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17 septembre 2019 2 17 /09 /septembre /2019 17:27

Rien ne peut être plus moderne, post-moderne, contemporain, que la solution de Dieu aux problèmes humains, personnels et génériques.

 

Solution qui n'est ni dans une religion, ni dans une idéologie humaniste, ni dans quelques concepts érigés en normes dogmatiques, mais en une personne.


Une personne unique, par sa naissance surnaturelle, par ses bienfaits (sans fin) prodigieux, par son message (toujours) révolutionnaire, par sa mort qui fut le plus grand don jamais fait au genre humain, et par sa résurrection (éternelle) ; nombre de lecteur/lectrice savent déjà que je veux parler de Jésus - le Messie d'Israël et Christ parmi les nations.

 

Rien de plus actuel dans toutes les actualités comme possibilité toujours ouverte de solution aux besoins les plus criants, aux difficultés les plus complexes, dans les pressions, les contraintes, les combats, les fausses libertés, les obsessions, oppressions et autres cas de possession.

 

Rien de plus universel et puissant... Sauf que ce potentiel immense demande, comme pour déclencher l'explosion d'une bombe atomique, le positionnement, le geste, l'appel ou la réponse de la personne concernée.

 

Dans tous les domaines où on pense, parle et agit, ce pas de la part de la personne concernée s'appelle la foi.

LE PRINCIPE UNIVERSEL LE PLUS MÉCONNU !

La foi est ce principe universel dynamique déposé par le Créateur au cœur du vivant qui s'active d'abord en pleine inconscience de sa réalité - le jeune enfant qui se lance pour marcher, puis pour apprendre à nager ou à écouter ce qu'on lui enseigne à l'école...
Puis on avance par la foi de plus en plus en plus en conscience, des risques, des incertitudes, des calculs, des convictions - que ce soit pour monter dans un avion, pour démarrer une entreprise ou se marier, pour faire des recherches scientifiques, pou se faire opérer, pour commercialiser ou acheter un produit, jusque pour manger le pain, la viande ou les légumes trouvés sur les marchés (possiblement toxiques ou mortels)...

Et ainsi, foi actionnant jour après jour, notre part de créature intelligente, libre et responsable, est-elle que nous activions volontairement ce principe qui permet de bouger, de se positionner, d'avancer (ou de freiner) jusque dans la dimension spirituelle du Réel. Savoir jusqu'à croire en Dieu et se mettre à chercher à le connaître afin de lui permettre de toujours plus paraître existant et vivant à notre âme et dans notre quotidien.

 

Aujourd'hui, personne ne peut dire qu'on ne peut pas savoir au sujet de Dieu, de la connaissance de soi ou de la vie (psychique et spirituelle) après la mort (physique, physiologique).


Pour nous la connaissance est partout sur internet, dans les médiathèques, par des enseignements et des témoignages multiples de personnes qui racontent en toute sincérité quelles expériences elles ont faites de la réalité de Dieu ou de l'au-delà.

 

Et parmi tous les moyens facilement accessibles, la Bible tient depuis des siècles la première place avec un nombre de traductions, d'impressions et de lecteurs/lectrices inégalé.

ACTIVER SA FOI POUR LE MEILLEUR

Alors !? Que vous reste-t-il à faire pour devenir un homme, une femme, qui connaisse le pourquoi de sa présence dans ce monde, dans ces circonstances, avec ces facilités et ces difficultés ?
Pour devenir une personne qui trouve la solution à ses problématiques les plus immédiates, et sache de plus dans quelle éternité son existence peut se terminer - de la pire ou de la plus sublime manière possible ?

 

Ce ne devrait pas être la peur qui nous pousse vers Dieu !
Ce devrait être une saine curiosité, une intuition, un désir de connaissance, voire une difficulté qui nous submerge.

 

Dieu est bon, et il répond en ouvrant notre conscience à sa réalité à partir de bien des raisons... pourvu qu'il n'y ait pas en nous de fraude, de duplicité, de faire-semblant... On ne peut le tromper !

 

Nous allons de plus en plus vite vers des temps difficiles, voire terribles, que ce soit au plan sociétal ou au plan individuel.

Et cela aussi parce que quand ça roule cool pour nous, on n'a pas le sentiment d'avoir besoin de Dieu... alors qu'on reste quand même sans cesse en souffrance, en mode insatisfaction, en risque de mourir par un accident ou un autre, et donc de partir dans l'éternité sans savoir dans quel contexte nous allons aboutir (royaume divin ou principauté démonique).

 

Alors n'attendez pas d'être pris de court, d'être sans recul possible pour faire un choix lucide, ne prenez pas le risque de voir votre existence personnelle vous échapper - alors même que votre vie (votre moi, votre âme et votre corps) peut être éternisée par Dieu, pour vivre sans fin ses bienfaits, ce que sera le meilleur de tout ce pour quoi vous et moi aurons eu à subir ici-bas des temps et des choses bien difficiles.

 

Bonne réflexion, bon positionnement, cherchez le meilleur de votre éternité.

 

Article annexe ; Les 5 types de mort

Guide pour prier en vue de connaître Dieu

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14 septembre 2019 6 14 /09 /septembre /2019 09:48

Lien vers un article que je vous invite à découvrir (avant d'en lire ci-dessous mon commentaire) > C’est bon pour la morale, c’est bon, bon

Commentaire :
"
Vue lucide qui devrait la rendre ou la donner à plusieurs. Car c'est un fond de la connaissance de soi que :

1/ ce qu'on reproche aux autres, c'est le plus souvent notre propre problème. Fondement > La Bible, Nouveau Testament, lettre aux Romains (que nous sommes tous !?) ch. 2, vers. 1.

2/ La Loi (ou religion) est "un ministère de mort" (dans la même section du même livre, 2e lettre aux Corinthiens (nous en sommes tous !?) vers. 6 à 9, "un ministre de condamnation". Si l'humanité comprenait ce passage, la face de la terre en serait changée !

3/ autre expression biblique de cette loi fondamentale (universelle, élémentaire, de notre psychologie) : "la Loi (ou religion) produit (ou provoque) la colère" (lettre aux romains que nous... chap. 4, vers. 15).

Ce que les faits prouvent absolument.

Par Loi il faut comprendre TOUTES lois dans ce qu'elles ont d'ordre MORAL, qu'il s'agisse de ce qu'on appelle religion, ou de ce qu'on appelle laïcité (D'ailleurs le "philosophe" Peillon a nettement vu la laïcité comme une religion en devenir...).

La clé donc face à toute loi qui est ou qui se veut morale, se trouve dans la compréhension de : Pourquoi Dieu permet des système religieux (religieux ou athée) ?

La lettre le dit aux Romains qui veulent savoir (ch. 5, v. 20) : "La loi est intervenue pour que l'offense abondât..."
Pourquoi ?

Pour que, notre conscience perso étant endormie ou séquestrée (par exemple par e conditionnement sociétal qui nous a construits), une loi écrite, lisible, extérieure à nous, vienne nous montrer que plus on veut être et se conduire en être moral, plus ce qui est tapi au fond de notre cœur (que la Bible appelle "la loi du péché") monte à la surface, afin que nous ne nous leurrions pas sur nous-même !

Et tout ça est bon... si on est intègre de cœur, désireux de se voir tel qu'on est véritablement. Sinon, on sait (normalement) ce que Jésus a dit les religieux...

Mais pour les intègres qui veulent en sortir, l'apôtre Paul (un religieux passé à la Grâce de Dieu) a observé, analysé et écrit le descriptif magnifique (communiqué aux Romains, ch. 7, vers. 14 à 25) :

"Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair : j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ;mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?...
Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur !...
Ainsi donc, moi-même, je suis par l'entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché.".

Voilà tout le sens de la religion, de notre condition problématique dominé par les forces obscures qui nous habitent (d'autant on n'a pas ou plus de fondement du bien en nous), et de la Bonne nouvelle de la Grâce qu'apporte Jésus à quiconque aspire à (re)trouver son identité véritable, primordiale, de créature de Dieu.

Bref un article que j'apprécie au point de le mettre en lien sur mon blog... avec ma réponse. Merci Franck C."

Cher lecteur, lectrice, soyez béni-e.

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7 septembre 2019 6 07 /09 /septembre /2019 20:34

Pour croire en Dieu en Occident, il faut se secouer du conditionnement matérialiste dans lequel on baigne de la maternelle à l'université... et de là le restant de notre existence appauvrie par cette réduction du Réel.

Conditionnement parce que naturellement on ingurgite ce qu'on nous dit, sans avoir la capacité ou la curiosité de vérifier si c'est vrai ou erreur. On peut ainsi avaler des couleuvres. Ou comme dit le poète
"Mon âme est malade,
Elle a mangé trop de salades."

Et donc on ne reçoit la plupart du temps pas pour fondement d'existence que Dieu existe et qu'il nous aime. On peut même se moquer des croyants (rétrogrades, réactionnaires, ennemis du progrès...) jusqu'à l'article de la mort, et partir dans les immensités de l'au-delà sans la moindre idée de ce qu'il en est ou de ce qu'on peut en connaître.

Cependant oui, Dieu nous aime, car l'amour est sa nature même. Il ne peut s'arrêter d'aimer !
C'est en ce sens que Jésus dit un jour que "Dieu fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes."

Mais que sentez-vous, goûtez-vous, expérimentez-vous en conscience de cet amour ? Peut-être RIEN !

DEUX MANIERES DONT DIEU NOUS AIME

Il n'y a pas longtemps, ce Dieu magnifique dans sa relation possible avec nous m'a dit de quelles manières il nous aime : 

Je vous aime avec bonheur, sinon je vous aime avec souffrance.

Il nous aime avec bonheur quand on est entré dans une relation vivante, d'esprit à Esprit , avec lui, et qu'on s'attache à marcher à la suite de Jésus comme font des disciples.
Rien de religieux là-dedans, mais c'est vivre son quotidien avec le sérieux d'une relation qu'on respecte... comme il en est - ou devrait en être - dans un mariage.

Sinon Dieu nous aime avec souffrance.
En souffrant de nous voir prendre de mauvaises routes, scabreuses, dangereuses, illusoires, insatisfaisantes, qui nous enferment dans le mal-vivre, dans des malaises, de mauvaises perceptions, des liens problématiques, dans la mort spirituelle.
Des conduites qui peuvent nous conduire dans des espaces où fraient (en plus de personnes maléfiques, toxiques) les mauvais esprits ou des démons, et prématurément jusqu'à une porte de la mort physique.

DIEU SOUFFRE

Dieu souffre de voir ce gâchis de nos vies, ce gâchis du beau projet de bonheur qu'il avait conçu pour chacun de nous, et dont on ne se soucie pas, qu'on ignore sans chercher prioritairement de solutions de son côté - because le conditionnement laïco-athée...
Or "je connais les projets que j'ai formés sur vous, dit l'Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance."

Souffrance semblable à celle d'un père, d'une mère, qui voit ses enfants  commencer à avoir de mauvaises relations, et progressivement s'enfoncer dans la marginalité où dominent la drogue ou l'alcool, les mauvaises fêtes, la fornication et autres comportements qui méprisent le corps et détruisent les âmes.

C'est qu'on a été créés libres - pour de vrai ! - et Dieu, s'il met sur nos mauvaises voies des obstacles, des signes, des alertes pour nous détourner, ne peut bientôt que nous laisser aller au bout de nos égarements, le coeur lourd et attendant qu'on en puisse plus. Qu'on arrête de rebondir d'une mauvaise expérience à une autre, de dix projets échoués à un onzième...

C'est que tout ce qui nous attire hors du bien selon Dieu est parsemé de souffrances - qui en général vont croissantes. Et Dieu souffre avec nous dans le secret comme le père de la parabole qui attend le retour à la maison de son fils parti dissiper toutes ses forces dans des libertés qu'il croyait être LA liberté.
Mais elles n'étaient que des leurres, des pièges, des chimères, des chemins ayant pour seule issue le mal qui s'accroit et les souffrances qui sont, tels des jugements, "le retour sur comportement". (la parabole de ce fils).

Dieu nous suit et compatît à ce que nous nous imposons de vivre, perdant d'autant plus notre liberté que nous en prenons.

La preuve de son intérêt et compassion pour nous est qu'il s'est fait homme pour prendre sur lui, à notre place, la somme de toutes ces souffrances liées à nos vies brimées ou débridées véçues loin de lui et de ce qu'est le Bien, le Beau, le Bon, le Juste, selon lui.

Tel est le sens de la mort en croix de Jésus, les membres et la tête percés de clous et d'épines, le dos labouré par 39 coups de fouet terribles, immobilisé, paralysé, ankylosé, le souffle coupé, pendant des heures dans un supplice inimaginable...
Voilà jusqu'où Dieu nous a aimés avec souffrance : "Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation.19 Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."

Croyez et vous vivrez de la vie véritable. D'une vie de résurrection qui peut se recevoir déjà de ce côté-ci du Réel, s'expérimenter dans l'amour de Dieu nous aimant... avec bonheur.

Soyez béni-e.

Ici > guide pour une prière qui vous réconcilie avec Dieu maintenant et pour l'éternité.

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15 juillet 2019 1 15 /07 /juillet /2019 08:06

Pour être heureux on n'a pas besoin de tout ce qu'on a, et encore moins de tout ce qu'on voudrait encore avoir.
On n'a pas besoin non plus de vivre caché (quoique que le retrait soit préférable à trop se montrer)...

 

SAVOIR N'EST PAS CONNAÎTRE
On peut accumuler du savoir, des savoirs, sans avoir l'intelligence de connaître comme il faut connaître. C'est-à-dire sans avoir le bon ou le meilleur rapport à ce qu'on a appris, à ce qui est.

 

C'est en ce sens que Montaigne, mûri par sa découverte de l’Évangile et devenu de débauché un vrai chrétien (non religieux), écrit qu'il est plus important de former chez les élèves "des têtes bien faites plutôt que des têtes bien pleines".

 

Ainsi on peut savoir plein de choses - comme avoir plein de choses -, et ne pas obtenir le gain que devrait procurer une vraie connaissance - ou une juste propriété -, c'est-à-dire le plaisir du connaître, la compréhension véritable, le sens des réalités selon leurs justes relations.

 

Ainsi des enfants gavés de "culture" (savoirs académiques trop tôt amenés, sans préparation suffisante à l'éveil (curiosité) personnel), comme on engrais-se des oies ou une terre épuisée, ne peuvent trouver ni intérêt, ni enthousiasme, ni émerveillement dans le savoir, alors que ce serait possible.
De fait on les alourdit là où il devrait être question de les dégager de l'aliénation générationnelle (adamique)

 

TROUVER LA TROISIÈME VOIE
Le merveilleux est recouvert par la poussière des habitudes et des routines, la pesanteur envahit les âmes qui n'ont plus pour s'en sortir que des fuites dans des pensées de suicide, des distractions source d'une addiction ou d'une autre... ou, par la grâce de Dieu, de trouver en Jésus la seule porte de la véritable liberté.

Il s'agit du retour ou de l'entrée dans le sens par la connaissance, par la vérité de notre condition empreinte de misère et d'insuffisances et conjointement la connaissance de la manière merveilleuse dont Jésus a donné sa vie pour nous sortir de cette galère dont l’aboutissement n'est que la mort.  Entre deux, la place responsable de notre foi...

 

LA BIBLE, SOURCE INTARISSABLE DU SAVOIR ET DE LA CONNAISSANCE
En réalité le mot connaître contient un sens de partage harmonieux entre ce qu'on considère et ce que nous sommes. C'est ainsi que la Bible emploie le verbe connaître s'agissant de la relation intime entre Adam et Eve : Connaître donne de la vie !

En 1Corinthiens 8:2 on peut lire : "Si quelqu’un croit savoir quelque chose, il n’a pas encore connu comme il faut connaître."

 

En Éphésiens 1:9, l'écrivain dit agir pour faire "connaître le mystère de la volonté de Dieu*, selon le bienveillant dessein qu’il avait formé en lui-même, et connaître l’amour de Christ, qui surpasse toute connaissance".

 

Projet ambitieux - déraisonnable !? - de Dieu, qui vise à faire de nous (hommes et femmes qui nous soucions bien peu et de lui et de notre âme), des "petits Christ" : C'est ainsi que les habitants anciens d'Antioche donnèrent aux premiers disciples de Jésus ce nom qui est devenu "chrétien".

 

AVOIR INTIMITÉ AVEC DIEU
Et en Philippiens 3:10, il est dit que l’Évangile (cette Bonne Nouvelle qu'on peut DÉJÀ, dès ici-bas, entrer dans une vraie relation avec le Dieu qui a créé les cieux et la terre) est annoncé "afin de connaître Christ, et la puissance de sa résurrection..."


Nous y voilà donc, dans cette connaissance de Dieu qui est intimité (amoureuse, comme sexuelle) avec lui, où Jésus-Christ vient jusqu'à se donner en nous par son Esprit qui est vie éternelle : Car Dieu a tant aimé le genre humain qu'il a livré à la mort Jésus son fils sans pareil, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas dans le feu et le soufre de l'étang du jugement dernier (l'enfer), mais qu'il ait la vie éternelle de Dieu unie à lui/elle (à l'âme que nous sommes essentiellement) afin de vivre son éternité bienheureuse exempte de tout mal (le Paradis).
Et en attendant, et en croyant, le présent devient déjà une mine de découvertes toutes nouvelles - du Réel tel qu'il est, de Dieu et de nous-même - et encore un chantier de construction de notre personnalité la plus véritable, dont les potentialités peuvent au mieux se libérer. ..

 

Ainsi nous appartient-il à chacun-e de choisir dès maintenant quelle destinée nous allons nous accorder à nous-même, selon qu'on voudra croire ou pas dans les termes de l'accord (l'alliance) que Dieu nous tend de son Ciel infini et du haut de la croix.

 

Et avec une multitude de chrétiens authentiques disséminés par toute la terre, je peux dire "Et nous, nous avons connu l'amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour ; et celui qui demeure dans l'amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui."

 

Bonne quête de vie. Bon choix. Bonne suite...

 

un chant ou un autre

 

(guide de prière pour vous rapprocher ou réconcilier avec Dieu).

 

________________________________
* mystère qui est de nous sauver de la perdition éternelle de notre âme et nous aider déjà maintenant à mieux vivre cette existence en recevant l'Esprit de Dieu en nous. Tel est le coeur de l’Évangile, qui n'apporta pas une ou des religions (de plus) mais la clé de notre relation perdue avec le Créateur.

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4 juillet 2019 4 04 /07 /juillet /2019 17:00

Merci de participer à diffuser vers les intéressés si vous le pouvez

Faut-il que nous soyons indécis, que la médecine ne sache pas mieux qu'existe dans notre vivant une composante majeure distincte qui s'appelle l'âme (ou psychisme, du grec psuché), et que des parents croyants ne secourent pas mieux leur fils (ou époux) par leur intervention !
Mais que cela ne soit pas une fatalité qui laisse impuissant devant l'adversité.

Car on peut heureusement pallier à ce manque terrible, cruel, sociétal, vis-à-vis de la lumière de l’Évangile, par de la connaissance et en accueillant l'amour de la vérité nous concernant et concernant Christ.

FAIRE PARLER LA BIBLE

En ouvrant la Bible, on peut lire ce fait d'actualité d'alors rapporté par le médecin grec Luc (chap. 13) : "En ce même temps, quelques personnes qui se trouvaient là racontaient à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mêlé le sang avec celui de leurs sacrifices. Il leur répondit : "Croyez-vous que ces Galiléens fussent de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu'ils ont souffert de la sorte ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. Ou bien, ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu'elle a tuées, croyez-vous qu'elles fussent plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également."

 Le fondement de notre condition est que nous sommes tous des "pécheurs", des "pécheresses", ce qui n'est guère flatteur nous l'admettons bien volontiers. Cela signifie étymologiquement des gens qui manquons régulièrement le but du bien. Pécher, mal faire (dire, penser), c'est toujours ne pas faire ce qui est bien (bien dont Jésus a dit que l'amour de Dieu déversé dans nos cœurs est la clé).

Et donc laissons-nous un peu remettre à notre place, à notre plus juste hauteur, car il vaut mieux être abaissés par une parole biblique plutôt que de jouer les arrogants. Selon que la Bonne Nouvelle de l'attitude de Dieu en face des pécheurs, c'est qu'il fait grâce aux humbles, alors qu'il résiste aux orgueilleux.
Et donc, voilà à quoi contribue, dans son état, indirectement mais combien activement, Vincent Lambert - l'épreuve étant globalement ce qui révèle le mieux ce qu'est le vrai fond de nos cœurs.

LA FOI À METTRE EN PRATIQUE

Alors maintenant soyons pragmatiques. C'est-à-dire devenons spirituels. Comprenons que les accidents graves ne nous arrivent jamais par hasard ! J'en ai connu un limite, et j'ai appris la causalité sous-jacente qui existe là (comme partout ailleurs dans l'univers).

Donc, on doit admettre, pour cet accident tragique, qu'il y a quelque part au moins une faute caractérisée commise par Vincent, dont l'aboutissement fut ce qu'il supporte encore... et pourrait supporter encore au delà de sa mort physiologique, tout ne finissant assurément pas par un encéphalogramme plat, le refroidissement du corps étant l'expression causale de la sortie finale et migration de l'âme (quand le lien entre les deux corps, physique et psychique, est rompu).

La foi chrétienne n'est pas prise de court dans tous les cas, puisque nous pouvons prier sous ces diverses formes pour le pardon des péchés (dans la mesure où nous savons et avons quelque prise de conscience de ces vérités spirituelles, avançant humblement, avec contrition et/ou compassion pour qui en a besoin).

Dans l'idéal ici, il conviendrait que les parents ou l'épouse parlent à Vincent qui, fort probablement, entend tout ce qui se dit, puisque le réceptacle des sons (des images, etc...) c'est l'âme. Lui disent qu'il a à demander (intérieurement) pardon à Dieu pour ce qu'il a fait lui-même de mal. En demandant à Dieu de ramener au plan de sa conscience ce qu'il peut avoir oublié et doit être à confesser...
Pour l'avoir fait récemment avec une tante qui ne bougeait plus, je l'ai vu, par le mouvement de sa mâchoire inférieure se mettre à parler à Dieu, répétant après moi des paroles de repentance et d'abandon à Dieu pour être reçue dans son Royaume.
Après de longues semaines de stagnation, elle partit moins de deux jours après. La Bible parle de ces cas de rédemption in-extremis, comme ce fut pour un des deux brigands crucifiés à côté de Jésus, qui fut ainsi sauvé par pure grâce, au dernier moment, par sa foi).

Et quelqu'un peut-être pourra avoir à demander pardon à Vincent, ce qui pourra libérer l'un(e) et l'autre (le pardon demandé et accordé est une puissance qui libère).

VENIR AU BÉNÉFICE DU SACRIFICE DE JÉSUS

Car pourquoi Jésus est-il mort, si ce n'est pour que les pécheurs et pécheresses puissent être libérés et mis en paix avec Dieu par le pardon qu'il désire toujours accorder aux âmes repentantes ?

En témoigne aussi l'épisode fameux de la femme adultère (Évangile selon Jean, ch. 8) ;
ce que dit aussi cette parole du même disciple (ch. 3) : "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises."

Dans la Bible, on voit encore la compassion de quatre amis qui font descendre devant Jésus un grabataire sur son lit. A la vue de la foi de ces amis, Jésus dit à l'homme : "Mon enfant, tes péchés sont pardonnés.
Enfin, les apôtres Paul et Silas dirent au geôlier désespéré de la prison de la ville grecque de Philippes : "
 Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille."

Et ne le ferait-il pas avec Vincent si une vraie foi de ses familiers dans la vertu de la grâce christique est mise en œuvre ? Dieu lit au cœur : la croyance superstitieuse ou la foi mal placée ne procure que des déconvenues. Mais la foi au Christ Jésus mort pour nos péchés et ressuscité sauve !
Et il s'agit maintenant de libérer Vincent du fardeau de ses fautes (voire d'autres, antérieures) pour le laisser rencontrer celui qui veut réellement maintenant devenir son Dieu.

Alors, parents ou amis croyants qui pouvez approcher Vincent, soyez, devenez de vrais intercesseurs afin que la gloire de Dieu, visible ou invisible et de toute façon déjà manifestée en Jésus ressuscité, puisse devenir sans plus tarder le partage bienheureux de Vincent.

"Si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même  (Jésus) dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. 8 Si nous disons que nous n'avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est point en nous. 9 Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité."

Et "...Priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace."

Soyez bénis.

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14 avril 2019 7 14 /04 /avril /2019 10:57

La fête de la Pâque ou Pessach, juive et chrétienne, )
et la fête de Pâques (catholique, orthodoxe, voire laïque...)
commémorent toutes deux, qu'on l'ignore ou pas,
un sacrifice
qui n'a pas fini d'avoir des effets et du sens.

 

                                            (pour qui veut un résumé en audio, cliquez ici)

LA NAISSANCE DE JÉSUS, UNE IMAGE VENUE DU CIEL
Jésus est né en une période indéfinie dans une étable.
Une étable n'est rien d'autre qu'une écurie mal-odorante avec des mouches et des animaux qui dorment ou qui ruminent et font leurs autres besoins sur leur litière.
Comme image idyllique on peut trouver mieux !
Comme vérité, on est au cœur de la problématique humaine: Jésus est mis dans une crèche, c'est-à-dire dans une mangeoire, pour que les "bestiaux" que nous sommes puissent le manger !
C'est une image, mais particuli-rement significative. 

C'est si vrai, que quelque trente années plus tard, Jésus dira à des auditeurs à la fois attentifs et médusés: "Je suis le pain de vie.49 Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et ils sont morts.50 C'est ici le pain qui descend du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point.51 Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement ; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde.
52 Là-dessus, les Juifs disputaient entre eux, disant : Comment peut-il nous donner sa chair à manger ?" (Evang. Jean 6)

La réponse, lors d'une fête de la Pâque, c'est la croix!

CRUCIFIE ! CRUCIFIE ! VIOLE, CASSE, TUE !
Jésus se laisse arrêter, prendre sa vie jusqu'à cette crucifixion barbare, ignoble, horrible, qui met en lumière cette bestialité du cœur humain, que ce soit celui de soldats endurcis, de membres d'une foule excitée ou de religieux bien-pensants.

"Car c'est du dedans, c'est du coeur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les impudicités, les meurtres,22 les vols, les cupidités, les méchancetés, la fraude, le dérèglement, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie.23 Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans, et souillent l'homme." (Evang. Marc 7)

Par là on peut comprendre que de gentils gilets jaunes, de braves paroissiens ou employés et encore des détenteurs de pouvoir puissent, aujourd'hui encore, surprendre par leurs délits ou crimes et faire l'actualité...

Pourquoi?
Parce que l'être humain sans relation vivante avec le vrai Dieu (homme ou femme à égalité!?), rempli de l'intolérance de l'athéisme ou avec des croyances idolâtres quelconques, est toujours potentiellement la proie de démons quand ils trouvent en lui des pratiques iniques (mensonge, tromperie, vol, injustice, perversion, occultisme...).

Et donc, comment sortir de ce manque, de cette absence de spiritualité divine en nous? Car sans l'Esprit de Dieu nous habitant, nous sommes chacun réduits à un corps qui porte une âme, tout comme sont les animaux!
Avec le plus de nos capacités qui peut se traduire par un plus d'amplitude dans le déploiement du mal ;
Selon que les comportements des animaux sont essentiellement tenus par des déterminismes (selon leurs espèces), alors que nous, nous sommes pourvus d'une vaste plage de liberté(s), seulement (re)tenus par une socialisation/éducation... qui peut laisser libre cours au pire de nos instincts dénaturés! 
Telle est notre condition de chute adamique, avec ses conséquences malignes perdurantes dans quoi tous et chacun nous nous débattons (nous battons, souffrons, nous agitons ou nous laissons couler).
Connaissance de soi trop peu admise et transmise parmi nous par les détenteurs du pouvoir sociétal, au point où le gain est davantage pour ceux qui vivent à partir des souffrances que pour les lambda qui n'ont pas les capacités, temps ou moyen financier pour se procurer de la connaissance correspondant au Réel comme il est ; et par là s'enrichir des vérités qui fondent le bien (bien-être, mieux-vivre, paix intérieure, récupération, sommeil...).   

PÂQUE (PESSACH) ou PÂQUES COMMÉMORENT LE SACRIFICE D'INNOCENTS
Les juifs sont restés au souvenir du sacrifice animal, de l'agneau pascal (animal doux et innocent par nature), institué par l'Eternel-Dieu, via Moïse, à l'occasion de la sortie d’Égypte où la descendance d'Abraham et de Sarah avait été progressivement rendue captive.

Les chrétiens (et assimilés), notamment les "nés de nouveau"comme Jésus expliqua à ce maître de la Loi en Israël, Nicodème, venu le trouver de nuit) célèbre pour leur part le don sacrificiel de la vie de Jésus, "l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde". 

Sa mort est là un accomplissement parfait de ce besoin d'un sacrifice que Dieu avait fait connaître dès la chute du premier couple coupable, en tuant lui-même des animaux pour couvrir leur faute et la vue de leur nudité qui en découla.

Accomplissement prophétisé aussi par l'épisode de la vie d'Abraham lorsqu'il est appelé à sacrifier son fils Isaac, où Dieu lui donne de comprendre qu'il se pourvoira lui-même du nécessaire pour l'expiation des offenses qui lui sont faites:
"
Abraham leva les yeux, et vit derrière lui un bélier retenu dans un buisson par les cornes ; et Abraham alla prendre le bélier, et l'offrit en holocauste à la place de son fils.14 Abraham donna à ce lieu le nom de Yawhé Yiré. C'est pourquoi l'on dit aujourd'hui : A la montagne de l'Éternel il sera pourvu." (Genèse 22)

La montagne de l’Éternel c'est alors Morija, devenu Golgotha, le mont du crâne, d'où on va pouvoir en finir avec toutes les tempêtes de pensées qui sévissent sous nos crânes. Ceux-ci figurent notre âme sans l'Esprit de Dieu, déspiritualisée, qui est dès lors livrée à tous les égarements, à toutes les tentations et dépravations, toutes les injustices et l'impiété jusqu'à l'athéisme militant et armé.
"Car mes pensées (dit l'Eternel-Dieu) ne sont pas vos pensées, Et vos voies ne sont pas mes voies, Dit l'Éternel.9 Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, Autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, Et mes pensées au-dessus de vos pensées." (Ésaïe 55)

C'est pourquoi il est encore proposé (en Philippiens 4) aux croyants:
"Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces.7 Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus Christ.

POUR DIEU, HIER ET AUJOURD'HUI, RIEN DE CHANGÉ
Et cette année encore, le temps de Pâque(s) est un rappel à regarder à cette croix dressée sous un ciel de plomb, où, Parole du Dieu éternel incarnée par son Esprit, un fils d'homme bien-aimé de Dieu et unique est tué... comme un des pires brigands.
"
Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu." (2Corinthiens 5).

C'est ce que Jésus dit encore au chef juif Nicodème en lui rappelant un épisode de la vie de son peuple, ce qu'on appelle Les serpents brûlants:
Bien que délivré miraculeusement de L’Égypte concentrationnaire,  le peuple "parla contre Dieu et contre Moïse : Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d'Égypte, pour que nous mourions dans le désert ? car il n'y a point de pain, et il n'y a point d'eau, et notre âme est dégoûtée de cette misérable nourriture.6 Alors l'Éternel envoya contre le peuple des serpents brûlants ; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens en Israël.7 Le peuple vint à Moïse, et dit : Nous avons péché, car nous avons parlé contre l'Éternel et contre toi. Prie l'Éternel, afin qu'il éloigne de nous ces serpents. Moïse pria pour le peuple.8 L'Éternel dit à Moïse : Fais-toi un serpent brûlant (en bronze), et place-le sur une perche ; quiconque aura été mordu, et le regardera, conservera la vie.9 Moïse fit un serpent d'airain, et le plaça sur une perche ; et quiconque avait été mordu par un serpent, et regardait le serpent d'airain, conservait la vie." (Nombres 21)

A partir de là, Jésus expliqua ce qui allait se produire le concernant et ce qui en résulterait:
"Personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel.14 Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé (par sa mise en croix),15 afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle." (Evang. Jean 3)

Les serpents ce sont les péchés, nos fautes morales, nos mécontentements comme toutes autres formes d'injustice, qui nous tuent spirituellement (= qui font mourir Dieu en nous en obligeant son Esprit (saint, pur, qui ne peut cohabiter avec le mal) à se retirer de notre corps).

Le serpent de bronze élevé sur une perche, c'est Jésus qui accepte qu"on le monte sur la croix pour mourir à la place de tout être humain, pécheur/pécheresse, imparfait-e, coupable, dont la mort spirituelle, psychique (de l'âme) et corporelle sont en marche.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle." (Evang. Jean 3).

"Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas.4 Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié.5 Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.6 Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie ; Et l'Éternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous.7 Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent ; Il n'a point ouvrt la bouche.8 Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment ; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu'il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple ?" (Ésaïe 53).

LA CRUCIFIXION, LE SACRIFICE QUI SAUVE
Ainsi entre la crèche et la croix, Jésus a grandi, puis s'est montré puissant en œuvres bonnes pour qu'on voit ce qu'il était réellement, avant d'aller au bout de sa mission de sauvetage des âmes - ce qu'on appelle la rédemption, le salut, le rachat ou grâce divine - en prenant sur lui pour nous sauver les conséquences, le jugement final de nos fautes:

"Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur." (Romains 6).

Le nom de Jésus en hébreu, c'est Y'shoua, ce qui veut dire salut, Dieu sauve.
C'est pourquoi il est écrit, regardant Jésus crucifié comme l'Agneau pascal offert par Dieu pour que nous puissions chacun individuellement, selon notre foi, être pardonnés de nos fautes, que "Celui ou celle qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné." (Evang. Marc 16).

SAUVÉ-E DE QUOI? ET CONDAMNÉ À QUOI?
Sauvé de la perte absolue de notre personnalité par anéantissement final de notre âme - qui est le siège de notre ego, de cette conscience de soi qui nous fait dire Je ou Moi-je.

Sauvé dès après la mort physique du tunnel noir qui débouche (comme en témoignent plusieurs personnes revenues d'une EMI le dire) sur les tourments de l'enfer.
L'enfer est un terme non biblique par lequel en fait est désigné la plupart du temps le shéol (en hébreu) ou hadès (en grec), ce qu'on traduit en français par "séjour des morts"*, une immense "bulle" psychique temporelle faite de toutes les âmes devenues et restées captives des esprits satanisés (anges devenus des démons).

Ce qui sera plus précisément l'enfer comme on le pense, vient bien plus tard, comme jugement dernier irrévocable des fautes (de Satan, des anges dévoyés à sa suite, et de quiconque n'a pas reçu Christ comme son Sauveur).

C'est pourquoi  "nous faisons les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation." (2Corinthiens 5)

REVENIR A DIEU PAR LA FOI EN UI, ET EN LA CROIX !
La crucifixion de Jésus est un événement et travail inouïs de Dieu le Père et de son divin Fils, qui a des vertus salvatrices en elle-même et en potentialité, substitutive, expiatoire, propitiatoire, guérissante, libératrice, de rachat (comme les esclaves pouvaient être rachetés de mauvais maîtres).

Et croire, y croire, c'est pouvoir se nourrir spirituellement de la vérité vivifiante de cette "Bonne nouvelle" (ce que signifie le mot grec Evangélion) introduite par Jésus, qui dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'avez point la vie en vous-mêmes.54 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle ; et je le ressusciterai au dernier jour.55 Car ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang est vraiment un breuvage.56 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi, et je demeure en lui.57 Comme le Père qui est vivant m'a envoyé, et que je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi.58 C'est ici le pain qui est descendu du ciel. Il n'en est pas comme de vos pères qui ont mangé la manne et qui sont morts : celui qui mange ce pain vivra éternellement.59 Jésus dit ces choses dans la synagogue, enseignant à Capernaüm." (Evang. Jean 6)

C'est le sens du dernier repas de Jésus, qu'on appelle encore la Sainte-cène (le Saint-repas, que l'eucharistie catholique ne représente pas vraiment), qui est réellement et prophétiquement le repas de la Pâque où l'agneau sacrifié pour couvrir les péchés était mangé comme il fut ordonné à Moïse de l'instituer.

Institution qui fut respectée jusqu'au changement que produisit la venue de Jésus. C'est aussi pourquoi les juifs sont mal partout où ils se trouvent, dès lors qu'ils n'offrent plus de sacrifices sanglants selon leur Loi - la Torah, dont le livre du Lévitique, explicite, ne peut être retiré sans être remplacé par une réalité supérieure.

LE GRAND REMPLACEMENT
Sans reconnaître Jésus comme "L'agneau de Dieu" qui fait cesser en les remplaçant tous les sacrifices sanglants nécessaires pour obtenir la paix avec Dieu.

Aujourd'hui encore cette expression de l'amour de Dieu se donnant pour nous secourir, est rappelée car sans cela, nous mourrons encore dans nos péchés, loin de Dieu, sans Dieu, après notre mort comme avant.

Cette mort si particulière de Jésus et son sang d'innocent versé en sacrifice volontaire sont liés à une grande libération des captifs, non plus de l’Égypte de pharaon mais de la force du péché qui réside dans notre cœur.
Cette fête (comme aussi la Sainte-cène demandée par Jésus) figure, rappelle donc l'inimitié qu'il y a naturellement entre nous et Dieu, qu'il veut changer en amitié et intimité, restauration relationnelle possible pour qui vient à la croix et à Jésus:
"Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint Esprit.39 Car la promesse (de Dieu, du don de son Esprit qui est vie éternelle) est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera." (Actes des Apôtres 2)

"Car la vie est dans le sang" (Lévitique 17) et "sans effusion de sang, il n'y a pas de pardon" (Hébreux 9).
De la sorte, "Si nous confessons nos péchés, Dieu est fidèle et juste pour nous les pardonner et nous purifier de toute injustice" et "si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché."

FÊTER PÂQUE(S) SANS OUBLIER, SANS CACHER!...
Une fête sous forme de jeu de piste à la recherche d’œufs et de lapins en chocolat est organisée pour des enfants.
Je demande à une animatrice s'il va être parlé aux enfants de Jésus et ce qui est à l'origine de ce temps et de ce jeu. - Non, c'est laïque ici!
- Mais la laïcité c'est la liberté d'expression, concernant ce qui est religieux ou spirituel comme le reste.
- On peut pas!

Idem qu'avec Noël! Drame de l'occultation des réalités fondamentales, en fait de l'athéisme (militant, réducteur du Réel) qui s'impose à la laïcité (qui devrait rester ouverte)!... Silence qui se paie un jour ou l'autre, d'une manière ou d'une autre. Car si on ne sait pas, et si on ne met pas les souffrances et la mort de Jésus, son sacrifice pour nous, à sa place dans et pour notre propre existence, ce sont d'autres souffrances, et une mort terrible, qui viennent, qu'il veut nous éviter, qui viendront à nous et dont nous n'aurons pas assez de moyens pour échapper à la plupart!

Pâque(s) donc, sans oublier que si la mort de Jésus est à saisir comme l'extraordinaire moyen du pardon de nos fautes et de l'éternisation de notre âme (éternisation toute personnelle, de vous, de moi), c'est aussi parce qu'il est RESSUSCITÉ et vit pour toujours que tout cela peut devenir possible, opérationnel, par l'envoi gracieux de son Esprit-Saint jusqu'en nous.

"Car Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.9 A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère.10 Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie (retrouvée, ressuscitée)."

Ainsi par cette spiritualisation de la première fête, qui fit dire à Jésus expirant "Tout est accompli", chacun par toute la terre (juifs compris) peut vivre un jour pour la toute première fois (puis régulièrement) cet événement et ses effets comme lui étant particulièrement destinés.

Que Dieu y pourvoit pour vous, c'est mon vœu et ma prière.

Un chant  -  un résumé en audio, cliquez ici (3'47")

une prière (de paix avec Dieu)

_________________________
* article annexe ici d'un clic ! Les 5 types de mort

Aussi pour vous aider si vous en ressentez le besoin, une trame guide de prière

 

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14 mars 2019 4 14 /03 /mars /2019 09:09

Ce matin je me retrouve devant la page blanche d'un nouvel article à publier. Mais qu'ai-je à écrire des dizaines de (bonnes) réflexions et de pensées qui viennent à ma conscience et se succèdent bien plus vite qu'on a le temps de les matérialiser sur un clavier ?

Pourquoi suis-je là à ce moment et vide en même temps ? Je demande à Dieu (Celui qui est devenu mon Dieu) s'il veut que j'écrive maintenant, et quoi ? La réponse est immédiate :

"Je vous aime.

Je vous chéris, homme, femme, âmes perdues, égarées, déboussolées dans ce monde de souffrances qui m'a rejeté.

Ce monde se vante de savoir, multiplie les connaissances, mais sans rien ajouter à sa compréhension.

Et quand certains comprennent (un peu plus que d'autres), ont une certaine lucidité sur ce qui se passe qui les fait déjà refuser ou s'opposer aux systèmes, à la politique comme aux religions, ils n'ont pas de solution.
Ils voudraient une solution qui soit bonne, mais ils ne la trouvent pas. Ils ne l'ont pas.
Parce que le pouvoir du bien n'est pas en eux. Le pouvoir du bien n'est pas en l'homme.

Ils ne trouvent pas la solution à chacun de leurs multiples problèmes, parce qu'elles ne sont pas dans leurs valeurs ; et même pas dans les valeurs qui sont les miennes - parce que les concepts même justes n'ont pas de force en eux-mêmes. C'est Moi la force de toute justice.

Les solutions à ce qui est chaotique ne sont pas dans leurs pensées, parce que leur fondement, leurs idéologies, idéalistes, utopiques, pas plus que les religions, idéalistes, utopistes, ne sont attachées à Moi le vivant, qui possède le pouvoir, qui suis la force du bien.
Oui, je suis.

Je suis, et ils ne le savent pas. Et quand ils croient le savoir, ils marchent, vous marchez sans assez me connaître, et sans une relation établie avec Moi.
Alors c'est comme si je n'étais pas. Mais Je suis.

Alors vous dépérirez, à mal faire ou à ne pas savoir que faire. Vous êtes trop actifs, à la réflexion trop courte ; ou bien abattus, sans capacité pour en sortir par vous-même.

Et encore vous vous confiez en des humains, tout semblables à vous, alors que ma Parole dit : "Maudit soit l'humain qui se confie dans l'humain."
Car il n'y a pas d'autres dieux que Moi seul, pour sauver, pour délivrer, pour guérir, qui puisse débrouiller les problèmes dans lesquels vous vous enfermez par vos comportements coupables, par votre manque de justice, de justesse, d'à propos, de compassion, d'humilité, de juste vue de vous-même.

Revenez à Moi et vous vivrez ! Ne croyez plus que les choses vont s'arranger, que les impies vont parvenir à solutionner leurs crises.
Les crises sont les conséquences de leurs actes, de leurs choix, de vos actes, de vos choix. Elles sont les signes, les symptômes qui devraient vous amener avec leurs conséquences et mes jugements à la repentance. Au renoncement à vos œuvres mauvaises, sans effet positif sur la vie, pratiquées en dehors de Moi.

Je ne mettrai personne dehors de qui vient à Moi. Lavez-vous, purifiez vos âmes. Regardez-vous comme responsable et coupable et je vous pardonnerai si vous re-venez à Moi de tout votre cœur.

Je suis humble de cœur et compatissant, mais je ne peux tenir le coupable pour innocent. Seule la foi dans le sacrifice parfait de mon Fils bien-aimé peut obtenir la purification, la paix par la réconciliation avec Moi.

Car c'est une loi que "sans effusion de sang, il n'y a pas de pardon des péchés". Mais ma solution c'est que si vous confessez le mal que vous avez fait, dit ou même seulement pensé, je suis fidèle à l'alliance faite par ma crucifixion et juste pour vous pardonner toutes vos iniquités."

Je vous aime. Je l'ai prouvé.
Ne restez pas loin de Moi pour périr maintenant et pour l'éternité.

______________________________
Référence biblique à cette preuve de l'amour de Dieu manifesté envers nous : la Bible, lettre aux Romains chap. 5. versets 6 à 8 - 1ère lettre de Jean chap. 4, versets 9 et 10.

Croyez, et vous verrez bien que Dieu répond à une foi simple et sincère.

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4 mars 2019 1 04 /03 /mars /2019 11:29

Voici un florilège de témoignages que je crois réellement sincères et authentiques.
Et bien sûr le récit de mes propres expériences avec Dieu dont le lien est à la fin.

A vous de voir, en cliquant ici ou là... au hasard ! Hasard dont Albert Einstein a dit que c'est le nom de Dieu quand il veut rester incognito.

"Je vivais de l'occultisme"

De la rue à Jésus – (Témoignage de Thierry Perez)

Témoignage d'Azadeh

TÉMOIGNAGE : « J'ÉTAIS LE DERNIER À SAUVER… »

Témoignage Renversant : Après 50 ans de souffrance, d’occultisme, de divination, de spiritisme etc, elle finit par rencontrer le seul vrai Dieu vivant !

TÉMOIGNAGE : DE LA DROGUE À LA VIE EN CHRIST

Mon témoignage personnel de la réalité de Dieu - et autres expériences...

Soyez... attiré-e par la lumière, la vérité, la vie qui est bien plus que l'existence...

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19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 19:12

"DIEU EST AMOUR" affirment la Bible et ceux qui vivent déjà quelque peu de la réalité de cet amour immense. Mais vous, l'expérimentez-vous ou voulez-vous l'expérimenter ?

J'ai besoin de me savoir aimé. Pas vous ? Pour moi être aimé est devenu une composante de l'existence.
C'est une prise de conscience qui n'a rien d'inné, mais qui s'est formée au fil d'expériences amoureuses (bonnes, épanouissantes, merveilleuses) et celles aussi (douloureuses, parfois terribles, où le cœur saigne) du retrait de l'amour de l'autre.

De cet genre d'abandon m'est resté des décennies durant, dans un coin du fond de mon âme*, un sentiment confus d'insécurité, une crainte que quand ça va bien l'autre me lâche (pour quelque faute ou maladresse de ma part ou même sans que je sois explicitement en cause).

J'ai ainsi découvert que je suis (qu'on est tous, de manière consciente ou pas) tributaire de l'amour que quelqu'un d'autre peut nous porter et exprimer. Et faute d'être aimé, on est un peu comme une plante non arrosée ou une fleur coupée.
_________________
* Dieu peut changer en nous ce genre de problématique constitutive, mais il nous faut parfois du temps avant de réaliser que tel élément de notre personnalité n'est pas particulièrement nous, notre personne, mais plutôt dans certains cas une excroissance, ou dans d'autres une déficience, un artifice insidieux qui peut être changé pour un mieux en nous-même.

¤

AMOUR ET TRAHISON, LA DOULEUR

Dans la Bible on découvre l'histoire de Jésus trahi par un de ses douze premiers disciples. Cette trahison de Judas va conduire jusqu'à la crucifixion de Celui qui l'aimait et lui accordait toute sa confiance (malgré les travers qu'Il connaissait de lui, dont sa cupidité).

Tous les rejets que nous pouvons subir ne conduisent pas ainsi à la mort : mais certainement à des blessures qui peuvent restées des plaies ouvertes, sensibles, très longtemps, jusqu'à modifier notre relationnel de bien mauvaise manière.

C'est que parallèlement à l'amour - et même en confrontation avec ce sentiment fabuleux, surnaturel -, on découvre aussi que le mal existe, et on cherche à s'en garder, comme on peut : dureté, cuirasse, carapace, blindage du cœur, dérision, dérivatif, stupéfiant quelconque…

Je crois qu'on est tous ainsi de ces accidentés psychiques (dans l'âme) de la vie, qui voudrions bien encore connaître un vrai et bel amour, mais ne savons pas entrer dedans, notamment par crainte d'une infidélité qui fera souffrir encore…

Alors on reste superficiel/le, on traite les choses à la légère, on ne veut pas se laisser enfermer, et casser encore… Bref, on vit en handicapé du cœur, avec tous les comportements-béquilles malsains que cela peut occasionner.

L'AMOUR EST D'UN AUTRE MONDE

C'est que l'amour n'est pas de ce monde. L'amour est un attribut constitutif exclusif de Dieu : Lui seul EST amour. Nous avons à l'apprendre et à le comprendre… et mieux encore à l'expérimenter.

Ce qui signifie que le pouvoir d'aimer et d'être aimé n'est pas en notre possession. C'est une grâce de Dieu que parfois notre cœur peut se mettre à brûler pour quelqu'un d'un vrai et superbe amour – c'est-à-dire un amour sans condition, désintéressé, qui n'a rien à voir avec une séduction derrière laquelle est cachée un calcul, une arrière-pensée).

Cette problématique de notre séparation de Dieu qui est amour - on n'en expérimente plus alors que des jugements - et de notre incapacité à tenir et retenir naturellement l'amour - d'où les ruptures ou les tromperies - vient d'un fait qu'on appelle la chute - une descente et un enlisement terribles du genre humain. Ce que nous révèle en une brève synthèse formidable le 3e chapitre du livre (biblique) de la Genèse.

Tous blessés, mal-réactifs, jamais satisfaits, égocentriques, insatiables, en manque, inintelligents au Réel tel qu'il est, idolâtre, accro à quoi que ce soit…, rien ne nous est plus difficile dans notre monde que d'aimer, de vivre durablement même un amour véritable.

Car l'amour véritable (du cœur) tient de la perfection, de la pureté, de la droiture, de la vérité, du don, de la primauté de l'autre. Il a besoin de justice, de respect, d'une certaine exclusivité. Sinon, oups ! Il est parti – chez l'un ou chez l'autre, ou chez les deux, et on ne sait pas davantage comment réparer que comment préserver.

Ce qui veut dire que pour des gens naturellement égocentrés comme nous (surtout en occident), si aimer peut nous "tomber" dessus à l'improviste de plusieurs manières, continuer à aimer, choisir l'amour comme plus important que tout ce qui vient le contrarier, tient de la force, de la détermination, d'une volonté et d'une intelligence… qui sont loin de nous être naturelles.

PASSER D'UNE EXISTENCE NATURELLE TRONQUÉE À LA VIE SURNATURELLE

Pourquoi a-t-on besoin de Dieu !?

a) Parce que son amour peut devenir constant dans notre existence comme il est écrit ici :
"Étant justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ; 2 c’est à lui que nous devons d’avoir eu par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes, et nous nous glorifions dans l’espérance de la gloire de Dieu.3 Bien plus, nous nous glorifions même dans les tribulations, sachant que la tribulation produit la persévérance,4 la persévérance une fidélité éprouvée, et la fidélité éprouvée l’espérance.5 Or, l’espérance ne trompe pas, parce que l’amour de Dieu est répandu dans nos cœurs par le Saint-Esprit qui nous a été donné."

b) Parce que son amour – si nous acceptons de faire alliance avec lui dans cet amour – ne nous trahira jamais, mais travaillera toujours à nous amener plus près de son cœur, dans son amour :
"Aucune tentation ne vous est survenue qui n’ait été humaine; Dieu est fidèle et ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces; mais avec la tentation, il donnera aussi le moyen d’en sortir, pour que vous puissiez la supporter." 1 Corinthiens 10:13.

Et s'il nous arrive de lui être infidèle (par quelque faiblesse, insuffisance...), il ne nous lâchera pas mais travaillera à rendre notre connaissance du Réel et notre relation à lui plus solide et permanente. Notamment selon que "si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et nous purifier de toute injustice."

c) Parce qu'ayant été blessé/e par une rupture, nous avons aussi besoin de guérison intérieure :
Le prophète Esaïe dit du calvaire de souffrances de Jésus : "Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur Et habitué à la souffrance, Semblable à celui devant qui l’on se voile la face, Il était méprisé, Nous ne l’avons pas considéré. 4 Certes, ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé."

Dieu a prouvé là de manière très concrète la force et la détermination par lesquelles il a fait le nécessaire pour que nous puissions le connaître, déjà d'ici maintenant, en tant que Dieu qui est amour.
L'apôtre Jean l'a écrit ainsi :
"Pour nous, nous (l')aimons, parce que lui nous a aimés le premier."

Comment cet amour céleste a-t-il été manifesté ?
"En ceci, Dieu prouve son amour envers nous: lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous.9 A bien plus forte raison, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère.10 Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à bien plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie…"

Et encore : "Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."

UN MARIAGE AVEC LE BIEN SUPRÊME !

Cela nous apprend que Dieu et/par Jésus a tout fait pour nous ramener dans une vraie paix avec lui – et en nous-même – et jusque dans son amour. C'est comme dans un mariage où l'époux dit : Oui, je veux prendre ...X… pour épouse.

Il reste à la candidate au mariage à dire Oui, je prends …Y... pour époux.

Concrètement avec Dieu, qu'avons-nous - qu'avez-vous - à faire ?

a) A vous réjouir encore si déjà vous avez vécu ce pas de recevoir le Christ Jésus comme le Dieu Sauveur (ce que signifie son nom, Yeshoua en hébreu = Dieu sauve) ;

b) Ou à accepter d'entrer dans cette alliance dont les conditions d'accès ont été accomplies par Jésus, et pour la vie épanouissante de laquelle il vous reste à vouloir être vous-même fidèle.
Ce qui signifie remettre en cause un mode d'existence que vous avez eu jusque là et qui n'a pu ni vous rendre heureux/se ni assurer votre paix et meilleure sécurité face à votre quotidien ou aux imprévus, sans parler de votre futur et face à la mort vers quoi on avance.

Renoncer au mal pour recevoir le meilleur des biens ! Tel est le défi que Dieu nous lance. Un choix déterminant de tous les autres aux effets courant jusqu'au delà de la mort physique. C'est pas rien !
Choisir car tout n'est pas compatible avec cette alliance. Et parce qu'il s'agit d'une alliance de vie et d'amour, on doit décider de laisser ce qui est mortifère, ennemi de la justice, de la vérité, de la confiance, de l'amour.

Jésus dit que "par tes paroles tu seras justifié-e, et par tes paroles tu seras condamné-e." (Mat 12.37).
A chacun-e de voir ce qu'il-qu'elle répond à l'offre unique d'union que la Bible et Jésus mettent à la disposition du genre humain pour relever de la chute quiconque veut changer pour rejoindre ce plan rédempteur de Dieu.

Un chant simple mais vrai

Dieu vous aime mais le savez-vous par expérience ?
Dieu vous aime mais le saurez-vous ?

Soyez aidé-e pour faire le pas de foi de votre propre salut éternel.

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10 décembre 2018 1 10 /12 /décembre /2018 14:54

PREMIÈREMENT : ARRIVER AU CŒUR PROFOND DE NOS CRISES

Les "vieux démons" !? Vous avez certainement entendu cette expression - qui réapparaît régulièrement quand il s'agit d'actes de barbarie, de terrorisme, de casse, d'addictions... !

Notre problème c'est qu'on a réduit une réalité bien vivante - les démons, sans chair et sans os mais puissants* ! - à un concept, à une forme métaphorique aussi insignifiante qu'une coquille de noix vide. Et voilà une grande cause de nos difficultés parmi les plus violences.

Parce que oui, les démons existent et continuent d'exister ! Regarder vos écrans (ou l'histoire à toutes les époques), et vous en voyez les effets.

Oui, ils sont vieux, mais surtout ils sont éternels ! On n'a donc pas fini d'y faire référence, dans une inconscience qu'il va bien falloir accepter de revoir et changer contre une réelle prise de conscience du Réel – et le plus tôt est bien sûr le mieux.

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* Anges déchus, les démons sont de l'ordre des entités (sans avoir besoin d'un corps dense) et des énergies (essentiellement invisibles en elles-mêmes, qui se découvrent et se "voit" indirectement par leurs effets : comme les forces élémentaires de l'univers, l'électricité, les ondes, l'âme et les pensées, et tout le spirituel).

1968, 2012 ou 2018 !? Les causes secondes changent, mais le fond du problème
(de la condition humaine) est toujours le même...

CHANGEMENT, CHANGEMENTS !?...

Globalement on ne peut plus ignorer qu'avec l'arrivée du IIIe millénaire christique, nous sommes entrés dans une période étonnamment nouvelle. Cela va être un bref temps-charnière, avec des changements encore largement insoupçonnés par la plupart, aussi profonds que le réveil d'un volcan ou les contractions d'une femme enceinte.

Outre que le genre humain à perdu sa souveraineté terrestre depuis que le premier esprit extra-terrestre maléfique en a pris le contrôle, nous sommes actuellement dans un temps très très particulier : Celui de l'achèvement du "temps de la grâce" autrement appelé "temps des nations". Savoir l'approche de la fin des deux derniers millénaires, qu'avait ouverts Jésus-Christ (Yeshoua le Messie d'Israël reçu comme le Christ des nations) à partir de sa mort et résurrection (probablement vers l'an 27).

En d'autres termes une mutation bien plus prodigieuse que ce qu'on imagine ou craint ou espère a commencé et se déploie dans sa fin de plus en plus rapidement et de manière choquante à sidérante, alarmante, interpellante pour l'âme ou violente pour les corps ! Sous nos yeux le plus souvent myopes ou aveugles... malgré cumulativement la fin de toutes semences saines, l'extinction impressionnante de toutes sortes d'espèces animales, des dérégulations monétaires problématiques, les dérèglements climatiques croissants, des déséquilibres écologiques dramatiques (appauvrissement des terres arables, déforestations, pollutions partout...), la montée des addictions, apparition ou réapparition de maladies souvent contagieuses, les famines, le chômage, les divorces, le recours croissant à la mort comme "solution" de libération, le retour de barbaries...

Est-on si loin des années folles ou des années 30, deux périodes de dérégulation morale ponctuées par les deux grandes guerres mondiales ? Pas tant que ça ! Même nos politiques font le rapprochement...


PLUS QU'UN CHANGEMENT, ON VIT UN CHAMBOULEMENT

C'est ce qu'on a pu notamment observer quand Nicolas Sarkozy, adhérent voire héraut (comme les autres) d'une idéologie politique mondialisante, a vendu la France (par le traité de Lisbonne, contre le résultat du référendum) à une "technocratie européenne invisible".

Depuis c'est la Bérézina (quand l'armée napoléonienne devenue incapable de conquérir la Russie sombra plus encore dans le fleuve Bérézina dont la glace des eaux céda sous leur poids). On vit le démembrement des nations, ce que la Bible nomme "la fin du temps des nations". 
 

Depuis cette européanisation de la France perpétuée par les deux présidents suivants, la vis (les libertés) se serre au point de créer ce qu'on voit ces jours de décembre dans les rues de France (dans ses "artères"), et significativement aux ronds-points : carrefours qui parlent de différentes directions possibles : et quand on veut aller au bon endroit, il vaut mieux faire le bon choix !

La vis se serre car
- d'un côté on est engagés dans une idéologie bureaucratique (ou bureaucratie idéologique) hors-sol, prémices de la Mondialisation recherchée par les "vieux démons" qui n'en démordent pas,
- et de l'autre on a laissé Les droits universels de l'homme se muter – et là aussi on peut parler de pressions initiées par le monde infernal – en droits partisans de chacun !
... sans jamais parler des Devoirs obligés de tous ! Donc sans plus de responsabilité personnelle quant à ce qui nous arrive.

Or, est-ce une vérité qu'on se retrouve innocemment au mauvais endroit au mauvais moment, sans y être pour rien ?
Ce qui veut trop dire : Je ne suis en rien cause dans ce qui m'arrive !
Ainsi la dérive de la victimisation : Quand je suis atteint par quelque mal, et quand je fais du mal en réaction à mes souffrances, je ne suis qu'une victime !
Et encore, pourquoi pas : - On me doit quelque chose !

C'est là une conception erronée du Réel, un mensonge diabolique.
C'est au point où déjà on n'est même plus le responsable de nos actes : J'ai tué parce que je supportais plus telle situation ! J'ai violé parce que j'avais envie et l'autre n'a pas réagi au point où je n'aurais pas pu le faire !


Tout et nous-même nous enferment dans cette déresponsabilisation et irresponsabilité - alors qu'on est toujours coupable aux yeux de Dieu. Ce qui fait un profond malaise intérieur (à l'intérieur des personnes et à l'intérieur de la nation), et qu'il ne reste plus que des électrochocs de plus en plus sévères pour nous… sauver de cette "mort-fine" !
Pour réveiller dans tous les camps (gilets jaunes, casseurs sombres, dirigeants oligarques, forces de l'ordre, indifférents à tout...) de cet endormissement mortifère dans lequel on laisse toujours plus de terrain… à Satan !…

C'est ainsi qu'on a longtemps laissé les casseurs casser sans les contrarier ! ...Comme on a laissé les enfants s'élever tout seul, sans correction, juste livrés à leurs pulsions, ressentis et autres impressions… Et là aussi livrés aux démons dès lors que le laxisme parental ou institutionnel leur laisse le champ libre… Remarquez l'autorité ou la force de certains tout-petits ou de certains pré-ados !...

ANTAGONISMES, LUTTES, COMBATS, RUPTURES, EN LIEU ET PLACE DES INSIGNES RÉPUBLICAINS… IDÉAUX

Qui va gagner, dans ce contexte ?
Contexte occasionné - voyons-le ! - d'abord par l'abandon croissant de valeurs et vérités religieuses traditionnelles (chrétiennes, universelles autant que françaises) et à la suite par des développements sans conscience suffisante de philosophies et idéologies athées, et de technologies dans un but essentiellement mercantiles.

Qui va gagner ? Certainement pas l'individu ! Certainement pas l'homme, la personne humaine ! C'est-à-dire certainement pas la démocratie !

Remarquez : Il suffit d'ajouter la lettre N – la haine – dans la démocratie pour en faire une démoNcratie (une gouvernance humaine pilotée par les esprits mauvais), à la base trop large et à la tête trop indéfinie pour pouvoir gagner.

A l'opposé, par le haut, c'est la mondialisation (où le monde, c'est démon en verlan). Un autre positionnement, mais l'action est dans le même sens, au profit de l'occulte ténébreux.
Le gouvernement collégial unique inféodera les peuples à eux, croient-ils, mais ce sera, eux compris, qui seront les bernés, les benés du Malin au lieu d'avoir choisi d'être les bénis de Dieu.

Ainsi a-t-on, orientés les uns contre les autres d'un côté un immense corps sans tête (les peuples), de l'autre une tête (oligarque) coupée du corps qu'elle sait de moins en moins bien gouverner...

Dans tous les cas, c'est l'homme, la femme, les enfants, tout le genre humain qui perd en ne suivant plus les préceptes et les ordonnancements naturels divins.

¤

Ce sens - le plus visible - de l'histoire est d'autant plus certain et à surveiller qu'on emploie de plus en plus souvent le mot Apocalypse. Du nom de ce livre de la Bible qui (avec d'autres) prédit un système unique de gouvernance mondiale (à partir de son chap. 13 – On est à la fin du chap. 9).
C'est un impérialisme qui est là prophétisé, plus terrible que les impérialismes réunis d'Alexandre le grand et des césars romains (pour qui connait un peu ses histoires) !

Quand on sait que déjà bien plus de 100 prophéties se sont fidèlement accomplies en leur temps, on peut se dire qu'il faut peut-être mieux écouter pour anticiper sur les jours sombres et nuits noires annoncés.

SIGNES, BALISES, LUMIÈRE, ALERTE... CAR IL Y A DANS LE MÊME TEMPS UN AUTRE COURANT DE L'HISTOIRE : CELUI DU SENS !

Être attentif donc, car toujours des signes annonciateurs d'un changement au moins assez important paraissent – témoins aussi que les temps et événements ne sont livrés ni à des hasards aveugles ni à la seule conduite (inconsidérée) des créatures, mais restent sous contrôle divin.

Ainsi vient un chaos planétaire, et une solution divine comme jamais encore il n'en a fait paraître (un événement bien plus grand que la traversée à pied sec par les israélites conduits par Moïse de la Mer rouge... qui engloutit à la suite la féroce 'armée du Pharaon d’Égypte).

POURQUOI UN TRIOMPHE DE LA VIOLENCE ?

Parce que les démons ne vieillissent pas : Ils sont très nombreux (1/3 de tous les anges créés par Dieu, sortis de leur rang et du Bien, par arrogance et orgueil pour certains, par faiblesses pour d'autres, à la suite de l'ange brillant et usurpateur premier (appelé parfois Lucifer) devenu Satan, l'adversaire de tous biens véritables... dont nous !

Ainsi, à cause d'un abandon généralisé (ou apostasie) rudement (plus que savamment) orchestré, des croyances de source chrétienne, et forcément à la suite des valeurs qui allaient avec, l'être humain a naturellement tendance à se faire jusqu'à démoniser, alors que Dieu lui offre - nous offre - la possibilité d'être divinisé, en recevant (de) son Esprit.

Un don de l'Esprit de Dieu à la fois
- comme lumière intérieure, avec une conscience redonnée de ce qu'est de manière intangible le bien et le mal. Pour bien mieux voir le Réel comme il est, notamment avec sa double dimension surnaturelle spirituelle que forment les sphères asymétriques de Dieu (infinies) et de Satan (limitée puis conséquente).
Lumière intérieure qui trouve son alter-ego, ses appuis ou confirmations dans les Écritures bibliques (notamment du Nouveau Testament)… ;

- comme paix intérieure, comme confiance grandissante dans le présent et l'avenir… ;

- comme force surnaturelle pour résister au mal, pour opter pour le bien, pour prier avec efficacité… ;

- et, plus important que tout, comme vie éternelle - l'éternisation de notre personnalité psychique !

Réalisons-nous que nous sommes mortels !? Mais aussi que Jésus est venu pour nous réintroduire vivant dans La Vie intemporelle de Dieu ! En déposant en n'importe qui d'entre nous croit en Son plan christique de rédemption,"les arrhes de son Esprit éternel".

DEUX MODES D'ARRÊT DE LA JUSTICE BASIQUE DE DIEU

De l'Ouest américain (avec par exemple le feu dévastateur de la ville de Paradis…) à "la plus belle avenue du monde", on a de quoi s'interroger sur ce qui se passe !
La Bible dit que si Dieu n'exerçait pas de jugements, plus personne ne croirait qu'il existe. Et il les exerce.

Dans tous les cas si aucune repentance n'apparaît les démons peuvent vite venir ajouter à un juste jugement des forces amplificatrices. En agitant et mobilisant ceux dont les pensées et comportements humains habituels sont des portes ouvertes à leurs débordements.
Sans parler des vrais gilets jaunes au départ pacifiques, qui se sont laissés et peuvent se faire encore contaminés par les vents subtils mais potentiellement puissants libérés dans les rues et dans cette crise.

Je le rappelle ! Dieu fait grâce aux humbles et à qui s'abaisse, mais il résiste aux arrogants dont l'orgueil précède et précipite la ruine.

L'organisation divine veut et fait que tout jugement ne peut cesser que de deux manières :

a) Par l'abaissement et la repentance (contrition, amer regret, mea culpa, demande de pardon, humiliation volontaire) de celui/celle qui en est atteint/e.

C'est le signe que l'on a encore une conscience de ce qu'on est des êtres (quelque part, d'une manière ou d'une autre, pour une raison ou une autre), responsables de ce qui nous arrive. Si cette prise de conscience ne se fait même plus, il ne faut pas s'étonner si on se trouve soudain confrontés à des violences ou viols ou pillages... qui se passent dans le même genre d'inconscience de sa responsabilité propre.

b) Ou bien, quand dans un embrasement surabondant, Dieu juge que l'injustice dans le jugement est arrivée à son comble.
Quand la correction est telle qu'il ne s'agit plus d'un acte de justice, mais d'une nouvelle injustice qui doit être à son tour châtiée. Les démons alors jugés et sortis du terrain de leurs exactions doivent laisser le terrain et la paix revient comme d'elle-même. Exemple fort et typique : La chute du mur de Berlin, sans la moindre résistance.

Si donc le Président Macron s'abaisse suffisamment pour que la démocratie tienne encore face à la montée de la mondialisation, la paix reviendra vite. Sinon les démons auront encore des droits pour pousser dans l'insatisfaction et la révolte (si leurs ravages ne sont pas parvenus à leur comble).

Aparté : Quand on a choisi pour dieu Mammon, personnalisation de l'argent, de la finance, il ne faut pas s'étonner si les jugements viennent toucher aux portefeuilles ! Car il y a toujours une vraie logique en toutes ses choses : on est le plus souvent puni par où l'on pèche.

 

Ainsi s'exerce toujours une justice basique de Dieu, même si on n'y croit pas ou si on ne le voit pas en tant que tel. La justice du mal payé par le mal ou justice rétributive, que ne peut arrêter ou amoindrir qu'une marque réelle de regret.

DES IMAGES EUROPÉENNES SIGNIFICATIVES

Pour s'assurer qu'il y a bien continuité du passé le plus antique à ce qu'on vit aujourd'hui, l'Europe a conservé deux images fortes indéniables.

a) La tour de Babel, le parlement européen de Strasbourg étant physiquement construit sur ce schéma d'une tour... inachevée. Pour dire : NOUS, nous allons faire; finir l'unité (interrompue) des hommes que figura cette tour ancestrale !
Que faut-il comprendre de ce symbole dès lors qu'on sait que c'est le Dieu-qui-ne-change-pas qui a interrompu cette construction et sa finalité (parce qu'elle se bâtissait en liaison avec les démons justement - livre biblique de la Genèse, chap. 11) ! Et donc ?...

b) D'autre part de la mythologie grecque, l'image d'Europa chevauchant le taureau blanc qui l'avait séduite et enlevée (motif paraissant notamment à Bruxelles). Taureau figurant le Dieu souverain, Zeus chez les grecs, déguisé en une créature superbe capable de toucher le cœur de la belle Europe dont il est tombé amoureux.
Qui donc figure Zeus ?

Est-ce une expression du Dieu des dieux que découvrit Abra(ha)m et qui ouvrit lui-même par diverses révélations dans un premier temps au monothéisme, puis à l'incarnation du Verbe éternel ?

Ou est-ce le dieu de ce monde que la Bible appelle "le prince de ce monde", Satan devenu le vainqueur des hommes par une première faute adamique (dont la femme fut la 1ère victime) ?
On est encore avertis par la Bible que ce "dieu" (par sa position au-dessus de nous)peut se faire passer à nos yeux pour "un ange de lumière", pouvant donc nous séduire, tromper et enlever/entraîner dans ses conceptions artificieuses !...

NE NOUS TROMPONS PAS DE DIEU !

C'est tout l'enjeu de notre temps, de notre terre, et de l'appropriation 'définitive) ou de la perte de nos âmes qui est là sur les différentes places du monde (financières, économiques, politiques, cognitives, conceptuelles…) ! Ne nous trompons pas de Dieu ! On peut s'en donner tellement, qui ne sont au final que des supports de Satan qui en tirent les ficelles pour que nous ne venions pas dans la grâce de son salut.

Entre les paillettes et les peurs qu'utilise contre tous "le taureau" (aussi figuré à New-York devant la Bourse de Wall Street !) et les vérités et les grâces qu'offre Celui qui refuse les images représentatives et se propose à qui veut le suivre, il ne faut pas se tromper !
Entre celui qui a exulté en poussant à bout la crucifixion de Jésus (et qui s'en prend encore aujourd'hui à ceux qui croient en lui) et Celui qui l'a subie pour nous extirper de ses griffes et des condamnations, sachons faire la différence. 

LE POUVOIR PERMANENT, A ACTIVER, DE LA CRUCIFIXION DE JÉSUS

Savez-vous cela !? La Bible dit avec toujours la même constante actualité jusqu'à maintenant :
"Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné (Jésus, Yeshoua en hébreu, Issa en arabe…), nous n'avons fait de lui aucun cas. 4 Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié. 5 Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. 6 Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie ; Et l'Éternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous. 7 Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent ; Il n'a point ouvert la bouche. 8 Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment ; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu'il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple ? 9 On a mis son sépulcre parmi les méchants, Son tombeau avec le riche, Quoiqu'il n'eût point commis de violence Et qu'il n'y eût point de fraude dans sa bouche. 10 Il a plu à l'Éternel de le briser par la souffrance... Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, Il verra une postérité et prolongera ses jours ; Et l’œuvre de l'Éternel prospérera entre ses mains. 11 A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards ; Par sa connaissance mon serviteur juste justifiera beaucoup d'hommes, Et il se chargera de leurs iniquités.
12 C'est pourquoi je lui donnerai sa part avec les grands ; Il partagera le butin avec les puissants, Parce qu'il s'est livré lui-même à la mort, Et qu'il a été mis au nombre des malfaiteurs, Parce qu'il a porté les péchés de beaucoup d'hommes, Et qu'il a intercédé pour les coupables.
"

Réalisez-vous ce qui a été écrit là de Jésus (7 siècles avant que cela n'arrive) au sujet de cette mort unique qui fut la sienne :  comprise comme indispensable, acceptée, rédemptrice, potentiellement salvatrice de l'âme de tout être humain !?

Pourquoi a-t-il "plu" à l’Éternel de voir mourir ainsi Jésus ? Parce que ce fils unique bien-aimé a accepté de prendre cette place des coupables que nous sommes tous.
Parce que c'était le seul moyen juste pour stopper la justice basique de Dieu qui nous condamne tous à mourir sans pouvoir dès lors connaître tout le Bien qu'est Dieu et une vie en relation avec lui.

"Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur."

Et pour cela il fallut "que le Fils de l'homme soit élevé, 15 afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle.
16 Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.
17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.
18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. 19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises.
20 Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dévoilées ; 21 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses œuvres soient manifestées dans une conformité à ce qui se fait en Dieu.
"
- POURQUOI !?
LA QUESTION À TOUJOURS SE POSER
Je la pose souvent à Dieu, sinon comment comprendre certaines choses qui nous arrivent ou qu'il cherche à nous dire ! Et il répond !... si on attend vraiment qu'il nous réponde (ce qui nous manque souvent).

Pourquoi donc Paris et la France encore à feu et à sang ? Pourquoi Mai 68 réitéré un demi-siècle plus tard – en pire parfois ?

Parce que les démons ne changent pas, et sont toujours dynamiques quand nos comportements – surtout ceux des leaders politiques quand on parle en terme de nation – deviennent trop injustes ;

Parce que le cœur des hommes/femmes/enfants ne change pas (Jérémie chap. 17.9) ;

Parce que sans foi en regard de la mort secourable – secouriste ! – de Jésus, on reste tous et chacun livrés à nos insuffisances, à nos dérèglements, égarements, perversions, méchancetés, illusions, égoïsme coupable, convoitise, jalousie, addictions, incompréhensions… 

MAIS LA BONNE NOUVELLE...
c'est que si les situations sont globalement en marche vers le mal, planétairement, de manière irréversible, la nôtre à chacun, la vôtre, est encore individuellement modifiable pour que vous marchiez, même parmi le chaos, dans un présent transformé (par votre regard éclairé par la foi) et vers un avenir sans fin où le mal ne sera plus !

C'est vrai pour chacun qui cherche et trouve, reçoit dans sa vie le seul vrai Dieu :
- Celui qui s'est donné pour le genre humain en la personne de Jésus, en vue de la repentance individuelle et du pardon des péchés (fautes) de chacun ;

- Celui qui donne de plus son Esprit à quiconque croit, afin que nous n'ayons pas une religion ou une autre à suivre comme une contrainte (de plus) et entrave à notre liberté intérieure. Mais que par cette force de vie surajoutée nous trouvions la paix en nous-même, le meilleur de la liberté psychique et spirituelle, des solutions à nos problèmes de relations, d'inconfort et autres addictions les plus contraignantes…

...SE SAISIT VRAIMENT INDIVIDUELLEMENT

Ainsi chacun, chacune de nous peut potentiellement se faire démoniser (assujettir à, par, des oppressions ou même possession(s) démoniaque(s)).
A l'inverse chacun, chacune peut être divinisé (réconcilié et en paix avec Dieu dès ici-bas et pour vivre la création suivante).

Jésus n'a pas promis à ceux qui veulent le suivre la facilité, une vie rose-bonbon ! Mais il a dit qu'avec lui on pouvait être plein d'assurance dans les adversités, car il avait vaincu les forces mauvaises de ce monde ! Lire aussi le Psaume 91 par exemple.

L'apôtre Pierre dit qu'il est préférable pour un enfant de Dieu (chrétien) de souffrir pour sa foi, dans sa foi, plutôt que de souffrir à cause de nos péchés comme incrédule ou religieux hypocrite.

Gilet jaune, casseur sombre, gouvernant subjugué, citoyen jusque-là indifférent ou encore étranger déraciné, qui que nous soyons, nous pouvons tous entendre et répondre à ces affirmations percutantes de Jésus :

"Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi."

"Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie."

Mais aussi "il ajouta : nul ne peut venir à moi, si cela ne lui a été donné par le Père."

Priez donc Dieu, l’Éternel Père absolu des créations, si vous ne le connaissez pas encore "en esprit et en vérité", pour qu'il vous envoie des révélations pour votre salut.
Sachant ou sans oublier que "la foi vient de ce qu'on entend qui nous vient de la parole de Christ."

Et "Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples."

Alors "vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libre."

Soyez sauvé-e !

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