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11 juillet 2019 4 11 /07 /juillet /2019 19:42

Avez-vous déjà suffisamment aperçu que nous sommes,
bien plus qu'un corps avec un cerveau,
une âme (aux attributs psychiques subjectifs), voire un esprit (dont l'objectivité écoutée éclaire notre conscience comme nos choix) ?

Mal à avancer !? À comprendre ce qui vous arrive, ce qu'on vit ; à se défaire d'une situation problématique... Allez vers les psaumes !
Une solution aux effets parfois bien surprenants, car Dieu parle, et la Bible est un recueil de Ses Paroles qui peuvent avoir du sens et de l'effet pour n'importe qui d'entre nous, à n'importe quelle époque ou moment de notre existence.

Ainsi on trouve parmi les psaumes des paroles qui nous correspondent, qui peuvent devenir notre prière, être une amorce pour que nous apprenions à mieux nous connaître, à parler à Dieu, à entrer dans une relation de confiance avec lui.
Et cela dans la foi qu'il nous connaît déjà et qu'il nous entend - et même qu'il nous attend. Qu'on a du prix à ses yeux, malgré bien des égarements dont il désire nous libérer.

Alors commencez si vous ne l'avez jamais fait : Parlez au grand Dieu créateur de l'univers ! Dans cette idée modeste et audacieuse à la fois, que si nous le cherchons, si nous cherchons ce qui nous sépare de nous, il envoie sa lumière et se laisse trouver par nous.

Il suffit pour lire ou écouter (en cliquant ensuite sur la gauche) de cliquer sur tel ou tel nombre choisi.

PSAUMES SUR LA CONNAISSANCE DE SOI
8 - 39 - 139 - 144

PSAUMES EN VUE D'UN RECOURS A DIEU - TRISTESSE, DÉCONVENUE...
Psaumes 3 - 4 - 7 - 9 - 10 - 12 - 17 - 25 - 28 - 31 - 39 - 42 - 43 - 44 - 51 - 54 - 55 - 57 - 60 - 70 à 74 - 77 - 79 - 83 - 85 - 86 - 120 - 123 - 129 - 131 - 137 - 141 - 147

SORT DES MÉCHANTS - AVERTISSEMENTS
Psaumes 2 - 4 - 14 - 36 - 39 - 51 à 54 - 64 - 73 à 82 - 94 - 109 - 140

DEMANDE DE PARDON
32 - 38 - 51 -

PSAUMES ANNONÇANT JÉSUS LE MESSIE ET CHRIST SAUVEUR
2 - 8 - 16 - 22 - 24 - 40 - 41 - 45 - 68 - 69 - 71 - 72 - 89 - 102 - 110 - 118

DÉSOLATION
6 - 13 - 18 - 22 - 28 - 38 - 59 - 69 - 88 - 102 - 109 - 144

JOIE - CONFIANCE - RELÈVEMENT
1 - 16 - 18 - 23 - 25 à 28 - 30 - 32 - 37 - 42 - 43 - 47 - 56 - 61 - 62 - 63 - 73 - 81 - 91 - 107 -114 - 116 - 119 - 121 - 124 - 133 - 140 - 145 à 147 - 149

ADMIRATION DES ŒUVRES DE DIEU
8 - 9 - 29 - 65 - 68 - 74

LOUANGE À DIEU
5 - 8 - 9 - 15 - 19 - 20 - 21 - 24 - 29 - 32 - 33 - 36 - 40 - 45 - 47 - 48 - 50 - 64 à 68 - 72 - 75 - 78 - 80 - 84 - 87 - 89 à 101 - 103 à 108 - 110 - 112 à 119 - 125 à 129 - 134 - 135 - 136 -138 - 139 - 144 à 150

Soyez encouragé-e et béni-e pour trouver Dieu en sa grâce

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4 avril 2019 4 04 /04 /avril /2019 09:04

On apprend que les GAFA vont investir le champ des possibles dans le domaine des jeux vidéo. Un domaine qui rapporte des milliards d'euros ou de dollars à la pelle !

Le jeu et les jeux, c'est bien.
Dans la mesure où on ne joue pas avec n'importe quoi, et dans la mesure où le repos et la détente, le loisir donc, accompagne heureusement, sans les remplacer, les temps nécessaires de travail et de sommeil.

DE LA LIBERTÉ À L'ESCLAVAGE
Sinon ce n'est plus ni du ludique ni du loisir, mais de l'obsession, jusqu'à l'addiction.
En termes plus clairs, c'est entrer dans une dépendance au point où des esprits maléfiques - comme les démons qui paraissent dans certains jeux* - peuvent venir sur les joueurs pour les "compulser", les presser à jouer et à jouer encore, jusqu'à possiblement prendre autorité sur toute la volonté de la personne.
C'est ce qu'on appelle la possession. C'est progressivement et par palier un glissement dramatique qui va d'un désir à une envie, de la convoitise à une action qui y répond, et encore d'une tentation (maléfique) à l'obsession, l'oppression, la compulsion et au pire la possession et/ou le suicide ou tout autre acte destructeur.

Le caractère démoniaque d'une intrusion dans nos existences se reconnaît encore en ce que les hiérarchies et priorités dans l'ordre ordinaire des choses sont bousculées et les relations avec l'entourage deviennent de plus en plus conflictuelles.

MESSAGES SUBLIMINAUX ET HYPNOSE
Pour revenir plus directement a ce qui vient d'être annoncé à la télévision (peut-être sur la 1), on a encore pu entendre que, glissés dans le déroulement des actions de jeux, il pourra y avoir des flashs très brefs de publicité.
Si brefs que ça n'arrêtera pas le jeu ! Ce qui s'appelle en langage décodé des messages subliminaux. Rien de mieux pour atteindre l'âme (le fond profond de notre personnalité) sans même que les yeux (ou les oreilles quand ce sont des messages introduits dans des chansons) ne le perçoivent. Ainsi la conscience est court-circuitée, le message est passé et va produire inéluctablement un effet: nous faire acheter tel ou tel produit ou service. Ce qu'on fera sans avoir la moindre idée de pourquoi on achète.

C'est le même procédé que ce qui se passe sous hypnose.
J'ai assisté un jour à une séance où un médium (pas particulièrement connu et puissant) a endormi (hypnotisé) une femme, puis lui a dit que lorsqu'elle sera réveillée, elle aille chercher pour lui une bière dans le frigo.
Une fois réveillée, sans dire un mot, elle est partie et revenue avec une bière qu'elle a offerte au médium !

Un homme (une femme ou un enfant) averti en vaut deux ! Et "Faute de connaissance, mon peuple dépérit" dit Dieu par le prophète Osée.

¤

Le temps est une force ; amie ou ennemie.

Si le temps est une force, il n'est pas juste de considérer l'univers comme étant fait et seulement dépendant de "4 forces fondamentales et interactions élémentaires"** responsables de tous les phénomènes physiques observés dans l'Univers !

Les richesses, compris le temps et de belles pensées, sont un bien.
Mais elles peuvent aussi être un réel embarras.

Un embarras embarrasse notre liberté.
Mais il peut en même temps être une lumière qui nous alerte. Et cette interpellation, si on y est sensible, va pouvoir nous aider à nous débarrasser d'encombrants, de nature psychique ou spirituelle.

Ce qui confirme le constat de George-Bernard Shaw:
"Il y a deux tragédies dans ce monde: avoir et ne pas avoir, être riche et ne pas être riche".

Si les riches et les pauvres le savaient, ils se rencontreraient bien mieux.
Mais pour cela, il faut le vrai Dieu** au milieu. Donc dans les cœurs... pas l'argent ou l'attrait du pouvoir.

La convoitise est donc toujours un vilain défaut.
Sauf si on l'observe réagissant en nous en tant que tel, et si on sait comment se défaire de nos travers et autres mauvais penchants. (ce blog apporte à ce sujet l'essentiel des solutions).

Et la pollution est à découvrir premièrement dans notre propre intérieur.
Dans nos pensées injustes, dans nos paroles mal à propos ou franchement toxiques, dans ces réactions spontanées qui ne sont pas ou ne restent pas sous notre contrôle.

C'est ce qui nous échappe qui doit (aussi) nous interpeler.
Quand on dit ou fait quelque chose qui est "plus fort que nous" ! Qui le fait, si ce n'est pas nous ?

La connaissance de l'univers, a dit Socrate, commence par la connaissance de soi.
Et en même temps, le monde qui nous entoure peut contribuer à mieux se connaître soi-même. C'est donc comme les deux pédales d'un vélo.

Et comme on a été créé avec deux jambes et deux bras, on a été créé avec une âme et un esprit.
Mais qui nous l'apprend ?
Certainement pas ceux qui profitent de nos ignorance.

Mais le Dieu qui nous a créés - et nous aime*** - veut que nous sachions.
Comment il nous a faits ; Pourquoi on marche mal, comme des unijambistes ou des hémiplégiques ; Pourquoi on est manchot d'un bras, étant privé de son bon et saint Esprit ;
Pourquoi on ne sait pas aimer, et se laisser aimer !?...

Cherchons et nous trouverons

______________________
* Si des êtres (souvent affreux ou malignement séducteurs) d'une autre nature que nous et d'autres mondes ont pu être inventés, c'est parce qu'effectivement des êtres surnaturels démoniaques existent et peuvent interférer dans nos existences, selon la place qu'on leur donne par nos comportements. (Ce sont des anges déchus, sortis de leur rang, dont Satan est le chef).

** Les 4 forces admises sont la force d'interaction nucléaire forte, la force d'interaction électromagnétique, la force d'interaction nucléaire faible et la force d’interaction gravitationnelle.

*** Le vrai Dieu est Amour et Justice.
Mais Justice avant de pouvoir libérer son Amour...

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18 février 2019 1 18 /02 /février /2019 16:09

 

Connaissez-vous cette histoire d'un homme qui dans la nuit a perdu une clé et la cherche sous un lampadaire ? Quelqu'un le voyant en difficulté s'approche, lui propose de l'aider, et comme ils ne trouvent pas finit par lui demander : - Vous êtes sûr de l'avoir perdue ici ?
- Non non ! Je l'ai perdu plus haut, là-bas dans le noir ; mais pour y voir plus clair je suis venu sous ce lampadaire.

SANS BLA-BLA
Ne comptez pas ou plus parvenir par vous-même à une satisfaction assez durable si vous n'avez pas pour appui une véritable croyance en Dieu, la foi en Jésus le Rédempteur (Rédempteur potentiel pour tous, ou déjà actif pour notre relation lui avec nous).

L'insatisfaction est au cœur de notre existence, que ce soit par exemple pour le riche qui a trop comme pour le pauvre qui n'a pas assez. Poser une frontière entre pauvre et riche, comme vouloir qu'il n'y en ait pas, est un égarement. Croyons-nous naïvement que les riches ou les célébrités sont épargnés par le mal ? Croyons-nous injustement que prendre aux riches pour donner aux pauvres sera un bien bénéfique pour l'un et pour l'autre ? La réalité montre, notamment par le communisme et le socialisme (deux faces politiques illusoires et illusionnistes de l'humanisme), que ça ne marche pas. Car nous sommes tous capitalistes au fond, cette déviance du déploiement dynamique de soi dont le Créateur nous a heureusement pourvu...

1er TYPE DE SATISFACTION
C'est la satisfaction qui s'obtient à partir des besoins (réels) et des désirs (légitimes).
a) Besoins et satisfactions corporelles ET psychiques : de se nourrir, de bouger (de travailler), de paix et de repos (dont les loisirs), de dormir, d'acquérir des connaissances et des biens, de réfléchir et de construire, de se développer, de relations... et encore d'éliminer (déchets et toxines physiques mais aussi des choses (principalement entendues ou vues) fausses, frelatées,trompeuses, injustes...
N'est-ce pas merveilleux que Dieu nous ait créés êtres vivants avec des besoins qui à la fois nous mettent en action (contraire du laxisme, de l'oisiveté vicieuse, de la paresse) et procurent du bien, des énergies et des satisfactions sensibles !?

Un chant dit : "Compte les bienfaits de Dieu, et tu verras en adorant combien le nombre en est grand..."

Une prière d'enfant de Dieu : "Enseigne-nous à bien compter nos jours, Afin que nous appliquions notre cœur à la sagesse.13 Re-viens, Éternel ! Aie pitié... !14 Rassasie-nous chaque matin de ta bonté, Et nous serons toute notre vie dans la joie et l'allégresse."

ET LES FAUX BESOINS !?
Attention à ne pas vous laisser séduire et frustré-e par des faux besoins ! Les plus courants dans notre Occident matérialiste sont un besoin de confort qui dépasse largement ce qui nous est nécessaire pour être bien. Cette mauvaise idée et conception du confort poussent à des achats superflus, parfois compulsifs, qui nous appauvrissent au lieu de nous être en bénédiction.
Autre faux besoin : la sexualité ! Cette fonction n'est pas un besoin ! Elle est une option qui résulte d'un choix d'existence entre désirer unir toute sa vie à une autre, complémentaire, aimée plus que soi, et rester sciemment célibataire, c'est-à-dire sans activité sexuelle... qui est le cadeau que Dieu ajoute à celles et ceux qui optent pour une union de cœur et d'âme.
D'où il résulte que mal appliqué, ce don particulier qu'est la sexualité peut devenir un piège, un ennemi de l'amour même, un enfer... Quelqu'un a dit : "Rien n'est pire que la corruption du meilleur."

De même le besoin d'agent peut être perverti par la cupidité, l'avarice, ou au contraire une prodigalité (générosité excessive) qui changent les bienfaits de l'avoir en source de mal-vivre.

b) Autres que les besoins sont les désirs.
Leur caractère peut être tout aussi pressant qu'un vrai besoin, ce qui nécessite là aussi que nous acquérions une maîtrise.
Tous les désirs ne sont pas bons, et tous ne sont pas mauvais ! Il n'est pas question de faire soi-même mourir tous nos désirs pour faire disparaître nos souffrances ! Cette vue - bouddhiste, que je trouve particulièrement insatisfaisante, cause de frustration plus que de libération - relie toutes les souffrances aux désirs dès lors qu'ils restent inassouvis.

Cela n'a rien à voir avec l’Évangile, où la marche à suivre s'exprime plutôt ainsi (Psaume 37) :
"4 Fais de l'Éternel tes délices, Et il te donnera ce que ton cœur désire.5 Recommande ton sort à l'Éternel, Mets en lui ta confiance, et il agira."
Il ne s'agit pas d'annihiler - à notre détriment - nos désirs, mais d'expérimenter un relationnel bon, apaisé, filial et même amoureux avec Dieu.
Étant lui-même le créateur de ce moteur du vivant qu'est le désir, il ne peut vouloir qu'on le piétine purement et simplement. 
Dieu respecte la légitimité du désir... sans pour autant tout nous accorder comme certains font (au détriment der tous) à des enfants versatiles et capricieux : Dieu ne "gâte" pas ses enfants !
Car c'est dans notre nature (adamique, abîmée, dégradée, largement inconsciente du Réel et de ce qui est bien et mal) que nous ayant des désirs sans avoir la moindre idée de ce qui est bon ou mauvais pour nous. Notamment sollicités par les publicités et autres manipulations médiatiques, films, chansons... venant diaboliquement (et le mot n'est pas que métaphorique) jouer sur notre fond dénaturé qu'est la convoitise - une perversion du désir.

On a vu là ce qui peut produire des satisfactions légitimes, bonnes, agréables, et causer des insatisfactions dès lors que Dieu ne nous habite pas (suffisamment) par son Esprit pour nous faire avancer la lumière de Dieu et de Christ et ses libérations.

"Plusieurs disent : Qui nous fera voir le bonheur ? Fais lever sur nous la lumière de ta face, ô Éternel !7 (4 : 8) Tu mets dans mon coeur plus de joie qu'ils n'en ont Quand abondent leur froment et leur moût.8 (4 : 9) Je me couche et je m'endors en paix, Car toi seul, ô Éternel ! tu me donnes la sécurité dans ma demeure."

On a compris que la quête du plaisir n'est pas la bonne démarche. Car le plaisir n'est qu'une conséquence, et court-circuiter sa et ses causes, c'est-à-dire ses conditions, c'est entrer dans une chasse qui ne permet pas d'atteindre ce qu'on vise et recherche. Jusqu'à l'épuisement du plaisir et du désir, la nausée et l'éloignement du bonheur.
C'est en ce sens que Barbey d'Aurevilly écrivit : "
Le plaisir est le bonheur des fous, le bonheur est le plaisir des sages."

2e TYPE DE SATISFACTION
C'est une satisfaction plus rare, que l'incroyant ou le religieux peut poursuivre vainement toute sa vie. C'est une satisfaction de vivre qui repose sur une paix intérieure établie, et non sur une paix qu'on n'a pas et qu'on cherche sans cesse à s'accaparer, que ce soit par des méditations fastidieuses, des liturgies répétitives ou encore par des exercices corporels. 
En fait nous cherchons par là à obtenir, par nos propres efforts, persévérance, constance, et routine, ce qui peut nous être... donné ! Donné par Christ, par Dieu lui-même seulement, à quiconque se présente en vérité, sans faux-semblant, sans duplicité, dans une foi droite, devant lui.
Ce que Jésus dit à ses disciples : "
Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s'alarme point. "

Cette paix peut être attaquée, agressée de diverses manières, mais elle résiste à pas mal d'oppositions, et si on vient à la perdre, on la retrouve sans des tas d'exercices, en nous, par la foi et la confiance réitérée en notre Dieu et Sauveur qui en est le garant.
Qui est le Prince de la paix, c'est-à-dire Celui qui en dispose plus que tout autre ?
Il a été annoncé ainsi, 7 siècles avant qu'il ne paraisse sur terre, par le prophète Ésaïe (
Yeshayahu  en hébreu) :
"Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, Et la domination reposera sur son épaule ; On l'appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix."

Ainsi, si vous cherchez la paix, intérieure, du cœur, et encore avec vos circonstances de vie et avec vos relations (obligées), sachez que c'est Jésus (Yeshoua en hébreu) qui en a la clé et seul peut nous la procurer durablement (éternellement même).
N'est-il pas merveilleux de pouvoir lire - et croire - cet exposé de l’Évangile ? "
Maintenant, en Jésus Christ, vous qui étiez jadis éloignés, vous avez été rapprochés par le sang de Christ (par sa mort pour nous).14 Car il est notre paix, lui qui des deux (les juifs et les autres) n'en a fait qu'un, et qui a renversé le mur de séparation, l'inimitié... afin de créer en lui-même avec les deux un seul homme nouveau, en établissant la paix,16 et de les réconcilier, l'un et l'autre en un seul corps, avec Dieu par la croix, en détruisant par elle l'inimitié.17 Il est venu annoncer la paix à vous qui étiez loin, et la paix à ceux qui étaient près ;18 car par lui nous avons les uns et les autres accès auprès du Père, dans un même Esprit."

On comprend ainsi que l'antisémitisme (et autres expression de racisme) qui ronge les cœurs de beaucoup, ne peut en être ôté que dans la foi en Jésus - le juif mort pour la libération des cœurs de tous.

On comprend ainsi que la satisfaction transcendante - qui aussi sublime celles relatives à nos besoins élémentaires vitaux et à des désirs légitimes - tient d'une paix (r)établie avec Dieu, qui met sa paix en nous.
Et on peut alors parler d'une satisfaction de vivre, une satisfaction non plus obtenue par diverses manières de faire, mais par la foi en Christ, qui devient notre rédempteur, la source d'un bien-être nouveau.
A partir de là, on peut comprendre et vivre que "
C'est, en effet, une grande source de gain que la piété avec le contentement ;7 car nous n'avons rien apporté dans le monde, et il est évident que nous n'en pouvons rien emporter."

La quête du bien-être vient de ce que nous sommes tous mal en nous-même, adamiquement dégénérés, dénaturés, amoindris, ne nous aimant pas - ou trop ! -. C'est une quête de bien-être en soi et forcément avec notre environnement, nos proches.
Voire une quête de l'amour, toujours maladroite ou, grand il nous tombe dessus, jamais évident à gérer...

Dieu m'a fait la grâce de se révéler à moi comme étant une réalité effective, dont j'ai cherché en retour la face (les faces), les bénédictions, le repos, la compréhension, le sens de tout. Et c'est seulement dans ce relationnel à la vertical que je suis parvenu à saisir les pourquoi - et les pour quoi - des insatisfactions et encore la différence entre les satisfactions laborieuses et toujours éphémères liées à notre volonté et s'obtenant par quelque chose à faire (acheter encore, pratiquer encore plus, ne pas lâcher...), et les satisfactions qui sont dans un repos, dans l'être. Dans l'être entier, reconstitué par Christ et son Esprit à l'image originelle de Dieu, tri-unité accordée d'un corps, d'une âme et de l'Esprit (de Dieu).

L'apôtre Paul écrit ainsi à de nouveaux croyants au Christ-Messie Jésus : "Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes ?20 Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu."

Et encore : "Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l'esprit, si du moins l'Esprit de Dieu habite en vous. Si quelqu'un n'a pas l'Esprit de Christ, il ne lui appartient pas."
Est-ce clair !?

CHERCHER LE BIEN-ÊTRE OÙ IL A ÉTÉ PERDU
Pour être dans le maximum de satisfaction connaissable sur terre, de repos, de sécurité, de bien-être, il faut venir ou revenir à Dieu jusqu'à être à lui.
Une appartenance semblable à celle d'un enfant à son père. Certes, comme dit le Petit Prince, on peut se prendre pour "des grandes personnes", qui n'ont pas besoin du surnaturel divin pour vivre ! Mais dans cette prétention, on reste des enfants sans père, et on sait tout le mal qui s'en suit dans la vie d'un enfant qui n'a pas connu son père ou a eu un mauvais père.

Car même si la maman est capable d'apporter une bonne contribution à son enfant, l'absence d'un père véritable engendre toujours un manque qui laisse place à des problèmes, pour le moins à des séquelles...

Et cela aussi parce que l'humanité entière a hérité d'une sorte de père malveillant qui cherche et trouve en chaque être humain des moyens de mal faire, de faire mal faire et contribue à notre mal être.
Jésus en a ainsi parlé à des leaders religieux - et donc cela s'applique au moins autant à des croyants lambda ou à des incroyants :
"Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge.45 Et moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez pas."

Qui parmi nous ne ment jamais ?
Mentir est suffisant pour que Satan ait des droits sur nous ! Qu'on le croit ou pas, et même d'autant plus qu'on ne le croit pas !
Qui donc est assez grand et fort et perspicace et suffisant pour vivre son existence sans subir des attaques plus ou moins virulentes, aux conséquences parfois bien dramatiques... qui pourraient être évitées !?

Or on peut en éviter ou être gardé de pas mal de difficultés et souffrances, quand on a trouvé en Dieu le Rédempteur qui a terrassé Satan et pris le dessus sur toutes sortes de maux par ses souffrances et sa mort injuste et sa résurrection.
C'est tout le bien, la satisfaction suprême que je vous souhaite et invite à rechercher et trouver... au bon endroit - Vous vous souvenez de la petite histoire !?Emoji

C'est ma prière que le Dieu vivant et vrai vienne en aide, voire au secours de quiconque aura lu cet article. Amen... et à suivre bien sûr !...

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19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 19:12

"DIEU EST AMOUR" affirment la Bible et ceux qui vivent déjà quelque peu de la réalité de cet amour immense. Mais vous, l'expérimentez-vous ou voulez-vous l'expérimenter ?

J'ai besoin de me savoir aimé. Pas vous ? Pour moi être aimé est devenu une composante de l'existence.
C'est une prise de conscience qui n'a rien d'inné, mais qui s'est formée au fil d'expériences amoureuses (bonnes, épanouissantes, merveilleuses) et celles aussi (douloureuses, parfois terribles, où le cœur saigne) du retrait de l'amour de l'autre.

De cet genre d'abandon m'est resté des décennies durant, dans un coin du fond de mon âme*, un sentiment confus d'insécurité, une crainte que quand ça va bien l'autre me lâche (pour quelque faute ou maladresse de ma part ou même sans que je sois explicitement en cause).

J'ai ainsi découvert que je suis (qu'on est tous, de manière consciente ou pas) tributaire de l'amour que quelqu'un d'autre peut nous porter et exprimer. Et faute d'être aimé, on est un peu comme une plante non arrosée ou une fleur coupée.
_________________
* Dieu peut changer en nous ce genre de problématique constitutive, mais il nous faut parfois du temps avant de réaliser que tel élément de notre personnalité n'est pas particulièrement nous, notre personne, mais plutôt dans certains cas une excroissance, ou dans d'autres une déficience, un artifice insidieux qui peut être changé pour un mieux en nous-même.

¤

AMOUR ET TRAHISON, LA DOULEUR

Dans la Bible on découvre l'histoire de Jésus trahi par un de ses douze premiers disciples. Cette trahison de Judas va conduire jusqu'à la crucifixion de Celui qui l'aimait et lui accordait toute sa confiance (malgré les travers qu'Il connaissait de lui, dont sa cupidité).

Tous les rejets que nous pouvons subir ne conduisent pas ainsi à la mort : mais certainement à des blessures qui peuvent restées des plaies ouvertes, sensibles, très longtemps, jusqu'à modifier notre relationnel de bien mauvaise manière.

C'est que parallèlement à l'amour - et même en confrontation avec ce sentiment fabuleux, surnaturel -, on découvre aussi que le mal existe, et on cherche à s'en garder, comme on peut : dureté, cuirasse, carapace, blindage du cœur, dérision, dérivatif, stupéfiant quelconque…

Je crois qu'on est tous ainsi de ces accidentés psychiques (dans l'âme) de la vie, qui voudrions bien encore connaître un vrai et bel amour, mais ne savons pas entrer dedans, notamment par crainte d'une infidélité qui fera souffrir encore…

Alors on reste superficiel/le, on traite les choses à la légère, on ne veut pas se laisser enfermer, et casser encore… Bref, on vit en handicapé du cœur, avec tous les comportements-béquilles malsains que cela peut occasionner.

L'AMOUR EST D'UN AUTRE MONDE

C'est que l'amour n'est pas de ce monde. L'amour est un attribut constitutif exclusif de Dieu : Lui seul EST amour. Nous avons à l'apprendre et à le comprendre… et mieux encore à l'expérimenter.

Ce qui signifie que le pouvoir d'aimer et d'être aimé n'est pas en notre possession. C'est une grâce de Dieu que parfois notre cœur peut se mettre à brûler pour quelqu'un d'un vrai et superbe amour – c'est-à-dire un amour sans condition, désintéressé, qui n'a rien à voir avec une séduction derrière laquelle est cachée un calcul, une arrière-pensée).

Cette problématique de notre séparation de Dieu qui est amour - on n'en expérimente plus alors que des jugements - et de notre incapacité à tenir et retenir naturellement l'amour - d'où les ruptures ou les tromperies - vient d'un fait qu'on appelle la chute - une descente et un enlisement terribles du genre humain. Ce que nous révèle en une brève synthèse formidable le 3e chapitre du livre (biblique) de la Genèse.

Tous blessés, mal-réactifs, jamais satisfaits, égocentriques, insatiables, en manque, inintelligents au Réel tel qu'il est, idolâtre, accro à quoi que ce soit…, rien ne nous est plus difficile dans notre monde que d'aimer, de vivre durablement même un amour véritable.

Car l'amour véritable (du cœur) tient de la perfection, de la pureté, de la droiture, de la vérité, du don, de la primauté de l'autre. Il a besoin de justice, de respect, d'une certaine exclusivité. Sinon, oups ! Il est parti – chez l'un ou chez l'autre, ou chez les deux, et on ne sait pas davantage comment réparer que comment préserver.

Ce qui veut dire que pour des gens naturellement égocentrés comme nous (surtout en occident), si aimer peut nous "tomber" dessus à l'improviste de plusieurs manières, continuer à aimer, choisir l'amour comme plus important que tout ce qui vient le contrarier, tient de la force, de la détermination, d'une volonté et d'une intelligence… qui sont loin de nous être naturelles.

PASSER D'UNE EXISTENCE NATURELLE TRONQUÉE À LA VIE SURNATURELLE

Pourquoi a-t-on besoin de Dieu !?

a) Parce que son amour peut devenir constant dans notre existence comme il est écrit ici :
"Étant justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ; 2 c’est à lui que nous devons d’avoir eu par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes, et nous nous glorifions dans l’espérance de la gloire de Dieu.3 Bien plus, nous nous glorifions même dans les tribulations, sachant que la tribulation produit la persévérance,4 la persévérance une fidélité éprouvée, et la fidélité éprouvée l’espérance.5 Or, l’espérance ne trompe pas, parce que l’amour de Dieu est répandu dans nos cœurs par le Saint-Esprit qui nous a été donné."

b) Parce que son amour – si nous acceptons de faire alliance avec lui dans cet amour – ne nous trahira jamais, mais travaillera toujours à nous amener plus près de son cœur, dans son amour :
"Aucune tentation ne vous est survenue qui n’ait été humaine; Dieu est fidèle et ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces; mais avec la tentation, il donnera aussi le moyen d’en sortir, pour que vous puissiez la supporter." 1 Corinthiens 10:13.

Et s'il nous arrive de lui être infidèle (par quelque faiblesse, insuffisance...), il ne nous lâchera pas mais travaillera à rendre notre connaissance du Réel et notre relation à lui plus solide et permanente. Notamment selon que "si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et nous purifier de toute injustice."

c) Parce qu'ayant été blessé/e par une rupture, nous avons aussi besoin de guérison intérieure :
Le prophète Esaïe dit du calvaire de souffrances de Jésus : "Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur Et habitué à la souffrance, Semblable à celui devant qui l’on se voile la face, Il était méprisé, Nous ne l’avons pas considéré. 4 Certes, ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé."

Dieu a prouvé là de manière très concrète la force et la détermination par lesquelles il a fait le nécessaire pour que nous puissions le connaître, déjà d'ici maintenant, en tant que Dieu qui est amour.
L'apôtre Jean l'a écrit ainsi :
"Pour nous, nous (l')aimons, parce que lui nous a aimés le premier."

Comment cet amour céleste a-t-il été manifesté ?
"En ceci, Dieu prouve son amour envers nous: lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous.9 A bien plus forte raison, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère.10 Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à bien plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie…"

Et encore : "Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."

UN MARIAGE AVEC LE BIEN SUPRÊME !

Cela nous apprend que Dieu et/par Jésus a tout fait pour nous ramener dans une vraie paix avec lui – et en nous-même – et jusque dans son amour. C'est comme dans un mariage où l'époux dit : Oui, je veux prendre ...X… pour épouse.

Il reste à la candidate au mariage à dire Oui, je prends …Y... pour époux.

Concrètement avec Dieu, qu'avons-nous - qu'avez-vous - à faire ?

a) A vous réjouir encore si déjà vous avez vécu ce pas de recevoir le Christ Jésus comme le Dieu Sauveur (ce que signifie son nom, Yeshoua en hébreu = Dieu sauve) ;

b) Ou à accepter d'entrer dans cette alliance dont les conditions d'accès ont été accomplies par Jésus, et pour la vie épanouissante de laquelle il vous reste à vouloir être vous-même fidèle.
Ce qui signifie remettre en cause un mode d'existence que vous avez eu jusque là et qui n'a pu ni vous rendre heureux/se ni assurer votre paix et meilleure sécurité face à votre quotidien ou aux imprévus, sans parler de votre futur et face à la mort vers quoi on avance.

Renoncer au mal pour recevoir le meilleur des biens ! Tel est le défi que Dieu nous lance. Un choix déterminant de tous les autres aux effets courant jusqu'au delà de la mort physique. C'est pas rien !
Choisir car tout n'est pas compatible avec cette alliance. Et parce qu'il s'agit d'une alliance de vie et d'amour, on doit décider de laisser ce qui est mortifère, ennemi de la justice, de la vérité, de la confiance, de l'amour.

Jésus dit que "par tes paroles tu seras justifié-e, et par tes paroles tu seras condamné-e." (Mat 12.37).
A chacun-e de voir ce qu'il-qu'elle répond à l'offre unique d'union que la Bible et Jésus mettent à la disposition du genre humain pour relever de la chute quiconque veut changer pour rejoindre ce plan rédempteur de Dieu.

Un chant simple mais vrai

Dieu vous aime mais le savez-vous par expérience ?
Dieu vous aime mais le saurez-vous ?

Soyez aidé-e pour faire le pas de foi de votre propre salut éternel.

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13 octobre 2018 6 13 /10 /octobre /2018 09:56

suite de l'article qui commence ici...

Dans un curieux dialogue entre une femme cathare du XIVe siècle et un européen lambda d'aujourd'hui, on peut lire :
"- Êtes-vous un honnête homme ?
- Pardon ?
Surpris par la question autant que par le ton grave sur lequel elle l'avait posée, je ne savais trop comment réagir. Mais, comme il se doit, je répondis :
- Disons que oui. Je crois être un honnête homme.
Fabrissa pencha la tête et son regard s'aiguisa.
- Un homme qui sait distinguer la vérité du mensonge..."
K. Mosse, histoire-fiction autour de la persécution des cathares.

¤

On a normalement compris qu'une activité intellectuelle on va dire cogito-réflexive ouvre la porte à des champs d'évasion certains.
Mais tous ne sont pas des champs, des sujets pertinents, des évasions peut-être mais pas forcément de la vraie liberté. Un peu comme un prisonnier échappé qui est en cavale, ne pouvant jamais trouver le fond de repos et la vraie liberté - qui sont des réalités de notre espace intérieur (psychique et spirituel).

Dès lors il nous faut chercher, par un exercice qui ne met pas de côté la pensée, la logique, le bon sens, la réflexion, mais la solliciter autrement, au delà de cet intérieur mouvant dans lequel on ne peut pas franchement avoir confiance - en ce sens je crois à l'homme mais pas en l'homme -, en vue de lui permettre de trouver sa meilleure plage d'action et avec de trouver Celui qui est le centre d'espaces supérieurs qui tiennent de la dynamique de l'esprit et non plus de l'âme.
Mais on va garder l'évasion comme idée et expression de ce besoin fondamental qui est le nôtre - conscient ou bien inconscient -, de trouver la porte par où rejoindre le Divin véritable à partir de ce que nous sommes de plus basique...
¤

IMPORTANCE D'AIMER LA VÉRITÉ
Dans un univers où on peut choisir de marcher avec des mensonges ou en tenant à la vérité, c'est un corollaire qu'il y ait parmi nous des divisions ! Car on ne peut honnêtement pas accorder en nos pensées, toutes les pensées, erreurs et mensonges issus de nos relations, cogitations (bien ou mal intentionnées) et autres démons > sur cette dernière source (démoniaque), n'oublions pas que ce monde, s'il appartient à Dieu, appartient sur le terrain (pour encore un peu de temps) à Satan et à ses troupes invisibles, des anges devenus démons en sortant comme lui de leur rang, aussi réels que l'air qu'on respire. 
Parmi les convaincus de l'importance de la vérité, Einstein a dit : "Le souci de parvenir à la vérité doit primer toutes les autres considérations."

ET DONC POUR S’ÉVADER?
Comme Icare eut du faire : En laissant se calmer et se reposer notre âme. Dont on a compris qu'elle est aussi insuffisante qu'en pauvres effervescences*.
_______________
* abimée, entachée, désorientée, au minimum borgne et sourde au bien objectif, du fait de son égocentrisme pathologique (avec des peurs incrustées, des manques comme sont les trous de mémoire, une vue réduite comme par un glaucome... D'où naissent toutes sortes de désirs irraisonnés, de volontés obscures, de pulsions bientôt irrépressibles, de passions incontrôlables et avilissantes, de la mégalomanie pseudo-déifiante au défaitisme le plus anéantissant.

¤

Dès lors qu'on se voit comme dans un miroir non déformant, on n'a plus qu'à (oser) demander son secours à Dieu. Le fait qu'il y ait des religions oblige à préciser : le Dieu véritable, Celui sans qui il n'y aurait ni univers ni nous-même ; Celui qui se tient en retrait à cause de la liberté qu'il nous a accordée et de nos injustices non vues, reconnues et pardonnées ; mais qui aussi se révèle, parle réellement au cœur de manière à être reconnu... et re-vient sous peu.

SE MOBILISER, D'ABORD, POUR LA PREMIÈRE DE TOUTES LES CAUSES
Désirer, vouloir et demander à ce Dieu unique (imité mais jamais égalé) un bon accès aux fondamentaux du Réel (vérités premières), me concernant et le concernant. Car c'est dans cette connaissance objectivée ou ré-objectivée que se produit la rencontre entre le Ciel qu'il est et la terre que nous sommes.

Cesser - quand c'est notre cas - de viser le monde des pensées ! Il existe, comme existe l'univers imaginé et imaginatif d'internet, avec intranet et autre...
Il est haut, et peut être beau et fort appréciable par notre âme (ce qu'on vit en écrivant ou en lisant un livre, en réfléchissant ou expérimentant scientifiquement, artistiquement ou philosophiquement sur les choses... Monde des pensées haut, beau, mais pas assez pour être stable, béatifiant ou simplement source de notre victoire sur les adversités !
Il fait partie de ces choses qui nous dépassent et dont il n'est pas besoin pour vivre bien de connaître les arcanes - qui ne peuvent que conduire à Dieu (si on est honnête) ou à la folie (si on est trop ambigu, comme par exemple Icare) !
La paix et/ou un bien-être stabilité ne viennent pas plus de cette hauteur que de se livrer aux bassesses psycho-somatisées. J'ai trouvé/reçu* (comme quand même pas mal d'autres) qu'on ne peut être apaisé que par notre réception/acceptation* de Dieu en tant que Dieu rédempteur qui nous (r)achète aux forces du mal, qui nous sauve de la mort comprise (le nom Jésus, Yeshoua en hébreu, c'est "Dieu sauve" !).

Et dans cette foi "Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus Christ.2 En effet, la loi de l'esprit de vie en Jésus Christ m'a affranchi de la loi du péché et de la mort.3 Car- chose impossible à la loi (la religion et notre piété religieuse) parce que la chair (faire de notre corps et de notre âme) la rendait sans force -, Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché,4 et cela afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'esprit.5 Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l'esprit s'affectionnent aux choses de l'esprit.6 Et l'affection de la chair (qu'il s'agisse de l'âme ou du corps quand c'est dominant), c'est la mort, tandis que l'affection de l'esprit, c'est la vie et la paix ;7 car l'affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu'elle ne le peut même pas.8 Or ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu."

"Or, les oeuvres de la chair sont manifestes, ce sont l'impudicité, l'impureté, la dissolution,20 l'idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes,21 l'envie, l'ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d'avance, comme je l'ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n'hériteront point le royaume de Dieu.22 Mais le fruit de l'Esprit, c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance ;23 la loi n'est pas contre ces choses.24 Ceux qui sont à Jésus Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs."

Voilà LE choix (primordial, central, existentiel comme essentiel, crucial, final) de toute vie ! Laisser la philosophie et d'autres quêtes de second rang, démontrée(s) depuis le temps, par l'histoire et la masse considérable des écrits tâtonnants, contradictoires, rivaux, compliqués, empoussiérés, et toujours harassants (à écrire ou à lire), et concrètement stérile face à la mort et mortifère face à la vie. Car s'il s'agit de l'âme et de ses développements pour l'existence matérielle, il ne s'agit que de l'esprit pour ce qui est haut et durable, a priori (objectif) et à connecter (à notre sujet) donc.

Laisser le champ de l'esprit et du Divin à son Esprit, pour qu'il nous/vous conduise lui-même progressivement ou mieux de manière révolutionnaire, dans la révélation de l'autre versant du Réel.
Pas seulement l'occulte maléfique dont se voit tant les effets terrestres, mais conduit là où la lumière est et d'où elle vient, éclairante et réchauffante (réconfortante, consolante, vivifiante, enthousiasmante), par la présence divine même, la connaissance juste et à propos, et bien sûr l'amour qui y habitent.

Car oui les connaissances a priori existent, hors de nous - la gnose l'appelaient les grecs anciens... réalité inouïe avec quoi j'ai été mis à son contact. Elle est le monde du savoir vrai, de la connaissance sans erreur ou mensonge. De l'intelligence des choses (connaissance intelligible) en tant que relation éclairée entre les réalités en soi (qui nous précède, ce qui fait l'objectivité permanente du Réel) et le sens qui peut nous en être donné (subjectivité qui se construit, bien ou mal, bénéfique jusqu'à notre éternisation, ou maléfique jusqu'au nihilisme et annihilation alzheimérique).

LE DA VINCI CODE ! SOURCE VÉRITABLE
(S')enfoncer, captif comme Dédale et Icare, dans le champ des pensées et idées, c'est n'arriver tout au plus qu'aux abstractions premières sans mode de décodage ; peut-être aux chiffres magiques, aux proportions et formes comme principes, dont Satan peut donner des clés, et non pas Dieu ! C'est ce qui ressort du cheminement de Léonard de Vinci. Où la religion et religiosité humaine hors-Écritures ou plus précisément hors-Évangile tourne à une mystique qui est d'autant moins lumière qu'elle le semble. Voir le déroutage tout aussi subtil du juif Spinoza et de combien d'autres qui prirent des vessies pour des lumières ! Ou la folie démoniaque développant l'Inquisition, l'opiniâtreté barbare d'un Duc de Guise qui enflamme tout Paris (hécatombe de la St-Barthélémy), d'un cardinal de Richelieu, et encore sous nos yeux la cruauté sanguinaire de l'idée de califat (Daesh) ou encore des accouplements coupables qui se veulent hiérogamiques....

Au mieux, c'est comme on arrive par nos sciences et nos télescopes à voir presque-presque l'instant T de la création céleste physique, mais pas Qui l'a déclenché... parce qu'on n'y croit pas !
Ou à faire des modélisations cosmologiques qui n'ont rien à voir avec la réalité (même Einstein avec sa vision première de l'univers statique et éternel).
Et, sans doute pire, comme Darwin qui, en croyant à sa façon (sa généalogie est unitarienne, qui nie la tri-unité divine et divinité de Jésus) et peut-être en croyant bien faire, croit voir dans des ressemblances de formes animales une évolution, en réalité aberrante, des espèces. Ce qui va donner la théorie de l'évolution qui deviendra rapidement (évolution oblige !) néo-darwinisme, la doctrine pseudo-scientifique"de l'athéisme, qui s'enseigne toujours un peu partout, avec les applications directes destructrices qu'on connaît et qui continue à se développer de manière de plus en plus discutable...

Trop de savoir, trop vouloir voler haut, revient à ne plus rien savoir (comme chanta Gabin). Pire, à savoir par l'âme on sait de travers, on croit le contraire de ce qu'il faudrait, on arrive à prendre le mal pour du bien, et bientôt le bien pour du mal.
Faute d'avoir voulu chercher et trouver (ou de s'en être tenu à ce qui est vrai dans la foi), on devient enfant surdoué de Satan !

Et jusqu'à la paix mondiale, comme le bonheur avec nos proches, peut s'y perdre massivement et/ou profondément.
Et donc ne convient-il pas de s'arrêter où Gabin était arrivé et chanté à 60 ans (à moins que ce soit plutôt l'auteur du chant Harry Philip Green, alors âgé de 63 ans), mais de cheminer encore... pour savoir  ! Comme un jour : J'AI SU ! Où JE SAVAIS (désormais, dans le sens de la plus sûre conviction) que Dieu existe ! C'est pourquoi j'écris encore là, plus de 40 ans après.

DIEU AU DELÀ DE TOUT, MAIS CONNAISSABLE !
Parce que comme il est au delà d'un big-bang quelconque (création de l'univers ou accident grave, EMI, cancer, rupture sentimentale, AVC, maladie orpheline...), Dieu est au delà du champ de la pensée, structuration psychique et contenu qui seront toujours partiels chez nous ; champ particulier mais complet seulement chez Lui.
Pour notre part, c'est comme si, aveugle, on n'avait accès à un éléphant seulement en touchant sa trompe, une patte ou une oreille !
Comprendre donc que chercher "Comment ça marche là-dedans" comme s'il s'agissait d'un élément physique de la matière (ou même de l'anatomie des vies terrestres), c'est se mettre le doigt dans l’œil ! Hormis Dieu toutes choses a des limites.
"Car mes pensées ne sont pas vos pensées, Et vos voies ne sont pas mes voies, Dit l'Éternel.9 Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, Autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, Et mes pensées au-dessus de vos pensées."

Et donc la vraie connaissance, qui est limpide et réjouissante, est celle qui va permettre "d'aimer Dieu" ! Comme Jésus l'a révélé (en le disant et en le démontrant). En quoi il convient d'arrêter - de vouloir suspendre - la cogitation mécanisé (et notre agitation en mouvements de surface) qui se fait à partir de "rien", de beaucoup de vanités (de vain, que sont la plupart de nos acquisitions transmises jamais méditées (ruminées, soupesées, discernées) ou de soi (base de connaissances largement faite de préjugés, de partiellité et de partialité, fluctuante, marées-cageuses).

D'arrêter de s'enfoncer par l'âme dans cette sphère du connaissable, car ce ne sera jamais une évasion de l'aliénation de fond, mais une démarche à la force centripète, qui ferme aux autres champs à intégrer, via leur Source, voire rend solitaire et associable.
Il ne s'agit pas là de dire "Ô temps, suspends ton vol", mais à nous de suspendre des choses par quoi on se laisse occuper.

à suivre ici où il est question de l'amour comme préférable à une dynamique de pensée mal employée et mal maîtrisée (voire malmenée, tyrannique, incessante)...

Bénédictions en attendant.

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8 octobre 2018 1 08 /10 /octobre /2018 19:30

Je n'ai pas de grosses capacités psychiques - c'est toujours relatif -, mais je comprends et je demande que, dans la mesure où notre intelligence même la plus affutée ne nous permet pas de tout comprendre (même des réalités visibles et de leurs agencements ou des énergies à l’œuvre ne serait-ce que dans la dimension naturelle physique et quantique), je demande : Qui peut se permettre de dire : - Il n'y a pas de Dieu ! ou Dieu n'existe pas !?...

La pensée peut nous en venir (aussi parce que toutes nos pensées ne viennent pas de nous), mais le dire, l'écrire !?
Ce n'est pas logique !

N'est-ce pas alors l'effet d'une prétention, sans logique, ni l'humilité de s'admettre avec nos limites dans notre compréhension de ce qui est ?
Un effet de la méconnaissance de soi et encore des tenants et aboutissants - du sens donc - du Réel (réel dans sa plus large acception, tous les invisibles compris) ?

Dire qu'il n'y a pas de Dieu c'est se montrer pire qu'ignorant : menteur ! Car il vaut mieux se taire, humblement, que de dire ce qu'on ne sait pas, ce sur quoi on n'a pas cherché. Et c'est bien malencontreux si on se trompe sur un sujet aussi important et fondamental, car alors on se trompe d'abord soi-même.

Et bien sûr croire ainsi et le dire ou vouloir le dire, rend tout absurde comme l'a conclu Jean-Paul Sartre au terme des pensées et réflexions qu'il a poussées en partant de l'a priori qu'il n'y a pas de Dieu.
Il aurait écrit  (en tout cas c'est une conclusion de l'athéisme) : "L"univers sans Dieu, sans raison d'être, est absurde dans son ensemble et dans ses parties". On est bien d'accord !

Il est allé jusqu'au bout de ce chemin - dans quelle mesure choisi !? - en tout cas ce dont il a fait son chemin, trouvant qu'il était sans issue, sans avenir, sans dépassement possible.

Si au moins cela servait à d'autres ! Si au moins des personnes intelligentes enseignaient à partir de cette expérience - nihiliste, réductrice au possible, défaitiste jusqu'à ne plus voir que son propre plaisir le plus matériel ou la mort comme échappatoire -  enseignaient que ce n'est pas une route à emprunter ! Que si elle semble praticable, ce n'est qu'une illusion, pire une séduction, comme feraient des sirènes envers des hommes qui se sont approchés d'elles - en réalité des démons déguisés -.

Or on a tous un pied et un œil directeur ! Et donc cela peut nous apprendre qu'il faut partir du bon pied, ou voir selon l’œil qui donne le meilleur point de vue, la meilleure perspective.  

CAR AU CONTRAIRE...
Si on part du postulat qu'il y a un Dieu, et qu'on le cherche, qu'on enquête sans un a priori athée ou même religieux - qui ne sont toujours que des représentations inculquées -, on arrive à une toute autre perception - et à de tout autres expériences.

Pour cela il y faut surtout de l'honnêteté, pas comme cette personne que j'ai lu quelque part qui dit qu'"il a pris de Descartes la méthode mais sans vouloir de son contenu" (de sa foi en Dieu)... Un peu comme un ado qui claque la porte du foyer parental, riche de ses capacités et autres biens transmis par ses parents mais sans plus vouloir de leur personne. Tiens, on dirait la parabole du fils prodigue - dit prodigue certes car il va l'être, mais ingrat surtout ; et s'il n'avait pas eu un père aimant comme Dieu peut nous aimer si on revient à lui...

À vous de voir, peut-être autrement, en changeant votre fusil d'épaule comme on dit aussi, pour viser juste. Tiens, justement, le sens profond (étymologique du mot péché, c'est manquer la cible, tirer ou passer à côté du but à atteindre. Alors il suffit si vous en êtes là, de mieux prendre votre temps, de vous caler, stabiliser, plutôt que de vous laisser emporter dans tous les tourbillons, vents de vanité et enchaînements que ce monde produit !...

Si vous avez du temps pour découvrir d'autres pensées à réfléchir, rendez-vous ici.

Bénédictions.

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30 septembre 2018 7 30 /09 /septembre /2018 08:27

 

 

Une chaîne de télévision vient
de (re)diffuser une rétrospective animée par Laurent Delahousse
de la vie de Michel Delpech
(qui a quitté la scène terrestre début 2016).

Cela aurait pu être un mémorial
édifiant... si le réalisateur
ou la chaîne, n'avait pas choisi
d'amputer cette biographie...


LA GLOIRE ET LE MAL-ÊTRE - ça va souvent ensemble -
L'émission aborde les principaux épisodes-clés de son existence, avec ce mal-être intérieur qu'engendrait sa nouvelle condition de star. Comment être bien quand on devient une idole, c'est-à-dire un simulacre de Dieu - comme Dieu - pour des milliers de personnes ?
C'est le problème que rencontrent tous ces jeunes artistes soudain adulés parce qu'ils ont produit un tube ou un album.
Et la solution est toujours la même : tenter de se tenir en retrait de la scène publique, de résister aux pressions de toute la machinerie artistico-médiatio-commerciale enclenchée, ou se soumettre comme un citron qui va donner tout son jus sans respect pour la personne.
Certains réussissent ce pari de ne pas succomber à l'attrait de la gloire et de l'argent vite gagnés, refusant des contrats, des compromis, des propositions, et restent dans l'ombre qui leur assure de la sérénité.
D'autres avancent en franchissant tous les obstacles - moraux notamment, bafouant leur conscience, sourds aux avertissements de leur corps ou de certaines personnes lucides et désintéressées - jusqu'à n'avoir plus pour continuer que le recours à des stimulants médicaux, des stupéfiants, alcool, drogue, plaisirs sexuels dépravés... toutes choses qui ouvrent rapidement la porte à des démons véritables*.
On parle alors de "descente aux enfers", de démons ou "vieux démons", mais sans réaliser le contenu réel que renferment ces mots.
____________________________
* Démons : entités spirituelles invisibles capables d'agir sur notre âme, dans nos pensées et jusque sur notre corps dès lors qu'on se livre à des comportements déréglés, acceptent des accords ou liaisons injustes ; présences qui rendent irritables, colériques, exigeants, toujours plus dépendant de la recherche du bien dont elles privent.
Certains vont jusqu'à signer des pactes avec Satan, sans s'en cacher, pour obtenir de son pouvoir gloire, succès, argent, biens et plaisirs en tous genres... jusqu'au jour où il faut payer la note ! Ce n'est plus alors en argent, mais par la perte croissante de notre liberté (addiction, dépression, troubles dits psychiatriques), de notre vie corporelle (mort accidentelle), de notre âme (notre moi personnel, le cœur durable de notre personne, alors transporté dans le séjour des morts tenu par le diable). "Et que servira-t-il à un homme de gagner le monde entier, s'il perd son âme ?" avertit Jésus depuis longtemps.
¤

SA QUÊTE D'UNE SOLUTION SPIRITUELLE - bonne mais mal orientée -
Et comme bien d'autres, Michel Delpech se perd dans le surmenage, dans l'alcool, la drogue, les mauvais plaisirs (qui n'en sont plus), dans les flots qu'un environnement qui ne le laisse plus en paix. Il sent bien qu'il lui faut trouver un secours supérieur, non frelaté, sans effet secondaire, spirituel donc, pour ne pas succomber, pour tenir.

Il part en Inde - la grande séduction d'alors -, pour trouver des "maîtres", des gourous, pour essayer d'intégrer quelques concepts nouveaux dans son existence... Mais c'est en vain ! Et ça se comprend : si ça marche si mal sur des populations qui partagent (subissent) ces croyances, les laissant dans le dénuement, la misère, la stagnation, comment cela pourrait-il sortir de leurs difficultés des occidentaux, même dans l'opulence ?
L'exotisme séducteur et la sérénité artificieuse ne peuvent jouer bien longtemps. Mais la recherche est pourtant bien dans cette dimension de la spiritualité. Il reste à trouver la bonne - car là aussi, il n'en existe des fausses, des simulacres, que parce qu'il y en a une véritable - l'originale - la seule véritablement divine.

LA FONCTION DES ÉPREUVES - jamais gratuites mais effet et aussi cause nouvelle -
Et il faut finalement à Michel Delpech, après de surplus un divorce douloureux, un mal plus contraignant encore que beaucoup, pour l'arrêter : un cancer de l'organe qui précisément en fait un chanteur, une idole, un jouisseur et un pantin en même temps.
C'est ainsi que nos épreuves ont du sens, bien plus que nous ne sommes enseignés à le voir ! Elles résultent de nos erreurs accumulées, de nos fautes morales ou spirituelles, de nos obstinations, de notre aveuglement ; mais surtout elles sont significatives, des signes* qui veulent parler à notre conscience, pour qu'on se détourne du mal qu'on pratique, dans lequel on est enferré, dans lequel on est... mal forcément !
N'ayons pas peur des mots ! Les épreuves (accident, divorce, mort d'un proche, maladie grave, orpheline, trouble psychique, addictions, licenciement même...) sont des jugements personnels (comme il y a aussi des jugements collectifs sur les groupements humains, dont les nations). Mais en même temps qu'effet de cause, elles sont également positivement cause (à discerner, potentielle) d'un revirement possible de soi, d'une prise de conscience, d'une métanoïa ou conversion (changement total de point de vue, regard soudain tout nouveau).
_________________
* Cela a été particulièrement bien perçu quand le sida est apparu à partir de 1981 : c'était évident pour beaucoup qu'on était face à une conséquence directe d'une sexualité problématique. Depuis, cela nous mettant trop personnellement en cause, on a occulté la relation causale, cherchant la solution du problème dans un médicament (au prix de millions d'euros) au lieu d'une remise en cause de la cause. On est tous tellement comme ça, dans un domaine ou dans un autre... et surtout les démons se régalent de nous voir souffrir - alors que dans la foi en Jésus il y a(urait) un remède gratuit et à portée de main à s'approprier. De fait on tourne en rond en s'usant, on souffrant, au lieu de sortir de nos captivités.
¤

QUAND LA TÉLÉ - qui sait très bien exhiber - SE FAIT DRAMATIQUEMENT CENSEUR
On sait que les flots d'informations diffusées par les radios ou télévisions manquent d'objectivité (surtout où il en faudrait un minimum). C'est bien sûr déplorable, mais aussi une expression (de plus) du monde dans lequel on vit : un univers tenu par des forces maléfiques - bien autres qu'humaines, bien supérieures et souveraines que même les sectes et autres clubs très spéciaux d'êtres humains qui voudraient gouverner le monde -.

Et voilà donc que cette émission avançant vers sa fin, on passe d'un coup du cancer à la mort du chanteur ! Logique pour quelqu'un qui n'en sait pas plus. Mais réellement indigne d'un support d'informations qui, dans un monde qui prétend à la liberté, devrait transmettre sans parti pris, de manière non partisane. Car entre le travail physique obscur du cancer pour détruire jusqu'à la mort, et cette fin corporelle* advenue, on sait par ailleurs que Michel Delpech a expérimenté une vraie découverte de la foi qui sauve, de la foi au Christ Jésus.

Une conversion tellement vraie qu'en sont sortis deux livres**, et encore une dernière chanson écrite quand il sait que son Dieu et Père va le reprendre. Et cela parce que ce qui importe le plus pour Dieu n'est pas la longueur de notre existence terrestre, avec ses douleurs et ses tentations jusqu'à nous faire renier notre foi salvatrice, mais son parachèvement par la foi.
La réussite cardinale de cette existence, aux effets réellement bons et durables comme aucun autre, est celle de notre réconciliation et paix avec Dieu par le pardon de nos fautes. Et cela par la foi qui permet la réception du Saint-Esprit.
C'est par ces trois choses principalement (pardon, foi et réception de l'Esprit divin), que nous (en tant qu'âme scellée de l'Esprit, entité consciente qui choisit sa réponse face à l'offre de la grâce pour être éternisée), que nous entrons dans le Divin Royaume éternel, qui d'une part vient en nous, et d'autre part est et sera un prochain cadre de vie, une création consécutive à cet univers, le Paradis véritable sans fin.
_______________
*  Fin ou mort physique qui n'est pas la fin ou mort de l'âme, mais seulement sa séparation, la sortie de son véhicule. Voir article Les 5 types de mort   
** Livres de Michel Delpech : J'ai osé Dieu - Vivre
¤
COMME UN HOLD-UP ! - la vérité pouvant se voler comme d'autres biens -
Et donc la poursuite de vie de Michel Delpech - notre poursuite la meilleure possible de vie à tous, sauf preuve contraire ! - a été zappée*, étant rien pour ceux qui se perdent sans foi (ou dans quelque croyance dérivative) et peuvent agir sur des moyens puissants de transmission d'informations. Que Dieu leur pardonne "car ils ne savent pas ce qu'ils font. » ] Ils se partagèrent ses vêtements en tirant au sort."

Censure donc sur sa foi chrétienne, et aucun écho sur son dernier chant La fin du chemin. Un dernier chant quand même, de quelqu'un qui sait qu'il va en finir avec le lot pesant de ce monde !? N'est-ce pas un testament à respecter, un message - public en l'espèce - à laisser décacheté ? Le témoignage digne de foi d'un homme connu qui, même si c'est difficile dans cette circonstance de manifester la joie du salut, dit, chante, sa foi et son espérance que tout ne s'arrête pas ici-bas.
______________
* Je me souviens d'un rapt pareil dans une émission sur les personnes qui continuaient à vivre dans la zone irradiée mortelle de Tchernobyl. Lors de la première diffusion ces gens qui ramassaient régulièrement des champignons pour les manger - et n'en mourraient pas ! - disaient au journaliste qu'ils avaient la foi en Dieu et que Dieu les garder des radiations. Lors d'une rediffusion un an ou deux après, ce court passage avaient été coupé.
¤

UNE ATTEINTE À LA LAÏCITÉ VRAIE - synonyme de liberté et non d'occlusion -
Les témoignages sont légion de personnes touchées par Dieu, même pas attachées à une religion mais qui ont expérimenté et vivent la vie surnaturelle de l'Esprit, ayant été converties par un effet de la grâce divine comme il est écrit et illustré dans le Nouveau Testament, assurées de la rédemption éternelle de leur âme et des réalités célestes. "Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu.9 Ce n'est point par les œuvres (comprendre : par nos mérites), afin que personne ne se glorifie."  

C'est tellement vrai qu'on ne peut ainsi retirer ne serait-ce que du répertoire de Michel Delpech son dernier chant sans sortir du cadre même de la laïcité - qui s'est posée comme la gardienne de la liberté des expressions religieuses comme des autres !
Sinon ce qu'on appelle laïcité n'est qu'un athéisme déguisé, une idéologie partisane qui veut s'imposer alors qu'elle ne peut se prouver comme étant LA vérité quant à la connaissance du Réel tel qu'il est, dans toutes ses dimensions.
Cela dit pour ne pas se laisser duper, abuser voire endormir ou subtiliser par un organe puissant de communication ou tout autre chose les vérités les plus essentielles de l'univers, celles dont notre destination éternelle personnelle dépend.

Soyez gardé-e pour avoir la liberté de laisser le vrai Dieu se faire connaître à vous et/ou vous instruire "dans toute la vérité".

 

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16 septembre 2018 7 16 /09 /septembre /2018 06:43

Suite de l'article commencé ici...

Soyez béni-e dans votre lecture. (Dis autrement : Que le Dieu vivant soit avec vous pour donner à cette lecture le relief qui vous concerne afin que vous soyez interpelé-e jusqu'à vouloir échapper aux effets de ce que vous découvrez de problématiques dans votre généalogie). 

Les malédictions générationnelles (2) : Reconnaître et briser les liens de famille

à suivre (ici...)

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15 septembre 2018 6 15 /09 /septembre /2018 07:10

Comme notre propre présent, le passé de nos ascendants
n'a certainement pas toujours était nickel ! Et nous en supportons
des conséquences parfois bien dramatiques...
Alors apprenons à mieux voir ce qui est..

Je vous propose là d'aborder un sujet aussi important que méconnu, et surtout dont la solution est largement occultée. Mais Jésus a dit qu'"il n'est rien de cacher qui ne vienne (un jour ou l'autre) à la lumière".

Si les psy ne sont pas sans savoir que peuvent exister des rapports étroits entre des problèmes personnels et l'hérédité, ils n'ont pas pour autant la connaissance (la compétence spirituelle, la liberté intérieure, la foi nécessaire...) pour aller au fond de la question.
D'où des solutions bancales, dérivatives... qui peuvent ajouter au mal plutôt que le réduire.

Bien sûr nombre d'incroyants et autres ont pris au message évangélique certains de ses éléments fondamentaux (réformateurs, révolutionnaires il y a 2 000 ans et toujours aussi puissants aujourd'hui), comme la confession (qui est devenue : parler, se dire à l'autre, trouver une oreille qui écoute) ; le pardon (devenu le lâcher-prise pour se libérer) ; la foi (devenue confiance en soi, positiver...) ; etc. Mais sans la vie même (= la personne) qui est à l'origine de la formulation de ces moyens libérateurs, on est comme avec la moitié ou les deux tiers d'un billet de 500 euros ! Qu'est-ce qu'il vaut d'après vous !?...  

Ici la question est abordée au fond. À vous de savoir vous reconnaître en quelque chose de sensible et à vous intégrer en conscience dans ce réel jusqu'à trouver dans la foi véritable une vraie et durable libération de votre personne.
Prenez soin de noter ce que vous repérez qui vous concerne, car cela vous aidera à en obtenir la délivrance avec le dernier article de la série.

Soyez béni-e dans cette lecture.

Les malédictions familiales : 1 - Les manifestations

à suivre ici...
 

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11 septembre 2018 2 11 /09 /septembre /2018 06:20

"Connais-toi toi-même et tu connaitras l'univers" disait Socrate.
Mais la connaissance de soi n'est pas chose facile... tout seul. On a besoin des autres. Mais pas toujours selon la compréhension la plus immédiate qu'on a de notre rapport à l'autre, dans ce qu'il a de (potentiellement) bénéfique.

C'est pourquoi je vous invite à lire et intégrer la phrase suivante qui exprime une façon dont Dieu voit positivement notre relation à l'autre.

Par la présence des plus proches que nous devons côtoyer,
avec qui nous partageons ordinairement notre existence
ou qui entrent pour un temps dans notre champ,
Dieu veut nous montrer ce que nous sommes à ses yeux,
ces autres étant des révélateurs par eux-mêmes
et encore par ce qu'il font bouger en moi.

Et ne nous trompons pas !
Ce qui nous est révélé de nous-même par l'autre n'est pas forcément ce qu'on aime le plus chez lui ; c'est peut-être surtout ce qu'on lui trouve de plus détestable...

Comprenons aussi bien sûr que "l'autre" dont nous avons besoin qui saura le mieux nous aider à nous connaître pour que nous ne restions pas soumis à ce qu'il y a de détestable en nous, ne s'imposera pas plus à nous qu'un médecin qu'on ne consulte pas.
Dans notre univers où le mal s'impose, Dieu (se) propose, et, pendant le temps libéré de notre périple terrestre, on dispose. Ne manquez pas le coche !

Soyez béni-e au point où la connaissance de vous-même vous amène jusqu'au pardon du Dieu vivant.

Un article peut-être à découvrir : La preuve de l'amour fou de Dieu

 

 

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  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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