Le côté religieux/bigot ne doit pas nous empêcher d'approcher et de connaître les vérités essentielles dont les religions traitent ...dans la quête de vérités justement !
Êtes-vous au clair - au point - avec ce commencement de vie nouvelle, car de lui dépend deux grandes orientations pour notre âme dans lesquelles nos existences vont se prolonger ?...
Avant de passer à l'étape suivante, nous allons ouvrir un paragraphe sur le commencement de nos commencements.
Dieu est en dehors du temps chronologique que nous vivons, comme nous le vivons. Ainsi nous avons déjà existé dans sa pensée et son conseil autrement, dans son éternité. C'est cet aspect de la création qui fait dire que nous "revenons" ou "retournons" à la maison (du Père).
En d'autres termes, Dieu a créé le genre humain en fonction de deux étapes fondamentales à venir et à vivre en conscience (déjà abordé autrement dans la séquence précédente), savoir : 1 - une prise de conscience de soi au cœur d'une durée limitée, d'une sorte de prêt de vie, qui tient de la liberté et encore de la mise à l'épreuve, de la responsabilité de soi ! Ce temps est limité en ce que nous n'avons pas choisi de naître en ce monde et d'y vivre ! C'est pourquoi cette existence ne nous est pas imposée éternellement - même à Adam avant sa chute dans le jardin d'Eden. C'est devenu - suite à la chute - une existence définitivement bornée, que conclut une certaine fin qu'est le détachement de l'âme du corps ou mort dite physique. La possibilité de la chute a été envisagée par Dieu, prévisualisée par Celui qui voit jusqu'aux fins dernières ce qui peut résulter de toutes les libertés prises par ses créatures.
2 - La mort comme moyen d'interrompre que nous vivions dans le mal et dominés par le mal (démons compris) éternellement, libère l'âme de son véhicule matériel, lui donne de réaliser ce qu'elle est vraiment - ce qu'on est vraiment d'essentiel - dans sa dimension - psychique - et encore dans une ou l'autre de deux sphères de dimension spirituelle.
E - LA MORT COMME 4e COMMENCEMENT La mort physique (fin de l'organisation physiologique) est donc en même temps sortie de ce monde pour l'âme, et entrée dans l'une ou l'autre de deux destinations possibles.
PARADIS ET/OU SÉJOUR DES MORTS Jésus est donc venu dire ou redire plus explicitement qu'existent au-delà ce cette incarnation le paradis et le séjour des morts.
Le paradis ou Royaume des cieux est destination pour quiconque croit en Dieu et au Christ (ou Messie) Jésus de Nazareth. De la déclaration même de Jésus, un des deux brigands crucifiésen même temps que lui accéda ce jour-là dans cet espace céleste divin sur la base de sa foi. Cela pour dire que ce n'est pas la noirceur de nos fautes, de notre comportement pendant cette existence qui est l'obstacle à notre salut (ou rédemption), mais le non-pardon - ou pardon non recherché - de nos fautes, c'est-à-dire la non reconnaissance de la vérité qui nous concerne s'agissant du mal qu'on a fait, comme il est encore dit ici, vers. 19 à 21.
Il y a donc là effectivement un commencement nouveau dans la mise en situation, mais pas nouveau dans cette dimension de la vie, qui est indépendante de la mort... sauf quand il y a conversion dans la minute ou les secondes juste avant le décès - ce qu'il ne faut surtout préméditer...
D'un autre côté, le séjour des morts est un espace d'ordre psycho-spirituel où les âmes (de ceux) qui meurent sans Dieu (sans Christ, sans Sauveur donc) sont capturées et enfermées en attendant un jugement qu'on appelle "jugement dernier". Ce séjour temporaire n'est pas ce qu'on appelle l'enfer... Il correspond plutôt au concept de purgatoire, mais pas forcément à l'idée que la tradition religieuse en transmet : On ne se rachète pas dans le séjour des morts par nos souffrances, pas plus qu'on ne peut en être racheté par de l'argent**.
Des vidéos existent sur internet, notamment sous les abréviations NDEouEMI (pour Expérience de Mort Imminente), où des personnes ont expérimenté l'un et l'autre des deux espaces post-mortem en question et en parlent. Une forme (nouvelle, due aux progrès de la médecine comme aussi je crois à la volonté de Dieu de nous aider dans l'activation de la foi salvatrice) d'invitation - comme ce blog -, à chercher la vérité sur ces dimensions et espaces si totalement différents qui, pour l'âme, suivent la mort.
Autant de témoignages et d'écritures, de sollicitations bienveillantes, pour que chacun d'entre nous ne reste pas dans l'ignorance et sans chercher par soi-même ce que sont les vérités fondamentales à atteindre concernant ces choses éminemment les plus importantes qui soient. Et ce n'est là la fin pour personne !...
L'ancre de la foi _____________ ** Selon Jésus et toute la Bible, le principe actif unique du salut est toujours la foi associée au sacrifice rédempteur, en l'occurrence quoi d'autre que la personne crucifiée, et ressuscitée de Jésus !?
On est chacun mis en situation, en position d'acteur et de spectateur, juste vêtus différemment selon les lieux et les époques
avec un quotidien personnel qu'on joue en amateur, et qui nous est aussi observable, analysable... d'autant qu'on en aura la curiosité, ou que des épreuves finissent par nous conduire, quand ce n'est pas dans la dépression, à des pensées, interrogations, réflexions et/ou recherche(s) et découverte(s) au-delà de l'existentiel.
C - (reprise) NOTRE DEUXIÈME ÉTAT DE VIE : DE L'INCONSCIENCE A DES PRISES DE CONSCIENCE
La vie fœtale a quelque chose de l'invisibilité, comme l'air qu'on respire, les ondes, les photons, électrons, etc... ce qui doit nous sensibiliser à ne pas croire seulement ce qu'on voit, mais à creuser pour mieux découvrir ce qu'est (entre autres) LA VIE... et ses diverses expressions... Et là, pour commencer, après que la croissance du corps* fut centrale de l'étape précédente, c'est surtout maintenant à l'âme de déplier ses antennes et de remplir ses unités de stockage..
La réponse à la question de l'article précédent (la raison fondamentale, fondatrice, que nous soyons là ?) est : la conscientisation. Avec deux sommets, pas difficiles en soi à atteindre, avec aussi des champs de conscience ou collines moindres, mais importants à conquérir, plus ou moins.
1er sommet : LA CONSCIENCE DE SOI
C'est si commun qu'on ne réalise même pas en quoi c'est fantastique ! Un jour où commence à réaliser,qu'on a une existence propre, différente de tout le reste de ce qui est, plutôt autonome même si elle est loin d'être indépendante (manger, boire, éliminer, dormir, bouger, travailler, relationner...). Ainsi on dit "je", "moi-je..." en tant que sujet pensant commençant à se penser. Ce n'est pas parce qu'on pense qu'on est(pleinement, dans le sens d'éternel) ! Mais existant, on devient toujours plus "quelque chose" - en bonne voie ou totalement en perdition - d'un projet inouï qui nous fait devenir, sans s'imposer, en passant par le fait qu'on pense, conscient de notre existence et d'une responsabilité propres.
Si minus qu'on soit en rapport de la terre, du système solaire et de l'univers, on est cependant une création extraordinaire, unique en soi, importante et valorisable et éternisable c'est-à-dire existant en rapport d'un autre sommet à atteindre, et à franchir !
Second sommet : LA CONSCIENCE DE DIEU PAR EXPÉRIENCE
Cet autre sommet est moins évident - forcément, car tout cela se passe dans l'idée prédéfinie d'une dynamique de progrès, de croissance en connaissances, de développements réflexifs, d'extension de conscience, d'emprises croissantes bénéfiques sur autre chose que soi. Dynamique à quoi s'opposent des forces sombres, occultantes du Réel, des déroutes, des contraintes imposantes, des fausses informations, des tentations à mal faire, à se tromper, des manques, etc, etc... Mais avançons quand même, car l'enjeu est d'importance : la vie éternelle ! à quoi on est appelés à naître.
D - NAÎTRE A UN NOUVEAU COMMENCEMENT Il s'agit de parvenir à croire au Dieu réel en vérité. Ce qui n'est pas seulement apprendre - qu'il y a un Dieu et des choses relatives à lui et à ce versant du Réel -, mais expérimenter les réalités divines en esprit, par son Esprit. C'est autre chose que la croyance religio-culturelle qu'on a pu hériter ou à laquelle on adhère intellectuellement. C'est une foi d'enfant en son Père, vivante et vivifiante, efficace, qui met réellement en contact avec Dieu.
Dit autrement, ici-bas, dans tous les domaines - celui des réalités surnaturelles, de la métaphysique comprises -, on apprend par l'âme. Mais c'est par l'esprit seulement qu'on va arriver à connaître** Dieu, par expérience(s), parfois en tâtonnant, toujours en cheminant, qu'on va se perfectionner après y être entré, dans un relationnel ou connexion de diverses sortes avec le Divin.
Pour faire ce passage, pour connaître cette réalité ajoutée, qui est le point de départ d'un 3e commencement pour nous, il faut, nous dit Jésus, "naître une seconde fois". On lit cette révélation faite initialement à un chef religieux ici. (Plusieurs articles ici développent cette question capitale ainsi qu'une trame de prière qui y conduit). Il s'agit de naître cette fois spirituellement, en recevant l'Esprit de Dieu en nous - ce qui nous reconstitue ou régénère à l’image de Dieu, c'est-à-dire en une créature tri-unitaire : une âme qui est ce qu'elle est (devenue) + un esprit (vivifiant nouveau), associés dans un corps (avec qui on est appelés à vivre en bonne intelligence).
Cette nouvelle naissance - ou pas - ne survient pas au moment où nous mourrons (physiquement), mais durant le temps de notre présence incarnée actuelle, au moment où nous sommes rendus capables de reconnaître à la fois notre misère profonde, existentielle, nos échecs et insuffisances, et d'autre part la réalité d'un Dieu qui nous aime, qui veut nous pardonner, nous libérer, nous donner plus qu'un nouveau départ : une vie vraiment nouvelle.
Cette nouvelle naissance a donc pour base 4 éléments majeurs : - Ce que Jésus a fait pour nous quand il s'est laissé arrêté et crucifié pour nous éviter la condamnation présente et éternelle qui est la conséquence de nos offenses envers Dieu ;
- La foi que nous accordons à cet événement, à la personne de Jésus et le pardon qu'ainsi par lui nous pouvons obtenir effectivement ;
- Le don par le St-Esprit d'une part de lui-même (arrhes de l'Esprit) qui est vie éternelle venant s'unir à notre âme, à la fois comme un coach, un enseignant, un avocat, une force supplémentaire d'existence et autres potentialités naturelles et surnaturelles ;
- Un cheminement de vie qui résulte de cette "nouveauté de vie" dans laquelle on est désormais, fait d'un regard tout nouveau (plus compréhensif), de connaissances et d'expériences toutes nouvelles, de transformations... comme il en est d'une chenille destinée à devenir un papillon et qui se met à changer en ce sens.
Entre ces deux sommets de conscience qui ensemble donnent (comme le fait d'avoir deux yeux) une meilleure vue de la réalité que nous sommes et de la réalité de Dieu, nous évoluons aussi par des prises de conscience moindres mais importantes pour un mieux vivre notre humanité et nos relations aux autres : - la conscience morale : très importante, elle est aussi celle que nous avons le plus de mal à respecter, à écouter. Ne serait-ce que parce que son origine tient de l'esprit plus que de l'âme où on en écrit plus ou moins imparfaitement les termes ; - La conscience civique, sociale, citoyenne ; - la conscience écologique, des autres types de vie et agencements naturels ; - la conscience de l'autre - mon semblable, mon prochain -, de ce qu'il a des besoins, de ses attentes, de ses capacités à interagir avec moi et moi avec lui... et pas seulement sur la base et dans l'objectif de mon intérêt à moi ; - la conscience de la réalité des démons, de Satan, en tant que puissances spirituelles invisibles maléfiques, à l’œuvre dans ce monde qui est essentiellement le leur.***
un chant : Si la lune me glace, Et le soleil menace Créateur des étoiles, Mon secours est en toi Si mes larmes ruissellent, Et que mon pas chancelle, Créateur de la terre, Mon secours est en toi.
REFRAIN Je lève les yeux Vers les hauts sommets, Toi seul est (soit) mon Dieu, Je proclamerai : Toi seul es ma force, Toi seul me restaures, Mon secours est en toi ; Toujours tu me portes, Jamais tu ne dors Mon secours est en toi.
Si la peur m’envahit, Et mon âme chavire, Créateur de la vie, Mon secours est en toi.
REFRAIN
Ta victoire, mon espoir, Ton chemin, mon destin, Ton salut, mon refuge, Tout est en toi...
à suivre (ici...) _________________ * Que le corps continue à se développer après la naissance, est aussi une image que le passage d'un univers dans un autre n'est pas un nouveau tout à zéro, mais s'inscrit dans un continuum où rien ne s'achève véritablement. Il va logiquement en être de même pour notre âme...
** Connaître dans le sens de connaissance intime, jusqu'à la communion. C'est le verbe utilisé dans la Genèse s'agissant d'Adam et de la première femme : ils se connurent, et naquit leur premier fils.
*** Il suffit de voir certains événements comme les attentats, les séquestrations, des abus et les viols, les manipulations, guerres, armements, séductions trompeuses, maisons hantées, perceptions surnaturelles quand elles ne sont pas de Dieu, addictions... pour déjà au minimum s'interroger sur les raisons de telles manifestations ! Quand on réalise vraiment qu'il y a un Dieu (bon, juste et saint) et aussi un et des esprits mauvais, on se met à mieux comprendre dans quel univers on est (pour un temps).
Attention ! Création imminente ! Invisible à nos yeux par l'échelle où cela se passe, et encore par le lieu où la chose arrive... Mais prodige un jour en vue !
Le mot mort sous-entend pour la plupart de nous la mort physique. Mais cela n'est qu'un des aspects de ce qu'est la mort en tant que concept : fin par séparation d'avec un état et/ou un environnement donné pour un autre. Lire aussi ici article sur Les 5 types de mort.
Cela dit car concernant notre réalité et univers, la mort, si elle n'est pas la vie, est indissociable d'elle. En ce que Dieu conçoit et crée des dynamiques actives et potentielles pour des évolutions à vivre par étape (ou paliers successifs), dont chaque fois une certaine mort constitue le passage. C'est cette dynamique qu'on trouve dans beaucoup de jeux vidéo où on progresse dans un monde en perdant ou en gagnant jusqu'à en atteindre un autre… A combien plus forte raison ce processus est ou devrait être enthousiasmant pour nous s'agissant rien moins que de notre existence personnelle en 3D réelles !
On va donc approcher la question et la connaissance de la vie comme on a abordé celle de la mort, en réalisant que la Vie en tant que concept, si on dit le plus souvent au singulier, est elle aussi une réalité plurielle, comme je vais le développer ici, pour que nous saisissions mieux comment être inséré dans un projet immense à notre sujet dans une conjonction de la volonté bonne, agréable et parfaite de Dieu et de notre foi.
VUES PREMIÈRES DE NOTRE PROPRE VIE
B*- Commencement ou état 1 : VIE FŒTALE
Tout commence là par la fusion de deux gamètes, quand un ovule (latin ovum, oeuf) est pénétré par un spermato (semence, graine). Une création ou créature à la fois ancienne dans sa genèse et toute nouvelle dans cette apparition qui se forme, avec son ADN et son identité propres dès ce point et instant de départ. On parle de notre conception, de la grossesse d'une femme, d'un œuf fécondé ou embryon qui se met à se développer par des multiplications et différenciations cellulaires... époustouflantes ! Rien que là, ne pas voir l'indispensable nécessité d'une intelligence créatrice à l'origine de ce schéma créateur, c'est être à la fois sans curiosité et d'une crédulité grave si on croit à la théorie (en)fumeuse évolutionniste. Après avoir pris des distances par rapport à la religion (dont certes les formes traditionnelles sont parfois aux antipodes de l’Évangile et de la vie spirituelle), on ferait bien aujourd'hui d'être suspicieux du côté de la pseudo-science évolutionniste car on est d'autant plus au risque d'un endoctrinement dangereux (pour l'avenir éternel de notre âme) qu'il arrive d'un côté où on ne l'imagine pas… Ainsi, la gestation qui fut la nôtre tient d'un principe-moteur pluriel spécifique au vivant, qui œuvre par des intelligences incluses juxtaposées, imbriquées ou croisées - qu'on voit aujourd'hui beaucoup plus qu'au XVIIIe et XIXe siècle où on ne connaissait rien de la cellule vivante. De la sorte nous avons été tissés à l'abri des regards dans le sein d'une mère (dans un utérus, quand ce n'est pas dans une éprouvette). - Oui, on le sait, peut-on répondre sans être plus impressionné par rien ! Et c'est bien dommage quand le savoir n'est pas aussi révélation de merveilles ou du surnaturel de quoi on parle en réalité. Toujours est-il qu'en 8 à 9 mois d'un travail incessant des plus phénoménaux, on est chacun passé d'un condensé extrême de technologies de vie impressionnantes avec succès !... puisqu'on est arrivé à ce point où j'écris et vous lisez. Sur la fin le circuit de la circulation sanguine a étonnamment été modifié pour que les poumons jusque-là inactifs soient branchés en vue d'une toute nouvelle façon de vivre, pour l'entrée de ce corps dans l'étape suivante du projet qui fut à son origine...
Un jour donc (ou une nuit), on est "venu au monde". On est sorti d'un antre nourricier et protecteur chaud et noir pour se pointer, sous le regard de prédécesseurs gigantesques, attentifs et normalement bienveillants, sous les rayons du soleil et des flux d'électricité. Acte deux !
C - Commencement ou état 2 : EXISTENCE ou VIE VERS TOUJOURS PLUS DE CONSCIENCE
Nous voilà parvenu-e dans une vie comme sans rapport avec la première, pour une existence aux capacités infiniment plus larges que les précédentes - cependant déjà incluses dès et dans les gamètes -, avec de nouvelles potentialités plus extraordinaires à laisser et à aider à se déployer.
Qu'est-ce qui est la raison fondamentale, fondatrice, que nous soyons là ? Comment le définiriez-vous vous-même ? Ce qui est le plus important de notre présence, de nos acquis, de nos expériences et divers développements ?...
Car les musiques comme les paroles ne sont pas neutres : cela se fait par "inspiration", et qu'est-ce qu'une inspiration ? D'où cela vient-il !?... Pourquoi la drogue est liée à certaines musiques ? pourquoi la paix ou la joie à d'autres ?...
Mais si on ne peut pas (avoir le temps ou l'intérêt pour) connaître tout ce qui caractérise au fond chacun d'entre nous, ce peut être une vraie bonne recherche que de savoir ce qui caractérise fondamentalement nos tout premiers ancêtres ! puisque les lois de la génétique et psychogénétique nous obligent à leur ressembler : C'est une démarche qui tient de la science comme de la foi - les deux faisant très bon ménage si chacune n'empiète pas à tort dans le domaine de l'autre.
Ainsi au lieu de partir d'une prétendue transition ininterrompue qui va de la vie de l'amibe au tarsier, peut-être en passant par le poisson, puis en évoluant en simien (singe) et jusqu'à nous, partons du fait - plus rationnel et raisonnable - qu'il y a un vrai premier homme et une vraie première femme à notre origine. Car que ce soit Tennessee, la Charlie's band, Jojo, Jean, France ou encore Jacquot, les chinois et moi et moi et toi, on a tous en nous quelque chose du premier Adam ! Quelque chose de problématique, de taré, de déréglé, de sombre, d'asocial, de tordu*, d'insuffisant, d'anti-heureux... au point où même on est tous mortels (pour ne pas perpétuer sans fin le mal et des maux)
Alors avançons ainsi dans la connaissance brute de décoffrage de soi (et des autres), si du moins comme disait Sempé nous ne voulons pas mourir idiot, et parce qu'il s'agit à partir de là de pouvoir bien mieux se respecter et s'aimer (dans le sens christique du verbe).
PARTIR DU BON ENDROIT Pour cela à la base, il nous faut donc faire ce choix plutôt drastique, entre - croire que nous sommes des humains venus du Hasard et de ses satellites Nécessités ; puis qu'on a transmigré jusqu'à la planète des grands singes, pour finir (présentement) dans la sphère des réflexions et élucubrations intellectuelles, et des émotions et sensations à la fois magnifiques et difficilement gérables...
- ou croire que nous venons d'un Dieu créateur supérieurement intelligent et sage, qui a pensé, conçu, formé et doublement vivifié de son souffle cette créature bipède, pensante et susceptible de créer des langages et des applications technologiques, dont nous sommes encore vous et moi des spécimens.**
Dans les deux cas la réalité est qu'on est tous marqués par une ou plusieurs difficultés existentielles, des difficultés qui ne cessent de nous tomber dessus, ce qui donne un mal-être qui se double d'un relatif mal-vivre prégnant, étant tout à la fois mal au point et mal en point.
La seconde manière de voir fait logiquement corps avec ce qu'est notre quotidien, qu'on peut alors mieux expliquer pour mieux le gérer, comme ayant tous en nous quelque chose comme les traces profondes d'un impact traumatique, des pensées puissantes mais peu cohérentes et qui dominent notre besoin de réflexions, des regards troubles et jusqu'à obliques-révolver, soumis de plus à des tentations venant du dehors qui sont de l'ordre... d'attouchements démoniaques ! Ignorer cette dimension du Réel, c'est en être des proies faciles ; au contraire le sachant, on peut se mettre en position de résister et de lutter. "Résister" grava dans la pierre de son cachot Marie Durand, bien avant que ne le chante France Gall. Mais comment ?
DÉCALÉS EN DÉCALAGE C'est ainsi fait, qu'on a la liberté de croire au faux comme au vrai, au plagiat des vérités ou à leur contraire tout comme adhérer aux vérités elles-mêmes. Liberté de choisir donc une base primordiale, un socle de connaissances justes ou controuvées, d'où appréhender le Réel (présent et éternel) et s'y insérer au mieux, ou de la pire manière. Et cela avec 30 ou 85 % de conscience, ou dans une méconnaissance qui tient de celle de l'animal. Une base, une assise, sur laquelle mieux on sera dans ou près des vérités essentielles en soi, surtout de soi et de Dieu, mieux on se portera et pourra (se) bâtir dessus, dedans et autour...
Quand on croit en évolutionniste peu soucieux des vérités, c'est-à-dire sans soucis de vérifier les dogmes de sa croyance, on a naturellement tendance à être le centre - intéressé et se voulant intéressant - de son monde. Tendance à vouloir s'approprier des biens (inertes, virtuels ou vivants) et au mieux à viser des progrès sociaux, moyens privilégiés pense-t-on alors, pour s'affranchir par nos capacités (pas toujours) propres de ce qu'il y a ou il y aurait d'animal associable dans notre condition (reconnue aliénée).
Et comme on n'y arrive pas - après encore que la faute de nos difficultés existentielles ait été mise sur le compte de la religion, c'est aujourd'hui la faute à la culture, au colonialisme d'hier, au manque présent de cœur et de moralité - des autres -, aux hommes plus qu'aux femmes, aux rigueurs même des apprentissages scolaires... bref, une évolution et croyance qui - heureusement - va finir par s'auto-détruire tant elle se tape dessus sans vouloir jamais se remettre en cause là où il faudrait. Ce que la Bible dit simplement ainsi : "Pourquoi l'homme vivant se plaindrait-il ? Que chacun se plaigne de ses propres péchés."
Alors on a beau se barder d'idéologies ou s'enrubanner de beaux mots (positivisme, progressisme, socialisme, communisme, humanisme), ce n'est pas encore que nous sommes prêts d'arrêter nos enlisements. Pire, dans les sables mouvants que sont les erreurs, les demi-vérités, l'ignorance et les mensonges, plus on bouge plus on s'enfonce.
On est donc devenus capables de découvrir des lois de l'univers, des postulats, axiomes et modes de calcul très complexes, des moyens d'assemblages, de séparations et de transformations des élémentaires, au point d'en tirer des applications plus qu'il nous en faut. Mais, MAIS aussi, dans le même temps, en parallèle, on ne sait toujours pas mieux vivre les uns avec les autres ! Et bien sûr avec soi-même ! On est toujours pris - et plus que jamais -, en tant que personne, dans des compressions intérieures et des contraintes extérieures à faire "péter les plombs", disjoncter, de plus en plus de monde. Sur cette pente des progrès et libérations recherchés sans Dieu, les attentats d'aujourd'hui risquent de n'être que des signaux d'alarme sporadiques et spasmodiques du grand chaos qu'on est en train de mettre en place en croyant bien faire...
Parce que chacun, au fond, adamiquement, on est ainsi fait que le mal a plus d'emprise sur nous que le bien véritable. Quand Albert Einstein découvre la loi de l'énergie (E = mc²), on va pouvoir entrer dans l'ère fantastique de la manipulation des atomes ! Sauf que la première principale application qu'on développe, avant les centrales nucléaires, c'est des bombes atomiques, et c'est Hiroshima et Nagasaki !.. (D'ailleurs les centrales nucléaires ne sont pas forcément non plus une bonne application ou la meilleure de la fission nucléaire puisque (si j'ai bien compris) on ne rend utilisable pour faire de l'électricité que la chaleur résiduelle des réactions atomiques, c'est-à-dire une infime partie de la puissance engagée et dégageable).
D'une façon générale, les recherches et applications des technologies les plus pointues sont premièrement militaires ! Il peut bien sûr en sortir des bienfaits - comme les ordinateurs et autre internet et mobiles*** - mais il en sort d'abord des moyens de surveillance, d'espionnage, de contrôle des personnes, et des armes, de plus en plus lourdes en pouvoir de destruction, et très coûteuses ! Pourquoi ?
Parce que notre existant d'adam accidenté est décalé (vers le rouge sang) de notre origine bénie, et se poursuit en décalages divers, dont celui entre nos capacités d'avancées de productions matérielles - développées même jusqu'à Mars mazette ! - et nos incapacités à nous changer nous-mêmes - bof ! -, ce qui fait qu'on patauge, on stagne ou on s'affole, on grimpe comme Icare, et dans tous les cas on s'enfonce toujours un peu plus dans des complications et difficultés, dans ce qui reste toujours s'appeler... le péché (tout ce qui est mal évident ou bien présumé mais pas sécurisé dont tel effet néfaste fini par venir à la fois dramatiquement mais heureusement au grand jour : vache folle, prothèse mammaire, pollutions de l'air à l'assiette, lait contaminé... ).
Parce que l'expansion de conscience et de volonté vers le bien non seulement présumé mais véritable, ne suit pas ! "Seule la bénédiction de l'Eternel n'est suivie d'aucun effet secondaire néfaste." Et plus on veut sophistiquer cette civilisation post-chrétienne - c'est-à-dire en croyant présomptueusement qu'on peut bien mieux faire sans Dieu qu'avec lui - le véritable -, plus on fait s'approcher les puissances du faux-dieu de ce monde (Satan). Parce qu'on se trompe sur ce qu'est et vaut vraiment ; sur ce dont on est réellement, pratiquement et utilement capables ; et sur les tenants et aboutissants de ce monde et de nos existences individuelles. On cherche**** à se créer une éternisation, on croit et on investit beaucoup pour se donner une immortalité informatique, sans même entendre ou croire que depuis deux mille ans Jésus nous offre, au seul prix de la reconnaissance et de l'abandon de nos fautes et de la foi en lui, une vraie vie éternelle.
à suivre... et bonne suite pour vous... ______________ * ... que Brassens par exemple interprète ainsi dans une de ses chansons : "Sitôt qu'on est plus de quatre, on est une bande de cons." ...Avec le bémol qu'on peut aussi former de belles équipes à plusieurs, non !?...
** Un peu de réflexions honnêtes à partir d''observations un peu poussées des réalités matérielles visibles et invisibles, des agencements fixes et des ordres en mouvements et interactions, des 4 lois élémentaires et des 23 réglages hyper-pointus qui tiennent tout en des équilibres inouïs… suffisent pour arriver à la conclusion qui ouvre la porte à la foi en des réalités, vérités et causalités (re)liant le physique et la métaphysique (âme et esprits), dont font partie Dieu et ce qui concerne notre vie et santés en relation avec lui.
*** Et par internet et autres portables, on n'a pas non plus créé que des plages de rencontres paradisiaques, exemptes de toutes séductions trompeuses, arnaques et virus, possibilités de manipulations, de trafics et autres indiscrétions visant, via psychologie mal employée et algorithmes fouineurs, à l'exploitation la plus subtile de son prochain.
**** on cherche sur la base fausse que le cerveau (physique, physiologique) c'est l'âme (dont la nature est autre, psychique) ! C'est elle qui transmet la vie au corps et au cerveau - "simple" interface entre le vivant qu'elle est et l'inerte en soi...
Psychologie : Il ne suffit pas de faire un nœud au canon d'un colt pour qu'on ne vise plus à faire (le) mal...
Comme cela se chante avec une étrange nostalgie dans le ton, on aurait "tous en nous quelque chose de Tennessee" !? Ou bien par un autre côté, il faudrait tous qu'on soit Charlie pour un "vivre-ensemble-français-heureux" !? Arrêtons la poésie à deux euros comme le compassionnel à deux balles qu'on se tire dans le pied !
N'y a-t-il pas assez de morts dramatiques au quotidien, d'accidents, d'accrocs, d'abus, de pressions (fiscale comprise), de non-respect des autorités et des proches… pour se réveiller - et se tenir éveillés - malgré les berceuses médiatiques et l'essoufflement dans lequel aussi les technologies - le progrès ou le progressisme !? - nous entraînent ?
Dans le remake américain du film de Godard "A bout de souffle", c'est son identification à un héros de B.D. qui donne au personnage principal de devenir un flambeur... Et surtout pour des spectateurs, il "risque" de devenir un modèle, alors même qu'il ne s'agit en regard du Réel que de l'existence d'un minus, voire d'un minable !* Mais "rien de nouveau sous le soleil", déjà longtemps avant ces années-là, il y avait eu Bonnie and Clyde…
Toujours est-il que nous sommes sans cesse entraînés, en 3D perso ou par procuration, par un puissant esprit de séduction - qui régit ce monde -, qui montre divers aspects du mal comme des prouesses ou de la bravoure, l'irrespect des conventions comme admirable et comme étant la liberté, jusqu'à susciter des envies malsaines, des luttes fratricides, des identifications problématiques, offrant les pires matériaux pour que se construisent en toute inconscience chez des jeunes (et moins jeunes) des caractères rudes, écervelés, voire démonisés, des personnalités marginales, voire dramatiquement imaginaires, ayant de moins en moins de rapports avec les réalités bonnes et mauvaises telles qu'elles sont selon Dieu, selon ce que Jésus est venu nous montrer et dire.
Alors certes nos existences ne sont pas ce qu'on voudrait ! On a des aspirations, des envies ou des prétentions qui dépassent ce que notre environnement (naturel ou culturel) offre ou permet en toute légalité. Mais là, il faut réaliser que si nous sommes contraints bien souvent de manière injuste, ce qu'on voudrait nous-même est aussi bien souvent injuste, inapproprié, voire disproportionné. Et cette tension entre l'individuel et le collectif ne peut que croître en rapport de l'illusion dans laquelle nous baignons et que nous nourrissons.
Il en résulte qu'on parle de démocratie (pouvoir par l'unité des peuples), alors que se développe au contraire une montée généralisée des egos, des opinions (subjectives) prises pour des vérités (objectives), plus propices aux révoltes qu'à la paix (sociale et personnelle)
PIÈTRE ÉTAT DES RICHES COMME DES PAUVRES Ce qui veut dire que la quête du bonheur telle que nous la menons est une chimère ! Il n'est que voir l'état déplorable dans lequel se trouve rapidement ceux qui obtiennent de la gloire et/ou de l'argent à ne plus savoir qu'en faire ! Beuveries, éclats caractériels, mal-être, saouleries, orgies, drogues, dépression ou maladie, médicaments, et souvent mort précoce… "Que sert-il à un être humain de gagner le monde, s'il perd son âme !?" La question de Jésus demeure.
C'est en ce sens encore que J.B. Shaw dit qu'il y a "deux tragédies pour l'homme en ce monde : être riche et ne pas être riche". C'est-à-dire que nous sommes tous, indistinctement, dans le tragique. Et donc avant de se prendre pour des poussières d'étoiles - poésie séductrice maléfique -, réalisons qu'on est basiquement un corps formé de poussières... de la terre ! Et que par la réalité qu'est notre condition adamique déchue, nous y retournons plus sûrement qu'on ne devient une étoile. En tout cas, il en est ainsi de notre dimension charnelle, après seulement quelques décennies. Or, qu'est-ce que même 100 ans face à l'éternité ? Et encore qu'est-ce que le corps, si ce n'est qu'un support, un moyen, un véhicule, biodégradable et recyclable***, dont nous - en tant que moi-je psychique** ou ego -, sommes la part consciente la plus essentielle ? Or, le cinéma et autres romans même à connotation psychologique, ne traite que très très peu de l'âme en la considérant tout autre que le corps, et surtout de ce qu'est son devenir éternel ! On est poussés à rechercher à se délecter d'effets spéciaux, d'actions furieuses, plus que du sens holistique (générique) qui constitue notre raison d'être ici…
Alors oui, réveillons encore, réveillons nous de l'illusion séductrice et/ou de la torpeur qui s'appesantissent sur notre monde (civilisations) finissant et sur nos âmes qui ne savent pas ce que sera leur demeure d'outre-tombe ! Sommes-nous là pour nous extasier ou attendre seulement les scènes filmées les plus explosives ou dénudées, les suites de sagas réelles ou controuvées, les derniers tubes, les concerts où se rendre ou les reprises nostalgiques ! Ne laissons pas le cinéma ou tout autre écran faire écran, nous faire leur cinéma, faisant de nous la proie d'une immense illusion collective qui ne fait qu'une autoroute monumentale à une gouvernance mondiale… qui ne pourra être que menée (au plus haut) par des démons, et jusque par Satan lui-même. Ce qui veut dire impérialisme globalisant, dictature, totalitarisme désidentifiant, comme il n'y en a jamais eu sur terre. Ne nous laissons pas jouer du violon pendant que tout brûle, s'enlise ou se délite autour de nous, et de plus en plus jusqu'en nous. Pourquoi ?
Nous, vous, avez de grands intérêts (à commencer) à voir que le dieu de ce monde n'est pas "le Bon Dieu" ! Bon sous-tendant qu'il y a aussi un Mauvais, un Méchant dieu ! Celui qui s'est acquis le droit de dominer tout le genre humain, célébrités et riches ultra-milliardaires comme les autres. Cet ennemi de Dieu et de chacun de nous est appelé Satan par Jésus... qui parle aussi ouvertement de la réalité des démons, des esprits maléfiques. Ceux qui séduisent et trompent par exemple les religieux jusqu'à les pousser à faire crucifier le fils unique de Dieu, ou à organiser des inquisitions, ou à perpétrer des attentats. Et puis ceux qui sévissent et font souffrir les méchants mais aussi ceux qui veulent faire le bien : Pourquoi Daniel Balavoine meurt jeune dans un accident d'hélicoptère alors qu'il amène des pompes pour aider des africains déshérités ? Pourquoi Coluche meurt accidentellement alors qu'il crée Les restos du cœur ? Pourquoi Thierry Le Luron meurt à 34 ans ? Pourquoi les morts non-naturelles d'Elvis Presley ou Mickaël Jackson, Jean-Luc Delarue ou Johnny Hallyday, Patrick Dewaert ou Jo Dassin et combien d'autres en rien que quelques décennies ?... Pourquoi la mort tout court ?
Il faut connaître les réponses à ces questions qui ne sont mystères que pour ceux qui ne veulent pas savoir ! Et pourquoi ne voulons-nous pas savoir ce qui nous concerne au premier chef… et pour l'éternité ? Quel sera le sort de mon âme si je ne fais rien pour savoir ? Suis-je si primaire que je ne cherche qu'à tirer quelques bons moments ici ou là d'une existence foncièrement problématique, et dont rien ne dit que ma conscience va s'arrêter avec la mort physique ? Oui c'est ainsi que j'ai été moi aussi, car on est tous et toujours largement à côté de ce qui fait l'essentiel de TOUT le Réel, déjà par naissance adamique?
De nombreux témoins sont désormais visibles ou audibles sur le net**** ayant vécu des expériences dites de "mort imminente" (en abrégé EMI ou NDE), qui racontent ce qu'ils ont vu et entendu, certains dans ce qu'on appelle le Paradis (ou Royaume de Dieu), d'autres dans un lieu de tourments des plus abominables… Et pour revenir au cinéma - car bien sûr il n'est pas question de condamner le cinéma (la littérature ou la musique…) comme mauvais en soi -, vous pouvez aussi voir le film "Et si le Ciel existait", qui relate l'histoire - vraie - d'un petit garçon transporté au Ciel et qui en rapporte ingénument des connaissances plus que troublantes. Cela pour dire encore une fois - car c'est aussi mon histoire -, que si le Dieu véritable (incréé, éternel et bon) existe, en exil de nos existences chaotiques (c'est-à-dire de manière naturellement voilée), il reste cependant un Dieu connaissable et qui veut que nous le connaissions. Que reste-t-il donc entre ce fait et ce que nous sommes ?
Un espace qui est comme un voile, un mur ou un abîme, qui est encore temporairement franchissable, par une porte - selon que Jésus a dit en être le point de passage et qu'il en a frayé le chemin en laissant ses mains et des pieds être cloués sur un instrument de supplice. Cet espace qui nous sépare et coupe de Dieu et d'une vision éclairée du Réel, est fait de notre liberté de faire des choix et de prendre des décisions nous concernant, d'ignorances ou de méconnaissances existentielles et essentielles, et encore de non-expériences sensibles, aux plans physique (de guérison divine, miraculeuse), psychique (de révélation, vision, expansion de conscience, connaissance biblique), ou encore spirituel (naissance et croissance en relation avec l'Esprit-Saint*****).
Alors bien sûr que le monde que nous expérimentons existait, bien que nous ne pouvions pas le voir et le croire tant que nous n'étions qu'embryon, fœtus, enfant à naître ! Avec la face cachée du Divin, c'est tout simplement la même chose ! C'est pourquoi Jésus dit à un maître religieux de son temps : Il faut naître de nouveau, naître spirituellement, pour entrer en contact avec ce qui est de Dieu…
à suivre... En attendant, cherchez... et soyez béni-e.
__________ * Dans cette version (Breathless), on perçoit bien les moments où le "héros" bascule de son insouciance et superficialité naturelles dans des comportements conduits non plus par lui-même, mais par un démon.
** Psychique : du mot grec psuché, qui désigne l'âme
*** Le corps physique (ou plus précisément physiologique) est recyclable en ce que Dieu, dans tous les cas, le ressuscitera, soit lors d'une première résurrection introduisant pleinement les véritables croyants dans la réalité d'un Royaume éternel de Dieu (Paradis), soit lors de la seconde et dernière résurrection pour l'ultime jugement (Apocalypse 19.).
**** Aussi parce que Jésus a dit qu'il n'y a rien de caché qui ne viendra un jour ou l'autre à la lumière. Il a aussi dit à Thomas qui ne voulait pas croire sans voir - et pour qui Jésus est quand même revenu pour se montrer percé et ressuscité : "Heureux ceux qui croient sans voir". Ce qui veut dire que tous, de toute façon, nous verrons clairement ce qu'il en est de Dieu et des jugements, mais qu'il est bien préférable d'avoir, de désirer, de développer dès maintenant une foi vivante, qui connaît Dieu de manière spirituelle - par l'Esprit -, plutôt que d'avoir une simple croyance religieuse de tradition - seulement au plan de l'âme, alors qu'on est encore mort spirituellement.
***** L'Esprit de Dieu est appelé Esprit-Saint ou Saint-Esprit, car il est d'une part le seul qui soit saint (pur, éternel, infini et parfait en tout), et d'autre part pour le distinguer de multitudes d'autres esprits que sont notamment les anges déchus, (désormais démons dont Satan est le leader), sortis de la sainteté originelle qui était leur partage.
Fin d'année : Réveillon - Nouvelle année : Réveillons-nous !
Quand on ne sait pas que Dieu existe, on fait librement beaucoup de choses honteuses…Les fêtes (officielles ou qu'on s'accorde) en sont souvent l'occasion (ou une occasion de plus), surtout l'alcool et son pouvoir désinhibant aidant.
Et puis vient-on à réaliser que Dieu existe, on est comme sortant d'un étrange rêve, si vrai qu'on l'avait pris pour toute la réalité ! Et tout à coup on peut avoir honte, ou très honte, sans savoir comment réparer, couvrir, effacer ce qu'on a laissé derrière soi ! On a pu se dévêtir de manière impudique devant des convives, des enfants ! Ou raconté quelques-unes de ces histoires graveleuses qui n'attendent que ce genre d'occasions arrosées pour sortir de leur boîte… On a pu être un-peu-beaucoup trop lourd (entreprenant, voire sexuellement pressant) auprès de la compagne d'un ami ou d'un cousin, voire céder à une aventure adultère (dont l'effet peut aller jusqu'à la conception d'un enfant ! ...). Bien sûr encore dans cet hémisphère, manger jusqu'à trop-plein et peut-être courir vomir dans les toilettes (quand on a le temps d'y arriver)… Sans oublier la vieille querelle familiale qui resurgit à partir d'une parole de trop ! Ou encore un regard concupiscent qui provoque une vraie jalousie ! ...Et vous pouvez ajouter ce que vous avez vu ou vécu perso dans ce registre de vérités de ce qu'on est tout au fond, de ce qu'on est parfois (quand la conscience est grisée) et qu'on ne peut pas toujours cacher !... Et les femmes ne sont pas forcément en reste - d'autant qu'on les veut ou qu'elles se veulent égales aux mâles dans tous les domaines…
Alors bon départ dans les starting-blocks cette première semaine de 2018 !? Pas toujours évident, malgré les "vœux les plus sincères" et la bonne volonté qu'on voulait manifester ! Certes la gueule de mélèze ou la crise de foie est peut-être déjà passée, mais êtes-vous surtout sorti-e de la crise de foi !? Heureusement, pour réparer nos bavures, pour remédier à nos manquements coupables, pour remettre les compteurs à zéro - et pas seulement des écarts ou excès, voire de l'impiété de la fin d'année -, oui heureusement il y a un Dieu vivant ! Un Dieu qui sait tout - forcément ! -, mais surtout qui est toujours disposé et capable de pardonner quiconque d'entre nous se repent, celui ou celle qui admet amèrement sa ou ses fautes, et veut désormais vivre tout autrement sa vie - et ses fêtes. Oui, dans son amour, ce Dieu qui sait de quoi nous sommes faits, peut venir au secours de toutes nos faiblesses, comme aussi des méfaits causés par nos forces malignes.
Alors pour commencer cette nouvelle année de la meilleure façon possible, si vous pouvez avoir honte un moment de ce qui s'est passé d'inavoué, de peu glorieux, lors de ces fêtes ou encore au cours de l'année écoulée, c'est déjà une très bonne chose ! Il suffit ensuite à demander pardon à Dieu de tout son cœur, et de vouloir, avec sa force à lui mise en nous, mener la suite de votre existence autrement vis-à-vis de ce qui est mal - aux yeux de votre propre conscience et de Dieu lui-même, de sa justice et de l'amour pur dont il voudrait que nous nous aimions. On peut se demander : Quelle image de Dieu ai-je donnée, ai-je laissée, autour de moi ?...
Pour que Dieu puisse vous pardonner et que cela devienne franchement bénéfique pour vous, il peut aussi falloir considérer comment vous êtes en ce moment même, par rapport à toutes les personnes que vous connaissez : Y en a-t-il une ou plus à qui vous en voulez ? A qui vous ne pardonnez pas pour ce qu'elle vous a fait (ou pas fait) ?...
Il faut comprendre là que Dieu pardonne nos offenses (nos fautes, nos manquements, tous nos péchés), si nous-même pardonnons à qui nous a fait du mal. Et s'il arrive que c'est devenu pour nous comme une impossibilité de pouvoir pardonner, la grâce de Dieu envers nous est encore qu'il peut libérer notre cœur si nous voulons, malgré cette impossibilité, pardonner. Car si nous voulons entrer dans la dimension du pardon, nous n'avons pas toujours le pouvoir de le faire. Mais Dieu peut venir ici aussi à notre secours. C'est important car le pardon est une puissance qui libère, en premier celui qui pardonne… "Demandez, et vous recevrez", dit Jésus dont les paroles ne passent pas. Que ce soit le pardon de vos fautes, ou la force pour pardonner. Sans passer par ses "cases départ", il va être bien difficile en 2018 encore, de connaître le meilleur, d'éviter ou de surmonter les écueils qui ne manqueront pas de survenir jusqu'à nous rendre peut-être l'existence exécrable.
Dieu a le meilleur pour chacun et chacune, adulte ou enfant : Il est amour, et le sacrifice de Jésus* a été le moyen par lequel nous pouvons être rendus juste, sans péché, devant sa face. Croyez-le, bénéficiez-en, et faite-le savoir à ceux que vous aimez. Prier, c'est seulement parler à Dieu. Venez à lui tel/le que vous êtes, et vous ne le resterez pas définitivement dans des choses maléfiques et/ou honteuses qui font obstacles à votre paix personnelle et relation vivante avec le Dieu que Jésus est venu mettre à notre portée de cœur...
Commencer l'année par une bonne demande orientée vers le Ciel, c'est mieux que la commencer par des souhaits ou bonnes intentions dans lesquelles vous ne tiendrez pas ! Avec pour objectif de dire un jour comme l'apôtre : "Mon désir ardent et mon espérance sont que je n'aurai (plus) honte de rien..." Pour vous guider dans une prière de paix avec Dieu.
Soyez encouragé-e dans la foi et béni-e de manière miraculeuse.
Idole des jeunes - Bête de scène - Talent fou - Instinctif - Courage - Engagement - Intelligence de comportement - Combattant - Homme hors du commun - Invulnérable....... mais aujourd'hui.. un corps mort ! SEULEMENT !?...
Si la mort de Johnny peut avoir pour ceux qui l'ont apprise un effet au moins aussi important que ses chansons ou ses concerts, c'est bien maintenant cela l'ESSENTIEL ! Le comprenez-vous ?
Avec cette croix, ce crucifié qu'il portait en image sur sa poitrine, n'a-t-il pas plus que jamais quelque chose de primordial à interpeler chez nous, à faire réagir en vous ?
Oui on pleure, et j'ai eu en écrivant cette émotion qui monte du fond de moi, le cœur sensible touché. Mais encore ?
Qu'en est-il de nos âmes quand le corps se refroidit, se raidit et bientôt va retourner à la poussière d'où il a été tiré et formé à l'origine par le Créateur ? Qu'en est-il maintenant que son corps est tombé, de Johnny ? De son âme qui contient et qui est le plus essentiel, le moi-je Jean-Philippe Smet Johnny Hallyday, cette personne qu'il avait la conscience d'être, le plus réel et durable de lui-même ?
Où est Johnny quand on lui adresse des messages désormais ? Quand Michel Drucker lui dit qu'on se reverra, qu'est-ce que cela signifie ? Que la mort physique n'est pas la fin de la personne ? Qu'ils avaient l'un et l'autre la foi qui sauve* l'âme telle que la Bible en parle ? Si c'est cela, ce n'est malheureusement pas explicite, dit ouvertement ? Ou est-ce une illusion qu'on s'invente en la circonstance pour se consoler ? Ne croyez-vous pas qu'il faut savoir !?
Il ne s'agit pas de croire au Père Noël, cette invention belle mais démoniaque - qui trompe la crédulité des enfants, qui tue en eux la racine du principe de la foi, pour qu'ensuite ils ne croient pas plus à ce qui est vrai qu'à ce qui est faux !?
Il ne s'agit pas de se leurrer comme chantait Michel Polnareff : On ira tous au paradis ! Sur la base de quoi ? De quelle justice divine qui ne saurait être bafouée ?...
Il ne s'agit pas de croire au quotidien en l'évolutionnisme néo-darwinien - cette hypothèse darwinienne devenue doctrine athée dont il n'y a jamais eu aucune preuve scientifique ! -, et puis, quand un être cher disparait, on se met à croire que ça ne peut pas finir comme ça ! D'un coup on passe d'une croyance en des hasards créateurs producteurs de néant, à une croyance en une immortalité qu'ils seraient bien incapables de créer !
Ô que la mort de Johnny serve maintenant à chercher et trouver LA réponse à cette énigme !
Il s'agit de savoir s'il y a réellement une perdition de l'homme, et donc aussi un Dieu qui rachète nos fautes - quand nous les lui confessons, quand nous lui demandons pardon*.
Il s'agit de ne pas avoir qu'un passé ! Qui après nous va seulement alimenter des souvenirs, voire du commerce, ici avec des enregistrements vidéo - déjà préparés depuis quelque temps, tenus sous le coude ! - qui soudain envahissent les écrans ! Seulement un passé qui, quant à nous, quant au défunt, passerait où ?...
Il est plus juste de croire autrement ! Il s'agit de regarder que nous avons tous un avenir, un devenir qui est un mystère terrible tant qu'on n'a pas abordé sérieusement cette question de la mort ! Sommes-nous seulement de la matière qui se décompose ? Pourquoi alors penser, espérer, ressentir, qu'on va retrouver un défunt ? C'est absurde, de cette absurdité dont Sartre a écrit ; "L'univers sans Dieu, sans raison d'être est absurde dans son ensemble et dans ses parties." C'est tout à fait vrai ! Mais c'est une philosophie de la mort si on en reste là ! Par contre si de là, on reprend la recherche à partir de l'hypothèse qu'il y a un Dieu préalable à tout, alors l'absurde fond, et des perspectives s'ouvrent comme des paysages panoramiques là où il n'y avait que des dunes de désert, des sommets inatteignables, ou des vallées trop sombres. Le sens en nous vient d'abord du postulat accepté qu'il y a un Dieu, existant et à connaître. C'est pourquoi Jésus a dit : "Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus..."
Pour moi, ayant été un temps incroyant, du camp des athées-agnostiques, puis touché par Dieu pour que je me mette à regarder ailleurs et autrement, il est devenu évident que tout a du sens - dont je n'ai pas forcément toujours la compréhension -, pourvu que notre croyance en Dieu, en un au-delà de la mort physique, repose sur des connaissances avérées ! Or, il en existe : la pérennité et l'accessibilité quasi universelle de la Bible, les témoignages de millions et de millions de chrétiens l'attestent : On peut savoir plein de choses sur Dieu, sur notre condition de mortel coupé de Dieu, et sur le moyen d'une véritable paix et réconciliation avec ce Dieu qui nous a créés libre et attend de nous des réactions personnelles aux stimuli du Réel - dont la mort n'est pas des moindres.
Aussi cherchez maintenant plus que jamais, si vous ne savez pas encore comment relationner effectivement avec Dieu ! Ce n'est pas toujours facile, mais connaissez-vous quelque chose qui ait quelque valeur qu'il soit facile d'acquérir honnêtement, sans difficulté ?
Ah que la mort de Jojo vous réveille pour trouver vous-même le chemin du ciel non-atmosphérique, du ciel spirituel qui un jour paraitra dans toute son évidence : Pour le moment, c'est par la foi que nous le rejoignons, en esprit... et un jour avec un corps ressuscité**, comme Jésus l'a fait, précédant ceux qui veulent croire comme lui et en lui. Lisez la Bible ! (en commençant peut-être par le Nouveau Testament)..
(article annexe : les 5 types de mort et encore... _____________________ * 1 Jean 1 ** Versets qui font référence à la destination des croyants élus par leur foi personnelle au Christ. Mais cela ne se finira pas encore là ! Car la Bible révèle bien d'autres événements consécutifs... dont la disparition de la mort et de tout mal et l'apparition d'une terre et d'un ciel nouveau...
Tu as (encore) une conscience ? Tu as une religion !?... Malheureux ! Malheureuse ! Une religion comme notre conscience ne peut que te condamner ! Car une religion est donnée pour convaincre tout être humain qu'il est pécheur, pécheresse, c'est-à-dire coupable devant Dieu ! N'as-tu pas ce sentiment, qui revient régulièrement, voire obsessionnel, de culpabilité ? C'est tout à fait normal, et il faut avoir l'honnêteté de le reconnaître... si du moins on veut passer à un autre moyen de - bien - vivre sous le regard de Dieu...
Coupable donc parce que si quelqu'un essaie de suivre sa religion du mieux possible, il va TOUJOURS faillir à un moment ou à un autre, dans un domaine ou un autre. Pire ! il va se trouver confronté à un problème récurrent, à une force qui ne le quitte pas et le pousse toujours à pécher de la même manière. Ce qui est complétement incompatible avec l'obéissance que réclament la religion et la satisfaction qu'on pourrait apporter à Dieu.
Cela parce qu'une loi religieuse comme celle de notre conscience, peut tenir d'une perfection que ne peut suivre, imparfait que nous sommes, aucun d'entre nous. Et comment une telle loi nous donnerait-elle la force qui nous manque, puisqu'on est tous pécheurs, séparés de Dieu et sans force vis-à-vis du bien véritable, incapables de nous présenter propre par nos propres moyens devant un Dieu qui est SAINT ?
Coupable aussi parce que si on ne suit une religion que de loin, à la légère, sans se soucier de tout ce qu'elle exige, on est un mauvais croyant, un-e hypocrite, quelqu'un de malhonnête vis-à-vis de Dieu lui-même.
Dans tous les cas, on manque à des commandements, à des pratiques, on n'est pas soumis comme il faudrait, et donc on reste coupable, condamnable, ce qui signifie "l'enfer" au bout de cette route. (Enfer dont d'ailleurs déjà de ce côté-ci du Réel, quelques "flammes" viennent par moment nous lécher les pieds ou les mains ou les pensées, pour que nous réalisions en quoi une vie qui n'est pas couverte (agréée, protégée) par Dieu reste sujette aux effets des mondes infernaux).
C'est d'ailleurs exactement le même problème quand on n'a pas de religion ! Car on a tous une conscience personnelle, qui est une loi de moralité que Dieu a placée en l'homme. Le problème, c'est que Dieu impose le moins possible ses voies sans notre assentiment, ce qui veut dire que nous pouvons faire taire notre conscience. Ne pas l'écouter ou la suivre, et pire la piétiner. D'ailleurs la culture ambiante dans laquelle nous évoluons peut même être tellement anti-Dieu, qu'elle travaille à endormir notre conscience, à nous la faire transgresser - en appelant notamment bien ce qui est mal...
Mais si on se montre honnête, si on reconnaît devant Dieu qu'on est un croyant (ou un incroyant) assez minable, voire misérable, incapable de fidélité, de sérieux avec Dieu et/ou avec ses semblables, irrécupérable par nous-même, alors le Dieu vivant peut venir à nous et nous manifester sa grâce, nous placer sur le chemin d'une vraie relation avec lui. Si donc aussi l'agnostique ou l'athée n'a pas la paix, est en butte à une culpabilité qu'il ne comprend pas, ou est tenu par la crainte de la mort, qu'il ne cherche pas ou plus à refouler d'une (mauvaise) manière (ou d'une autre), Dieu n'est pas loin de pouvoir lui venir en aide. (Marc 2.16,17)
Car c'est une RELATION que Dieu veut établir avec nous, et la religion - n'importe laquelle - ni notre conscience morale - surtout si elle est vive -, ne sont que des moyens mis à notre disposition pour que nous réalisions - combien nous sommes insuffisants par rapport au bien véritable, à l'amour et à sa pérennité, - perdus quant au sens de tout ce qui nous arrive - et par rapport à la réalité de Dieu -, - combien par ce moyen d'une obéissance servile à des pratiques, on ne peut être ni heureux ni fidèle - car Dieu nous a créés pour la liberté et veut nous rendre libres du péché (qui nous habite et attriste) ET de la religion même (qui nous le montre et nous condamne).
Et le Seigneur-Dieu en a assez qu'on soit - qu'on joue ! - - pour l'impie à l'humaniste, au gars ou à la fille bien, alors qu'on est égocentré-e au possible, intêressé-e dans tout ce qu'on fait, même bénévole ;
- pour le croyant qu'on joue trop mal au pauvre pécheur, toujours triste ou contrit, hypocrite ou faussement humble, sans ressource pour se changer soi-même, qui bat sa coulpe plus qu'il ne donne gloire à Dieu !
Le Seigneur-Dieu en a assez, parce que par ailleurs IL A TOUT ACCOMPLI pour que nous puissions ÊTRE CHANGÉS, pour vivre une vie et des expériences heureuses - avec lui, par lui, par SON Esprit, en son Esprit, - dans la grâce qu'il nous a sauvés, et donc qu'on n'a plus à faire d'efforts méritoires ou quelques mortifications pour se sauver ou se sanctifier soi-même, - vivre l'expérience de ce salut divin non fondé sur la base de nos mérites, de nos efforts, de notre humanisme, de notre religiosité, pour être quelqu'un de bien.
Telle est la bonne Nouvelle qu'est l'Évangile de Jésus-Christ qui s'est donné lui-même, jusqu'à la mort de la croix, pour nous amener à Dieu sans autre intermédiaire que lui-même et sans condition que notre foi.
"Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! 21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu." 2e Corinthiens chap. 5.
Que le Dieu de toutes grâces vous attire lui-même dans celle majestueuse opérée par lui-même par la mort du Christ Jésus pour le salut éternel (de l'âme) de QUICONQUE croit.
Êtes-vous un de ces "QUICONQUE" pour qui Jésus a donné sa vie ? Il suffit alors de remplacer en conscience et de coeur QUICONQUE par VOTRE PROPRE NOM et/ou PRÉNOM, pour entrer au bénéfice de cette grâce : "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque - ........................ - croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu." Bonne Nouvelle selon Jean chap. 3.
Ainsi "nous avons, au moyen du sang (de la crucifixion) de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire (céleste de Dieu)20 par la route nouvelle et vivante qu'il a inaugurée pour nous au travers du voile, c'est-à-dire de sa chair. 21 et puisque nous avons un souverain sacrificateur (Jésus seul médiateur entre Dieu et nous) établi sur la maison de Dieu,22 approchons-nous avec un coeur sincère, dans la plénitude de la foi, les coeurs purifiés d'une mauvaise conscience, et le corps lavé d'une eau pure." Hébreux chap. 10.
"vous vous êtes approchés... de la cité du Dieu vivant, la Jérusalem céleste, des myriades qui forment le choeur des anges,23 de l'assemblée des premiers-nés inscrits dans les cieux, du juge qui est le Dieu de tous, des esprits des justes parvenus à la perfection,24 de Jésus qui est le médiateur de la nouvelle alliance, et du sang de l'aspersion qui parle mieux que celui d'Abel.25 Gardez-vous de refuser d'entendre celui qui parle ; car si ceux-là n'ont pas échappé qui refusèrent d'entendre celui qui publiait les oracles sur la terre, combien moins échapperons-nous, si nous nous détournons de celui qui parle du haut des cieux...""
 vous de croire ! C'est le deal - tout à notre avantage - divin. C'est une alliance, qui tient du mariage ou d'une amitié profonde, pour entrer dans l'éternité de bonheur de Dieu. Il nousl'offre à signer. Jésus l'a signé avec son sang. Nous en disant : Oui, je crois Seigneur. (Viens au secours de mon incrédulité).
Si Dieu ne s'était révélé, je serais resté mû par des déterminismes innés et inculqués qui n'ont vertu que de nous accidenter toujours un peu plus, sans recul pour voir de manière globale, sans approche pour discerner des points significatifs (signes), laissé inachevé en un chantier sans queue ni tête, mort au devenir le meilleur... qui peut s'atteindre par Grâce et une avancée authentique (ou inversement).
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Les animaux sont faits de déterminismes (dits) naturels. Et pour eux, cela marche plutôt bien...
Les êtres humains ont été faits plus libres, puisque capables de se donner les uns aux autres des déterminismes culturels. Et pour nous, ça marche plutôt mal !
Parmi les pires animaux sauvages, lesquels ont plus que nous la capacité de meurtre, de filouterie, de démolition de son environnement, d'exploitation de son semblable, de barbarie... ? Â quoi est du ce mal ? ... et l'aveuglement qui va avec ?
L'homme moderne avancé en culture crie encore : Vive l'autodetermination de soi ! Mon corps m'appartient ! Mon âme, j'en ai pas !...
Et l'homme post-moderne ? Incroyant ou partagé, bipolaire (exalté ou déprimé), largement insatisfait, cherche à inventer, en solution buvable allégée, sous-cutanée ou aisément cérébralisable, toujours plus de déterminismes culturels dont s'affubler. Cela a) au lieu d'admettre le fond de notre inhumanité, notre misère - toute personnelle et par conséquent collective -, impuissance à nous construire et à bien gérer la terre.
Nous voilà Homo sapiens-sapiens-sapiens*+ - pour reprendre (ironiquement et significativement) la phraséologie évolutionniste - redevenant homo erectus**. Dans le même temps que la désolidarisation de l'articulation naturelle liant fonction sexuelle et procréation, apparaît progressivement une culture toujours plus mortifère. Une sorte de persistance inéluctable dans la voie de notre extermination, signant et cosignant un peu partout des arrêts de morts imminentes. Par compensation (principe typiquement humaniste) on se veut protecteur de la nature, la destruction d'un oeuf d'aigle, d'un bébé phoque ou la cueillette de certaines plantes étant sévèrement punies. Parce que notre conscience toute perso est tourmentée, nous tient par un juste sentiment de culpabilité. Mais se faire grâce à soi-même, est une fausse solution, illusoire, jamais longtemps apaisante : de l'anesthésie à l'euthanasie de notre conscience où est la ligne blanche (ou verte ou rouge) ? Or Satan et ses démons actifs parmi nous dans l'invisible, veulent cette mort, qui leur permet de faire même possiblement d'un citoyen lambda (ordinaire, apparemment au-dessus de tous soupçons, socialement intégré, "de souche" ou de l'immigration) un terroriste ou un famillicide (il faut bien inventer le mot), un suicidaire ou autre agent de maux "éclatants" ou des plus subtils (manipulation, propagande, arnaque...).
b) Ces évolutions non-naturelles s'amplifient à notre encontre, sauf, avant que notre entêtement obscur ne devienne plus cuisant encore, à considérer personnellement la venue ou le retour à Dieu comme l'ultime recours en grâce. Comme le moyen de notre préservation (présente et éternelle) et réformation (psychique et spirituelle) toute individuelle.
... Encore faut-il qu'on soit suffisamment lucide sur soi, se jugeant parvenu au bout de nos tentatives d'y arriver - arriver à quoi ? - par nos capacités propres... ou pas propres du tout.
Avec un peu d'humilité et les moyens utiles nécessaires***, on commence par balayer devant sa porte. Ce qui demande qu'on voit dans quel état est le devant - et le dedans - de notre porte.
Et balayer devant (dans) sa porte, c'est entretenir régulièrement un état de propreté, comme on a à veiller sur les niveaux de notre voiture, sur les mauvaises herbes dans notre jardin, sur le sérieux de notre travail...
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Pourquoi n'enseigne-t-on pas ces vérités basiques, fondamentales, primordiales, à l'école de la république ? En quoi la laïcité est-elle tenue de soustraire les élèves - comme les enseignants, dans leur formation formatante - aux vérités de base de la connaissance de soi ? Pourquoi écouter et enseigner Rousseau***** qui déclare l'homme bon par nature, plutôt que d'enseigner en se fondant sur l'observation de soi-même et les apports de Christ comme le rapportent Marc et la Bible ? Pourquoi enseigner Nietzsche qui n'arrive pas à triompher des tourments de sa propre âme jusqu'à finir dément dans un asile ? Pourquoi, là où doivent être alimentées la réflexion et l'intelligence par la découverte du sens, enseigner l'existentialisme de Sartre (ou de Camus) alors qu'il a conclu lui-même que sans Dieu, sans raison d'être, l'univers entier et toutes ses parties n'est qu'absurdité ?
Bonne réaction. Demandez à Dieu qu'il se révèle à vous.
______________ * sapiens latin signifiant savant, raisonnable, qui a démontré de l'intelligence
*** moyens utiles nécessaires à un retour à Dieu : - la connaissance selon Dieu : Paroles de Jésus et d'autres témoins**** innombrables de la véracité de ses paroles, soit tous les écrits et autres messages audio ou vidéo en nombre incalculable, anciens et récents, qui ne sont pas en contradiction avec ce que Jésus est venu dire, - et la foi en la rédemption offerte par Dieu aux pécheurs/pécheresses repentants.
Les lois religieuses comme celle de notre conscience morale sont avec la loi amorale qui habite notre âme comme chien et chat : une dualité antagonique que ne peut résoudre qu'une transcendance... divine.
Ainsi une forme de notre vie en société - le plus souvent héritée, traditionnelle plus que vivante et vivifiante en elle-même - est appelée à être dépassée, non par l'abandon (apostasie) ou l'agnosticisme ou l'athéisme ! - mais par notre réponse à une meilleure offre faite par Dieu lui-même.
C'est ce qu'avait compris Descartes, qui nous l'a dit depuis longtemps ainsi : "Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire tout à nouveau tout le système de ses connaissances." Ce qui est vrai - qu'on soit né et qu'on ait été (comme lui) formaté sous une loi religieuse (n'importe laquelle), - ou qu'on ait été fabriqué par une culture fondée sur l'incroyance - dont l'essentiel est existentiellement absurde, comme l'a conclu Jean-Paul Sartre*.
QUELLE POSSIBILITÉ DE SORTIE !? Bien différemment donc que - de suivre une loi religieuse de manière laborieuse et ingrate (ce qui n'apporte jamais la paix et une relation sensible avec Dieu) - ou de transgresser sans cesse sa propre conscience (jusqu'à dramatiquement finir par la faire taire), ce que Dieu nous offre comme substitut à ces deux cas d'échec, c'est que nous passions - de la domination du péché qui nous habite - loi amorale s'il en est - (comme on l'a compris) - à sa grâce libératrice - ce qui est d'un tout autre ordre. C'est une toute autre expression de la justice divine dont dans tous les on ne peut pas se départir... Là où la loi ne fait que réclamer de nous, sans nous procurer la force nécessaire pour tenir dans le bien, la grâce de Dieu et son acceptation de notre part vont nous donner accès à la force qui nous manque pour une vie honnête et sans faux-semblants, par une communication - don, gratuit, enthousiaste - de l'Esprit même de Dieu.
Comment cette transition - énergétique pourrait-on dire - se passe-t-elle? La suite du dernier verset cité nous le dit : "...nous étions sous l'esclavage des rudiments du monde.4 mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme, né sous la loi,5 afin qu'il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous puissions recevoir l'adoption de Dieu."
Pour recevoir Jésus comme la Parole de Dieu faite chair afin de nous délivrer de la puissance du péché et du diable, il faut que nous soyons arrivé personnellement au terme de la démarche religieuse, savoir réaliser que par notre religion nous ne pouvons atteindre Dieu, le satisfaire, lui plaire, entrer dans son ciel éternel et ses projets pour aujourd'hui et futurs... C'est ce que signifie le verset lu plus haut : "Par la loi que je suis mort à la loi, afin de vivre pour Dieu." Car on ne veut vivre sous deux types de justice ! On ne peut servir deux maîtres à la fois. Ce qui nous est encore expliqué ainsi : "Ignorez-vous, frères, - car je parle à des gens qui connaissent la loi -, que la loi (notre religion) exerce son pouvoir sur l'homme aussi longtemps qu'il vit ?2 Ainsi, une femme mariée est liée par la loi à son mari tant qu'il est vivant ; mais si le mari meurt, elle est dégagée de la loi qui la liait à son mari.3 Si donc, du vivant de son mari, elle devient la femme d'un autre homme, elle sera appelée adultère ; mais si le mari meurt, elle est affranchie de la loi, de sorte qu'elle n'est point adultère en devenant la femme d'un autre.4 De même, mes frères, vous aussi vous avez été, par le corps de Christ, mis à mort en ce qui concerne la loi, pour que vous apparteniez à un autre, à celui qui est ressuscité des morts, afin que nous portions des fruits pour Dieu.5 Car, lorsque nous étions dans la chair, les passions des péchés provoquées par la loi agissaient dans nos membres, de sorte que nous portions des fruits pour la mort.6 Mais maintenant, nous avons été dégagés de la loi, étant morts à cette loi sous laquelle nous étions retenus, de sorte que nous servons dans un esprit nouveau, et non selon la lettre qui a vieilli."
2 - LA FOI VÉRITABLE DÉPASSE ET ENGLOUTIT LES RELIGIOSITÉS SPIRITUELLEMENT INOPÉRANTES Cet autre fondement de Justice Divine, celui de la grâce avec pardon effectif de toutes nos fautes quand nous tombons (offenses, transgressions, péchés, travers, dépendances, pratiques perverses...), s'appuie non plus sur nos oeuvres, mais sur ce que nous croyons, concernant Dieu et ce qu'il a fait pour nous faire échapper à la justice religieuse dont les démons et Satan sont souvent les agents d'exécution iniques et les principaux bénéficiaires.
Ainsi lisons-nous : "C'est par la loi que je suis mort à la loi, afin de vivre pour Dieu." Ce qui pose le fondement nouveau : a) sur le seul mérite de ce que Jésus a fait quand, de Parole éternelle de Dieu, il est venu prendre vie dans une chair semblable à la nôtre, pour mourir à notre place. Non plus loi du talion - qu'il a acceptée de laisser complétement tombée sur lui plutôt que sur nous tous -, mais loi de substitution, d'expiation et de propitiation. C'est la justice rédemptrice qui se substitue à l'ordinaire universel ; qui nous offre comme un asile, une tour de défense, la solution légale qui libère des légalismes impossibles à vivre correctement... sans la réception et force du seul Esprit saint...
b) sur notre foi toute personnelle en Jésus-Christ. "Que dirons-nous donc ? Les païens, qui ne cherchaient pas la justice, ont obtenu la justice, la justice qui vient de la foi,31 tandis qu'Israël (et tous ceux qui pratiquent religieusement), qui cherchait une loi de justice, n'est pas parvenu à cette loi.32 Pourquoi ? Parce qu'Israël (et d'autres religions à la suite) l'a cherchée, non par la foi, mais comme provenant des oeuvres. Ils se sont heurtés contre la pierre d'achoppement,33 selon qu'il est écrit : Voici, je mets en Sion une pierre d'achoppement Et un rocher de scandale (Yeshoua, Jésus), Et celui qui croit en lui ne sera point confus."
"Car chose impossible à la loi,- parce que la chair la rendait sans force -, Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché,4 et cela afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'esprit.5 Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l'esprit s'affectionnent aux choses de l'esprit.6 Et l'affection de la chair, c'est la mort, tandis que l'affection de l'esprit, c'est la vie et la paix ;7 car l'affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu'elle ne le peut même pas."
"Car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient.5 En effet, Moïse définit ainsi la justice qui vient de la loi : L'homme qui mettra ces choses en pratique vivra par elles.6 Mais voici comment parle la justice qui vient de la foi : Ne dis pas en ton coeur : Qui montera au ciel ? c'est en faire descendre Christ ;7 ou : Qui descendra dans l'abîme ? c'est faire remonter Christ d'entre les morts.8 Que dit-elle donc ? La parole est près de toi, dans ta bouche et dans ton coeur. Or, c'est la parole de la foi, que nous prêchons.9 Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé.10 Car c'est en croyant du coeur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut, selon ce que dit l'Écriture :11 Quiconque croit en lui ne sera point confus.12 Il n'y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec (toutes les ethnies), puisqu'ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l'invoquent.13 Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé."
COMMENT JÉSUS A-T-IL FAIT CHANGER LE RÉGIME ET L'EXERCICE DE LA JUSTICE DE DIEU ? En se substituant à celle qui se fondait sur les pratiques ou oeuvres d'obéissance. Il a accompli une oeuvre exceptionnelle, unique, inimitable, parfaite, comme on va le lire à la suite.
à suivre...
Venez à Jésus pour être sauvé-e et gardé-e et conduit-e. Que sa bénédiction en ce jour vous soit partagée de manière sensible.
___________ * JP Sartre dut convenir du pourquoi de l'absurde - et donc aussi de l'absurdité de sa propre philosophie - : "L'univers sans raison d'être, sans Dieu, est absurde dans son ensemble et dans ses parties."
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.