A que voilà des paroles d'une force incroyable ! Mais que signifient-elles !?
En français, il y a plusieurs mots qui permettent de parler d'amour : l'amour-éros ou sexuel ; mais aussi l'amour-compassion (qui parle de souffrir avec...) ; l'amour miséricorde (une corde - de Dieu, affective - lancée à la misère pour en secourir) ; l'amour-filéo (affection fraternelle, amitié par affinité) ; l'amour-agapé qui est l'amour de Dieu (l'amour qu'il est en lui-même de la même manière qu'est la lumière blanche, en laquelle se trouvent toutes les couleurs). Et il y a encore des séductions qui ne sont pas de l'amour mais y ressemblent, des imitations comme Satan et certains de ses démons savent les produire...
ET quand Johnny devient "forçat de l'amour", de quel amour s'agit-il ? Explicitement de l'amour physique, en vue du plaisir charnel qui peut en résulter, possiblement indépendant de l'amour qui est le véritable amour entre un homme et une femme (à la fois filéo et agapé), celui qui n'a même pas besoin de mettre les corps en mouvement ni pour être, ni pour brûler ni pour s'entretenir.*
C'est qu'il est des amours dont le feu est destructeur, de l'âme ou du corps indifféremment, et bien sûr de la spiritualité. Comme il en est qui sont semblables au feu qui brûlait devant Moïse dans un buissonsans le consumer.
Quand même le meilleur de l'amour se mêle de convoitise, d'envie charnelle qu'on ne maîtrise pas, de désirs impudiques, s'en est fait de l'amour ! Apparaît une emprise qui va croissant, d'autant on se soumet à des tentations, à toutes les occasions et séductions, jusqu'à nous posséder. On devient ainsi addict au sexe, comme à l'alcool, à la drogue, à l'argent ou à la nourriture... C'est-à-dire que de certains comportements humains dont Dieu nous met en garde, on va tomber sous une double domination, d'une part de nous-même dont le corps après l'âme se dérègle (phénomène de somatisation) ; et d' autre part d'un démon (minimum) qui, nous voyant ainsi amorcé, peut entrer dans le jeu de nos ébats (comme de nos beuveries ou prises de stup', actes de cupidité ou boulimique...).
Il y a une frontière entre l'humain et le démoniaque, qui est "matérialisée" par notre conscience morale et des lois de société, par des préceptes d'une religion quand on en a une, aussi par des situations ou circonstances défavorables (qu'on doit apprendre à discerner comme étant significatives), et même des songes. Frontière dont le passage un peu répété ouvre en nous la porte à une présence démoniaque, d'abord sous forme de convoitise excessive, pressante et exacerbée au point qu'on y pense sans pouvoir le contrôler, voire tout le temps. Oppression donc, compulsion et dépendance avec toutes les souffrances de l'obsession, du manque créé artificieusement, de la frustration..., jusqu'à une possible possession où l'on ne s'appartient plus. Quand on arrive à dire "C'est plus fort que moi ! C'a été plus fort que moi !". D'où des comportements que dominent la violence, l'insolence, des abus, l'irrespect le plus absolu, jusqu'au viol ou meurtre comme l'actualité nous donne parfois de voir. ...Ce qui peut également se produire dans le cadre du mariage, ce qui fait dire à la Bible cette exhortation interpellative : "Que le lit conjugal soit exempt de toutes souillures." Est-ce que Dieu est voyeur et despote jusqu'à ne pouvoir s'empêcher d'instruire de telles dispositions concernant nos intimités, ou parle-t-il ainsi pour notre bien ?... sachant mieux que nous que les anges déchus, démons séducteurs autant que méchants, plongent leur regard dans nos vies jusqu'à vouloir et pouvoir les posséder pour en jouir selon leurs lubies, leurs dérèglements, leurs perversités, leur rage et haine du bonheur du genre humain. Ainsi si Satan peut dénaturer l'amour et les beautés qui y sont liées, il réussit à nous asservir à ses propres vices, et donne au monde l'image de la bassesse humain qui cherche à nous faire conclure, à partir de là, qu'il ne peut y avoir un Dieu.
Ainsi dès lors qu'on suit de moins en moins le comportement individuel et/ou sociétal que la Bible présente comme le bien, ce qui est bon, on donne de plus en plus accès à des esprits méchants et trompeurs qui, de leur sphère céleste sombre coincé entre le ciel divin et notre ciel atmosphérique, peuvent descendre jusqu'à nous, parmi nous, et quand c'est possible jusqu'en nous (possession). C'est seulement avec ce regard sur le Réel qu'on peut comprendre ce qui arrive de plus en plus parmi nous, qu'il s'agisse des drames terroristes, de l'amour de l'argent, des addictions à des produits ou d'abus sexuels.
Il est ainsi des libertés qu'on se donne dont l'issue n'est pas plus de libertés encore, mais un enfermement, un esclavage, - des conditions de forçat -, souvent accompagné de solitude qui grandit... En ce sens, dans les libertés prises, le sexe tue l'amour véritable bien plus qu'il ne le sert. Le beau, précieux, fragile, exclusif et intime cadeau de Dieu perd de ses attraits (par impuissance, déception, frustration, asynchronicité, mépris, dégoût, nausée, haine...) quand il est foulé aux pieds, abordé dans la boue des péchés... Il n'est pas difficile dès lors de comprendre que l'amour véritable n'a rien à voir avec ces mélanges et ce gâchis. Et là aussi on peut dire que "rien n'est pire que la corruption du meilleur."
Vouloir mourir d'amour enchaîné, est donc une folie, parmi d'autres auxquelles nous adhérons sans discernement, inconscient de ce qu'est la vie réelle, ses forces les plus fortes, ses tenants et aboutissants... dont la souffrance, la maladie, les accidents et autres ruptures toujours douloureuses, la mort étant l'ultime.
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Ce qu'on ne nous apprend pas, c'est que l'amour, s'il est du domaine du sentiment, de l'affect, du cœur, est aussi une réalité qui se vit par la volonté... Le pasteur noir Martin Luther a écrit un livre qui s'appelle "La force d'aimer". Il sait de quoi il parlait ! Et on devrait savoir de quoi on parle, quand on parle d'amour, d'aimer. Pour le défendre comme il y a des plantes à protéger de prédateurs, ou encore pour l'entretenir et le soigner intérieurement comme avec les plantes prises par une maladie.
Que de paroles, d'injustices (dont l'infidélité, les mensonges), de comportements qui sabordent un couple pourtant uni, parfois avec des enfants ! Quelqu'un qu'on voudrait aimer, mais qui le rend impossible parce qu'il est ou fait ce qui est trop injuste. Quelqu'un qui a voulu nous aimer mais a dû abandonner à cause de notre fichu caractère ou de telle lubie !...
à suivre, demain...
____________________ * L'amour physique étant avec cet amour-là, dans un couple, cadeau particulier de Dieu. Mais cet amour n'est pas forcément celui dont parlait Platon (l'amour platonique), qui est plutôt l'amour filéo qui donne la véritable amitié, indépendamment du genre des personnes.
La foi est un des moteurs du vivant ! Plus fondamental que l'évolution (physiologique) qui n'en est qu'un élément - pris à tort pour un tout !...
La connaissance a de nombreux langages, elle n'est pas le monopole de la science ou de la réflexion humaine. Tant qu'on persiste à croire que la vérité est délimitée par ce qu'on est capable de percevoir par notre raison ou par nos sens, l'aboutissement de ce qu'on apprend, et même de nos propres expériences, c'est seulement savoir qu'on ne sait rien !
La foi est un des moteurs du vivant, qui permet au tout petit enfant de se lancer pour marcher tout seul. Plus tard ce déterminisme lui permet de faire du vélo et des figures acrobatiques qui se jouent de certaines contraintes naturelles. Ainsi apprend-on à nager, commence-t-on un premier job, montons-nous dans un avion, montons-nous sur une scène. Même pénétrons-nous dans la réplique de notre monde : dans l'internet...
On tâtonne, on travaille, on a le trac ! Et ce trac même témoigne qu'on est arrivé à une barrière, par la foi ! Et par la foi encore, il faudra chercher si telle barrière qu'on veut franchir, qu'on veut lever, est en fait une bonne limite, à ne pas franchir si l'on veut rester dans la paix et l'harmonie déjà connus ; ou seulement une pseudo-barrière dont le dépassement n'est pas transgression mais au contraire participation à une plus grande immersion de nous-même dans le sens et dans la réalité du Réel à la fois fini et infini...
...Jusqu'à pouvoir un jour, par ce même principe de foi, saisir qu'il y a un Créateur derrière ses créations, un Dieu bon qui vient au secours de nos limites et infirmités, et encore d'autres forces malveillantes dont nous avons à être affranchi. Un Dieu d'amour, donc de partages, qui tient une globalité de sa vie même, son éternité, en réserve pour qui entre dans ce dessein divin...
C'est le point où la morale est maintenant réduite dans la culture laïque post-chrétienne : Toute l'éducation morale semble se résumer à Respecter les autres, voire apprendre à dire : Bonjour, Merci, Au revoir...
Y est-il question de mensonge ? Une option semble-t-il, laisser à la discrétion (sensibilité) du ou des parents.
Somme toute, on pourrait sur cette base et son application généralisée parvenir à une socialisation qui donne des vivre-ensembles sympa, apaisés, presque paradisiaques.
Sauf que c'est bien méconnaître et la nature humaine et le contexte environnemental qui est le nôtre (depuis l'aube de nos dispersions). Et donc d'avance on peut dire que ça ne suffira pas ! Que poser une telle règle, si cela a l'avantage d'être une règle peu contraignante en elle-même, c'est monter une digue de sable contre les éventuels assauts des circonstances... et de nos réactions - dont les leviers au moins héréditaires ne se déboulonnent pas aussi facilement !
Et donc Dieu ne laisse pas les choses seulement en l'état où nous les voulons et établissons. Ce serait un laxisme coupable. Or Dieu est juste, et désire de plus que nous voyons clair... le plus possible. Ce qui est globalement et tout naturellement loin d'être le cas !
Et donc des jugements tombent, sur nos licences, sur nos libertés dévergondées, sur nos prétentions à rompre avec ses lois de nature, voire avec les lois morales qui nous sont plus personnelles du fait d'une religion ou d'une autre, et dans tous les cas de notre conscience personnelle. Et plus on transgresse et récidive, plus on va loin dans nos positionnements anti-Dieu, plus on s'aveugle les uns les autres (par des séductions douteuses - qui ne peuvent être confondues avec le Aimez-vous les uns les autres de l’Évangile), plus des retours de bâton tombent et vont tomber. Non que Dieu désire cela de toute la hauteur de sa justice intransigeante, mais parce que nous foulons aux pieds la justice de sa grâce, essentiellement manifestée en la mort et résurrection de Jésus-Christ pour nous !
Car Dieu était en Christ réconciliant par cette mort abominable le genre humain avec lui-même afin de faire grâce à quiconque d'entre tous réclame(rait) le pardon qui en est le fruit délicat délicieux, antidote du péché...
Et ainsi notre petite civilité tout comme nos bonnes volontés individuelles ou collectives, ont et vont avoir à voler en éclats, dès lors que les difficultés qu'on s'est ou se sera produites et attirées nous arrivent ou arriveront en retour.
Elles sont AUSSI quelque part, du fait de nos options de vie, des garantes que nous ne nous leurrions pas jusqu'à l'article de la mort sur ce que nous sommes réellement (des pécheurs dramatiquement soumis à des forces mauvaises, plus que capables de rester maîtres de soi dans les tourmentes) ; et sur ce que nous allons devenir en tant qu'âme-entité (corps psychique) détachable et détachée du corps physiologique.
Et Dieu parle donc encore, pour que nous ne soyons pas happés par les séductions et les peurs issues de ce monde jusqu'à en mourir - alors que Dieu voudrait que nous vivions bien plus longtemps, et même éternellement. Il appelle toujours à un repentir authentique des fautes qui nous dominent, à ce que nous lui demandions pardon et libération, afin de ne plus pécher.
1ère lettre de Jean ch. 1 "5 Voici le message que nous avons entendu de lui et que nous vous annonçons : Dieu est lumière et il n'y a pas de ténèbres en lui.6 Si nous disons que nous sommes en communion avec lui tout en marchant dans les ténèbres, nous mentons et nous ne mettons pas la vérité en pratique.7 Mais si nous marchons dans la lumière, tout comme Dieu lui-même est dans la lumière, nous sommes en communion les uns avec les autres et le sang de Jésus[-Christ] son Fils nous purifie de tout péché.8 Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous trompons nous-mêmes et la vérité n'est pas en nous.9 Si nous reconnaissons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier de tout mal.10 Si nous disons que nous n’avons pas péché, nous faisons de Dieu un menteur, et sa parole n'est pas en nous. "
On se lave le corps, mais se lave-t-on l'âme ? N'en n'aurait-on pas besoin, malgré tout ce qui nous touche chaque jour, en infos, en pensées, par les regards, par les paroles, par les proximités physiques et psychiques - voire méchamment spirituelles !?...
La connaissance vise à élargir le champ de notre conscience - cet aspect particulier de notre réalité personnelle qui dit moi-je. On commence par un embryon de conscience de soi, et cela peut s'élargir jusqu'à une connaissance significative de soi, et jusqu'à la conscience puis connaissance de Dieu. En route dans cette prodigieuse découverte du Réel dans sa globalité, voyons un peu là ce qu'il en est de l'âme que nous sommes dans un corps.
A - RAPPORT ÉTROIT ENTRE ÂME ET CORPS
1 - La somatisation C'est un principe (un des principes actifs ou moteurs du vivant) que la somatisation. C'est un processus latent et toujours activable qui fait que notre corps soit subit les bienfaits, soit subit des méfaits, résultats de la façon dont nous usons de notre âme (de nos capacités psychiques instinctives, cognitives, passionnelles, automatisées ou plus réflexives) - et encore de notre esprit... quand il est activé en nous...
Ce comportement psychique qui nous est propre se traduit dans le physique (dans nos organisations physiologiques) par une bonne santé, ou par des dérèglements, des tracas, des maladies et autres troubles cellulaires ou organiques... qui sont la répercussion des mauvais réglages de notre intelligence du monde, au monde et de nous-même, de parts de mauvaises appréhensions des réalités, des mauvaises valeurs suivies ou choisies...
Le corps permet que deviennent bien plus sensibles les problématiques de l'ordre mental, psychique et/ou spirituel (dont la mort spirituelle est bien sûr un élément non négligeable). Plus sensibles par des douleurs (alerte, symptôme ou déstructuration même), par de la perte de vitalité, des ralentissements, des dysfonctionnements. La médecine reconnaît et accepte - un peu mais pas suffisamment - ce schéma des corrélations, le fait causal qu'est la somatisation.
2 - Localisation ou effet corporel(le) et nature du problème psychique. Il semble qu'il y ait un rapport significatif entre la cause (psychique) et un problème (physiologique). Par exemple j'ai eu à souffrir d'un mal terrible qu'on appelle les impatients ou jambes impatientes : la nuit elles bougent toutes seules jusqu'à vous faire sortir du lit pour marcher... J'ai demandé à Dieu, à MON Dieu - que je connais et qui me connaît - pourquoi il permettait cela. J'ai d'abord compris que ça voulait dire, en 3D, que dans mes journées j'étais en activité (psychique) comme marchant dans la nuit, càd qu'un emploi de mon temps n'était pas dans la vue (volonté) de Dieu pour moi. Or l'essentiel de mon temps était consacré au domaine spirituel ! Je ne voyais donc pas où était le problème ! Et j'ai du insister pour obtenir de Dieu la réponse principale, claire et nette, en rapport avec ce que j'en étais arrivé à tenir une fonction pastorale auprès d'un groupe de chrétiens. La réponse était : Je ne t'ai pas demandé cela !
Arrivé à tenir cette "fonction" par du temps disponible, par mon désir de servir Dieu, et encore de faire grandir spirituellement ces personnes en leur partageant mes savoirs et expériences. Rien de mal !?... Eh bien si ! J'étais désormais placé dans un rôle de pasteur que Dieu ne m'avait pas demandé ! Ce qui mettait sur ma vie et sur mon couple une pression, une disponibilité et fatigue qui se traduisirent par le mal des impatients.
Au préalable j'avais bien vu que ça coinçait de plus en plus, que se réunir devenait de plus en plus compliqué et qu'il fallait moins en faire, que des réunions se passaient sans que j'ai une seule parole de Dieu à apporter ; mais les autres attendaient encore des apports par moi - ce qui s'était produit au début - et de nos partages... Mais on résistait tous sans le réaliser... à Dieu, par un mode habituel qui n'était pas ou plus ce qui lui permettait de nous bénir de la meilleure façon ! A la seconde où j'ai vu que mon problème c'était ça !... dans la seconde le mal a disparu ! Pour d'autres bien sûr ce sera moins "pointu", moins spirituel. Mais chacun en rapport de nos compréhensions et conscience personnelles peut être repris dans son corps, par son corps, à propos d'une marche psychique et d'un comportement correspondant qui en fait nous trouble et/ou en trouble d'autres autour de nous. C'est là un des processus universels au bénéfique ou au détriment duquel nous vivons.
Pour être complet avec cet épisode, voici ici le rapport que j'ai fait de cette guérison d'autant miraculeuse qu'il y avait avec les jambes impatientes un autre problème tout aussi lourd...
3 - Mais d'abord, avant de somatiser, effets sur le psychisme lui-même. Outre des maux physiologiques dus à des mauvaises organisations innées, il semble - et c'est logique - que la dynamique somatrice apparaisse en dernier ressort - en dernier effet et appel ! - de la façon problématique dont on - moi-je du haut de sa tourelle ! - conduit notre existence. "En dernier appel" car avant comme j'ai dit, les mauvais positionnements cognitifs et/ou sensibles et/ou relationnels adoptés, ont leurs effets les plus immédiats au plan même de notre sensibilité psychique. Troubles de l'âme, mal-être, mal-vivre, déprime, repli ou solitude, sur-activité sans contrôle, soit mise en avant excessive soit mise en retrait problématique... Tout ça tient du psy, diront certains !?... Sauf qu'il est fort préférable de chercher Le psy qui a fait lui-même TOUT le tour de la question de l'humain ! Et bien sûr qui peut être meilleur psy que Jésus, qui en tant que Parole éternelle de Dieu est à l'origine de notre conformation humaine - fut-elle aujourd'hui dans la défaillance adamique à cause de notre liberté mal utilisée ? Le constructeur d'une automobile ou d'un ordinateur saura toujours mieux que quiconque d'où viennent les pannes et comment les solutionner... et ici c'est pour toujours qu'on a besoin de soin.
4 - Mais une chose après l'autre : défricher avant d'entretenir. Avant de naître dans le sens de "venir au monde", il a fallu que nous naissions de gamètes dans un sein maternel (c'est certainement mieux que partout ailleurs), qui est réalité ET figure aussi, pour dire que pour entrer dans la lumière de la vie spiritualisée (éternelle), il nous faut aussi être d'abord conçu - en nous-même ! - par Dieu - lui-même, par son Esprit -, ce que la Bible appelle "naître de nouveau" Evangile selon Jean chap. 3. Ainsi "né de Dieu", avec une constitution de départ qui est ce qu'elle est (soit dans un état ou un autre de plus ou moins grand délabrement - bien vu ou jusque là à peine soupçonné), on va pouvoir entrer dans une phase de déblaiement et d'apports nouveaux, psychiques et spirituels, dont le corps pourra très vite aussi bénéficier... (somatisation positive).
Je vous invite, selon où vous en êtes, à chercher, devant Dieu, autour de vous (des chrétiens, une église vivante), parmi les pages ou les articles précédents de ce site (sur la droite), ce qui pourra vous aider à avancer ainsi dans la connaissance qui change la vie. Et puis le contact est possible ici - si vous le sentez (les échanges ne sont pas mis sur le blog mais seront privés) . Soyez conduit-e pour la meilleure suite possible...
Une des manifestations du proverbe biblique (16.18) : "L'arrogance précède la ruine, et l'orgueil précède la chute."
Athée ! En cette nouvelle année,
En toute amitié :
Passe au café fort
Pour te réveiller !
Pour sortir d'un monde enclos
Qui capture la lumière vraie.
Athée,
Je l'ai été,
C'était ma tasse
Apportée par une école formée
Aux blafardes lueurs d'un siècle adolescent
Trépignant et balbutiant
Qui n'a pas su la mesure juste,
jetant l'eau sale des religions
Mais aussi le Dieu vivant.
Athée,
Prends du café noir,
Ta vie s'étiole, réveille-toi,
Dans tous les cas Dieu t'attend !
Sors des hasards, des faux-plafonds,
Des chaos d'un chemin aléa
Qui ignore les lois opérantes
Qui tournent contre toi, tant que tu ne les trouves pas.
Athée
Ouvre tes yeux,
Regarde le monde dont le mal vient des hommes,
Mais qui brille encore des merveilles créées
Par un Grand Sage, intelligent plus que toi
Et moi ne le serons jamais.
Ouvre tes yeux,
Prends du café - on se comprend -
De la réflexion, de la hauteur, de l'humilité
Du recul, du temps à part de ce monde titanique
Qui se brise déjà ;
Et Dieu pourra te faire l'insigne grâce
De se laisser découvrir par... toi !
:
Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.