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30 octobre 2021 6 30 /10 /octobre /2021 16:04

Nouvelle

UNE SCÈNE D'UN SCÉNARIO À VALENCE
suite d'hier

Avec les mots des larmes étaient montées aux yeux de Maya. Sans couler mais bien réelles, rendant les yeux brillants, comme parfois dans un état fiévreux.
Une oasis de silence s’installe entre les deux femmes au cœur du brouhaha des allées et venues. Le bar (à la diagonale de leurs places) est pris d'assaut, mais la somme des voix reste feutrée, comme d'un autre et lointain univers.

 

Ingrid :

  •         J’ai remarqué qu’on a quand même chacune, chacun, une part de responsabilité quand ça pourrait le faire mais ça ne dure pas.

  •         Dans mon cas, je ne vois pas en quoi j’ai mal fait ! Alcools forts, deux fois giflée... Comme une conne, séduite, séduite, je l'aimais, et j'étais impuissante, mais pas coupable…
    Mais parlons plutôt de toi ; Tu es toujours avec, comment tu l’appelais ?

  •         Tu sais, cette dernière année j'ai compris qu’en fait on manque beaucoup de conscience, au sens moral. Rien que sur le mensonge et sa portée possible.
    Et puis je pense que nos casseroles doivent aussi nous servir à grandir en compréhension. En recherche de sens, de causalité. Parce que notre destin n'est pas tout écrit et joué d'avance. Ce n’est pas un scénario mot à mot. Je crois même que des scènes entières n’avaient pas été prévues.

  •         Place à l’impro.

  •         Au point de changer le fil de l’histoire.

  •         Cela a fait partie de plus d’un tournage. Et donc ?

  •         Moins agir par réflexe conditionné ; en sachant prendre du recul, avec une conscience plus éveillée, ce qui aurait permis de voir plus clair plus tôt ; et de prendre une autre voie. La bonne…
    Je me suis aperçue qu'on est des ébauches. Des ébauches de vie ; de soi. mais on se conduit comme si on était des pièces achevées, des valeurs sûres.

  •         Tu veux dire on est comme des rushes ?…
    Ouais-ouais, tu m'impressionnes Ingrid. Tu étais si tournée vers l'extérieur, les rendez-vous, les essais, tournages.
    Moi ça me fait un peu peur de changer. De peut-être trop comprendre.
    Et si tu me parlais – Ah ça me revient, c'était Victor !

  •         Victor, oui.

  •         Toujours avec lui !? Il va bien ? Qu’est-ce qu’il faisait déjà ?

  •         Il est passé comme il dit « des salles aux serres ». Mais toujours dans l'art et l’essai (elle a un sourire malicieux). Il a changé de culture : Il s’est mis à la permaculture.

  •         C’est une culture qui vient de quel pays ?

  •         C’est une philosophie agraire.

  •         Tu m’en diras tant ! Tu sais, je n’ai pas fait d’agrégation moi ; alors dis-moi, agraire ?

  •         Agricole, agriculture. Il a acheté une propriété en Ardèche, depuis bientôt deux ans, et il fait pousser des légumes sous serre et à ciel ouvert. Je le rejoins après le festival, si tu veux je t’y emmène !

  •         Attends ! Tu me parles de philosophie, puis d’agriculture, c’est un peu confus pour ma p’tite tête ! Ça me fait juste penser à « Alexandre le bienheureux » d'Yves Robert, 1968. C’est un bon parallèle ?

  •         Victor a fait un vrai choix de vie, réfléchi. Avec retour à la simplicité, la nature et le respect de ses lois, des saisons, avec des pratiques anciennes ; le moins de moteurs possibles. Des capteurs du soleil et une éolienne, des choses comme ça.
    Et je suis contente du coup qu'il ait aussi changé de basse-cour !
    (rires)
    Tiens, je vais encore te faire rire ! Un exemple de sa nouvelle vie : Il urine maintenant dans un seau ou un flacon (elle rit) ; puis il fait des dilutions, et il enrichit la terre avec. C’est un très bon fertilisant naturel ; et surtout, avec des toilettes sèches, nos excréments ne partent plus dans le tout-à-l’égout pour polluer l’eau qu’on nous sert au robinet, mais c’est recyclé naturellement.
    Il dit qu’il amande la terre, et qu’il s’amande lui-même, au lieu de payer des amendes. Sa petite part pour freiner la dévastation de la planète. 

  •         Oui je vois bien, j'ai vu des docus là-dessus. Si c’est possible !

  •         Il parle d’une seconde jeunesse. Il dit que l’eau est meilleure à la source, que lorsqu’elle arrive dans la mer. Il a brûlé ses bateaux avec la distribution, Paris et Londres, Madrid. Il veut se mettre tout entier à ce qu’il croit, au fur et à mesure qu’il apprend, et que des choix s’imposent.

  •         C’est courageux, je suppose. Et tu le vois souvent ? Tu es toujours en Ile-de-France toi ?

  •         Tous les 15 jours, les week-ends et fêtes.

  •         Comme les enfants de parents séparés en somme.

  •          « Loin des yeux, près du cœur ! ». C’est une formule qu'on a adoptée, adaptée à nos personnalités, ce qui rend les relations plus pérennes.

  •         Sereines.

  •         Aussi. On a compris cette problématique de l'inversion toujours possible des attractions en répulsion. Avec le développement anarchique de nos egos, on doit chercher des organisations et des savoirs, anciens et nouveaux, qui tiennent la route, qui procurent la paix et aident l'amour du cœur.

  •         Ouais, tu as déjà bien adhéré à sa philosophie à ce que j’entends ! C’est vrai que beaucoup de choses changent, et très vite – trop vite –, et ça fait peur quelque part. Pour moi ça sent la Big cata. Comme au niveau des couples, des familles.

  •         Victor dit qu’il est passé de la Terre-à-délit (d-é-l-i-t) à sa Terre-Neuve. Une terre parfois rude, mais il revit.

  •         Un vrai privilège.

  •         On en est conscient. Mais c’est aussi le fruit d’une décision, et de certains sacrifices.

  •         Sûr ! On ne peut pas tout avoir. Une autre version de « L’amour est dans le pré » !
    Je voudrais bien oui, le rencontrer sur son domaine. L’Ardèche, c’est pas un peu dans le secteur !?

  •         De l’autre côté du Rhône, à côté. On y est dans deux jours si tu veux, après le festival ! Je le préviens ?

  •          Des fois qu’il soit nu quand on arrive ! Je rigole ! En tout cas je me sens toute curieuse ! « Victor – la saison 2 » !
    Et toi tu me sembles bien amoureuse en fait !?

  •         Je veux encore y croire. Je n’ai rien trouvé qui soit mieux qu’un couple.

  •         « Un homme et une femme » - 1966, et toujours.
    On est toujours tenté de revenir, de « reloucher » sur ce bonheur comme le plus tout jeune Claude l'a si bien mis et remis en image avec Anouk Aimée et Trintignant.
    Après, entre une réalité montée en film et la réalité brute de quotidien…

  •         Bien sûr qu'on offre du rêve. Mais qui peut parfois en sauver provisoirement certains. C’est ce qui me tient dans cet univers. Alors tant pis si ça devient décadent, dégradé. Il n’y a rien de parfait, et l’important est de se garder soi-même en grandissant en conscience. De devenir une résistante s’il le faut.

  •         J’ai parfois l’impression qu’il y a comme une grosse malédiction, qui pèse sur tout en fait. Un truc qui nous empêche tous d’être heureux.

  •         Je crois que pour un vrai et bon changement, il faut parvenir à un stade certain d’insatisfaction, sans plus de volonté de rebondir par soi-même encore une fois.

  •         Lâcher prise ! Dans la mesure où le monde va de plus en plus mal, on y arrive non ?

  •         Je le crois aussi. Mais pas lâcher prise pour un vide, mental ou un isolement. Pour une meilleure connexion et expansion.
    Allez, je peux te dire : On s’est mariés l’année dernière, malgré le covid et le confinement.

  •         Non ! Avec Victor ? Ingrid, tu m’en diras tant !
    (Maya la regarde l’œil allumé, avec soif, de l’envie peut-être, des questions qui se bousculent).
    Et mariés… devant un monsieur le maire ou devant une mairesse ?

  •         Devant Dieu !

    Claude Thé  Juin 2021 @LGDDV

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29 octobre 2021 5 29 /10 /octobre /2021 15:57

Les scénarios de cinéma sont toujours écrit en police Courier, en mémoire de la fameuse machine à écrire utilisée à leur origine.

*¤*

Cette nouvelle a été initialement écrite pour un concours organisé par l’Éditeur/imprimeur européen BoD et le magazine Femmes Actuelles.

SCÈNE D’UN SCÉNARIO À VALENCE

Séquence au point accueil et bar du Festival Valence-Scénario.
Il fait chaud.

Maya commence.
 

  •         Ça fait deux ou trois ans qu’on ne s’est pas vues ? Je trouve que le temps passe terriblement vite. Est-ce l’âge qui fait ça ? Toi tu vieillis bien.
  •         Merci ! On n’a pas que l’âge de nos artères, heureusement. C’est l’état de notre âme qui importe le plus.
  •         Qu’est-ce que tu appelles l’âme, notre vie intérieure ?

Ingrid :

  •         Le support de ce qu’on pense, de ce qu’on croit, de ce qu’on espère.
  •         Et finalement hier tu as pu voir le film du Navire ?
  •         C’était bien ! Bien parce que le réalisateur s’est donné la liberté de ne pas y mettre la moindre scène de jambes en l’air. Pour ça, chapeau ! La transgression dans ce sens, j'ai trouvé que c'était, courageux.
    Et toi ?
  •         A l’opposé. Un vague documentaire à la solde des codes du moment. Du vendu d’avance. Dommage, le sujet était bon.
  •         Est-ce que tu lis encore toi ?
  •         Ça dépend de ce que tu entends par lire.

Maya :

  •         Pendant les confinements j’ai voulu lire, tu sais de ces livres qu’on s‘met sous le coude pour éventuelles longues soirées d’hiver (sourire complice).
    Aussi quelques-uns trouvés dans ces niches ou cabanes de rue où chacun dépose et prend ce qu'il veut. C'est sympa… si ce n'est toujours hygiénique. Bref, ce qui m’a surtout sidérée, fut de découvrir combien de nanas remplissent leurs pages, voire des chapitres, de scènes qui les auraient classées dans le porno rien que du temps de ma mère !
    Tu vois, comme un méga-hiatus avec le féminisme qu’elles veulent incarner.
  •         La liberté de faire égal avec les mecs !
  •         Est-ce que tu vois l’aberration ! Je ne sais pas si elles vendent, mais mon sentiment c’est bien qu’elles se vendent ! Par leur corps nu écrit, décrit, s’exposant à tous les regards et tous les fantasmes. Mince ! J'ai fini par en avoir honte ! Si c’est ça la liberté d’être femme !
  •         Trop d’un coup.
  •         C'esrt vrai que j'en ai ingurgité pas mal ; mais en même temps c’était terriblement significatif ; révélateur du problème qui là, vient sans se méprendre du côté nana. J'ai fini par lire à saute-mouton puis j’ai laissé tomber.
    Je m’en suis sentie sale, presque nue moi-même, imprégnée, oui un sentiment malsain d'imprégnation, où tu es touchée malgré toi.
  •         Des scènes de leur intimité : elles s’exorcisent.
  •         Ah je n'sais pas si elles s’exorcisent, mais j’ai trouvé cette proportion et cette liberté de dire choquantes !
    Pourtant je ne suis pas la puritaine de service ! Mais quoi, ça n’apporte plus rien ! Pour te dire, jusqu’à rêver des scènes horribles la nuit, presque comme si c’était réel, où tu es abusée, sexuellement violentée, et tout en moi qui ne voulait pas. Breuuuh ! Rien que d’y penser.
    (Elle prend un chewing-gum)
    C’est bon pour les gencives…
    D’ailleurs j’t’avoue en arriver à un point où tout ça me dégoûte. Franchement,  tu vois, l’amour, cet amour-là, j’en veux plus ! Et malheureusement dans la foulée – je trouve dramatique de dire cela, mais je ne crois même plus en aucun amour. Tout est trop faussé. J'ai l'impression qu'on a franchi une barre de non-retour. De non-amour.

Ingrid :

  •         On a laissé la sexualité devenir un concurrent, si ce n’est un ennemi de l’amour. Dans quoi il peut y avoir une grande perte de soi. Alors que cela devrait être un enrichissement, un fleuron de nos relations.
    On nous a appris à se donner, à se partager comme une denrée bonne, savoureuse, mais sans valeur. Sans respect de soi, de sa conscience. Sans amour en fait.
  •         C'est ça ; de l’amour comme du placébo, du vieux-gras - comme je l'appelle -, contre l'amour qui ne nous vient plus au cœur ; ou qu'on ne voit plus durer.
  •         Le concept de « bout de chemin ». Comme on ferait une ligne téléphonique en nouant des morceaux de fil les uns aux autres.
    Et comme on ne réfléchit pas, ou pas encore assez, ça marche, au profit des profiteurs, de prédateurs.
  •         Producteurs, chanteurs et j’en passe. Des politiques, des toubibs.
  •         Les figures d’autorité.
  •         Jusqu’à décider de ta carrière et de ta vie en introduisant dans la donne cet élément ignoble. J’en ai la nausée.
  •         On a bien joué le jeu aussi. Chacun et chacune y a vu son gain, son succès, sa valorisation possible.

Maya :

  •         C’est bon que des abcès éclatent. Mais après, ou pendant, que nous on embraye par l’écriture, ou par l’image, je ne vois plus de logique ! C’est presque hashtag-Balance-ton-porc et prend sa place ! Trop grave.
  •         C’est malheureusement ce qui fait recette. La boucle est bouclée parce que le public, le gros du public en redemande.
    Mais je repense à tes attouchements nocturnes. Une amie d’origine africaine m’en a parlé. Ils appellent cela des « maris de nuit ». Ce seraient des esprits, impudiques, qui se sont acquis des droits jusqu’à pouvoir s’imposer aux corps de cette manière-là. Elle les appelle des incubes ou démons.
  •         Arrête, tu me fais peur ! Mais je ressens bien ça ; c’est ni du rêve ni de la réalité… normale. Dans quel monde on vit ! Il faudrait bien qu’on en sache un peu mieux !
  •         Il faudrait !… Allez, tu prends quoi, je vais chercher à boire ?
  •         Une menthe-Vichy ou Perrier-citron. Et j’espère qu’ils ont des glaçons.
    (Maya s’évente avec un programme).
  •         Ne te plains pas, l’été ne commence que demain. Je reviens…

 

Maya au retour d’Ingrid :

  •         Je réalisais comment on peut mettre un talent fou au service de n’importe quoi. Je me disais : Jusqu’à confondre toutes les crudités ! De la salade composée servie en entrée à une partouze avec des gamines qu’on s’offre en dessert. Qécrivant l’une comme l’autre avec flegme et minutie, pour faire saliver ou donner à bouffer à d’autres qui n’en ont pas les moyens. Berrrk !
  •         Certains appellent cela sociologie ; une peinture de la misère affective et sexuelle de l'homme occidental.
  •         C'est ça, du Zola ! Sauf qu'au lieu d’écrire pour dénoncer, là on fait l’apologie du vice, des turpitudes. Et encore, de mecs obsédés ou frustrés voulant s’exorciser comme tu dis, peut-être ; mais pas de féministes aujourd’hui !
  •         C’est une autre misère.
  •         Une vraie misère !
  •         Je comprends que tu aies atteint un seuil critique de déceptions, où on peut se mettre à haïr ce qu'on a aimé ; peut-être trop, ou mal aimé.
    C’est difficile l’amour et la liberté ensemble. Parce que c’est à l’amour qu’on doit choisir de donner la priorité. En respectant les sentiments et la personne de l’autre, avant soi si nécessaire.
  •         Moi, après Ludo – un autre pervers narcissique de première ! –, j’ai définitivement renoncé à y croire et à espérer. Du coup la tension est tombée, et j'apprécie tu peux pas savoir !
    T'imagine, après plus d'une année de scènes, de conflits, ô que c'est bon de se retrouver seule ! De me remettre à dormir sans somnifère.
  •         Pourtant je te trouve les traits bien tirés.
  •         En quelque sorte j'ai fait mon deuil. C'est que j’ai pas trop pris de temps pour me maquiller ce matin. Pour qui, pour quoi ?
  •         Pour toi ! Tu as l’air très fatiguée quand même. Tu n’es pas malade ?
  •         C’est le boulot. Toujours plus avec le moins, tu connais. Tu n’as plus le temps de vivre. Et puis vivre… Parfois il vaudrait mieux être vraiment malade, au moins tu saurais à quoi tu as à t’occuper d'important.
    (Elle se défait du chewing-gum).
  •         Mais tu as bien une fille ! Tu ne la vois pas trop peut-être ? Elle a quel âge maintenant ?
  •         Elle a définitivement préféré son père. A 13 ans tu n’en fais plus ce que tu veux ! D’ailleurs je n’ai jamais voulu en faire quoi que ce soit. Il voulait un garçon, et raté, comme chez Nougaro. Et il en est devenu toqué. Et moi j’ai juste été hyper-égoïste avec elle…
    Mais on ne nous apprend pas la vie à l’école ; pas même à l’université. Les bonnes priorités. Ou la valeur des petits bonheurs.
    Bref j'ai bien un peu cogité, laissant couler de l'eau sous le Pont des Soupirs. Et je me trouve bien mieux. (Elle sort un paquet de cigarettes, doigts légèrement tremblants).
    Mais c’est absurde aussi la solitude.
  •         Fais quand même attention Maya, tu sens la déprime. Un burn out peut-être.
  •         Je sais… Mais à part faire une psychothérapie que j’ai déjà faite, pour m'entendre dire qu'il faut que je sorte, que je m'amuse, alors que je n'ai toujours fait que ça.
    Et chaque fois j'en pouvais plus, et du mal-être et du vide qu'il en reste, après.

Avec les mots des larmes étaient montées. Sans couler mais bien réelles, rendant les yeux brillants, comme parfois dans un état fiévreux.
Une oasis de silence s’installe entre les deux femmes au cœur du brouhaha des allées et venues. Le bar (à la diagonale de leurs places) est pris d'assaut, mais la somme des voix reste feutrée, comme d'un autre et lointain univers.

 

              à suivre, demain...
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19 juin 2021 6 19 /06 /juin /2021 09:59

La vie à deux - où l'on partage un même lit - est un cas d'école passionnant !

Passionnant en ce qu'il s'agit dans ce cas d'école, d'une situation où ce qui est passion et donc possiblement passionnel en nous, joue au maximum.

MAIS QU'EST-CE QUE LA PASSION ?

"Ce qui est passionnel" signifie ce qui dépasse l'entendement ordinaire (qu'on appelle la raison ou l'intellect, voire le mental ou la volonté).
La réalité de ce qui est passionnel s'impose parfois, voire souvent, à notre maitrise courante (de nos humeurs, réactions, pulsions ou compréhension).

Ainsi, dans la vie à deux, dans la vie en couple, la passion offre toute sa palette de sentiments et d'émotions confondus, qui va de l'amour le plus tendre et chaleureux à la haine la plus froide et dure.
Dit autrement, du don de soi jusqu'à mourir pour l'autre - de plus en plus rare - à l'emprise ou appropriation de l'autre jusqu'à le ou la tuer - ce qu'on voit de plus en plus paraître.

Qu'on ne se raconte pas des histoires : La vie à deux nous place sur ce terrain du jeu des relations, magnifique certes, mais dont aucune des deux extrêmes ne peut être a priori exclue. Donc la pire comprise.

VERS DES DURCISSEMENTS DANS LES RELATIONS

L'univers humain bizounours s'achève ! Il n'y aura pas de reprise significative de 'ancienne normalité. Après un pétard de liberté(s) et de fêtes retrouvées, on risque d'être pris dans une autre pandémie (possiblement des connexions informatiques dégradées) - parce qu'on n'a rien compris à l'affaire de la vie, de l'existence, de la souffrance, et de la mort.
C'est pourquoi je préfère écrire sévère, plutôt ferme et réaliste qu'utopique, illusoire, style "tout le monde il est beau et gentil", "On ira tous au Paradis" ou encore "amour inconditionnel de Dieu"..

Il suffit d'entendre les infos que rapportent régulièrement les médias pour se persuader que lorsque notre affect est mobilisé, lorsque notre volet sentimental s'ouvre et plus encore lorsque notre sexualité est mise dans la balance des rapports humains, pour être convaincu (si on peut ou veut bien avoir cette intelligence) que nous ne sommes pas si facilement - personne ! - maître du jeu des relations humaines.
Donc à l'abri de débordements incontrôlés graves, qu'ils proviennent d'une réaction totalement impulsive "plus forte que nous", ou d'une réflexion mûrie, induite bien sûr par quelque démon trompeur et destructeur dont on s'est mis à entrer dans quelque pratique maligne (occulte, surnaturelle non sécurisée) ou à écouter des pensées perverses...

Et le mal extrême, à commencer par des violences verbales et/ou des coups, vient aussi parce que se mettre à vivre à deux, à partager son intimité avec un(e) autre, c'est se donner - ce qui est une réalité extrême... dont on ferait mieux de bien prendre la mesure avant de (commencer à) s'engager.

APPRENDRE À VOIR PLUS LUCIDEMENT

Passionnant donc aussi en ce qu'il s'agit d'une situation d'obervation possible (pour les protagonistes comme pour des tiers).
Bien sûr c'est quand on est déjà entré - au moins une fois - dans ce laboratoire d'expériences qu'est la formation d'un couple (qui peut devenir un terrible laboratoire expérimental), qu'on peut le mieux devenir attentif à ce qui se passe, et vers où l'on va.

Car dans tous les cas ce type de relation est par nature "métastable", c'est-à-dire jamais assuré de tenir longtemps ou de casser vite.*

Quand donc nous réalisons (déjà un peu) dans quelle situation et position insécures, voire dangereuses, nous sommes déjà par le fait individuel de vivre, et plus encore quand nous vivons une unité d'existence à deux, ne devons-nous pas chercher un nouvel élément actif positif, fort, transcendant, pour que nous ne sombrions pas d'une manière ou d'une autre ?

LE SECOURS LE PLUS PERTINENT

Quel coach, quel psy, quel humain peut être à la hauteur pour prévenir ET garder de comportements à risques - de soi-même et des autres - ? Qui est suffisamment fort et parfait pour savoir anticiper et résoudre nos problématiques relationnelles (qui se dégradent sans cesse sous l'effet entropique généralisé notamment d'une civilisation laïco-athée qui s'est mise par ses options d'existence prématurèment à l'agonie ? 

C'est là que nous avons peut-être (si ce n'est fait) à découvrir que Dieu, notamment avec la personne ressuscitée de Jésus, existe réellement, et qu'il est pour nous le moyen (comme il est aussi origine et fin) de stabiliser notre existence, et encore de l'assurer au delà du terme incarné de notre périple.

Car nous sommes là comme une embarcation soumise aux plaisirs mais aussi aux dangers d'un océan immense et profond, et comment, sans Dieu dans notre barque, pouvons-nous parvenir au port dans lequel il est possible de se réfugier (et de se reposer) lorsque quelque tempête vient à nous rejoindre et tente de nous submerger ?

Port qui sera aussi notre entrée (bien vivant, vivifié même par l'Esprit divin raccordé à nous) dans l'éternité du Bien divin.

"Venez à moi, dit encore Jésus, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. 29 Prenez ma direction et mes instructions de conduite sur vous, car je suis doux et humble de coeur; et vous trouverez du repos pour vos âmes. 30 Car les conditions de ma conduite opèrent dans la douceur, et mon fardeau est léger."
"
Je suis venu comme une lumière dans le monde, afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres (dans la confusion, l'incompréhension, des dangers graves...)."

Voilà déjà du bien réel que Dieu peut nous offrir, immédiatement.lors de la fin de ce pèlerinage terrestre, sinon où l'âme que nous sommes(plus que notre corps physique) va-t-elle poursuivre seule sa course de conscience ?... (ce blog répond en plusieurs endroits à cette question fondamentale - parcourir les rubriques du côté droit, avec notamment la page Prière-guide).

Bonne suite de vie.

_________________
* De manière intéressante pour qui a de la connaissance scientifique, la vie de couple se fait ainsi à l'image (on peut dire sous les mêmes lois que celles) de l'univers tout entier au plan de la physique des particules, savoir dans une configuration qui dépend de deux paramètres - pour l'univers il s'agit de la réalité du Quark top et de son énergie, et du Boson de Higgs et de sa masse.
Pareillement en chacun de nous, on peut voir nos instabilités (dans le champ d'une métastabilité générale) comme dépendant de deux facteurs - qui en nous sont de l'ordre psychique et moral - qu'on peut appeler (avant de mieux les définir) Bien et Mal... dont résulte des comportements qui vont de la dépression borderline à l'orgueil mégalomane, deux extrêmes qui approchent pareillement de la mort.

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15 mars 2021 1 15 /03 /mars /2021 22:09

Photo de la couverture : Une coccinelle bleue !?
... pour parler du côté surnaturel dont tout ce livre est imprégné. En rapport avec la connaissance de soi, l'actualité, science et foi - fort compatibles -, et comment trouver des solutions à nos problématiques en connaissant Dieu, le vrai, comme dit Blaise Pascal "pas le Dieu des philosophes", ni même celui des religions formées en système qui occulte le Divin plus qu'il
ne permet de l'approcher.

Le texte poétique 2 des plus de 50 qui forment (avec un résumé de mon histoire extraordinaire )le corps du livre.

2 – SUBJECTIVITÉS

La subjectivité est élément second du Réel.
Elle nous donne des vues, justes ou fausses,
de ce qui est.


Les lettres, les mots, les sons sont asservis
A qui les emploie à qui les écrit et à qui les lit
Tant pour ne rien dire que pour dire, pour unir que pour trahir,
A qui les conjugue à son être épithète au présent ou à venir.

Ils trouvent ou perdent leur force en des arrangements
Beaux, subtils, vieillissant mal ou nous revigorant,
Poétique par quelle muse qui séduit, qui amuse ou musèle,
Frêle ou terrible comme une femme sans ailes,

Jusqu'à hameçonner de force ou d'illusion
Prosélytes, idolâtres, vies en creux ou en rond,
Rejoignant dans nos vides ou troubles entre-deux
Trop d’échos ou aucun, ou les deux
.

Les langues de bois nous poussent vers les frontières
Qui carapaçonnent sous des fioritures fières
Des tonsures et autres tortures lierres.

Alors parfois, des mots de vie trouvent en derniers
Dans tels bas-fonds des paumés derrière des haies
Des perdus des foutus égarés, des relégués des riches désargentés,
Des absurdes aliénés des Nietzsche religieux ou athées,

Entr'ouvant le Ciel par la force toujours vive jamais surannée
De la vérité.

Vérité, vérités !
Toujours étroites, « sectaires » (le mot ne fait pas peur)
Comme une ligne fait un vers,
Comme des lois font l'univers
Comme on compte trois moins un font deux

Ou encore trois fois un font un... Comme il en est de Dieu.

Sectaires les voies mathématiques,
Sectaires combinaisons chimiques,
Sectaires les règles dans les affaires,
Sectaire un travail, sa valeur, ses horaires,
Sectaires les poids justes et la balance,
Sectaires les hiérarchies et les équivalences,
Sectaires les talents les prédispositons les dons,

Sectaire la mort qui signe la fin du pardon
L'entérinant pour toujours ou le fermant.

Sectaire l'objectivité de ce qui est,
Qui doit prévaloir sur nos subjectivités,
Sectaires beaucoup de choses – bonnes,
Comme le bonheur quand on donne,
Et rien d'étonnant que soit détonante,

Sectaire aussi la voie de Dieu.

« Entrez par la porte étroite.
Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent
à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là.
Mais étroite est la porte, resserré le chemin, qui mènent
à la vie, et il y en a peu qui les trouvent. »

Évangile selon Matthieu, ch. 7, vers. 13,14


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6 mars 2021 6 06 /03 /mars /2021 14:17
Une  carriole qui a trouvé une seconde jeunesse...

 

NOS DÉCHETS

La vie ici-bas est ainsi disposée
Qu'on fait tous des déchets.
On a tous besoin d'une poubelle
Ou d'un lieu où jeter nos habituels
Ou occasionnels ordures, débris, balayures.

On peut recycler soi-même certains déchets,
Composter, rendre à la terre ce qu'elle a donné...
Mais pas tout. On a aussi besoin d'un ramassage
Ou d'emmener loin de nous, pour d'autres recyclages,
Ce qui va être détruit, brûlé ou enfoui, désossé, réduit, anéanti,
Ou transformé, pour en faire sortir une nouvelle vie.

Alors maintenant voyez ! Au plan de votre âme,
Comment sont traités les déchets, des drames,
Des blessures les infections, des gangrènes :
Regrets, remords, soucis, amertume, rancœur, haine ?
Les pensées mauvaises qu'on garde dans un coin
Du cœur, qui l'affectent et d'aimer nous tiennent loin ;
Et les mots durs et méchants qui se sont construits
Et tapissent notre fond jusqu'au jour (ou la nuit)
Où ils jaillissent et éclaboussent un autre cœur,
Par sms ou par la bouche cassent une relation,
Arrête une entreprise, enraye une belle organisation !

Pense-t-on souvent, ou jamais, à se laver
L'âme comme le corps, souillée, chargée, malade, encombrée,
Ayant besoin de trouver un refraîchissement
Tout intérieur, sans mettre toujours injustement
Sur le dos des autres, la cause de nos heurts,
De nos déboires, insatisfactions, malheurs !?

Est-ce seulement possible, qu'on se purifie soi-même,
Qu'on puisse trouver en nous la solution à tous problèmes ?
Faut pas rêver ! Faut plus rêver ni occulter
Nos insuffisances, nos manques, nos trop, nos difficultés,
Nos peines perdues face aux adversités
Irréductibles et toujours renouvelées.
Il faut trouver ce qui manque à notre billet
Pour qu'il soit entier et qu'on puisse gagner
Le gros lot immérité, qui nous mettrait en liberté,
En joie, en paix, pour aujourd'hui et pour... l'éternité !?

Alors voici une poubelle ! Un dépotoir, une décharge,
A nul autre pareil ; un trou noir, terrestre et cosmique,
Qui s'ouvrit béant en un corps-âme-esprit qui se charge
De tous les déchets du monde, des épaves critiques
Des tissus usées et déchirées, des identités aliénées,
Des pensées trompées trompeuses, des fautes morales,
De la cruauté des cœurs, des plus injustes iniquités,
De l'orgueil, hypocrisie... de tout ce qui s'appelle mal.


 

Regardez ! C'est Jésus mis en croix.
Voilà la poubelle pour le monde habité, dérouté,
Pour l'humanité déshumanisée et condamnée
A souffrir et à mort par la justice, par la Loi.

Entendez, regardez, ce trublion fils de Dieu – parait-il,
Flagellé, déchiré, percé, en conséquence de tous nos péchés,

Pour prix de tous les délits et crimes des continents et des îles,
Des fraudes, des vices, perversions, scories, impuretés,

Cloué sur un bois sans impartialité, en toute illégalité,
S
eulement parce qu'il a laissé les forces terrestres
Et célestes les plus fortes – hors Dieu – s'exprimer
Et faire. Substitution voulue, désirée, mise en orchestre

Par Dieu Père invariable et Parole et Esprit qui en sortent
Pour assurer aux humains que le mal domine un salut éternel.
Car Dieu nous a tant aimé qu'il a livé son fils Jésus de telle sorte
Que quiconque croit en lui vive à jamais, de sa vie éternelle,

Délivré des forces qui font manquer ce but,
Déchet visible par le corps qui meurt et se décompose
Mais possiblement aussi âme lavée, rachetée, de perdue
Retrouvée, adoptée et bientôt nouvels être et cause,

Redistribuée pour les concerts sans fin
De la création qui est et qui vient.

© Claude Thé  mars 2021 - @LGDDV

Vous pouvez demander mon dernier livre :

CHANGER POUR 2 BON
Poétique et Transition du 3e Millénaire.

Soyez béni-e.

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14 février 2021 7 14 /02 /février /2021 09:51

Le mal sévit et y éhapper est un leurre ou du déni.
Il est certainement préférable de regarder les choses en face et chercher une solution à nos maux qui soit aussi, voire plus, consistante qu'eux.

Par exemple le mal qu'on appelle Alzheimer est une sombre difficulté, souvent davantage pour les personnes autour que pour le/la souffrant/e.
La caractéristique majeure de ce mal est la perte de mémoire, de repères, jusqu'à la perte de connaissance de sa propre identité.
Où est le bien pour ceux qui peuvent (encore) réfléchir en voyant cela ?

Il est tout entier dans le fait que ce qu'on voit ou entend peut être perçu, compris, comme un miroir qui nous renvoie à nous-même.
En l'espèce, Alzheimer nous renvoie à notre propre problématique qu'est l'amnésie, le fait de ne plus savoir d'où on vient et ce qu'on est réellement.
Choquant !?
Oui et non. Car nous sommes d'abord des créatures de Dieu, alors que nous vivons cette réalité plus que probable, comme un ado qui vivrait comme n'ayant pas de père.
Or, que pourrions-nous être de plus exact, de plus fondamental ? Un singe qui a évolué et gardé quel trait de caractère ?... C'est-à-dire un simple produit aléatoire de hasards infinis et de mutations causées par quelques nécessités ou sélection naturelle ?

Croire en la théorie de l'évolution tient de croire au Père Noël ! Un temps vient om il faut admettre qu'on a été trompés - ce qui est grave aussi pour les menteurs ! -, et que la vérité est tout autre que ce "conte de fées pour adulte" comme le professeur Jérôme Lejeune appelait l'évolutionnisme.

Mais sait-on réfléchir suffisamment par nous-même ?
Le veut-on surtout ? Ou préférons-nous rester avec cette perte de mémoire de laquelle on tirerait quelques avantages... immédiats. Immédiats seulement - et encore pas forcément -, car au final, ce que sera la vie de l'âme après la mort physique sera en directe dépendance de notre positionnement terrestre par rapport à la vérité et aux mensonges...

 

A QUI LE DERNIER MOT !?

Il y a des temps, comme des mois et des saisons,

Un temps pour tout, un pour l'assimilation,

L'appropriation, et un pour la restitution, la redistribution,

Pour redonner, bonifié, ce qu'on a reçu,

Comme on mange des légumes cuits ou crus

Qu'on rend en chaleur, en travail, en vertu,

Ce qui est mieux qu'en colère, en misère

Qu'on peut semer par la haine l'adultère

Des envies égoïstes... jusqu'à des guerres

Toujours suicide, fratricides, homicides...

Mais le mal, dès lors qu'il y a un Dieu

Ne peut pas être que mal. Il ne peut dans les cieux

Ni sur terre toujours prendre des lieux,

Signe déjà clair d'une vraie liberté

Et fait porteur en son sein du bien caché

Comme l'expose l'horreur de Jésus crucifié

Au troisième jour pour toujours ressuscité.

Ainsi en nos maux qui naturellement abaissent

Ne cherchons pas trop vite à sortir des faiblesses,

Ne sombrons pas dans de mornes détresses

L'humiliation ayant du bon, avec l'humilité,

Dispositions et hauteurs où Dieu peut nous rencontrer,

Manifester sa grâce, et qu'en vérité il est.

C'est ainsi que parfois, en ultime recours,

Dieu laisse le mal sévir dans nos cœurs ou nos cours

Pour tirer des jugements et de son amour

Un moyen de changer - outre nos trajectoires

Mauvaises, mal jugées - la trame de nos histoires,

Nous libérer de ce qu'il y avait de noir

Triomphant peu à peu ou d'un coup sur nos vies,

Nous offrant à nouveau la chance, et pour lui le pari,

Qu'on est récupérable pour le bien sans mépris.

Pour trouver la sortie de tous nos labyrinthes,

Dieu éclaire en nos cœurs et dessus toutes plaintes

La vertu de sa croix et de sa mort non feinte

Qui fut le prix payé pour qu'on soit racheté

De tout mal, libéré, pardonné, jusqu'à régénéré

En un être nouveau, rendu et susceptible et capable d'aimer.

Car l'amour est le but comme il fut l'origine de toute création,

L'amour est Dieu lui-même qui se donne en diverses concrétions,

En matière aux forces mécaniques et quantiques, en bosons

En fermions, en des vies végétales, animales et humaine

En des anges, en sang, en âmes définies suzeraines,

En esprit – qu'il est – et partage pour partager son règne

Et son éternité et ses biens infinis et le bonheur parfait

Dérouté ici-bas par une sombre histoire de dupe et de péché

Qui se résorbe en Christ, par la foi en Jésus mort et ressuscité.

 

Claude T. @LGDDV - 02-21

Bonne réception et soyez-en béni-e.

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9 janvier 2021 6 09 /01 /janvier /2021 18:46

Attention à quel carburant nus mettons dans notre réservoir !...

Comme 2020 a été l'année COVID, l'année 2021 risque bien de devenir l'année VACCIN.

Mais plutôt que de se laisser envahir par cet aspect, considérons que la santé dépend aussi beaucoup de par quoi on va nourrir non seulement notre corps, mais aussi notre âme.
Je m'explique par une illustration.

Notre âme est comme sont les voitures ; elles ont besoin de carburant pour avancer. Certaines marche à l'essence, d'autres avec du gas-oil.

EN 2021 CHANGEZ DE CARBURANT

J'invite donc chacun qui roule au gas-oil à changer pour carburer à l'essence.
Cela veut dire pour notre âme être alimenter par un  carburant autre que le gas-oil (dont on sait qu'il pue, enfume, encrasse, pollue) des infos intox fake news, des infos orientées, des infos ludiques et autres images de sexe et de sang que distribuent à profusion les grandes chaînes... qui perdent de plus en plus l'objectivité journalistique, jusqu'à devenir outil de propagande.

Ne vous raccrochez pas non plus à des fables illusoires comme l'écologie - qui est un bon concept en soi - mais dont le brandissement ne suffira pas à nous sortir de la mouisse. Pour la raison essentielle, que c'est toujours par nos propres forces qu'on veut se sauver... ce qui est encore une aberration de vue : Malgré de similis succès de paix, on n'y arrivera pas. Ce n'est pas une fatalité, mais une réalité qui suit son cours... sauf individuelement à en changer.

CHANGER DE PARADIGME, DE NIVEAU DE CONSCIENCE

Le changement dont je parle nous veut individuellement beaucoup plus radical - oui, parfois la radicalité a du bon.
L'essence que je vous propose d'adopter pour bien mieux faire tourner votre moteur (s'il est déjà à essence) ou pour lui faire faire une mutation profitable - est distribuée par des sites internet ouautres supports, dont un livre primordial qui en donne la substance : La Bible.

ON FAIT QUE LE MONDE VA MAL

Autrement dit, cherchez ce qu'il en est du côté de la spiritualité, du Dieu véritable qui s'est révélé dans la Bible (l'Ancien Testament puis le Nouveau ou Évangile), du côté de notre véritable origine, de notre identité la plus essentielle (de créature conçue par un Créateur intelligent, vivant, qui nous connaît), du côté des vraies raisons pourquoi, malgré nos capacités intellectuelles et nos développements technologiques, ça va de plus en plus mal (en nous, dans nos relations et environnements) - ce qui s'appelle la chute ou aliénation humaine.

Et c'est aussi parce qu'on a été créés LIBRE de choix importants (et conséquents) qu'on en est là ! Parce qu'aussi créés pour vivre en relation non seulement de subordination avec Dieu, mais aussi d'affection, d'amitié, d'amour. N'est-ce pas ce que Jésus est venu montrer et démontrer ?

Comme le meilleur Super possible pour ce moteur thermique qu'est notre âme, lisez - osez lire - le Nouveau Testament. S'il est aujourd'hui encore par le monde le livre le plus traduit, le plus imprimé et le plus lu, il doit bien y avoir plus qu'un hasard, une raison profonde non ?*

Après, quand on sait, on a au moins la liberté de faire un vrai choix, sans rester prostré ou (faussement) euphorique sous la pression des forces malignes et malines qui agitent notre univers. 
A chacun de voir, car le salut de notre âme, la rédemption de notre ego, l'éternisation de soi, est toujours individuelle. Aussi mettez-vous en marche dans le meilleure direction plutôt que de ne compter que sur un vaccin, sur des hommes ou femmes si faillibles qu'il vaut mieu chercher plus haut un secours plus large et efficace.

Soyez béni-e.

> ici un guide pour prier si vous voulez vous approcher de Dieu, de sa grâce, son pardon, son amour, son règne, ses bienfaits.
 

_________________
ù Pendant le 1er confinement, avant qu'on pousse les gens à lire (n'importe quoi), la vente des bibles a été multipliée par 4. Pas de hasard, mais la jonction entre nos coeurs en manque et en recherche de sens, et le coeur de Dieu dont l'Esprit vient nous inciter à chercher l'essentiel (plus que le simple existentiel).

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17 novembre 2020 2 17 /11 /novembre /2020 10:19

C'EST UNE LOI
Il nous faut perdre les bonnes choses dont on dispose pour nous rendre compte de leur valeur qu'on n'a pas alors su apprécier.

C'est surtout vrai pour les choses les plus courantes, les plus ordinaires, comme pouvoir se déplacer, marcher, respirer normalement, dormir, manger à sa faim, voir normalement, aimer (un travail, son conjoint ou son enfant), pouvoir simplement parler avec quelqu'un, être écouté, ne pas être sourd ou handicapé...

C'est qu'il y a une valeur exceptionnelle à chacune de ces choses basiques et fondamentales qui constituent la vie et notre existence "ordinaire".
Une des choses simples dont j'ai pu expérimenter et apprécier la valeur (la saveur) comme jamais auparavant, fut de respirer l'air frais d'un matin de printemps le jour où je sortis d'une quinzaine de jours passés allongé sur un lit d’hôpital.

Et il y a ainsi des impressions, des sensations perdues, si banalisées qu'on les a perdues alors qu'on continue à bénéficier des choses... mais sans cette saveur qui change la vie, sans la conscience d'une sensibilité, d'un ressenti, qui est un vrai bonheur en soi. Car il y a en réalité pour nous, un bien-être surnaturel dans le seul fait de vivre, un bien conscientisable, qui se vit facilement mais hors de conscience quand nous sommes enfant, et qu'un jour nous ne touchons plus. Le bonheur se perd très curieusement sans qu'on s'en aperçoive. C'est alors le mal-être qui nous le rappelle.

Et c'est bien de cela qu'il s'agit : on continue à vivre une dimension basique de ce monde, physique, physiologique, matérielle, psychique aussi (notre âme, en grec la psyché), mais en étant coupé, déconnecté, dans une dimension de notre perception et de notre être profond : dans notre dimension spirituelle - celle où les sensations, les ressentis les plus profonds opèrent.

Ressentis bons, agréables, enthousiasmants, réjouissants, vivifiants, quand on vit bien notre relation à nous-même et à nos environnements ; mais aussi ressentis les plus bas (non sens, dépression, aphasie, tension, irritation, mépris, haine, isolement...) quand on a perdu de vue (ou jamais compris, ou peu connu) ce qui fait la base la plus fondamentale du bien-être individuel.

LE PHÉNOMÈNE ENTROPIQUE 

Dans tous les cas, tous, sans exception, perdons du goût de la vie, du bien "normalement" lié à ce qui constitue notre vivant. Plus ou moins rapidement selon la qualité de notre rapport au bien et au mal...

Même en pleine possession de nos poumons ou de notre appétit, d'une possibilité de gagner régulièrement sa vie ou de se faire plaisir sainement, on n'en retire bien vite plus l'essentiel, la quintessence, l'effet le plus profond et bénéfique.

Il y a usure, habitude, routine, des automations préjudiciables, le sentiment d'acquis qui n'ont rien d'exceptionnels...

Or tout est exceptionnel dans cette vie ! Tout y a une dimension surnaturelle, et il va nous falloir en perdre les effets les plus sensibles, les plus agréables, les plus réellement réjouissants, pour s'apercevoir qu'il nous manque toujours quelque chose, qu'on n'a pas vu ou qu'on est passé à côté de quelque chose de fondamental. 

Et ce qui manque alors, a un nom. C'est de l'ordre de l'esprit, du Divin.
C'est notre dimension spirituelle qui est affectée, une part en nous qui vient directement de Dieu... et qui se retire de nous si nous ne la connaissons pas. Si nous ne regardons jamais en conscience à cette partie de nous-même qu'est l'esprit.

Résultat : Cette part du Divin en nous s'étiole, n'est pas écoutée en tant que conscience morale et en tant que guide de notre existence, de nos choix.

COMME UNE VIE QUI MEURT EN NOUS !

Et quand ce souffle intérieur intelligent sent et voit qu'il n'a plus sa place bénie (bénéfique) en nous, il se retire comme la vapeur s'échappe d'une eau trop agitée par par les chaleurs ou les torpeurs de nos comportements controuvés.
La flamme de l'esprit en nous se souffle aussi comme celle d'une bougie. On meurt alors spirituellement.
L'esprit lui ne meurt jamais - il est éternel. Il nous quitte, et c'est nous qui descendons dans une mort... qui donne ce manque, ce "vide en forme de Dieu" comme en parla Pascal.

On reste comme les animaux, avec un corps spécifique et une âme individuelle. Mais pas plus. Et cela ne permet à personne parmi nous d'être heureux, d'être complet en nous-même.
Car on a été créés pour être une entité tripartite : Comme Dieu est trois en un (Genèse chap. 1, vers. 3), nous avons été conçus pour être une âme dans un corps et avec un esprit.

Si l'âme sort du corps, c'est la mort physique (physiologique). Si l'esprit sort du corps, on meurt spirituellement. Et ainsi, il y a beaucoup de vivants-morts sur la face de la terre... Lire le chap. 2 de la lettre biblique dite aux Ephésiens... Aussi mon témoignage de restauration par et avec Dieu en cliquant sur ACCUEIL.

Et le confinement est à voir comme un temps accordé à ce genre de réflexion profonde... car on n'est pas des animaux.

 

Parcourez ce blog, il ne manque pas d'articles sur la connaissance de soi et du Réel... avec ses deux versants (formés de l'Incréé d'une part et du Créé d'autre part).

Ici > un guide de prières pour rencontrer Dieu, pour retrouver en lui la réalité et la force de son Esprit, une paix souveraine qui vient de notre relation restaurée avec Lui.

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26 octobre 2020 1 26 /10 /octobre /2020 19:57

Albert Einstein :
"Pour sortir d'un problème, il faut changer le mode de penser qui a créé le problème."

Pourquoi tout à coup la Loire devient-elle le théâtre d'une recrudescence du covid ? Au point où le nombre des contaminés a explosé en deux jours, et cela continue de manière exponentielle !?

Voyant la Loire à peu près au centre de la France, je n'ai pu m'empêcher de penser à une diffusion par le ciel, un épandage de virus sur la France par un avion d'on ne sait quelle compagnie ou nationalité !
La guerre chimique n'est pas un concept nouveau et imaginaire. Et si s'en est ici une application, c'est une attaque vraiment efficace pour saborder, un pays, voire un continent, pour amener sous contrôle !

On peut à la suite penser de la même manière pour l'Italie, non pas un bastion de l'humanisme comme la France, mais de la croyance religieuse comme cela déplaît particulièrement à des athées engagés dans un progressisme mondialisant.

Liberté d'expression permettant, pourquoi ne pas le dire, en vue de "ne pas mourir idiot" (dirait Wolinski). Autrement dit, pour ne pas subir la surprise tardive d'un totalitarisme dont on commence étrangement à parler déjà à la télé ce lundi soir !?

Comment ne pas avoir au moins un réel soupçon en faveur de la théorie du complot quand on observe comment des décisions étonnantes (aberrantes !) sont parfois prises. Quand les consciences sont savamment testées et  préparées pour accepter des concepts et slogans médiatisés. Ou encore quand des lois - qui sont loin de faire l'unanimité - non démocratiques donc - se votent en catimini, de nuit, avec seulement quelques dizaines de députés...

RIEN D'IMPORTANT N'ARRIVE SANS AVERTISSEMENT, SANS ALERTE

D'autant que le complot est prophétisé dans la Bible depuis des millénaires, avec une puissance économico-politique qui va prendre le contrôle du monde.
Un totalitarisme annoncé comme on en a déjà connu dans l'antiquité, et surtout comme en ont été mis en place plus d'un particulièrement au cours du dernier XXe siècle.

Le livre de l'Apocalypse (dernier livre de la Bible), au chap. 13, est assez explicite sur ce sujet.
Mais là aussi, il faut être perspicace, car nous n'avons pas à lutter les uns contre les autres comme l'enseigne la doctrine idéologique marxiste, anti-Dieu.
Mais nous avons à être des résistants au mal, en luttant contre les avancées projetées par des esprits occultes mauvaises, qui agissent derrière les autorités humaines pour leur faire exécuter leurs projets - d'asservissement du genre humain. Lire ici Ephésiens ch. 6

Le covid a été un jugement sévère de Dieu; signe qu'on est parvenu au terme d'un temps de grâce et de patience divines.

Face ou sous la pression d'un jugement, la meilleure réaction du cœur humain est de s'humilier. Nous devons nous abaisser, confessez nos fautes et revenir à Dieu.

Qui l'a fait depuis le mois de mars ? Certainement pas mal de personnes; mais le plus souvent dans le secret de leur cœur, et ensuite cela n'est pas facile à partager dans un environnement comme le nôtre où la laïcité est devenue une couverture qui couvre l'athéisme (et un athéisme conquérant, lui aussi).

Sur la 5 ce soir, manifestement inquiète, l'animatrice de "C à vous" a posé la bonne question : Qu'est-ce qu'on a raté pour en arriver là ?
Silence perplexe !
Alors que la réponse est évidente, eu égard à ce que l'univers n'a pas pu se créer tout seul; à ce que la vie n'a pas pu sortir de la matière inerte par hasard; à ce qu'il faut une intelligence bien supérieure à la nôtre pour produire tout ce qu'on a sous les yeux; à ce que la Bible, qui a traversé comme aucun autre livre les millénaire, est largement disponible pour que nous y ayons accès sur papier ou sur le net, traduite en plus de 700 langues !
Et puis, en face de nos comportements moraux notre conscience qui nous accuse plus d'une fois, est là elle aussi pour nous parler de la réponse à cette question.

Et la réponse est donc toujours la même : Revenez à Dieu !
Car Dieu vous aime !
Repentez-vous de vos péchés, de nos fraudes, de vos magouilles, de vos dissimulations (fraude fiscale comprise), de vos tromperies, manipulations, incestes, pornographies, meurtres...

Sortez du camp de Satan ! Ce chef invisible des démons; de tous les esprits sortis de leur rang et engendrant dès lors le mal. Il est l'inventeur du mensonge, et quiconque ment en fait son autorité, dit Jésus !

Trouvez un refuge en Dieu, car les épreuves ne vont pas s'arrêter si vite. La deuxième vague est venue, accidentelle ou programmée c'est la même chose, parce que la première n'a pas eu cet effet bénéfique pour tous d'un retour important (des autorités qui gouvernent le pays notamment) à Dieu.
S'entend au Dieu véritable, à l'unique Dieu souverain, dont Abram le mésopotamien fut le premier après le déluge à retrouver la croyance et la relation (ce qui lui valut de devenir Abraham - père de multitudes).

Cette même foi est à (ré)activer en nous, par la confession de nos fautes et la demande au saint-Esprit de sa venue en nous comme force venant nous habiter pour faire moins de mal et le bien.Voilà ce qui a été raté !

Et c'est toujours individuellement qu'on revient à ce Dieu, car le salut de notre âme - la survivance post-mortem éternelle de notre moi conscient - est toujours individuel, personnel.
Et si vous avez lu jusque là, ce n'est pas par hasard : Revenez à Dieu, ou désirez être mieux positionné-e dans votre relation avec lui. Demandez-lui qu'il se révèle personnellement à vous.

Ce retour est possible pour tous. Car Dieu s'est fait homme, fils même comme Isaac que Dieu demanda à Abraham de sacrifier sur le Mont Morija, puis, ayant vu l'obéissance de sa foi, lui donna un bélier pour le sacrifice, en lui disant qu'en son temps il pourvoirait lui-même pour ôter les péchés d'un fils,. Et c'est ce qui se fit par la personne de Jésus "afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle.
16 Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises.20 Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées ;21
mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites en (conformité avec) Dieu."

Ici guide de prières pour faciliter ce rapprochement si bénéfique du Dieu unique, vivant et vrai.

Soyez béni-e du plus haut des cieux.

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6 octobre 2020 2 06 /10 /octobre /2020 09:20

Quand la nature se déchaîne, c'est qu'on n'en a pas respecté
les lois et écosystèmes et/ou pour nous montrer
notre vulnérabilité et besoin d'un secours supérieur.

Une phrase qui résume ce qui s'est passé ces derniers jours dans l'arrière-pays niçois : "On n'a jamais vu une chose pareille de toute notre vie !"

Les scènes apocalyptiques s'enchaînent sur tout le globe : après les feux gigantesques, pendant des conflits armés incessants, sur les côtes d'Armor ou sur la côte d'Azur des déluges d'eau qui emportent des maisons et tuent.

Alors Jésus nous dit encore "Croyez-vous que ceux-là fussent de plus grands pécheurs (ayant fait plus de mal) que tous les autres, parce qu'ils ont souffert de la sorte ?3 Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également." Evangile selon Luc, chap. 13

Le drame dans les drames, c'est lorsqu'on a perdu de vue qu'il existe un Dieu juste qui est parfois obligé - et désormais de plus en plus souvent - de laisser venir des événements qui sont des jugements sur nos comportements.

UN CHOC POUR CEUX QUI RESTENT

Jésus parle là de jugements qui éclatent "pour l'exemple" en quelque sorte, non plus pour ceux dont l'âme a basculé (du bon côté ou pas) hors de notre temps, mais pour atteindre la conscience de ceux qui restent.
Pour un retour à la conscience que ce monde n'a pas été créé par hasard mais qu'il est, à l'origine, une œuvre divine merveilleuse... que nous polluons, désorganisons, livrons au chaos par nos pensées et paroles mauvaises, par nos comportements.

Que celui ou celle qui lit comprenne déjà que ce n'est pas par hasard que cet article lui est tombé sous les yeux, et qu'il ou elle comprenne que Dieu l'aime et ne nous veut pas de mal, mais désire nous sauver d'une manière de vivre et de croire qui mettent non seulement notre existence en danger de souffrances importantes ou de mort, mais encore qui menacent de priver de la meilleure éternisation possible notre âme - qui ne meurt pas en même temps que le corps on le sait de plus en plus.

Soyez éclairé-e par la grâce (imméritée) du Dieu Créateur et Rédempteur.

Ici Guide de prière(s) pour trouver le pardon et la paix avec le Dieu de la Bible.

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  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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