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31 mars 2024 7 31 /03 /mars /2024 13:50

REMPLACEMENT DES RELIGIONS-SYSTEME PAR LA FOI AU DIEU UNIQUE MORT ET RESSUSCITÉ

La première conversion la plus spectaculaire de la religion mosaïque (Loi ou Torah), est celle d'un juif religieux vindicatif, grand défenseur de la Loi donnée par Dieu à ses pères : Saul, devenu l'apôtre Paul par sa rencontre foudroyante avec Jésus ressuscité >> lire ou écouter ce récit ici <<.

Ce qui lui fit écrire à son tour : « C'est une parole certaine et entièrement digne d'être reçue, que Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont je suis le premier. » 1 Timothée 1:1

C'est ce dont je témoigne aussi par ce blog (clic sur Accueil pour le lire), comme le disent aussi tous chrétiens « nés de Dieu » > selon les trermes de son plan de rachat des âmes et de rédemption/sublimation consécutive des corps :
« C'est la parole de la foi que nous prêchons : Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c'est en croyant du coeur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut,
11 selon ce que dit l'Ecriture : Quiconque croit en lui ne sera point confus. » Livre aux Romains 10.8

Article >> ici, sur la naissance spirituelle >>

ORIGINE ET PERMANENCE DE LA VERTU SPIRITUELLE ETERNELLE DU SACRIFICE (anthropologie holistique)

Lorsque le Dieu-qui-ne-change-pas... dit à Moïse d'instituer Pessah, la Pâque en l'honneur de l'Eternel (par l'obéissance des participants), il est en fait en train de rappeler le fondement oublié, par 430 ans de séjour au sein de la culture polythéiste égyptienne,
Un fondement qui est l'unique moyen pour tous les humains pour établir ou maintenir, trouver ou retrouver une relation vivante (communion, connexion) avec Dieu (ce qu'on appelle rédemption, réconcliation, rachat, pardon, grâce...).

On trouve l'origine première de ce moyen dans le jardin (dit d'Eden, ce qui signifie Délices) fait par Dieu comme modèle du champ de l'activité humaine basique, savoir premièrement travailer pour se nourrir >> principe permanent redit ici <<.

A ce moment, Satan - l'ange sorti de son rang béni en voulant se faire égal avec son Créateur – est parvenu à s'introduire dans le jardin sans susciter d'opposition, Au point où il est devenu, par sa ruse, maître – dieu – de la planète Terre par sa ruse >> lire ou écouter ici ce récit révélé par Dieu via le 3e chapitre du livre 1er de la Bible <<.

On lit dans ce passge une phrase concise mais pleine de signification (comme Dieu en a beaucoup, qui nous invite en même temps qu'elle informe à réfléchir, méditer, chercher à comprendre de quoi il s'agit) : « L'Eternel Dieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit. ».

Ainsi la chute devant la ruse satanique place par ce couple - en qui sont toutes les générations à venir, jusqu'à nous -, ouvre pour la planète « l'ère des sacrifices », à la fois comme conséquence du mal et comme moyen de le réparer.

BASE DE LA JUSTICE DIVINE

Le principe est expliqué à Moïse, des le 3e livre de la Bible : Adam et sa femme sont morts spirituellement* en écoutant le serpent/Satan. Pour les restaurer dans leur relation (originelle, spirituelle) avec Dieu qui est essentiellement Esprit), une autre créature, innocente, doit mourir : C'est le principe de la justice légale de Dieu qui dit « Oeil pour œil, dent pour dent, vie pour vie. »
Ainsi eurent lieu en Eden les sacrifices de deux agneaux, pour couvrir la honte des transgresseurs. Tuer parce que dit Dieu, « la vie
(de l'âme) est (émerge, prend naissance) dans le sang (comme une émanation, de nature psychique) ».


C'est pouquoi à la suite, par toutes les religions par toute la planète, ont été offerts des acrifices sanglants pour le péché, pour couvrir (effacer) les fautes et leurs conséquences, afin que se rallume, ranime en nous, l'esprit qui apporte sa divine lumière à l'âme égarée.

Ainsi le Dieu-qui-a-de-la-suite-dans-les-idées-et-dans-ses-plans vient ranimer très régulièrement le souvenir de ce principe de vie, dont l'effet est toujours bénéfiquement agissant pour qui le sait et l'invoque.
Pratique dont l'ignorance ou absence de considération est un vrai drame pour l'âme individuelle et pour les sociétés humaines qui ne connaissent pas cette profondeur anthropologique utile à "la vie pleine".

Voilà ce que rappelle en ce moment-même les fêtes de Pâques.

A - La première (appelée La Pâque) rappelle aux juifs que leurs ancêtres devenus esclaves en Egypte en furent délivrés par la puissance agissante de Dieu qui permit à plus de deux millions de personnes de traverser la Mer Rouge à pieds secs.


Fête-souvenir d'un événement ancien qui n'a pas en elle-même l'effet profond d'alors, où le sang versé leur offrait la protection divine et une délivrance par le pardon de leurs péchés confessés et, en conséuence, la purification (bonne santé) de leurs corps ; effet perdu puisqu'ils ne mettent plus en pratique ce commandement fondamental de leur Loi (religion) qui dit que chaque faute nécessite une vértable offrande sanglante.

En d'autres termes, pour rétablir notre relation avec Dieu coupée par une transgression, il y atoujours besoin du sang d'un animal innocent versé comme prix de chaque faute, de chaque « acte manqué » (sens du mot péché) pour en faire « l'expiation » (l'effacement, en être lavé, purifié, libéré de l'effet malin qui autrement en résulte).

Faute de sacrifier encore régulièrement au Temple de Jérusalem selon leur Loi, les juifs religieux disent que cela est remplacé par les prières... ce qui ne saurait
d'une part satisfaire les lois de la justice immuable du Dieu trois fois saint,
et d'autre part leur accorder une protection et une paix stable que Satan peut leur contester sans cesse (individuellement et collectivement).

Ainsi le repas commémoratif du judaïsme (le seder) est une image plus qu'une réalité, d'un fait passé qui a eu lieu, et image prophétique, préfigurative par son symbolisme de ce qui devait venir : la délivrance de l'esclave du péché par la foi en la personne de Jésus (Yeshoua en son nom hébreu), Messie oint (Christ) divin, fait « Agneau de Dieu » venu prendre sur lui le péché/le mal du monde.

B - L'autre fête célébrée par les chrétiens est appelée Pâques, car elle englobe la précédente. Elle est particulièrement active pour quiconque croit que Jésus est venu s'offrir comme un angneau au sang pur, faisant cesser dès lors toute la nécessité des sacrifices d'animaux, puisqu'il a été fait et péché et sacrtifice toujours actif pour qui le croit :
Rendu semblable aux pécheurs que nous sommes et fait sacrifice sanglant pour supporter à la place de tous – réellement au plan historique et potentiellement au plan spirituel - l'essentiel des souffrances qu'un être humain puisse subir, mort comprise.

UN ACCOMPLISSEMENT "HOLYTIQUE"

Jésus est de la sorte l'accomplissement vivant offert une fois pour toutes en sacrifice pour le péché (contre le mal). Il accomplit les réalités prophétiques
a - du bélier vu par Abraham à Morija, retenu à un buisson par ses cornes (attaché donc par Dieu à ses forces d'obéissance et de rédemption). >>lire ou écouter ce passge où Abraham prophétise en appelant ce lieu « Yawhé Jiré », ce qui signifie « le Dieu-Eternel pourvoira »...
Il pourvoira pour que les fils (et filles) des hommes ne soient pas tués, mis à mort spirituellement, par Satan qui veut déspiritualiser le genre humain pour en faire son bétail, un troupeau marqué par son nombre (666) avec qui il peut faire n'importe quoi... >> Genèse 22 << ;

b - de l'agneau pascal institué sous Moïse à la sortie d'Egypte.

c - et de tous les sacrifices sanglants anciens réclamés originellement par Dieu et encore pratiqués symboliquement de manière religieuse ici ou pas, la Bible appelant ces choses « l'ombre des réalités à venir », savoir essentiellement la réalité du Messie et Christ Jésus venu changer le paradigme de la justice divine, ses exigences légales par sa grâce (comme fait une grâce présidentielle).

Grâce en ce que la foi en ce Sauveur devient le levier premier, le pivot fondamental de la relation à Dieu, en lieu et place des efforts d'une obéissance religieuse servile qui ne satisfait ni qui cherche à la pratiquer ni Dieu.


La fête de Pâque est donc devenue pour les chrétiens enfants que Dieu adopte dans cette foi, une fête complète, figurant le sacrifice de la Pâque ancienne et Le sacrifice final demandé par Dieu pour la couverture des transgressions et contre la mort spirituelle éternelle desâmes...

C'est la foi en la vertu permanente – hors du temps – du sang du sacrifice (christique/messianique) – qui le rend toujours actif quand il est invoqué.

Et pour donner à cette réalité éminemment toute spirituelle un support matériel (mnémotechnique !), Jésus a institué ce qu'on appelle « la sainte-cène » ou « repas du Seigneur »**, où
a - le vin figure son sang versé pour le pardon des fautes dont la vertu est de se permettre à la vie spirituelle qu'elles arrêtent de reprendre son cours de Dieu à nous et inversement,
- et le pain rompu pour être partagé représente son corps donné afin que le croyant devient et soi cellule ou pierre vivante d'un édifice spirituel fantastique appelé « le Corps de Christ » ou encore, pour figurer l'amour qui préside à tout cela, son Epouse (mystique éternelle). : un rassemblement unique, transcendent, d'une "race" nouvelle d'humanité - les vrais extra-terrestres sont là ! - ou Eglise véritable... que Jésus va bientôt venir chercher pour la soustraire aux dernières expressions terribles de la domination du mal conduite par Satan et ses hordes de démons >> sur cet événement inouï qui arrive <<.

CHENILLE DEVENANT PAPILLON

«Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation. Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu. » 2Corinthiens 5.17
Cela pour que le croyant puisse recevoir de Dieu une portion (les arrhes) de son Esprit : C'est lui qui la vie éternelle qui nous fait sortir de la mort spirituelle, échapper à la mort psychique (de l'âme siège de notre conscience de soi) et va transformer notre corps mortel en un corps nouveau incorruptible, aux capacités bien plus élargies, ce qui se vivra après la fin de ce monde dans une création (un univers) tout nouveau, sans mal et sans fin... >> lire ou écouter ici les 2 derniers chapitres de l'Apocalypse <<

« Car le salaire du péché, c'est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. » Romains 6.23  

Pas besoin d'attendre les machines à Intelligence Artifificielle sur quoi travaillent les leaders du transhumanisme, destinées à prolonger les existences - les consciences individuelles - en animant par des applications leurs données personnelles en un simulacre de vie ! La vie éternelle et déjà là, à portée de conscience et de l'activation dans le bon champ d'exporation du principe de vie qu'est la foi...

Pour vous aider si besoin, ici >> une page-guide de prières (efficaces) pour se mettre en ordre et en paix son existence face à Dieu et recevoir sa Grâce <<.
Un contact téléphonique est aussi possible en vous faisant connaître par le bouton Contact...

Cet article fait suite à >> l'article commencé ici <<

_____________
* article détaillé ici >> sur "Les 5 types de mort" <<

Bonne nouveauté de vie !
 

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13 janvier 2024 6 13 /01 /janvier /2024 19:01

PLONGÉE DANS UNE PROFONDE CONNAISSANCE DU RÉEL ET DE SOI en écoutant >> cette vidéo (27 mn) <<
Une interview (1987) d'André FROSSARD (journalisme, écrivain, académicien et surtout un témoin par expérience que Dieu existe).
Nota : Ne pas s'arrêter au cadre vieilli et catho de l'enregistrement. 

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14 novembre 2023 2 14 /11 /novembre /2023 10:56

Bonjour,

Connaissez-vous déjà des merveilles de ce qui fait le livre des Psaumes !?
Ce livre est en lui-même de prodigue de sa gestion par l'Esprit-Saint, écrit par une dizaine de personnes qui ne se sont pas forcément connues, au cours d'au moins un siècle d'histoire d'Israël

Ici >> une belle animation vidéo qui expose de manière "holystique"* la construction et le contenu de ce livre biblique de la sagesse et de la poésie qu'est le livre des PSAUMES <<

Pour bénéficier d'une approche guidée des Psaumes selon des thèmes recherchés >> ici la page qui y est consacrée <<

Un "détail" (peu connu) : Le mot Alléluia n'existe pas dans les écrits de l'Ancien Testament ou Alliance de la Torah (le tanak).
On trouve seulement l'exhortation "Allel Yah !" qui signifie "Louez Dieu".

Pour créer le mot Alléluia, il faut ajouter la lettre hébraïque Vav (qui se prononce O ou OU) entre les deux mots (Allel et Yah).

Et, en correspondance entre lettre et mot, il se trouve que le Vav exprime dans l'unité plurielle divine, la figure du Fils.

On voit cela par le tétragramme qui dit "le nom éternel" de Dieu (Exode 3)

On a le Yod qui figure le Dieu comme Père éternel, le moins visible, qui ne varie pas.
le Hé comme figure de l'Esprit Divin ; puis le Vav qui figure le Fils ; et encore le Hé qui parle là des oeuvres de Dieu produites hors de Lui, par l'Esprit.

Ainsi la Loi divine (Torah) ne pouvait qu'orienter le croyant à faire monter vars Dieu une louange, alors que par la venue et la foi en Jésus, le Fils unique du Dieu vivant, cette louange est rendue possible et réalité. Car c'est alors l'Esprit en nous qui produit le "Alléluia" qu'on peut aussi traduire par "Gloire à Dieu". Une expression de joie qui  naît et jaillit de la communion d'esprit avec Dieu.

 

Enfin l'Alléluia n'aparaît dans toute la Bible que dans le livre de l'Apocalypse - le livre des grandes et ultimes révélations.

>> Guide pour aider à prier, là aussi avec des psaumes ou de manière plus personnalisée <<

 

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5 octobre 2023 4 05 /10 /octobre /2023 20:25

 Le fait que les mathématiques sous-tendent tout dans l'univers, commande comme avec cette plante grasse l'harmonie qui foisonne dans la nature, cela nous interroge-t-il sur le fait de notre propre présence dans ce monde !?

Le hasard ne peut rien créer de significatif, de consistant, de dynamique.
N'en résulte que des rencontres anodines, des croisements, approchements ou éloignements, aléatoires et sans conséquences de ce seul fait.

Le hasard n'entre pas dans le champ dominant des causalités, des causes à effets.
Ce qui se produit par pur hasard est donc neutre en soi, car dépourvu d'intelligence, de visée, de projection... 
Le et les hasards sont sans vie, sans dynamique propre.
Il ne peut donc être créateur de rien qui ait du sens. Or le sens est une réalité primordiale de tout, qu'on le perçoive ou pas
Les sciences d'ailleurs ne sont que cette quête qui part du fait que les réalités sont gérées par des lois, des principes, et qu'on peut y voir encore plus clair en cherchant et trouvant qu'il y a un sens qui transcende tout : L'ensemble est plus grand que la somme des parties.

Une difficulté vient de ce qu'il y a derrière des hasards et/ou notre ignorance, des forces intelligentes qui, elles, peuvent se servir d'événements hasardeux pour s'en emparer et les faire entrer dans un champ de causalités, suivant une trajectoire qui vise le bien - ce que Dieu peut faire -, ou des trajectoires qui visent le mal - ce que font les esprits maléfiques de la sphère des ténèbres spirituelles - pour en tirer des profits iniques, des oublis, des déviance, des moyens de...
 

Le fait que l'univers soit dynamique, dans son ensemble et dans ses parties, exclut le hasard comme cause première. De même le fait qu'il soit bourré de lois à quoi il répond, d'organisations et de relations déterminées.
Et donc, l'évidence (largement voilée par des fumées aux yeux qui ne veulent nous laisser voir que ce qui est matériel) est que, si on ne peut attribuer l'origine et les organisations du Réel à du et des hasards, il n'y a pas d'autre possibilité qu'il y a (un) Dieu, intelligent, Créateur, qui est l'origine de tout.
Le fait qu'il ne s'impose pas à notre conscience, est une preuve de la réalité de notre liberté. Mais dès lors que nous comprenons et cherchons à le connaître, il fait des pas vers nous pour établir ou rétablir la relation qui a été coupée par le mal entre lui et nous.

Il nous appartient donc, par l'intelligence et autres capacités dont nous sommes pourvues, de chercher qui est le Créateur de l'univers, pourquoi nous sommes si naturellement et dramatiquement séparés de lui, et comment entrer en relation, une relation vivante avec lui.

 

Une vidéo ici >> qui développe la preuve à partir de l'ADN de la réalité historique que l'humanité a bien commencé d'un seul couple <<

 

Un schéma de base "3 et 1 font 1", nous permet d'approcher la structure évolutive de notre condition humaine, en générale et en particulier :

1 – On a tous été créés pour vivre éternellement,

2 – Une fatalité nous a rendus handicapés dans nos fonctions et mortels,

3 – Mais Dieu a révélé (révèle) sa solution à la problématique du Mal - ce qui est tout le sens et l'effet de la venue de Jésus, sa vie, sa mort et sa résurrection,

4 – Il dépend ensuite de nous de le savoir et de le croire... et d'en informer d'autres quand on sait qu'on a trouvé.


C'est ce 4e point qui est différent des trois, en ce que les précédents se présentent comme une organisation préexistante à notre apparition en tant qu'être intelligent, possédant une conscience de soi-même et donc capable de s'insérer – ou pas – dans le point 3. Sinon d'en rester au stade du drame où le mal continue à dominer sur nous. Et cela malgré même toute notre bonne volonté à désirer pour nous ou pour les autres le bien...

C'est dans cette liberté que je vous laisse là, où vous avez été conduit-e jusque là, et où cela devient votre part de pouvoir échapper à la fatalité de certaines souffrances et d'une mort* qui n'est vaincu que par notre foi placée au bon endroit, sur la bonne personne – le Dieu véritable et Sauveur dont la Bible nous rapporte les meilleures informations.

_____________________
* La mort est une réalité et concept plurielle, qui se décline en mort physique – celle qui nous permet de voir et de croire en cette fataité. Elle est une figure de notre mort spirituelle, celle qui fait notre séparation et ignorance de Dieu en tant que pouvant relationner avec nous, de son Esprit à notre esprit –.

Nous risquons aussi, sans implication personnelle dans la manière dont Dieu peut et veur nous donner en partage son éternité, la mort psychique (du grec psyché qui désigne l'âme, cette part essentielle de notre personne où siège la conscience que nous avons de nous-même et d'exister).
Pour une étude détaillée ici >> article Les 5 types de mort <

Aussi ici >> un guide de prière pour se mettre ou remettre en ordre avec Dieu <<

Que ce Dieu merveilleux, amour mais aussi Dieu tenu par la justice et par sa sainteté (pureté), vous aide à trouver en lui le secours qui vous est le plus nécessaire.

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27 septembre 2023 3 27 /09 /septembre /2023 09:01

Rien que l'ADN suffit à invalider la théorie d'une évolution de la non-vie à la vie par hasard.
Jean Rostand et le Professeur Jérôme Lejeune disait que "la théorie de l'évolution est un conte de fées pour adulte".
A nous de nous dépouiller de ce qui est de l'enfant que certains trouvent intéressant que nous restions !

 

La théorie de l'évolution est de l'ordre d'une mythologie moderne qui ne tient pas face à la réflexion, la logique et autres moyens d'approche scientifiques du réel. Les découvertes scientifiques qui s'accumulent ne font qu'infirmer cette vue initiée par Lamarck et Darwin, et dont on aurait tout intérêt à débarrasser nos écoles si on voulait vraiment les assainir dans le fond.

Je vous invite à suivre une Vidéo, d'un scientifique, qui éclaire ce sujet, ici >> L'évolution des espèces, une théorie à rejeter <<

Bonne quête du sens de la vie !

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21 août 2023 1 21 /08 /août /2023 19:05

2 - Un commentaire pertinent(plus compréhensible après avoir vu/écouté la véidéo :
"Il me semble qu'il serait bon de pousser le bouchon du dévoilement des vérités, surtout les plus essentielles. Par exemple ici, en dépassant la notion d'égrégore qui ne dit pas grand-chose à beaucoup, et pas suffisamment en elle-même, même si l'étymologie (grecque) met exprime la notion de veiller ou de veilleur,.
En réalité, et là il nous faut mieux nous réveiller, cette notion ou espace vibratoire dit ici égrégore, n'est autre que celui des esprits occultes qui tiennent déjà largement notre humanité sous curatelle ou turelle, et cherche à nous mettre sous un contrôle ssuffisamment total pour que Satan - le chef de ces esprtis angéliques entrés en rébellion contre le Créateur - puisse plaider devant Dieu que l'humanité lui appartient à jamais.
Le complot et l'enjeu est à ce niveau, peut-on comprendre notamment par la Bible et autres inspirations correspondantes...
Mais tant que ces forces occultes ne sont pas appelées par leurs noms significatifs (démons, esprits iniques, anges déchus), ils ont beau jeu et liberté pour tenter encore des stratégies pour nous imposer leur marque et marquage

En effet depuis presque deux mille ans, le livre des dernières révélations bibliques, l'Apocalypse, parle clairement d'un temps où Satan, ce diabolos ancien (bom qui signifie Diviseur, qui désunit) qui ne meurt pas (il a été créé éternel, comme les autres anges), va faire apparaître un moyen portant son empreinte, sans lequel il era impossible de faire des transactions, recevoir et dépenser de l'argent. On lit cela particulièrement au chapitre 13...

Vous avez donc raison de dire que la visée de ces forces invisibles (vibratoires) est maléfique et va chercher à établir sa domination par un gvtmondial usant d'une monnaie informatique qui s'activera par le moyen d'une identité numérique dont on perçoit déjà le profil arriver.
Même si ce système élaboré par Mammon - nom donné par Jésus à un de ces 4 démons généraux de Satan actifs en l'espèce - ne pourra être obligoire, les contraintes seront telles que la vie même et survie sera mise en cause. Lire aussi chapitre 14.
Dès lors on est avertis : Il n'y a qu'en plaçant notre foi/confiance en Jésus qui seul a vaincu Satan et la mort par sa crucifixion consentie, que nous pourrons échapper au marquage satanique et par là à notre appartenance sans plus de résistance possible au règne démoniaque planétaire.
C'est très sérieux, et on ne peut pas, de moins en moins, se contenter d'approximation, de doctrine ou hypothèse à notre façon.
La Bible est suffisamment avérée pour trouver dans ses pages et dans les paroles de Jésus et du Nouveau Testament, tout le nécessaire pour échpper réellement ototal itarisme qui se met en place. Seule acquérir une nouvelle identité en Christ pourra garder quiconque d'une identification numérique délétère jusqu'où du temps. Lire 2e aux Corinthiens chap. 5, vers. 17...

Pour plus le cas échéant >> un guide pour prières efficaces et à personnaliser <<

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12 août 2023 6 12 /08 /août /2023 20:54

Le tableau le plus cher du monde - "le cri" - ne représente pas une scène paradisiaque de notre monde terrestre, mais une expression de ce qui le domine, la peur, l'insécurité, les œuvres sordides du royaume du mal : Quel est-il ?

Il n’y a presque plus que de « l’intelligence au mal », qui s'affiche ou masquée derrière des apparences.

C’est un fruit infecté d’une culture française et européenne qui s’est voulue déconstructive d’ordres jugés dépassés, par des moyens de « décomposition ».
Une décomposition est toujours une réduction d’éléments élaborés plus ou moins performants, qui les cassent, les piétinent, qui crient sa haine propre et des douleurs qui en résultent. Travail de démolition d’un immense édifice qui fait du bruit, des blessés, qui sent mauvais et la mort, en action et qui aboutit… avec – c’est comme devenu la mode – des crémations, des feux qui signalent comme jamais des jugements.

MAUVAIS AIGUILLAGE ET DÉRAILLAGE

Plus intelligent que Dieu lui-même, on (qui !?) a voulu et obligé une éducation qui fait l’enfant roi. Avec interdiction de corriger physiquement un enfant désobéissant après sommation verbale. Amende et peine de prison, casier judiciaire si on donne une fessée ou si on se sert d’un martinet !

Objectif pédagogique : ne pas faire naître de la violence qui viendrait de celle, horribles, des éducateurs, parents notamment. Fondement de cette doctrine : Être doux avec eux pour élever des petits moutons, des citoyens modèles, pour en finir avec les tensions sociales et les guerres. Bel objectif, mais quel leurre !

De fait l’Education Nationale est devenue Finie l’éducation.
Pire, pour ne pas être en reste sur un budget d’État énorme (nos impôts), on veut développer plus que jamais le seul ressenti immédiat des bambins. Ce serait la nouvelle norme du bien individuel et du vivre-ensemble : une prise de conscience exacerbée de son corps, de ses parties génitales, et, en orientant les pensées de nos chers petits (cobayes) vers la possibilité de se sentir et de se choisir fille ou garçon.

Et qui dans ce déréglement extrême, se soucie de savoir que toutes nos pensées proviennent de deux grandes catégories de sources, une bonne et trois préjudiciables !…

UNE ERREUR DE JUGEMENT TERRIBLE SUR CE QU’EST L’HUMAIN

La réalité (bien observable) est que notre fond humain générique est naturellement celui d’un loup, plus que d’un mouton. D’un menteur, voleur, magouilleur, un margoulin (on dit désormais dealer ou fraudeur), profiteur, pervers, convoiteur…
Chacun est mal dans sa peau (pas seulement les banlieusards !), avec des insuffisances (immédiates ou qui paraissent après du temps), tous capables de violence extrême si on touche à ce qu’on a de plus cher, capables de muter (même pour un introverti ou timide) en prédateur, en révolutionnaire meurtrier, en déconstructeur. Et cela aujourd’hui de deux manières : en suivant les avancées délirantes du progressisme qui domine la scène politique, ou en voulant les combattre.

 

C’est qu’on a voulu croire Jean-Jacques (Rousseau, qui dit que l’homme est naturellement bon* (lui qui a mis ses nombreux propres enfants à l’assistance publique tout en écrivant sur l’éducation !), au lieu de croire Paul (l’apôtre) qui dit entre autre que « dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux, insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant l'apparence de la piété (de la croyance religieuse), mais reniant ce qui en fait la force  » 2Timothée 3.1 

et encore que « L'Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, quelques-uns abandonneront la foi, pour s'attacher à des esprits séducteurs et à des doctrines de démons ... »  1 Timothée 4:1


Alors les gosses de France ont grandi - ces petits anges si l’on en croit Rousseau et ses adeptes ! -, sont devenus fort en caractère (plus qu’en thèmes ou algèbre) avec les penchants et travers reçus par leur hérédité, et on se rend compte que ce sont des démons ! Non pas eux des démons, car ils restent des êtres humains, mais ils sont la proie de démons – des vrais, qui existent, les preuves sont là ! –.


Des enfants comme des adultes par la suite qui deviennent leurs instruments collabos, leurs répliques de chair et os, leurs têtes porte-paroles ou leurs bras armés.

MAIS DANS UNE CULTURE ATHÉE, QUI SE SOUCIE DES VERTUS DES PAROLES BIBLIQUES ?!

Jésus a dit à des hommes très religieux « Vous avez pour père le diable (Satan l’ange rebelle déchu), et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur et le père du mensonge. Et moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez pas. » Evangile selon Jean 8.44


Et de fait, par transmission psychogénétique, on naît chacun avec un coeur perturbé que l’absence d’éducation laisse livré à toutes les dérives et développements problématiques. Lire Evangile selon Marc 7.20,23.

En voulant se défaire des dogmes religieux (pseudo-chrétiens il est vrai) pour instaurer un ordre social humaniste du genre « Tout le monde il est gentil et si Dieu existe on ira tous au Paradis ! », on a fait que nourrir les germes du fruit psychique humain malade du mensonge, de la magouille, du mépris, de la fraude, de la haine, de la jalousie avec toutes sortes de convoistises et au milieu des tentations (démoniaques).

UN TEMPS DE RÉCOLTE !


En ces jours, on commence à voir ce qu’est ce fruit d’une éducation qui a méconnu ce qu’est l’homme et la bonne manière de le redresser pour le rendre meilleur et sociable.
Les enfants qui cassent et pillent dans les rues n’ont-ils pas été instruits par l’école et la laïcité française qui s’est voulu le fleuron des cultures ! Pourquoi cette école et ses enseignants n’ont-ils pas pu rester une autorité qui se respecte ?
Ces enfants qui parcourt les rues la nuit ne sont-ils pas ceux de parents eux-mêmes dotés de quelle forme de socialisation, culturelle, religieuse ou pas ?
Comment se construirent entre les deux chaises d’une république athée et d’une religion aux vues tout autre ? On peut devenir schizophrène à moins !


Et cela parce qu’on a cru et on « éduque » toujours selon Rouseau, selon que tous les êtres humains sont naturellement bons, et qu’il suffit ou qu’il faut les laisser croître librement, sans les déformer par une éducation, pour qu’ils se bonifient eux-mêmes par assimilation inconsciente !
 

Et pas plus les journalistes les plus écoutés, les politiques de tous bords et la grande majorité de la population – tous formés par la même école républicaine athéisante, ne voient nettement où le mal et les problématiques ont leur origine première : les esprits renégats aux lois divines qui mettent leurs dernières libertés au service de leur vue et projet démoniaques de domination éternelle de la terre habitée par un commandement centralisé par un parti humain unique qui impose tout ce qu’ils veulent par toute la planète.

Pauvre France ! Quelle méconnaissance du Réel et de ce que nous sommes !
C’est au point où les émeutes de loups ravisseurs de bien ne semblent même pas pouvoir réveiller un criant  Mais par où a-t-on péché !?

On ne voit pas plus clair d’un côté que d’un autre. Tous se leurrent eux-mêmes dans une séparation irréductible… par l’humain.

car Dieu et Jéus-Christ seuls vont les arrêter tous, selon les étapes d’un plan dont des livres prophétiques bibliques, dont les actualités se font l’écho, nous donnent le synopsis.

QUE FAIRE MAINTENANT !?

Certainement pas tout ce qu’on entend dans les médias !
Mais on doit se repentir, s’humilier, descendre de notre vue orgueilleuse de nous-même et de nos développements conduits sans le moindre souci de ce que Dieu en pense et en dit.

Lui demander pardon, vraiment, dans une vue éclairée de nos erreurs, de nos péchés (mot qui en soi signifie « manquer le but du bien, passer à côté de la cible que Jésus a résumé pour tous en deux commandements : « Aimer Dieu en premier et de toutes nos capacités, et son prochain comme soi-même. »

Et s’aimer soi-même, c’est apprendre à se connaître en vérité ; c’est admettre un besoin d’éducation qui se confronte avec notre nature. C’est devenir participant du décentrage de notre ego et égoïsme, de notre orgueil, de notre fourberie, de nos travers parfois poussés jusqu’à l’addiction ou la possession.

LA BANQUEROUTE EN MARCHE DE L’HUMANISME, COMME DES RELIGIONS

John Stuart Mill, De la liberté, 1859 : « Une éducation générale et étatisée n’est qu’un appareil à façonner les gens pour qu’ils soient exactement semblables entre eux ; et le moule utilisé est celui qui plaît aux pouvoirs prépondérants dans le gouvernement, que ce soit un monarque, un clergé, une aristocratie, ou la majorité de la génération en cours, et dans la mesure où l’appareil est efficace et où il est réussi, il établit un despotisme sur les esprits qui, par une pente naturelle, conduit à un despotisme sur les corps. »

Quand on a voulu faire des citoyens au lieu de faire que chacun se révéle en tant que créature de Dieu, est-ce une grave erreur, Docteur ?
L’heure des pots cassés devrait aussi être celle du Bilan, de l’état des lieux, de la pertinente de « l’Edacation nationale », de la valeur des religions qui sont censées figurer un Dieu Amour, miséricordieux et pacifique et pacifiste , religions qui croient bien que le dialbe, le Satan existe, mais qui le laisse faire sans voir comment il agit et sans le combattre.

 

LA SOLUTION NE SERAIT PAS DIFFICILE

Comme en maths, à tout problème il y a au moins une bonne solution.
Et il ne serait pas difficile de calmer les casseurs et faire cesser les émeutes, sans tuer personne et sans les dégâts matériels et humains qu’on connaît.
Mais tout le monde semble aveuglé, dérouté et impuissant face à ses émeutes insurrectionnelles souvent animés par des mineurs. Et la raison de ce manque de puissance et de cet aveuglement viennent de ce que chacun est livré dans sa propre existence au péché, à une forme ou une autre d’injustice, de corruption, de double vie, de profits iniques…

On ne peut tromper Dieu ni ses enfants vivants dans la lumière à ce sujet.
Jésus a pu le démontrer de manière magistrale quand on lui a amené une femme prise en situation d’adultère : Aucun n’a trouvé en lui-même la force de lui jeter une pierre. Car Jésus n’a pas considéré la meute qui cherchait à le faire chuter lui pour le faire taire parce qu’il parlait déjà trop aux consciences individuelles.

Mais pour avoir la force de reprendre la main sur des enfants ou adultes animés par des démons, il faut soi-même ne pas être un de leurs porte-paroles ou actionnaires dans tel ou tel autre domaine.
Alors la solution reste en suspens, qui n’a pas à être inventée car tout existe déjà pour une contre-offensive ferme et efficace. Faute de la remise en cause morale des autorités, les délinquants et leurs familles éducatives ne sont pas arrêtés dans leurs mauvais et captivants comportements, dans leur abus sociaux divers, et pire, le pouvoir est en train de changer de main.

Et donc on reste aujourdr’hui dans des statu quo où Satan et ses acolytes de tous ordres restent au pouvoir et avancent leurs tours fortes et leurs fous insensés sans résistance.
Sauf à faire quoi !?

REVENIR A DIEU

Malgré quelque trêves, les sociétés civiles, ni les nations ni les impérialisme, ne reviendront à Dieu. Ni dans la liberté que certains se sont donnés ni par des lois drastiques comme en pays communistes ni par des lois religieux stricts. Le seul retour possible à Dieu est un retour individuel, de chacun qui réalise, dans l’amour de la vérité, où il en est parsonnellement par rapport au bien et au mal et par rapport au Dieu qui a créé le monde et le genre humain… qui a été détourné de Lui par les anges déchus qui montrent en ces jours ce que sont leurs désirs, leurs volontés, leurs projets de chaos en vue de promulger des lois martiales et bientôt un contrôle par un marquage (prophétisé dans la Bible) sans que

personne ne pourra plus accéder à l’argent de leur salaire ou des allocations, des subventions et même de ce qu’il aura placé dans les banques.

Revenez ou venez à Dieu et à son Christ car c’est lui, Jésus, qui a payé par sa mort le prix de notre rachat des forces sataniques qui autrement continuent, comme un truand qui dirige encore des affaires de son QG secret ou de sa prison.

Ici >> un guide de prière pour adresser à Dieu des paroles efficaces et personnelles pour nous mettre en paix avec lui <<

______________
* Existe-t-il ce qu’on appelle parfois des « belles âmes » ?
Oui, selon une éducation qui a été strict dès le bas âge pour former l’âme différemment que sa conformité naturelle.
Cette âme aura pu déjà bénéficier d’un héritage psychogénétique ordonné au point de n’avoir pas de conflits internes majeurs (qui se traduisent par des comportements visibles agités, « soupe-au-lait », capricieux, caractériels.
Cette prédisposition plus ou moins favorable, ou pas, sera suite à la naissance (et même pendant la grossesse) dirigée par les parents essentiellement, soit de bonne manière pour produire ou affiner une âme capable de profondeur, d’observation et de jugement de soi tout en étant attentive aux autres, ce qui se caractérise par la paix et la doueur, soit de mauvaise manière au point de créer ou creuser des duretés, frustration, tromperie, duplicité, orgueil ou dévalorisation de soi, perversion…).
La connaisssance de soi comprend aussi nécessairement celle des « liens » spirituels qui nous attachent au passé de nos ancêtres sur trois ou quatre généations sous forme de bénédictions (à reconnaître pour ne pas s’enorgueillir de capacités qui nous vienent ainsi, ou de malédictionsforcément problématiques mais qui peuvent être brisées dans la foi en Christ.
Ainsi une belle âme est toujours ici-bas un chantier de construction et de maintenance, encore au niveau du gros œuvre ou au niveau des finitions...
Ce qu’illustre par son singulier exemple de la basilique « Sagrada familia » de Barcelone en Espagne commencée en 1882 et toujours inachevée...

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10 août 2023 4 10 /08 /août /2023 20:08

On a tous un coeur abîmé, plus ou moins, dans tous les cas incapable de vivre heureux par lui-même, par nous-même(s)

 

UNE ACTUALITÉ FAITE DE CRISES, DE DÉRÈGLEMENTS ET DE JUGEMENTS

Le temps de jugements sévères se confirme de jour en jour par toute la planète.
La Bible appelle cela le temps "de la colère de Dieu".
Parce qu'"on ne s'est pas souciés de le connaître, il nous a laissés livrés à nos sens réprouvés" Lettre aux ROmains, chap? 1, vers. 18... :
"La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, car ce qu'on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu le leur ayant fait connaître. En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l'oeil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables, puisque ayant connu Dieu, ils ne l'ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur coeur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres. Se vantant d'être sages, ils sont devenus fous; et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en images représentant l'homme corruptible, des oiseaux, des quadrupèdes, et des reptiles.
C
'est pourquoi Dieu les a livrés à l'impureté, selon les convoitises de leurs coeurs; en sorte qu'ils déshonorent eux-mêmes leurs propres corps; eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. Amen !
C'est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes : car leurs femmes ont changé l'usage naturel en celui qui est contre nature; et de même les hommes, abandonnant l'usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement.
Comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens réprouvé, pour commettre des choses indignes, étant remplis de toute espèce d'injustice, de méchanceté, de cupidité, de malice; pleins d'envie, de meurtre, de querelle, de ruse, de malignité; rapporteurs, médisants, impies, arrogants, hautains, fanfarons, ingénieux au mal, rebelles à leurs parents, 31 dépourvus d'intelligence, de loyauté, d'affection naturelle, de miséricorde. Et, bien qu'ils connaissent le jugement de Dieu, déclarant dignes de mort ceux qui commettent de telles choses, non seulement ils les font, mais ils approuvent ceux qui les font."

 

LES JUGEMENTS SONT DES EFFETS PRODUITS PAR DES CAUSES

Ce passage relatif à la condition humaine générale, écrit il y a presque deux mille ans, ne vous parle-t-il pas !?
C'est dire que le genre humain ne s'améliore pas !
Que le coeur est foncièrement anti-Dieu ou sans le moindre souci de son Créateur, ce qui laisse nos dérèglements prendre le dessus crescendo, jusqu'à des jugements sévères qui les arrêtent.
Rien qu'au XXe siècle, 2 guerres mondiales, les révolutions social-communistes en Russie et en Chine, la guerre d'indochine et d'Algérie et le retournement de Mai 68 en France où d'un seul coup c'est l'hédonisme sans frein qui est activé.
Mais on cherche encore à vivre un paradis sur Terre, obnubilés par l’acquisition de biens, de confort et de plaisirs alors que des populations entières meurent de faim ou s’entretuent parce que cela « arrangent » certains.

Autant de libertés prises, violentes ou sensuelles, et tels de délinquants, des casseurs, des arnaqueurs, on s'attire des jugements car
- les démons aussi existent comme des huissiers exécutants des jugements,
- la nature que l’on ne respecte pas, qu’on exploite de manière inique, se dérègle par le jeu sinistre de nos comportements (moraux, économiques, financiers et politiques) ;

- Satan conduit ce bal es iniques et des vampires, dans son désir orgueilleux et haineux de dominationsur nous et sur la Terre sans plus aucune contestation de notre part.
- Et on contraint Dieu à rester inactif car on se rend coupables et il doit laisser la justice et même des jugements injustes se faire (qu’il punira par la suite).

Et comme on ne compre pas ou on ne soucie pas du sens des événements, la pluie des crises continue ou reprend, avec leCovid, les vaccins, les masques, gel, privation de mouvements…
Et comme on n’a pas encore compris qu’il faut se reprendre soi-même ; noralement et spirituellement, et non reprendre nos comportements mauvais, c’est maintenant le ciel qui devient une cause majeure de jugement, pour qu’on s’interroge et pense que LE CIEL aussi, c’est-à-dire DIEU, s’unit aux catastrophes sociétales pour nous interpeller :
Ce sont des feux gigantesques, dantesques, mais non seulement, car attisés par des vents ou des ourafans pour qu’on réalise mieux la conjonction de causes et qu’on arrête de penser « hasard », « faute à pas de chance », « aléas imprévisibles », « mauvais moment à passer puis ça ira mieux demain »…

Non, cette fois on arrive au bout d’un bout, à « la fin du temps des nations » dit la Bible, ce qui va ouvrir une ère terrible à un otalitarisme et des conflits planétaires comme il n’y en a encore jamais eus.

NOS 4 CAUSES MAÎTRESSES, INITIALES, DE NOS MALHEURS


 

Où vous trouvez-vous ici :

1 – L’amour de l’argent pour l’argent, comptes, titres, placements, Bourse, jeux...

2 – la convoitise de biens et les plaisirs, surtout sexuels, indépendamment de la notion objective (ou de conscience personnelle) du bien et du mal ;

3 - la soif de pouvoir, c’est-à-dire de possession, à divers niveaux. Cela crée en haut d’une pyramide deux oligarchies ; capitalisantes et accaparatrices, capables de (presque) tout dominer… tout en étant elles-mêmes dominées par Satan – mais dans leur cénacle ils ne croient pas que cet être spirituel maléfique (qu’ils appellent Lucifer quand ils se doutent ou touchent à sa présence) se retournera contre eux qui se donnent à cette course folle de la domination des êtres et des âmes.


4 – La justice de Dieu qui, bien que patient et après des avertissements, finit par arriver, car il permet beaucoup de choses, mais il sait aussi dire TOP quand le mal est à son comble. La preuve ? Les maladies et accidents soudains et la mort, qui peuvent atteindre quiconque à tous moments.
D’où la nécessité de ne jamais remettre au lendemain quand on entend parler de Dieu, quand on se trouve inquiet, pris par des peurs récurrentes (de se faire voler, d’avoir un accident, d’attraper un cancer, de la mort…) : La peur est le plus souvent un effet, un signe, que nous vivons « dans le péché », c’est-à-dire en pensant et disant et/ou faisant quelque chose de mal, de répréhensible, qui transgresse une loi de Dieu, de notre religion, ou de notre conscience.

 

Laquelle de ces 4 forces est « votre » Dieu, c’est-à-dire celle, celui qui domine votre comportement, vos décisions , oriente votre destin vers le Ciel (Paradis) ou vers ce qu’on appelle dans le langage vulgaire l’enfer ?...

 

CHANGER DE DIRECTION ET DE DIEU
ou LES 4 TYPES DE JUSTICE

 

On peut apprendre et savoir que le vrai Dieu dispose de 4 justices pour exercer son autorité souveraine !
 

1 – SA JUSTICE DIVINE LEGALE
On vient d’en parler, qui réclame ce que nous devons payer pour nos fautes, que ce soit imposé par des démons, par la nature ou la mort, qui nous font payer le prix du jugement que nous méritons du fait de nos pensées, croyances, paroles et/ou actions. Dans tous les cas c’est selon des lois de Dieu que tout cela opère.
Cette justice est de l’ordre
- On récolte ce qu’on sème,
- si on sème un mauvais vent on risque de récolter une tempête,
- et encore œil pour œil, dent pour dent, vie pour vie...

 

2 – LA JUSTICE PAR LES LOIS DE SOCIETES HUMAINES

C’est aussi par la justice des lois des nations – même si elles sont injustes, qu’elles soient des nations démocratiques, humanistes ou totalitaires, religieuses ou athées - que nous sommes soumis à une vue du bien et du mal, et de là à des jugements. Jugements avec des tribunaux et par des magistrats établis selon les modalités divines.

Ce qui fait que dans une nation essentiellement juste, c’est-à-dire fondée sur la morale et des prescriptions divine, seront établis des juges honnêtes, impartiaux, éclairés, pour régler les différends – et il y en a toujours.
Mais si les autorités politiques sont iniques, les juges le seront aussi, même s’ils ne sont pas mis en place par le système politique ;

 

3 – LA JUSTICE ISSUE DE LA CONSCIENCE PERSONNELLE

Chacun a une conscience d’ordre moral, plus ou moins bonne, c’est-à-dire objective, selon l’instruction et l’éducation qu’ona reçues. Et des jugements nous atteignent en rapport de notre écoute et obéissance ou désobéissance à cette conscience qui est un dispositif mis en nous (même dans le règne animal) ppar le Créateur ;

 

4 – LA JUSTICE GRACIEUSE DE DIEU

 

C’est sa justice la plus unique, fondée sur son amour, sur le pardon qu’il peut et veut nous accorder – à la place des jugement que méritent nos choix et comportements, toujours mauvais ici ou là.
Cet amour et ce pardon possible ce sont manifestés en la personne de Jésus, Dieu fait homme pour prendre sur lui le prix, le jugement, le châtiement que mérite toutes les fautes des hommes, ce qui est l’explication de sa crucifixion.
De ce sacrfice et de notre foi en lui, nous pouvons naître dans la liberté que donne le pardon de nos fautes, selon ce que Dieu dit dans son Livre, 2e lettre aux Corinthiens, chap. 5, vers. 17...  :
«  Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. 18 Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation. 19 Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. 20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! 21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu. »

 

«  Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. 17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. 18 Celui qui croit en lui n'est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. 19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises. 20 Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées; 21 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites en Dieu. » Bonne Nouvelle (ou Évangile) selon Jean, chap. 3.

 

C’est pourquoi, selon où vous en êtes quant à des jugements et/ou une épée de Damoclès (une grosse tuile) au-dessus de votre tête, voici >> ici  une page-guide de prières pour remettre sa vie en ordr, venir ou revenir à Dieu << avant que « le sejour des morts » ou « hadès << qui est la prison post mortem tenue par les anges démonisés de Satan, ne vous cqpture. Car quand on meurt, le corps tombe privé de la vie qu’il n’est pas en lui-même, l’âme qui est le centre vivant de notre personne, le siège de notre moi ou ego, sortant avec toutes nos données de comportements et de perceptions, mais sans plus de force au plan de la réflexion, de la volonté pour en sortir - Lire Luc 16.18-31.

 

Et si déjà tout est bien pour vous avec Dieu, réjouissez-vous de sa si magnifique Grâce, de son pardon, de ses délivrances, des biens qu’il vous accorde déjà, et du salut de votre âme pour vivre le Bien et rien que du bien, éternellement…

 

"En vérité, en vérité, je vous le dis, dit Jésus, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie." Jean chap. 5, vers. 24

 

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29 juin 2023 4 29 /06 /juin /2023 10:02

Est-ce une nouvelle nomenclature des forces fondamentales de l'univers ?
Peut-elle nous parler plus justement du Réel tel qu'il est et fonctionne et relationne et peut relationner tous azimuts !

Cette nomenclature exprime une volonté et un moyen de réduire – jusqu’à sa marginalité insignifiante - ce qu’on appelle hasard. Notamment engloutir sous les vérités le Grand Hasard et ses ribambelles de petits érigés à faux comme étant à l’origine de la matière, de ses lois, systèmes et mouvements.

 

Avec les découvertes scientifiques qui se succèdent et réfutent cette théorie évolutionniste, c’est ici une autre manière d’invalider cette hypothèse donc, partie de Lamarck (transformisme via l’hérédité) et de Darwin (évoluton par sélection naturelle ou survivance des plus aptes) en des siècles (XVIIIe et XIXe) pauvres en connaissances scientifiques, et devenue doctrine pseudo-scientifique de l’athéisme… qui est une croyance ou foi mal placée.

 

 

***

 

 

CLASSIFIER CE QUI EST ORDONNÉ

 

 

Par la science, nous avons une nomenclature de l’univers qui pose en une courte liste ce qu’on a découvert comme étant les quatre réalités fondamentales qui paraissent à l’origine de toutes ses interactions – forces, énergies distinctes les unes des autres et complémentaires qu’on nomme Force Forte, Force faible, Force électromagnétique et force de gravitation.

 

Il n’est cependant pas possible d’affirmer qu’il y a là TOUS les éléments de base faisant et l’inivers et ses dynamiques. D’où ma recherche pour dire autrement, de manière plus significative et complète, quelles réalités complémentaires peuvent être vues comme constitutives et moyens des dynamiques de l’univers qui est et dont nous sommes.

 

Plus que de forces aveugles, de l’ordre atomique et nucléaire, il s’agit de considérer ce qui m’est apparu au moyen de quatre autres concepts et mots, notamment après avoir découvert un type et mode générique quaternaire d’organisation qu’on peut appeler le « 3 & 1 font 1 » dans la mesure où on a toujours affaire à un élément plus ou moins dissonant ou à part du reste plus uni, comme est la force gravitationnelle parmi les trois autres.

 

NOUVELLE NOMENCLATURE DES CAUSES PREMIERES DE L’UNIVERS

 

Il s’agit des principes ou lois dynamiques/dynamisants suivants :

- La loi de causalité

- Le principe de potentialité

- Le principe de correspondance

- La loi d’appel à… ou principe de foi.

 

Du point de vue de la vulgarisation, cela apparaît plus représentatif du réel, notamment avec le vivant – qu’il se trouve ici seulement ou encore ailleurs – dont l’univers dans tous les cas est porteur.

 

 

A – LE PRINCIPE CAUSAL

 

A tout effet, il y a une cause. Difficile de sortir de cette loi de causalité, une notion générique largement connue et établie dans de nombreux domaines... avec sans doute encore la nécessité de mettre en lumière davantage de relations causales non-immédiates qui peuvent nous concerner (de près), en vue d’un meilleur rapport à nos environnements et en nous-même.

Comme par exemple on a fini par voir une relation et des effets directs de nos activités, productions et utilisations sur la pérennité des sols, des eaux, de l’air et jusqu’à la strastosphère.

 

On découvre ainsi actuellement et de plus en plus, parfois avec horreur, sidération, et impuissance tant le retard est important pour remédier, l’impact de nos connaissances, de nos développements, de nos manques de discernement, de sagesse, et de choix égoïstes, ignorants ou cupides de comportements sur les équilibres naturels millénaires, compris sur notre propre santé.


Il faut aller plus avant encore que dans les champs agricoles et une morale écologiste, confrontant tous les points de nos mœurs, ancestraux ou nouveauux à ce qui nous arrive de si grave, jusqu’au coeur de nos relations les plus naturelles et intimes.
Apprendre à mieux se connaître soi-même dans ce qui nous anime et ce qui nous paralyse, dans une quête plus complète de vérités, de causes, des tenants et aboutissants qui nous traversent et nous encadrent.
Voyons plus clair dans nos forces intérieures, les resorts psychologiques de notre âme (en grec le mot psyché désigne l’âme), la réalité de nos besoins et discriminons l’essentiel des superflus étouffants, chronophages, aliénants et mortifères.

 

Au plan strict de la causalité, savoir faire un jardin, trier et composter a certainement plus de coséquences heureuses que de visiter l’épave du Titanic ou de chercher à rendre Mars habitable. Plus que jamais c’est le présent qui doit prendre le pas sur les grands ou longs projets, sur des rêves qui éloignent de la bonne recherche d’opportunités pour ne pas subir les effets cumulés pathologiques ou délétères des développements nano et bio-technologiques, des connexions et des implantations addictives et asservissantes.


Je crois que la qualité de notre devenir et avenir les plus proches (individuel comme collectif) dépend, dans le cadre posé de (ce qui nous reste de) liberté et de notre responsabilité personnelle, de l’extension encore possible de mises en lumière fondamentales, de compréhension venant de l’aveu, de la désocultation, de causes à effets sur lesquelles nous pouvons mieux nous positionner.

 

Mieux connaître le contenu préétabl de cette loi fondamentale fait reculer ce que l’ignorance fait appeler hasard.

C’est donc là un principe universel avec quoi conjuguer de mieux en mieux plutôt que d’en laisser des pans dans quelque part obscure.
On combat mieux les contraintes prédisposés ou artificieuses en apprenant et sachant, parfois se soumettant ou parfois dépassant, par la vertu discriminatoire à connaître qui est dans et avec la vie spirituelle (de l’esprit) associée à celle psychique (de notre âme).
… Ce qui nous amène aussi au principe suivant.

 

 

 

B - PRINCIPE DE POTENTIALITÉ

 

Si nous prenons un exemple basique de l’organisation causale, on va parler de l’action agricole de semer. Mettre en terre un grain, une graine, un noyau, un pépin, un bulbe, un rhizome… a pour effet de produire, avec le temps et divers ingrédients nourriciers, une plante et une récolte.

Le principe de potentialité est nécessaire à bien des mouvements fondés sur la causalité. Dans notre exemple, il précise que si on séme des graines de carottes, de persil, de haricots…, la production sera conforme à l’espèce, une graine de courge ne produira pas une betterave rouge.


C’est là un ordre d’organisation universel qui fait que toutes choses sont des réalités immédiates en elles-mêmes, et encore renferment des possibilités, des ressources, des prédispositions, en l’occurence des germes, qui peuvent se déployer bien au-delà de la chose elle-même : une graine minuscule peut devenir un arbre de plusieurs dizaines de mètres.
Nous sommes constamment devant ce genre de prodiges, souvent la conscience trop appesantie pour réaliser rien que les merveilles du règne végétal...


Au plan de l’inanimé, on trouve du gaz combustible et du pétrole dont l’actualité mondiale nous rappelle quelle nécessité et quelle dépendance nous nous sommes créés à partir de ces produits premiers.
Et puis les pierres précieuses incluses dans des magmas rocheux informes, les métaux vils et précieux extractables, les ondes/particules quantiques et les inventions, transformations et applications technologiques qu’on peut en tirer, l’atome, l’ADN, le bois, le sable, la neige, les feuilles mortes… qu’est-ce qui ne porte pas en soi ou à partir de soi au moins une potentialité, qui s’active par quelque automatisme préréglé ou par nos propres potentialités déclenchées (physiques, psychiques ou spirituelles) !?…

 

L’eau qu’on peut conduire vers un potager ou une turbine ; l’air qu’on peut changer en électricité ou en divers gaz liquides, la terre pleine de toutes sortes de nourritures, prenez le temps vous-même de voir ainsi tout ce qui est contenant et contenu en tout…

 

 

Ce sont nos capacités tellement supérieures pour des apprentissages et acquisitions dès notre première année, découverte, écoute, mémorisation, réflexions, volonté, et par là notre aptitude à insertion intelligente, ou livrée à l’ignorance, aux erreurs ou mensonges, à l’absurde, dans le concert et carrousel de l’immédiat permanent, du présent qui file des probables, des possibles… et des impossibles.

 

 

Ces deux principes incontestables disent déjà, plus que ne le posent la physique, la chimie ou même les mathématiques, la profondeur du réel en tant qu’autre chose que des éléments matériels, bruts et seulement accidentellement juxtaposés.
Voir ainsi, c’est comme passer de la conception primitive de la cellule vue comme un grain de gel(atine) (à la fin du XVIIIe siècle), à celle « d’usine à gaz »… avec ses bureaux de services administratifs, telle que des découvertes successives l’ont montrée et que s’est vulgarisée cette complexité (dont l’ADN même n’est qu’un des éléments).

 

Et comme dit Charles Péguy : « Il faut toujours dire ce que l’on voit. Surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit».

 

 

 

C - PRINCIPE DE CORRESPONDANCE


C’est un principe tout immatériel inclus comme les précédents, bien plus qu’à notre échelle, dans la structuration même de tout l’univers.
Par exemple, la vie et mort des étoiles ne peuvent-elles pas être vues avec justesse comme en correspondance avec schéma selon lequel nous naissons et mourons comme tout ce qui est vivant !?

 

os forces psychiques, mentales ou spirituelles, discernables par leurs effets, ne sont-elles pas comme les forces cosmiques ou telluriques qui sont à la fois invisibles et bien plus puissantes que ne sont même les plus gros corps faits de matière dense !

 

Ce principe connu depuis l’antiquité a été dégradé à partir du XVIIIe siècle car, pas plus que le principe organisé et organisationnel de potentialité, il ne peut s’allier avec une vue et hypothèse seulement matérialistes et aléatoires de ce qui est.
Avoir une conscience éclairée sur ses principes fondamentaux repousse les erreurs et l’ignorance dans quoi sont retenus ceux qui croient et voient superficiellement la matière et refusent le surnaturel débordant que la vraie science, objective, qui est recherche de vérités, révèle sans cesse.

 

DEGRÉS DE REALITÉS, MULTIPLICITÉ D’EMPLOIS


Pourtant tout parle de cette réalité où les choses visibles expriment aussi des choses invisibles, où des réalités matérielles naturelles ne sont pas sans rapport singificatif avec celles plus subtiles de l’ordre du psychisme (de psyché, qui est l’âme en grec) ou spirituel.

Dans le langage par exemple se trouvent à la fois le sens propre des mots ou des phrases et le sens figuré : L’amour nous fait pousser des ailes. En montant cette entreprise je me jette à l’eau. Tu es mon soleil...

 

C’est en ce sens que loin dans l’antiquité, d’anciens sages avaient compris cette loi, comme Hermès-le-Trismégiste qui écrivit dans sa Table d’émeraude « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. »
Ce qui signifie qu’on peut connaître – et qu’il est bon de connaître – qu’il y a une correspondance entre la façon dont les choses sont disposées et se passent sur la terre et la façon dont elles existent dans la dimension spirituelle, et on peut par exemple préciser ici : notamment dans l’existence du bien et du mal, et l’inverse de leur rapport de forces… comme une surface d’eau ou un miroir renvoie une image inversée (de haut en bas ou de droite à gauche)...

 

 

C’est ainsi que lorsqu’il indique les principaux points qui peuvent être prier, Jésus fait premièrement référence à cette loi des correspondances lorsqu’il dit : Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Secondement, outre ce désir que nous sommes invités à exprimer pour voir parmi nous des retenues du mal, des améliorations, des âmes sauvées ou encore le retour du Seigneur Jésus, cette phrase dit aussi que l’analogie est rompue entre le haut et le bas. Le ciel est présenté comme essentiellement le Royaume de Dieu – où la révolte des anges est seulement une poche secondaire dans l’ensemble des cieux, alors qu’ici-bas nous avons affaire au contraire à une large suprématie de Satan et de ses démons.

 

 

CORRESPONDANCES EXISTANTES ET QU’ON PEUT INVENTER

 

Tout le symbolisme, beaucoup de parallèles et autres métaphores viennent de cette manière dont les créations ont été ordonnancées.
Les lettres ou pictogrammes formant les alphabets d’où sort l’écriture, comme encore toute notre signalétique (panneaux de circulation, informations diverses, code-barre, QR code…), tiennent de correspondances dont le principe a été manifestement prédéterminé et encore dont la dynamique est telle qu’on peut nous-mêmes en trouver ou développer entre des choses de deux natures bien distinctes.

 

C’est un précieux moyen pour appréhender le Réel (que j’écris avec un R majuscule pour dire la somme globale (« holystique ») de l’Incréé et du créé). Un moyen simple d’accès ou de mise en relation à deux sorties : D’une part avec du sens non-immédiatement ou difficilement appréhendable que nous pouvons avoir (utilement) à découvrir ; et d’autre part pour dire de manière stylisée, synthétique, résumée, rapide, des idées ou concepts autrement difficiles ou longs à partager.

 

Le poéte ancien Esope – repris notamment par J. de La Fontaine – forma de nombreuses fables où les animaux, dans des situations qui ressemblent aux nôtres, leurs traits de caractères et réactions sont employés à mettre en lumière ce qui fait nos comportements et relations génériques, avantageux ou problématiques.

 

Et pour continuer avec l’exemple des plantes qu’on sème et récolte, qui ne connaît ces parallèles entre des mouvements de la nature et cetains des nôtres : Si tu sèmes des navets, ou des salades (légumes pourvus d’un sens négatif), ne t’étonne pas de récolter des navets, ou des salades. Et qui sème le vent (un vent mauvais) récolte la tempête. Chassez le naturel, il revient au galop...

 

On peut parler de correspondances ou de figures analogiques.

 

DES OUTILS DE CONNAISSANCES ET PÉDAGOGIQUES

 

En ce sens, en bon pédagogue autant que prophète, Jésus forma et utilisa ce qu’on appelle des « paraboles » pour faire comprendre des réalités d’ordre non-matériel à partir de ce que chacun peut voir et comprendre de la nature et de son existence : Parabole du semeur de Paroles et des quatre terrains (où elles tombent, dans le fond de notre âme) – P. du riche insensé – P. du levain qui fait lever la pâte – P. des vierges sages et des vierges folles – P. de la mauvaise herbe ou ivraie parmi le bon blé – P. des noces célestes – P. du filet de pêche – une brebis perdue...

 

 

Dans toute la Bible, on trouve beaucoup d’autres images significatives, par exemple concernant l’Esprit Divin, nous sont donnés l’image de la colombe ; une peau de dauphin ; un chandelier à sept lampes ; un trésor caché ; des eaux vives ; des langues de feu ; un consolateur ; un avocat…

 

Plus encore qu’à partir de la nature et de la vie courante, de nos jours les psy de tous ordres utilisent souvent des correspondances entre d’une part des données mythologiques vues comme archétypales et émergées de la Grèce ancienne, et d’autre part des situations ou attitudes psychologiques de leurs patients et de tout un chacun.

 

Intégrer donc une connaissance vive de ce principe de correspondance est un excellent moyen pour appréhender des réalités importantes, des ordres psychique et spirituel, à partir de figures matérielles qui ainsi deviennent parlantes, découvrent un autre langage.

 

Un principe et concept très riche donc pour connaître le Réel comme des détails qui le composent, avec des mots satellites comme analogie, image, illustration, figure, préfiguration, représentation, métaphore, allégorie, parabole.

 

Il est également dit e Jésus qu’il fut sur la terre un « reflet » de Dieu (grec « Apaugasma » pour dire une brillance, un éclat semblable mais séparée de Dieu) et « l’empreinte » de l’Être Divin (grec Charakter, marque visible, expression ou reproduction exacte).

 

 

 

 

D - LE PRINCIPE D’APPEL À… OU PRINCIPE DE FOI

 

C’est, dans notre fil rouge, l’attitude du semeur qui met en terre des pommes de terre ou des grains de céréales qu’il pourrait manger, les perdant pour un temps dans la foi que, si des tongeurs souterrains, si un mauvais gel ou un printemps pourri, ne viennent pas s’opposer à ce qui l’a fait agir et le fait espérer, il aura une bonne récolte.

 

Peut-être pour beaucoup le plus surprenant des principes premiers !
Et pourtant on va un peu voir que son universalisme est vécu par chacun de nous chaque jour, et même par les animaux, rien du vivant ne pouvant s’en passer !
Comme quoi, à la manière du Monsieur Jourdain de Molière (« Le bourgeois gentilhomme ») qui faisait de la prose sans le savoir, on peu
t pratiquait une activité sans même avoir connaissance de son existence ou du mot qui la désigne.

UN PRINCIPE STARTER, DÉMARREUR, CATALYSEUR

 

Autant la loi causale et celle des potentialités sont dans l’univers comme des dépôts statiques, des inclusions inertes en elles-mêmes, autant ce principe de foi est un démarreur, un piézo et moteur des mouvements. Et des mouvements, il y en a partout !


Il a en commun avec le principe de potentialités d’être tourné vers le futur et d’en produire sans guerre de répit pour faire sans cesse du présent nouveau.

 

Pour situer au mieux de quoi il s’agit, on doit voir la différence, les deux modalités, qu’il y a dans son activation.
Car ce principe est d’abord largement un déterminisme fermé, spécifique (d’espèce), qui joue en dehors de toute conscience et volonté personnelles que son sujet peut en avoir.
D’autre part, c’est une prédisposition qui peut être déclenchée en conscience, par volonté ou par des désirs, qui peuvent être les nôtres ou ceux de tiers.


A l’observation, la frontière entre les deux modes n’est pas celle qui distingue le règne animal et de l’ordre de l’humain, mais se trouve parmi tous les êtres vivants selon un et des curseurs à la fois préréglés et pouvant être déplacés.
En d’autres termes, sous l’effet de stimulis externes, des animaux peuvent dépasser leurs limites naturelles, comme des tigres, des singes ou des orques peuvent être dressés pour jouer dans des spectacles, et chez nous ce genre de dynamique peut s’activer d’elle-même, indépendamment de toute volonté ou désir conscients, comme voler spontanément au secours de quelqu’un ou refuser sans raison apparente une proposition alléchante...

 

C’est cette force intérieure éminemment intelligente, faite d’intelligence dédiée, qui va faire que les oisillons tendent leur bec grand ouvert pour être nourris ; que le bébé cherche et trouve le sein maternel même les yeux fermés, puis cherche à se mettre debout, puis se met à lâcher la main qui le tient et se met à marcher tout seul…

Vous avez dit : Hasard(s) !?
Pour ma part je questionne : N’est-on pas là aussi dans du véritable surnaturel inclus au coeur du naturel, qui ne peut que repousser loin dans une oubliette ou trou noir la bourde magistrale qu’est l’évolutionnisme athée, fondée sur la croyance en la suffisance de quelque hasard actif comme moyen de la création et des organisations de tout l’univers !?

 


C’est par ce principe et la foi qui lui a été attribuée, que l’aigle va, au temps opportun, pousser les aiglons hors du nid et dans le vide, où leurs petites ailes font se mettre à battre et les faire voler.
L’enfant va se lancer (ou être lancé) dans l’eau pour apprendre à y nager ; il va pouvoir jouir de sa capacité/potentialité d’équilibre sur sa première trotinette ou un vélo, et même bientôt trouver intuitivement – voire plus vite qu’un adulte – comment trouver des fonctions d’un ordinateur, avancer dans des jeux de piste très éaborés, créer à son tour des applications nouvelles sophistiquées…

 

LA CAPACITE D’APPRENDRE, DU SURNATUREL PERMANENT

 

C’est par la foi qu’on apprend à l’école ce qui nous est dit – de juste ou de faux ! – ; qu’on va aux examens, à un rendez-vous d’embauche ou amoureux, qu’on a appris à conduire, à rédiger un texte, à s’exprimer par l’oral ou un art.
On va travailler tout un mois avant de toucher sa paye, ou des mois et des années pour devenir un champion sportif national ou international, un virtuose musical, un chanteur ou un acteur plébiscité, un peintre ou sculpteur original (et pas toujours aimé ou compris)…

 

« Beaucoup d’appelés mais peut d’élus » dit aussi Jésus, car les plus grands pas de foi – dans le spirituel comme dans le naturel – tiennent aussi de notre volonté à chercher, à apprendre, à croire ce qui semble incroyable (comme croire à l’opposé du visuel que la terre est ronde et tourne autour du soleil).

On peut même voir aujourd’hui que cette loi de sélection qu’inclut la foi joue à fond dans un utérus après une relation fécondante. On peut s’interroger sur la conscience qu’à un spermatozoïde pour rejoindre une promise potentielle à pénétrer au terme d’un parcours du combattant inouï ! Dans tous les cas trop de science, trop de stratégie, trop de besoins, de paramètres, trop de mécanicité et de combinaisons nécessaires pour croire que cela s’est mis en place incidemment, au petit bonheur la chance !
D’autant que si le système reproductif n’est pas complet dès l’apparition de la moindre cellule vivante, vu la briéveté d’existence de chacune, il ne peut y avoir de vie et d’espèces durables...

 

 

A l’observation, on peut saisir aussi nous concernant en rapport avec ce principe, que quantité de choses ne sont ainsi possibles que pour deux raisons :
- Parce qu’étant créé à l’image de Dieu, nous avons en nous des prédispositions créatives. Cela nous permet d’accéder à des connaissances sur ce qui est, puis à trouver des chemins de développement, des prolongements qui ouvrent des horizons nouveaux ;
- Et puis il apparaît à la réflexion ou à la connaissance, que le Dieu en question n’est pas tributaire du temps comme nous. Il est et il faut qu’il soit éternel, pour explorer dès avant les origines tout comme au fil du temps en continu, , par la pensée, toutes les évolutions et révolutions, toutes les combinaisons, les possibles et les impossibles, vers quoi nous pouvons aller au gré de toutes les générations, cultures, succès, échecs et accidents…, individuealités et groupements sociaux…

 

BASIQUE AUTANT QUE SURNATUREL CE PRINCIPE

 

C’est encore par cette dynamique singulière qu’on va chaque jour manger ce qu’on a achèté... sans être certain que cela ne va pas nous rendre malade ou empoisonner ! Le pain, la viande, les fruits et lédumes, plats cuisinés, conserves, l’eau en bouteille ou du robinet…
Quelle foi rien qu’à ce niveau basique de notre existence !

Par là on fait confiance à quantité de personnes, connues ou parfaitement inconnues.
Les mots foi et confiance (avec foi) ont la même tacine.

 

Confiance à un médecin ou à un chirurgien pour une consultation, un diagnostic ou une opération. Tien de tout cela n’est sans risque.
Plus encore on nous prépare dans le domaine de la santé à faire confiance en des machines pilotées par des programmes, des robots qui sont censés en savoir plus que nous à partir de quelques questions ou tests…

 

De la sorte on est plongé dans cette manière de vivre notre quotidien comme si tout était assurément bien et bon et sécurié, alors qu’on ne peut être sûr de rien, ni d’une personne ni d’un diagnostice ni d’une médicament ni d’une machine. On est là de plus en plus dans un contrat social tacite qui dépasse très largement le raisonnable, le rationnel, l’avéré, en observant et sachant que les valeurs morales qui font la valeur morale des personnes sont globalement en dégringolade sous la pression de centres d’intérêt hautement égocentrés, de l’appât de gains rapides, de la manipulation, de la peur ou de l’insécurité croissantes, en même temps chez nous et chez celles et ceux dont nous dépendons.


Pensons encore à la conduite de tous ceux qui nous croisent sur la route. Sont-ils en état de lucidité suffisante ou d’ébriété ? Et nous-même ? Et trop s’intérroger, prendre peur, devient un problème qui peut être pire que l’exercice irréfléchi du principe d’appel à bouger.

 

Quelle foi face à une personne avec qui on pense s’associer pour fonder une famille ou ouvrir ou reprendre une entreprise !
Un producteur qui envoie une récolte ou un stock fabriqué via un transporteur avant d’être largement payé  ; Celui qui achète en gros de grandes quantités pour revendre au détail. Acheter encore des esaims d’abeille d’un autre continent alors que le varois décime régulièrement les colonies. Faire encore un crédit (côté banque et côté emprunteur), financet le tournage d’un film, gérer son revenu ou son épargne, quitter la ville pour démarrer une nouvelle existence à la campagne ave des chèvres en apprenant à faire des fromages ; miser sur un engagement participatif dans le champ des transitions  ; compter sur un RSA ou autres allocations d’État sans quoi on est incapable de surivre ; organiser un grand voyage ; conclure en accord en se tapant dans la main ou en signant un traité ; construire une nouvelle voiture ou une fusée ; quitter un métier pour une reconversion professionnelle ; écrire un livre ou un scénario avant d’avoir un éditeur,
monter sur une scène, faire de la recherche (journalistique ou scientifique avec ou sans salaire) ; vivre à partir d’appel au don, entrer dans l’occultisme par jeu ou curiosité sans connaître les terribles dangers tapis derrière une belle devanture ; se laisser prendre dans une arnaque par téléphone ou internet ; se lancer sur une intime conviction ou avec un grand doute...

 

TOUS CROYANTS, QU’ON Y CROIT OU PAS !

 

Croire en l’autre, en un produit ou objet et croire en soi, tant dans le quotidien que pour l’aventure, des défis, des appel à… combien de mouvements sensés ou complétment déraisonnés sur la plage immense que bornent d’un côté les peurs, méfiance ou trop la réserve, de l’autre une crédulité naïve, l’irréflexion, des réactions qu’on ne maîtrise pas, la convoitise qui domine la raison, des tentations bien orchestrées par des forces qui ne veulent ni notre bien ni un accès à des connaissances éclairantes, reposantes, à de vérités qui libèrent, à des aides honnêtes et efficace.


« Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait. » Mark Twain.
Ou encore : Ils présupposaient que c’était ainsi, alors ils l’ont découvert (comme l’histoire de la découverte du boson de Higgs).

 

 

Par naïveté donc, insouciance ou ignorance, passion, intuition, prédisposition, déterminisme ou réflexion, calculs, comparaison, déduction, extrapolation, chance, « sirendipté », obligation, besoin, erreur, mensonge, illusion, rêve (bon ou muvais), loisir, goût du risque, accident, révélation, songe, vision, signe..., les termes faisant le fond, la catalyse d’une mise en mouvement sont nombreux, comme nous sommes naturellement nombreux à vivre tout cela sans même les rudiments de la connaissance de soi et des tenants et aboutissants du monde et de nos existences... fragiles, temporaires, pas souvent suffisantes là où il faudrait.

On fait ainsi confiance quand on est bin et quand on est mal, à l’alcool ou à une drogue, à une icône ou une idole qu’on affiche sur un mur ; aux orientations que nous donnent publicités et propagandes médiatiques comme on fait confiance au réveil pour se lever à la bonne heure... après s’être couché dans la foi peut-être en un somnifère pour dormir et la foi naturelle qu’on va se réveiller le lendemain matin.


Une dualité de tous les jours en fait, entre une raison fabriquée et une foi déterminée ou volontairement dynamisée. Des mécanicités qu’on s’est données ou qui se sont données, qui sont une bonne chose dans bien des cas, sans quoi on ne pourrait même pas vivre… sauf qu’il ne faut pas s’en contenter. Sauf que notre part de resonsable de soi (et des autres) doit s’étendre dans plus de nos réactions spontanées, dans plus de nos connaissances, réflexions, choix, prises de décisions…

Car faute de connaissance, il peut y avoir du risque autant en traversant une rue sur un passsage piéton où le feu est au vert, qu’on grillant le feu rouge d’un carrefour en deux ou quatre roues. En allant à son travail qu’en faisant du parapente ou en montant dans un avion ou sur un paquebot pour changer de continent…
On peut en écrire des livres...

 

LA FOI INCLUT LE RISQUE, UNE PRIME NCERTITUDE

 

La notion de foi n’est donc pas sans celle de risque et d’incertitude, puisque ce monde est basiquement fait de la sorte : relatif, tributaire du combiné espace-temps et d’un bon nombre de lois déterminantes, incertain et incomplet… ce ui fait du coup que la science comme moyen de connaissance ne peut elle non plus être absolûment certaine, complète et orédictive (voir les 3 et 1 arguments de cette relativité).
D’où un besoin qui apparaît un jour ou l’autre de chercher… Dieu ; s’il existe et lequel il est parmi les diverses représentations, souvent repoussantes, qui s’étalent ici et là. Le chercher et le trouver. Vouloir y croire – s’il existe – avant d’en pbtenir la et des révélations par expérience.


Croire avant de savoir vraiment, d’expérimenter, est donc cette dynamique qui donne de faire un pas dans le vide, un plongeon comme un saut à l’élastique ou à ski – dans un inconnu qui est (comme) inexistant.
Un vide en fait comme celui de l’univers (qui est plein d’énergies) pas si vide que cela puisque tout de ce monde (livré au temps par une vitesse de la lumière telle qu’elle est limitée) est régi de façon pérenne, voire éternelle, par ses lois, prédispositions, vérités immuables et curseurs de régulation d’équilibres, qui ne suivent pas les cprices, modes, innovations géniales ou délires collectifs des sociétés et civilisations.

 

Ce principe est une dynamique qui ne demande qu’à se déployer, à conquérir des espaces nouveaux, à rendre le futur plus attractif et le présent plus riche de sens et d’actions bonnes.
Ce principe invite à des espaces, acquisitions et expériences sans limite, sans frontière entre matériel, psychique et spirituel. Car existent la fixité de cet ordre dynamisant, et son continu possible, des applications qui peuvent courir de la découverte des effets nocifs du déni ou du mensonge jusqu’aux confins quantiques ou astronomiques de l’univers ; de la perception de notre être le plus profond à une communion sans fin avec Dieu.


A nous de mettre en action des moteurs de recherche capables de nous relayer. Au rang de quoi on a l’internet comme étant la plus grande médiathèque du monde, où forcément se trouvent des pistes frayées, le chemin tracé, des mots-clés, des paroles justes à lire ou à écouter, des vidéos porteuses de la saine doctrine venue de ce Dieu, toutes choses que notre coeur et l’amour de la vérité sont capables de reconnaître comme étant ce qui est bon, véridique, juste, possiblement décapant comme agréable et enthousiasmant. Le vivant de toujours.

 

 

TOUS ESSENTIELLEMENT CROYANTS, UNE ÉVIDENCE

 

Ainsi nous pouvons comprendre que sans ce principe « inside » et insigne, originellement intégré au vivant comme les autres principes et lois fondamentales qui régissent l’univers et la moindre de ses parties, il n’y aurait pas le moindre mouvement ayant un objectif défini, existant, connu ou à déouvrir.
C’est ainsi que par le prophète Jérémie, Dieu dit à qui se trouve à la bonne place au moment opportun : « Je connais les projets que j'ai formés sur vous, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance. Vous m'invoquerez, et vous partirez; vous me prierez, et je vous exaucerai. Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre coeur. Je me laisserai trouver par vous, dit l'Eternel... » Jérémie chapitre 29, 11...

 

Foi de Dieu qui nous laisse libre de faire, penser, dire beaucoup de choses, mauvaises ou bonnes, et foi qu’il attend et veut stimuler en nous pour que s’établisse entre Lui et nous une vraie relation, vivante, d’esprit à Esprit, capable de nous conduire dans toujours plus de vérités, de compréhnsion, de sens, de révélations, d’enthousiasme aussi, de paix surnaturelle, de joie authentique et d’amour (même s’il a été tué en nous).

à suivre N.N.U. 2 : VOILÉ, LE RÉEL EST BIEN PLUS QUE LE MATÉRIEL >> ici <<

Claude T. © Juin 23

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9 juin 2023 5 09 /06 /juin /2023 19:38

Cet article est la suite de >> celui-ci <<

Aussi fort que Dieu le Hasard... s'il avait été la vraie origine de la création et des organisations inouïes de l'univers...

 

On a vu que la force de certains fake news réside dans deux facteurs :

- Elle n’est mise en cause par personne – par négligence, insouciance, lasssitude,… ou par contrainte totalitaire de la par de ceux qui en sont l’origine et/ou la véhiculent),

- Elle contient une ou des parts de vérité qui font qu’on gobe le tout sans discrimination ni approfondissement.

 

Dans le cas de la théorie de l'Evolution il s'agit d'une pensée saugrenue devenue doxa artificieuse d'une culture qui n'entand pas laisser sa place au Dieu créateur - ce qu'il respecte compte tenu de la liberté dont il nous a pourvus et encore des temps qu'il laisse courir ou arrête de son propre gré quand il estime que le mal produit devient trop prégnant et globalement trop injuste.
Cette hypothèse tire donc sa force uniquement de la place que certains (une minorité active) lui ont donnée indépendamment d'une quête ou d'un respect des vérités scientifiques et de l'amour de la vérité qui, dans un univers dominé par les injustices et l'iniquité qui habite nos coeurs, est une vraie valeur très peu activée.

 

La preuve : Même la découverte que l'univers a eu un commencement - contrairement à ce qui se croyait depuis le XVIIIe siècle en Occident (univers statique et éternel) et en conformité avec ce que la Bible affirme depuis des millénaires -, n'a pas suscité le sursaut général qui aurait normalement pu suivre ce retournement et cette nouvelle vue scientifique majeure.


C'est dire
a - le manque de force courante, basique, ordinaire, du plus grand nombre comme d'une minorité qui peut être attachée à ce qui est vrai et juste,

b - et l'autorité qui est donnée à ceux qui défendent un ordre établi sur fond de manipulations, des mensonges, l'ignorance, la maîtrise tmain mise sur) des informations, et autres corruptions figuratives des forces les plus actives sur la Terre... tant que le vrai Dieu laisse l'humain et l'angélique maléfique se tutoyer ;

c - et c'est encore dire que la lumière - la compréhension qui rend libre - n'est pas dans la dispensation actuelle où Dieu ne traite pas des changements qui nous sont directement bénéfiques de manière holiste, globale, collective, mais individuellement (d'où encore ce genre d'article pour certains qui sont malgré les environnements prégnants, désireux de connaître davantage le monde et ses tenants et aboutissants selon ce qui est vrai).

 

J'ai donc soulevé la question pour qui veut accéder à plus de vérité/liberté, de l'évolutionnisme en tant que pivot artificiel et artificieux pour enraciner dans une juste injuste du Réel, qui veut évincer le vrai Dieu au profit non des humains, mais de Satan le faux dieu de ce monde qui maintient son pouvoir sur nous par le mensonge, l'ignorance, la tromperie ou la peur (via diverses formes de violences).
Ce temps ne va durer bien plus longtemps - qui double et pervertit le sens de la présente dispensation divine (économie ou ère chrétienne de la Grâce), que vont suivre très vite (une affaire de peu d'années maintenant) des changements planétaires d'une ampleur et aux effets jamais atteints,
- dans le sens du bien (1ère résurrection des morts "zn Christ" et élévation des chrétiens/disciples qui auraont attendu cet événement - voir autres articles), mais aussi
- dans le sens de malheurs terribles (dont l'idée de 3e guerre mondiale, déjà amorcée en Ukraine, donne une idée sans qu'on puisse réaliser ce qui va soudain se produire - voir prophéties bibliques).

 

Donc pour l'heure, on parle ici de l'évolutionnisme dont il convient de se libérer pour mieux se trouver dans ce monde, pour avancer dans les meilleures adéquations avec ce et ceux qui nous entourent, et à la suite dans ce que sera notre devenir post mortem, éternel... "car si notre foi n'est que pour ce monde, elle est vaine" 1ère lettre aux Corinthiens chap. 15.

 

PAS D'ACTION SANS ÉNERGIE !

Ce qui est à l'origine de ce monde et des mouvements de ses organisations et évolutions, est au minimum une force dynamique prodigieuse, active en soi et productive, c'est-à-dire une énergie.

Seconde remarque et invitation à une réflexion sérieuse, pourquoi et comment ce qui ne serait que du et des hasards dotés d'une telle énergie créatrice et organisatrice,   se trouveraient-ils tourner vers de la recherche ?

 

Les moteurs de recherche de la toile nous aident à réfléchir et à interroger des postulats comme la théorie évolutionniste que les connaissances scientifiques croissantes ne valident jamais !?

Réfléchissez encore si vous avez quelque doute, puis balayez de votre âme, comme une mauvaise et trop vieille poussière, cette fake news qu’est la dite théorie évolutionniste ; en réalité une doctrine non-scientifique (pseudo et fausse information scientifique) au service d’une idéologie qui rejette la pensée de Dieu plus qu'elle ne se soucie de vérités scientifiques.

 

Cependant, le but de cet article n'est pas de discréditer une fraction du genre humain, mais plutôt de rechercher - avec intelligence et non au hasard - les raisons les plus fondamntales de cette dysfonctionnalité présentée comme une vérité scientifique avérée.

 

Pour compléter l'article qui fait 1ère partie de celui-ci, nous allons plonger notre regard dans la profondeur céleste où se trouve, de manière non-physique mais spirituelle, des réalités invisibles très puissantes qui régissent en réalité l'essentiel de ce qui se trame et passe sur notre Terre.

 

POURQUOI UNE TELLE PERSISTANCE DANS L'ERREUR

 

L’évolutionnisme apparaît objectivement comme une fake news – c’est-à-dire un mensonge plus que de la méconnaissance –, car si elle n’eut été qu’une simple erreur ou insuffisance, elle aurait été découverte, exposée, mieux controversée et redressée depuis longtemps.
Elle est en réalité de l’ordre du complot, affirmation qui n'a du sens que dans la mesure où le complot n’est pas une affaire de certains êtres humains contre d’autres, d’une minorité puissante contre une majorité subjuguée.

 

Mais le complot en question trouve sa source dans une dimension supérieure occulte, non-humaine, de l’ordre de ces extra-terrestres que sont les aanges déchus ou démons.
C’est là-haut, dans un ciel transversal qu’est situé le (Q.G. du) problème… et plus généralement et originairement le point de départ de la plupart des problématiques de la Terre.
Nos ennemis à tous sont des ennemis spirituels, des esprits aussi invisibles que l'air que nous respirons ou que des forces telluriques ou cosmiques, avec des poussées de malignité diversement destructrices dont les ouragans et autres déréglements climatiques graves sont des illustrations.

 

Ce que la Bible énonce ainsi, afin que nous ne tombions pas dans le piège de l'ignorance programmée et contrôlée, et et de la détestantion les uns par les autres : « fortifiez-vous dans le (Dieu) Seigneur, et par sa force toute-puissante. 11 Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. 12 Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. » Lettre aux Ephésiens, ch. 6.

 

Si vous ressentez le besoin de vous recentrer sur le Dieu véritable, le Créateur du monde et Rédempteur de ceux qui se confient en lui, ici >> un guide pour une prière personnelle et efficace << 

 

Bien cordialement,

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