Les psaumes sont initialement des chants* dont les tournures poétiques des paroles se perdent quelque peu lorsqu'on les traduit. Mais cela n'ôte rien à la valeur ce qui nous est apporté là par des textes qui sont les plus anciens et les mieux conservés dont l'humanité dispose.
Dans ce psaume, on peut remarquer combien le roi David est comme nous un être en construction et en devenir. Parmi les personnalités connues de l'antiquité, il est un des rares à s'être autant approché de la connaissance de Dieu et de soi. Et de la sorte de la question de notre besoin de réconciliation et de trouver la paix avec le Créateur, c'est-à-dire la solution satisfaisante - qui tient à la fois de Dieu et de nous - apportée à cette problématique dont aucun de nous n'est exempté. Dans ce psaume des éléments de connaissance qui peuvent et devraient encore nous faire réfléchir...
N'est-ce pas capital de le savoir, pour que nous ne nous laissions pas entraîner à nous quereller entre humains, à nous déchirer, diviser, pendant que les entités invisibles qui nous poussent dans ces situations de conflits s'excitent et se marrent de nous voir si naïfs, ignorants, et par eux rendus plus méchants encore que nous ne sommes !?...
Que ce Dieu éternel de David, vous enrichisse de sa grâce pour que vous connaissions quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur de son amour... tenu en réserve pour vous...
__________________ *chants (ou cantiques) dont les musiques ne nous sont pas parvenues, ce qui n'est sans doute pas un mal, vu à quel point les styles musicaux évoluent et se démodent régulièrement. Il n'en ait pas de même des paroles inspirées, aux contenus persistants et d'une actualité sans cesse renouvelée.
Vous avez pu voir jusque là que je fonde mes affirmations sur les dires bibliques - qui englobent les paroles de Jésus. Ni donc sur une vue personnelle imaginée du Réel, ni sur des écrits (innombrables) qui ne concordent pas suffisant avec le message christique (évangélique) telle que toute la Bible nous le met à disposition.
En science des hommes cherchent une modélisation (représentation, explication, schéma) du réel mesurable. Elle vise à en inclut toutes les lois et mouvements (en laissant le moins possible d'"anomalies" qui ne collent pas avec ses propositions, car ce sont elles qui démontrent l'insuffisance de notre compréhension et modèle imaginé).
De la même manière, il y a, concernant nos dimensions psychique et spirituelle (ce qui touche à ce qu'il y a de plus essentiel de nous-même), des hommes qui ont été au service du Créateur pour recevoir les bases de la compréhension de la vie et de nos existences, ce qui a donné la Bible.
C'est cette somme de données que je prends pour argent comptant, pour valeur sûre, pour transmission sécurisée, pour parole vivifiante, car elle répond mieux que tout autres, avec l'Esprit Divin qui en est l'inspirateur et le révélateur, à mes besoins immédiats de connaissances (essentielles et existentielles), de sens, de paix, de bienveillance, de biens divers, et encore à mes attentes et/ou espérance les plus profondes (pour le présent monde et pour notre devenir sans fin)... sans laisser d'"anomalies" hors de ses lignes directrices.
Si vous préférez un autre ouvrage, une autre idéologie ou trame religieuse, il y a du choix. Mais ne nous contentons pas d'adhérer innocemment à une vue des choses parce que c'est une tradition dont on a héritée ; ou parce que nos parents ou d'autres avant vous ou à côté de vous ont cru ou croient comme ça. Voyez de manière responsable en quoi vous croyez dans ce qui est le plus juste selon ce qui est, et le plus éclairant selon ce qui se déroule jour après jour en nous et alentour, et jusqu'en éternité...
Et voilà qu'ici on est arrivés au point où Jésus vint révéler que nous devons naître de Dieu si nous voulons être de son Royaume et de son éternité...
5 – LA RÉSURRECTION SPIRITUELLE INTÉRIEURE OU "NOUVELLE NAISSANCE"
Lorsqu'on vient à Christ comme au Sauveur, on réalise qu’on a besoin de lui
- pour que nos péchés soient pardonnés,
- pour que notre âme soit délivrée de diverses contraintes (physiques à démoniaques) et
- sauvée au delà de la mort corporelle, en ne vivant pas celle-ci comme un drame mais comme un passage et accès à Dieu.
C'est dans cette foi qu'on échappe aussi à la seconde mort dont on a traitée précédemment.
Quand cette démarche est sincère, authentiquement humble (voire se passe dans l’humiliation), on reçoit de Dieu sa vie, c’est-à-dire le don de son Esprit (dans un premier temps sous forme d’arrhes).
Cela s’appelle nouvelle naissance ou naître de nouveau.
Ce qui fait de nous non seulement un croyant, mais en réalité une nouvelle créature – de la même manière qu'un papillon préexistant mais non automatiquement advenu se forme dans une chrysalide à partir d'une chenille. (La chrysalide figure alors le temps qui nous reste à vivre sur terre après notre résurrection intérieure)… Selon cette image on peut dire que tous les êtres naissant comme des chenilles, ne parviendront pas fatalement au stade de papillon...
La nouvelle naissance est une résurrection en ce sens que spirituellement on était mort, et par la foi on reçoit à nouveau de Dieu (de) son Esprit qui est vie éternelle. Par cette alliance, nous devenons enfant de Dieu, pour partager ses biens - dont l'amour permanent (qu'il est et communique) - et son éternité.
Cela n'a rien à voir avec des pratiques religieuses sur lesquelles on s'appuie dans l'espoir d'être méritant pour pouvoir être sauvé, où c'est par notre âme et non par l'Esprit issu de Dieu qu'on s'évertue et qu'on espère - avec plein de fautes, d'injustices, d'insuffisances et/ou de de faussetés - plaire à Dieu. Lire éventuellement EsaÎe 64.6.
Ainsi, aussi simplement que le disait Tertullien au IIe siècle : "On ne naît pas chrétien, on le devient." Et un chrétien n'est pas quelqu'un qui devient religieux pour suivre une règle religieuse ou une autre qui va le sauver à cause de ses forces mises au service de sa nouvelle foi. Mais quelqu'un qui, à partir des écritures bibliques (et ce qui s'accorde avec elles), va suivre Christ en "nouveauté de vie"...
3 – SECONDE DES RÉSURRECTIONS COLLECTIVES (CHRONOLOGIQUEMENT LA DERNIÈRE DE TOUTES)
"Faute de connaissance mon peuple dépérit, dit l’Éternel-Dieu." On a compris que pour avoir choisi de suivre des voies injustes (égoïstes, méchantes, cupides, perverses, pernicieuses...) de leurs propres mauvais penchants et/ou de ceux des démons, les personnes réduites par la mort physique à leur dimension psychique (âmes des défunts) qui n'auront pas été de la 1ère résurrection, sont retenues captives dans le séjour des morts (shéol ou hadès)* tenu par Satan qu'on a laissé par nos existences continuer à être le dominateur de la terre et des existences - alors que Jésus l'a dépouillé de toute sa puissance depuis longtemps par sa mort et sa résurrection affirme Bible : "Il (Jésus) a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d'elles par la croix."
Et donc ce n'est que par la foi en ce Christ victorieux pour nous de toutes les forces du mal, que les humains que nous sommes peuvent échapper à une main mise satanique sur nos âmes au delà même de la mort physique.
On comprend la réalité temporaire de cette retenue des âmes désincarnées (qui ne sont pas entrées dans leur possible rédemption) dans le séjour des morts, par divers passages, notamment la parabole de Lazare et du mauvais riche et Apocalypse chap. 20, vers. 13... (On y reviendra).
Cette seconde résurrection collective, c'est qu'à un moment défini par Dieu, chacune de ces âmes est réassociée à son corps ressuscité, misérable, périssable, encore condamnable, c'est-à-dire des corps bien différents et moindres que les corps éternels incorruptibles qu'ont reçu les ressuscités de la première heure.
On lit là que cet événement cosmique sera suivi pour ces ressuscités-là, en vertu de ce que disent ces versets, de deux destinations. a) La prochaine création de Dieu ou Paradis éternel déjà évoqué, pour les personnes dont les noms seront trouvés écrits dans "le livre de vie"... mais qui n'auront pu être de la 1ère résurrection, étant morts après, ou n'ayant pas eu la foi personnelle qui eut été nécessaire pour échapper à ce séjour funeste***...
b) L'autre destination est un "étang ardent de feu et de soufre" (ce qu'on appelle populairement l'enfer), espace initialement conçu par Dieu pour les anges rebelles et impénitents (anges dont la vie éternelle ne peut finir d'elle-même), qui peut devenir la destination finale des humains qui resteront à fonder leur justice (leur justification devant Dieu) sur leurs propres valeurs personnelles et œuvres (ce qui est la façon dont Satan veut nous faire croire que nous pourrons plaire à Dieu). Une illustration (à la fois réalité et préfiguration) sur le fond de cette question se trouve dès les origines avec Abel et Caïn et leurs offrandes.
Mais cette fois encore, ce qui va se passer va dépendre de ce qui précède. Savoir qu'il y a une différence fondamentale entre vouloir se sauver (plaire à Dieu) a) comme Caïn, par soi-même - ce qui est la source de l'humanisme - c'est-à-dire en comptant sur nos propres mérites, par nos œuvres personnelles, notre travail, nos capacités humaines... ou b) plus humblement en réalisant notre misère spirituelle ; que nos œuvres ne sont jamais pures ou assez pures pour nous mettre en relation avec Dieu. En comprenant qu'un Dieu saint ne peut avoir de contact avec un homme ou une femme dont les fautes ne sont pas effacées... Et à partir de cette vue (juste) du Réel selon Dieu, opter pour la foi qui sauve. Celle-ci consistant à croire en Jésus dont - la vie fut une réussite parfaite en notre faveur - au point où il meurt en pouvant dire "Tout est accompli"... pour nous ; - et sa mort fut un sacrifice agréé par Dieu qui dès lors le ressuscita trois jours après. C'est en vertu de cette foi dit la Bible que nous pouvons échapper à la condamnation éternelle qui résulte de notre vie personnelle dont nos actions, paroles et pensées n'auront pas été de valeur suffisante pour nous introduire dans la sphère de la communion avec le Dieu qui est saint...
C'est ainsi, et je le crois. C'est étroit - comme toute vérité -, qui exclut naturellement d'autres résultats (mensonges, demi-vérités ou erreurs). Comme 2 et 3 font 5,00 et rien d'autres (entier ou décimal)...
Et parce qu'il a affronté la mort pour la vaincre - et l'a vaincue, ce qu'est et que prouve sa résurrection -, Jésus a le pouvoir de garder quiconque se confie en lui de ce que la Bible appelle "la seconde mort" ou anéantissement de l'âme - de la conscience - personnelle en enfer.
Ce qu'on appelle communément et parfois bien légèrement l'enfer est donc cette fournaise appelé "étang ardent de feu et de soufre" que figurent très bien à nos yeux et pour notre conscience les volcans en irruption. Imaginez-vous y tombant dedans, être pris dans une coulée de lave incandescente irrépressible !...
Cet étang terrible est en fait l'ultime parade et rempart dressé par Dieu contre "le mal", c'est-à-dire contre tout ce qui refuse obstinément le Bien, avec ses lois-cadres divines, son plan de rédemption (aussi appelée rachat de nos âmes), la trame de ses projets à venir formés pour notre bonheur selon ce qu'il désire partager du meilleur de lui-même et de ses dons : amour, paix, joie, arts, créativité, espaces infinis, éternité, sagesses et toutes sortes de dynamiques de développements sans fin...
Prenez le temps de bien méditer et de vous ouvrir à ces choses pour être persuadé-e qu'on est là face à des vérités capitales, essentielles, immuables, qui vont, comme les lois de la nature commandent les mouvements naturels de l'univers, commander notre - votre - destinée personnelle éternelle. Destinée sur laquelle nous pouvons intervenir par notre attention et foi vis-à-vis de ces choses. Jésus dit un jour - et c'est encore valable aujourd'hui : "Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l'âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps dans la géhenne* (nom illustrant un peu ce qu'est le séjour des morts)." Et pour être convaincu-e tout personnellement de la véracité des dires bibliques, demandez directement à Dieu, au Créateur du ciel et de la terre, qu'il vous révèle de manière évidente si cela est la vérité ou pas...
4 - LA RÉSURRECTION (UNIQUE) DE JÉSUS
On peut donc savoir à notre tour les vérités concernant Jésus comme la Bible nous les apporte. Tout comme plusieurs centaines de témoins oculaires qui virent Jésus ressuscité. Tout comme par toute la terre des centaines de millions de chrétiens authentiques** en reçurent et reçoivent encore par l’Esprit-Saint l'attestation intérieure, ce qui déclenche la foi même qui sauve.
Une résurrection toute particulière, unique, où Jésus a reçu, en deux temps, un corps tout nouveau, désormais éternel, dans lequel il vit actuellement sur le trône de Dieu... jusqu’au moment (très proche) où il va revenir déclencher l’enlèvement de ses enfants-disciples en même temps que la 1ère résurrection dont on a parlé.
C‘est cette résurrection unique de Jésus qui est garante de la résurrection et de l’enlèvement de tous ceux qui croient en lui pour échapper au filet du séjour des morts*, et aussi de ceux dont le nom sera trouvé dans le livre de vie***...
UN POINT CRUCIAL DONC Il est à la convergence de a) la connaissance de la mort de Jésus en tant que sacrifice volontaire, ce qui en fait le Sauveur potentiel de tous, et b) de la foi personnelle en lui - qui résulte de la vue objective autant que subjective de notre perdition et insuffisance pour subsister devant Dieu sans sa grâce agissante pour nous. Ce point est appelé "nouvelle naissance", ou naissance spirituelle. C'est la forme de résurrection par laquelle je terminerai cet article.
Ainsi Dieu ne veut pas des gens qui croient par croyance religieuse transmise et héritée et/ou par leurs facultés mentales qu'il existe. Mais il cherche à communiquer de sa propre vie en nous - ce qui nous manque du fait de notre nature déchue et de nos comportements mauvais -, s'alliant ainsi à notre existence pour la transcender et l'éterniser... C'est SA manière de voir et de faire ! A nous de nous y conformer si nous voulons être au mieux au bénéfice de ses créations et de ses intentions.
Il reste donc à voir, peut-être de manière plus déterminante encore, en quoi, dans cet ici-maintenant que nous vivons jour après jour, il est dans le plan bienveillant de Dieu de nous ressusciter de manière individuelle afin que nous échappions à la seconde mort. C'est-à-dire de nous sortir de notre mort à lui (mort spirituelle, de l'esprit en nous, qui fait qu'on est séparés de lui, pas en paix et encore moins en amour avec lui) pour nous rendre plus et mieux vivant, plus complet et achevé... et même éternel...
Si déjà vous avez saisi le message, vous pouvez vous mettre en paix avec Dieu dès maintenant en vous aidant de cette prière-guide (qui vise à faciliter une amorce effective avec le Dieu vivant).
Soyez assoiffé-e de connaître - et de vivre - en vérité...
à suivre ici... ____________________ * Le séjour des morts, qu'aussi la religion a appelé purgatoire et au sujet duquel des trafics ignobles ont été un temps imaginés. Temporaire, il est à distinguer de l'étang ardent qui est l'enfer aux effets éternels (que Jésus appelle aussi la Géhenne pour mieux le figurer. Mot dérivé de Gé-Hinnom (=vallée de Hinnom), l'une des vallées de Jérusalem. Il est probable que dans cette vallée on a adoré Moloch (2Ro 23:10) et même Thammuz, désigné sous le nom de Baal. (2Ch 28:2, Jer 32:35) Le souvenir de ce culte donna un caractère sinistre à ce lieu, et amena Josias à le souiller pour empêcher le retour de ces rites païens (2Ro 23:4-10). Dès lors, le Gé-Hinnom devient la Géhenne, l'endroit où le feu consume les détritus de la ville, les cadavres d'animaux et les corps des suppliciés. Ainsi Géhenne devient synonyme d'enfer. (cf. Mt 5:29).
** Des témoignages de rencontres avec Jésus ressuscité ici - ou là - ou là...
*** Ces rachetés ultimes des ténèbres et de l'emprise satanique auront certainement personnellement à répondre à ce moment-là par oui ou par non à l'offre de salut qui procède de la personne et du sacrifice de Jésus. Ils seront ensuite dépendants comme il est écrit ici : "Au milieu de la place de la ville et entre les deux bras du fleuve se trouvait l'arbre de vie**** qui produit douze récoltes ; il donne son fruit chaque mois et ses feuilles servent à la guérison des nations." De là il est possible (supposition - mais probable puisqu'on est alors là dans ce qui est éternel !) de penser que, se guérissant par cet arbre des conséquences de leurs péchés et de leur incrédulité, ils s'éterniseront à leur tour. Mais il est clair que même un juif qui refuserait sciemment de croire en Jésus comme en son Mashiah rédempteur en se disant que de toute façon, étant juif, il sera sauvé de la perdition éternelle, prendrait, en rejetant Jésus maintenant sans recherche dans l'amour de la vérité, au minimum le gros risque de passer par le sh'eol...
**** arbre de vie : Au commencement l'homme désobéissant (et nous tous à la suite) fut privé d’accéder à la vie éternelle qui résidait dans un tel arbre (Genèse 3) : à la fin, par la rédemption, il semble qu'un tel arbre va permettre par la vertu de ses feuilles aux derniers rescapés de cette humanité de poursuivre l'aventure sans fin initiée par le Créateur... qui est cohérent dans ses plans, sa justice et sa grâce (son amour)...
Que voici un titre qui pose question(s) ! Savez-vous par quelle(s) résurrection(s) vous allez poursuivre (et non achever !) votre périple terrestre, peut-être dans peu de temps (étant dans cette vie) et/ou plus tard (une fois mort) ?...
Attachez vos ceintures, car Dieu n'en a pas fini avec nous et la terre, malgré les apparences... et aussi selon certaines apparences (réalités, images, écritures, préfigurations)...
Suivez ici une discussion intéressante qui eut lieu entre Jésus et les saducéens (membres d'un parti religieux où l'on ne croyait pas à la résurrection des morts).
CETTE EXISTENCE N'EST-ELLE PAS UN CHAMP EXTRAORDINAIRE POUR S'INTERROGER ET APPRENDRE... ET S'ENTHOUSIASMER DE SAVOIR ? C'est ce que j'ai découvert, avec l'aide de Dieu. Et voilà une autre bonne nouvelle : Heureusement, si vous ne savez pas encore ce qu'il en est pour vous au sujet des résurrections, il n’est pas trop tard pour changer ce qui se passe dans votre dos ! Car si la Bible fait savoir qu’il y a 5 expressions ou formes de résurrection bien distinctes, on peut déjà soupçonner que leurs effets et destinations ne vont pas tous dans le même et bon sens pour nous. Ici comme ailleurs, l'ignorance peut être un handicap grave pour notre avenir.
La Bible, notamment par Jésus, parle plus que tout autre ouvrage de ce phénomène surnaturel qu’est une résurrection d'entre les morts, en apportant un enseignement complet.
TROIS PRÉCISIONS PRÉLIMINAIRES : a) Résurrection et apparition Notons qu’une résurrection n’est pas à confondre avec une apparition, d’une personne défunte, qui peut s’apercevoir de manière plus ou moins diffuse (fantomatique, ectoplasme, en vision, ombre ou sensation de présence) suite à invocation par un médium ou pour peu qu'on cherche ou aspire à entrer en contact avec un mort... Dans ces cas-là, on ne peut jamais être sûr d’avoir réellement affaire à celui ou celle qui se présente, car les esprits peuvent nous berner sans difficulté, d’autant que Dieu déconseille vivement ce genre de pratique spirite (en Deutéronome chap. 18 notamment). Dans le 1er livre de Samuel, on lit aussi le récit du roi Saül qui transgresse l'avertissement divin et va en payer très chèrement la conséquence (jusque sur sa descendance).
b) Résurrection et réincarnation Et pendant qu’on y est, la résurrection ne peut pas non plus être confondue avec la réincarnation ou métempsychose., car les affirmations révélatrices bibliques infirment catégoriquement la réincarnation (qui consisterait en passages successifs d’une même âme dans des corps à des périodes différentes). Le verset le plus clair est celui-ci : "Il est réservé aux êtres humains de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement." Qu’on se le dise ! Et si on doute, on peut demander directement à Dieu qui accorde des lumières sans reproche à quiconque cherche humblement à savoir en vérité.
c) Résurrection et immortalité Les deux expriment la même conviction d'une survivance après la mort de notre être individualisé en sa forme et dimension psychiques (de psyché = l'âme en grec), mais la résurrection - révélée par le Dieu Un(ique) d'Abraham et de Moïse que les grecs n'envisageaient pas - se distingue assez nettement de leur approche et notion grecque d'immortalité de l'âme (qui vit éternellement par elle-même et se balade dans le temps et les espaces sans avoir besoin de corps). C'est la connaissance des résurrections qui permet de voir plus clair sur ce qui est... quand même, quoi ? si ce n'est l'essentiel de nos personnes, de vous ou de moi : c'est-à-dire ce qu'on va devenir une fois sorti de notre corps !
5 formes et effets donc de résurrection, dont voici la première, à la conséquence pas si définitive que les quatre autres.
1- LA RÉSURRECTION SURSIS D'EXISTENCE Il s’agit du fait miraculeux d'un retour à la vie incarnée déjà connue et qui avait été stoppée par une mort physique (qui s’opère par un retrait de l’âme hors du corps occasionnant un arrêt général (progressif) des fonctions physiologiques et cellulaires. On en trouve des exemples dans le Nouveau Testament comme dans l’Ancien. - Celle du fils d'une femme de Sarepta ; - Celle d’un homme mort qui ressuscite à l’instant où jeté dans une fosse son corps touche celui du prophète Élisée déjà enterré là ;
A ce niveau de miracle, le corps corruptible reprend vie tel qu'il était, toujours mortel, et donc dans ces cas-là (le sommeil de) la mort revient un jour - mais on va voir que ce n'est pas fini pour autant !... Car tous les corps tombés en terre seront, pour certains une ultime fois, pour la majorité une seule fois, ressuscité lors de l’une ou de l’autre de deux phénoménales résurrections collectives dont parle clairement et abondamment la Bible. Ce sera notre deuxième point. Mais avant, on peut noter qu'existent de nos jours des preuves substantielles nombreuses et dignes de foi de résurrections individuelles. On ne les appelle pas résurrection, mais c'est de cela qu'il s'agit. On les appelle EMI ou NDE.
LES EMI ou NDE* Peut-être est-ce en vis-à-vis de l’incrédulité montante ou des fausses croyances qui continuent à sévir de nos jours, la résurrection est un phénomène de plus en plus connu à travers les expériences dites EMI (abrégé en français de Expérience de Mort Imminente) ou NDE (en anglais Near Death Expérience). Des personnes déclarées mortes par la science (médecins ou instruments de mesure) racontent comment leur âme est sortie de leur corps pour un trajet ou transfert surnaturel vers soit un espace merveilleusement divin, soit un lieu de tourments des plus horribles. Des expériences on ne peut plus crédibles qui viennent donc confirmer la réalité d’un paradis (ou royaume des cieux) et d’un enfer (pas encore en service mais qui va paraître à l'occasion d'un jugement dernier...).
Maintenant que de tels récits aient commencé à paraître (surtout à partir des années 80) et à se répandre (notamment par des vidéos sur internet), la peur des jugements a été dépassée, ce qui fait que ce sont maintenant des millions de témoignages par tous les continents qui ont été dénombrés.
Ces résurrections sursis d'existence, tout à fait exceptionnels mais temporaires, sont là pour nous interpeler sur deux choses : a) L'âme (ou psyché en grec), siège de notre psychisme, de notre personne consciente (qui se prononce en tant que moi-je individualisé unique avec sa faculté de cognition, de volonté, de mémoire et de ressenti, survit à l'arrêt des fonctions physiologiques (du corps).
En cela, on est une âme, bien plus qu'un corps, une personne (qui n'a pas besoin d'un corps pour avoir une existence autonome), dont la nature fondamentale psychique se forme et se situe temporairement dans un corps (jusqu'à sa mort, ce qu'on appelle couramment la mort, sans qu'il s'agisse réellement de cela. En effet, parlant de cette mort, Jésus révèle qu'il s'agit plus exactement d'un sommeil, un endormissement par rapport à ce côté du Réel dans lequel nous vivons ici-bas....
b) ces résurrections sursis d'existence sont aussi des images pour nous aider à croire à deux faits génériques du même ordre, deux résurrections collectives bien plus grandioses, de dimension planétaire, qui sont à venir, qui vont atteindre, l'une après l'autre, tous les défunts de tous lieux et de tous temps de la terre.
Plusieurs livres du Nouveau Testament décrivent de manière plus précise ce que vont être ces deux résurrections collectives ce que nous allons considérer à la suite.
Sur les reliefs de la terre ronde Par des chemins ou sur des ondes Sur la trame du temps qui avance, J’imprime ma vie, j’en fais une existence Qui court trop vite ou à tâtons En mode essai, en mode brouillon.
Elle se transmet sans qu’on l’apprend La vie qui vient et qu’on prend Comme le chien sa pâté Comme on ouvre la télé Comme la chatte a ses chaleurs Le perroquet ses couleurs ?
En mode essai je m’suis planté Mon cœur deux fois fut brisé, Ça se répare mais pas vraiment Comme quand on s’casse une dent Ou qu’on s’abîme la figure, Les fêlures ont la vie dure.
Et puis Jésus est venu !* Me délivrer de mes verrues, Jetant au feu tous mes brouillons, Brûlant mon cœur de sa passion, Il transforma le laid en beau Pour que j’imprime en mode photo.
Il n’y a pas de mode standard, Pas plus qu’il n’y a de hasards Qui gouvernent les univers. Qu’on l’écrive en rouge ou vert En sépia, rose fluo ou terre de sienne La vie donnée qu’on se fait sienne
N’est encore rien sans le bleu ciel Qui vient d’En-haut riche en pixels, Pour nous donner en mode photo Lumière d’appoint, cadre nouveau, Ombre éclairée, des équilibres Et vérités qui rendent libre.
Ne restons pas en mode confus Dont les standards nous laissent perdus Loin de la paix, hors du réel Dont l’essentiel est éternel. Quand Jésus vient Révolution ! Par lui arrivent les meilleurs dons,
La grâce du Ciel par le pardon, Le repos dans nos excursions, Son Esprit-Saint écrit nos noms Au livre de sa rédemption Et nous conduit par vaux et monts À La Maison.
C.T. - ALGDDV - 25-07-18
Avec Jésus y a pas photo, C'est retouché pour mode photo ! Envoyez-moi la vôtre, comme un cadeau, Avec vos mots.
Bénédiction.
_____________________ "sans qu’on l’apprend" est une faute volontaire, pour mieux dire que nous écrivons nos vies en y faisant des fautes.
L'homme ne changeant pas malgré les expériences et les siècles qui passent, on peut voir nos comportements contemporains déjà décrit par Ésope (6 siècles avant J.-C.), notamment usant du principe de correspondance* qu'il a su apercevoir entre les instincts qui déterminent les animaux et nous être humain.
Être humain qui par ses capacités psychiques et liberté est loin d'être le plus sage... mais qui devrait pouvoir par ces images améliorer sa condition. Et sûr, je ne fabule pas, car l'actualité nous montre bien encore en ces jours que des élus de haut rang peuvent toujours se faire piéger, accepter de mauvais deals qui conduisent à des déconvenues inquiétantes, voire à des drames qui avancent sous roche. Bonne réflexion ou méditation, par exemple en profitant de vos vacances dans un fort... ou en tout autre lieu plus populaire...
LE RENARD ET LE SINGE ÉLU ROI - ÉSOPE
Le singe, ayant dansé dans une assemblée des bêtes et gagné leur faveur, fut élu roi par elles. Le renard en fut jaloux et, ayant vu un morceau de viande dans un "lacs", il y mena le singe en lui disant qu’il avait trouvé un trésor, mais qu’au lieu d’en user lui-même, il le lui avait gardé, comme étant un apanage de la royauté, et il l’engagea à le prendre.
Le singe s’en approcha étourdiment et fut pris au lacs. Comme il accusait le renard de lui avoir tendu un piège, celui-ci répliqua : « O singe, sot comme tu es, tu veux régner sur les bêtes ! » C’est ainsi que ceux qui se lancent inconsidérément dans une entreprise, non seulement échouent, mais encore prêtent à rire.
______________ Le principe de correspondance est un grand type d'organisation dans la création - que discrédite malencontreusement la théorie (jamais avérée) de l'évolutionniste aveugle - que Rimbaud et Baudelaire soupçonnèrent, et que Niels Bohr mis en évidence en 1923 dans le domaine de la mécanique quantique.
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On peut encore lire cette leçon d’Ésope par la plume de La Fontaine qui la confirma et actualisa en son temps (23 siècles plus tard !), comprenant bien ce qu'il y a de pérenne dans certains écrits : Le renard, le singe et les animaux
Poème quasi-prophétique, quand l'être humain aperçoit dès les premières manifestations que le collectif est en train de prendre une mauvaise orientation.
Ce n'est pas que le progrès soit un mal en soi, mais c'est que l'homme est toujours un être intérieurement abîmé, déséquilibré, handicapé comme orgueilleux, toujours insuffisant et rare pour prévoir et voir... comme il faudrait voir. Ce poème comme une voix (de plus) qui a crié dans le désert.
LA PLAINE, Émile VERHAEREN (1855 -1916)
La plaine est morne, avec ses clos, avec ses granges Et ses fermes dont les pignons sont vermoulus, La plaine est morne et lasse et ne se défend plus, La plaine est morne et morte - et la ville la mange.
Formidables et criminels, Les bras des machines diaboliques, Fauchant les blés évangéliques, Ont effrayé le vieux semeur mélancolique Dont le geste semblait d'accord avec le ciel.
L'orde fumée et ses haillons de suie Ont traversé le vent et l'ont sali : Un soleil pauvre et avili S'est comme usé en de la pluie.
Et maintenant, où s'étageaient les maisons claires Et les vergers et les arbres parsemés d'or, On aperçoit, à l'infini, du sud au nord, La noire immensité des usines rectangulaires.
Telle une bête énorme et taciturne Qui bourdonne derrière un mur, Le ronflement s'entend, rythmique et dur, Des chaudières et des meules nocturnes ;
Le sol vibre, comme s'il fermentait, Le travail bout comme un forfait, L'égout charrie une fange velue Vers la rivière qu'il pollue ; Un supplice d'arbres écorchés vifs Se tord, bras convulsifs, En façade, sur le bois proche ;
L'ortie épuise au cœur les sablons et les oches, Et des fumiers, toujours plus hauts, de résidus - Ciments huileux, plâtras pourris, moellons fendus - Au long de vieux fossés et de berges obscures Lèvent, le soir, des monuments de pourriture.
Sous les hangars tonnants et lourds, Les nuits, les jours, Sans air ni sans sommeil, Des gens peinent loin du soleil : Morceaux de vie en l'énorme engrenage, Morceaux de chair fixée, ingénieusement, Pièce par pièce, étage par étage, De l'un à l'autre bout du vaste tournoiement. Leurs yeux sont devenus les yeux de la machine ; Leur corps entier : front, col, torse, épaules, échine, Se plie aux jeux réglés du fer et de l'acier ; Leurs mains et leurs dix doigts courent sur des claviers Où cent fuseaux de fil tournent et se dévident ; Et mains promptes et doigts rapides S'usent si fort en leur effort sur la matière carnassière, Qu'ils y laissent, à tout moment, Des empreintes de rage et des gouttes de sang.
Dites ! L'ancien labeur pacifique, dans l'Août Des seigles mûrs et des avoines rousses, Avec les bras au clair, le front debout, Quand l'or des blés ondule et se retrousse Vers l'horizon torride où le silence bout.
Dites ! Le repos tiède et les midis élus, Tressant de l'ombre pour les siestes, Sous les branches, dont les vents prestes Rythment, avec lenteur, les grands gestes feuillus.
Dites, la plaine entière ainsi qu'un jardin gras, Toute folle d'oiseaux éparpillés dans la lumière, Qui la chantent, avec leurs voix plénières, Si près du ciel qu'on ne les entend pas.
Mais aujourd'hui, la plaine ? - Elle est finie ; La plaine est morne et ne se défend plus : Le flux des ruines et leur reflux L'ont submergée, avec monotonie.
On ne rencontre, au loin, qu'enclos rapiécés Et chemins noirs de houille et de scories Et squelettes de métairies Et trains coupant soudain les villages en deux.
Les Madones ont tu leurs voix d'oracle Au coin du bois, parmi les arbres ; Et les vieux saints et leurs socles de marbre Ont chu dans les fontaines à miracles.
Et tout est là, comme des cercueils vides, - Seuils et murs lézardés et toitures fendues - Et tout se plaint ainsi que les âmes perdues Qui sanglotent le soir dans la bruyère humide.
Hélas ! La plaine, hélas! Elle est finie! Et ses clochers sont morts et ses moulins perclus. La plaine, hélas ! Elle a toussé son agonie Dans les derniers hoquets d'un angélus.
Ce poème est parti de cette pensée : Liberté post-chrétienne (à partir du XVIIIe) : Pour construire le temps qui passe et demain, on a voulu monter des moellons sans ciment, et assemblés d’autres façons. Libertés post-soixante-huitardes : On coule dans le présent des bétons faits de sable des déserts, très peu ferraillés... et sans coffrage.
On peut assembler ainsi plein de mots en corps Pour décrire ou peindre tout notre décor, Mais on est sans force, sans à propos, sans rôle Pour de sûres solutions, pour la bonne parole.
On joue à s’épuiser des matchs incessants Mais sans gagner jamais contre le cours du temps, Et jamais on ne voit en prenant du recul Qu’à zéro-zéro, ou trois partout, c’est matchs nuls.
L’impiété tient la dragée haute à la foi Qui se dilue dans des ego trop gros ou fond dans des moi Trop maigres, handicapés autant que boursouflés, Unijambistes quand l’Esprit n’ a pas où poser son pied.
Et là vient la pensée de s’arrêter ! - C’est bien dit, c’est fait, C’est parlant pour ceux qui voudront lire et écouter ; Tourne la page, publie sur tes réseaux comme une gourde Mise à la mer… - Mais non ! Encore j’ajoute pour les âmes sourdes
Dans sa puissance le nom de Jésus - qui ouvre l’ouïe, Qui rend la vue, qui chasse les ombres et qui nourrit Aujourd’hui comme hier les faibles, les esseulés, les indigents, Les pécheurs (que nous sommes) qui s’avouent et prennent le temps
De lire le Réel jusqu’au bout, pour y trouver un Ciel Tout autre, à peine soupçonné, un astre différent, éternel, Devenu un jour un homme - Jésus - porteur de notre cause, Pour payer de sa vie le prix de nos psychoses,
De nos vols, de nos frasques, de nos infanticides, De nos idées coupables, de nos échanges acides... En somme le prix du péché - cette loi du mal qui nous habite - Qui à Golgotha le perce, le saigne et le tue tel un rite
Exorciste, Jésus bouc-émissaire volontaire, nécessaire Face à la justice, divine, qui gronde sur la terre A cause des collusions des hommes et des démons Qui de leur invisible dirigent et orientent les faits et décisions.
Mais la mort de Jésus - très juste châtiment des pécheurs Que l'on laisse à l’ire vengeresse de leurs sombres vainqueurs - Est injuste au possible, quant à lui qui n’a jamais fait mal, Au point où Dieu lui rend la vie d’un geste inaugural.
Regarde-le vraiment cet homme comme encorné Par Satan, déchiré par les hommes méchants, attaché, paralysé, Nu juste couvert par son sang ; vois-le bien, touche-le car c’est pour toi Qu’il se livre, se donne, se substitue pour que ta propre fin ne soit pas
Dans ce délire de jouissances infâmes, d’horreurs, d’ignominies, Qui se passe quand l’âme sans pardon rejoint les ennemis Célestes du bien, du juste, du vrai, au shéol séjour des réprouvés Qui n’ont compté que sur du vent et sur eux pour durer.
C’est ce regard et la foi maintenant depuis deux millénaires Qui ouvrent à tous pécheurs l’accès au Paradis, Croire en Jésus étant depuis ici la terre L’unique moyen, dit Dieu, pour vivre tout, sans les gâchis.
Claude T. - 29 juillet 2018 - ALGDDV
Que la bénédiction du 3e Ciel tombe sur vous... si vous répondez : Amen (Qu'il en soit ainsi).
Ne faisons pas de la poésie une idole d'hier et d'avant-hier, un vestige. Ne voyons pas les poèmes seulement comme des fossiles intéressants. Au XXIe siècle on peut encore avoir à dire la vie présente et le Réel sous forme poétique. Pour moi la poésie est à la vie ce qu'est la tendresse à l'amour... et à la haine.
CORPS À CORPS
En se livrant encor encore A la femme, à son corps, L’homme met en désaccord La soute, la quille, bâbord, tribord.
Les faux-amours font corps à corps Où l’âme se lasse de ces rapports Qui chassent les plus beaux accords Par des moiteurs jusqu’en la mort.
L’intelligence en berne l’homme Ne bâtit plus que de chaume, Ne pense même plus en home Dégénère son génome.
Il et elle ont banni les axiomes, Chenilles ils papillonnent, En résultent des hématomes, Rend impossible le nickel-chrome.
Ainsi se perdent des trésors Chacun ayant sa part de torts, Loin de Dieu la vie s’endort Pour des cauchemars, encore.
On souille tout en somme ! On pourrit tous nos royaumes, On se débat, perce nos paumes, Mais seul Jésus est le surhomme.
Claude Thé - 22 juillet 2018
La Bible, l'Histoire et nos histoires préviennent que la sexualité débridée suscite de mauvais désirs, amène des problèmes relationnels importants (dans les foyers et avec Dieu), des pertes de capacités (dont Samson est une figure), violences, cruautés, chaos, chute des civilisations (Mahagonny de Brecht et Weill)... Et Jésus a annoncé qu'un temps allait venir où il en serait par toute la terre comme au temps de Noé, comme au temps de Sodome.
On peut avoir le meilleur matelas du monde, mais sans pour autant trouver le sommeil. La cause ? Trop de fatigue comme trop de paresse ; la peur d'être visité de nuit par des voleurs, ou encore par des mauvais esprits (des "maris de nuit", etc...) ; des pensées qu'on n'arrive pas ou plus à maîtriser ; un souci ou un mauvais projet qui s'impose, vous ronge et revient sans que vous puissiez leur résister ; trop manger, ou pas assez ; trop de café, ou autre substance énergisante dont on est devenu accro ; un cumul de fautes morales dont la perte de sommeil est un jugement (en vue que nous nous interrogions sur notre couche quant à nos faits d'existence jusque là et autre avenir compromis)...
Confiez-vous en l’Éternel-Dieu qui a compassion des pécheurs que nous sommes... pourvu que nous le reconnaissions. Il ne nous cache pas toujours sa face, sa présence et le sentiment qu'on peut en avoir, ce qui manque à notre cœur. Que Jésus vous bénisse du trône céleste d'où il agit encore et patiente ... jusqu'aux jours (bien proches) de son retour en gloire...
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.