de sa propre conscience morale) est grave comme un divorce - infraction où la liberté qu'on croit gagner se paie en général à un moment ou un autre au prix fort...
Si on abandonne la loi la plus naturelle qui nous incombe pour un autre fondement de vie - pour un autre dieu ! -, cela tient de l'adultère ou prostitution, ce qui ne peut que nous apporter de nouveaux désagréments... après une période rose qui ne peut durer...

En ce sens, devant Dieu, changer de religion ou se trouver une religion qui nous conviendrait, n'est pas une évolution favorable, qu'il peut agréer.
Mais avec le vrai Dieu tout ne s'arrête heureusement pas à l'une ou l'autre de ces formes de justice... dont la finalité ne peut aller plus loin que nous... culpabiliser (à mort) !

ÊTRE VRAI DEVANT DIEU, SURTOUT QUAND ON A UNE RELIGION
Nul ne peut tromper Dieu. Nos apparences ne l'impressionnent pas, et notre duplicité (hypocrisie, faux-semblant, religiosité maligne) ne lui est pas cachée.
C'est pourquoi il nous dit, pour que nous ne restions pas dans un leurre vis-à-vis de nous-même :
"La loi (la religion) produit la colère,"
C'est inévitable ! Créés pour vivre une vraie liberté, comment une loi religieuse (religion quelconque) avec toutes ses exigences, pourrait-elle nous permettre de se sentir libre et nous donner la paix ? Impossible !

En cela, nous avons une explication qui donne de comprendre le mépris, la haine, la hargne de gens religieux à la vue de la liberté qu'ont les incroyants ou autres croyants olé-olé avec leur religion. Cette pensée du rapport à la liberté est un moteur puissant par lequel un ou des démons tiennent des croyants qui sont ignorants du vrai Dieu : Elle pousse à imposer sa religion, sa loi, à aller jusqu'à tuer (ensemble les corps et la liberté) les autres s'ils ne veulent pas porter avec eux leur joug ! Comme si le fait que nous soyons tous sous le même esclavage le rende plus acceptable... 

 

LISTE DE BÉNÉDICTIONS ET DE MALÉDICTIONS
Voyons maintenant ce que peuvent être les bénédictions et - surtout - les malédictions attachées à la pratique religieuse comme fondement de notre relation à Dieu et/ou à l'observation ou non des données de notre conscience.

Le chapitre 28 du livre du Deutéronome (5e livre de la Bible) déclare :

"Si tu obéis à la voix de l'Éternel, ton Dieu, en observant et en mettant en pratique tous ses commandements que je te prescris aujourd'hui, l'Éternel, ton Dieu, te donnera la supériorité sur toutes les nations de la terre.
2 Voici toutes les bénédictions qui se répandront sur toi et qui seront ton partage, lorsque tu obéiras à la voix de l'Éternel, ton Dieu :
3 Tu seras béni dans la ville, et tu seras béni dans les champs.
4 Le fruit de tes entrailles, le fruit de ton sol, le fruit de tes troupeaux, les portées de ton gros et de ton menu bétail, toutes ces choses seront bénies.
5 Ta corbeille et ta huche seront bénies.
6 Tu seras béni à ton arrivée, et tu seras béni à ton départ.
7 L'Éternel te donnera la victoire sur tes ennemis qui s'élèveront contre toi ; ils sortiront contre toi par un seul chemin, et ils s'enfuiront devant toi par sept chemins.
8 L'Éternel ordonnera à la bénédiction d'être avec toi dans tes greniers et dans toutes tes entreprises. Il te bénira dans le pays que l'Éternel, ton Dieu, te donne.
9 Tu seras pour l'Éternel un peuple saint, comme il te l'a juré, lorsque tu observeras les commandements de l'Éternel, ton Dieu, et que tu marcheras dans ses voies.
10 Tous les peuples verront que tu es appelé du nom de l'Éternel, et ils te craindront.
11 L'Éternel te comblera de biens, en multipliant le fruit de tes entrailles, le fruit de tes troupeaux et le fruit de ton sol, dans le pays que l'Éternel a juré à tes pères de te donner.
12 L'Éternel t'ouvrira son bon trésor, le ciel, pour envoyer à ton pays la pluie en son temps et pour bénir tout le travail de tes mains ; tu prêteras à beaucoup de nations, et tu n'emprunteras point.
13 L'Éternel fera de toi la tête et non la queue, tu seras toujours en haut et tu ne seras jamais en bas, lorsque tu obéiras aux commandements de l'Éternel, ton Dieu, que je te prescris aujourd'hui, lorsque tu les observeras et les mettras en pratique, 14 et que tu ne te détourneras ni à droite ni à gauche de tous les commandements que je vous donne aujourd'hui, pour aller après d'autres dieux et pour les servir.

15 Mais si tu n'obéis point à la voix de l'Éternel, ton Dieu, si tu n'observes pas et ne mets pas en pratique tous ses commandements et toutes ses lois que je te prescris aujourd'hui, voici toutes les malédictions qui viendront sur toi et qui seront ton partage :
16 Tu seras maudit dans la ville, et tu seras maudit dans les champs.
17 Ta corbeille et ta huche seront maudites.
18 Le fruit de tes entrailles, le fruit de ton sol, les portées de ton gros et de ton menu bétail, toutes ces choses seront maudites.
19 Tu seras maudit à ton arrivée, et tu seras maudit à ton départ.
20 L'Éternel enverra contre toi la malédiction, le trouble et la menace, au milieu de toutes les entreprises que tu feras, jusqu'à ce que tu sois détruit, jusqu'à ce que tu périsses promptement, à cause de la méchanceté de tes actions, qui t'aura porté à m'abandonner.
21 L'Éternel attachera à toi la peste, jusqu'à ce qu'elle te consume dans le pays dont tu vas entrer en possession.
22 L'Éternel te frappera de consomption, de fièvre, d'inflammation, de chaleur brûlante, de dessèchement, de jaunisse et de gangrène, qui te poursuivront jusqu'à ce que tu périsses.
23 Le ciel sur ta tête sera d'airain, et la terre sous toi sera de fer.
24 L'Éternel enverra pour pluie à ton pays de la poussière et de la poudre ; il en descendra du ciel sur toi jusqu'à ce que tu sois détruit.
25 L'Éternel te fera battre par tes ennemis ; tu sortiras contre eux par un seul chemin, et tu t'enfuiras devant eux par sept chemins ; et tu seras un objet d'effroi pour tous les royaumes de la terre.
26 Ton cadavre sera la pâture de tous les oiseaux du ciel et des bêtes de la terre ; et il n'y aura personne pour les troubler.
27 L'Éternel te frappera de l'ulcère d'Égypte, d'hémorroïdes, de gale et de teigne, dont tu ne pourras guérir.
28 L'Éternel te frappera de délire, d'aveuglement, d'égarement d'esprit,
29 et tu tâtonneras en plein midi comme l'aveugle dans l'obscurité, tu n'auras point de succès dans tes entreprises, et tu seras tous les jours opprimé, dépouillé, et il n'y aura personne pour venir à ton secours.
30 Tu auras une fiancée, et un autre homme couchera avec elle ; tu bâtiras une maison, et tu ne l'habiteras pas ; tu planteras une vigne, et tu n'en jouiras pas.
31 Ton boeuf sera égorgé sous tes yeux, et tu n'en mangeras pas ; ton âne sera enlevé devant toi, et on ne te le rendra pas ; tes brebis seront données à tes ennemis, et il n'y aura personne pour venir à ton secours.
32 Tes fils et tes filles seront livrés à un autre peuple, tes yeux le verront et languiront tout le jour après eux, et ta main sera sans force.
33 Un peuple que tu n'auras point connu mangera le fruit de ton sol et tout le produit de ton travail, et tu seras tous les jours opprimé et écrasé.
34 Le spectacle que tu auras sous les yeux te jettera dans le délire.
35 L'Éternel te frappera aux genoux et aux cuisses d'un ulcère malin dont tu ne pourras guérir, il te frappera depuis la plante du pied jusqu'au sommet de la tête.
36 L'Éternel te fera marcher, toi et ton roi que tu auras établi sur toi, vers une nation que tu n'auras point connue, ni toi ni tes pères. Et là, tu serviras d'autres dieux, du bois et de la pierre.
37 Et tu seras un sujet d'étonnement, de sarcasme et de raillerie, parmi tous les peuples chez qui l'Éternel te mènera.
38 Tu transporteras sur ton champ beaucoup de semence ; et tu feras une faible récolte, car les sauterelles la dévoreront.
39 Tu planteras des vignes et tu les cultiveras ; et tu ne boiras pas de vin et tu ne feras pas de récolte, car les vers la mangeront.
40 Tu auras des oliviers dans toute l'étendue de ton pays ; et tu ne t'oindras pas d'huile, car tes olives tomberont.
41 Tu engendreras des fils et des filles ; et ils ne seront pas à toi, car ils iront en captivité.
42 Les insectes prendront possession de tous tes arbres et du fruit de ton sol.
43 L'étranger qui sera au milieu de toi s'élèvera toujours plus au-dessus de toi, et toi, tu descendras toujours plus bas ;
44 il te prêtera, et tu ne lui prêteras pas ; il sera la tête, et tu seras la queue.
45 Toutes ces malédictions viendront sur toi, elles te poursuivront et seront ton partage jusqu'à ce que tu sois détruit, parce que tu n'auras pas obéi à la voix de l'Éternel, ton Dieu, parce que tu n'auras pas observé ses commandements et ses lois qu'il te prescrit.
46 Elles seront à jamais pour toi et pour tes descendants comme des signes et des prodiges.
47 Pour n'avoir pas, au milieu de l'abondance de toutes choses, servi l'Éternel, ton Dieu, avec joie et de bon coeur,
48 tu serviras, au milieu de la faim, de la soif, de la nudité et de la disette de toutes choses, tes ennemis que l'Éternel enverra contre toi. Il mettra un joug de fer sur ton cou, jusqu'à ce qu'il t'ait détruit.
49 L'Éternel fera partir de loin, des extrémités de la terre, une nation qui fondra sur toi d'un vol d'aigle, une nation dont tu n'entendras point la langue,
50 une nation au visage farouche, et qui n'aura ni respect pour le vieillard ni pitié pour l'enfant.
51 Elle mangera le fruit de tes troupeaux et le fruit de ton sol, jusqu'à ce que tu sois détruit ; elle ne te laissera ni blé, ni moût, ni huile, ni portées de ton gros et de ton menu bétail, jusqu'à ce qu'elle t'ait fait périr.
52 Elle t'assiégera dans toutes tes portes, jusqu'à ce que tes murailles tombent, ces hautes et fortes murailles sur lesquelles tu auras placé ta confiance dans toute l'étendue de ton pays ; elle t'assiégera dans toutes tes portes, dans tout le pays que l'Éternel, ton Dieu, te donne.
53 Au milieu de l'angoisse et de la détresse où te réduira ton ennemi, tu mangeras le fruit de tes entrailles, la chair de tes fils et de tes filles que l'Éternel, ton Dieu, t'aura donnés.
54 L'homme d'entre vous le plus délicat et le plus habitué à la mollesse aura un oeil sans pitié pour son frère, pour la femme qui repose sur son sein, pour ceux de ses enfants qu'il a épargnés ;
55 il ne donnera à aucun d'eux de la chair de ses enfants dont il fait sa nourriture, parce qu'il ne lui reste plus rien au milieu de l'angoisse et de la détresse où te réduira ton ennemi dans toutes tes portes.
56 La femme d'entre vous la plus délicate et la plus habituée à la mollesse et par délicatesse n'essayait pas de poser à terre la plante de son pied, aura un oeil sans pitié pour le mari qui repose sur son sein, pour son fils et pour sa fille ;
57 elle ne leur donnera rien de l'arrière-faix sorti d'entre ses pieds et des enfants qu'elle mettra au monde, car, manquant de tout, elle en fera secrètement sa nourriture au milieu de l'angoisse et de la détresse où te réduira ton ennemi dans tes portes.

58 Si tu n'observes pas et ne mets pas en pratique toutes les paroles de cette loi, écrites dans ce livre, si tu ne crains pas ce nom glorieux et redoutable de l'Éternel, ton Dieu, 59 l'Éternel te frappera miraculeusement, toi et ta postérité, par des plaies grandes et de longue durée, par des maladies graves et opiniâtres.
60 Il amènera sur toi toutes les maladies d'Égypte, devant lesquelles tu tremblais ; et elles s'attacheront à toi.
61 Et même, l'Éternel fera venir sur toi, jusqu'à ce que tu sois détruit, toutes sortes de maladies et de plaies qui ne sont point mentionnées dans le livre de cette loi.

62 Après avoir été aussi nombreux que les étoiles du ciel, vous ne resterez qu'un petit nombre, parce que tu n'auras point obéi à la voix de l'Éternel, ton Dieu.
63 De même que l'Éternel prenait plaisir à vous faire du bien et à vous multiplier, de même l'Éternel prendra plaisir à vous faire périr et à vous détruire ; et vous serez arrachés du pays dont tu vas entrer en possession.
64 L'Éternel te dispersera parmi tous les peuples, d'une extrémité de la terre à l'autre ; et là, tu serviras d'autres dieux que n'ont connus ni toi, ni tes pères, du bois et de la pierre.
65 Parmi ces nations, tu ne seras pas tranquille, et tu n'auras pas un lieu de repos pour la plante de tes pieds. L'Éternel rendra ton coeur agité, tes yeux languissants, ton âme souffrante.
66 Ta vie sera comme en suspens devant toi, tu trembleras la nuit et le jour, tu douteras de ton existence.
67 Dans l'effroi qui remplira ton coeur et en présence de ce que tes yeux verront, tu diras le matin : Puisse le soir être là ! et tu diras le soir : Puisse le matin être là !

68 Et l'Éternel te ramènera sur des navires en Égypte, et tu feras ce chemin dont je t'avais dit : Tu ne le reverras plus ! Là, vous vous offrirez en vente à vos ennemis, comme esclaves et comme servantes ; et il n'y aura personne pour vous acheter.

Ne peut-on pas reconnaître là quantité des maux qui frappent autour de nous, voire qui nous atteignent en ce moment ?
Dès lors, cessons de nous raconter des histoires si on veut être un croyant authentique, sinon ce sont plus de malédictions que de bénédictions que nous allons récolter ! Pourquoi ?

Car Dieu nous explique le mécanisme psychologique que met en oeuvre la religion, et le but qu'il poursuit à partir de toutes les formes de lois religieuses :
"Que dirons-nous donc ? La loi (religion) est-elle mal ? Loin de là ! Mais je n'ai connu le péché que par la loi. Car je n'aurais pas connu la convoitise, si la loi n'eût dit : Tu ne convoiteras point.8 Et le péché, saisissant l'occasion, produisit en moi par le commandement toutes sortes de convoitises ; car sans loi le péché est mort... Ainsi, le commandement qui conduit à la vie se trouva pour moi conduire à la mort.11 Car le péché saisissant l'occasion, me séduisit par le commandement, et par lui me fit mourir.12 La loi (la religion) donc est sainte, et le commandement est saint, juste et bon.13 Ce qui est bon a-t-il donc été pour moi une cause de mort ? Loin de là ! Mais c'est le péché, afin qu'il se manifestât comme péché en me donnant la mort par ce qui est bon, et que, par le commandement, il devînt condamnable au plus haut point.
14 Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis charnel, vendu au péché.15 Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais.16 Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne.17 Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi.18 Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair : j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien.19 Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas.20 Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi.21 Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi.22 Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ;23 mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres.24 Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?.."
On va répondre à cette question primordiale. Mais avant, voyons bien ce que Dieu enseigne là.
Il nous dit qu'il y a en nous une force qu'il appelle "le péché", qui est une loi intérieure, inhérente à nous tous, si puissante qu'elle domine sur notre volonté à bien faire. La Bible appelle cela "la loi du péché et de la mort" : c'est ce qui résulte, dans notre âme, de la chute adamique ; c'est une marque psychique qui définit largement ce qu'est notre difficile condition humaine...

"L'aiguillon de la mort (ce qui rend la mort douloureuse), c'est le péché ; et la puissance du péché, c'est la loi."
Il nous est redit là que la religion est le moyen mis en place par Dieu pour que nous réalisions que nous sommes pécheur, c'est-à-dire dominé par une faculté intérieure qui nous pousse à mal faire, d'autant plus que nous voulons faire le bien et/ou plaire à Dieu.

"Tous ceux qui s'attachent aux oeuvres de la loi (à suivre une religion) sont sous la malédiction ; car il est écrit : Maudit est quiconque n'observe pas tout ce qui est écrit dans le livre de la loi, et ne le met pas en pratique.11 Et que nul ne soit justifié devant Dieu par la loi, cela est évident, puisqu'il est dit : Le juste vivra par la foi.12 Or, la loi ne procède pas de la foi ; mais elle dit : Celui qui mettra ces choses en pratique vivra par elles."
Ici, nous avons à comprendre qu'il y a un dilemme entre avoir une religion et avoir la foi. En d'autre termes, avec une religion on est croyant, on a une croyance, mais Dieu distingue entre
- le fait de croire en s'appuyant sur les observances d'une religion... pour essayer de lui plaire, de l'apaiser envers nous,
- et le fait d'avoir foi en lui... pour nous sauver (et nous donner sa paix).

Er notez bien cette vérité fondamentale dans notre relation avec Dieu : "Quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous." Pourquoi ?
Parce que Dieu est saint - trois fois saint, dit même la Bible. Dès lors rien de souillé ne peut entrer dans le royaume de sa présence. Aucun péché qui ne soit pardonné.
Si la religion parle de balance et du poids du bien et du mal de nos oeuvres, c'est essentiellement pour que nous réfléchissons maintenant, ici-bas, sur ce que nous faisons. Car la réalité et vérité - bien malin ou hypocrite qui dit y échapper - c'est que le poids de nos fautes sera toujours plus lourd que celui du bien qu'on aura pu faire. Toujours !
C'est là de la part de Dieu un test, une heure de vérité, en consciencen, devant sa fce. Qui peut dire, s'il meurt maintenant, qu'il est en position d'être pesé favorablement ?...

Et donc la solution n'est pas dans cette surenchère - perdue d'avance dit Dieu - où il faut faire moins de mal que de bien, ou plus de bien pour couvrir le mal irréductible... Moins boire ou manger, moins se mettre en colère, être moins méchant, être encore plus religieux, etc... Non !
La solution est dans une repentance sincère, navrée. Dans la vue qu'on est un pécheur/une pécheresse, infidèle, pas capable de plaire à Dieu, indigne de lui, et par là obtenir de sa part un réel pardon de TOUS nos péchés ! La purification intérieure de TOUTES nos souillures. Ce qu'aucune religion ne peut faire : Dieu seul pardonne les coupables qui se confessent et décident d'abandonner - avec Sa force - leurs mauvaises voies.

La Bible dit encore, en utilisant l'image suivante, que le fait religieux - qui prédomine, voire empêche une relation vivante avec Dieu -, est "un rudiment du monde" : "Aussi longtemps que l'héritier est enfant, je dis qu'il ne diffère en rien d'un esclave, quoiqu'il soit le maître de tout ;2 mais il est sous des tuteurs et des administrateurs (lois et pratiques, instructeurs) jusqu'au temps marqué par le père.3 Nous aussi, de la même manière, lorsque nous étions enfants, nous étions sous l'esclavage des rudiments du monde..."
Ainsi une forme de notre vie en société - le plus souvent héritée, traditionnelle plus que vivante et vivifiante en elle-même - est appelée à être dépassée, non par l'abandon (apostasie) ou par l'agnosticisme ou l'athéisme, mais par une réponse autre à une meilleure offre faite par Dieu lui-même.

  
POSSIBILITÉ DE SORTIE !?
Bien différemment donc que de suivre une loi religieuse de manière laborieuse et ingrate - car ne nous apportant toujours pas la paix et une relation sensible avec Dieu -, ce qu'il nous offre comme substitut à religion ou conscience propre, c'est que nous passions de la domination du péché qui nous habite à sa grâce libératrice - ce qui est d'un tout autre ordre, une autre expression de la justice parfaite qu'exige Dieu (dont on ne peut dans tous les cas pas se départir).

Là où les lois semblables, psychique intérieure et religieuse extérieure, ne font que réclamer de nous, sans nous procurer la force nécessaire pour tenir dans le bien, la grâce de Dieu et son acceptation de notre part vont nous donner accès à la force - part de vie - qui nous manque pour une existence honnête (sans faux-semblant, victorieuse sur le péché). Par la communication à notre âme de l'Esprit même de Dieu.
Comment cette transition - énergétique pourrait-on dire - se passe-t-elle?

à suivre...

Que la bénédiction du Dieu très-haut, l'unique, vous soit partagée de manière sensible.

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5 mai 2017 5 05 /05 /mai /2017 18:35

ATLÉTICO DE MARINE vs OLYMPIQUE MACRONNAIS
La finale contestée !?

Cela me rappelle la sinistre déchéance de l'Équipe de France
à la Coupe du Monde en Afrique du Sud, après son injuste qualification
sur une main de Thierry Henry :
Prophétique, prémonitoire, et leçon de l'Histoire ?

UN FEU ALLUMÉ !?...
Les citoyens que nous sommes sont sous un feu médiatique, plus qu'informés objectivement des projets des candidats et de leur pertinence. Que cela se passe pour Marine Le Pen comme il en a été pour F. Fillon a de quoi faire rejeter ce vote, hisser le vote blanc.
Mais pas forcément le drapeau blanc !

La force et la subjectivité journalistiques ont privé les citoyens de liberté de conscience. En jouant la carte psy de la peur, au lieu d'aider et d'appeler à la réflexion...
Par peur du résultat !?...

Depuis les (récents) développements de la science psychologique (connaissance des mécanismes actifs et réactifs de l'âme), on peut se demander si sa connaissance n'est pas plus utiliser pour manipuler que pour aider ? Dans cette campagne au moins, on a une réponse.

C'est qu'en tout 78,7 % des électeurs inscrits (54,7 % de votants ailleurs que EM ou MLP + 1,78 % de votes blancs + 22,23 % d'abtenus) ne se sont pas prononcés pour le scénario final sorti du chapeau des urnes !
Et beaucoup - influences directes, insinuations appuyées ou autres manoeuvres peu catholiques (comme on dit) - peuvent aujourd'hui encore avoir le sentiment d'être pris au piège d'une démocratie sortie de ses rails.

DÉMOCRATIE, DÉMOCRATIE, QU'EST-CE QUE LA DÉMOCRATIE ?
J'ai déjà dit que la démocratie n'est
- ni un bien en soi (car ses majorités électives sont souvent le vote d'une minorité et de sa morale spécifique),
- ni faite pour durer longtemps (puisque la Bible annonce qu'au temps "de la fin des nations" (comprendre ce que cela signifie qui nous a été prophétisé), c'est un totalitarisme planétaire qui prend (s'empare de) la terre habitée...

Cela s'est avéré avec le traité de Lisbonne : puis avec quelques passages aux forceps 49-3 pour des lois très conséquentes ; ça semble plus vrai que jamais avec ce dernier vote présidentiel éminemment capital.

Tout cela vise - d'En-haut - à ce qu'on prenne conscience de ce qu'est réellement notre condition humaine - de souffrants et de mortels -, de ce qu'est le Réel (tout compris, Dieu et les démons inclus), et encore les temps dans lesquels nous sommes (prophétisés par la Bible et qui prennent consistance jour après jour sous nos yeux).

Alors avoir peur, OUI ! Quel que soit le lauréat des suffrages exprimés. Car les temps sont mauvais, et ce n'est pas un homme - ou une femme - qui va résoudre ou faire fondre... l'insoluble. Donc comme souvent on va faire avec...
Et mon conseil c'est : On va faire avec... en cherchant la paix et la sécurité personnelle, familiale,* que seul le Dieu véritable peut accorder - indépendamment de nos mérites, sur la base de la foi personnelle - plutôt qu'en cherchant du pouvoir d'achat (pour acheter toujours plus d'appareils superflus qui font surtout - et peut-être même pas - le bonheur d'actionnaires et/ou de milliardaires).

Car "C'est, en effet, une grande source de gain que la piété avec le contentement ;"

On pourrait donc moins lutter pour la démocratie, et davantage pour la... domocratie (du latin domus "maison"), c'est-à-dire pour le gouvernement de sa propre maison...

CE QUE SONT LES VRAIES RICHESSES
Votez en conscience, et recherchez les richesses les plus véritables :
- la paix intérieure et la grâce de Dieu qui s'accordent par la foi au Christ Jésus ;
- la libération de la convoitise qui est un vrai fléau de notre coeur ;
- la foi qui met Dieu à la portée de nos prières pour les exhausser ; qui lui permet de nous transformer face au mal, de nous donner la force de tenir dans la vérité et la justice ; et qui nous rend... éternels !

"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.
17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises.20 Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées ;21 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites dans le regard de Dieu."

Soyez béni-e.

(prière-guide de réconciliation avec Dieu)

____________
* Si on veut croire au vivre-ensemble, il faut être lucide : il ne peut que commencer dans nos maisons, dans nos couples, avec nos enfants... Trêve de vue illusionniste !

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4 mai 2017 4 04 /05 /mai /2017 07:29

Dans un monde où l'homme pense pouvoir et veut (se) gouverner sans Dieu, le mensonge est une valeur.
Sinon pourquoi s'en servirait-on dans toutes les sauces ?

Il y a le mensonge direct, formulé avec aplomb, de type "ministre délégué chargé du Budget" - ce n'est pas que celui-ci soit plus pécheur* que les autres, mais c'est un cas d'école clair et connu du plus grand nombre ;
et il y a la tromperie plus sophistiquée, où on esquive les questions, où on reste vague avec emphase, où on dit autre chose que le fond de sa pensée et de ses motivations, où on séduit, où on noie le poisson...

Le mensonge (la menterie disent les canadiens - c'est pas mieux) est une des expressions du libre-arbitre**.

Il est écrit dans le livre-arbitre (la Bible) que c'est une des causes (raisons, origines), petites mais majeures, du mal. Pourquoi ? Parce que mentir sans souci de moralité, sans distinction du bien et du mal, c'est emprunter à l'inventeur du mensonge, c'est faire de nous ses fils, ses filles ! Jésus, autorité éternellement compétente,  l'a dit ainsi : "Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge.45 Et moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez pas.46 Qui de vous me convaincra de péché ? Si je dis la vérité, pourquoi ne me croyez-vous pas ?47 Celui qui est de Dieu, écoute les paroles de Dieu ; vous n'écoutez pas, parce que vous n'êtes pas de Dieu.
Ces mots s'adressaient à des religieux. Ils s'adressent toujours à eux, et de la même façon à des politiques... et à chacun de nous.

"Nous avons proféré la violence et la révolte, Conçu et médité dans le coeur des paroles de mensonge ;14 Et la délivrance s'est retirée, Et le salut se tient éloigné ; Car la vérité trébuche sur la place publique, Et la droiture ne peut approcher.15 La vérité a disparu, Et celui qui s'éloigne du mal est dépouillé. -L'Éternel voit, d'un regard indigné, Qu'il n'y a plus de droiture,"

Qui donc à raison, de la Bible qui nous incite - pour notre bien (personnel et collectif) - à ne pas mentir, ou d'une culture sociétale qui n'aborde pas la question du mensonge, accordant par là (aussi) aux esprits mauvais de la dimension spirituelle à dominer sur nous ? 

Ajouter dans ce débat du 3 mai 2017 une bonne dose de médisance, un saupoudrage de mesures - qui ne pourront être tenues par personne -, trois louches d'ego - bio, peu vierges mais de première pression (à chaud comme à froid), et on a déjà l'image de la courbe, non seulement du chômage mais de la paix et du bonheur qu'un (tel) État ou association européenne peut apporter à ses populations.

 

DÉMOCRATIE ET CONFIANCE... EN QUI ?
Dans cette démocratie, outre qu'elle en est de moins en moins une, c'est aux futurs votants à aller à la pêche*, sur internet ou on ne sait pas où, aux vérifications, aux informations exactes, au vrai contenu des dossiers débattus, si, d'aventure, on a encore la volonté de savoir qui dit vrai et qui dit faux !

C'est par là toute la question de la confiance - = foi reposante en qui on se confie -, qui est soulevée. Comment voter quand on n'a plus de conviction véritable - sauf inféodation béate à son candidat-idole ?
Voter par défaut, contre sa conscience, "en se pinçant le nez" comme j'ai entendu un politique le dire !? Outre que toutes nos convictions ne sont pas forcément justes, "agir sans conviction c'est péché, dit la Bible !
Donc de toutes parts on est perdus !
On va être gouvernés par des ordonnances, de type médical, faite par un médecin qui, ne voyant guère que des symptômes, ne connaît pas le mal qui frappe le pays et ses populations. Par un médecin qui s'impose plus qu'on ne le choisit et ne lui fera véritablement confiance.

On est faits comme des rats dans une souricière !
Parce qu'on ne s'est pas souciés nous-mêmes de la vérité et du mensonge.
Parce qu'on a préféré suivre des voies plaisantes, jouir immédiatement plutôt que de résister au mal. Parce qu'on s'est laissés aveugler - à l'encontre de nos capacités d'observation et de réflexion.
Parce qu'on a abandonné Dieu, pour ceux qui avaient eu une instruction religieuse, au lieu de le chercher au-delà, voire malgré telle religion (ou toutes les religions) qui nous cache(nt) sa face (autant que nos propres péchés).

TOUS PERDUS !
J'ai été cet apostat qui, à l'adolescence, a préféré le discours matérialiste séduisant d'un prof de philo plutôt que de vouloir approfondir la foi déjà vivante en moi qui me permettait de voir des réponses à mes prières.
J'ai été ce pécheur qui, plus tard, malgré son retour à la croyance et toute ma bonne volonté pour servir Dieu, n'avait pas la force en lui-même pour marcher dans la bonne spiritualité ou même pour résister à quelques tentations basiques. Car il faut recevoir Dieu (Christ) en nous-même comme force de bien et de vie amplifiée...

C'est qu'on est tous perdus ! Sans exception aucune ! Seul Jésus a marché dans notre monde malade, souillé, corrompu, sans faillir en rien. On ait pris la démocratie pour un bon concept - alors que ce n'est qu'un concept envisageable, ni bon ni mauvais en soi. Et dès lors, comme en tout, ce qui peut être bon pouvant aussi être mauvais, le suffrage universel s'avère un leurre - de plus -, un moyen au service des plus intelligents, mais pas des plus nombreux.
Parce que c'est nous-même qui faisons que même la meilleure nourriture peut devenir un problème énorme, quand on se laisse prendre par la boulimie (quand un plaisir excessif de manger est relayé par un démon qui vient se greffer sur notre psychisme et/ou estomac).
Parce que ce sont des hommes (et quelques femmes) de notre Occident atteint et élevé par les bénédictions christiques, qui ont choisi de "jeter le bébé avec les eaux sales de son bain" - de se cacher de Dieu en évacuant le fait religieux et Dieu lui-même de l'avant-scène des nations.

Et donc les heurts chaotiques qui ne peuvent que suivre l'apostasie ou l'incrédulité des uns, et la religiosité non éclairée d'autres, sont déjà là, dont la finale de cette élection présidentielle. On parle à juste titre d'un vote qui va s'écrire dans l'Histoire, en ce qu'il ne peut plus constituer, comme aux USA, qu'un coup de frein à main tiré contre la mondialisation en marche, ou un pied plus lourd encore sur la pédale d'accélérateur d'un dit "ordre" mondial nouveau qui vient - dont la Bible nous informe depuis longtemps...

ALORS LA FOI !
Il reste la foi, qui toujours n'est efficace qu'étant personnelle. La foi car on a des promesses de Dieu pour les temps difficiles que constituent "le temps de la fin des nations" dont on est avertis, et qui s'opèrent sous nos yeux au jour le jour.

La vraie foi - celle qui met en contact avec Dieu et lui permet de nous accompagner ou couvrir de ses grâces jusqu'au coeur de nos problèmes -  consiste non pas seulement à croire qu'il y a un Dieu qui existe, mais à croire Dieu sur parole. Quand on ne peut plus faire confiance aux humains, on peut placer notre confiance en ce Dieu unique
- qui se révèle à notre coeur quand il est purifié (moyen), de son Esprit à notre esprit,
- qui se voit par ses réponses aux prières et diverses autres interventions, selon que les effets montrent leur cause
- et en ce qu'il nous a communiqué via des serviteurs au cours de 1 500 ans (d'où la toute la Bible).

DANS TOUS LES CAS, EN ROUTE VERS L'ESSENTIEL
En ce sens tout ce qui nous arrive est profitable pour nous approcher de Dieu par qui nous pouvons recevoir et le pardon et la paix immédiats, et l'éternisation de notre existence. Maintenant ce problème politique, dans tous les cas ouvert sur l'instabilité ou la déstabilisation, vient s'ajouter à ce que Jésus a dit à propos de la façon dont nous construisons nos maisons (intérieures) : "C'est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc.25 La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont jetés contre cette maison : elle n'est point tombée, parce qu'elle était fondée sur le roc.26 Mais quiconque entend ces paroles que je dis, et ne les met pas en pratique, sera semblable à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable.27 La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et ont battu cette maison : elle est tombée, et sa ruine a été grande."  
La sécurité se trouvera donc, si ce n'est pour la société, au moins pour chacun en fonction de son positionnement pesonnel en vis-à-vis du Dieu qui est.  

Shalom. Soyez béni-e.

______________
* Pécheur, péché, pécher (qui n'a rien à voir avec la pêche à la lgne) : C'est ne pas tenir compte des lois divines, commettre des fautes (morales ou contre (la) nature).
Étymologiquement, c'est manquer la cible - en l'occurrence le bonheur éternel que le Créateur veut nous offrir.
C'est se couper de la réalité et des bontés de Dieu. Voire donc un jour de son éternité paradisiaque si on persiste sans chercher et obtenir le pardon de nos fautes.

** Pour ceux à qui ce terme de libre-arbitre est très cher, si y tenir par-dessus tout, c'est pour se vouloir libre de mentir ou autres pratiques qui nous nuisent, libre à eux, mais comme dit A.Huxley "Les faits ne cessent pas d'exister parce qu'on les ignore." Et Dieu non plus.

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19 avril 2017 3 19 /04 /avril /2017 19:44

Suite de l'article commencé ici.


En effet, depuis 2000 ans, la Bible dit de l'intelligence humaine - et même de notre sagesse, celle qui produit des philosophies et autres idéologies qui peuvent en découler - :
- son origine : terrestre, c'est-à-dire issue de notre chair qui est la part vivifiée de glaise qui forme notre corps physiologique,

- sa nature : psychique, c'est-à-dire l'âme, qui est le fruit émergé de notre corporalité, le siège de notre moi-je,

- sa capacité : rejoindre ou être rejointe aussi, par des entités démoniaques.
On lit cela dans la lettre de Jacques, chap. 3.
L'encyclopédiste Denis Diderot l'a dit aussi, à sa façon, après que de croyant il soit devenu agnostique (ne sachant plus qu'on peut croit) : "Le premier pas dans la philosophie conduit à l'incrédulité." Incrédulité quant à Dieu, mais aussi crédulité dans toutes sortes de vues controuvées (comme alors à l'époque la croyance en la génération spontanée). 

Pour que tout cela ait du sens, Jacques écrit à la suite qu'il existe une autre intelligence et sagesse : la sagesse d'en haut est premièrement pure, ensuite pacifique, modérée, conciliante, pleine de miséricorde et de bons fruits, exempte de duplicité, d'hypocrisie.
Il s'agit du contenu accessible de la sagesse de Dieu par et dans notre esprit - étant originellement chacun un 3-en-1 ; corps, âme et esprit...

Or l'École laïque ne s'intéresse pas à la connaissance de ce que nous sommes (hormis dans notre dimension matérielle, dite biologique) ;
On n'entend pas trop que les parents savent et instruisent leurs enfants pour qu'ils puissent de la meilleure manière possible se socialiser, pour affronter et vivre au mieux leur existence ;
Telle ou telle religion - résidente ou émergente - ne peut donner qu'à ceux qui l'approchent une connaissance venue par la Sagesse d'En-haut, quand encore elle en est porteuse - en l'occurrence la Bible est le livre que j'ai découvert qui révèle le mieux ce qu'est l'homme, sa condition (foncièrement problématique), la solution majeure à ses besoins réels : l'amour - non inhérent - mais à recevoir de Dieu lui-même par son Esprit, pour aimer Dieu, s'aimer soi-même, et aimer son prochain...

Faute de construire les enfants pour devenir des adultes complets (corps, âme, esprit, chacun nourris/garnis selon de réels besoins), on se trouve être des armées d'unijambistes ! des borgnes - l'oeil directeur - l'esprit - étant perdu.
Car il ne suffit pas d'avoir vêtements, nourriture et toit pour le corps (ce qu'on donne aux demandeurs d'asile) ;
il ne suffit pas non plus au plan psychique (de l'âme) d'avoir une pleine tête de connaissances (bachelier en franchissant une barre de plus en plus basse) ;
il ne suffit même pas d'avoir une religion ou une socialisation laïque : à la différence des animaux - constitués comme nous d'un corps et d'une âme -, nous avons été conçus pour être une entité spiriutelle. Ce n'est pas seulement "avoir de l'esprit" ou "avoir des lettres"... C'est disposer en nous d'une part divine qui permet notamment
- une conscience morale - plus juste quant au bien et au mal que ce que les cultures mouvantes peuvent en dire ;
- et une relation effective possible avec Dieu, d'esprit à Esprit.

Voilà où la révolution est encore nécessaire : que nous soyons plus largement restaurés, un à un, dans notre unité tripartite et dans notre relation possible le plus pertinent. Quel président à venir pourra apercevoir à ce point ce qu'est le mal, la crise, le défaut de toute cuirasse, pour amener ce sujet sur la table, sur les écrans, dans un grand débat, afin que l'ignorance - sur le fond, sur Dieu et sur nous-même - recule ?

Dans tous les cas, le synopsis écrit dans l'Apocalypse et autres livres prophétiques bibliques se déroule et se déroulera, même si des péripéties secondes peuvent sembler contredire la réalité de Dieu et son sens de l'Histoire.
Faute d'un sursaut chez beaucoup, nous aurons tous davantage (personnellement) à être confrontés et à souffrir de la progression maligne annoncée et qui se trouve déjà là.
Et ce n'est pas notre intelligence humaine, terrestre, charnelle et toujours potentiellement démoniaque qui pourra ni suffire ni faire face.

Enfin, ne pas voter n'existe pas ! Celle ou celui qui ne vote pas, vote pour celui ou celle qui sera élu-e !
Et c'est pareil pour qui vote blanc !... C'est indiscutable.* Après, le droit de se plaindre que l'un ou l'autre pourra manifester sera aussi un jugement tourné contre lui-même ! Faut pas s'étonner qu'on soit si mal, si on n'aperçoit pas les effets sur nous de nos propres erreurs...

Alors votez ! Même si ce n'est pas pour vous un devoir forcément respectable, c'est du moins de l'intelligence !

Que l'éternel Dieu vous bénisse et inspire, car ce vote est très important, entre descendre encore plus bas, tout casser, ou redresser doucement mais fermement la barre.

____________
* J'ai voté blanc quelquefois, pour ne me "salir" avec personne qui me convienne, laissant ma confiance à la majorité qui allait s'exprimer. Comme la dernière fois ! Mais ainsi on peut obtenir le pire, par le vote de moins d'un 1/3 des inscrits...

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18 avril 2017 2 18 /04 /avril /2017 14:41

Le problème avec la démocratie c'est que ce n'est jamais au final qu'environ un tiers de la population en âge de voter qui donnent mandat à un représentant* : les autres à priori ne vont guère (ou pas du tout) être satisfaits, donc vont se montrer irritables, vindicatifs ou aigris, à juste titre ou sans raison autre que la contestation. (Ce qui n'est pas fait pour arrêter l'hémorragie financière de la Sécu).

En ce sens, la démocratie est un outil intéressant, mais fait partie intégrante de la domination pandémique des injustices sur le bien objectif, selon qu'il est écrit que "le monde est paralysé sous la puissance du Mauvais".

Parce que la démocratie ne sera toujours qu'une possibilité pour qu'une partie seulement du peuple soit satisfaite, elle ne peut être un modèle d'union au sein d'une société, le moyen d'une unité véritable de fond auquel on veut donner le nom de Vivre-ensemble.

La pensée politique et la religion - ou son absence - forme le lit (de la rivière) de nos appréciations, et de là, le cours de nos réactions et actions et paroles. Dès lors, comment bâtir si la ou les minorités diverses qui composent la population ne veulent pas se soumettre à la minorité qui obtient quand même la majorité des voix ?!...
C'est à quoi nous commençons sérieusement à être confrontés ! De la grogne ancestrale on arrive - ou on revient - de plus en plus souvent à la casse, et à des morts prématurées (issues de diverses sources non-naturelles).

ET MOI ET MOI ET MOI ! (sur l'air que vous voudrez, forcément !)
C'est qu'aujourd'hui s'ajoute à cette faiblesse inhérente à la démocratie, un fait tout nouveau qui se généralise : une prise de conscience de soi amplifiée, induite par le franchissement d'un seuil de développement psychique, qui élève un nombre croissant à pouvoir porter des jugements sur tout - sans même connaître les sujets, sans recul qui permet une réflexion. On se sent capable de parole dans tous les débats. On a été érigés en juge - qu'il ne faut pas juger, mais qui lui à le droit de tout juger, critiquer, contester, revendiquer.
Notre ego devient un centre, qui s'élargit, de domination peu conscientisée, ou d'une volonté plus explicite de dire au moins aussi librement que tous les autres.
(En ce sens, la télé et ses émissions centrées sur les histoires de quidams lambda, contribue pour beaucoup dans cette émancipation parolière).

On arrive ainsi au bout d'un processus de culturation. Avec ce paradoxe qu'elle ne permet pas à ceux qui en ont bénéficié de se soumettre comme il faudrait à ce qui a été enseigné.
La force des modèles (sans vernis dans le quotidien de leur soi, bruts de soi, troubles, incohérents, inconsistants...) qui sont vus et entendus - parents, pairs (voisinage proche et internet), enseignants, animateurs de médias ou autres figures d'autorité -, l'emporte sur une culture théorisée. C'est pourquoi on est arrivés à ce que l'école est devenue un espace de la contestation, de l'insoumission et jusque voire du crime. Du Mai 68 pas mort, juste dilué, sous-jacent !

De la sorte, par mimétisme inconscient et une rapide auto-suffisance de soi,  on arrive à une émancipation qui n'est pas une vraie liberté (de vue, de jugement, de recul, de réflexion, d'insertion dans le réel immédiat (matériel) comme dans le Réel global (qui inclut une relation (plus qu'une religion) établie avec le Divin véritable).
Seulement à une liberté ouverte sur le mépris ou la moquerie (si Dieu apprécie l'humour, il n'aime pas du tout les moqueurs), sur une différenciation malsaine (mal tranchée) qui donne accès au racisme, au sexisme, à la haine, potentiellement à toutes formes de soupapes d'insécurité.

Ce seuil critique de conscience perso - ou seuil de conscience critique - se caractérise encore par une susceptibilité maligne, qui fait qu'on devient inenseignable là où on aurait encore à apprendre, et dans le même temps crédule (jusqu'à l'embrasement, surtout collectif) à toutes sortes d'aberration. Et on voit dans ce sens
- comment certains animateurs ou journalistes de médias peuvent faire pencher dans leur sens plus d'un auditeur ou téléspectateur,
- et encore comment des petits malins (n'oublions pas que Malin est un des noms qualificatifs du démon Satan) usent de la toile et des réseaux sociaux pour mélanger le faux à ce qui est vrai, jusqu'à fausser le jeu déjà bien fragile de la démocratie.

***

Attention encore ! Ce n'est pas que le jugement personnel du citoyen lambda (qui fait partie du milieu de la Courbe de Gauss) n'est pas fait de bonnes choses, de certaines pertinences ! C'est qu'il est fait de bon et de mauvais
1/ parce qu'il n'y a pas de savoir sur l'origine des pensées qui nous viennent (prochains articles à venir), et pas de maîtrise sur leur gestion (à croire, à dire, à écrire, ou à refouler, à laisser mourir) . Et on a tellement de pensées qui arrivent à notre conscience, que sans une disposition générale - que seul donne l'Esprit Divin comme lumière pour notre âme - que de notre bouche coule généralement indifféremment de l'eau amère ou salée comme parfois de l'eau douce ou doucereuse. 

2/ ce qui fait, comme lorsqu'on mange un plat fait de bon et de mauvais, que le mauvais l'emporte et rend le tout non profitable.


On arrive, comme cela s'aperçoit autour de nous, dans un isolement personnel (d'abord intérieur, psychique, en soi) qui
- soit nous déprime, nous rend inconsistant (socialement voire jusqu'à la mort),
- soit qui se brise par des jeux de séduction et/ou de violence. Les autres alors soit nous dérangent et on les évite ou supprime de notre vue (palette qui va du divorce au terrorisme), soit doivent/peuvent exister via des relations essentiellement utilitaires : Sans Dieu dans notre coeur l'ordre humain duel est intranscendant.
(les portables et autres headphones ne sont à la fois que symptômes et béquilles de cette individuation).

Il en résulte des sociétés bloquées, frappées d'inertie, que le souffle évangélique dynamisa (IIe et VI-VIIe siècle) et redynamisa (XV-XVIe...) en Occident au fil de deux millénaires, mais que l'apostasie chrétienne soumit à nouveau aux forces obscures qui dominent l'humain.

Et cela n'est pas seulement un état qui se constate, mais c'est une dynamique qui va vers une fin - étant dans un processus de désorganisation des liens, de décomposition mortifère... ce que seul Dieu peut inverser** - ce qu'il fait depuis longtemps et maintenant (ici comme partout ailleurs), mais uniquement personne par personne - d'où l'intérêt pour chacun, chacune, de comprendre -... et ce qu'il va venir faire planétairement bientôt (d'une toute autre manière)... 

Fin donc dynamique d'un type de civilisation.
Par vices internes. Par incompréhension du Réel et ignorance de ce qu'est l'humain. D'où une éducation qui parait de plus en plus bâtarde (régression post-christianisation).
D'où une socialisation des personnes - dans le sens de bonne, de bien vivre-ensemble - qui devient faible à impossible - à faire et/ou à conserver (avec la multiplication d'Alzheimer ou des AVC pour nous le dire) -.

On est dans la nostalgie de ce qu'on n'a jamais eu ou vu suffisamment, dans une chimère de paradis, une arlésienne, un leurre. La perte de la simplicité et de la lucidité.
Un tel leurre de progrès que culturés ainsi (càd pas cultivés), on ne voit globalement même pas qu'on se leurre - beaucoup d'intellos compris -, aveugle aux dangers ou bien myope sur où devrait se produire le changement dont on ressent quasiment tous le besoin - ce qui est un point positif.

Après ou avec les ados en crise, c'est aussi ce que vient nous crier l'Islam avec des kalachnikovs ou des ceintures d'explosifs. Et cela via même des français instruits et "éduqués" (puisqu'il est dit s'agir d'Éducation, Nationale), par l'école de la République.
Celle-ci étant développée par des têtes sans yeux, au regard idéologique théorique non avéré, qu'ils veulent cependant incorporer dans les cerveaux, contre tout bon sens, en toute inintelligence des tenants et aboutissants du Réel.

Comment penser - comment croire ! - qu'en élargissant les frontières, jusqu'à les faire disparaître, on va changer le paradigme qui serait mauvais du fait essentiel qu'il est fondé sur les nations comme unité territoriale et ethnique des peuples ?
Si je ne sais pas coacher 10 personnes, comment je saurai - sans changer moi-même - en coacher 500 ? Simplement parce que j'en aurais 500 sous la main pour mieux les quoi ?... non pas mieux les unir, mais mieux les contrôler, dans le sens de les soumettre !... Et on a vu que tout impérialisme est tentative de gouvernement malin des hommes.
Qu'il y ait des gains dans des rapprochements ethniques est indéniable. Mais les risques sont immenses, de pertes de cohérence, de "bêtaïser" (faire des êtres humains du bétail en élevage intensif, pensée unique, standardisation maximale...), d'avoir recours à des méthodes totalitaires.
C'est le but !***

Est-ce que l'internationalisation soviétique n'est pas la preuve flagrante que ce n'est pas le concept de nation, de souveraineté nationale, qui est le problème ?
Le problème c'est le coeur de l'homme. Et la solution, c'est de commencer chacun par voir les ombres du nôtre, , l'asocial qui nous habite !
Et s'agissant de pays ou union de pays, la solution est la même, en commençant par le diagnostic ou l'autopsie psychique de leurs dirigeants. S'entend sans séparer vie privée -vie publique, sans avoir un code de moralité pour la vie publique et un différent pour la moralité dans la vie privée.

Comment croire qu'en réécrivant l'Histoire pour la faire coller à la crise du moment, on va arriver à sa solution ? Etc...

Ce qui est requis au minimum, c'est la base des 10 commandements. Mais il faut comprendre comme doivent se gérer les religions (côté leaders), et comment se gérer soi-même face à leurs lois (côté fidèles, et leaders).
Au mieux encore Jésus pose comme base et objectif à la fois, le double et triple commandement d'aimer. Voilà la vraie base du vivre-ensemble ! Qui met en évidence surtout, d'abord, l'abime - dans les coeurs - qui nous sépare de la vie que Dieu voudrait nous offrir et voir vivre, ce qui est possible (seulement) à partir de sa propre vie (l'Esprit-Saint) reçue/mise en nous.
Jésus nous a racheté de nos torpeurs, impuissances face au mal et autres insuffisances de gestion personnelles et collectives : Pourquoi ne le savons-nous ? Pourquoi ne l'enseignons-nous pas ? Pourquoi se crisper sur l'amalgame mortifère servie comme une mauvaise soupe Dieu/religion ? Le rapport de l'Un et des autres n'est pas du tout ce qu'on nous écrit sociétalement à l'intérieur...


En-deçà de ce savoir, on est mort spirituellement, on souffre ou on agonise psychiquement, et un jour ou l'autre - effet somatisation - ce sont les corps qui sont atteints, infectés, blessés ou tués... Les attentats comme les suicides et autres morts violentes nous parlent de ça ! ...quand les quantités et coûts globaux des somnifères, anti-dépresseurs, neuroleptiques... et autres circulations de drogues et alcool ne sont même plus vus comme funestes et comme des alarmes.

Pourtant est-on bête ? Ne sommes-nous pas de plus en plus développés en connaissances et en capacités intellectuelles ? Jamais les gens n'ont été aussi nombreux à penser individuellement ! - Je ne dis pas personnellement, mais individuellement (nuance importante, car c'est un lieu essentiel où le bât blesse).

Il suffit encore de parcourir les programmes des candidats à la Présidence de la République - c'est pas rien quand même ! - pour voir combien, même intelligents, ils manquent de lucidité, à la fois de proximité et de recul, de profondeur et de hauteur.
Et avec l'énarque Hollande, on a pu observer peut-être plus qu"avec tout autre, ce même phénomène, que l'intelligence cultivée mais livrée à elle-même - façon de parler, car sans être livrée à l'Esprit de Dieu, elle est vite susceptible d'être livrée au Malin -, par les résultats, toute la réalité de cette problématique (trop largement inaperçue).
On arrive majoritairement au bout d'un développement intellectuel bancal, que d'aucuns ont appelé "la bêtise de l'intelligence". Rien de nouveau sous le soleil ! On va approcher ce paradoxe de l'intelligence humaine.

à suivre...
_________
* En 2012 le Président est élu par 18 000 000 de votants sur 46 000 000 d'inscrits.
** lire le récit de la résurrection de Lazare comme image que seul Dieu peut peut recomposer de manière à redonner la vie.
***Pour ceux qui sont vers le sommet de la hiérarchie typiquement humaine)  


 

 

 

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13 avril 2017 4 13 /04 /avril /2017 17:34

Jérusalem - Canaan, Terre Promise à Abraham devenue Province romaine de Palestine - 3e décennie de notre ère. Jésus, né 33 ans avant, sait que l'heure est venue où, selon le plan (B) de Dieu envers l'humanité, il doit mourir. Il se laisse arrêter dans le jardin de Gethsémané.
Dernier épisode d'une longue et dramatique histoire d'amour contrarié entre Dieu et nous les hommes.

1er acte : Chute humaine et couverture divine (se lit dans Genèse ch. 3).
Jésus est arrêté dans un jardin, comme ce fut dans un jardin qu'à l'origine du Plan Divin A, le 1er couple du genre humain fut arrêté et sombra tout à coup sous la domination d'un ange (invisible) déchu (Satan, le diable, séducteur-trompeur et usurpateur) qui s'était servi d'un serpent pour ce faire.
Le plan A capote, non parce qu'il n'est pas bon - la terre est un paradis -, mais parce que nous avons été créés LIBRE (d'aller hors du Bien, de suivre les voies des démons plutôt que celles du Divin).

On note dès ce commencement du mal sur la terre, que pour couvrir la nudité de l'homme et de la femme (dévoilée par le retrait de leur débordante lumière intérieure), l'Éternel-Dieu tue un, ou plus certainement deux animaux.
C'est le premier sacrifice, le premier sang innocent versé à cause du péché - de la désobéissance à l'instruction divine, faute ici originelle - qui nous fait, à tous à la suite : manquer le but (c'est étymologiquement le sens du mot qu'on traduit par péché).
C'est manquer le but du Plan A, qui était que nous neutralisions Satan et ses démons et devenions tous sur une terre paradisiaque éternels par et dans l'amour de Dieu, sans devoir expérimenter la mort.
N'y étant pas parvenus, Adam et Eve sont atteints, abimés, traumatisés, dénaturés, par une force maléfique qu'ils transmettent génétiquement et psycho-génétiquement à toutes leurs descendances.
C'est pour cela aussi qu'on doit mourir, pour ne pas être éternellement soumis à la loi du mal en nous et parmi nous. Tout est donc cohérent et a du sens (le vieillissement qui nous diminue progressivement compris).

C'est ainsi qu'on voit bientôt Caïn premier fils de la terre, tuer Abel son frère, sous la pression de Satan à qui il ne peut résister parce qu'il n'a pas obéi à Dieu qui a donné le sacrifice sanglant (on va voir pourquoi plus loin), et non une offrande des fruits de la terre, comme seul moyen de paix avec Dieu et de couverture spirituelle. (Genèse 4).*

On note encore ici qu'il s'agit - et s'agira toujours - du sacrifice d'une victime innocente, càd du versement d'un sang pur, ce que Dieu peut seul agréer pour que sa justice envers nous soit faite : c'est-à-dire pour qu'on soit rendu innocent nous-même après avoir fauté...
Et donc pourquoi faut-il du sang versé jusqu'à la mort de la victime ?
- Parce que dans notre ordre des choses, le sang est l'indispensable de la vie, le support de notre vie psychique (âme). Lévitique ch. 17.
- Parce que la loi juste veut qu'on paie "oeil pour oeil, dent pour dent, vie pour vie". Ainsi est-il du
   a) réparation (quand c'est possible) vis-à-vis de la ou des personnes envers qui on s'est rendu coupable, et
   b) réparation envers Dieu - qui, dans tous les cas, est offensé par tout ce qu'on fait de mal dans/contre sa création. Envers lui, le prix de l'offense, c'est toujours une vie innocente pour prix d'une faute. Que la faute soit un mensonge, un vol ou un meurtre, le principe de justice est une mort pour chaque faute, quelle qu'elle soit. (C'est juste la richesse ou pas du coupable qui fait une différence, le sacrifice nécessaire pour couvrir une faute pouvant être soit une tourterelle, soit un animal de petit ou de gros bétail).
la raison de ce principe de justice (on le redira) est simple : la moindre de nos fautes nous fait mourir dans notre relation à Dieu (mort spirituelle). Comme on coupe une fleur...

 

2e acte : L'épreuve d'Abraham, et sa signification
Lecture de ce récit : Genèse, chap. 22.
Dieu nous montre là, en l'enseignant à Abraham qui le pratique, que le sacrifice animal n'est pas un moyen qui durera toujours pour résoudre notre problème de pécheur/pécheresse face à Dieu. Le moyen définitif, qui réponde le mieux à la pleine justice, est celui de la mort d'un homme pour les fautes d'un ou plusieurs autres.
Mais de quel homme ?
D'Isaac comme sacrifice d'un fils 'innocent) pour les fautes de la maison d'Abraham ?
De quel homme si pur que Dieu pourra accepter sa mort comme prix des fautes à pardonner ?

Le Dieu de toujours annonce là
- qu'il se pourvoira lui-même, c'est-à-dire qu'il se donnera lui-même, un jour, à la place des animaux, l'homme nécessaire pour la couverture des fautes commises... Et encore
- que c'est par la foi en lui - puisqu'il paiera tout lui-même à notre place - qu'on sera pardonné et rendu juste devant Dieu... C'est-à-dire qu'on échappera à la mort spirituelle qui forme séparation immédiate et éternelle d'avec Dieu. (événement illustratif prophétique des "serpents brûlants").


3e acte : Dieu fait sortir d'Égypte une branche de la descendance d'Abraham - Lecture Exode ch. 12
Les hébreux ou israélites ayant communautairement abandonné le Dieu de leurs ancêtres Abraham et Sarah, étaient devenus esclaves en Égypte. Entendant leurs cris et voyant leur misère, ce Dieu de leur père (le Dieu créateur venu au secours d'Adam et d'Eve), leur envoie Moïse (et Aaron) comme instrument(s) de sa libération.

C'est lors de cette délivrance des hébreux que Dieu donne à Moïse le rite de la Pâque, qui va se confirmer être le moyen par lequel Dieu couvre (pardonne) les fautes des pécheurs (des manqueurs de cible) que nous sommes, et par là peut nous délivrer.
Il faut donc aux israélites revenir à la pratique du sacrifice initial : Cela prend un nom : Pessah en hébreu.

A partir de là, la bête "sans défaut et sans taches" immolée pour protéger l'homme devient
- le mémorial de la nuit terrible où "l'Ange exterminateur" chargé de tuer tous les enfants premiers-nés d'Égypte fut obligé de passer au-dessus* des maisons des hébreux/israëlites dès lors que le linteau et les montants de leur porte avaient été aspergés de sang. (Exode ch. 11 et 12) ;
- le rappel de la nécessité de sacrifier pour être en ordre, Dieu étant apaisé envers nous et nos fautes, et nous étant apaisé en nous-même et avec les autres ;
- et, avec tout le reste de ce que Moïse va recevoir à écrire, c'est la codification de ce rite expiatoire et propitiatoire** - qui est à vivre comme une loi, une obligation de faire, mais surtout avec à propos et avec le coeur... (Lecture Exode ch. 12).


4e acte : Jésus, "l'Agneau qui ôte le péché du monde."
Voilà un Dieu qui a de la suite dans les idées : Environ 4 000 ans après Adam et Éve, et 1 500 ans après Moïse, parait Jésus que le prophète Jean dit le-baptiste présente de cette curieuse manière : "Voici l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde".
Dieu accomplit sa promesse et prophétie dite il y a bien longtemps à Abraham : Il se fait homme lui-même, par un spermatozoïde parfait qui le figure parfaitement, qu'il dépose surnaturellement dans l'utérus d'une jeune fille vierge, Myriam (Marie chez nous) : Voilà la Parole de Dieu faite Jésus dans un corps humain. Il aura donc les deux natures et identités, de fils d'homme et de fils de Dieu.

- Comme fils de Dieu il va montrer qui il est par la puissance de l'Esprit qui lui est accordé sans mesure. Il va guérir, délivrer de démons et manifester d'autres signes miraculeux de sa divinité (résurrections de morts).
Surtout, il dit qu'il a lui, le pouvoir de pardonner les péchés... parce que bientôt il va faire "le nécessaire" pour que son pardon ne soit pas une injustice, mais le bénéfice d'une justice absolue.
Quand c'est l'heure de la Pâque, il va se réduire à n'être plus qu'homme seulement. Pourquoi ?

- Comme fils d'homme, comme l'un d'entre nous, de chair et de sang,
     - il va devoir obéir en tout aux commandements et prescriptions de la religion mosaïque (judaïsme) de ses pères charnels, afin de délivrer de tous les jougs de religiosité quiconque croira qu'il a ainsi pris sur lui le poids terrible que posent, par des rites et des devoirs, toutes les religions sur leurs fidèles. (Matthieu 5).
     - et il va "faire le nécessaire" pour cela, en devenant "l'Agneau de Dieu" - la réalité incarnée que figurait le bélier qu'Abraham voit à Morija comme substitut de son fils Isaac.

L'arrestation de Jésus se passe dans le jardin des souffrances (Gethsémané veut dire "pressoir à huile", là où la tentation de renoncer est la plus forte. Il lui faut cadenasser là le puissant effet sur tout le genre humain (passé, présent et à venir) de la chute d'Adam survenue dans le 1er jardin (d'Eden, "des délices").
Jésus subit un jugement sans justice, qui le condamne à mourir comme un des meurtriers de la terre. Il est cloué nu sur la pièce de bois qu'il a porté jusqu'au lieu de son supplice, ce qui forme une croix sur laquelle sont aussi cloués ses pieds. Golgotha (le "mont du crâne", lieu de cette exécution) se substitue à Morija (où Abraham aurait eu à sacrifier son fils). (Il n'est pas impossible que ce soit le même endroit...).

En ce jour funeste, la torture dure des heures, sous le soleil, les injures et les moqueries de tous, sous la sueur et le sang qui ruissellent, piquent les yeux, font cuire les plaies, attirent les mouches, collent les poussières comme la langue au palais. "Il n'a plus l'apparence d'un homme". Il est la poubelle du monde, le réceptacle de tous les maux et de toutes les souffrances...
"Il est fait malédiction... pour nous !"
- Par Satan et ses démons qui tournent autour de lui et excitent la foule dans une hystérie collective comme il en parait par moment.
- Par Dieu qui se sert des méchants - il suffit qu'il se retire de nous pour qu'on puisse tous en devenir - pour exécuter de cette manière inouïe son Plan B.

Sur la croix Jésus les bras grand ouverts est fait rempart entre la justice de Dieu avec ses justes jugements et nous pécheurs, pécheresses, qui méritons de les subir à un moment ou à un autre. Il meurt physiquement parce que nous sommes mortels. Et son Père céleste par l'Esprit-Saint va le ressusciter, pour que nous aussi qui croirons le surnaturel absolu de cet événement soyons de la même manière ressuscités. (Il y aura deux résurrections distinctes, d'abord celle des justifiés par leur foi, et bien plus tard celle des méchants, des incrédules, en vue de leur jugement sur la base de leurs oeuvres)... 

Pâque ! Jésus est en croix. Il a 7 paroles, dont celle-ci, qui dépasse tout : "Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu'ils font."
Qui pourrait pardonner en pareille circonstance !?...
Le 3e Ciel montre sa colère : celui de la terre devient noir, des éclairs claquent, une pluie soudaine, la stupeur, l'angoisse, la sidération parmi les "acteurs/spectateurs" : des morts vont bientôt sortir des tombeaux...

C'est la nouvelle Pâque, juive et universelle ! Celle commencée au temps de Moïse selon une alliance avec Dieu scellée sur le Mont-Sinaï. Ici Jésus est fait
- Péché, à notre place - serpent brûlant -, "le salaire du péché, c'est la la mort."... 
- Il est fait Pâque, par son sang qui va pouvoir interdire à l'Ange exterminateur (Satan et ses démons) de toucher à ceux qui se réfugient sous ce sacrifice.

C'est pourquoi depuis, les sacrifices animaux ont cessé en Israël et parmi les israélites/juifs. En sont-ils interrogés ? Ce devrait être la moindre des choses ! Comme aussi pourquoi ne comprennent-ils pas leurs Écritures, comme par exemple à la lecture du chapitre 53 du livre de leur prophète Isaïe ! Satan aveugle toujours l'homme qui ne se repent pas, qui trône dans son système controuvé et dans son orgueil.

5e acte : Quand la mort de Jésus et son sang nous purifie de tous péchés
Comment tout se mit en mouvement pour le bénéfice de toute la terre : Actes des apôtres ch. 2

A mon tour un jour j'ai été atteint par ce message et touché par ce Dieu qui est le Créateur, le Dieu d'Abraham, de Moïse... de Pascal... Sa grâce ouvrit le ciel à sa présence.
Il m'a fallu du temps avant que je n'arrive au pied de cette croix sanglante, infâme, ignominieuse, barbare et salvatrice à la fois, moi pécheur ayant besoin d'être soustrait à l'emprise du diable (à cause de pratiques malveillantes et occultes, d'écritures mal inspirées...).
Et le Sauveur potentiel de tout le monde est devenu celui qui ME sauve, celui qui est meurt pour MOI ! À cause de moi (de mes fautes), autant que pour moi (pour que je puisse en être pardonné et poursuivre la route dans une relation avec lui qui sera sans fin). Dieu est un Dieu personnel : à découvrir personnellement ; et avec qui relationner sans intermédiaire - que Jésus qui est à la fois Dieu et médiateur du fait de son incarnation.

Connaissez-vous déjà Dieu ainsi ?
Créateur et Sauveur, chez qui depuis 2 000 ans son amour a surpassé sa justice, sa grâce ayant englouti notre condamnation.

" Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises.20 Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées ;21 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites en Dieu.Évangile selon l'apôtre et prophète Jean.

Soyez béni-e, et heureusement transformé-e par cette lecture.

Guide de prière pour trouver en Jésus le sauveur de VOTRE âme (pour qui cela n'est pas encore accompli).

Film Jésus

__________
* le nom de Pâque en hébreu est Pessah (prononcer Pessar), qui signifie "passer au-dessus". On le retrouve dans le nom chrétien de la Pâque en anglais : Passover (le nom anglais profane étant Easter).

**On peut ici comprendre que le sacrifice sanglant initié par Dieu et qui est mis en oeuvre de façon satisfaisante par Abel, n'a cependant pas été suffisamment compris par lui - comme on le voit encore parmi nous dans les religions dites chrétiennes -. Ce sacrifice en effet est
- substitutif - la bête est sacrifiée à notre place pour que nous n'ayons pas nous-même à mourir pour prix de notre faute,
- propitiatoire - càd qu'il est vu par Dieu comme une offrande qui nous le ren propice, favorable,
- et expiatoire - ce qui veut dire que l'animal expie, càd paye pour nos fautes, à notre place. (Sur cette base de compréhension, on peut saisir ce qu'est véritablement la mort de Jésus sur une croix...

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11 avril 2017 2 11 /04 /avril /2017 13:39

Je vous assure qu'on peut SAVOIR ce qu'il en est réellement, objectivement, au sujet de Dieu - exactement comme on peut apprendre et savoir au sujet des autres réalités. C'est-à-dire certainement pas totalement, mais déjà suffisamment pour trouver avec Lui comme avec d'autres choses, un bon positionnement et une relation qui témoigne de sa réalité.
Pour trouver il faut chercher et/ou recevoir... de Lui.

Dans tous les cas, c'est aimer ce qui est vrai, juste, exact, c'est aimer la vérité des réalités en soi qui importe, si on désire bien avancer, c'est-à-dire trouver plus de sens - jusqu'au sens primordial de notre présence ici -, et par là pour mieux vivre.

Je vous invite là à regarder et écouter une vidéo, en cherchant à savoir si ce qui est dit là est vrai : Chute d'assiettes.

Si vous le sentez possible, ici comment vous intégrer perso dans le Plan B Divin.

Soyez béni-e.

 

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4 avril 2017 2 04 /04 /avril /2017 10:06


Suite et fin (provisoire) de l'article commencé ici.

Mai 68 fut une révolution relativement pacifique, malgré des morts et des blessés. Une révolution ouvrant sur des libérations, mais pas seulement : aussi sur de nouvelles opportunités pour des esprits manipulateurs et oppresseurs, une nouvelle vague de démons jouant de la séduction. Avec eux, tant qu'on marche dans ce jeu (de la douceur, flatterie, tentation, pommade, sens du poil, cadeaux, promesses...), ils s'y tiennent ; mais quand on s'aperçoit qu'on est "le dindon de la farce" (d'une mauvaise farce), ils peuvent donner un tout autre visage à celui ou celle par qui ils agissaient. C'est ainsi que de très "bonnes" relations (amoureuses, commerciales...) peuvent soudainement - ou après quelques menaces - tourner au vin-aigre, vol, violence, voire meurtre... 

 

Qui, aujourd'hui en France et en Europe, peut dire qu'il ne s'aperçoit pas de la dégradation des moeurs - ce qu'on nous a fait croire être de la libération ?
Cela se mesure à la dégradation des relations et à la montée des contraintes, des pressions, du mal-vivre ensemble.
Parce que nous saturons notre environnement, non seulement de pesticides, de gaz, particules à effet de serre et autres polluants et déchets intraitables - tout cela étant la face visible de l'iceberg Corruption-Dégradation -, mais encore des réalités toxiques plus subtiles dont on a déjà bien parlé - partie cachée, dans leurs dimensions psychique et spirituelle de l'iceberg, avec toutes nos fautes morales non vues, confessées à Dieu et pardonnées).

A partir de là, c'est à nous à reconnaître, à accepter de voir de ces causalités fondamentales qui sont, mais qu'on veut ou peut, comme font les autruches, ne pas croire.

Si elle a quelque chose de pacifique - à cause des esprits qui s'y déploient, la révolution de Mai 68 est en fait venue ajouter à ce qu'on peut appeler "la déchristianisation", c'est-à-dire à l'incompréhension spirituelle du Monde Réel, avec des reconstructions matérielles seulement fondées sur le sable, la libération des moeurs - notamment sexuelles - étant la proue qui, avec l'argent, donne beaucoup d'accès à ceux qui veulent la fin d'un monde libre pour l'humanité entière*.

La prétendue libération de la femme (par slogans, "Ton corps est à toi !"...) est typique de la manipulation démoniaque. Mais il faut toujours du temps avant de voir en quoi une direction n'était pas la bonne. Et avec la tension qui naît du simple fait d'être homme et femme, on arrive à la bascule où ce qu'il a pu être tirés de plaisirs de la pseudo-libération soixante-huitarde tourne au vinaigre, à des difficultés au vivre-ensemble le plus simple et naturel, entre adultes mâle et femelle.

La perte de foi chrétienne induit une perte de réalisme et de tenue face au réel immédiat, ce qui devient manifeste à un nombre croissant d'entre nous. Le progrès le plus significatif à faire maintenant, consiste à rapprocher les crises dans lesquelles nous nous enfonçons de leurs causes véritables, notamment en liant la morale à tous les domaines de l'existence (d'intime à public), en décloisonnant.

 

Révolutions et Révolution

Si on compare toutes les révolutions importantes, malgré les dérapages de religieux étrangers à la connaissance et/ou à la foi biblique, la plus grande des révolutions de tous les temps, aux effets les meilleurs pour transformer les personnes et former les nations (ethnos en grec, d'où patrie) est celle qui commença par Jésus, qui ne tua personne pour imposer sa vue du Réel et pour contraindre quiconque dans le chemin spirituel qu'il ouvrit pour que l'homme ait accès à Dieu son Père et alter-ego. (quand il y eut contraintes, marchandages et autres vilénies, on n'était plus dans ce que Jésus était venu ouvrir).

Il ne versa que son propre sang pour agir sur les circonstances et redonner une vraie liberté personnelle de choix. Après avoir démontré sa bonté, sa droiture, ses pouvoirs et la terrible condition humaine (qui lui valu arrestation et jugement inique et la crucifixion qu'on sait - le film). Il laissa sa vie être prise par les religieux méchants et hypocrites qui le livrèrent aux romains et encore à Satan et à ses démons.

Quand on lit le Psaume 22 qui est une vue prophétique de sa crucifixion (écrite environ 1 000 ans avant que cela ne se produise), il faut comprendre que les animaux dont il est question sont des images des vrais démons qui étaient là à ce moment-là :
1 Au chef des chantres. Sur "Biche de l'aurore". Psaume de David. 2 Mon Dieu ! mon Dieu ! pourquoi m'as-tu abandonné, Et t'éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes ? 3 Mon Dieu ! je crie le jour, et tu ne réponds pas; La nuit, et je n'ai point de repos.4 Pourtant tu es le Saint, tu sièges au milieu des louanges d'Israël. 5 En toi se confiaient nos pères; Ils se confiaient, et tu les délivrais. 6 Ils criaient à toi, et ils étaient sauvés; Ils se confiaient en toi, et ils n'étaient point confus.7 Et moi, je suis un ver et non un homme, L'opprobre des hommes et le méprisé du peuple. 8 Tous ceux qui me voient se moquent de moi, Ils ouvrent la bouche, secouent la tête : 9 Recommande-toi à l'Eternel ! L'Eternel le sauvera, Il le délivrera, puisqu'il l'aime !-10 Oui, tu m'as fait sortir du sein maternel, Tu m'as mis en sûreté sur les mamelles de ma mère; 11 Dès le sein maternel j'ai été sous ta garde, Dès le ventre de ma mère tu as été mon Dieu. 12 Ne t'éloigne pas de moi quand la détresse est proche, Quand personne ne vient à mon secours !13 De nombreux taureaux sont autour de moi, Des taureaux de Basan m'environnent. 14 Ils ouvrent contre moi leur gueule, Semblables au lion qui déchire et rugit. 15 Je suis comme de l'eau qui s'écoule, Et tous mes os se séparent; Mon coeur est comme de la cire, Il se fond dans mes entrailles. 16 Ma force se dessèche comme l'argile, Et ma langue s'attache à mon palais; Tu me réduis à la poussière de la mort.17 Car des chiens m'environnent, Une bande de scélérats rôdent autour de moi, Ils ont percé mes mains et mes pieds. 18 Je pourrais compter tous mes os. Eux, ils observent, ils me regardent; 19 Ils se partagent mes vêtements, Ils tirent au sort ma tunique. 20 Et toi, Eternel, ne t'éloigne pas! Toi qui es ma force, viens en hâte à mon secours ! 21 Protège mon âme contre le glaive, Ma vie contre le pouvoir des chiens ! 22 Sauve-moi de la gueule du lion, Délivre-moi des cornes du buffle ! 23 Je publierai ton nom parmi mes frères, Je te célébrerai au milieu de l'assemblée
24 Vous qui craignez l'Eternel, louez-le! Vous tous, postérité de Jacob, glorifiez-le! Tremblez devant lui, vous tous, postérité d'Israël ! 25 Car il n'a ni mépris ni dédain pour les peines du misérable, Et il ne lui cache point sa face; Mais il l'écoute quand il crie à lui.
26 Tu seras dans la grande assemblée l'objet de mes louanges; J'accomplirai mes voeux en présence de ceux qui te craignent. 27 Les malheureux mangeront et se rassasieront, Ceux qui cherchent l'Eternel le célébreront. Que votre coeur vive à toujours !28 Toutes les extrémités de la terre penseront à l'Eternel et se tourneront vers lui; Toutes les familles des nations se prosterneront devant ta face. 29 Car à l'Eternel appartient le règne : Il domine sur les nations.30 Tous les puissants de la terre mangeront et se prosterneront aussi; Devant lui s'inclineront tous ceux qui descendent dans la poussière, Ceux qui ne peuvent conserver leur vie. 31 La postérité le servira; On parlera du Seigneur à la génération future. 32 Quand elle viendra, elle annoncera sa justice, Elle annoncera son oeuvre au peuple nouveau-né."

Tel fut le moyen par lequel Jésus attira sur lui les pires démons, dont Satan (dans ce psaume le lion), pour en dégager quiconque de la génération alors présente et des générations suivantes par toute la terre croirait en cette Bonne Nouvelle...

Dans le même ordre d'idée, savez-vous comment tout à coup le Mur de Berlin est tombé, sans fusillade, sans morts, sans blessés ? Qui a su voir ou appris dans cet événement le surnaturel de Dieu agissant parmi nous ?
En tant que chrétien, on sait (voire on a participé) que fut lancé à partir de 1982, un mouvement mondial de 7 années de prière pour l'URSS. Au bénéfice des populations tenues sous le joug d'une dictature athéiste. Contre donc la puissance démoniaque initiatrice (ici) du communisme (forme collectiviste de l'idéologie marxiste socialiste).

Au terme des 7 années, sans heurts le Mur de la honte tombe, l'autorité spirituelle (démon puissant maître, au-dessus des hommes, de ce type de gouvernement) a été vaincue par l'intercession, à cause du poids qu'elle a fait subir aux populations d'iniquités de violences, souffrances, vols, tortures, meurtres, corruptions... (cette puissance démoniaque avait été nettement ébranlée à partir de 1985, ce qui permit l'arrivée au pouvoir de Mickaël Gorbatchev. Défait de la pression de l'autorité spirituelle déjà rendue impuissante - qu'enfant déjà il n'avait pas apprécié sur sa famille -, il devint une sorte de libérateur pacifique - la perestroïka...). 

***

Les démons dénoncent devant Dieu nos mauvaises pensées et comportements, pour obtenir, comme des huissiers, le droit d'exécuter les jugements que nous méritons.
Ils plaident aussi leur libération (droit d'entrer dans la sphère terrestre), dès lors que par leurs tentations ils réussissent à obtenir ou ré-obtenir sur nos existences et comportements des droits.
Et quand ils exercent sur nous des jugements, ils sont souvent si iniques, que Dieu les châtie à leur tour...
C'est tout un processus de justice, simple et juste, qui opère dans une triangulation Homme-Dieu-Démons.


C'est souvent ainsi que suite à une grande épreuve et à une délivrance qui change littéralement la personne, on devient soudain meilleur, tout à coup la conscience ouverte à la réalité des autres, avec le désir d'aider les plus faibles faibles, les pauvres, ou les handicapés..., comme bénévole en association, ou plus anonymement dans son coin, ou encore par une conversion professionnelle...
La vie a pris une liberté nouvelle, un goût nouveau, inconnus jusque-là, de repos, de simplicité, de retour à la nature ou d'ouverture à l'autre ou à la connaissance...
C'est là qu'il est important de laisser ce retournement (cette métanoïa) entrer dans la foi, inclure la conscience qu'il y a un Dieu... et de se mettre à le chercher en vérité... sans laisser nos reliquats d'incrédulité, de préjugés ou passé anti-religieux détourner de ce qui est vrai dans l'ordre spirituel. Il ne s'agit pas de trouver une religion, mais une personne : Dieu lui-même.

***

Parmi les moyen-occidentaux qui ont cru décrocher la lune en suivant à partir du XVIIIe siècle les écrits de "lumières" (quelques philosophes aux comportements peu conformes à leurs écrits ou idéaux...), une des ruses de Satan qui marchent bien, c'est aussi de faire croire qu'il n'existe pas.
On a tellement cru qu'on était devenus intelligents - au point d'avoir quasiment cru (possible de) prouver par la science que Dieu n'existe pas -, qu'il fut et qu'il est encore facile aux démons de continuer leurs vilaines besognes sans être inquiétés.
Du moment qu'il ne s'agit, croit-on, que d'effets de nos peurs archétypales, superstitieuses, surannées, infondées, dont la science et les connaissances et l'évolution vont bientôt, nous dit-on, nous débarrasser : qu'en attendant deux corps d'armée de psy gèrent.

Juste que les démons existent toujours et reviennent de plus en plus, que les psychiatres (sur une ligne de front) sont plus d'une fois dépassés, subjugués, envahis eux-mêmes par ce(ux) qui habite(nt) leurs patients, (j'en ai connu un qui entendait des voix), ne sachant comment se protéger. Les réalités comme "les faits ne cessent pas d'exister parce qu'on les ignore." A. Huxley.

 

Voilà un diagnostic qu'il faut VOULOIR voir, admettre, écouter. Car on regarde souvent le Réel seulement la main devant les yeux les doigts plus ou moins écartés. La peur préside, car là où il y a du péché (abandon des préceptes bibliques et non-réception ou non-applications justes de la grâce divine), il y a toujours de la peur, des angoisses, des luttes, des ruptures douloureuses de continuum... et de la culpabilité.
La culpabilité qui est un ressenti bénéfique, qu'on rejette sur les autres ; ou dont les autres veulent nous distraire, bien intentionnés mais bien à tort. Alors que la seule solution pour un bien durable, c'est venir à Dieu dans l'humilité, pour être secouru, pardonné, revêtu (de sa grâce, de ses sentiments, d'une force nouvelle,...). Lire ou relire Genèse 3 sur (l'image et la profondeur de) l'habit dont Dieu veut nous revêtir.

Et donc ce qu'il est important de saisir, c'est encore qu'on est toujours, ici, maintenant, chacun, dans cette histoire duelle, cruelle, mal-tournée - par le jeu possiblement dangereux de notre réelle liberté -, mais dont Dieu veut et peut extirper quiconque cherche son secours. > Vous, avec lui, sortez-en !

Lumière et grâce pour vous. Je vous aime.

_____________
* l'autre versant de cette poursuite d'objectif étant formé et dynamisé par les violences (jusqu'à mortelles).
On est de plus en plus nombreux à bien aperçoit ce qui se passe, où l'on parle sans trop savoir de quoi il s'agit de complot, de manipulations, d'arnaques, de lobbies puissants ou encore de cabinets noirs (politique, religieux, sectaire). Mais sans la lumière véritable qui vient de l'Esprit de Christ, on reste incrédule, proie ou prédateur, dans tous les cas impuissants en regard de notre simple quotidien, et bien plus de l'éternité.

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21 mars 2017 2 21 /03 /mars /2017 07:54

"En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire."
G. Orwell (1984)

 

Attentats : Sidération, Hommages et État d'urgence !
D'où viennent les pires violences et la multiplication des tentatives
et actions assassines ?
Fermés aux sphères célestes, on ne peut comprendre
et on reste d'autant plus vulnérables...

 

Je commence cette série en FRANCE - FEVRIER-MARS 2017 : Affaire Troadec - Lycée Suger de St-Denis (93) - Lycée A. de Tocqueville de Grasse (06) - Garges-lès-Gonesse et Orly - Émissions TV - Beaumont-les-Valence

Les faits induits par - ou témoins d' - une activité démoniaque ne manquent pas. Ils remplissent les magazines comme les journaux et autres émissions télévisés ou radio. Sans être exhaustif, je vais ici rapporter ceux que je verrai, afin que lecteurs et lectrices intéressées arrivent (si ce n'est encore fait) à percevoir combien les démons, autant que Dieu, sont des réalités manifestes, agissantes et imposantes,  de notre monde.
Il nous est avantageux (personnellement et collectivement) de les reconnaître en tant que principaux auteurs ou acteurs d'événements qui nous scandalisent, qu'on ne comprend pas (sidérants), qui font peur, font monter la haine ou du racisme, même qui nous séduisent, jusqu'à pouvoir impulser notre sexualité ... dans tous les cas qui devraient mieux nous interroger sur ce qui fait les grands tenants et aboutissants de notre monde.

La Bible en parle en plusieurs endroits d'une manière claire, notamment pour qu'on y croit afin de les "voir" - par leurs effets -, pour moins se comporter entre nous en ennemis, pour mieux gérer donc votre propre existence comme nos relations inter-personnelles :
"Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable.12 Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes.13 C'est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté."

Avant de développer davantage sur le thème, je vais noter au fur et à mesure à partir de cette mi-mars des faits qui laissent voir l'empreinte d'entités maléfiques sur des personnes en des événements connaissables par le plus grand nombre parmi nous :

Février-mars 2017 :
- Affaire Troadec,
où comment un couple qui est ou se croit victime d'injustice au sujet d'héritage bascule dans un quadruple assassinat barbare. Injustice réelle ou fort sentiment d'injustice sont propices à nous laisser prendre par des pensées - d'abord personnelles - de plus en plus sombres, obscures, haineuses, vengeresses.
Elles attirent un ou plusieurs démons qui viennent se greffer sur l'âme et amplifient la pression. Jusqu'à ce que l'homme passe d'un scénario psychique accepté aux actes qui le matérialisent. Il massacre là, découpe et enterre 4 personnes de sa proche famille...

Les détails sont nombreux dans notre actualité qui plaident pour la réalité d'une influence démoniaque qui devient jour après jour de plus en plus déterminante du comportement d'un nombre croissant de personnes.

- Série d'émissions "SOS ma famille a besoin d'aide" sur NRJ 12 et NRJ Play. Les émissions que j'ai vues ont régulièrement présenté des scènes conflictuelles entre personnes d'une même famille qui sont typiques du processus : mauvaises pensées et paroles initiales irrespectueuses > qui ouvrent accès à une ou plusieurs présences démoniaques qui prennent le relai > provoquant bientôt des mots plus hauts et plus verts que les autres, des gestes et un comportement physique qui ne trouvent plus en soi la moindre force d'opposition. On est commandé par le ou les démons qui sont devenus les maîtres oppresseurs des lieux et des relations...

- Lycée Suger à Saint-Denis (93) ; Heurts dans et près du lycée ; fumigènes qui font évacuer l'établissement, policiers caillassés, poubelles incendiées et mobilier urbain détruit : 55 jeunes placés en garde à vue... Violences apprises en classes ?... Où ?... qui se débrident selon quel mécanisme ?...
Et qui croit déjà pour lui-même - pour chercher les solutions là où elles se trouvent - que de ce que nous sommes de vulnérable au mal, on peut basculer selon des circonstances, sous une menace et des directives d'ordre satanique ?
L'ignorance produit des proies.
La Bible donne des lumières : "
Que personne, lorsqu'il est tenté, ne dise : C'est Dieu qui me tente. Car Dieu ne peut être tenté par le mal, et il ne tente lui-même personne.14 Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise.15 Puis la convoitise, lorsqu'elle a conçu, enfante le péché ; et le péché, étant consommé, produit la mort."

- Deux personnes égorgées le 17 mars dans une cour à Paris (XIe) par un des leurs radicalisé. Son état le fait transférer en psychiâtrie.

- Fusillade dans le lycée Alexis de Tocqueville à Grasse (06) par un élève (de 16 ans) entré dans l'établissement "lourdement armé" : fusil à pompe, armes de poing et un engin explosif artisanal. (Par miracle !?) seulement quelques blessés...

- 19 mars, moins de 3 jours après, un homme sort de ses gonds autour de Paris. Il ouvre le feu sur des policiers à Garges-lès-Gonesse, vole une voiture et se rend à Orly où il est abattu avant un nouveau carnage projeté.
Des pensées religieuses malveillantes ont ici servi ce dessein criminel.

- 22 mars : Nouveau drame en France : 5 morts par tuerie, masqué par l'attentat londonien du même jour (4 morts et + de 20 blessés). C'est dans la Drôme, à Beaumont-les-Valence, qu'une famille est anéantie par le père : il tue sa compagne (avec qui il était question de séparation) et les 2 enfants qu'elle avait d'une autre union, et encore son propre fils de 5 ans. Il se suicide ensuite sous les roues d'un train.
Il faudra bien finir par voir que la libération sexuelle et des mentalités au profit d'unions qui ne sont que "des bouts de chemin", qui favorisent l'infidélité et empêchent la construction de foyers stabilisés par l'homogénéité, est un leurre de progrès social et personnel et un fléau... montant.

Pour avoir était moi-même, avant ma découverte de Dieu, à vivre un foyer dissolu, je me suis retrouvé un jour de peur avec un pneu de mon véhicule coupé au couteau accompagné de méchantes menaces nées de l'injustice et de la jalousie.
Pire, quand parut une autre fois un grand couteau de cuisine au milieu d un tourbillon de folie - je ne connaissais rien alors des démons, mais leurs présences qui agitaient tout dans la maison étaient si tangibles que la peur et le sentiment d'être tout à coup complétement dépassé submergeaient tout. Sous le prétexte - juste - que je préférais mon fils au sien, elle s'était enfermée avec le sien et menace de suicide dans une chambre.
Je loue Dieu de ce qu'il m'a vu dans mon inintelligence du monde et trouvé alors que j'étais sur ce chemin de mort.

- Pédophilie : Émission CASH sur l'A2 du 21 mars.
Cette émission cible la pédophilie dans l'Église Catholique, une des religions émergées de l'Évangile... qui les condamne toutes en tant que moyen d'accès au Dieu véritable !
On connaît le thème. Mais ce qu'on ne voit pas - même et surtout dans cette Église, c'est le rapport entre la sexualité ainsi dévoyée et la réalité des démons. Car c'est là encore une causalité à mettre en lumière, que des dérives sexuelles et l'activité démoniaque. Chaque fois qu'il y a compulsion, addiction, dépendance au point où c'est 'plus-fort-que-moi", il y a au minimum une faiblesse charnelle, qui va, par quelque répétition de pratique, s'amplifier par une "greffe" démoniaque sur (oppression)- voire dans (possession) - la personne...

Si cette émission vise à traquer le curé (= faire perdre la foi à ceux qui voudraient croire ou qui ont une foi mal établie), plus qu'à traiter le sujet de la pédophilie, c'est une mauvaise disposition d'âme ou de coeur qui ne peut pas permettre une édification quant à la réalité du problème. C'est comme si l'on ne parlait que de la pédophilie chez les enseignants. Une branche étant visée - plus qu'une autre, on perd l'impartialité qui seule peut aider dans la compréhension.
C'est que la pédophilie se déploie à couvert (réellement et possiblement) un peu partout où des adultes sont en relation avec des enfants. Il y a (eu) de telles forfaitures parmi les enseignants, avec des maîtres-nageurs, dans divers clubs sportifs, dans des centres de vacances... C'est un aspect d'une dérive bien plus large qui comprend le viol et le harcèlement sexuel sur adultes, comme il s'en trouve presque partout (parmi les élus, sur les lieux de travail, sur la toile, dans les rues...).

Là aussi la croissance du phénomène doit interpeller. Et pour en traiter il ne faut pas en négliger quelque aspect - qui bien sûr sont les plus dérangeants : c'est de notre nature adamique déchue de préférer jeter des pierres à des coupables découverts qu'à avouer ses propres pratiques peu avouables envers quoi on est plus indulgent.   

 

Les démons se donnent des spécialités, autant sur fond athée que sur fond religieux. Cela va du côté blanc d'esprits séducteurs qui veulent transmettre cette capacité inique à quiconque veut profiter des autres, au côté noir des esprits pleins de haine, de jalousie, vengeurs, qui repèrent des humains laissant de tels sentiments grandir dans leur coeur.
Jésus a dit que nous avons à (désirer, vouloir et pouvoir) aimer Dieu ET s'aimer en famille les uns les autres, ET aimer son prochain quelconque ET s'aimer soi-même, si on aspire à s'approcher de Dieu et voulons être protégé de manoeuvres démoniaques à notre encontre (activées par nous ou contre nous).
"Si quelqu'un croit être religieux, sans tenir sa langue en bride, mais en trompant son coeur, la religion de cet homme est vaine.27 La religion pure et sans tache, devant Dieu notre Père, consiste à visiter les orphelins et les veuves dans leurs afflictions, et à se préserver des souillures du monde."

Avec les esprits démoniaques, tout est question de mises en oeuvre de rapports de forces : forces physiques violentes, destructrices, irrépressibles - forces psychiques de séduction, intimidation, manipulation - force psychique ou spirituelle de (fausse) compassion, de persuasion, de pouvoir occulte, mysticisme...

Il y a trois méthodes pour intervenir contre les démons en vue d'en libérer les personnes dont ils ont pu prendre le contrôle (par tentation et oppression ou possession) :

a) Comme dans cette émission de NRJ 12, une tierce personne va paraître comme une nouvelle autorité possible. Si on se soumet à ses instructions, si elle manifeste du calme, de la patience, de la compassion ou une attention psychologie acceptées, l'autorité démoniaque cède du terrain et va bientôt ne plus avoir d'effets sur la ou les personnes dont elle avait pris le contrôle.

C'est le même processus quand quelqu'un en difficulté se place ou est placé sous une autorité médicale, notamment psy.
Globalement, la mise au large dépend des moyens mis en oeuvre pour opérer le changement d'autorité. Dès lors une libération démoniaque tient dans la mesure d'une dépendance autre : médicaments ou autres thérapies, personne d'un médian (psy, médium, séducteur, charlatan, gourou, objet bénéfique d'un amour...), suivi, pratiques répétitives, hospitalisation...
La question se pose ainsi : Entre deux maux (deux dépendances) quel est le moindre, le moins dangereux pour soi et pour autrui ?...

Quelqu'un vient-il à changer de lui-même un traitement prescrit, un rituel ou une expression convenue, et l'activité maléfique mise en échec mais non éloignée pour autant peut soudainement reprendre le dessus*...
Si de telles forces sont ainsi réduites ou disparaissent, des effets démoniaques, à quoi peuvent s'ajouter des effets secondaires d'un traitement ou d'une prise en charge, peuvent grandement amoindrir la personne dans telle ou telle de ses capacités...

à suivre...
_______
* C'est que les démons s'acquièrent des droits sur nous. Ce peut être à partir d'un tempérament naturel (héritage physique ou psychique) qui va leur permettre de nous tenter dans un domaine où l'on est ainsi charnellement vulnérable (versant violence ou fourberie par ex.). Succomber à une tentation, c'est commencer à ouvrir un droit à un démon, et on ne sait d'autant moins jusqu'où cela peut aller, qu'on est ignorant de ces réalités.
Ce peut être à partir de comportements acquis, dont on est plus personnellement responsable, qu'on ne soit laissé entraîner par d'autres ou pas. Les choses ne manquent pas qui peuvent ouvrir nos existences et soumettre notre liberté à des dominations spirituelles mauvaises (alcool, drogue, vol, biens mal acquis, viol, rapt, orgie, occultisme, spiritisme, idolâtrie, pédophilie, manipulations, idéologies, religions, inspirations...).
Si ce qui est à l'origine d'un droit acquis par un démon - une faute (péché) réitérée à l'encombre de la conscience, une bévue, une ignorance... n'est pas vu comme mal et confessé en tant que tel, même mis momentanément en échec, il peut revenir, ou d'autres...

 

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17 mars 2017 5 17 /03 /mars /2017 09:04

La vie reliée à Jésus est soumise à des pas de foi
plus qu'à des règles religieuses répétitives, lancinantes ou éprouvantes... qu'on transgresse sans jamais trouver la solution pour devenir libre et meilleur.
Or Jésus a dit :
"Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libre."

suite de : Étude sur les 5 types de mort

5 - LA "PETITE MORT"

En continuant à être attentif au Réel*, j'ai remarqué que finalement, on peut aussi parler de mort à propos du sommeil, et donc de diverses formes du sommeil, de l'endormissement.

On peut dire une "petite mort", car le sommeil possède les caractéristiques de ce qu'on appelle la mort d'une manière générale. Savoir :

- un état de séparation d'avec un univers connu ;

- un état temporel, selon que la mort n'est jamais une entrée dans une fin dernière absolue, dans un anéantissement complet de la réalité qui meure ;

- une fin, comme d'un cycle, qui permet une renaissance, comme montre la nature à la fin de l'hiver ou la transformation d'un arbre en meuble - ce qui n'est pas à assimiler à ce qui est appelé réincarnation**.

Le sommeil nous fait perdre le contact avec la réalité que captent nos sens quand on est dans un état de veille ou d'éveil. Mais il n'est pas un noir absolu, un non-être total, exempt de toute vie.
Il peut être notamment peuplé de rêves, de cauchemars, de songes ou encore de visions (quand Dieu nous parle de l'une ou l'autre de ces deux dernières manières, sous forme symbolique ou très directement)***.

Le sommeil s'apparente donc à ce qu'on appelle mort, nous informant par là que la mort physique n'est pas une fin de tout ce qu'on est, mais plutôt une séparation d'avec ce monde, qui résulte d'une sortie de l'âme, qui dès lors va poursuivre en conscience, son existence dans les dimensions plus typiquement de notre nature profonde, psychique et spirituelle.U

UN TYPE DE MORT SINGULIER PLURIEL

Dans cette catégorie de la "petite mort", on peut encore distinguer entre

- le sommeil ordinaire ;

- le coma (accidentel) ;

- l'hypnose (dangereuse...) ;

- l'anesthésie médicale (dont le coma provoqué).

LA VIE QUI DEMEURE DANS LA MORT

En ce sens aujourd'hui plus que jadis, nous pouvons être quasiment certain de ce que la vie après la mort continue, par la conjonction de trois et quatre témoignages fort complémentaires :

1 - les Expériences de Mort Imminentes (EMI ou NDE en anglais) dont on trouve de plus en plus de témoignages sur le net.
La suite de cet article (demain) sera un développement de cette réalité et de questions qu'elle pose ...

2 - Ce qu'en dit la Bible et notamment Jésus qui a apporté beaucoup de précisions sur le sujet de la vie post mortem. Avec
     a) la parabole d'un pauvre Lazare et d'un mauvais riche > évangile de Luc ch. 16, v. 19 montre et explique schématiquement les deux parts opposés qui font suite à la mort physique ;

     b) Du prophète Daniel : "En ce temps-là, ceux de ton peuple qui seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés. 2 Plusieurs de ceux qui dorment dans la poussière de la terre se réveilleront, les uns pour la vie éternelle, et les autres pour l'opprobre, pour la honte éternelle. 3 Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice, à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité." chap. 11.

     c) Ce qui est aussi écrit en maints endroits dans le Nouveau Testament, que Jésus déclare encore dde cette manière quand il quitte ses premiers disciples : "Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. 16 Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné." Marc chap. 16, v. 15...

3 - Ce que disent les chrétiens des siècles passés jusqu'à aujourd'hui, nés de Dieu (c'est-à-dire ainsi reçu en eux-mêmes l'Esprit divin) et attentifs à marcher dans la vérité... > ici des centaines de témoignages actuels

4 - Enfin pour savoir soi-même ce qu'il en est de la vie après la mort, le mieux placé pour répondre avec exactitude et à propos est l'Esprit de Dieu lui-même.
Et pour avoir des réponses de sa part, nous devons avoir la foi que si nous lui demandon - ou à Jésus (ressuscité) cela reviient au même - une chose quelconque, il peut nous faire entendre ou reconnaître ce qui vient de lui (pourvu qu'on ne joue pas de manière hypocrite avec Dieu, attaché seulement à en connaître plus sur les vérités essentielles.

LE SOMMEIL, RÉALITÉ ET EXPRESSION FIGURANT LA MORT

Va-t-on se retrouver vivant après s'être couché pour dormir ?
Dans tous les cas Oui ! Mais sans qu'on soit aboslument certain que ce sera de ce côté-ci du Réel, ou de l'autre; dans un monde qui existe mais que nous ne pénétrons pas étant dans ce corps.
Incerttitude qui, dans tous les cas, doit nous inciter à chercher et à connaître une vraie paix avec Dieu, l'intérieur purifié de nos péchés par la mort expiatoire de Jésus à notre plac e, et par la foi qui consiste à croire non seulement en Dieu (qu'il y a un Dieu), mais surtout à croire Dieu, ce qu'il a dit et a encore à nous dire.

"Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. 20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! 21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu." 2e lettre aux corinthiens ch. 5, vers. 19...

Êtes-vous déjà de ceux qui ont cru en cela afin que Jésus devienne votre justice - car la nôtre est si imparfaite que le mal peut vite nous atteindre (nous poussant à le faire comme nous revenant aussi en boomerang) - ?... C'est qu'il n'y a pas que des covids qu'on ait besoin d'être protégé...

à suivre, demain...

Soyez béni-e d'ici-là.

_____________
* Quand j'écris Réel avec un R majuscule, je parle de la somme entière de tout ce qui est, c'est-à-dire de tout ce qui est créé et de ce qui est l'Incréé (savoir le Divin, l'Être absolu, infini et éternel).

** Une précision importante à apporter là de suite, la réincarnation comme en parle telle religion ou tradition n'étant pas compatible avec les apports bibliques (qu je considère (comme beaucoup) comme les vérités révélées relatives à la connaissance de Dieu et de l'être humain comme les plus abouties et sûres.
Ainsi il est écrit : "Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois (en grec original hapax), après quoi vient le jugement,"...

*** En lien ici > sur les rêves, songes, cauchemars, visions ici un article qui désamalgame.

 

Y A-T-IL UN 6e TYPE DDE MORT ?!

La vie reliée à Jésus est soumise à des pas de foi
plus qu'à des règles religieuses répétitives, lancinantes ou éprouvantes... qu'on transgresse sans jamais trouver la solution pour devenir libre et meilleur.
Or Jésus a dit :
"Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libre."


Oui, un 6e type de mort parce qu'on parle bien dans la Bible de mort à ce sujet.
Un type cependant bien différent des autres car il n'opère pas dans le cadre et le champ de notre existence naturelle, largement déspiritualisée, que domine "la chair" (les forces animant notre corps et notre âme livrés à eux-mêmes), mais dans le cadre de la naissance spirituelle opérée, qui fait de quiconque la vie, non plus un enfant aveugle des ténèbres, mais un fils ou une fille de Dieu, selon ce qui est écrit par exemple ici :
"La véritable lumière - incarnée en Jésus - est venue chez les siens, et les siens ne l'ont point reçue. 12 Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, 13 lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu." Evangile selon Jean ch. 1, vers. 12... (ce dont parle aussi Jésus au chef religieux Nicodème au chapitre 3 du même livre).

Ce 6e type de mort donc

6 - LA MORT À SOI-MÊME

La vie nouvelle avec Christ, qui fait du croyant non un religieux seulement, mais plutôt une création humaine nouvelle (comme est le papillon par rapport à la chenille - lire la 2e lettre aux Corinthiens ch. 5, vers. 17...), appelle à une séparation d'avec le monde tel qu'il fonctionne sans Dieu à sa juste place, à une distanciation de ce qui est dominant aux plans matériel et charnel.

Il s'agit de capituler dans notre manière de vivre éprouvante et peut reluisante et satisfaisante, faite de coups durs, de blessures et autres poids qui font de la vie un fardeau, une galère au lieu d'une marche paisible et décontractée.
C'est bien de cela que Jésus parlait déjà il y a bientôt 2 000 ans - et nous le dit encore aujourd'hui par son Esprit : " Venez près de moi (par la foi), vous tous qui portez des charges très lourdes et qui êtes fatigués, et moi je vous donnerai le repos.29 Je ne cherche pas à vous dominer. Prenez donc, vous aussi, la charge que je vous propose, et devenez mes disciples. Ainsi, vous trouverez le repos pour vous-mêmes."

Ainsi sommes-nous invités à tous passer de "la pesanteur à la grâce" comme l'écrivit l'enseignante et philosophe Simone Weil qui expérimenta "le mouvement cata-logique, qui est descente de Dieu, descente de la grâce, mouvement contraire à la pesanteur en ce qu'il est amour et non pas chute " (tiré de Wikipédia). Ce qui est fondamentalement conversion et découverte de Christ comme l'indispensable médiateur entre notre état générique de chute et le relèvement dans la liberté qu'il offre.

Ainsi peut-on sans Dieu entendre et opter pour un nécessaire lâcher prise comme on nous le propose quand trop c'est trop. Mais ce ne sera que produire un effet éphémère car il ne suffit pas de mettre un poids en lumière pour qu'on en soit délivré véritablement.
Jésus offre une solution véritable en ce que notre fardeau - pour parler net : les conséquences de nos fautes morales ou occultes et celles encore qu'on a subies - a été pris sur lui pour que nous n'ayons plus à le porter : c'est le sens absolu de son arrestation et de ses souffrances jusqu'à sa mort. Car il faut que tout transfert se fasse en justice, et non simplement par une compassion ou empathie qui opère hors de la base qui le rend possible et efficace.

Et encore, une fois devenu chrétien-ne (sauvé-e par Jésus par la foi et en voie de suivre ses instructions, valeurs, vérités...), on a encore à capituler, à une existence certes pardonnée mais encore conduite par notre propre âme, pour que ce soit toujours plus par son Esprit, ou en conformité à son Esprit - qui sait, car il est divin -, que nous trouvions les meilleures réponses à ce que l'existence nous réserve jour après jour.
Une marche moins pesante que la précédente, mais qui demande une attention nouvelle, dans une dimension de conscience nouvelle.

La vie chrétienne donc, qui consiste à faire de nous un disciple de Jésus-Christ, consiste non pas en une religion à suivre, mais à suivre la personne même de Jésus, tel qu'il a vécu sur terre, comme nous le présente le Nouveau Testament, dans une relation vivante qui s'est ouverte, qui se construit et s'établit par lui, avec Dieu, par son Esprit-Saint.

Elle va consister en une transformation intérieure où notre âme, qui faisait la dynamique de notre moi pensant et agissant, accepte - ayant vu nos échecs, nos limites, nos insuffisances, nos erreurs, nos manquements... - de se soumettre à la vie de Dieu en nous. De la sorte on entre dans une dualité intérieure où il faut qu'on diminue dans nos prétentions à faire en laissant la vie de Dieu se développer en nous jusqu'à nous conduire dans une intelligence du rapport de l'âme et de l'esprit.

C'est une "mort" (séparation) volontaire, différente des quatre précédentes, montrée aux chrétiens comme moyen de vivre au mieux la vie de Dieu en renonçant à "la vaine manière de vivre qu'on a héritée de nos pères."

C'est renoncer à vivre dans les désirs égoïstes de notre chair, sous la domination asservissante de "la loi du péché et de la mort."

Pour qui veut approfondir lire ou écouter le chap. 6 de la lettre aux Romains, un peu difficile à saisir mais correspondant à ce point. Elle se situe comme un choix entre vivre encore sous la domination primordiale du mal (qui vit (agit ou sommeille) en nous et sur les sociétés) ou vivre sous une conduite consentie à l'Esprit de Dieu.

Qui dit renoncement bien compris, dit non pas privation(s) mais détachement(s), distanciation de ce qui n'est pas le meilleur pour nous (et les autres). Non pas mortification mais libération (de certains attraits aux effets secondaires déplorables, de certains traits de notre caractère, de la force des tentations malignes (démoniaques) malsaines...).
Il ne s'agit pas d'une entrée en religion mais d'une progression dans une spiritualité qui ne vise que notre bien, immédiat et/ou éternel (les deux vues étant inséparables).

Renoncer à certaines choses mauvaises pour nous, s'en détacher, ne réduit pas à une vie moins pleine, mais crée de la place pour une existence qui va mieux se remplir : il faut vider un verre de ses saletés avant de le remplir de bonnes choses. Il faut s'attacher à Dieu plus qu'on était attaché à des objets ou personnes élevés en idoles (càd mises dans notre cœur à la place du vrai Dieu), afin de s'établir dans un regard nouveau, élargi, plus profond et plus haut, sur nous-même, sur les sociétés humaines et autres environnements, et sur Dieu bien sûr.

"Attache-toi donc à Dieu, et tu auras la paix ; Tu jouiras ainsi du bonheur.22 Reçois de sa bouche l'instruction, Et mets dans ton coeur ses paroles.23 Tu seras rétabli, si tu reviens au Tout Puissant, Si tu éloignes l'iniquité de ta tente.24 Jette l'or dans la poussière, L'or d'Ophir parmi les cailloux des torrents ;25 Et le Tout Puissant sera ton or, Ton argent, ta richesse.26 Alors tu feras du Tout Puissant tes délices, Tu élèveras vers Dieu ta face ;27 Tu le prieras, et il t'exaucera, Et tu accompliras tes voeux.28 A tes résolutions répondra le succès ; Sur tes sentiers brillera la lumière.29 Vienne l'humiliation, tu prieras pour ton relèvement : Dieu secourt celui dont le regard est abattu.30 Il délivrera même le coupable, Qui devra son salut à la pureté de tes mains."

"C'est pourquoi, laissant les rudiments de la parole de Christ, tendons à ce qui est parfait, sans poser de nouveau le fondement du renoncement aux oeuvres mortes,2 de la foi en Dieu, de la doctrine des baptêmes, de l'imposition des mains, de la résurrection des morts, et du jugement éternel.

On peut lire aussi, chrétiens ou pas (pour le devenir), cette parole de Jésus en Marc 8.35-38, qui nous exhorte à ne pas continuer une existence sans lui, c'est-à-dire soumise aux péchés (tout ce qui nous fait manquer les meilleurs buts atteignables), aux dérèglements (qui nous enlisent dans les problèmes), à l'égoïsme (qui ne rend pas heureux), aux insuffisances (qui irritent, nous font nous démener... ou déprimer), à la vacuité (qu'on est prêt à remplir par n'importe quoi), aux béquilles (appuis qui un jour ou l'autre cassent), aux vanités éphémères (que sert-il même de devenir milliardaire si dans la mort on se perd corps... et âme ?).

C'est un renoncement à vivre comme on a vécu sans Dieu jusque là. C'est une distance à mettre entre nous et "l'esprit de ce monde" (corrompu, largement injuste, irrespectueux de la personne, presque tout acquis aux puissances financières et occultes).
Dans la lettre aux Galates au chap. 5, on trouve un aperçu de ce qui caractérise couramment notre activité psychique ordinaire (appelée "les œuvres de la chair"), suivi d'un aperçu de ce qui caractérise les œuvres de l'Esprit appelées "fruit de l'Esprit". Lisez (ou écoutez en cliquant à gauche) Galates 5. 19 à 22.

C'est au final  - et avant qu'on n'est plus le temps de pouvoir le décider en conscience à cause de la mort physique -, la meilleure option que nous puissions choisir. Que ce soit par peur de la mort, ou de l'enfer (séjour des morts ou étang de feu), ou par une réflexion intelligente, par capitulation devant l'énormité  d'adversités ou l'absurde qui sont devant nous... Les raisons ne manquent pas pour que nous cherchions de tout notre cœur ce qui est vrai dans ces choses, ce qui pourrait - et peut - donner à cette existence non seulement du sens, mais son sens - originel, présent et à venir.

Il s'agit en fait d'une mort à nous-même en tant que moi-je supérieur à tout ce et ceux que je critique. Forcément, si JE critique, c'est que je suis meilleur que ce que je critique !
Il s'agit par cette mort de laisser l'amour s'approcher de nous et nous investir.
Un vrai retournement, où le Nous (avec Dieu et avec les autres) importe plus que l'ego qui nous devient jusqu'à importun. Où ce que je peux donner - ou même laisser prendre - est plus important que ce que je peux recevoir.
Et alors aussi s'accomplit cette parole de Jésus : "Donnez et vous recevrez."
C'est tellement mieux dans ce sens de la dynamique - qui est celle du Royaume de Dieu ! Où l'on donne où l'on voit un besoin, sans s'occuper de qui et de quand (de Dieu ou d'une autre personne, rapidement ou dans la prochaine création) on recevra.

Dans le lâcher-prise, on ne lâche jamais prise pour n'être plus attaché à rien ! Il ne doit jamais s'agir de faire un vide total ! Cela n'existe pas (quand on fait le vide, en certaine méditation par exemple, en réalité on s'ouvre au monde spirituel sans le connaître, et on va la plupart du temps se trouver en contact avec des démons).
On lâche donc toujours pour une nouvelle chose qu'on place à la plus haute place, valeur ou priorité ou conception ou personne. Et quelque chose ou personne que ce soit qui n'est pas Dieu, c'est prendre appui sur une chose créée, limitée, sans sécurité, insuffisante, qui vite ne va pas faire la bonne affaire qu'on escomptait.
Si on veut vivre un lâcher-prise qui est une bonne mort à soi, c'est pour que la première place soit prise par Qui est le plus haut, le plus sûr, le plus... tout ce dont on va encore avoir besoin.

Les parisiens ou franciliens qui lâchent tout pour l'Ardèche ou la Corrèze, vont s'attacher à quelques nouvelles actions et centres d'intérêt. C'est courageux et intègre !
Pour le chrétien de même, il y a un vrai dépaysement : il est introduit dans le Royaume de Dieu, dans sa haute sphère psychique et spirituelle (avant que ce soit aussi un jour de manière physique. Et les valeurs, les priorités, les objectifs dans ce Royaume, se recoupent en général très mal avec ceux de ce monde organisé sur sa matérialité.
Cela ne veut pas dire qu'on va se couper du monde, s'enfermer dans une bulle hors sol, mais qu'on va relativiser et par là mieux voir en quoi on peut continuer à vivre dans notre environnement physique pour y répandre un peu de la lumière qui nous vient d'En-haut*, par notre comportement et par nos paroles.

Autant dire tout de suite que la vie dans la foi au Christ produit plus qu'une simple amélioration de l'existence :  une transformation, d'abord instantanée (par "la nouvelle naissance", qui nous rend juste ou "justification"), puis progressive (par une croissance spirituelle, aussi appelée "sanctification"), selon que c'est l'Esprit de Dieu qu'on  a reçu comme ajout à notre âme, qui donne, en rapport de la priorité qu'on lui accorde, de son intelligence, des enseignements sur les vérités essentielles utiles, des directions, des paroles édifiantes... et fait qu'on est en tant que personne éternisé par sa grâce.

"Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait.3 Par la grâce qui m'a été donnée, je dis à chacun de vous de n'avoir pas de lui-même une trop haute opinion, mais de revêtir des sentiments modestes, selon la mesure de foi que Dieu a départie à chacun."

"Celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie à cause de moi et de la bonne nouvelle la sauvera.36 Et que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s'il perd son âme ?37 Que donnerait un homme en échange de son âme ?38 Car quiconque aura honte de moi et de mes paroles au milieu de cette génération adultère et pécheresse, le Fils de l'homme aura aussi honte de lui, quand il viendra dans la gloire de son Père, avec les saints anges."

Ainsi nous pourrons par exemple éviter l'écueil de l'ego dont Jésus nous avertit dans cette parabole....

Bon choix, s'il n'est encore fait... Autrement bonne progression dans la foi qui sauve...

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Chant Vivre libre - Christine et Tonino

Pour guider une prière de déculpabilisation et paix avec Dieu cliquez ici

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* L'histoire de l'Europe par exemple montre très clairement comment le réveil spirituel du XVIe siècle a changé la face de l'occident et du monde. A partir de deux hommes essentiellement : Jean Gutenberg qui invente l'imprimerie "pour donner des ailes à la vérité" qui est contenue dans la Bible (1er de tous les livres imprimés, en1454), et le moine Martin Luther qui chercha cette vérité salvatrice, apaisante, salutaire, pour sa propre vie et publia le fruit de sa découverte (les 95 thèses, en 1517).
Puis par les croyants (dits huguenots, avant qu'on ne les appelle protestants ou réformés) qui ouvrirent des voies de découvertes, notamment scientifiques et industrielles...

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  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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