TOUTE CONNAISSANCE ET TOUTE FOI VIENNENT DE CE QU'ON ENTEND, QUI EST VÉRITÉ, OU ERREUR OU MENSONGE...
Pour accéder au sens - Connais-sens -, il faut connaître des vérités.
C'est vrai dans tous les domaines, de la foi comme des sciences.
>> Une playlist de chants chrétiens << < qui témoigne d'une foi réelle au Dieu vivant.
Un Dieu sévère mais bon en qui on peut trouver refuge, le sens de notre existence dans ce monde d'autant plus chaotique que Dieu et ses lois en sont écartés.
Ce n'est pas qu'il n'y a pas de Dieu, mais il nous laisse encore un peu de temps pour faire des choix importants entre le Bien et le mal,
pour s'approcher de lui,
pour trouver en lui un vrai secours au milieu d'un univers de moins en moins humain - de plus en plus démonisé donc -, qui se délite, se cache derrière des machines, dont les valeurs de décomposent, où les libertés se perdent d'autant plus qu'on veut s'en accorder, où l'humanisme disparaît d'autant plus qu'on voudrait se montrer humain... sans avoir besoin de Dieu.
Car il n'y a pas d'humanité véritable, stable, durable, juste, sans Dieu qui est la lumière, le discernement du bien et du mal, la vie avec ses forces et ses équilibres.
Car il n'y a pas de justice sociale qui soit équitable sans Dieu,
Car aussi c'est seulement aux yeux de Dieu et de son Esprit que chaque individu est vu correctement et peut entrer dans sa juste valeur :
Une valeur qui provient
1- d'abord de la juste reconnaissance de notre réalité habitée par une force qui nous porte bien plus qu'on ne voudrait au mal, aux divisions, aux querelles, aux colères ou à la démission ;
reconnaissance donc de nos insuffissances et/ou misère intérieures, ne serait-ce déjà que pour gérer notre quotidien et nos relations les plus obligées (de couple, de parent(s), de voisinage, de travail...) ;
2 - Ensuite valeur qui procède de notre foi.
Foi que l'amour de Dieu peut être bien plus grand et fort que toutes les justices et injustices, tout qui ne peut que nous condamner à cause de nos propres fautes, de nos manquements au bien, de notre dureté de coeur, de nos transgressions des lois, de notre instabilité dans nos décisions...
QUE MANQUE-T-IL ?
Il ne manque donc que nous - toi comme moi précédemment - pour permettre à Dieu de se montrer vivant et bon.
Il ne manque que notre désir de changer de camp, de passer de la domination du mal et des maux sous l'autorité protectrice d'un Dieu qui se montre Dieu pour qui se confie de tout coeur en lui.
Connaissez-vous cette parole - et la croyez-vous - pour que vous passiez du camp des faux-semblants, des ignorants, des perdants, des exploiteurs/exploités, des vecteurs que Satan et ses démons peuvent utiliser pour commettre toutes sortes de vices ou autre horreur ? >> à lire ou écouter ici <<
Êtes-vous déjà passé-e du camp des mortels que la mort peut surprendre à tous moments (pour quelle destination pour votre âme/ego) dans le camp où rien de préjudiciable ne peut nous arriver sans que Dieu le voit, le contrôler et peut changer tout mal en bien supérieur à ce qu'on a connu jusque là ?
Ce passage de la mort (spirituelle, puis physique) ne peut se faire sans... notre adhésion au plan (rédempteur) du Dieu est la vie éternelle - ce qu'il a prouvé historiquement par Jésus à plusieurs reprises, en ressuscitant des morts et en étant lui-même ressuscité par l'Esprit-Saint souverain...
>> playlist où il ne manque que vous pour saisir par la foi des paroles qui peuvent devenir celles de "votre" salut <<
Outre qu'il est la porte par laquelle le pécheur égaré entre en une relation apaisée et de filiation avec Dieu, Jésus se déclare comme étant le bon berger di psaume :
« Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. 12 Mais le mercenaire, qui n'est pas le berger, et à qui n'appartiennent pas les brebis, voit venir le loup, abandonne les brebis, et prend la fuite; et le loup les ravit et les disperse. 13 Le mercenaire s'enfuit, parce qu'il est mercenaire, et qu'il ne se met point en peine des brebis. 14 Je suis le bon berger. Je connais mes brebis, et elles me connaissent, 15 comme le Père me connaît et comme je connais le Père; et je donne ma vie pour mes brebis. 16 J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie; celles-là, il faut que je les amène; elles entendront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul berger. 17 Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. 18 Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père. »
Un berger supervise les brebis entrées sous son secours et sa garde : il les nourrit en les conduisant vers de la nourriture riche et abondante :
Psaume 23 « Cantique de David. L'Eternel est mon berger : je ne manquerai de rien.
2 Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles. 3 Il restaure mon âme, Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom.
4 Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi: Ta houlette et ton bâton me rassurent. 5 Tu dresses devant moi une table, En face de mes adversaires; Tu oins d'huile ma tête, Et ma coupe déborde.
6 Oui, le bonheur et la grâce m'accompagneront Tous les jours de ma vie, Et j'habiterai dans la maison de l'Eternel Jusqu'à la fin de mes jours. »
Si les brebis et autres agneaux ou béliers mangent de l'herbe, en tant que membres du Corps vivant, mystique, de ce Sauveur, nous mangeons du pain, que Jésus est en lui-même
La foi doit apprendre à se nourrir des paroles de Dieu et de ce fils engendré en tant que race humaine. Sur ce plan Jésus a donné sa vie comme du pain...
H - « Je suis le pain de vie »
C'est une autre des paroles qui ont le plus subjugué les gens de la foule, de ses disciples même et des religieux qui l'entendirent.
« - Que devons-nous faire, pour faire les oeuvres de Dieu ? 29 Jésus leur répondit : L'oeuvre de Dieu, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé. 30 Quel miracle fais-tu donc, lui dirent-ils, afin que nous le voyions, et que nous croyions en toi ? Que fais-tu ? 31 Nos pères ont mangé la manne dans le désert, selon ce qui est écrit : Il leur donna le pain du ciel à manger.
32 Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, Moïse ne vous a pas donné le pain du ciel, mais mon Père vous donne le vrai pain du ciel; 33 car le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde. 34 Ils lui dirent : Seigneur, donne-nous toujours ce pain.
35 Jésus leur dit : Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif. 36 Mais, je vous l'ai dit, vous m'avez vu, et vous ne croyez point. 37 Tous ceux que le Père me donne viendront à moi, et je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi; 38 car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé. 39 Or, la volonté de celui qui m'a envoyé, c'est que je ne perde rien de tout ce qu'il m'a donné, mais que je le ressuscite au dernier jour. 40 La volonté de mon Père, c'est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour.
41 Les Juifs murmuraient à son sujet, parce qu'il avait dit : Je suis le pain qui est descendu du ciel. 42 Et ils disaient : N'est-ce pas là Jésus, le fils de Joseph, celui dont nous connaissons le père et la mère ? Comment donc dit-il : Je suis descendu du ciel ? 43 Jésus leur répondit : Ne murmurez pas entre vous. 44 Nul ne peut venir à moi, si le Père qui m'a envoyé ne l'attire; et je le ressusciterai au dernier jour. 45 Il est écrit dans les prophètes : Ils seront tous enseignés de Dieu. Ainsi quiconque a entendu le Père et a reçu son enseignement vient à moi. 46 C'est que nul n'a vu le Père, sinon celui qui vient de Dieu; celui-là a vu le Père. 47 En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi a la vie éternelle. 48 Je suis le pain de vie. 49 Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et ils sont morts. 50 C'est ici le pain qui descend du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point. 51 Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde.
52 Là-dessus, les Juifs disputaient entre eux, disant : Comment peut-il nous donner sa chair à manger ? 53 Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'avez point la vie en vous-mêmes. 54 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour. 55 Car ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang est vraiment un breuvage. 56 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi, et je demeure en lui. 57 Comme le Père qui est vivant m'a envoyé, et que je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi. 58 C'est ici le pain qui est descendu du ciel. Il n'en est pas comme de vos pères qui ont mangé la manne et qui sont morts : celui qui mange ce pain vivra éternellement. » Jean 8.28...
Un long texte à la mesure de l'importance de son contenun tout spirituel, qui parle d'un Dieu qui se donne, et non d'une religion ou système religieux qui réclame certes de la croyance (religiosité de l'âme), mais pas forcément d'une foi typiquement spirituelle, de et par l'esprit.
Cette image de Jésus en tant que nourrissant l'âme, la foi et la vie éternisée, est si importante qu'avec celle du sang – versé sur la croix en tant que prix de la justice qui justifie celui qui croit –, Jésus a institué « la Sainte-Cène » ou « repas du Seigneur » comme mémorial à renouveler quand l'Esprit le met à cœur aux anciens ou membres de l'Eglise. (1Corinthiens 11.2326 – 10.16,17).
I - « JE SUIS »
Dans une nouvelle confrontation avec les religieux gardiens de l'orthodoxie de la religion fondée sur les Paroles de Dieu délivrées par Moïse, on entend Jésus dirent les paroles uivantes dont on comprend ce qu'elles produisirent sur eux :
«En vérité, en vérité, je vous le dis, si quelqu'un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. 52 Maintenant, lui dirent les Juifs, nous connaissons que tu as un démon. Abraham est mort, les prophètes aussi, et tu dis : Si quelqu'un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. 53 Es-tu plus grand que notre père Abraham, qui est mort ? Les prophètes aussi sont morts. Qui prétends-tu être ?
54 Jésus répondit : Si je me glorifie moi-même, ma gloire n'est rien. C'est mon Père qui me glorifie, lui que vous dites être votre Dieu, 55 et que vous ne connaissez pas. Pour moi, je le connais; et, si je disais que je ne le connais pas, je serais semblable à vous, un menteur. Mais je le connais, et je garde sa parole. 56 Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu'il verrait mon jour : il l'a vu, et il s'est réjoui. 57 Les Juifs lui dirent : Tu n'as pas encore cinquante ans, et tu as vu Abraham ! 58 Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu'Abraham fût, je suis.
59 Là-dessus, ils prirent des pierres pour les jeter contre lui; mais Jésus se cacha, et il sortit du temple. » Jean 8.51...
Là Jésus se déclare être Dieu lui-même ! Il place ses paroles à la hauteur de celles prononcées par Dieu sur le Mont Sinaï, concluant qu'il est qui il est depuis avant l'existence d'Abraham qui véçut près de deux mille en arrière.
La formule « Je suis » prends ici une signification absolue, parce qu'elle est la réplique de ce que Dieu dit à Moïse quand il se présenta à lui sur la même montagne alors qu'il n'était encore qu'un berger :
«L'ange de l'Eternel lui apparut dans une flamme de feu, au milieu d'un buisson. Moïse regarda; et voici, le buisson était tout en feu, et le buisson ne se consumait point.
3 Moïse dit : Je veux me détourner pour voir quelle est cette grande vision, et pourquoi le buisson ne se consume point. 4 L'Eternel vit qu'il se détournait pour voir; et Dieu l'appela du milieu du buisson, et dit : Moïse ! Moïse ! Et il répondit : Me voici! 5 Dieu dit : N'approche pas d'ici, ôte tes souliers de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est une terre sainte. 6 Et il ajouta : Je suis le Dieu de ton père, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob. Moïse se cacha le visage, car il craignait de regarder Dieu.
7 L'Eternel dit : J'ai vu la souffrance de mon peuple qui est en Egypte, et j'ai entendu les cris que lui font pousser ses oppresseurs, car je connais ses douleurs. 8 Je suis descendu pour le délivrer de la main des Egyptiens, et pour le faire monter de ce pays dans un bon et vaste pays, dans un pays où coulent le lait et le miel, dans les lieux qu'habitent les Cananéens, les Héthiens, les Amoréens, les Phéréziens, les Héviens et les Jébusiens. 9 Voici, les cris d'Israël sont venus jusqu'à moi, et j'ai vu l'oppression que leur font souffrir les Egyptiens. 10 Maintenant, va, je t'enverrai auprès de Pharaon, et tu feras sortir d'Egypte mon peuple, les enfants d'Israël.
11 Moïse dit à Dieu : Qui suis-je, pour aller vers Pharaon, et pour faire sortir d'Egypte les enfants d'Israël ? 12 Dieu dit : Je serai avec toi; et ceci sera pour toi le signe que c'est moi qui t'envoie : quand tu auras fait sortir d'Egypte le peuple, vous servirez Dieu sur cette montagne.
13 Moïse dit à Dieu : J'irai donc vers les enfants d'Israël, et je leur dirai : Le Dieu de vos pères m'envoie vers vous. Mais, s'ils me demandent quel est son nom, que leur répondrai-je? 14 Dieu dit à Moïse : Je suis celui qui suis. Et il ajouta : C'est ainsi que tu répondras aux enfants d'Israël : Celui qui s'appelle "je suis " m'a envoyé vers vous. 15 Dieu dit encore à Moïse : Tu parleras ainsi aux enfants d'Israël : L'Eternel, le Dieu de vos pères, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob, m'envoie vers vous. Voilà mon nom pour l'éternité, voilà mon nom de génération en génération. 16 Va, rassemble les anciens d'Israël, et dis-leur: L'Eternel, le Dieu de vos pères, m'est apparu, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. »
A ce moment, le Dieu qqui s'est révélé à Abram déclare en hébreu « Hayah » (un vocable de quatre lettres, un premier tétragramme), ce qui signifie « Je suis qui je suis » ou « Je suis celui qui est ».
On ne peut pas dire qu'il s'agit d'un nom propre, mais plutôt qu'une affirmation de ce qu'il est éternellement, par opposition à tout le reste, qui a un commencement.
On voit d'autant plus qu'il s'agit d'un verbe – le verbe Être –, qu'au verset 15, reprenant cette définition essentielle de sa personne, ce Dieu l'emploie à la troisième personne quan il dit à Moïse comment parler de lui : Tu leur diras « Yawhé », en hébreu un autre tétragramme verbal qui exprime la même idée d'éternité absolue et en même temps de dynamique en rapport de l'écoulement du temps, qu'on traduit par la formule « Celui qui est, qui était et qui vient ».
Et c'est précisément l'expression que Jésus emploie face aux religieux, déclarant par là qu'il est à la fois cet « ange de l'Eternel » du verset 2 (de l'ébreu malak qui peut se traduire par ange, messager ou envoyé), et l'Eternel lui-même comme il en est ensuite parlé.
On parle pour ce genre d'apparition de Dieu sous forme matérialisée ou humaine de théophanie (du grec théos : Dieu, et phaïnesthaï « se montrer »).
Dans l'épître du Nouveau Testament adressée aux Hébreux, il est écrit au sujet de l'apparition de Jésus : «Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, 2 dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, qu'il a établi héritier de toutes choses, par lequel il a aussi créé le monde, 3 et qui, étant le reflet de sa gloire et l'empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés et s'est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts, 4 devenu d'autant supérieur aux anges qu'il a hérité d'un nom plus excellent que le leur. 5 Car auquel des anges Dieu a-t-il jamais dit : Tu es mon Fils, Je t'ai engendré aujourd'hui ? Et encore : Je serai pour lui un père, et il sera pour moi un fils ? 6 Et lorsqu'il introduit de nouveau dans le monde le premier-né, il dit : Que tous les anges de Dieu l'adorent !7 De plus, il dit des anges : Celui qui fait de ses anges des vents, Et de ses serviteurs une flamme de feu. 8 Mais il a dit au Fils : Ton trône, ô Dieu, est éternel; Le sceptre de ton règne est un sceptre d'équité; 9 Tu as aimé la justice, tu as haï l'iniquité; C'est pourquoi, ô Dieu, ton Dieu t'a oint D'une huile de joie au-dessus de tes égaux. 10 Et encore : Toi, Seigneur, tu as au commencement fondé la terre, Et les cieux sont l'ouvrage de tes mains; 11 Ils périront, mais tu subsistes; Ils vieilliront tous comme un vêtement, 12 Tu les rouleras comme un manteau et ils seront changés; Mais toi, tu restes le même, Et tes années ne finiront point. ».
Pus tard, après sa glorification, Jésus fait monter l'apôtre Jean jusqu'à son trône céleste d'où il ui révèle par sept visions ce qui va devenir le livre de l'Apocalypse (du grec apocalupsis, qui veut dire révélation).
Et Jean rapportant ce qu'il a vu, écrit : « Jean aux sept Eglises qui sont en Asie : que la grâce et la paix vous soient données de la part de celui qui est, qui était, et qui vient, et de la part des sept esprits qui sont devant son trône, 5 et de la part de Jésus-Christ, le témoin fidèle, le premier-né des morts, et le prince des rois de la terre ! A celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, 6 et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles ! Amen !
7 Voici, il vient avec les nuées. Et tout oeil le verra, même ceux qui l'ont percé; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui. Oui. Amen ! 8 Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout-Puissant. »
On a encore là des expressions de la divinité absolue de Jésus en ce qu'il a été, est et sera de toute éternité la Parole de Dieu « la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. » (Jean 1.1), capable de se montrer (même pour figurer la trinité de Dieu aux yeux d'Abraham (Genèse???), et finalement capable de s'incarner pour former un fils à la fois de Dieu et de l'homme, devenu par sa mort, résurrection et glorification, Dieu-homme ou Homme-Dieu.
C'est en cela que la Bible dit encore que le nom de Jésus (qui se décline sous de nombreuses formes selon les langues) est le nom le plus haut qui soit prononçable !
« Sachez-le tous, et que tout le peuple d'Israël le sache! C'est par le nom de Jésus-Christ de Nazareth, que vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts, c'est par lui que cet homme se présente en pleine santé devant vous. 11 Jésus est La pierre rejetée par vous qui bâtissez, Et qui est devenue la principale de l'angle. 12 Il n'y a de salut en aucun autre; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. » Livre des Actes, 4.10...
Puisse cette vue et vie de Jésus changer votre existence et vie temporaires par une compréhension éclairée et acceptée de qui est Dieu, par exception avec toutes les réalités invisibles ou visibles qu'il a créées. Car c'est ainsi, par une foi toute personnelle, qu'on est joint à Dieu dans sa divinité et éternité...
Les 9 et 12 « Je suis » (eimi dans la langue du Nouveau Testament) sont en résonnance profonde avec qui est Dieu en lui-même, et en quoi les mots qui apparaissent ainsi expriment en quoi consiste ses faces dynamiques.
En plus de ces affirmations, le nom même de Jésus est porteur de sens. Dans la langue hébraïque de son pays, c'est Yeshoua, ce qui veut dire Salut ou Dieu sauve.
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* Toutess ces paroles se trouvent dans le Nouveau Testament, dans la Bonne Nouvelle selon Jean : ch. 4. 25,26 – 6.35 – 8.12 – 8.58 – 10.9 – 10.11 – 11.25 – 14.6 – 15.1
D – « Je suis la porte »
On remarque là aussi que Jésus ne se présente jamais comme un ou une, mais comme Le ou La., on comprend qu'il dit qu'il est incomparable ; qu'il n'y a pas de choix possible entre lui et d'autres (personnes ou systèmes) : Avec Jésus il s'agit de croire en lui comme il se définit et comme il parle de Dieu, tout le reste étant comme croire en rien. Cela lui a valu d'être mis à mort – pour le faire taire quant au péremptoire des vérités qu'il disait –, et cela nous bouscule encore quand on en vient àchercher le sens et le chemin le meilleur pour vivre notre existence déjà ici-bas.
Quand Jésus dit être la porte, il parle de notre séparation naturelle d'avec Dieu, et du passage – unique – par lequel il est possible d'entrer en relation sensible, tangible, avec Dieu, de son Esprit à notre esprit (et inversement) et non par notre psychisme (du grec psyché qui est l'âme, alors que l'esprit est pneuma).
«En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui n'entre pas par la porte dans la bergerie, mais qui y monte par ailleurs, est un voleur et un brigand. 2 Mais celui qui entre par la porte est le berger des brebis. 3 Le portier lui ouvre, et les brebis entendent sa voix; il appelle par leur nom les brebis qui lui appartiennent, et il les conduit dehors. 4 Lorsqu'il a fait sortir toutes ses propres brebis, il marche devant elles; et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix. 5 Elles ne suivront point un étranger; mais elles fuiront loin de lui, parce qu'elles ne connaissent pas la voix des étrangers.
6 Jésus leur dit cette parabole, mais ils ne comprirent pas de quoi il leur parlait. Jésus leur dit encore : En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis. 8 Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands; mais les brebis ne les ont point écoutés. 9 Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé; il entrera et il sortira, et il trouvera des pâturages. 10 Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance. »
Jésus dit ici qu'il a déjà été lui-même la porte, en ce sent qu'il a dû franchir en premier le seuil de la mort pour ouvrir le passage du temporel à l'éternel, de nos existences terrestres à la sphère divine appelée « Royaume de Dieu » ou « Royaume des cieux ».
En d'autres termes, cette porte a la forme de la croix où Jésus a été mis à mort, porte d'entrée dans la mort donc dont l'épaisseur s'étend, comme cela existe en astronomie, jusqu'au « trou noir » du tombeau.
Que faire pour notre part devant une telle porte ?
Croire !
Croire que Jésus dit vrai et joint son implication personnelle totale à ce qu'il affirme.
« C'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. 9 Ce n'est point par nos oeuvres, afin que personne ne se glorifie. » Ephésiens 2.8
Et « la foi vient de ce qu'on entend, ce qu'on entend venant de la parole de Christ. » Romains 10.17
« Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies. 7 A peine mourrait-on pour un juste; quelqu'un peut-être mourrait-il pour un homme de bien. 8 Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. »
C'est le contact en nous, entre la croix (génératrice universelle, potentielle) et la foi (phase ou catalyseur personnel) qui nous fait passer au travers de cette porte du salut de notre âme. Cela s'appelle aussi rédemption, rachat, grâce divine, qui propose en nous une véritable nouvelle naissance (déjà une résurrection intérieure), spirituelle, comme l'écrit l'apôtre Jean : « A ceux qui croient en son nom (Jésus), elle (la lumière divine) a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, 13 lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu. » Jean 1.12,13.
Ainsi rejoint-on une autre affirmation inouïe de Jésus qu'on trouve au chap. 8...
E – « Je suis la lumière du monde »
« Je suis venu comme une lumière dans le monde, afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres. »
Mais plus encore que comparable à une lumière qui éclaire, « Jésus leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. » Jean 8:12
Ce que l'apôtre Jean a bien comprit et nous livre ainsi dès le début de son évangile : « la vie était la lumière des hommes... Il y eut un homme envoyé de Dieu : son nom était Jean (celui-ci est Jean le Baptiste). 7 Il vint pour servir de témoin, pour rendre témoignage à la lumière, afin que tous crussent par lui. 8 Il n'était pas la lumière, mais il parut pour rendre témoignage à La lumière.
9 Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. 10 Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l'a point connue. 11 Elle est venue chez les siens, et les siens ne l'ont point reçue. »
De fait, la réception de la lumière spirituelle qui éclaire notre compréhension n'est pas dans quelque automatisme qui nous imposaerait le Divin, mais dans la réponse personnelle que nous émettons en retour de ce que ce que nous entendons ou lisons concernant Jésus, c'est-à-dire qui il est.
Une autre lumière nous est encore donnée par Jésus sur sa personne dont on remarque déjà qu'elle n'est pas seulement de la part d'un maître spirituel ce qui éclaire la conscience.
Jésus n'est pas non plus seulement « une bonne personne » ou un prophète comme il y en a eu d'autres.
Parce que sous cette lumière, sa mort aussi est une source de vie.
« Si nous marchons dans la lumière comme il est lui-même dans la lumière,
1 Jean ch. 1, v. 5-7
F – « Je suis la vigne »
Cette parole enseigne aussi sur le rapport qu'il y a entre Dieu en tant que le Père (qui demeure toujours en son Royaume) et Jésus Parole divine faite chair pour nous sauver par son sacrifice (Jean 1.1...).
Au chapitre 12, on peut lire :
« Je suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron. 2 Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, il le retranche; et tout sarment qui porte du fruit, il l'émonde, afin qu'il porte encore plus de fruit. 3 Déjà vous êtes purs, à cause de la parole que je vous ai annoncée. 4 Demeurez en moi, et je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s'il ne demeure attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous ne demeurez en moi.
5 Je suis le cep (le pied de la vigne), vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. 6 Si quelqu'un ne demeure pas en moi, il est jeté dehors, comme le sarment, et il sèche; puis on ramasse les sarments, on les jette au feu, et ils brûlent.
7 Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. 8 Si vous portez beaucoup de fruit, c'est ainsi que mon Père sera glorifié, et que vous serez mes disciples. »
Jésus se déclare ici comme la racine et le pied de la plante (spirituelle) qu'il est venu faire apparaître sur terre en faveur du genre humain autrement éternellement séparé de Dieu et de la suprématie du bien sur le mal.
Cette plante d'un tout nouvel ordre, a été ensemencée par l'Esprit Divin parmi le peuple juif descendance d'Abraham et de Sarah, dans le sein d'une jeune fille appelée Myriam (Marie en francisé).
« Qui a reconnu le bras de l'Eternel ? 2 Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée; Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n'avait rien pour nous plaire. 3 Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas. » Esaïe 53
Dans ce registre d'ordre typiquement spirituel, celui qui croit et traverse par la foi la porte, devient un enfant adopté par Dieu, greffé comme un sillon sur le tronc franc de la race d'Abraham dont Jésus est par moitié son descendant.
« si la racine est sainte (d'abord Abraham, puis Jésus) , les branches le sont aussi (les juifs, et les chrétiens). 17 Mais si quelques-unes des branches (ici des juifs) ont été retranchées, et si toi, qui étais un olivier sauvage (non-juifs, païens, goïm) tu as été enté à leur place, et rendu participant de la racine et de la graisse de l'olivier, 18 ne te glorifie pas aux dépens de ces branches. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais que c'est la racine qui te porte.
19 Tu diras donc : Les branches ont été retranchées, afin que moi je fusse enté. 20 Cela est vrai; elles ont été retranchées pour cause d'incrédulité, et toi, tu subsistes par la foi. Ne t'abandonne pas à l'orgueil, mais crains; 21 car si Dieu n'a pas épargné les branches naturelles, il ne t'épargnera pas non plus. 22 Considère donc la bonté et la sévérité de Dieu : sévérité envers ceux qui sont tombés, et bonté de Dieu envers toi, si tu demeures ferme dans cette bonté; autrement, tu seras aussi retranché. 23 Eux de même, s'ils ne persistent pas dans l'incrédulité, ils seront entés; car Dieu est puissant pour les enter de nouveau. 24 Si toi, tu as été coupé de l'olivier naturellement sauvage, et enté contrairement à ta nature sur l'olivier franc, à plus forte raison eux seront-ils entés selon leur nature sur leur propre olivier. » Romains ch. 11
Si la vigne avec ses fruits est une image de la race nouvelle formée par Jésus et les chrétiens nés de lui par l'Esprit Divin et par la foi, deux autres images illustrent cette création humaine nouvelle appelée l'Eglise de Dieu : Celle de l'Epouse, Jésus son époux divin, royal et éternel comme elle, et l'image du Corps, formé par « les pierres vivantes » que sont ceux qui croient en Jésus, qui est le tête de ce Corps.
Jésus a employé une autre image le concernant, ce ce qu'il est à la fois le gardien de ceux que le Père lui confie, et le Dieu d'éternité même puisque cette figure reprend le Psaume 23 qui est définit le Dieu éternel comme étant le berger de son peuple.
Soyons lucides : Les temps difficiles qui viennent ne sont pas une salamité si nous savons trouver en Dieu les aides nécessaires à notre subsistance et survie, jusqu'à accéder dans son abondance et sa sûre-vie.
Ce soir après 19 h. le poème de mes voeux les meilleurs.
'ai cru un prof de philo marxiste-léniniste ; j'ai cru au non-sens des choses et qu'il n'y a pas de mal à se faire plaisir de quelque manière que ce soit ; j'ai cru qu'on pouvait vivre insouciant en prenant la vie par tous les bouts qui nous viennent ; j'ai cru que mes réussites dureraient et que je n'avais pas à me soucier de mon sort éternel...
J'ai cru beaucoup de choses à faux, sans lumière ou seulement avec les lumières trompeuses, blafardes ou séduisantes des philosophies des deux derniers siècles ; j'ai cru que je pouvais faire n'importe quoi avec le coeur ou la vie des autres... J'ai cru que les croyants étaient des faibles - puisqu'on me l'avait dit !
Et j'ai fini à 30 ans projeté dans un ravin bras droit quasiment sectionné... (lire éventuellement ce témoignage surnaturel en cliquant sur Accueil).
DE l'ALEATOIRE AU SENS
A partir de là le sens a pu venir, comme une réalité vivante, révolutionnaire, capable de faire quelque chose pour moi, sous forme d'une révélation, aussi surprenante qu'inattendue : Dieu !
D'un coup j'ai SU que Dieu existe...
Le vrai, pour de vrai, Celui qui fait entrer du vrai et bon surnaturel dans notre existence.
Comme on dit aujourd'hui, j'ai alors changé d'un coup et progressivement de paradigme. De fait, quand on part du point de vue que Dieu est une réalité effective, tangible, qui nous connaît et qui est connaissable (en tout cas suffisamment pour vivre des expériences avec lui), notre regard sur tout change, nos relations aux choses et aux personnes, allant de découverte en découverte, d'interrogation en réponse, d'un schéma de pensée pauvre, étriqué, uniquement matériel à une profondeur dans la connaissance qui n'a rien à voir avec avant.
Bref, si vous n'êtes jusque là qu'un citoyen moyen bien laïcisé par des années de formatage culturel prégnant - comme j'ai été (trop) longtemps, sachez que Dieu existe.
Il est d'abord pour nous le créateur de l'univers - ce que bien évidemment des hasards successives et des nécessités chronologiques auraient été bien incapables de faire...
Et puis il est le Dieu rédempteur, qui vient réparer en nous, pour nous et pour d'autres de notre entourage, ce que le mal produit.
Car le mal existe bel et bien en tant que source de difficultés, de souffrances, de peur, de ruptures, maladies, accidents...
Le mal existe en tant que force à l'intérieur de nous, dans notre âme, qui nous fait mal agir où on aurait pu faire autrement ; Qui nous fait mal penser, parce qu'on ne sait pas réfléchir correctement - à cause de notre manque de données, notamment dans la connaissance du bien et du mal.
Tant qu'on n'a pas la connaissance et la conviction que mentir est mal, on va mentir sans difficulté, et si un jour on veut arrêter, on va s'apercevoir que c'est aussi difficile que d'arrêter de fumer, de s'alcooliser, de se droguer.
Idem avec le vol - les petites rapines genre QUi vole un oeuf vole un boeuf - ; mal que de faire un faux-témoignage, que de ne pas se soucier de Dieu et de ce qui est mal selon lui - qui sait tout.
Mal que de convoiter les biens des autres, où la femme ou le mari de quelqu'un, car cela ne nous laisse pas en paix, nous pousse dans des actions à conséquences pouvant être graves (crédits intempestifs, jeu de hasard, consultation de voyant(e), aliénation à un horoscope, adultère, enfantement problématique et tant de bébés avortés alors qu'ils ne sont encore vivants que sous forme de foetus (vulnérable et sans autre défense que l'amour de leurs parents).
Le mal est une pieuvre multiforme, insidieux, subtil au point de sembler ne pas être, ou au contraire d'une violence extrême, inhumaine.
Inhumaine car le mal que nous faisons, disons ou pensons, en vient un jour ou l'autre à être vu par des esprits maléfiques, des anges tombés dans le mal eux-mêmes et devenus depuis des démons, ces entités spirituelles mauvaises dont on peut apercevoir si souvent - de plus en plus souvent, les effets dans les actualités planétaires ou dans notre quotidien.
LA SOLUTION
La solution divine n'est pas que nous fassions du bien pour contre-balencer ce qu'on (a) fait de mal. Ça c'est de la religion et ça ne marche pas aux yeux de Dieu pour nous disculper de nos fautes.
La solution de Dieu se trouve dans une rencontre entre ce qu'il a fait pour traiter cette question émneuse du mal, et nous, tout personnellement, qu'il appelle à croire en lui, à croire en sa solution comme celle qui va véritablment ibérer notre vie, nos pensées, notre intelligence prise en otage par le mal, les mauvaises habitudes, les addictions et donc possiblement une emprise diabolique qui nous tient captif et dans une souffrance croissante.
La solution de Dieu est celle-ci :
"Lorsque nous étions encore sans force (même pas nés), Christ, au temps marqué, est mort pour des impies (pour ceux qui viendraient eet croiraient). A peine mourrait-on pour un juste; quelqu'un peut-être mourrait-il pour un homme de bien.8Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs (des créatures dominés par le mal), Christ est mort pour nous." Lettre biblique aux Romains chap 5
"Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu." 2e lettre biblique aux Corinthiens cha. 5.
Ainsi, alors que nous sommes tous des injustes, des méchants ou des pervers, corrompus sur un point ou un autre, nous avons à réaliser qu'il a fallu que Jésus donne sa vie pour que nous puissions être rendus justes aux yaux de Dieu, jusqu'à pouvoir entrer dans une relation bénie, consciente, régénérante, avec lui.
"Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de paroles de Christ ou relatives à Christ." Romains ch. 10
Et Ces paroles nous disent pour nous sortir de la domination du mal : "Si nous disons que nous n'avons pas de péché (que nous n'avons pas fait de mal), nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est point en nous.9Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité.10Si nous disons que nous n'avons pas péché, nous le faisons menteur, et sa parole n'est point en nous." 1ère lettre de Jean ch. 1.
Pour recevoir les paroles qui disent la vérité ou des vérités importantes, il nous faut être purifier de nos fautes, qu'elles ne soient plus un poids pour notre âme et/ou sur ou dans notre corps, et cela n'est possible qu'en passant par les deux conditions qui sont comme les battants de la porte qui nous sépre de Dieu :
1 - Jésus est mort pour nous, donc pour vous !
2 - Dieu pardonne aux fauteurs que nous sommes si nous lui disons nos fautes, si nous les regrettons, et si nous voulons désormais y renoncer.
Dans ces conditions, tout devient possible dans la connaissance de Dieu, pour une relation qui s'établit entre lui et nous et nous et lui.
Et remercions Dieu de se pencher ainsi sur nous, de nous libérer et accorder une place avec lui dans son royaume éternel qui prendra un jour prochain et certain la forme d'un autre univers que celui-ci, avec une nouvelle terre et un nouveau ciel, et bien sûr avec tous ceux qui auront cru de la sorte.
Voici encore comment dire cette saine doctrine biblique, christique, par la foi en quoi notre vie commence à être changée et le restera à jamais :
"Si par l'offense d'un seul il en est beaucoup qui sont morts, à plus forte raison la grâce de Dieu et le don de la grâce venant d'un seul homme, Jésus-Christ, ont-ils été abondamment répandus sur beaucoup.16Et il n'en est pas du don comme de ce qui est arrivé par un seul qui a péché; car c'est après une seule offense que le jugement est devenu condamnation, tandis que le don gratuit devient justification après plusieurs offenses.17Si par l'offense d'un seul la mort a régné par lui seul, à plus forte raison ceux qui reçoivent l'abondance de la grâce et du don de la justice régneront-ils dans la vie par Jésus-Christ lui seul. 18Ainsi donc, comme par une seule offense la condamnation a atteint tous les hommes, de même par un seul acte de justice la justification qui donne la vie s'étend à tous les hommes.19Car, comme par la désobéissance d'un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l'obéissance d'un seul beaucoup seront rendus justes.20Or, la loi est intervenue pour que l'offense abondât, mais là où le péché a abondé, la grâce a surabondé,21afin que, comme le péché a régné par la mort, ainsi la grâce régnât par la justice pour la vie éternelle, par Jésus-Christ notre Seigneur." Romains ch. 5
A partir de Noël vu comme le souvenir de la venue surnaturelle de Jésus le Sauveur parmi le genre humain, on peut prendre le chemin qui met en relation effective avec Dieu, en croyant ce qu'il est venu faire et dire.
"Thomas dit à Jésus : Seigneur, nous ne savons où tu vas; comment pouvons-nous en savoir le chemin ?6Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.7Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant vous le connaissez, et vous l'avez vu.
8Philippe lui dit : Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit.9Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m'as pas connu, Philippe ! Celui qui m'a vu a vu le Père; comment dis-tu : Montre-nous le Père ?10Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi ? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même; et le Père qui demeure en moi, c'est lui qui fait les oeuvres.11Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi; croyez du moins à cause de ces oeuvres. 12En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais au Père;13et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils.14Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai." Evangile selon Jean chap. 14.
"Que votre coeur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi.2Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place.3Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi." idem
A partir de là la balle est dans le camp du lecteur, de vous lectrice...
Si vous voulez découvrir d'une manière originale et juste, les points-clés de la venue de Jésus, vous pouvez aussi lire la nouvelle que j'ai écrite de cette Bonne Nouvelle >> ici la vraie histoire et le pour quoi de la venue de Jésus <<
Jésus - la Parole éternelle de Dieu
s'est incarnée ainsi ! Comme un enfant
conçu dans un sein maternel et né sous une apparence semblable à la nôtre...
En créant des entités conscientes libres, plutôt que des animaux déterminés pour ne faire que ce qu'il veut, Dieu a pris de gros risques.
Car la liberté qu'on nous accorde, c'est pas seulement pour faire semblant : Elle est réelle, au point où des créatures peuvent s'élever contre Dieu, s'en moquer, l'injurier, vouloir le voir disparaître de la pensée humaine.
C'est dans le bien de leur liberté que Satan, (puis un tiers des anges) est sorti de sa position bénie, en voulant se positionner au moins en égal de Dieu.
C'est par ce fait qu'aussi nous sommes dans une précarité qui est loin d'être le bonheur éternel que le Créateur voulait nous accorder.
Nous devons penser à cela, pour ne pas devenir davantage une proie des démons - si rusés qu'ils réussissent encore à faire croire à beaucoup qu'ils n'existent pas, malgré les effets terribles que nous pouvons voir de leur actions.
A l'opposé, user de notre liberté pour bouger dans la direction de Dieu, voilà que est une bonne manière de se sentir libre, de se faire une opinion personnelle qui sera plus profitable que de croire sans raison valable ce que disent les athées ou agnostiques.
PS En Pages (côté droit), un guide prière pour qui veut s'approcher de Dieu de bonne manière
J'y vois - comme lui et d'autres - une corrélation certaine, un jeu de cause à effet, car il est vivant ce Dieu qui aime ses créatures et s'adapte avec compassion à nos niveaux, se joint à nos luttes et se réjouit de nos succès... quand on le met à la place qui est la sienne.
EtOlivier Giroud n'est pas le seul à croire de cette manière et à le dire : Cherchez voir si cela vous intéresse !... :)
FOI ET RELIGION NE SE SUPERPOSENT PAS FORCEMENT
Contrairement à ce qui se dit trop souvent (surtout pour détourner de ce chemin), la foi en Jésus n'est pas une religion à proprement parlé ; c'est plus et autre chose, car c'est le Dieu vivant qui est l'essentiel, notre relation personnelle au quotidien avec lui, de notre esprit à son Esprit et inversement.
Cela n'est pas comparable avec une importance donnée à des structures, des bâtiments, institutions et pratiques ritualistes obligatoires : Jésus rend libre ceux qui se confient en lui.
La preuve ! Ils en parlent librement, ils vivent de la paix intérieure que donne l'Esprit de Dieu... et Ils gagnent et font gagner ceux qui sont avec eux !.
..Et de tels chrétiens et chrétiennes, il y en a dans tous les sports et dans les compétitions de haut niveau.
TOUS IMPARFAITS, MAIS GRACIÉS
Personne n'est à l'abri d'un faux pas, car on est des êtres imparfaits (des pécheurs - à distinguer des pêcheurs - :), mais Dieu pardonne les fautes qu'on reconnaît, et il nous rend toujours plus fort face au mal et aux tentations.
Avec Dieu et Jésus pour Père (céleste), pour guide (infaillible), pour berger (qui ne nous perd pas de vues), pour Sauveur (de notre âme d'une perdition terrible), et Seigneur (dont on peut être fier, qui peut tout), notre vie est tout autre, dans sa profondeur, dans sa hauteur... et dans sa longueur puisque vivre éternellement la prochaine création est assurée à quiconque croit avec sérieux en ce DIeu-là.
LA VRAIE FOI, C'EST CROIRE DIEU, CE QU'IL DIT, SES PAROLES
La Bible nous assure de ceci : Il fallait "que le Fils de l'homme soit élevé (crucifié),15afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle.16Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle 17Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18Celui qui croit en lui n'est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises. 20Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées;21mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites en conformité avec Dieu." Bonne nouvelles (Evangile) selon Jean, chap. 3
DAns un monde humain en crise(s), en défaut d'identité, reste-t-on encore assez lucide pour être raisonnable, de bon sens, ou naviguons-nous à vue de manière ubuesque, absurde (atteint de surdité), comme hors-sol, avec des valeurs qui sont parfois les anti-valeurs d'hier... et de toujours !
Qu'on ait les capacités intellectuelles, cognitives et de réflexion d'un Etienne Klein ou d'un Hubert Reeves* (fort respectables malgré cela), ne permet pas guère mieux que les nôtres, même moindres, de savoir les essentiels de manière certaine puisque nous vivons dans un univers relatif, temporel et incomplet, et parce que leur perception du Créateur est borgne ou aveugle... ce qui est notre condition de départ dans tous les cas.
Sauf qu'à la suite, nous avons aussi la capacité de vouloir aimer la vérité au point de ne pas poser comme préalable à nos savoirs qu'il n'y a pas de Dieu intelligent et connaissable à l'origine de tout.
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.