Tout est lié et relié.
Ne nous laissons pas enfermer dans une forme de schizophrénie par une opposition suscitée par les médias qui n'arrêtent pas de nous stimuler pour demander (réclamer, revendiquer, désirer, convoiter, espérer, être tenu en haleine...)  toujours plus de pouvoir d'achat - attendu de qui ? comme si l'Etat avait en justice les moyens de donner du pouvoir d'achat ! -, alors que LA crise est là.
Parce que du pouvoir d'achat sur base d'iniquité(s) n'est qu'une aide de plus qui va tourner au vinaigre et à l'aigreur avant longtemps.

QU'EST-CE QUE LA CRISE ?

C'est la situation planétaire globale qui s'organise par un faisceau de crises si diverses que cela devrait davantage nous interpeler sur la problématique qui monte - comme un stunami se prépare :
crise climatique,
crise économique,
crise politique,
rise sexuelle et crise de l'identité,
crise migratoire,
crise des egos et de la connaissance,
Crise de la vérité,
crise démographique,
crise du surarmement et tension guerrière,
crise des matières premières...

C'EST QU'ON EST A LA FIN...
La fin d'un système intermédiaire post-chrétien et pas encore pleinement totalitaire.

La fin du "temps de la grâce", qui bascule en temps de jugement collectif, cette fois planétaire. Ce que les politiques appellent "nouvel ordremondial" ou encore "gouvernance mondiale".

A l'heure où l'on ne sait même plus gouverner sa famille pour qu'elle ne se décompose pas, ou gouverner une nation, on s'enfonce dans l'illusion de mieux pouvoir gouverner le monde si on le fait à partir d'une poignée d'individus (un groupe oligarchique réduit à quelques familles dont la force est le capital et les moyens de productions).
Selon ce schéma, il FAUT réduire massivement les populations : comprenne qui voudra.

Comme face à la canicule, cherchons donc plutôt a minimiser nos mouvements et efforts, plutôt que de bouger toujours plus (en avion, train, métro, événements...), c'est-à-dire n'aspirons pas forcément à avoir - à recevoir -  plus d'argent pour en dépenser plus.
Mais plutôt cherchons à vivre en minimaliste, car demain on sera très malheureux si on ne s'est pas préparé à vivre avec moins, voire bien moins.

CLIVAGE MAJEUR

Maintenant on peut aussi dire : Buvons et mangeons, tant qu'on peut, profitons et qu'après moi le déluge, car de toutes façons demain nous mourrons.

Sauf que les jugements ne s'arrêtent pas dans les tombes ou les urnes de crémation ! Et s'ils ne produisent pas en nous de bonnes réactions, vers l'humilité, le contentement, et une foi authentique dont fait partie la reconnaissance pour ce qu'on a (eu) de bien, le jugement se poursuivra aussi post mortem, l'âme ne mourant pas avec le corps comme on devrait tous le savoir.

Et pour quelqu'un qui prend au sérieux ce qui se passe dans le monde, pour quelqu'un qui veut avoir les yeux réellement ouverts pour voir comme il faut voir, ici des articles parlant sur le moyen de "se sauver" de cette génération que dominent corruptions et perversités, et >> une page avec quelques prières pour aider à faire la vôtre en vue de la grâce de Dieu en votre faveur << 

Soyez sauvé-e !