Épinglé : Je pense qu'il y a dans la Bible au moins un psaume dans lequel nous pouvons trouver une réponse, un secours, une direction, une prière, appropriés à notre situation.
La foi consiste à faire nôtres ces paroles de tout son coeur.
Et d'autant nous irons ainsi dans une quête de vérité, de réponse judicieuse, de solution véritable, de connaissance et de communication avec le vrai Dieu et ses grâces divines, d'autant nous comptons sur l'Esprit de Dieu (en priant ou en nous attendant à lui) pour nous conduire et nous parler personnellement, en situation, d'autant nous réalis(er)ons combien Dieu est réel, vivant, a l'oreille fine, et n'est pas du tout si loin de nous.
Le psaume peut être écouté (en cliquant sur un n° de verset)
UNE SITUATION UN PSAUME
Psaume 93 - Proclamation de foi
"1L'Eternel règne, il est revêtu de majesté, L'Eternel est revêtu, il est ceint de force. Aussi le monde est ferme, il ne chancelle pas.
2Ton trône est établi dès les temps anciens; Tu existes de toute éternité.3Les fleuves élèvent, ô Eternel ! Les fleuves élèvent leur voix, Les fleuves élèvent leurs ondes retentissantes.
4Plus que la voix des grandes, des puissantes eaux, Des flots impétueux de la mer, L'Eternel est puissant dans les lieux célestes.
5Tes témoignages sont entièrement véritables; La sainteté convient à ta maison, O Eternel ! pour toute la durée des temps."
Annexes :
Pour un tour panoramique des psaumes selon leurs thèmes principaux, >> ici une page pour vous <<
Pour une ou des prières de mise en paix et relation avec Dieu >> cliquer ici <<.
C'est bien connu que Dieu et hors du temps. Etant éternel, il n'est pas dans le temps qui défile comme pour nous d'un présent qui devient passé vers un futur qui n'existe pas encore. Il voit tout ce qu'il veu, de n'importe quel temps comme à n'importe quel endroit.
Pas la peine d'être jaloux ! Il est Dieu et nous... si peu de chose.
Mais aussi il se sert de nous, quand il veut se faire connaître parmi nous, ou quand il veut nous avertir de ce qui va suivre.
Lisez ce qu'il a donné comme vision prophétique à une très vieille chrétienne il y a 55 ans. Elle y parle de ce qu'elle n'aura pas eu le malheur de connaître de son vivant, de ce que Dieu par contre savait vers quoi l'humanité se dirigeait.
Commentaire :
"Vue lucide qui devrait la rendre ou la donner à plusieurs. Car c'est un fond de la connaissance de soi que :
1/ ce qu'on reproche aux autres, c'est le plus souvent notre propre problème. Fondement > La Bible, Nouveau Testament, lettre aux Romains (que nous sommes tous !?) ch. 2, vers. 1.
2/ La Loi (ou religion) est "un ministère de mort" (dans la même section du même livre, 2e lettre aux Corinthiens (nous en sommes tous !?) vers. 6 à 9, "un ministre de condamnation". Si l'humanité comprenait ce passage, la face de la terre en serait changée !
3/ autre expression biblique de cette loi fondamentale (universelle, élémentaire, de notre psychologie) : "la Loi (ou religion) produit (ou provoque) la colère" (lettre aux romains que nous... chap. 4, vers. 15).
Ce que les faits prouvent absolument.
Par Loi il faut comprendre TOUTES lois dans ce qu'elles ont d'ordre MORAL, qu'il s'agisse de ce qu'on appelle religion, ou de ce qu'on appelle laïcité (D'ailleurs le "philosophe" Peillon a nettement vu la laïcité comme une religion en devenir...).
La clé donc face à toute loi qui est ou qui se veut morale, se trouve dans la compréhension de : Pourquoi Dieu permet des système religieux (religieux ou athée) ?
La lettre le dit aux Romains qui veulent savoir (ch. 5, v. 20) : "La loi est intervenue pour que l'offense abondât..."
Pourquoi ?
Pour que, notre conscience perso étant endormie ou séquestrée (par exemple par e conditionnement sociétal qui nous a construits), une loi écrite, lisible, extérieure à nous, vienne nous montrer que plus on veut être et se conduire en être moral, plus ce qui est tapi au fond de notre cœur (que la Bible appelle "la loi du péché") monte à la surface, afin que nous ne nous leurrions pas sur nous-même !
Et tout ça est bon... si on est intègre de cœur, désireux de se voir tel qu'on est véritablement. Sinon, on sait (normalement) ce que Jésus a dit les religieux...
Mais pour les intègres qui veulent en sortir, l'apôtre Paul (un religieux passé à la Grâce de Dieu) a observé, analysé et écrit le descriptif magnifique (communiqué aux Romains, ch. 7, vers. 14 à 25) :
"Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair : j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ;mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?...
Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur !...
Ainsi donc, moi-même, je suis par l'entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché.".
Voilà tout le sens de la religion, de notre condition problématique dominé par les forces obscures qui nous habitent (d'autant on n'a pas ou plus de fondement du bien en nous), et de la Bonne nouvelle de la Grâce qu'apporte Jésus à quiconque aspire à (re)trouver son identité véritable, primordiale, de créature de Dieu.
Bref un article que j'apprécie au point de le mettre en lien sur mon blog... avec ma réponse. Merci Franck C."
Merci de participer à diffuser vers les intéressés si vous le pouvez
Faut-il que nous soyons indécis, que la médecine ne sache pas mieux qu'existe dans notre vivant une composante majeure distincte qui s'appelle l'âme (ou psychisme, du grec psuché), et que des parents croyants ne secourent pas mieux leur fils (ou époux) par leur intervention !
Mais que cela ne soit pas une fatalité qui laisse impuissant devant l'adversité.
Car on peut heureusement pallier à ce manque terrible, cruel, sociétal, vis-à-vis de la lumière de l’Évangile, par de la connaissance et en accueillant l'amour de la vérité nous concernant et concernant Christ.
FAIRE PARLER LA BIBLE
En ouvrant la Bible, on peut lire ce fait d'actualité d'alors rapporté par le médecin grec Luc (chap. 13) : "En ce même temps, quelques personnes qui se trouvaient là racontaient à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mêlé le sang avec celui de leurs sacrifices. Il leur répondit : "Croyez-vous que ces Galiléens fussent de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu'ils ont souffert de la sorte ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. Ou bien, ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu'elle a tuées, croyez-vous qu'elles fussent plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également."
Le fondement de notre condition est que nous sommes tous des "pécheurs", des "pécheresses", ce qui n'est guère flatteur nous l'admettons bien volontiers. Cela signifie étymologiquement des gens qui manquons régulièrement le but du bien. Pécher, mal faire (dire, penser), c'est toujours ne pas faire ce qui est bien (bien dont Jésus a dit que l'amour de Dieu déversé dans nos cœurs est la clé).
Et donc laissons-nous un peu remettre à notre place, à notre plus juste hauteur, car il vaut mieux être abaissés par une parole biblique plutôt que de jouer les arrogants. Selon que la Bonne Nouvelle de l'attitude de Dieu en face des pécheurs, c'est qu'il fait grâce aux humbles, alors qu'il résiste aux orgueilleux.
Et donc, voilà à quoi contribue, dans son état, indirectement mais combien activement, Vincent Lambert - l'épreuve étant globalement ce qui révèle le mieux ce qu'est le vrai fond de nos cœurs.
LA FOI À METTRE EN PRATIQUE
Alors maintenant soyons pragmatiques. C'est-à-dire devenons spirituels. Comprenons que les accidents graves ne nous arrivent jamais par hasard ! J'en ai connu un limite, et j'ai appris la causalité sous-jacente qui existe là (comme partout ailleurs dans l'univers).
Donc, on doit admettre, pour cet accident tragique, qu'il y a quelque part au moins une faute caractérisée commise par Vincent, dont l'aboutissement fut ce qu'il supporte encore... et pourrait supporter encore au delà de sa mort physiologique, tout ne finissant assurément pas par un encéphalogramme plat, le refroidissement du corps étant l'expression causale de la sortie finale et migration de l'âme (quand le lien entre les deux corps, physique et psychique, est rompu).
La foi chrétienne n'est pas prise de court dans tous les cas, puisque nous pouvons prier sous ces diverses formes pour le pardon des péchés (dans la mesure où nous savons et avons quelque prise de conscience de ces vérités spirituelles, avançant humblement, avec contrition et/ou compassion pour qui en a besoin).
Dans l'idéal ici, il conviendrait que les parents ou l'épouse parlent à Vincent qui, fort probablement, entend tout ce qui se dit, puisque le réceptacle des sons (des images, etc...) c'est l'âme. Lui disent qu'il a à demander (intérieurement) pardon à Dieu pour ce qu'il a fait lui-même de mal. En demandant à Dieu de ramener au plan de sa conscience ce qu'il peut avoir oublié et doit être à confesser...
Pour l'avoir fait récemment avec une tante qui ne bougeait plus, je l'ai vu, par le mouvement de sa mâchoire inférieure se mettre à parler à Dieu, répétant après moi des paroles de repentance et d'abandon à Dieu pour être reçue dans son Royaume.
Après de longues semaines de stagnation, elle partit moins de deux jours après. La Bible parle de ces cas de rédemption in-extremis, comme ce fut pour un des deux brigands crucifiés à côté de Jésus, qui fut ainsi sauvé par pure grâce, au dernier moment, par sa foi).
Et quelqu'un peut-être pourra avoir à demander pardon à Vincent, ce qui pourra libérer l'un(e) et l'autre (le pardon demandé et accordé est une puissance qui libère).
VENIR AU BÉNÉFICE DU SACRIFICE DE JÉSUS
Car pourquoi Jésus est-il mort, si ce n'est pour que les pécheurs et pécheresses puissent être libérés et mis en paix avec Dieu par le pardon qu'il désire toujours accorder aux âmes repentantes ?
En témoigne aussi l'épisode fameux de la femme adultère (Évangile selon Jean, ch. 8) ;
ce que dit aussi cette parole du même disciple (ch. 3) : "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises."
Dans la Bible, on voit encore la compassion de quatre amis qui font descendre devant Jésus un grabataire sur son lit. A la vue de la foi de ces amis, Jésus dit à l'homme : "Mon enfant, tes péchés sont pardonnés.
Enfin, les apôtres Paul et Silas dirent au geôlier désespéré de la prison de la ville grecque de Philippes : "Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille."
Et ne le ferait-il pas avec Vincent si une vraie foi de ses familiers dans la vertu de la grâce christique est mise en œuvre ? Dieu lit au cœur : la croyance superstitieuse ou la foi mal placée ne procure que des déconvenues. Mais la foi au Christ Jésus mort pour nos péchés et ressuscité sauve !
Et il s'agit maintenant de libérer Vincent du fardeau de ses fautes (voire d'autres, antérieures) pour le laisser rencontrer celui qui veut réellement maintenant devenir son Dieu.
Alors, parents ou amis croyants qui pouvez approcher Vincent, soyez, devenez de vrais intercesseurs afin que la gloire de Dieu, visible ou invisible et de toute façon déjà manifestée en Jésus ressuscité, puisse devenir sans plus tarder le partage bienheureux de Vincent.
La Pentecôte arrive ce week-end et lundi prochain.
Comment allez-vous la vivre ? En étranger désintéressé, ou en curieux désireux d'enrichir sa vie par les meilleures connaissances qu'on puisse avoir du Réel ?
La fête de la Pentecôte arrive 50 jours (du grec penta = 5) après la fête de(s) Pâque(s) juive et chrétienne.
De quoi est-on censés se souvenir à ces occasions calendaires ?
A l'origine la Pentecôte s'appelait Chavouoth (en hébreu semaines).
Avec Pessa'h ("la Pâque") et Souccot (qui signifie cabanes ou tabernacles), c'était les 3 principales fêtes instituées par le Dieu de la Bible... l'inventeur du jour de repos hebdomadaire et des jours fériés (jour de vacances, de réjouissances) !
Pensez qu'après plus de 400 années passées en esclavage, le peuple hébreu (israélites ou juifs c'est tout pareil) avait de quoi apprécier que le Dieu de leurs pères génétiques (Abraham, Isaac et Jacob) leur offre un jour de repos par semaine et en plus au total 7 fêtes annuelles ! Rien de plus humain et social en cette époque primitive de civilisation !
Et donc la 1ère de toute les fêtes annuelles était Pessa'h, ce qu'on traduit par la Pâque.
RAPPEL HISTORIQUE SUR L'ORIGINE DE LA PÂQUE
L'apparition de la Pâque est liée à cette fin et sortie de l’esclavage d’Égypte justement.
Pour ce faire, l’Éternel-Dieu avait demandé à chaque famille descendante de Jacob, de badigeonner les montants de leur porte d'entrée de sang pour les garder de l'ange de la mort qui une certaine nuit descendit faire mourir (à cause de l'obstination du Pharaon qui voulait tenir tête à Dieu) tous les petits-nés des humains et des animaux.
La vertu du sang nous apprend la bible, est dans le fait que cette substance est le support physique de l'âme (le moyen de son attache au corps), et que, pour que l'âme d'un coupable ne meurt pas (ne soit pas séparée de son corps, ce qui provoque la mort physique), il faut qu'une autre âme meurt à sa place - en l'occurrence on sacrifiait alors un animal innocent, au sang pur.
Et comme tous les israélites avaient pu ainsi être épargnés puis libérés, dès qu'ils furent hors d’Égypte, Dieu leur dit de faire dès cette libération accomplie un mémorial, une fête du souvenir, qui reprenne ce moyen de protection et de donc de pardon pour quiconque se l'appliqua, que fut le sacrifice d'animaux innocents (on lit ici dans le livre de l'Exode ch. 12).
Cette méthode et ce rituel se perpétuèrent pendant environ 1 400 ans, temps où Jésus paraît comme étant "L'agneau de Dieu qui ôte le péché (le mal) du monde"(Jean 1.29).
Après avoir démontré sa singularité par ses paroles, des guérisons et autres miracles tout à fait inusités, Jésus a effectivement, comme annoncé par avance, l'agneau dans la force de l'âge qu'on mène à la boucherie afin que son sang soit versé pour la rémission (l'expiation, l'effacement, le pardon) des péchés (du mal fait aux autres et des offenses envers Dieu).
Sur les annonces prophétiques qui rendent la crucifixion de Jésus pleine de justice et de sens, on peut lire par exemple Ésaïe ch. 53, le psaume 22, Zacharie 11. 12,13.
Ainsi la fête de la Pâque fut accomplie une toute dernière fois, spiritualisée par Dieu lui-même en la personne de Jésus livré en sacrifice pour le rachat (possible, potentiel) de tous de la main du démon Satan qui, depuis le premier couple humain, s'était rendu souverain de la terre. (Hébreux ch. 2)
RAPPEL HISTORIQUE SUR LA PENTECÔTE
la fête de de la Pentecôte arrive au terme des semaines qui contribuent à la pousse des céréales jusqu'au moment joyeux de la moisson.
Par la suite, la tradition rabbinique a aussi fait judicieusement coïncider cette fête avec le don de la Torah (fondement du judaïsme) à Moïse sur le mont Sinaï.
La Torah ou Loi étant l'ensemble des (613) articles de lois qui forment une véritable Constitution par quoi régler les vies personnelles et en société. Loi dont les 10 commandements ou Paroles sont le noyau central dur, gravés dans la pierre du doigt de Dieu...
Par la suite, là aussi quand le temps en fut venu, une manifestation de Dieu dans la chair humaine (à distinguer d'une manifestation divine en chair de Dieu ou théophanie) la fête de la Pentecôte a été activée par Jésus (Dieu fait homme né de la chair) et spiritualisée pour l’avènement d'une ère et humanité vraiment nouvelles, celle-ci ayant obtenue la vie éternelle de Dieu (éternisation de l'âme par réconciliation et alliance spirituelle avec Dieu).
Ainsi Jésus fut glorifié après sa résurrection et élevé par une ascension céleste, 40 jours après sa mort. Là, partageant le trône éternel de Dieu, il a présidé dans son nouveau corps au don du Saint-Esprit aux hommes. Celui-ci se répandit parmi le genre humain, descendant notamment comme des langues de feu sur 120 disciples de Jésus demeurés dans l'attente de l'accomplissement de cette promesse. (Actes des Apôtres ch. 2)
IMPUISSANCE DES LOIS RELIGIEUSES CONTRE FORCE DU PÉCHÉ
Ainsi ce don qui figure le nouveau mode (d'appropriation) de la justice de Dieu - ce qu'on appelle la grâce, la rédemption, le salut, le rachat... - vint se substituer très favorablement à ce qu'exigeait la Torah ou Loi écrite, c'est-à-dire une obéissance par la force de notre âme (pécheresse, amoindrie, détraquée, imparfaite) à une loi parfaite.
A cette mission impossible, imposée par Dieu pour que chacun se juge objectivement et se trouve immanquablement pécheur/pécheresse, perdu-e car incapable jamais de plaire à Dieu par lui-même, Jésus seul à pu répondre parfaitement pendant tout le temps de son périple terrestre. Par son obéissance parfaite, il a pu nous délivrer des commandements en tant que force extérieure à nous à laquelle il faudrait sans cesse veiller d'obéir, ou sacrifier (des animaux) pour effacer nos fautes.
Ce qui me fait dire qu'aucune religion n'a le pouvoir de faire de nous des gens-bons, car aucune n'a le pouvoir de tuer le cochon... qui est en nous ! Ce que la Bible appelle "la loi du péché".
C'est ainsi que la Nouveau Testament est venu s'ajouter au Tanak (la Bible juive) qui devint l'Ancien Testament. Un lieu d'écritures qui demeure de référence à plus d'un titre, mais qui n'est pas - qui n'a jamais été - le moyen pour obtenir la paix avec Dieu et avec tous nos concitoyens.
Car depuis maintenant bientôt 2 000 ans, c'est seulement par la foi au Fils unique de Dieu vivant, en sa mort sacrificielle, en sa résurrection et en sa capacité de nous sauver d'une perdition psychique éternelle par son Esprit qu'un retour à Dieu s'opère véritablement. Ce qu'on appelle aussi à partir du grec l’Évangile, ce qui signifie "bonne nouvelle" de Jésus-Christ.
UN DÉTAIL CAPITAL
on peut chacun bénéficier de jours fériés ou d'un pont par la grâce des fêtes judéo-chrétiennes. Mais ce n'est là comme bénéfice qu'un verre d'eau d'une rivière ! Dieu a tellement mieux en réserve pour nous. "Le ruisseau de Dieu est plein d'eau" !
Mais il ne nous veut pas seulement des spectateurs d'une scène heureusement vécu par d'autres. Il ne veut pas que nous soyons ce genre d'assistés profiteurs qui veulent bien prendre ou recevoir mais sans jamais s'investir, donner en retour : ils auraient un tellement meilleur bénéfice s'ils entraient dans la dynamique du partage réciproque, des échanges mutuels !
Bref, ici il est question de la vie spirituelle, qui est de la nature ou essence même de Dieu. C'est la vie jusque dans sa dimension éternelle, par opposition à ce qu'on est en tant que corps et âme, doublement mortel : Une première fois dans notre dimension physiologique, quand l'âme se détache du corps. Et une autre fois, si nous ne sommes pas réconciliés avec Dieu, lorsqu'il n'y aura plus pour circonscrire tout ce qui sera resté malqu'un ardent étang de feu et de soufre. Ce qui est "la seconde mort" est-il dit dans l'Apocalypse. La part dernière de ceux qui n'auront pas voulu entrer selon la règle dans le bénéfice de la justice de Dieu. La règle étant de réaliser qu'on a besoin d'être pardonné de nos fautes, de demander ce pardon qui s'obtient par la foi en Celui qui l'a mis à notre portée : Jésus.
Dieu crée ainsi de sa bouche, par son souffle exprimant les paroles de ce qu'il a conçu et de ce que veut sa volonté.
Ce souffle de Jésus est doublé de ce qu'il dit : il est ainsi décomposé en deux temps et réalités pour qu'on comprenne mieux ce qui se fait.
Ce souffle est créateur d'une nouvelle structure de vie en l'homme condamné à mourir à cause du péché. En grec il était parlé par les anciens du logos spermatikos (on pourrait traduire par parole séminale, fécondante). Et dans le Tanak (Bible des juifs) le Messie (pour eux à venir, pour nous déjà venu) est appelé "le germe", c'est-à-dire le cœur d'une semence.
Ainsi Dieu sème, ensemence, engendre en mettant, en enterrant sa vie dans l'humain... qui se réconcilie avec lui. C'est ce que Jésus appelle par ailleurs "naître de nouveau", naître une seconde fois, cette fois-ci par une naissance comme intra-utérine, dans ce monde, pour une manifestation qui ne paraîtra qu'au delà de cette matérialité. Quand ?
Après la fin de ce corps mortel, en rapport avec et pour la création tout autre qui va suivre la fin de celle-ci : le Paradis véritable, qui n'a encore jamais été.
Ainsi Dieu crée encore des êtres humains d'une race totalement à part de ce que produit la naissance physique. Il crée comme on greffe un sillon d'un arbre qu'on veut voir grandir sur un tronc plus vieux d'une autre espèce qui, de ce qu'il est, va devenir tout autre chose.
On fait ainsi par exemple produire un plant de tomate et des tomates à (sur, à la suite)d'un pied d'aubergine.
Le parallèle avec la façon dont la terre est organisée par la médiation des mots prononcés par Dieu est clair (pour qui veut voir - relire Genèse chap. 1). "Car il dit, et la chose arrive ; Il ordonne, et elle existe." Psaume 33.
ÊTES-VOUS NÉ-E DE DIEU ?
C'est la principale question, après la conscience que Dieu existe et que Jésus a été sur la terre ce que la Bible en dit, la plus conséquente de tout votre présent et devenir éternel.
Il faut que vous soyez au clair à ce sujet. Si vous ne voulez pas que toute cette parenthèse d'existence - qui aura essentiellement servi à ce que vous soyez formé-e en tant qu'entité individuelle, qu'un moi, un ego conscient de lui-même - sombre dans une perdition (déconscientisation ou mort sans retour en tant que personne) à jamais.
à suivre...
Prière-guide ici si vous voulez maintenant venir à Dieu pour entrer dans son alliance de paix véritable
On ne saurait trop le redire, dans un monde qui se perd (repères, valeurs, sens général, directions particulières... et même pouvoir d'achat !) : Dieu existe et Jésus est vivant !
CROIRE QUE DIEU EST UNE PERSONNE RÉELLEMENT VIVANTE !
Pour vivre régulièrement des expériences avec lui depuis plus de trente-cinq ans, et compte tenu de mes propres difficultés et insuffisances, je peux assurer que le Dieu véritable est un Dieu fidèle, qui ne manque pas quand on l'invoque... et même quand parfois on se déroute (Il sait nous retrouver).
Telle est la vérité la plus essentielle que nous ayons non seulement à connaître de manière intellectuellement (par notre âme), mais encore à connaître par notre esprit et son Esprit. C'est-à-dire dans une relation vivante, rapprochée, qui vient et tient de la connaissance que nous pouvons avoir, lui de nous et nous de lui.
Relation faite d'expériences de ses réponses à nos prières ou attentes ; parfois de ses silences - qui n'ont d'autre but que de nous interpeller, pour une raison ou une autre - à rechercher - ; aussi de muscler notre foi pour que nous ne croyons pas seulement quand nous (le) ressentons.
Relation faite aussi bien sûr de ressentis, comme par exemple le bien dans notre cœur quand on expérimente un exaucement de prière, ou face aux merveilles de la nature, ou quand nous lisons avec à propos des paroles qui viennent de lui.
On ne doit pas se contenter de savoir qu'il y a deux mille ans Jésus a rendu vivantes des paroles de Dieu à deux disciples en train de perdre la foi (lire ici), mais on doit croire que par le même Esprit, il peut aujourd'hui, à nous personnellement, parler d'une manière toute surnaturelle ou d'une autre.
PAROLE(S) DE DIEU : DIEU PARLE TOUJOURS
Si toute la Bible est parole(s) inspirée(s) du Dieu souverain, quand nous n'avons pas une direction particulière de l'Esprit, le livre des Psaumes est comme une source abondante d'affirmations et de promesses par lesquelles il peut nous parler, établir une relation avec nous.
Hier soir par exemple, je ne me sens pas suffisamment près de Dieu, notamment sans direction spirituelle. Au bout d'un moment je décide de me placer devant la Bible, demandant à Jésus de me conduire où il a quelque chose à me dire.
Il me rappelle (par une pensée qui me vient) "psaume 84", qu'il m'a déjà dit de lire 2-3 semaines en arrière (et dont j'ai a priori oublié le contenu).
En lisant je me rappelle du texte, mais surtout l'Esprit me met en relief le verset 6 "Heureux ceux qui placent en toi leur appui ! Ils trouvent dans leur coeur des chemins tout tracés." J'approuve cette affirmation et demande alors à voir dans mon cœur quel chemin...
Puis au verset 12 je lis une autre affirmation (que je connais, mais on est si oublieux !) qui m'interroge "l'Éternel Dieu est un soleil et un bouclier, L'Éternel donne la grâce et la gloire, Il ne refuse (ou retient) aucun bien à ceux qui marchent dans l'intégrité.". Il me semble que je marche dans l'intégrité !? Mais l'Esprit tout-divin me fait sentir que non ! Il y a un problème !
Comme je ne vois rien je m'humilie et demande sa lumière : Il me montre ce que je n'ai pas réglé, qui peut se régler - et qu'il est préférable de le faire - avant la fin du jour (si je veux être rapproché de lui).
Ce que je fais, et que l'Esprit atteste en moi.
Le lendemain matin, un, deux, trois chemins se tracent en moi, dont a résulté cet article.
Le Psaume 23 commence avec une affirmation similaire "L'Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien."
Cette fois c'est notre part de croyant de croire et d'affirmer que si je prends le Dieu de toute éternité comme conducteur de ma vie (comme un berger conduit les brebis/moutons qui lui sont confiés), je ne manquerai de rien !
Car si cette affirmation venue de David (le berger/poète/roi) est écrite là, c'est qu'il s'agit d'une vérité sur laquelle tout croyant authentique peut fonder sa foi. La part de Dieu est alors de répondre en rapport de notre foi, c'est-à-dire ici de faire qu'on ne manquera de rien.
On peut noter que le verbe manquer est au futur. L'affirmation est donc une promesse de Dieu. Il la tiendra quand il jugera que c'est le meilleur pour nous, et encore quand il pourra ! Puisqu'on vient de voir que peuvent exister des obstacles de notre part (manque d'intégrité mais aussi d'autres), qui empêchent Dieu de nous accorder tout le bien dont il veut nous pourvoir.
- Distinguer le bien du mal, avec, d'une manière générique "nos manifestations mauvaises", "les 10 commandements", le danger des contacts occultes, et en vis-à-vis "le fruit de l'Esprit" (ce vers quoi nous devons tendre pour le pratiquer par la force de la vie nouvelle de Christ en nous et la foi.
(Pour mieux cerner le mal selon Dieu qui pourrait vous concerner, voyez vous-même avec le Saint-Esprit pour qu'il vous conduise à voir/trouver ce qui vous est tout personnellement problématique).
Dieu s'occupe de tous les hommes.
Même de ceux qu'il abandonne à eux-mêmes... pour qu'ils atteignent plus facilement la vue du fond de leur cœur, car c'est dans l'épreuve qu'on se révèle le plus ce qu'on est vraiment. Aux autres, mais surtout il faut que ce soit à soi-même !
Car apprendre à se connaître est primordial... si du moins on ne veut pas passer cette existence à souffrir en refaisant plusieurs fois le même genre d'erreur.
Car la vie - celle-ci - est une école. L'avez-remarqué ? Si non, vous n'apprenez rien ! Si oui, il y a tant de choses à découvrir, de l'émerveillement de l'amour véritable ou de ce que nous découvre la biologie, aux horreurs de nos vices égotiques, nos penchants égocentriques, notre duplicité, la traitrise dont on est capable, toutes sortes de peurs et ce qu'elles peuvent nous faire faire, ou manquer !...
N'est-ce pas cela que nous somme ? Chacun une somme contradictoire de quelques belles choses, et d'une somme triste et obscure de critiques, de jugements à l'emporte-pièces, de mépris ou de cynisme, d'orgueil et de fatigue, de grandes envolées et de chutes vertigineuses : On est tous Icare !
L'homme !? Un curieux cocktail qui devient de plus en plus détonant, avec de la culture de méninges comme on dit - en fait un développement de la puissance de notre âme avec ses capacités psychiques. Et développer le mental, l'intellect ou quelque chose qui y ressemble, c'est se trouver une force bien difficile à gérer en réalité.
Car nous sommes des êtres abîmés, mal sortis du giron divin et en payant la note (par toutes sortes de ruptures douloureuses) avant d'avoir compris ce qui nous arrive.
Nous disons que nous ne croyons qu'à ce que nous voyons ! Mais on est plus aveugles qu'éclairés sur le Réel dans son entier.
Qui est aussi fait de ce qui ne se voit pas mieux et pas moins que dans le très petit (de la physique quantique) - par ses effets -, et qui s'étend dans le très grand, par une transversale qui va de Dieu à Satan, ce qui nous gêne beaucoup, nous dualise, nous schizophrénise, et on ne sait pas ce qui se passe. Et pire encore, on ne cherche pas sérieusement les causes maîtresses : on ne cherche plus qu'un remède à avaler, et on en avale des choses !...
Et on avance, car les aiguilles trottent sans arrêt au cadran de la montre ou du portable, en se soumettant et/ou en résistant, plus ou moins, mais avec un minimum de conscience (qui fait peur, ou devrait nous faire peur !) de si en fait on fait bien ou on fait mal.
Car le bien et le mal dans son objectivité prédéfinie - et non dans nos conceptions individuelles ou collectivisées - nous devient étranger, sans importance, comme la mort en fait, qu'on a banalisé pendant quelques décennies sans pouvoir s'en défaire, et qu'on veut maintenant apprivoiser pour jouer - on joue à se tuer ! -comme un enfant sur un nid de cobra ! Mais a-t-on seulement la moindre idée ou connaissance sur ce qui suit la mort physique ?
Je vous invite à lire cet article si ne voulez pas être surpris-e dans votre ignorance : Les 5 types de mort (cliquez dessus).
Johnny est mort (un exemple parmi tous les autres). Mais l'album posthume qu'on sort de ses dernières sueurs (car il se donnait) met plus en mouvement l'émotion et les jambes pour vite pouvoir l'écouter - tout comme s'il était encore là - que sa mort qui devrait faire bouger l'âme, interroger encore n'importe lequel de ses fans tant qu'il ne sait pas où on va après la mort ! Non !?
Savez-vous où est Johnny en ce moment et pour longtemps ?
Sous la terre, dans une tombe ? Non ! Le corps tombe et retourne à la poussière d'où l'humain comme l'animal a été créé. Mais l'âme, le siège ou support de Johnny en tant que personne à part entière, avec ses sensations, ses réflexions, sa mémoire, et avec une volonté qui ne peut plus faire comme sur la terre, où est-elle ? Où est-il ?
Et vous, où irez-vous ? Vivez-vous comme une personne qui est montée, voire née dans le 1er train venu, et se laisse porter sans la moindre idée d'où il va et quand il faudra descendre - et pour continuer où, et quoi, et avec qui ? Est-ce que c'est ce qu'on peut appeler raisonnable ?
Peut-être même avez-vous une certaine croyance, en un au-delà, un paradis des chanteurs et un paradis des boxeurs, ou avec des vierges qui vous attendent... Permettez-moi de vous dire : Faut se réveiller ! Car même la meilleure religion u monde n'a pas le pouvoir de sauver le moindre homme, la moindre femme ! Renseignez-vous bien, en cherchant la vérité...
Et ainsi, ne connaissant pas Dieu en esprit et en vérité, ce sont ses lois d'encadrement morales qui jouent, contre lesquelles en aveugle on se jette ou on se heurte.
Nous avançons ainsi tous vers la mort* et la résurrection**. Et la première se voit suffisamment pour qu'on s'interroge sur la suite.
Dans tous les cas, nous n'avançons toujours que par deux versants possibles.
Celui des voies de la connaissance fondée sur du rocher*** - qui induit bien sûr une obéissance, bien comprise, et des bénédictions, autrement inatteignables - ;
Et celui des épreuves, des souffrances qui pourraient être évitées - comme des contraventions ou la prison peuvent être évitées. Sans doute aussi un AVC ou autres problèmes majeurs****...
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* Pour plus de détails comme déjà dit, vous pouvez lire Les 5 types de mort
**** Dans nos épreuves il y a toujours plusieurs aspects positifs :
a) elles sont des jugements portés sur nos comportements, ce qui établit par cette forme de justice que Dieu existe bel et bien : "Si l'on fait grâce au méchant, il n'apprend pas la justice : il s’adonne au mal dans le pays de l’intégrité et ne tient pas compte de la majesté de l’Eternel."
Quand quelqu'un est licencié, c'est peut-être qu'il a trop "profité" de l'entreprise, ou qu'il a trop tapé dessus par ses paroles malveillantes, et comme l'un ou l'autre n'est pas bon pour l'entreprise, on coupe ainsi la branche sur laquelle on est posé ! Idem dans le couple, le pays, et avec Dieu... etc.
b) elles tiennent de l'avertissement : Quand une femme qui trompe son mari est surprise et menacée par la loi d'être lapidée, Jésus la sauve in-extremis en lui disant "Va et ne pèche plus." C'est dire que la honte de ce qu'elle a été découverte et exposée ainsi à la foule lui est comme un avertissement dont elle a désormais à réellement tenir compte.
c) les épreuves les plus lourdes - qu'il vaut mieux comprendre comme des retours de boomerang que comme des tuiles qui nous tombent dessus par hasard, par pure malchance -, sont aussi préventives, en ce que notre comportement ainsi jugé était déjà soumis à une influence démoniaque - ce qui fait les addictions - qui à terme conduisait notre âme directement dans "le séjour des morts" tenu par les esprits satanisés (parabole de Lazare et du mauvais riche).
Il y a donc toujours quelque chose à apprendre ou découvrir quand une épreuve nous atteint. Sous forme de livre, de film ou de chant, plusieurs témoignent que d'avoir été atteint d'un cancer ou du sida les a conduits à trouver la foi qui délivre et sauve l'âme.
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DU VERSANT SOMBRE AU VERSANT QUE LA LUMIÈRE ÉCLAIRE ET RÉCHAUFFE
Le Dieu vivant et vrai s'occupe de tous, mais pas de tout !
Car il nous a dévolu (laissé) des plages de liberté, qui sont un avantage notoire sur le règne animal, mais aussi une responsabilité (personnelle et collective). D'où les jugements qui tombent par moment, avertissements et autres préventions - car il n'est pas non plus si loin que cela de nous !
Et donc changer de mode de fonctionnement ! Changer de pratique, changer de vie !?
Heureusement, que ce soit par la crainte d'avoir à payer encore plus cher, ou par un réel désir de vouloir se mettre en ordre et en paix avec Dieu, c'est encore possible.
Mais pour cela c'est à nous à adhérer à son plan de réconciliation et de sauvetage éternel des âmes, opération qu'il a mené et manifesté en et sur la personne de Jésus en laissant tomber sur lui le pire des châtiments. Non celui qu'il méritait, mais celui que nous méritions, à la fois tous et chacun !
Vous entendez bien ici qu'il ne s'agit que de notre foi placée au meilleur endroit (car nous avons tous foi en une chose, une valeur, une personne, une croyance ou une autre...).
Nous sommes tous des êtres aliénés, privés de liberté (entre autres) par des liens (malédictions) qui sont parfois de véritables chaînes, des boulets aux pieds ou à l'âme, dont les sources se trouvent dans des comportements humains qui ne respectent pas les lois divines (toujours bonnes) ni les lumières (de la conscience personnelle, d'une loi morale et/ou parfois des autres) qui tentent de nous alerter.
Il ne faut pas non plus oublier que la malédiction est le fond d'existence ordinaire de toute l'humanité ! Nous sommes tous en difficulté, parce que nous héritons tous au départ d'une nature abimée, d'une condition humaine si problématique que la mort doit venir y mettre un terme sur la terre. En fait une condition pervertie où le mal, génétiquement et psycho-génétiquement inscrit dans le genre humain, est naturellement dominant. Regardez un enfant (surtout laissé livré à lui-même pendant sa croissance), et vous le verrez sans trop avoir à chercher...
Dès lors nous avons réalisé qu'on a hérité d'un ou de plusieurs mauvais penchants du fait de comportements coupables de parents, grands-parents,etc... Mais aussi nous devons voir que de nous-même nous avons eu, choisi, développé, un ou des comportements transgresseurs - en infraction de ce qu'on connaît du bien et du mal à partir d'une loi morale et/ou d'une bonne éducation, et de notre propre conscience.
Bien que nous ayons été pour beaucoup formés par d'autres que nous-mêmes pendant des années, une part non négligeable de nos comportements personnels tient de choix qui engagent notre responsabilité individuelle. Ils nous rendent donc coupables aux yeux de Dieu, voire d'autres personnes, et nous devons en être pardonné si nous voulons connaître la grâce de Dieu qui efface les fautes et en amoindrit ou annule les effets encore actuels.
C'est en ce sens que Jésus enseigne par ce qu'on appelle "le Notre Père" et sa suite immédiate, que nous avons 1/ besoin de son pardon, et 2/ et de la nécessité de pardonner aux autres si nous voulons que Dieu nous pardonne effectivement nos propres fautes.
Et parmi les autres il y a dans le cas qui nous intéresse les parents, grands-parents et jusqu'à des arrière-arrière grands-parents, mais encore les oncles ou tantes qui ont pu être malveillants, les grands frères ou demi-frères qui ont abusé, etc... dont les fautes sont sur nous une charge, un handicap, un trouble de comportement, un mauvais travers, etc.
Si donc nous voulons en le comprenant, nous défaire d'un poids qui plombe notre existence, on est appelé à traiter ses choses sans rien laisser de côté... (sinon il faudra y venir ou revenir un jour ou l'autre quand on réalisera qu'il y a encore quelque chose qui ne fonctionne pas comme il faudrait).
C'est pourquoi j'invite le lecteur, la lectrice, qui a suivi jusque là, à se placer par la pensée devant Dieu afin de recevoir son secours le plus gracieux et immédiat en rapport de votre désir d'être libéré et aussi de ne plus continuer à vivre sous la domination de vos propres fautes et mauvais penchant(s), mauvaise(s) passion(s), addiction(s)...
PRIER Selon cette bonne disposition, voici comment vous pouvez prier :
- Dieu que je ne connais pas - ou si mal -, je viens à Toi maintenant, comme (un homme - une femme) en qui et sur qui le mal domine. Je te demande pour ma propre part de me pardonner tout le mal que j'ai fait... et de me montrer ce que j'ai pu oublier afin que je te le confesse et que tu me pardonne toutes mes fautes. (Là prenez le temps devant Dieu de nommer vos fautes, que ce soit des excès, manquements, méchanceté, mensonge, vol, et autres perversités..). Lui dire tout ce qui vous vient maintenant (et demain..) à la pensée que vous ressentez comme vous rendant coupable... Et pour tout ce que vous aurez avoué, demandez pardon, et croyez que Jésus en mourant crucifié prenait en fait sur lui la culpabilité et le châtiment que méritent nos fautes (nos péchés). A la suite vous pouvez dire) : - Merci de me pardonner de toutes mes fautes, et de me montrer celles que je ne vois pas encore pour qu'en les voyant je puisse aussi te demander pardon et en être purifié-e**.
Je désire également me remettre à Toi pour mon présent et mon devenir, dans ma volonté de renoncer au mal, de mieux connaître le bien et le mal selon Toi, afin de trouver en Jésus le gardien de mon âme, Celui qui me sauve de toutes les forces du mal - dont celle de la mort* et des mauvais esprits. (ce qu'il peut faire parfaitement puisque par sa vie offerte en sacrifice à notre place, il a vaincu les forces occultes du mal et la mort étant ressuscité et retourné auprès de Dieu devenu son Père sur son trône)***.
- merci Seigneur-Dieu de me donner ton Saint-Esprit, comme vie supplémentaire ; comme force pour discerner ce qui est le bien et le mal à quoi il faut résister ; pour ne plus avoir peur me sachant aimé-e et accompagné-e de Toi ; et comme vie contre laquelle la mort n'a aucune prise.
Je veux aussi te dire ce que je sais des fautes de mes parents et autres ancêtres dont les effets sont malédictions sur mon existence. (Ici vous nommez ce que vous avez noté..., et vous demandez à Dieu de pardonner - toutes ces offenses (fautes, horreurs, perversités, abominations...**), - ainsi que celles dont vous n'avez pas eu précisément connaissance qui peuvent avoir cependant un effet maléfique, - et de briser leur pouvoir sur votre personnalité et leurs effets sur votre existence) : - A Toi qui deviens maintenant "mon" Dieu, je demande par le nom de Jésus****, avec le pardon de toutes les fautes de mes ascendants de briser la force des malédictions ainsi mises sur moi (et sur mon couple*****) par la voie des liens familiaux générationnels. Merci Dieu éternel et Seigneur Jésus d'entendre ma prière et de m'exaucer en me faisant ainsi grâce. Amen.
Ne vous gênez pas pour me dire par le bouton "contact" en accueil ce que vous vivez de ces choses, voire pour demander plus d'explications ou d'aide. Bien cordialement. Jésus vous aime.
*** Pour une meilleure connaissance de Jésus et des pouvoirs de sa mort sur le mal, vous pouvez trouver plusieurs articles, dont celui-ci : Base juridique du pardon et de la guérison...
Soyez béni-e dans votre lecture. (Dis autrement : Que le Dieu vivant soit avec vous pour donner à cette lecture le relief qui vous concerne afin que vous soyez interpelé-e jusqu'à vouloir échapper aux effets de ce que vous découvrez de problématiques dans votre généalogie).
Les psaumes sont initialement des chants* dont les tournures poétiques des paroles se perdent quelque peu lorsqu'on les traduit. Mais cela n'ôte rien à la valeur ce qui nous est apporté là par des textes qui sont les plus anciens et les mieux conservés dont l'humanité dispose.
Dans ce psaume, on peut remarquer combien le roi David est comme nous un être en construction et en devenir. Parmi les personnalités connues de l'antiquité, il est un des rares à s'être autant approché de la connaissance de Dieu et de soi. Et de la sorte de la question de notre besoin de réconciliation et de trouver la paix avec le Créateur, c'est-à-dire la solution satisfaisante - qui tient à la fois de Dieu et de nous - apportée à cette problématique dont aucun de nous n'est exempté. Dans ce psaume des éléments de connaissance qui peuvent et devraient encore nous faire réfléchir...
N'est-ce pas capital de le savoir, pour que nous ne nous laissions pas entraîner à nous quereller entre humains, à nous déchirer, diviser, pendant que les entités invisibles qui nous poussent dans ces situations de conflits s'excitent et se marrent de nous voir si naïfs, ignorants, et par eux rendus plus méchants encore que nous ne sommes !?...
Que ce Dieu éternel de David, vous enrichisse de sa grâce pour que vous connaissions quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur de son amour... tenu en réserve pour vous...
__________________ *chants (ou cantiques) dont les musiques ne nous sont pas parvenues, ce qui n'est sans doute pas un mal, vu à quel point les styles musicaux évoluent et se démodent régulièrement. Il n'en ait pas de même des paroles inspirées, aux contenus persistants et d'une actualité sans cesse renouvelée.
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.