Un mur aux jointements qui interrogent (Machu Picchu, ancienne cité inca au Pérou) ! "Soyons impossible, demandons le Réel !" Alexandre Koyré Est-ce à dire qu'on peut chercher Dieu comme on cherche et trouve dans le domaine de la physique ?...
Il est évident que nous vivons dans un univers ouvert (qui tient de l'infini - sans en être) qui nous est largement fermé, mais s'ouvre par notre implication à le pénétrer. Et d'autant nous savons qu'il est issu de Dieu, d'autant nous sommes portés, par l'enthousiasme de l'esprit, par la curiosité, la soif de savoir, à le dé-couvrir.
"La physique, c'est pas la bureaucratie des apparences... En fait, il faut trouver des stratagèmes intellectuels, pour que le réel dé-coïncide de ce qu'il montre." Étienne Klein. Exemple le plus évident : la course du soleil...
"Faire de la physique, c'est penser contre son cerveau" Gaston Bachelard. En termes plus précis, c'est dépasser ou sortir des bornes acquises de notre capacité intellectuelle (raison rigide, préjugés, savoir scientifique partiel ou du moment, voire idéologie) par des capacités comme l'intuition, l'extrapolation, la transcendance de l'esprit, voire le secours divin par révélation ou "hasard conduit" (sérendipté - que je trouve une meilleure traduction auditive que sérendipité).
En parallèle donc, dans un Univers ou Réel (réel Total) qu'on peut entrevoir par la foi comme étant d'une hyper-unité, pourquoi les réalités (incréées) de Dieu et autres esprits de l'ordre angélique (créés) ne pourraient-ils pas se découvrir selon la même affirmation : "Faire de la spiritualité, c'est penser contre son cerveau" !?
Regardez et écoutez Étienne Klein, la structure fondamentale de la matière*... et rien qu'à partir de là, réfléchissez si la théorie de l'évolution - qui fait des hasards aveugles et sans intelligence et des nécessités aléatoires le créateur un-pluriel de la matière et du reste qu'on a sous les yeux - peut-être (encore) prise au sérieux !? Ensuite, à partir de cette vidéo et approche intelligente des réalités (visibles et bien cachées) - qui dit notamment que le Réel s'explique par l'impossible (Alexandre Koyré) -, comprenez que la connaissance ou découverte de la réalité de Dieu en tant qu'auteur de la matière et de ses dispositions, peut aussi passer par ces mêmes processus d'approche... compris la révélation qu'il peut initier en votre faveur (comme il fit à partir d'un certain jour pour moi qui ne le cherchais même pas).
Soyez béni-e...
à suivre... ________________ * Ce n'est pas que je comprenne tout comme pour me vanter que je propose cette vidéo, mais parce que la pensée véhiculée peut donner à notre âme l'idée (très en vogue par ailleurs...) d'un lâcher-prise qui permette à la dimension et au contenu de l'esprit de trouver sa place - son nid...
Les vestiges ne manquent pas sur la terre qui témoignent que le surnaturel autant que le naturel est constitutif de notre univers...
Le Réel (au minimum l'univers visible) est à la fois apparent, disponible, accessible, mais aussi invisible, voilé, à chercher, pénétrer, percer, pour en amener des réalités et vérités dans la lumière de nos consciences. - C'est devenu manifeste concernant les dimensions physiques ; - C'est vrai au plan des psychiques (que ce soit dans l'ordre animal ou humain) dont s'occupent différentes catégories de psy : - Et c'est tout aussi exact au plan des réalités spirituelles (peut-être plus subtiles que les autres, mais aussi réelles que les électrons, les quarks ou les bosons auxquels on croit sans que personne n'en ait jamais vu) dont témoignent tous les croyants spirituels (nés spirituellement), la Bible et quantité de livres chrétiens...
Et donc à nous, dotés de liberté(s) là où les animaux sont déterminés, de chercher encore, notamment ce qui nous concerne au plus près : le sens de notre existence et encore de sa fin physique globalement programmée, en accédant à la dimension (potentielle en nous) que constitue la vie de l'Esprit divin.
DES VESTIGES D'UN PASSÉ SURNATUREL ENGLOUTI Plusieurs vestiges physiques extraordinaires témoignent d'un passé étonnant : - les statues de l'Île de Pâques ; - les pyramides d’Égypte ; - les restes architecturaux d'anciennes civilisations d'Asie ou d'Amérique du sud ; - des squelettes humains mesurant 3 ou 6 mètres et plus ; - des passages bibliques qui parlent de races de géants ; - diverses mythologies qui se recoupent et rapportent forcément des éléments de vérités anciennes participant à la trame de nos origines ; - etc, etc...
De même dans notre être profond se trouve encore des vestiges, des relents, des effluves - et de là des aspirations ou des nostalgies - d'un passé merveilleux qui nous est perdu : - Quand on a un peu cheminé et face à nos difficultés ou échecs, remonte souvent un lancinant sentiment que c'était mieux avant, comme si l'histoire avançait à reculons, du meilleur vers le pire ; - Distants des passions, on est généralement habités par un désir de paix, de relations pacifiques, heureuses, d'harmonisation ou de retour à la nature ; - la pensée de l'éternité se trouve également écrite dans beaucoup de cœurs, curieusement confrontée à cette réalité antagoniste qu'est la mort physique, le retrait de l'âme consciente de cette terre des vivants ; C'est en ce sens que certains milliardaires font congeler leur corps mort en vue d'une résurrection ultérieur quand la science le permettra.... ou encore que le patron de Google - qui peut tout avoir bien au delà de ses besoins et envies et caprices - mais pas la vie éternelle ! -, cherche à s'immortaliser en entrant des données dans un ordinateur... - un désir d'amélioration de la condition humaine jugée aliénée... sans qu'on voit clair sur la et les vraies causes de notre aliénation, de nos entraves, de nos insatisfactions ; - notre attachement naturel à ce qu'on aime, et les souffrances qu'occasionnent beaucoup de ruptures, de fins de relations, dont la mort bien entendu ; - et l'amour !? qui transcende l'ordinaire de tous quand il vient se mettre à brûler comme un feu dans notre cœur spirituel. Amour merveilleux et révolutionnaire (qu'il ne faut pas confondre avec une séduction maligne aux effets déplorables) qui est une émanation du cœur de Dieu - car Dieu est amour - qui peut toujours nous tomber dessus à l'improviste... mais qui s'envole aussi plus facilement qu'on ne sait le préserver, le construire et le conserver...
Ainsi sommes-nous chacun prit dans un dilemme, une dualité, voire une tenaille, entre ce qui n'est effectivement pas (pour nous ou en nous) et ce qu'on désirerait plus que tout. - Si on est animés par un complexe de supériorité, nous dépassons ou couvrons notre souffrance en se lançant dans des entreprises, des conquêtes... qui ne sont pas sans contraintes, sans adversités, sans irritations, et de toutes façons bientôt ne satisfont plus... - Si c'est un complexe d'infériorité qui fait notre déséquilibre, on est réduits à subir, silencieusement ou par des réactions violentes sporadiques, à supporter, à être morose, sans espérance, défaitiste, dépressif, etc... - Entre deux, on ne va tenir dans un équilibre bien précaire que par de la superficialité, des dérivatifs, diversions ou dérision, tout ce qu'on appelle "la fête"* - qui ne l'est qu'artificiellement, en rapport de l'argent qu'on peut y consacrer et par l'alcool (désinhibiteur) ou autres produits-béquilles plus ou moins stupéfiants qu'on peut se procurer... en vue d'une abondance de plaisirs ou de joie (de débauches) éphémères et qui s'amenuisent d'autant qu'on en use et abuse.
IL RÉSULTE INDÉNIABLEMENT DE CES FAITS - PASSÉS ET PRÉSENTS... a) que nous sommes des êtres tombés, par rapport à une condition initiale plus démunie mais d'autant plus plus haute. Que ce soit des vestiges historiques ou des sentiments, des aspirations, à l'intérieur de nous, tout va dans le sens d'une perte, d'un amoindrissement.
La Bible comme toutes les cosmogonies témoignent - de la réalité de dieux - qui n'en sont pas vraiment, en fait des anges déchus, devenus les démons, qui s'immiscèrent de manière dramatique dans la vie de notre race, jusqu'à procréer des "demi-dieux", des géants ; - également d'un déluge - dont des traces se signalent un peu partout sur la terre (en Ardèche on trouve encore dans une grotte en altitude des dents de requins fossilisées) ; - partout et toujours la croyance en des réalités spirituelles invisibles mais bien réelles (actives, visibles par leurs effets) perdure malgré que la culture laïc-athée cherche à éradiquer ce genre de foi par une confiscation de nombreuses données (voire évidences)...
b) que la théorie de l'évolution est seulement une fausse doctrine en fait, maintenue uniquement pour asseoir l'incrédulité de ses défenseurs. Jamais elle ne put être validée scientifiquement, au point où plus personne ne parle de la fameuse preuve que certains espérèrent un temps d'un fameux chaînon manquant (Wiki) entre le singe et l'homme - qui d'ailleurs ne suffirait en rien (v. Wikipédia). Plusieurs supercheries furent déjouées (dont celle de Lucy, de L'homme de Piltdown, de L'homme du Nébraska, Le pithécanthrope...)
En effet, comment, selon cette théorie qui ne comprend aucune finalité, aucun sens pré-tracé, aucune réponse prévue avant l'apparition d'événements nouveaux, peut-il y avoir des aspirations dans le coeur de l'homme ? Comment pouvons-nous avoir très vite - et notamment les enfants ! - les capacités nécessaires pour entrer par exemple dans la maitrise des technologies très complexes qui se succèdent depuis ces dernières décennies ? Comment pouvons-nous avoir plus de capacité de mémoire que nous en avons eu besoin jusque là, pour intégrer en quelques mois ou années des sommes considérables de connaissances nouvelles ? La théorie évolutive ne peut rien concevoir de plus que ce que des nécessités obligent à paraître comme réponses satisfaisantes ; des réponses que créent par suite d'infinités de tâtonnements dépourvus de toute ligne directrice, de toute intelligence, une mystérieuse dynamique - qui est là forcément par avance, pour répondre aux tout premiers besoins !? - et s'enclenche à la sollicitation !...
Également, contre la théorie que l'homme évolue globalement d'une animalité primitive vers une emprise intelligente croissante sur son univers, le fait de plus en plus patent que l'homme se fait le principal ennemi de son cadre de vie. Plus il s'immisce dans la vie naturelle (arbres, flore, faune), plus il la dégrade, pollue, appauvrit, tue ! Une expression manifeste de plus que ça ne tourne pas rond dans l'homme, ses capacités et potentialités réelles importantes ne bénéficiant pas - plus ! - d'un organe sensible (qu'avaient assurément des populations de divers continents des siècles précédents) de jugement, de protection, d'anticipation, d'intuition, de respect... Un argument qui s'ajoute en faveur de la vision du genre humain tombé, déchu, accidenté, handicapé, dégénéré, déséquilibré et incapable de gérer ses puissances et potentialités internes bien réelles...
UNE CIVILISATION (OCCIDENTALE, POST-CHRÉTIENNE) QUI TOUCHE DÉJÀ À SA FIN - Les décompositions de structures aux plans politique ou économique et des familles, - la pourriture insinuée dans toutes les relations (couple, famille, entreprises, associations...) à cause de concepts controuvés pris pour argent comptant, de slogans trompeurs crus comme vérité, ou d'une justice rendue impuissante du fait de l'iniquité (corruption) qui sévit ici et là de haut en bas de l'échelle sociale, des zones de non-droit aux demeures les plus cossus, - le recours croissant à des thérapies, médications, à des pratiques visant à apaiser... ou toujours plus extrêmes (quasiment suicidaires), - des solitudes parfois profondes, qui résultent le plus souvent de ruptures douloureuses qui font perdre tout sens et toute motivation (conjoints ou ascendants abandonnés, enfants placés ou écartelés entre parents disjoints, accidents handicapants, maladies invalidantes...), - les (bouffées d')angoisses, les dépressions longue durée, la bipolarité, le burn-out (2 par jour avoue un médecin d'une ville de 15 000 habitants), - l'environnement naturel qui se délite en rapport des traitements insensés qu'on lui applique (terres arables, forêts, eaux douces, mers et océans, air des grandes villes), - la mort qui frappe à tout âge - suicides compris -, dont on se fait une alliée (terrible) dans une recherche d'un mieux-vivre perso... qu'on éloigne d'autant plus que notre quête est égoïste, - la présence invisible, mais discernable par leurs effets, de démons, dont la foi chrétienne et les jugements des deux dernières guerres mondiales avaient débarrassés la terre, mais qui reviennent en rapport de ce qu'on se soumet à leurs influences au lieu de tenir dans l'obéissance aux lois du Créateur et de la création... tout cela s'ajoute en un faisceau symptomatique qui témoigne d'un double mal lié déjà profond et globalement incurable au plan de toute la planète, qui s'appelle génériquement péché et jugement sur le péché.
Le développement des cancers, sida ou vih, Alzheimer..., l'apparition de maladies ou épidémies nouvelles (orphelines), le retour de maladies qu'on croyait éradiquées (comme la tuberculose), sont bien sûr de ces signes autant que des réalités capables d'interpeler les consciences... au moins de quelques-uns dont il est bon que nous soyons...
TOUT DANS L'UNIVERS NE FONCTIONNANT QUE SELON DES LOIS... Et pendant qu'il y a encore (un peu ou un semblant) de vie, parmi les lois qui s'appliquent à nos existences (qu'on le veuille ou non, qu'on croit en Dieu ou en rien... que soi), la Bible nous dit que l'orgueil (complexe de supériorité) précède la ruine ou la chute (une rupture sévère), alors que l'humilité (à quoi aide parfois un complexe d'infériorité ou une rupture) précède la gloire. Dit autrement - non plus en vertu de lois établies par le Créateur mais en le considérant lui-même -, Dieu déclare qu'il abaisse les orgueilleux mais fait grâce aux humbles, restaure les cœurs brisés, soutient le faible...
LE MONDE VA MAL, MAIS DIEU SE PORTE BIEN Si le monde va mal, Dieu se porte (toujours) bien (nonobstant le fait que nos égarements l'attristent) ! Si les individus comme les corps sociaux courent à leurs pertes, ceux qui craignent respectueusement Dieu et ses lois et lui font confiance trouvent ou gardent la paix : ils ne sont pas forcément épargnés par des adversités - car nul n'est parfait en soi ni dans sa marche avec Dieu -, mais l'Esprit de Dieu - Christ en nous - communique sa force vivifiante et qui empêche parfois de couler.
Les dernières actualités nous interpellent étrangement au sujet de notre perception (qui peut être réaliste ou controuvée) de la mort.
Il y avait eu l'automne dernier le "spectacle" pour le moins déroutant de Douaumont où des milliers de jeunes ont été mis en scène pour courir pêle-mêle entre les tombes des combattants tombés à Verdun en 1916...
Il y a aujourd'hui cette idée (vieille de 2016) reprise par la maire de Paris, d'un "Printemps des cimetières" où les populations curieuses et/ou festives sont invitées à venir non seulement visiter mais encore écouter de la musique, chanter ou même danser au gré de diverses animations parmi les tombes dans les cimetières de la capitale...
Et puis cette autre idée de fin d'un épisode de l'aventure humaine, qui offre à chacun de pouvoir mourir tout seul, à l'azote liquide, de manière certaine (pas de risque de faire une simple T.S.), directement dans son cercueil (appelé en l'espèce sarcophage - étymologiquement "qui mange la chair") fabriqué par imprimante 3D selon fichier joint... Départ en douceur, mort en 5 mn après avoir composé un code pour montrer qu'on est bien conscient de ce qu'on fait. Suicide pour tous en accès libre et facilité. Réflexion : Mais qu'est-ce que la conscience, et qu'est-ce qu'être conscient ?... Un groupe de musique heavy-metal qui signe un pacte avec Satan est-il "conscient" de ce qu'il fait ?
On n'en est donc plus à vouloir aller "cracher sur vos tombes". Les scandales d'hier sont du pipi de chat aujourd'hui... et les scandales d'aujourd'hui n'en seront plus demain. Mais Boris Vian est mort à 39 ans d'une crise cardiaque - il y a un temps où on disait plus explicitement "d'une attaque". Et demain le mal vengeur sera encore à la mesure de comment on s'enfonce dans l'irrespect des conditions bénéfiques à la vie...
Plusieurs - une minorité quand même - sont lucides sur la gravité de nos évolutions, mais sans solution tant qu'on amalgame l'impiété et les injustices qui vont avec, avec le reste de nos capacités - même les plus pertinentes par ailleurs. On est "bel et bien", c'est-à-dire terriblement, sur la pente savonneuse d'une fin de civilisation. Dont les ingrédients sont connus depuis l'antiquité, et dont la Bible, par Jésus et autres prophètes, prophétise l'arrivée, qui va maintenant se produire en deux temps* : - Bientôt un temps de paix et sécurité formidable proclamé avec force et enthousiasme, notamment au sujet du Moyen-Orient (des relations d'Israël et des populations arabes) -, ce que - presque - tout le monde va prendre pour le commencement d'un nouveau paradigme (paradis) sur terre...., - sauf qu'avant quatre années, les accords et compromis et compromissions ne vont unilatéralement plus être respectés***, déclenchant des conflits de plus en plus cataclysmiques, la montée d'un totalitarisme planétaire inouï, avec des conséquences apocalyptiques comme il est écrit à partir du chapitre 13 du dernier livre de la Bible. A ce moment-là ceux qui auront su mettre au préalable - c'est-à-dire déjà maintenant ! - leur pleine confiance en Dieu par Jésus le Christ pour les nations et Messie d'Israël, auront été mis à part pour être épargnés et pouvoir intervenir à la suite avec leur Héros, le Seigneur Jésus, revenant pour entrer dans son règne terrestre de mille ans...
Avant ces événements d'autant plus certains qu'ils ont été écrits depuis deux et trois millénaires et que beaucoup se sont déjà réalisés, nous sommes dans cette phase de destructuration, démontage, décomposition, d'un ordre ancien, temps trouble et troublé par des avertissements retentissants sporadiques (plus que par les grands jugements des nations qui suivront), avec une redistribution des cartes - on l'a déjà vu, des plus surprenantes et rapides.
Et donc ce qui caractérise cette course folle - vers le bonheur, la liberté de tout pouvoir choisir, la quête effrénée des conditions d'un bien-être jusqu'à la jouissance personnelle illimitée... comme croient les progressistes -, c'est la place que prend la mort, depuis la conception du vivant jusqu'aux blancheurs de la vieillesse. Et ce qu'on voit, c'est un déni - de plus - du Réel. La mort n'est pas la mort, veut-on dire et se dire, en jouant avec, en se donnant la liberté de choisir son heure... comme si cela la rendait moins inéluctable, l'apprivoisait au point où elle n'est plus la mort. Des enfants peuvent ainsi jouer sur un nid de vipères... Et c'est précisément quand la mort est le plus ressenti - de manière persistante mais avec peu de conscience réelle - comme une problématique prégnante, qui s'impose jusque dans nos fibres, qu'on cherche une ou des échappatoires pour s'en divertir comme on a vu au début de cet article. La dérision est un des ultimes moyens réactifs et preuve de notre... impuissance.
DEUX CHEMINS Et la Bible a encore des choses à nous dire à ce sujet. Elle nous parle bien de faire un choix personnel capital en rapport avec la mort. Mais pas le choix de se la donner un soir enfermé dans sa chambre ou devant un coucher de soleil ! Elle parle de choisir entre la vie et la mort ! En disant : Choisis la vie ! Et la vie que nous avons à choisir est celle de Jésus, qui par sa marche avec Dieu devenu son Père, a été ressuscité des morts et vit désormais éternellement - vérité qu'en tant que croyant-e nous pouvons expérimenter. Jésus a du mourir pour plusieurs raisons nous concernant, dont celle de montrer son triomphe de la mort par sa résurrection.
Qui a pu dire comme lui : "Je suis le chemin (pour aller à Dieu), la vérité (à connaître pour être sauvé), la vie (éternelle, qu'il peut donner à qui il veut)" !?
A l'opposé on a la mort. Et pourquoi notre âme, notre conscience, ressent-elle la mort et la peur de la mort jusqu'à l'épouvante parfois, parce que "le salaire du péché (du mal que nous faisons), c'est la mort", dit la Bible. Et la mort en nous est d'abord une mort spirituelle, déjà active et privative de beaucoup de choses bonnes et de vraies libertés.
La suite de cette mort - dans laquelle des foules de plus en plus nombreuses marchent et échangent et se déchirent crescendo, ne se supportent plus, forcément ! -, c'est la mort physique où l'âme se détache du corps pour migrer vers l'une ou l'autre de deux types de régions spirituelles : - la sphère divine ou royaume de Dieu (des cieux), première étape d'un paradis sans fin..., - et la sphère ténébreuse des esprits angéliques déchus (démons) qui engrangent les âmes défuntes (désincarnées) dans ce que la Bible appelle Shéol en hébreu, Hadès en grec, ce qu'on traduit par "Séjour des morts", première étape en direction de l'Enfer (défini en Apocalypse comme un "étang ardent inextinguible de feu et de soufre").
Alors choisir le moment où on va mourir, dans quel but ? Faire cesser des souffrances physiques !? Normalement** oui ! Mais qu'en est-il des souffrances psychiques, puisque l'âme continue à vivre avec ses capacités propres - dont les sensations et la mémoire !?...
Faut-il que nous soyons insensés pour ne pas (mieux) nous soucier, nous inquiéter de ce fait patent que nous sommes mortels ? Car la mort est plus présente que jamais, outre spirituelle, fauchant par le monde plus de cent personnes chaque minute, séparant des corps qui tombent à terre et y retournent les âmes (siège de notre moi conscient et autres fonctions psychiques) qui entrent dans une éternité ou éternisation généralement ignorée ou méconnue... ce qui est le pire qui puisse suivre la mort physique...
Si "la mort m'est un gain" comme le dit l'apôtre Paul, ce n'est pas (seulement) parce qu'il est âgé et usé, mais plutôt parce qu'il est bien certain de rejoindre son Seigneur dans la félicité divine dès son départ de cette tente devenue pour un moment le temple du St-Esprit : C'est l'Esprit de Dieu et ses anges qui entraînent les âmes attachées à Dieu par Jésus dans l'éternité bénie. Sinon le poids des fautes fait descendre dans le séjour des tourments post-mortem dont parlent la Bible et plusieurs qui l'ont expérimenté en état de mort clinique (vois EMI ou NDE sur Youtube par exemple). Et si vous ne le croyez pas (encore) - ce qui est tout à fait naturel quand on est mort spirituellement -, demandez à Dieu qu'il vous le révèle : Il en est capable (si vous êtes sincère)...
Soyez béni-e pour discerner jusque dans l'invisible.
Voir aussi mon étude sur les 5 types de mort. Pourquoi cet article est-il régulièrement le plus lu de mon blog, si ce n'est que la civilisation occidentale glisse dans une culture impie mortifère dont chacun reçoit en lui-même de plus en plus la perception et l'alerte !?
______________ * Comme est la fin des supernovas, avec une brusque et brève immense expansion 'éclatante, lumineuse, joyeuse), immédiatement suivie d'un effondrement sur soi auto-destructeur.
** "Normalement" car un corps sans vie ne ressent plus rien. Mais dans l'autre sens, il n'est pas vraiment certain que l'âme - qui elle ne meurt pas ! - ne conserve pas le souvenir de douleurs corporelles !? Ce qui me fait penser ainsi, c'est que nous pouvons parfois ressentir, après la perte d'un membre, des douleurs comme s'il était encore là...
*** scénario non inédit puisque déjà déployé via Hitler qui signa des accords avec la Russie par exemple, pour l'envahir par surprise peu de temps après.
Est-ce dans un tel rapprochement de l'air qu'on peut se sentir physiquement le plus libre ? Question de goût(s) et d'opinion(s). Mais pour se sentir libre intérieurement, il nous faut trouver avec quel élément sérieux composer au mieux...
La vérité est un principe contesté dans un univers humain qui, originellement duo, est devenu duel. Ainsi ne pouvons-nous pas voir les vérités et les mensonges comme des réalités complémentaires, mais comme une forme des antagonismes, comme des ennemies. De la même manière que la lumière qui en créant des ombres donnent du relief, mais aussi contre laquelle lutte l'obscurité qui est le fond naturel de notre univers.
Quand Jésus paraît, il parle beaucoup moins que la plupart d'entre nous. Mais ce qu'il dit ne peut être qu'une véritable interrogation pour chacun qui dispose de quelque capacité réflexive. Parmi ses enseignements et affirmations, il (a) dit "Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi." Parole d'un mégalomane - incapable de prouver ce qu'il affirme - ou parole d'un fils d'homme qui est aussi fils unique de Dieu - ce qu'il prouve par des actions surnaturelles d'exception - ? (lecture ou écoute possible ici de l'essentiel de la vie, des paroles et des actions de Jésus).
Entendant de telles affirmations, pouvons-nous rester insensible, statique, désintéressé, étranger... à moins d'être réduit à une incapacité d'être réellement un être humain !?
"LA CHÈVRE BROUTE LÀ OÙ ELLE EST ATTACHÉE" Proverbe africain Notre formation depuis notre conception et après notre naissance à la lumière physique de ce monde fut essentiellement un conditionnement, une mise en boîte de nos capacités et déploiements via des savoirs, selon un système sociétal donné - non choisi - formant une socio-culture, avec une religion de tradition ou dans le bain de l'athéisme (vue qui se confond de plus en plus avec la laïcité).* Ce bouillon aux ingrédients multiples et pas forcément bien assemblés, fait se produire en nous des conceptions et autres opinions qu'on considère comme les nôtres, comme "nos" vérités, par mimétisme et autres moyens d'acquisitions conscients ou inconscients, essentiellement indépendamment de tout recul qui pourrait favoriser un regard critique objectivé. D'où le mot des plus pertinents de Descartes : "Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances." ...Et deux fois si on s'aperçoit qu'on n'est pas encore au cœur des savoirs et de la connaissance véritables.
En réalité c'est déjà un mensonge qui se propage qu'il suffit que nous ayons des vérités personnelles pour être capable de juger de tout et de bien vivre. C'est donner à ce qui n'est le plus souvent que ramassis de savoirs partiels, d'affirmations non prouvées (comme est la théorie de l'évolution !), d'opinions diverses mises à notre contact, de préjugés, qui font qu'on arrive (compris philosophies ou idéologies diverses) à des avis, des vues personnelles, qu'on nomme nos vérités. Qui peuvent certes contenir bien des vérités objectives, mais aussi des erreurs, des bourdes, des mensonges volontaires, des demi-vérités trompeuses, de l'ignorance préjudiciable.
Car existe effectivement le fait que nous pouvons avoir chacun des opinions personnelles, des convictions, mais elles ne peuvent pas être contraires, en antagonisme avec des vérités de premier ordre tel que la Bible ou Jésus essentiellement les abordent, les affirment et nous les fait connaître... sauf au détriment de notre cohésion (équilibre, santé !) personnelle, intérieure (psychique et spirituelle) et même psycho-somatique. Sauf au détriment de notre et de nos justes positionnements dans ce monde (choix, décisions, orientations, relations, activités, pratiques...).
C'est en ce sens que Philippe Mélenchton (bras droit de Martin Luther) dit en vue de l'harmonisation sociale comme de notre harmonisation personnelle : "Pour les vérités premières : unité (universalisme) ; Pour les vérités secondes : diversité (opinions différenciées) ; En tout : charité (amour, respect les uns des autres, tolérance)".
Avec Jésus on est loin de la religiosité : il introduit l'humain dans la connaissance de soi la plus profonde. Qui peut être meilleur psychologue que celui qui a participé, en tant que parole de Dieu, à la création de l'homme comme de l'univers !?
Pas question pour lui de nous interpeller dans le but de remplir des églises ou de nous fidéliser dans des groupements de croyants ! Le nombre n'est pas sa préoccupation, mais la droiture de cœur, c'est-à-dire la vérité vis-à-vis de soi-même pour commencer.
L'essentiel est que nous entrions dans (et connaissions) une vie autre, potentiellement toute autre, spirituelle et non religieuse seulement. Car la liberté dans laquelle Dieu a créé l'homme à son image, ne se trouve pas dans des pratiques ritualistes, mais dans la libération des contraintes de "la loi du péché...", qui nous habite tous et nous pousse à mal faire, contre notre propre volonté même. Dominante à mal faire qui est aussi "loi de la mort" - dont l'imposition finale atteste plus que tout que nous ne sommes pas libres de vivre, donc pas maîtres par nous-même des grandes orientations comme de la durée de la vie qui nous a été prêtée...
ET DONC QUELLES VÉRITÉS LIBÈRENT !? Les vérités les plus essentielles à connaître sont : - Celle relative à la réalité de Dieu et à qui il est (quelle en est la meilleure représentation qui nous ait été donnée pour que nous parvenions à entrer en relation avec lui et vivre dans une réelle connexion avec lui) ; - Celle relative à la personne de Jésus donc ; - Celle relative à des écrits qui se disent sacrés, émanés de la même source divine, et qui pourtant se contredisent ; - Celle relative à l'état réel de nos personnes selon le regard que Dieu porte sur nous ; des gens bien, parfaits, suffisants en eux-mêmes, ou des êtres qui ont besoin de grâce, de pardon... et de transformations ; - Celle relative au bien et au mal, selon des écritures avérées et/ou selon notre propre conscience si on ne se réfère à aucun écrit ; - Celle relative à notre mortalité** et aux possibilités de pérennité de notre âme après la séparation d'avec le corps ; - ...
Bonne recherche donc dans les vérités premières, qui fondent tant l'existence que notre devenir - que nous voulons le meilleur (et sans fin quand tout mal aura disparu) - sur un roc (Jésus-Christ et ses paroles)... sinon nous ne faisons que bâtir sur du sable...
________________ * Et s'il arrive que malheureux ou malheureuse dans l'impiété laïque ambiante et personnelle, on nous propose un fond de tarte (une vision du Réel et de soi) tout différend (qui inclut Dieu sous une représentation ou une autre, des relations et mouvements nouveaux), l'alternative est parfois bien tentante... sans qu'on s'interroge plus sur la justesse, la pertinence, la validité devant Dieu, de la nouvelle proposition... Certes une conception qui intègre le Divin ou le spirituel sera toujours moins étriquée dans la perception du Réel global, mais pas forcément plus large, plus libre, dans ce qui va en résulter dans notre existence et surtout dans notre âme... Car il ne faut pas là d'erreurs à la place des vérités fondamentales qui l'on ne veut pas basculer d'une insatisfaction dans une autre... ** En réalité à notre porte sont 5 types de mort bien distinctes
Beaucoup de personnes aujourd'hui encore disent ou pensent que les animaux n'ont pas d'âme. Mais la Bible dit que les animaux sont comme l'homme "une âme vivante". Par ses yeux (fenêtre de l'âme !), le sentiment d'étonnement mêlé de crainte de ce chaton ne vous apparait-il pas ? ...Mais les ressemblances n'excluent ni n'annulent les différences !...
Les animaux ne savent pas construire un langage. L'être humain est distinct de tout le reste du règne vivant en ce qu'il est capable de créer des langages (des langues parlées, articulées et articulables, aussi des langages mathématiques, informatiques, symboliques, culturels…).
Bien plus que l'animal donc, l'être humain est capable de prouesses phénoménales, de découvertes et d'inventions merveilleuses… mais il est aussi capable des pires crasses, d'actes de cruauté sidérants, de manipulations psychologiques et (désormais) génétiques sur une échelle qui va des moins respectueuses de l'environnement et de la personne aux plus abjects.
ET DONC !? No problem ! No questionnement ? Non ! A cause de tout cela, il faut qu'en tant qu'être - digne de cet adjectif : humain, que nous sachions bien mieux qui nous sommes ?! a) Créature de néants qui les unes les autres se télescopent, s'attirent et se repoussent aléatoirement depuis l'origine de la vie - celle-ci étant dans ce cas présumée apparue par hasard (rien que par des hasards !), sans intention ni finalité, ce qui fait que tout y est essentiellement absurde (vision existentialiste), dépourvu de sens, de cohérence, de surnaturel !? Est-ce votre vue des réalités ?...
b) ou bien nous sommes créature problématique, à l'image dérivée d'un esprit puissant qui a quelque chose de notre père, qu'on appelle Lucifer, Prométhée, le serpent ancien, Satan ou le diable !? Il est évident en ce sens que bien sûr le mal existe, et parfois en étant "plus fort que nous", proliférant plus facilement qu'on ne parvient à construire de bonnes relations durables. Ainsi, on n'a pas besoin d'apprendre à un enfant à mentir... mais il faut lui apprendre à dire la vérité.
c) ou encore sommes-nous créature d'un Dieu parfait, éternel, unique qui est en soi le Bien, le Beau, le Bon, qui nous dota, dans son image, de beaucoup de capacités et potentialités, dont aussi une liberté que ne possède aucune autre créature vivante de la terre !? Espace spécifique de liberté, ici comprise comme accordée par un Créateur, si réelle que par elle on est chacun capable de sortir du bien (du beau, de l'aimable, de l'honorable, du juste, de la vérité, de la paix... plus facilement que d'y revenir), jusqu'à devenir la création d'un autre - du dit-diable, de Satan-Lucifer et encore de ses hordes d'anges déchus comme lui et devenus les démons.
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En vérité, on est bien chacun cumul de c) et de b), des êtres hybrides, des fruits génétiquement modifiés qui unissent si difficilement la Lumière et les ténèbres, le Sublime et l'horreur, la permanence et la corruption, des vérités et des mensonges mêlés et scellés... par une usurpation initiale (comme il est écrit ici). De là la situation duelle malaisée à terrifiante dans laquelle on est tous aujourd'hui encore.
ILLUSTRATION Dans cette image du mal résidant, en nous plus fort que faire le bien, on a pu entendre ces derniers temps l'histoire d'un septuagénaire qui réussit pendant très longtemps à abuser de dizaines de femmes qu'il hameçonnait sur internet (sous l'apparence d'un beau jeune homme), et qui finissait par copuler avec elles à partir d'un scénario trompeur suffisamment tentateur pour séduire celles qui croyaient qu'il suffit d'être libre de ses choix et de ses déplacements pour trouver son bon plaisir voire le bonheur.... Rien de nouveau sous le soleil ! Seulement les formes et forces des violences et des tromperies changent. La Bible dit encore qu'on est chacun amorcé par sa propre convoitise, et que la convoitise étant consommée, elle produit la mort (au moins spirituelle, au pire physique).
ET DONC !? Il faut choisir de savoir Qui on est, si on ne veut pas être la proie de ces esprits démonisés qui insécurisent nos pays et nos rues (et peuvent venir jusqu'en nous-mêmes), d'autant qu'on leur ouvre des portes pour entrer dans nos sphères personnelles ou collectives (de politique à conjugale) ! C'est la question capitale de notre première identité : De qui sommes-nous d'abord issus ? Et encore Quelles sont les forces réellement en présence dans ce monde ?
COHÉRENCE DANS LE RÉEL Déjà la physique nous répond : Ce qui est le plus puissant dans tout l'univers, ce ne sont pas les corps visibles (soleil, planètes, et autres étoiles), mais les forces invisibles qui tiennent et repoussent les corps (forces électromagnétiques, ondes de transport de données, forces quantiques...). Quid chez nous avec la force de la pensée, et infiniment de Dieu, et des anges, compris les entités dénaturées rusées et méchantes.
Aux religieux de son temps qui se défendaient en disant qu'Abraham était leur père (ce qui était vrai sur le plan physique, génétique), Jésus répond : C'est pas vrai ! La vérité, c'est que votre père c'est le diable ! Jésus regarde au plan psycho-génétique, de leur âme (dont le corps physique est ,dans la normalité, le véhicule plus que le directeur), et il leur dit : Votre père c'est le diable, parce que vous obéissez à ses injonctions, vous vous soumettez à ses tentations. (lire ici)
Il est capital de savoir que nous existons entre la rive de l'éternité qui nous précède, et celle de l'éternité que le développement de notre conscience individualisée nous permet d'apercevoir (tout ne finissant pas avec nous), et dans laquelle à tout moment on peut entrer...
HUMAIN A PART ENTIÈRE OU PARTIELLEMENT ? Si on ne s'arrête pas à ce genre de considération fondamentale pour en connaître la vérité, on aura été en quelque sorte comme un de ces milliards de spermatozoïdes produits et éjaculés pour rien dès lors qu'ils n'atteignent pas la cible unique prédisposée à la fois pour leur fin et pour leur métamorphose glorieuse : un ovule. ...La cible étant à notre niveau la sphère de Dieu lui-même, son Royaume éternel aux capacités et développements infinis... et plus encore…
Qui êtes-vous ? C'est à vous à le savoir - chacun pour notre part de conscientisation. Que voulez-vous devenir ? Votre objectif et fin est-ce seulement de mourir à cette terre ? Et si la réalité va bien au delà, et que vous ne le sachiez pas ?... Considérez tout le temps que vous passez à telle ou telle activité qui n'est pas vitale, et combien vous en avez passé à chercher la vérité sur Dieu, sur l'immortalité réelle ou potentielle de votre âme - c'est-à-dire de vous-même !
La vie, "on est vraiment rien sans elle" ! Des foules entendent tous les soirs depuis des années ce refrain du générique d'une série télé ! Mais qu'est-ce que ça veut dire !?... Tout de surface, on se laisse ainsi bercer (ou secouer l'instant d'après par un nouveau thriller) avant d'aller se coucher abruti plus que lucide sur ce qu'on a fait de cette journée... Et ainsi, jour après jour, on se laisse endormir (et en même temps on n'arrive plus à trouver le sommeil !) par les idées et modes ambiantes d'un système qui vit sans Dieu - sans réaliser qu'"on est vraiment rien sans... LUI" ! Encore combien de temps ? Jusqu'au dernier sommeil, où il ne restera plus qu'à découvrir avec effarement et en toute impuissance où nos choix et notre insouciance nous auront conduits.
Bonne quête ! Il en est maintenant encore temps : On ne sait jamais avec assurance de quoi tout à l'heure sera fait. Or le jeu en vaut la chandelle, et ... "un peu plus", ce que Dieu appelle l'éternité, une place dans son Royaume de vies sans fin, le véritable Paradis. Sinon ce sera éternellement rien moins que tout le contraire du Bien... Bénédictions de sa part. Il est vivant. Cherchez-le en vérité.
La vie et la mort et la signification des rêves (songes, cauchemars, visions) sont les deux sujets d'articles les plus lus ici. Si vous fréquentez mon blog depuis peu - et bienvenue aux nouveaux abonnés de ces derniers jours - , les voici si cela vous intéresse : LES 5 TYPES DE MORT - RÊVES ET AUTRES SONGES ET CAUCHEMARS...
Soyez béni-e dans vos lectures. Que le Dieu vivant et vrai vous donne de toujours mieux connaître et comprendre le sens de votre existence et présence ici maintenant.
citations de C.S. Lewis (auteur des Chroniques de Narnia) : « Dieu ne peut pas nous donner le bonheur et la paix en dehors de lui-même, précisément parce qu’il n’y est pas. »
« Le christianisme, s’il est faux, n’a aucune importance, et s’il est vrai, est d’une importance infinie. La seule chose qu’il ne peut pas être, c’est modérément important. »
Le bonheur tient de l'iceberg ! On veut tous des éclats et brillance de la partie émergée, mais s'il faut descendre sous le niveau de l'apparence pour voir ce qui lui donne sa stabilité... Qu'en savons-nous ? Le voulons-nous ?
Le fond du fond en nous tient du lit de la rivière, qui en modèle la course. Parfois en un torrent rapide bondissant parmi et au-dessus des rochers. Parfois en un large fleuve à la surface lisse qui semble à l'arrêt. Ou encore en des cascades ou une chute vertigineuse ; en deux bras qui se séparent face à un obstacle plus important. Jusqu'à une solution où le cours d'eau douce se mixe avec l'immensité des eaux salées...
Ainsi avons-nous chacun en notre âme un lit qui s'est formé. Qui donne au cours de notre existence des expressions variées, un ou des comportements, des réactions et des choix qui créent un tracé ou un autre, de bonnes ou de mauvaises trajectoires, une vie cool ou une vie mouvementée, et forcément un jour ou l'autre accidentée… ne serait-ce que par ce qu'on appelle la mort - qui est un accident* ultime.
Ce lit est fait pour l'essentiel de quelque héritage psychogénétique et de nos environnements instructif et éducatif (parents, école, médias, pairs…), et un p'tit peu - pas plus en général - de notre propre insertion en conscience dans la connaissance de soi et du Réel Global - insertion le plus souvent gênée, empêchée, occultée, court-circuitée, déviée par n'importe quoi qui devrait rester secondaire ou même n'être pas.
Alors, les besoins essentiels, qui auraient pu - et peuvent encore - nous donner un fond d'être, un socle d'existence, plus apaisé et même heureux !?
- La justice : ne pas vivre d'iniquités, en irrespect des lois qui font la société dans laquelle on vit, en transgressant de notre propre conscience, ou une loi morale religieuse bonne à laquelle on est attaché. "L’œuvre de la justice sera la paix, Et le fruit de la justice le repos et la sécurité pour toujours.18 Mon peuple demeurera dans le séjour de la paix, Dans des habitations sûres, Dans des asiles tranquilles." (comparez avec Osée 4.6). Avez-vous déjà vu en quoi la être juste est important ? Parfois prendre pour quatre-vingt-dix ou cent cinquante euros d'amende et trois ou cinq points en moins sur le permis de conduire peut nous rendre plus juste. La prison devrait avoir cette vocation... Dans tous les cas, on a TOUS besoin d'être rendus plus justes, car l'injustice fait partie de notre psychisme naturel (ce que notre socialisation peut réduire, mais jamais totalement)...
En 2Thessaloniciens 2, il est question de "recevoir l'amour de la vérité pour être sauvés..." Pour Dieu mentir ou voler ou tuer ou convoiter entretient ou produit la même séparation entre lui et nous. Quel gain cherchons-nous ? Un gain inique obtenu par ruse, manipulation, séduction ou violence, ou le gain de Le connaître Lui, la vraie vie, la paix, l'amour, la pureté de coeur, le bien-être en soi... toutes choses bonnes qu'il peut nous communiquer en esprit et en vérité.
- (Connaître) Dieu ! L'essentiel des essentiels. Le Dieu créateur, qui ne change pas, qui ne se contredit pas, qui est amour et dont l'amour a absorbé la justice punitive. Comment ?
Comment trouver Dieu ? En cherchant ce qui est vrai, juste et vérité à son sujet. Et par la foi jusque découvrir ce qu'est la mort sacrificielle, substitutive de Jésus. Ce qu'elle est depuis l'instant où Jésus a été élevé comme un assassin sur un bois de torture, acceptant - de porter en son corps nos péchés (nos injustices, nos mensonges, nos fautes morales, tous nos égarements coupables), - et d'être fait malédiction pour que l'obligation et le poids de la justice nécessaire à notre bien soit changé en un don : Celui de l'Esprit Divin comme la force nécessaire suffisante pour marcher droit, pour se purifier, et comme vie éternelle qui nous est accordée, par grâce, dans la foi.
Psaume 4. 6 : "Beaucoup disent: Qui nous fera voir le bonheur? Fais lever sur nous la lumière de ta face, ô Éternel !" Que cela soit une prière authentique de votre cœur, dans votre bouche, et vous en verrez l'exaucement !
"Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé-e, toi et ta famille."
- Mise à jour, compteur à zéro Il y a en nous comme une boîte noire et un compteur qui enregistrent TOUT ce qu'on fait de mal, c'est-à-dire en dehors de ce que Dieu veut comme Bien ou de ce qu'il agrée de nos initiatives. Tout cela nous sépare (de la sainteté) de Dieu, nécessitant, si on veut se mettre en ordre, en bonne relation avec le Divin, que cela soit effacé de notre casier judiciaire à la fois intérieur et céleste. C'est pour cela que Jésus est mort, prenant sur lui les souffrances et la mort qu'occasionnent toutes ses choses mauvaises, afin que nous puissions être pardonnés de tout cela en toute grâce - de manière totalement imméritée - pour notre part, et en toute justice du côté de Dieu. Alors, ne soyons pas dans le déni vis-à-vis de ces réalités qui plombent notre existence, mais plutôt acceptons qu'elles soient mises en lumière, reconnues pour fautes, pour mal, et recevons le pardon de Dieu pour en être débarrassées (comme il est écrit ici - vers. 7 à 10).
Soyez béni-e par ce Dieu qui vous connait déjà si bien, dont notre mieux-être présent et bonheur éternel dépendent : de sa personne, de sa connaissance, et d'une vivante relation à lui.
___________________ * Accident dans le sens où, à l'origine de l'être humain, la mort n'est pas la destination qu'elle est devenue, mais c'est la vie éternelle - notre éternisation personnelle - qui était la finalité de notre création. La mort avait été prévue, potentiellement (comme un plan B), pour le cas où nous tomberions… dans ce qui s'est passé que nous rapporte le 3e chapitre du livre biblique de la Genèse. Liberté oblige, cela aurait pu être autrement, pour la chute comme pour la non-chute. Toujours est-il qu'on a tous été génétiquement scellés dans la mort(alité), et qu'il nous faut maintenant rejoindre le Plan Divin Rédempteur (B2) pour être replacé sur le chemin de l'éternité qu'on appelle Royaume éternel de Dieu ou Paradis sans fin.
Le juste jugement de Dieu sur tout ce qu'on a fait de mal peut-être évité... avant qu'il ne soit trop tard ! Il s'agit de recevoir le pardon de Dieu au point de devenir "une nouvelle créature"
F1 acte 2, et F2 : VIVRE UNE CRÉATION TOUTE NOUVELLE ET ÉTERNELLE Votre nom sera-t-il écrit là dans Le livre de vie ? Aura-t-il été écrit avant la 1ère résurrection et réunion des croyants à leur Tête, le Sauveur et Seigneur Christ Jésus ?
C'est donc deux espaces et devenirs terminaux (si on regarde au mal) qui clôturent les chutes d'un tiers des anges et du genre humain : - Ce qu'on vient de lire là - où le fait que cette nouvelle création commence par une ville, alors que sur cette terre Dieu avait commencé pour l'homme par un jardin, montre qu'il y a continuité et prolongement de ce que nous connaissons, nous développons et mémorisons ici maintenant. On est là au cœur abouti du dessein éternel de Dieu envers nous genre humain.
- et un "étang ardent de feu et de soufre" (ce qui est appelé généralement l'enfer), que Dieu a du créer pour les anges entêtés dans leur rébellion - car ils sont immortels -, et dans lequel aussi peuvent finir ceux des humains dont le nom n'aira pas été écrit dans Le livre de vie du Sauveur immolé. C'est là la "poche" nécessitée par l'apparition du mal et par l'exercice de la justice divine envers quiconque s'obstine à pervertir ce qui est bien, bon, beau, agréable...
Résumé On a pu comprendre que les deux résurrections introduisent dans des commencements de vie qui font qu'effectivement nous pouvons avoir à vivre jusqu'à 7 et 8 épisodes d'existence bien distincts : - Existence conçue et pressentie dans le cœur de Dieu ; - Vie fœtale (indépendamment de notre volonté) ; - Existence actuelle à la suite, corporelle, psychique et/ou pas spirituelle ; - Naissance spirituelle non automatique (qui tient compte d'une liberté de choix) dans l'éternité de Dieu ; - Vie de l'âme séparée du corps (notamment après la mort physique) ; - Vie de résurrection physique pour tous, en deux temps et avec deux devenirs qui peuvent être diamétralement opposés (comme vie et mort) ; - Nouvelle vie millénaire sur cette terre pour ceux qui auront triomphé par la foi et seront conviés à régner ici-bas avec Jésus-Christ pendant 1 000 ans ; - Vie transportée dans la nouvelle création éternelle de Dieu ; - Existence projetée dans l'étang de feu et de soufre créé pour engloutir tout le mal (mort comprises).
Ne passez pas à côté de l'ESSENTIEL (l'Essence du Ciel) et de l’ÉTERNEL ! Ne vivez pas que des bribes, même pas les miettes des festins de vie que Dieu a préparés avant que nous en jouissions !...
Que le Dieu qui sauve vous attire et libère assez pour que vous désiriez entrer dans les conditions et la réalité de votre potentielle éternisation.
Comme il y a deux endroits où nous pouvons aller après cette incarnation, il est aussi prévu et annoncé depuis longtemps, qu'il y a deux résurrections également bien distinctes. Notamment séparées l'une de l'autre par 1 000 années.
F1 - LA RÉSURRECTION DES JUSTES ou 1ère RÉSURRECTION
Dans la Bible, bien d'autres détails suivent cet événement fantastique immense, planétaire, qui arrive. Globalement, à partir du moment de cette résurrection, partout la terre va devenir un champ de bataille... Selon la chronologie fournie par le livre de l'Apocalypse - du grec apocalupsis signifiant révélation (de Jésus-Christ, donnée à Jean son apôtre), nous sommes dans le temps de la 6e des 7 trompettes (faits très importants qui jalonnent le déroulement de l'Histoire)... Comme la venue de Jésus fut une rupture totale dans le continuum de notre histoire, cette première résurrection (dont il est aussi l'initiateur) sera aussi une rupture en ce que cela va changer le cours de l'histoire sur la terre : les deux millénaires de l'ère de la Grâce divine où le salut éternel de notre âme - notre salut personnel ! - s'obtient par la foi seront clos. Pour être sauvé parmi les horreurs qui font alors paraître, la condition du salut sera très nettement durcie...
F1, acte 1 : LE MILLÉNIUM ou 1 000 ans de règne de Christ sur cette terre Après cette intronisation céleste des croyants au Christ et Messie Jésus et quelques années..., une nouvelle phase terrestre apparaitra. (Apocalypse ch. 19, vers. 11 et ss). Jésus paraît enfin là comme "Le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs" de la terre et des cieux. D'abord pour mettre un terme à un chaos planétaire phénoménal : massacres, viols et toutes sortes d'horreurs perpétrées par lesquels Satan et son horde de démons cherchent à s'assurer un contrôle total du genre humain et de la planète. Pour cela, Satan l'ange déchu terrible ivre de sang, sera emprisonné pendant mille ans pour ne plus nuire à personne et à travers personne. (Apo ch. 20).
Jésus Christ et ses fidèles commencent par restaurer l'ordre moral - La Loi de Justice divine - dont les transgressions ont été la cause de l'asservissement (et des souffrances immenses) des êtres humains aux esprits satanisés. Et c'est encore la restauration de la terre, la remise en ordre des dérèglements (climatiques, écologiques), des appauvrissements et pollutions des sols, air et eaux...
Cela va notamment montrer - que Dieu mène à terme ce qu'il a mis en œuvre, même si le mal s'y est glissé un temps pour tout abimé ; - qu'avec Jésus et notre acceptation généralisée du plan rédempteur divin, on peut - et on aurait pu depuis longtemps - remettre la planète en ordre au lieu de continuer à la détruire par nos entêtements ; - que Dieu associe les êtres humains (comme les anges) à son règne et ses œuvres...
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.