Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
27 novembre 2019 3 27 /11 /novembre /2019 11:19

C'est un fait indéniable que nous sommes tous mortels,
et que le jour de notre mort ne nous appartient pas.
Et la peur même que cette évocation suscite en nous
est un signal qui montre que cet article
n'est pas sans importance.

Il suffit de voir ce qui peut survenir soudain comme déréglement climatique jusqu'à mortifère (eaux diluviennes*, neige, canicule), accidents de voiture, d'avion, de train (ou d'hélicoptère comme avant-hier avec 13 militaires tués), attentat, meurtre passionnel ou familial, AVC, cancer.......... Personne n'est à l'abri... mais personne aussi n'est mieux protéger que celui/celle qui a remis sa personne entière sous l'autorité de Dieu par Jésus-Christ. Et on va là voir pourquoi.

Si donc la mort est un fait indéniable qui risque de faire que cette existence avec toutes ses difficultés et souffrances n'aura eu aucun sens si elle est la fin de notre conscience, un anéantissement total de soi, pourquoi continuer à vivre ?...
C'est ce qu'on peut entendre de plus ou plus souvent chuchoté à nos âmes. Ce qu'on peut chacun percevoir à un moment ou à un autre (bien sûr surtout quand ça va mal), sous forme d'une pensée... qui en fait est une suggestion maligne qui vient d'où ?

De nous-même ou de Satan, du diable, d'un démon ? D'une ou l'autre de ses créatures angéliques déchues (invisibles car seulement psychiques et spirituelles, sans corps) qui nous détestent et se jouent de nous d'autant que nous ne croyons pas à leur existence. Ces esprits maléfiques nous détestent et le bonheur qu'on peut connaître.
Pourquoi ?

Car ils se sont mis dans le malheur et ne semblent plus trouver de satisfaction qu'en cherchant à nous entraîner dans leurs vices, leurs perversions, leurs mensonges, leurs injustices, et dans la mort, par le meurtre ou encore par le suicide qui se présente (faussement) comme le terminal d'un mal-être.
Or la mort telle que nous la voyons et comprenons, savons-nous ce que c'est réellement ?

QUE CROIRE QUANT À LA MORT?
- Certains croient que c'est la fin (de nous, de tout, de moi). Un anéantissement donc de notre corps et de notre psychisme.

- D'autres croient que c'est comme une mutation ou métamorphose où on va changer de corps. Où l'âme continue à vivre mais en migrer dans un autre corps, plus divin ou, le plus souvent, dans un corps animal quelconque (comme punition d'une vie où le mal à dominer sur le bien). Ils parlent alors de réincarnation.

- D'autres encore croient qu'en se sacrifiant pour une cause (religieuse ou humaniste ou politique), ils vont au moins changer la face du monde ou d'une situation, sans la moindre idée de ce qui se passe quand on meurt et quand on est mort, ou encore en croyant que des vierges nous attendent pour que nous assouvissions sans limites, sans opposition, nos pulsions sexuelles.

- Certains croient qu'il y a un paradis pour tous, ou encore différents paradis, comme un paradis des boxeurs par exemple pour les boxeurs qui meurent (où ils se boxeront éternellement peut-être !?).

- d'autres croient qu'il y a un paradis et un enfer, et que c'est loin d'être gagné d'avance pour savoir où on va se retrouver pour l'éternité !

- Certains croient que les morts avec leurs sensations psychiques sont toujours attachés à leur corps et qu'il faut aux vivants retourner leur corps une fois par an pour qu'ils se sentent mieux.

- Certains croient que l'âme sort du corps et par là perd son individualité pour rejoindre et se fonde en pleine inconscience une Conscience cosmique unique et universelle qui n'a rien de personnel.

- Peut-être croyez-vous encore d'une autre manière !?

Surtout remarquez que dans tous les cas il s'agit de CROIRE.
Ce qui peut nous poser un vrai problème: Celui que croire touche au religieux (et donc on se ferme rien qu'à entendre ou lire ce mot), ou touche à un inconnu inconnaissable, à ce qu'on ne peut absolument pas savoir.

Or je voudrais vous inviter à observer ce qui est observable, à réfléchir avec vos capacités de raison et de bon sens bien terre à terre, et à comprendre ce qui demande simplement que nous cherchions - comme en science si nous voulons découvrir des vérités qui ne sont pas immédiatement accessibles. 

UNE INVITATION À... NE PAS MOURIR... IDIOT !?
Questions :
Comment avez-vous appris tout ce que vous savez par l'école?
Comment avez-vous présenté un concours pour entrer dans une grande école ou dans un poste?
Comment avez-vous reçu les instructions d'un apprentissage?
Comment avez-vous appris le code de la route et la conduite (automobile ou maritime ou aérienne)?
Comment avez-vous appris à faire du vélo ou à nager?
Comment avez-vous pu manger aujourd'hui sans savoir si ce que vous avez mis dans votre bouche était bon ou avarié?
Etc, etc, etc...
Avez-vous la réponse exacte... que vous n'avez peut-être jamais soupçonnée!?

C'est que TOUT ce que nous apprenons et faisons, commence par un acte de confiance, par une transmission qui ne se reçoit que par... la foi ! En croyant ce qu'on nous dit.
Vrai ou faux!?
Et donc à la question qui peut vivre sans croire? la réponse est PERSONNE!

Car on est tous par nature des croyants, des êtres capables de croire avant de savoir ET POUR SAVOIR.
On ne peut arriver à SAVOIR quelque chose, que ce soit pas le domaine matériel le plus basique (apprendre un métier manuel) ou dans des domaines de connaissances théoriques (comme les maths, les physiques, la biologie...), qu'en commençant par écouter ou lire quelque chose qui nous est extérieur, qu'on ne connaît pas, et, le croyant, on se l'approprie en tant que savoir.

En fait il nous est absolument impossible d'avancer, de vivre la dynamique du vivant qu'on a héritée,  sans faire "des pas de foi", sans accepter de croire (quelqu'un, des idées, des concepts, des axiomes, des instructions, du savoir, qu'on va y arriver) pour arriver à autre chose, à plus loin, à plus haut, à plus grand, à meilleur, que ce qu'on est à un moment donné (que ce soit en tant qu'enfant, ado, adulte, ou même vieillard).
Beaucoup de cette vérité se passe comme indépendamment de nous, c'est-à-dire en dehors d'une conscience éveillée à comment on approche ou saisit les choses, à comment on a cet élan vital qui nous fait lever le matin (quand il n'est pas cassé!), préparer un cours, une conférence, chercher une solution, concevoir un film, tenir le choc (sans mal faire) face à une adversité qui nous encombre la vie...
Mais notre capacité et potentialité spécifiques d'être humain contiennent  aussi que nous puissions en conscience acquérir des données, des connaissances, du savoir et des savoir-faire. C'est-à-dire conscient qu'on se met à croire quelque chose alors même qu'on ne sait pas si c'est juste, vrai, bénéfique, utile, intéressant...

C'est donc là le POINT DE DÉPART crucial, prédéfini et toujours prêt à être actif ou activé de nos mouvements (physiques, psychiques ou spirituels).
Êtes-vous déjà convaincu-e que cela est vrai ?
Convaincu-e de la prééminence de cet axiome, de ce moteur fantastique  posé en nous par le Créateur**, qui fait que la vie est mouvements et dépassements et joie d'aventures, d'explorations et de nouveautés toujours possibles ?
Je pose cette question car le but de la dynamique du vivant pour nous, c'est que nous acquérions, que nous nous enrichissions donc de ce qu'on n'a pas à l'origine (bien qu'on ait déjà des capacités et beaucoup de potentialités), et que par là nous nous déployons jusqu'à dépasser même le cap suprême... celui de la mort physique !

Et c'est là TOUT l'enjeu (si ce n'est premier en tout cas final) de cette existence. C'est l'enjeu supérieur à tout, transcendant, de ce principe de foi qui est notre propre puissant moteur par lequel nous saisissons et évoluons... en bien ou en mal... selon ce qu'on va croire, qui on va croire, pour quoi on va croire.
Et on arrive là à "l'entonnoir" de la vérité !

L'ENTONNOIR DE LA VÉRITÉ
Facile à comprendre. Si 2 et 9 font 11 tout rond, cela ne fait ni 10, ni 13, ni même 10,5 ou 10,95, ni 11,05 ou 12, etc...

On comprend par là que la vérité, comme l'exactitude, est quelque chose de précis, qui exclut plusieurs autres choses qui dès lors, n'étant pas vérité, sont des erreurs, ce qu'on appelle encore selon les domaines des fautes ou des mensonges, voire des demi-vérités (qui peuvent être une forme subtile de mensonge).

CROIRE, QUOI ET PAS QUOI ? TOUT !?...

De la question de la vérité et du mensonge, du juste et du faux, donc plus globalement du bien et du mal, découle les questions ou notions capitales de notre liberté et d'une capacité personnelle à trier les informations - capacité psychique que nous avons comme bien d'autres choses à développer, ce qui donne du discernement, un jugement critique, une capacité à ne pas se faire avoir par n'importe quoi.
On connaît bien ça par les tentatives d'arnaque, d'hameçonnage sur la toile, par la faon dont des gens peuvent essayer de nous séduire (par l'attrait du gain, du sexe, du pouvoir, de produits stupéfiants, etc...) pour tirer profit de nous, nous manipuler, escroquer, etc...

DONC TOUT N'EST PAS A CROIRE, BIEN ÉVIDEMMENT !
Tout de ce qu'on entend, de ce qu'on nous dit ou nous montre, n'est donc pas à prendre "pour argent comptant". Comme s'il s'agissait d'une vérité, d'une bonne chose. 
Et là il faut croire que sans Dieu le discernement et la protection est bien difficile, voire impossible.
Qui ne s'est pas fait trompé, arnaqué, possédé, par une offre alléchante, par un gars ou par une fille, par une promesse (il n'y a pas qu'en politique que les promesses ne sont pas tenues, une fois qu'on a mordu à l'hameçon ! Emoji ).

EXTENSION DES DOMAINES OÙ EXERCER DE LA FOI  POUR S'ENRICHIR DE SAVOIRS... ET DE VIE !

On est toujours à avancer sur et par le principe de croire avant de savoir et pour savoir. Et on est juste en train de faire le pas qui passe d'un contenu matériel (physique et psychique) de ce qu'on croit à un contenu spirituel (qui touche au domaine des esprits, de Dieu donc, de l'après-mort, de l'éternité...).

ET DONC LA QUESTION MAJEURE DE LA VIE MORTELLE ET DE L'ÉTERNITÉ !?...
Plus conséquente que tout - on y arrive -, la question de savoir ce qu'il y a après la mort est capitale car cette échéance peut arriver à l'improviste - ça n'arrive pas qu'aux autres ! -, ouvrant sur rien moins que l'éternité.
On a vu plus haut diverses idées ou pensées, opinions, préjugés ou connaissance avérée) à ce sujet, chacun de nous ayant forcément une position, une idée (l'absence même d'idée est une forme d'idée, une façon de concevoir certaines choses par l'indifférence). Et parmi ce florilège de propositions issues d'ici ou de là, il y a FORCÉMENT, ASSURÉMENT, UNE RÉPONSE JUSTE, ce qui est LA VÉRITÉ sur ce point à la fois délicat (comme sont toutes recherches) et auquel personne ne peut éviter d'être confronté.
Comment savoir? Comment passer de croire à savoir?

Une bonne manière de procéder consiste à s'appuyant sur une approche comparée des propositions. En disposant et cherchant des informations sans faire l'impasse sur rien, dans la dynamique de TROUVER ce qui est vrai.
Car seul chercher ce qui est vrai permet de sentir et d'accéder à une conviction toute personnelle que la chose (l'information, l'affirmation, la proposition) est vraie.

La Bible insiste sur ce principe de chercher la vérité pour trouver la vérité. Par exemple dans la lettre aux Thessaloniciens on peut lire cet avertissement :
"La venue de cet impie (l'antéchrist) se fera par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers10 et avec toutes les séductions de l'injustice pour ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas accueilli l'amour de la vérité pour être sauvés.11 C'est pourquoi Dieu leur envoie une puissance d'égarement pour qu'ils croient au mensonge,12 afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité mais ont pris plaisir à l'injustice soient condamnés."

Ainsi permettez-moi pour faciliter cette recherche, de vous donner là ma réponse, mon intime conviction, acquise par différents chemins, ce que vous mettrez en vis-à-vis de ce que vous croyez déjà et si nécessaire pour vous faire une idée bien arrêtée en vis-à-vis du contenu d'autres croyances.

En fait je n'ai rien inventé - car on n'a pas à imaginer ce genre de connaissance (universelle et préétablie) -, mais j'ai rallié ce que dit la Bible (après avoir été au préalable indifférent, ignorant, et encore en comparant ce qui se dit ici et là).

QU'ENSEIGNE LA BIBLE SUR L’APRÈS MORT (LE "POST MORTEM") ?

La Bible dit depuis le commencement, que l'âme ne meurt pas avec la mort physique. 1er exemple : Dieu dit à Caïn après qu'il ait tué son frère Abel: "Qu'as-tu fait ? La voix du sang (l'âme***) de ton frère crie de la terre jusqu'à moi.".

Dieu conduit encore la foi d'Abraham jusque dans la résurrection des morts. En lui demandant de sacrifier le fils unique qu'il lui a donné par Sarah (Isaac) afin de leur assurer une postérité, Dieu amène Abraham à croire, de manière logique, rationnelle bien que surnaturelle, qu'il ne peut lui demander cela que parce qu'il a le pouvoir de le ressusciter ensuite.

Du temps de Jésus (1 800 ans plus tard), cette descendance abrahamique, dans sa partie engagée dans la fonction religieuse (sacerdotale) est divisée sur le sujet, avec d'un côté le parti majoritaire, les pharisiens, qui croient à une pérennité de l'âme et à la résurrection des corps.
Les saducéens (alors minoritaire) ont pour leur part adopté une position "moderne", qui coupe d'avec la tradition et les textes sacrés, niant toute vie post mortem de l'âme, et donc toute résurrection des corps. Sûrs de l'option nouvelle par laquelle ils se distinguent, ils viennent tenter Jésus, pour le confondre et/ou pour le faire rejoindre leur camp:
"« Maître, voici ce que Moïse nous a prescrit : Si un homme marié meurt sans avoir d'enfants, son frère épousera la veuve et donnera une descendance à son frère.29 Or, il y avait sept frères. Le premier s’est marié et est mort sans enfants.30 Le deuxième [a épousé la veuve et est mort sans enfants],31 puis le troisième l’a épousée ; il en est allé de même pour les sept : ils sont morts sans laisser d'enfants.32 Enfin, la femme est morte aussi.33 A la résurrection, duquel d'entre eux sera-t-elle donc la femme ? En effet, les sept l'ont eue pour épouse. »
34 Jésus leur répondit : « Les hommes et les femmes de ce monde se marient,35 mais celles et ceux qui seront jugés dignes de prendre part au monde à venir et à la résurrection ne se marieront pas.36 Ils ne pourront pas non plus mourir, car ils seront semblables aux anges, et ils seront enfants de Dieu en tant qu’enfants de la résurrection.37 Que les morts ressuscitent, c'est ce que Moïse a indiqué, dans l'épisode du buisson, quand il appelle le Seigneur le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob.38 Or Dieu n'est pas le Dieu des morts, mais des vivants, car tous sont vivants pour lui. »39 Quelques spécialistes de la loi prirent la parole et dirent : « Maître, tu as bien parlé »"

La question est alors: Qui, mieux que Jésus qui a donné des signes surnaturels de sa nature divine (jointe à sa nature humaine), a pu dire autrement et aurait raison?
Et encore qui, mieux que l'Esprit de Dieu qui a enseigné et inspiré les écrivains des  la Bible, sait ce qu'il en est de ce qui se passe sur l'autre versant de tout ce qui fait le Réel ? (vous pouvez par exemple (lire ou écouter en cliquant ici ce qu'a pu écrire l'apôtre Paul de détaillé sur la 1ère résurrection)
A vous de chercher... si sa réponse christique et biblique est bonne, ou pas...

POUR NOUS AIDER À TROUVER L'HISTOIRE (BIBLIQUE) MAIS AUSSI L’ACTUALITÉ
Depuis quelques années les langues se délient dans plein de domaines. Et dans celui qui nous concerne ici aussi. On parle alors de EMI (Expérience de Mort Imminente) ou NDE (Near Death Expérience).
On pourrait surtout parler de Vie Imminente, car les rapporteurs de ces expériences faites alors qu'ils sont en état comateux ou de mort clinique, dans un ou des univers surnaturels (qui tiennent de l'enfer et du paradis), racontent qu'il y a dans ces sphères non matérielles (psychiques et spirituelles), où ce corps n'a pas sa place, plus de vie, plus de conscience, plus d'acuité de perception, qu'ici-bas.
Pour écouter de ces témoignages, tapez EMI ou NDE sur un moteur de recherche et vous pourrez rejoindre des milliers de vidéos qui forme un tel faisceau d'indices qu'on peut désormais parler de preuve que l'essentiel de notre existence et de notre être, c'est l'âme (la psyché en grec, d'où tous les mots formés autour de la racine "psy").
Ce que disent depuis l'aube des temps toutes les religions et encore aujourd'hui bien des cultures, et la Bible qui va même plus loin en disant que l'être humain créé à l'image de Dieu (qui est un Dieu Un et trinitaire en même temps) est un corps habité par une âme et un esprit...

La Bible enseigne encore qu'outre des résurrections isolées surnaturelles de morts, il va se produire pour tout le genre humain deux résurrections bien distinctes et différentes des défunts, distantes de mille ans.

PREMIÈRE RÉSURRECTION DES MORTS
Une 1ère résurrection est celle de ceux qui sont morts dans leur foi au Seigneur Jésus venu sur terre pour y mourir en tant que Sauveur, obtenant que quiconque croit en lui et en ce sacrifice totale de sa personne puisse recevoir un authentique pardon de Dieu de toutes ses fautes.

Cette résurrection donne immédiatement à qui en bénéficie un corps nouveau, tout autre, comme si en tant que conducteur on recevez d'un coup une Ferrari toute neuve, une Bentley, une Tesla, une Maserati, une Rolls-Royce...
C'est ce que la Bible déclare (que vous pouvez lire en cliquant ici). 
Cette résurrection va conduire ses heureux bénéficiaires jusque dans le Royaume céleste éternel de Dieu. La Bible donne pas mal de renseignements sur ce futur... qui devient de plus ou plus imminent, ce qui apparait par une conjonction des textes bibliques prophétiques et des principales actualités planétaires.

Ce qui pose là aussi la question de la véracité des écrits bibliques !
Écrits d'hommes (une quarantaine) qui, bien que sur une durée de 1 500 ans environ, ont pris l'initiative de faire ce livre, ou bien livre totalement inspiré par l'Esprit de Dieu pour que nous sachions, en croyant, ce qui ne peut être accessible à notre raison, à notre âme, mais qui l'est à notre esprit.
A vous de chercher, et une bonne manière de le faire est de chercher cette vérité en lisant la Bible (en commençant par la seconde partie (le Nouveau Testament) par exemple car elle est plus courte et éclaire beaucoup ce qui était resté mystérieux dans la première.
Pour ma part la réponse n'a pas été difficile du fait qu'un jour où j'étais en panne dans mes recherches et tâtonnements spirituels (genre Nouvel-âge), Dieu m'a parlé par une voix très audible, disant simplement : "Lis la Bible ! Lis la Bible !" (Je raconte la suite surnaturelle ici en descendant la page jusqu'à DIEU ME PARLE, VRAIMENT !).

SECONDE RÉSURRECTION DES MORTS
Elle est celle de tous les autres qui n'ont pas pu être de la première.
Elle interviendra après le millénium ou règne terrestre de Jésus de 1 000 ans. (comme vous pouvez le remarquer, la foi en Christ et par la Bible ne laisse pas dans du flou ou des limbes évanescentes au sujet du futur (terrestre, céleste, puis sur une nouvelle terre et sous un nouveau ciel...).

ÔTER DES OBSTACLES QUI BOUCHENT LA VUE ET PARALYSENT LE CŒUR ET LA RAISON
Mais pour entrer dans l'assurance qui est un des signes qui attestent d'une foi juste, c'est-à-dire d'une foi en ce qui une vérité, il faut d'abord que nos péchés (nos fautes morales et autres injustices et pratiques occultes) soient vus et confessés à Dieu pour obtenir de sa part un pardon véritable? Et cela dans la foi concomitante que c'est uniquement parce que Jésus est mort à cause de nos fautes, prenant sur lui tous les effets qui en résultent, dont la mort, que le Dieu éternel peut nous laver de tout.
Ainsi est-on chacun remis en règle et en paix avec Dieu, non sur quelque mérité de notre part (car toute notre justice est comme un vêtement souillé, dit le prophète Ésaïe), mais uniquement sur la base que Jésus, en donnant sa vie pour nous, a satisfait la justice de Dieu qui exige que le mal commis soit sanctionné.
Ce qui est dit ici de merveilleuse manière: "En effet, le salaire du péché, c'est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur.". 

Désormais, ayant lu jusque là, vous avez la responsabilité de poursuivre (ou pas) dans la seule quête qui finalement est importante, car vitale (et bien au delà de ce qu'on peut imaginer), celle de chercher comment entrer en relation avec Dieu dès ici et maintenant, c'est-à-dire comment trouver ç s'établir dans une paix avec lui, ce qui seul permet de tenir les démons et Satan (qui sont des anges déchus) à distance.
Enfin faire la paix avec Dieu pour le connaître de l'intérieur, dans sa sensibilité, dans son amour, dans son repos, dans sa dynamique en notre faveur... et non seulement du dehors par ses jugements, c'est trouver comment accéder à l'éternisation qu'il désire tant de notre âme - c'est-à-dire une pérennité éternelle de notre moi-je, de notre personne consciente d'elle-même et unique.
Avec Jésus les choses sont simples. 
C'est au point où entendant et discernant l'état d'esprit d'un des deux brigands crucifiés à côté de lui, il lui répond: "Aujourd'hui tu seras avec mon dans le paradis".
A un autre, l'apôtre Paul va dire: "Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé toi et ta famille".
A d'autres l'apôtre Pierre dit: "Repentez-vous (ce qui veut dire Regrettez ce qu'a été votre vie passée tout en décidant de changer vos  manières de faire) et que chacun de vous soit baptisé pour signe du pardon de vos péchés (comme expression physique qui rend visible ce qui s'est réellement passé comme changement dans votre for intérieur), et vous recevrez le don du Saint-Esprit (qui est la vie même de Dieu, éternelle donc, qui vient s'ajouter à notre être psychique pour nous mettre à part de toutes les forces dominantes mauvaises et nous sauver de la perdition de soi qui suivra toute mort qui n'est pas marquée par cette présence divine en nous).

En toutes ces choses je n'invente rien; je n'ai fait, parmi tous les possibles proposés par les uns et les autres, philosophes, idéologues, médiums, charlatans, religions, que croire que la meilleure manière de croire consiste à considérer les écritures bibliques comme étant d'origine divine, et donc que Jésus est bien l'unique Sauveur dont nous ayons besoin pour échapper un maximum au mal présent et à venir.

Pour clore ici, un verset dans lequel il peut suffire de mettre votre nom à la place du mot "quiconque"pour que, si vous le faites en toute intégrité et foi, vous entriez (naissiez spirituellement) immédiatement dans le plan rédempteur de Dieu:
"En effet, Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle."

Si vous désirez mieux ancrer encore en conscience une telle démarche que vous venez de faire ou que vous désirerez de faire, voici en cliquant ici > un guide de prière pour vous aider à passer ainsi d'une mort (spirituelle, qui est notre lot commun) à La vie (spirituelle qui se reçoit et ne peut jamais finir). 

Soyez richement béni-e.

(Pour + mon article sur les 5 formes de résurrections en cliquant ici. Aussi si vous voulez creuser le sujet de la mort Les 5 types de mort < ici

_________________
* La Bible nous dit que Dieu a fait une alliance avec nous par Noé, lui assurant qu'il ne détruirait plus de lui-même le genre humain par de "grandes eaux" (grosses inondations, cyclone, rupture de barrage,  tsunami, pollutions mortelles...).
Ce qui signifie que lorsque de tels accidents se produisent en rapport avec l'eau, Dieu n'en est pas responsable. La cause, la responsabilité incombe à ceux qui les subissent pour les avoir suscités de la part des démons (toujours capables d'influencer les éléments naturels comme on peut le lire ici dans la Bible) à partir de leurs comportements coupables. Notamment par des pratiques graves (individuelles, collectives ou d'un groupe de responsables) que la Bible appelle des abominations parce qu'elles donnent des droits sur nos existences aux démons). Il en est ainsi des meurtres (dont l'avortement fait partie aux yeux de Dieu et de Satan), de perversités dénaturées, de diverses formes d'occultisme et autre satanisme (notamment comme il est écrit dans le livre biblique du Deutéronome au chapitre 18, à partir du verset 10).

** Rien que par cette dynamique incluse dans le vivant, la théorie athée qui pose l'évolution comme moteur du vie est intenable (sans parler de toutes les lois, organisations, complexités et systèmes découverts).
En effet avec ce que prône cette doctrine qui veut ôter à Dieu la paternité du monde et de la vie, on veut nous faire croire - toujours la croyance au départ de nos adhésions ou refus - que tout s'est fait à partir de rien uniquement par des successions infinies d'évolutions conduites par la main droite du hasard (des hasards) et par la main secondaire (gauche) des nécessités qui surviennent et obligent le hasard à se mettre à chercher sans la moindre intelligence des solutions aux problèmes posés...
Et donc comment le hasard serait-il parvenu à créer un déterminisme primordial comme est le principe de foi? Quelle nécessité aurait amené une telle évolution interne dans la nature psychique du vivant, qui n'est pas solution à une problématique particulière apparue au cours du temps, mais un universalisme préexistant à des situations et difficultés qui apparaissent dans le temps, qui s'y adapte plus que rapidement puisque c'est le principe même qui invite, appelle, déclenche toute appropriation nouvelle dans des dépassements de soi...

*** L'expression "la voix du sang" enseigne déjà ici que l'âme, le psychisme, est liée au sang, en est une émanation, le sang restant son support tant qu'il peut assurer la vie au corps. 

Partager cet article
Repost0
14 novembre 2019 4 14 /11 /novembre /2019 11:19

Notre cœur,
comme nos pieds ou nos mains,
a besoin d'être
lavé, purifié, éclairé, régénéré...

Ce qui réjouit le cœur de Dieu, c'est qu'il puisse nous pardonner.
L'avez-vous appris ? Ne le savez-vous pas ? Le saviez-vous mais l'avez-vous oublié?

"Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies.7 A peine mourrait-on pour un juste ; quelqu'un peut-être mourrait-il pour un homme de bien.8 Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous."

Jésus-Christ "mort pour nous" pour quoi?
Entre eux - la première raison à expérimenter: Pour nous pardonner.

Un jour j'ai vu (et entendu) un handicapé sur une chaise roulante s'en prendre avec violence (verbale) à la personne qui manœuvrait son fauteuil.
Apparemment parce que cette dernière venait de trop le secouer alors qu'il s'agissait de sortir d'un magasin ayant une marche ou deux à son entrée.

Sans doute pas facile de gérer ce passage difficile, et le jeune homme assis a-t-il pu être plus ou moins secoué et avoir mal.
Mais autant il était sans force physique pour marcher, autant il n'était pas sans animosité tapie au fond de son cœur pour réagir. C'est réellement de la méchanceté qui sortit alors de sa bouche, au point de me faire retourner.

CONNAISSANCE DE SOI

Cette image est pour moi une illustration de ce que nous sommes chacun en face de Dieu: à la fois la personne handicapée qui a besoin d'aide, et la personne qui assiste l'autre pour bien faire, mais sans expertise, et avec moultes maladresses...

D'un côté un cœur profond dont une contrariété peut rapidement atteindre et faire déborder son fond (qui est comme la lie déposée au fond d'une bouteille); de l'autre une bonne volonté à bien faire, mais avec une sempiternelle insuffisance pour réussir là où ce serait le plus nécessaire... notamment dans nos relations les plus rapprochées et obligées.

C'est ainsi que Jésus (le psy qui connaît l'être humain plus que quiconque) dit un jour: "Ayant de nouveau appelé la foule à lui, il lui dit : Écoutez-moi tous, et comprenez.15 Il n'est hors de l'homme rien qui, entrant en lui, puisse le souiller ; mais ce qui sort de l'homme, c'est ce qui le souille.16 Si quelqu'un a des oreilles pour entendre, qu'il entende.
17 Lorsqu'il fut entré dans la maison, loin de la foule, ses disciples l'interrogèrent sur cette parabole.18 Il leur dit : Vous aussi, êtes-vous donc sans intelligence ? Ne comprenez-vous pas que rien de ce qui du dehors entre dans l'homme ne peut le souiller ?19 Car cela n'entre pas dans son coeur, mais dans son ventre, puis s'en va dans les lieux secrets, qui purifient tous les aliments.20 Il dit encore : Ce qui sort de l'homme, c'est ce qui souille l'homme.21 Car c'est du dedans, c'est du coeur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les impudicités, les meurtres,22 les vols, les cupidités, les méchancetés, la fraude, le dérèglement, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie.23 Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans, et souillent l'homme."

Voilà ce qui nous habite... tous ! Et qui se révèle à une occasion, dans une situation ou même une discussion ou une autre. On a vu que ça peut aller jusqu'à un coup de couteau pour une place de parking!
Certes, une bonne socialisation (éducation) peut rabaisser les pulsions qui résultent de cet état de fait générique, mais c'est dans une adversité qu'on peut réellement se découvrir... tel-le que Dieu nous voit. 

Et avec son pardon pour les faute passées, c'est aussi ce fond mauvais, corrompu, déréglé de diverses manières, que Dieu veut changer, pour nous changer.
D'une part donc, en commençant par nous pardonner chaque élément et la somme de ce qui est sorti de notre bouche et jusque dans notre comportement, tout ce qu'on a pu faire de mal, à partir et à la suite de mauvaises pensées et/ou de mauvais choix, avec notre corps (que ce soit dans la luxure ou dans la violence).
Et d'autre part, ce qui nous caractérise d'une autre manière, c'est une vraie faiblesse, congénitale, adamique, universelle, qui nous laisse laxiste où il faudrait réagir, ou au contraire qui nous met en mouvement pour ce qu'on pense être du bien, et qui va s'avérer être mal.

UNE AFFAIRE DE CONNAISSEURS   

Un autre grand psychologue avant l'heure (et psychanalyste puisqu'il a fait son analyse et peut dire ce qu'il a expérimenté en lui-même), l'apôtre Paul, décrit cela ainsi: "Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais.16 Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi (qu'elle soit celle de notre conscience personnelle ou d'une religion) est bonne.17 Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi.18 Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair : j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien.19 Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas.20 Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi.21 Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi.22 Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ;23 mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres.24 Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?..."

N'avez-vous jamais failli, cédé ainsi, jusqu'à vous laisser entraîner dans ce que vous sentiez ou saviez être mal ?
Ou encore au contraire, ne vous êtes-vous jamais comporté comme un lâche, un peureux, un muet, là où il aurait fallu ouvrir la bouche pour défendre une situation, une cause ou une personne?

DÉVELOPPEMENT PERSONNEL

Il est important d'apprendre à être ou à devenir honnête vis-à-vis de soi-même quant à ce que nous sommes. C'est là que commence le véritable développement personnel !
Si on aspire à s'améliorer (mentalement, psychiquement ou spirituellement), il ne faut pas que ce soit une construction qu'on veuille développer sur un fondement pourri, piqué des vers... que sont ces forces intérieures mauvaises qui forment ce que la Bible appelle "le péché" (mot décrié mais très significatif puisqu'il a le sens de "manquer une cible", "passer à coté de" (ce qui est le bien véritable).

Et tant que le péché est une loi qu'on laisse librement écrite et agir, selon sa propension naturelle (psycho-génétiquement et par suite développée par nous-même), tant qu'on ne peut se maîtriser au contact des forces qui animent le monde qui nous entoure, nous sommes entraînés dans des erreurs, ses mensonges, des divagations, des pulsions malignes, des travers, des perversités et autre aveuglement...

Et le grand psy Paul expose encore de manière synthétique et parlante l'opposition qu'il y a entre le bien et le mal. C'est-à-dire entre ce qu'on peut vivre selon qu'on poursuit notre route sans la transformation surnaturelle que Dieu (le vrai, le Dieu de la Bible et non celui des religions ou des philosophes) peut opérer en nous; ou selon qu'on désire être pardonné et purifié par lui. Lisons: "Car la chair a des désirs contraires à ceux de l'Esprit, et l'Esprit en a de contraires à ceux de la chair ; ils sont opposés entre eux, afin que vous ne fassiez point ce que vous voudriez.18 Si vous êtes conduits par l'Esprit, vous n'êtes point sous la loi.19 Or, les oeuvres de la chair sont manifestes, ce sont l'impudicité, l'impureté, la dissolution,20 l'idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes,21 l'envie, l'ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d'avance, comme je l'ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n'hériteront point le royaume de Dieu.
22 Mais le fruit de l'Esprit, c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance."

Par le mot "chair" il est question de notre être naturel (notre corps et notre âme), qui ne tient pas compte de la réalité de Dieu et ne peut triompher du mal par le bien car nous sommes chacun habités par cette loi terrible dite "du péché et de la mort."

Par le mot "Esprit" il est parlé de l'Esprit même de Dieu qu'il donne à ceux qui veulent entrer et entrent effectivement dans son plan de rédemption de nos âmes et personnes.

Le verset suivant nous expliquant: "24 Ceux qui sont à Jésus Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs.

Dès lors que Dieu nous donne de voir aussi clair entre ce qui est bien et ce qui est mauvais pour moi et en moi, va-t-on rester ce que nous sommes - c'est-à-dire la personne pécheresse dont on a lu les descriptions, ce que je suis par nature et encore ce qui a été fabriqué dans mon intérieur par une culture et/ou par une religion?

Ou bien veut-on que Dieu nous adopte? Veut-on qu'il nous donne de repartir tout à nouveau, en mettant le compteur de nos péchés à zéro?

TRANSFORMATION DE SOI

Rien de religieux là-dedans!
Il s'agit seulement que nous trouvions ou retrouvions comment vivre en relation avec Dieu. C'est-à-dire dans une relation vivante (vivifiante, purificatrice, sanctifiante, apaisée, réjouissante...) avec ce Dieu véritable qui veut nous enrichir de son propre Esprit.

C'est pourquoi, quand ils veulent savoir comment entrer au bénéfice de la rédemption obtenue pour nous en sa mort par Jésus, l'apôtre Pierre dit à ses auditeurs ce que la Bible nous rapporte ainsi: "Après avoir entendu ce discours, ils eurent le coeur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres : Hommes frères, que ferons-nous ?38 Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint Esprit.39 Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.40 Et, par plusieurs autres paroles, il les conjurait et les exhortait, disant : Sauvez-vous de cette génération perverse.41 Ceux qui acceptèrent sa parole furent baptisés ; et, en ce jour-là, le nombre des disciples s'augmenta d'environ trois mille âmes.42 Ils persévéraient dans l'enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain, et dans les prières."
"Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles.18 Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation.19 Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."

Voilà tout "l'Evangile" de Jésus-Christ (mot venant du grec qui veut dire Bonne nouvelle). Ces passages en sont son cœur, qui expriment le cœur de Dieu, vérités à partir de quoi quiconque veut être honnête et sauvé de la perdition dans laquelle nous naissons tous et risquons de finir, peut s'impliquer, s'insérer tout personnellement dans ce plan de rachat de nos personnalités en risque et état de perdition.

En cliquant ici vous avez un guide de prière si vous désirez faire cette démarche toute personnelle qui permet d'obtenir le pardon de nos fautes et de recevoir la vie de l'Esprit de Dieu qui fait de nous des "nouvelles créatures" (qui seront ici-bas des enfants adoptifs de Dieu et vivront par la suite leur maturité, dans un nouveau corps glorifié, dans le Royaume éternel de Dieu, ce qu'on appelle le Paradis). 

Soyez béni-e, et sauvé-e.

Pour lire la Bible si vous en êtes totalement ou largement ignorant, je vous conseille de commencer par le Nouveau Testament (sa 2e partie) et par un des quatre évangiles - par exemple en cliquant ici: 1/ Évangile selon Matthieu - 2/selon Marc - 3/selon Luc - 4/selon Jean...

Partager cet article
Repost0
17 septembre 2019 2 17 /09 /septembre /2019 17:27

Rien ne peut être plus moderne, post-moderne, contemporain, que la solution de Dieu aux problèmes humains, personnels et génériques.

 

Solution qui n'est ni dans une religion, ni dans une idéologie humaniste, ni dans quelques concepts érigés en normes dogmatiques, mais en une personne.


Une personne unique, par sa naissance surnaturelle, par ses bienfaits (sans fin) prodigieux, par son message (toujours) révolutionnaire, par sa mort qui fut le plus grand don jamais fait au genre humain, et par sa résurrection (éternelle) ; nombre de lecteur/lectrice savent déjà que je veux parler de Jésus - le Messie d'Israël et Christ parmi les nations.

 

Rien de plus actuel dans toutes les actualités comme possibilité toujours ouverte de solution aux besoins les plus criants, aux difficultés les plus complexes, dans les pressions, les contraintes, les combats, les fausses libertés, les obsessions, oppressions et autres cas de possession.

 

Rien de plus universel et puissant... Sauf que ce potentiel immense demande, comme pour déclencher l'explosion d'une bombe atomique, le positionnement, le geste, l'appel ou la réponse de la personne concernée.

 

Dans tous les domaines où on pense, parle et agit, ce pas de la part de la personne concernée s'appelle la foi.

LE PRINCIPE UNIVERSEL LE PLUS MÉCONNU !

La foi est ce principe universel dynamique déposé par le Créateur au cœur du vivant qui s'active d'abord en pleine inconscience de sa réalité - le jeune enfant qui se lance pour marcher, puis pour apprendre à nager ou à écouter ce qu'on lui enseigne à l'école...
Puis on avance par la foi de plus en plus en plus en conscience, des risques, des incertitudes, des calculs, des convictions - que ce soit pour monter dans un avion, pour démarrer une entreprise ou se marier, pour faire des recherches scientifiques, pou se faire opérer, pour commercialiser ou acheter un produit, jusque pour manger le pain, la viande ou les légumes trouvés sur les marchés (possiblement toxiques ou mortels)...

Et ainsi, foi actionnant jour après jour, notre part de créature intelligente, libre et responsable, est-elle que nous activions volontairement ce principe qui permet de bouger, de se positionner, d'avancer (ou de freiner) jusque dans la dimension spirituelle du Réel. Savoir jusqu'à croire en Dieu et se mettre à chercher à le connaître afin de lui permettre de toujours plus paraître existant et vivant à notre âme et dans notre quotidien.

 

Aujourd'hui, personne ne peut dire qu'on ne peut pas savoir au sujet de Dieu, de la connaissance de soi ou de la vie (psychique et spirituelle) après la mort (physique, physiologique).


Pour nous la connaissance est partout sur internet, dans les médiathèques, par des enseignements et des témoignages multiples de personnes qui racontent en toute sincérité quelles expériences elles ont faites de la réalité de Dieu ou de l'au-delà.

 

Et parmi tous les moyens facilement accessibles, la Bible tient depuis des siècles la première place avec un nombre de traductions, d'impressions et de lecteurs/lectrices inégalé.

ACTIVER SA FOI POUR LE MEILLEUR

Alors !? Que vous reste-t-il à faire pour devenir un homme, une femme, qui connaisse le pourquoi de sa présence dans ce monde, dans ces circonstances, avec ces facilités et ces difficultés ?
Pour devenir une personne qui trouve la solution à ses problématiques les plus immédiates, et sache de plus dans quelle éternité son existence peut se terminer - de la pire ou de la plus sublime manière possible ?

 

Ce ne devrait pas être la peur qui nous pousse vers Dieu !
Ce devrait être une saine curiosité, une intuition, un désir de connaissance, voire une difficulté qui nous submerge.

 

Dieu est bon, et il répond en ouvrant notre conscience à sa réalité à partir de bien des raisons... pourvu qu'il n'y ait pas en nous de fraude, de duplicité, de faire-semblant... On ne peut le tromper !

 

Nous allons de plus en plus vite vers des temps difficiles, voire terribles, que ce soit au plan sociétal ou au plan individuel.

Et cela aussi parce que quand ça roule cool pour nous, on n'a pas le sentiment d'avoir besoin de Dieu... alors qu'on reste quand même sans cesse en souffrance, en mode insatisfaction, en risque de mourir par un accident ou un autre, et donc de partir dans l'éternité sans savoir dans quel contexte nous allons aboutir (royaume divin ou principauté démonique).

 

Alors n'attendez pas d'être pris de court, d'être sans recul possible pour faire un choix lucide, ne prenez pas le risque de voir votre existence personnelle vous échapper - alors même que votre vie (votre moi, votre âme et votre corps) peut être éternisée par Dieu, pour vivre sans fin ses bienfaits, ce que sera le meilleur de tout ce pour quoi vous et moi aurons eu à subir ici-bas des temps et des choses bien difficiles.

 

Bonne réflexion, bon positionnement, cherchez le meilleur de votre éternité.

 

Article annexe ; Les 5 types de mort

Guide pour prier en vue de connaître Dieu

Partager cet article
Repost0
14 septembre 2019 6 14 /09 /septembre /2019 09:48

Lien vers un article que je vous invite à découvrir (avant d'en lire ci-dessous mon commentaire) > C’est bon pour la morale, c’est bon, bon

Commentaire :
"
Vue lucide qui devrait la rendre ou la donner à plusieurs. Car c'est un fond de la connaissance de soi que :

1/ ce qu'on reproche aux autres, c'est le plus souvent notre propre problème. Fondement > La Bible, Nouveau Testament, lettre aux Romains (que nous sommes tous !?) ch. 2, vers. 1.

2/ La Loi (ou religion) est "un ministère de mort" (dans la même section du même livre, 2e lettre aux Corinthiens (nous en sommes tous !?) vers. 6 à 9, "un ministre de condamnation". Si l'humanité comprenait ce passage, la face de la terre en serait changée !

3/ autre expression biblique de cette loi fondamentale (universelle, élémentaire, de notre psychologie) : "la Loi (ou religion) produit (ou provoque) la colère" (lettre aux romains que nous... chap. 4, vers. 15).

Ce que les faits prouvent absolument.

Par Loi il faut comprendre TOUTES lois dans ce qu'elles ont d'ordre MORAL, qu'il s'agisse de ce qu'on appelle religion, ou de ce qu'on appelle laïcité (D'ailleurs le "philosophe" Peillon a nettement vu la laïcité comme une religion en devenir...).

La clé donc face à toute loi qui est ou qui se veut morale, se trouve dans la compréhension de : Pourquoi Dieu permet des système religieux (religieux ou athée) ?

La lettre le dit aux Romains qui veulent savoir (ch. 5, v. 20) : "La loi est intervenue pour que l'offense abondât..."
Pourquoi ?

Pour que, notre conscience perso étant endormie ou séquestrée (par exemple par e conditionnement sociétal qui nous a construits), une loi écrite, lisible, extérieure à nous, vienne nous montrer que plus on veut être et se conduire en être moral, plus ce qui est tapi au fond de notre cœur (que la Bible appelle "la loi du péché") monte à la surface, afin que nous ne nous leurrions pas sur nous-même !

Et tout ça est bon... si on est intègre de cœur, désireux de se voir tel qu'on est véritablement. Sinon, on sait (normalement) ce que Jésus a dit les religieux...

Mais pour les intègres qui veulent en sortir, l'apôtre Paul (un religieux passé à la Grâce de Dieu) a observé, analysé et écrit le descriptif magnifique (communiqué aux Romains, ch. 7, vers. 14 à 25) :

"Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair : j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ;mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?...
Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur !...
Ainsi donc, moi-même, je suis par l'entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché.".

Voilà tout le sens de la religion, de notre condition problématique dominé par les forces obscures qui nous habitent (d'autant on n'a pas ou plus de fondement du bien en nous), et de la Bonne nouvelle de la Grâce qu'apporte Jésus à quiconque aspire à (re)trouver son identité véritable, primordiale, de créature de Dieu.

Bref un article que j'apprécie au point de le mettre en lien sur mon blog... avec ma réponse. Merci Franck C."

Cher lecteur, lectrice, soyez béni-e.

Partager cet article
Repost0
7 septembre 2019 6 07 /09 /septembre /2019 20:34

Pour croire en Dieu en Occident, il faut se secouer du conditionnement matérialiste dans lequel on baigne de la maternelle à l'université... et de là le restant de notre existence appauvrie par cette réduction du Réel.

Conditionnement parce que naturellement on ingurgite ce qu'on nous dit, sans avoir la capacité ou la curiosité de vérifier si c'est vrai ou erreur. On peut ainsi avaler des couleuvres. Ou comme dit le poète
"Mon âme est malade,
Elle a mangé trop de salades."

Et donc on ne reçoit la plupart du temps pas pour fondement d'existence que Dieu existe et qu'il nous aime. On peut même se moquer des croyants (rétrogrades, réactionnaires, ennemis du progrès...) jusqu'à l'article de la mort, et partir dans les immensités de l'au-delà sans la moindre idée de ce qu'il en est ou de ce qu'on peut en connaître.

Cependant oui, Dieu nous aime, car l'amour est sa nature même. Il ne peut s'arrêter d'aimer !
C'est en ce sens que Jésus dit un jour que "Dieu fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes."

Mais que sentez-vous, goûtez-vous, expérimentez-vous en conscience de cet amour ? Peut-être RIEN !

DEUX MANIERES DONT DIEU NOUS AIME

Il n'y a pas longtemps, ce Dieu magnifique dans sa relation possible avec nous m'a dit de quelles manières il nous aime : 

Je vous aime avec bonheur, sinon je vous aime avec souffrance.

Il nous aime avec bonheur quand on est entré dans une relation vivante, d'esprit à Esprit , avec lui, et qu'on s'attache à marcher à la suite de Jésus comme font des disciples.
Rien de religieux là-dedans, mais c'est vivre son quotidien avec le sérieux d'une relation qu'on respecte... comme il en est - ou devrait en être - dans un mariage.

Sinon Dieu nous aime avec souffrance.
En souffrant de nous voir prendre de mauvaises routes, scabreuses, dangereuses, illusoires, insatisfaisantes, qui nous enferment dans le mal-vivre, dans des malaises, de mauvaises perceptions, des liens problématiques, dans la mort spirituelle.
Des conduites qui peuvent nous conduire dans des espaces où fraient (en plus de personnes maléfiques, toxiques) les mauvais esprits ou des démons, et prématurément jusqu'à une porte de la mort physique.

DIEU SOUFFRE

Dieu souffre de voir ce gâchis de nos vies, ce gâchis du beau projet de bonheur qu'il avait conçu pour chacun de nous, et dont on ne se soucie pas, qu'on ignore sans chercher prioritairement de solutions de son côté - because le conditionnement laïco-athée...
Or "je connais les projets que j'ai formés sur vous, dit l'Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance."

Souffrance semblable à celle d'un père, d'une mère, qui voit ses enfants  commencer à avoir de mauvaises relations, et progressivement s'enfoncer dans la marginalité où dominent la drogue ou l'alcool, les mauvaises fêtes, la fornication et autres comportements qui méprisent le corps et détruisent les âmes.

C'est qu'on a été créés libres - pour de vrai ! - et Dieu, s'il met sur nos mauvaises voies des obstacles, des signes, des alertes pour nous détourner, ne peut bientôt que nous laisser aller au bout de nos égarements, le coeur lourd et attendant qu'on en puisse plus. Qu'on arrête de rebondir d'une mauvaise expérience à une autre, de dix projets échoués à un onzième...

C'est que tout ce qui nous attire hors du bien selon Dieu est parsemé de souffrances - qui en général vont croissantes. Et Dieu souffre avec nous dans le secret comme le père de la parabole qui attend le retour à la maison de son fils parti dissiper toutes ses forces dans des libertés qu'il croyait être LA liberté.
Mais elles n'étaient que des leurres, des pièges, des chimères, des chemins ayant pour seule issue le mal qui s'accroit et les souffrances qui sont, tels des jugements, "le retour sur comportement". (la parabole de ce fils).

Dieu nous suit et compatît à ce que nous nous imposons de vivre, perdant d'autant plus notre liberté que nous en prenons.

La preuve de son intérêt et compassion pour nous est qu'il s'est fait homme pour prendre sur lui, à notre place, la somme de toutes ces souffrances liées à nos vies brimées ou débridées véçues loin de lui et de ce qu'est le Bien, le Beau, le Bon, le Juste, selon lui.

Tel est le sens de la mort en croix de Jésus, les membres et la tête percés de clous et d'épines, le dos labouré par 39 coups de fouet terribles, immobilisé, paralysé, ankylosé, le souffle coupé, pendant des heures dans un supplice inimaginable...
Voilà jusqu'où Dieu nous a aimés avec souffrance : "Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation.19 Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."

Croyez et vous vivrez de la vie véritable. D'une vie de résurrection qui peut se recevoir déjà de ce côté-ci du Réel, s'expérimenter dans l'amour de Dieu nous aimant... avec bonheur.

Soyez béni-e.

Ici > guide pour une prière qui vous réconcilie avec Dieu maintenant et pour l'éternité.

Partager cet article
Repost0
15 juillet 2019 1 15 /07 /juillet /2019 08:06

Pour être heureux on n'a pas besoin de tout ce qu'on a, et encore moins de tout ce qu'on voudrait encore avoir.
On n'a pas besoin non plus de vivre caché (quoique que le retrait soit préférable à trop se montrer)...

 

SAVOIR N'EST PAS CONNAÎTRE
On peut accumuler du savoir, des savoirs, sans avoir l'intelligence de connaître comme il faut connaître. C'est-à-dire sans avoir le bon ou le meilleur rapport à ce qu'on a appris, à ce qui est.

 

C'est en ce sens que Montaigne, mûri par sa découverte de l’Évangile et devenu de débauché un vrai chrétien (non religieux), écrit qu'il est plus important de former chez les élèves "des têtes bien faites plutôt que des têtes bien pleines".

 

Ainsi on peut savoir plein de choses - comme avoir plein de choses -, et ne pas obtenir le gain que devrait procurer une vraie connaissance - ou une juste propriété -, c'est-à-dire le plaisir du connaître, la compréhension véritable, le sens des réalités selon leurs justes relations.

 

Ainsi des enfants gavés de "culture" (savoirs académiques trop tôt amenés, sans préparation suffisante à l'éveil (curiosité) personnel), comme on engrais-se des oies ou une terre épuisée, ne peuvent trouver ni intérêt, ni enthousiasme, ni émerveillement dans le savoir, alors que ce serait possible.
De fait on les alourdit là où il devrait être question de les dégager de l'aliénation générationnelle (adamique)

 

TROUVER LA TROISIÈME VOIE
Le merveilleux est recouvert par la poussière des habitudes et des routines, la pesanteur envahit les âmes qui n'ont plus pour s'en sortir que des fuites dans des pensées de suicide, des distractions source d'une addiction ou d'une autre... ou, par la grâce de Dieu, de trouver en Jésus la seule porte de la véritable liberté.

Il s'agit du retour ou de l'entrée dans le sens par la connaissance, par la vérité de notre condition empreinte de misère et d'insuffisances et conjointement la connaissance de la manière merveilleuse dont Jésus a donné sa vie pour nous sortir de cette galère dont l’aboutissement n'est que la mort.  Entre deux, la place responsable de notre foi...

 

LA BIBLE, SOURCE INTARISSABLE DU SAVOIR ET DE LA CONNAISSANCE
En réalité le mot connaître contient un sens de partage harmonieux entre ce qu'on considère et ce que nous sommes. C'est ainsi que la Bible emploie le verbe connaître s'agissant de la relation intime entre Adam et Eve : Connaître donne de la vie !

En 1Corinthiens 8:2 on peut lire : "Si quelqu’un croit savoir quelque chose, il n’a pas encore connu comme il faut connaître."

 

En Éphésiens 1:9, l'écrivain dit agir pour faire "connaître le mystère de la volonté de Dieu*, selon le bienveillant dessein qu’il avait formé en lui-même, et connaître l’amour de Christ, qui surpasse toute connaissance".

 

Projet ambitieux - déraisonnable !? - de Dieu, qui vise à faire de nous (hommes et femmes qui nous soucions bien peu et de lui et de notre âme), des "petits Christ" : C'est ainsi que les habitants anciens d'Antioche donnèrent aux premiers disciples de Jésus ce nom qui est devenu "chrétien".

 

AVOIR INTIMITÉ AVEC DIEU
Et en Philippiens 3:10, il est dit que l’Évangile (cette Bonne Nouvelle qu'on peut DÉJÀ, dès ici-bas, entrer dans une vraie relation avec le Dieu qui a créé les cieux et la terre) est annoncé "afin de connaître Christ, et la puissance de sa résurrection..."


Nous y voilà donc, dans cette connaissance de Dieu qui est intimité (amoureuse, comme sexuelle) avec lui, où Jésus-Christ vient jusqu'à se donner en nous par son Esprit qui est vie éternelle : Car Dieu a tant aimé le genre humain qu'il a livré à la mort Jésus son fils sans pareil, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas dans le feu et le soufre de l'étang du jugement dernier (l'enfer), mais qu'il ait la vie éternelle de Dieu unie à lui/elle (à l'âme que nous sommes essentiellement) afin de vivre son éternité bienheureuse exempte de tout mal (le Paradis).
Et en attendant, et en croyant, le présent devient déjà une mine de découvertes toutes nouvelles - du Réel tel qu'il est, de Dieu et de nous-même - et encore un chantier de construction de notre personnalité la plus véritable, dont les potentialités peuvent au mieux se libérer. ..

 

Ainsi nous appartient-il à chacun-e de choisir dès maintenant quelle destinée nous allons nous accorder à nous-même, selon qu'on voudra croire ou pas dans les termes de l'accord (l'alliance) que Dieu nous tend de son Ciel infini et du haut de la croix.

 

Et avec une multitude de chrétiens authentiques disséminés par toute la terre, je peux dire "Et nous, nous avons connu l'amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour ; et celui qui demeure dans l'amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui."

 

Bonne quête de vie. Bon choix. Bonne suite...

 

un chant ou un autre

 

(guide de prière pour vous rapprocher ou réconcilier avec Dieu).

 

________________________________
* mystère qui est de nous sauver de la perdition éternelle de notre âme et nous aider déjà maintenant à mieux vivre cette existence en recevant l'Esprit de Dieu en nous. Tel est le coeur de l’Évangile, qui n'apporta pas une ou des religions (de plus) mais la clé de notre relation perdue avec le Créateur.

Partager cet article
Repost0
4 juillet 2019 4 04 /07 /juillet /2019 17:00

Merci de participer à diffuser vers les intéressés si vous le pouvez

Faut-il que nous soyons indécis, que la médecine ne sache pas mieux qu'existe dans notre vivant une composante majeure distincte qui s'appelle l'âme (ou psychisme, du grec psuché), et que des parents croyants ne secourent pas mieux leur fils (ou époux) par leur intervention !
Mais que cela ne soit pas une fatalité qui laisse impuissant devant l'adversité.

Car on peut heureusement pallier à ce manque terrible, cruel, sociétal, vis-à-vis de la lumière de l’Évangile, par de la connaissance et en accueillant l'amour de la vérité nous concernant et concernant Christ.

FAIRE PARLER LA BIBLE

En ouvrant la Bible, on peut lire ce fait d'actualité d'alors rapporté par le médecin grec Luc (chap. 13) : "En ce même temps, quelques personnes qui se trouvaient là racontaient à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mêlé le sang avec celui de leurs sacrifices. Il leur répondit : "Croyez-vous que ces Galiléens fussent de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu'ils ont souffert de la sorte ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. Ou bien, ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu'elle a tuées, croyez-vous qu'elles fussent plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également."

 Le fondement de notre condition est que nous sommes tous des "pécheurs", des "pécheresses", ce qui n'est guère flatteur nous l'admettons bien volontiers. Cela signifie étymologiquement des gens qui manquons régulièrement le but du bien. Pécher, mal faire (dire, penser), c'est toujours ne pas faire ce qui est bien (bien dont Jésus a dit que l'amour de Dieu déversé dans nos cœurs est la clé).

Et donc laissons-nous un peu remettre à notre place, à notre plus juste hauteur, car il vaut mieux être abaissés par une parole biblique plutôt que de jouer les arrogants. Selon que la Bonne Nouvelle de l'attitude de Dieu en face des pécheurs, c'est qu'il fait grâce aux humbles, alors qu'il résiste aux orgueilleux.
Et donc, voilà à quoi contribue, dans son état, indirectement mais combien activement, Vincent Lambert - l'épreuve étant globalement ce qui révèle le mieux ce qu'est le vrai fond de nos cœurs.

LA FOI À METTRE EN PRATIQUE

Alors maintenant soyons pragmatiques. C'est-à-dire devenons spirituels. Comprenons que les accidents graves ne nous arrivent jamais par hasard ! J'en ai connu un limite, et j'ai appris la causalité sous-jacente qui existe là (comme partout ailleurs dans l'univers).

Donc, on doit admettre, pour cet accident tragique, qu'il y a quelque part au moins une faute caractérisée commise par Vincent, dont l'aboutissement fut ce qu'il supporte encore... et pourrait supporter encore au delà de sa mort physiologique, tout ne finissant assurément pas par un encéphalogramme plat, le refroidissement du corps étant l'expression causale de la sortie finale et migration de l'âme (quand le lien entre les deux corps, physique et psychique, est rompu).

La foi chrétienne n'est pas prise de court dans tous les cas, puisque nous pouvons prier sous ces diverses formes pour le pardon des péchés (dans la mesure où nous savons et avons quelque prise de conscience de ces vérités spirituelles, avançant humblement, avec contrition et/ou compassion pour qui en a besoin).

Dans l'idéal ici, il conviendrait que les parents ou l'épouse parlent à Vincent qui, fort probablement, entend tout ce qui se dit, puisque le réceptacle des sons (des images, etc...) c'est l'âme. Lui disent qu'il a à demander (intérieurement) pardon à Dieu pour ce qu'il a fait lui-même de mal. En demandant à Dieu de ramener au plan de sa conscience ce qu'il peut avoir oublié et doit être à confesser...
Pour l'avoir fait récemment avec une tante qui ne bougeait plus, je l'ai vu, par le mouvement de sa mâchoire inférieure se mettre à parler à Dieu, répétant après moi des paroles de repentance et d'abandon à Dieu pour être reçue dans son Royaume.
Après de longues semaines de stagnation, elle partit moins de deux jours après. La Bible parle de ces cas de rédemption in-extremis, comme ce fut pour un des deux brigands crucifiés à côté de Jésus, qui fut ainsi sauvé par pure grâce, au dernier moment, par sa foi).

Et quelqu'un peut-être pourra avoir à demander pardon à Vincent, ce qui pourra libérer l'un(e) et l'autre (le pardon demandé et accordé est une puissance qui libère).

VENIR AU BÉNÉFICE DU SACRIFICE DE JÉSUS

Car pourquoi Jésus est-il mort, si ce n'est pour que les pécheurs et pécheresses puissent être libérés et mis en paix avec Dieu par le pardon qu'il désire toujours accorder aux âmes repentantes ?

En témoigne aussi l'épisode fameux de la femme adultère (Évangile selon Jean, ch. 8) ;
ce que dit aussi cette parole du même disciple (ch. 3) : "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises."

Dans la Bible, on voit encore la compassion de quatre amis qui font descendre devant Jésus un grabataire sur son lit. A la vue de la foi de ces amis, Jésus dit à l'homme : "Mon enfant, tes péchés sont pardonnés.
Enfin, les apôtres Paul et Silas dirent au geôlier désespéré de la prison de la ville grecque de Philippes : "
 Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille."

Et ne le ferait-il pas avec Vincent si une vraie foi de ses familiers dans la vertu de la grâce christique est mise en œuvre ? Dieu lit au cœur : la croyance superstitieuse ou la foi mal placée ne procure que des déconvenues. Mais la foi au Christ Jésus mort pour nos péchés et ressuscité sauve !
Et il s'agit maintenant de libérer Vincent du fardeau de ses fautes (voire d'autres, antérieures) pour le laisser rencontrer celui qui veut réellement maintenant devenir son Dieu.

Alors, parents ou amis croyants qui pouvez approcher Vincent, soyez, devenez de vrais intercesseurs afin que la gloire de Dieu, visible ou invisible et de toute façon déjà manifestée en Jésus ressuscité, puisse devenir sans plus tarder le partage bienheureux de Vincent.

"Si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même  (Jésus) dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. 8 Si nous disons que nous n'avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est point en nous. 9 Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité."

Et "...Priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace."

Soyez bénis.

Partager cet article
Repost0
14 avril 2019 7 14 /04 /avril /2019 10:57

La fête de la Pâque ou Pessach, juive et chrétienne, )
et la fête de Pâques (catholique, orthodoxe, voire laïque...)
commémorent toutes deux, qu'on l'ignore ou pas,
un sacrifice
qui n'a pas fini d'avoir des effets et du sens.

 

                                            (pour qui veut un résumé en audio, cliquez ici)

LA NAISSANCE DE JÉSUS, UNE IMAGE VENUE DU CIEL
Jésus est né en une période indéfinie dans une étable.
Une étable n'est rien d'autre qu'une écurie mal-odorante avec des mouches et des animaux qui dorment ou qui ruminent et font leurs autres besoins sur leur litière.
Comme image idyllique on peut trouver mieux !
Comme vérité, on est au cœur de la problématique humaine: Jésus est mis dans une crèche, c'est-à-dire dans une mangeoire, pour que les "bestiaux" que nous sommes puissent le manger !
C'est une image, mais particuli-rement significative. 

C'est si vrai, que quelque trente années plus tard, Jésus dira à des auditeurs à la fois attentifs et médusés: "Je suis le pain de vie.49 Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et ils sont morts.50 C'est ici le pain qui descend du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point.51 Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement ; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde.
52 Là-dessus, les Juifs disputaient entre eux, disant : Comment peut-il nous donner sa chair à manger ?" (Evang. Jean 6)

La réponse, lors d'une fête de la Pâque, c'est la croix!

CRUCIFIE ! CRUCIFIE ! VIOLE, CASSE, TUE !
Jésus se laisse arrêter, prendre sa vie jusqu'à cette crucifixion barbare, ignoble, horrible, qui met en lumière cette bestialité du cœur humain, que ce soit celui de soldats endurcis, de membres d'une foule excitée ou de religieux bien-pensants.

"Car c'est du dedans, c'est du coeur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les impudicités, les meurtres,22 les vols, les cupidités, les méchancetés, la fraude, le dérèglement, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie.23 Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans, et souillent l'homme." (Evang. Marc 7)

Par là on peut comprendre que de gentils gilets jaunes, de braves paroissiens ou employés et encore des détenteurs de pouvoir puissent, aujourd'hui encore, surprendre par leurs délits ou crimes et faire l'actualité...

Pourquoi?
Parce que l'être humain sans relation vivante avec le vrai Dieu (homme ou femme à égalité!?), rempli de l'intolérance de l'athéisme ou avec des croyances idolâtres quelconques, est toujours potentiellement la proie de démons quand ils trouvent en lui des pratiques iniques (mensonge, tromperie, vol, injustice, perversion, occultisme...).

Et donc, comment sortir de ce manque, de cette absence de spiritualité divine en nous? Car sans l'Esprit de Dieu nous habitant, nous sommes chacun réduits à un corps qui porte une âme, tout comme sont les animaux!
Avec le plus de nos capacités qui peut se traduire par un plus d'amplitude dans le déploiement du mal ;
Selon que les comportements des animaux sont essentiellement tenus par des déterminismes (selon leurs espèces), alors que nous, nous sommes pourvus d'une vaste plage de liberté(s), seulement (re)tenus par une socialisation/éducation... qui peut laisser libre cours au pire de nos instincts dénaturés! 
Telle est notre condition de chute adamique, avec ses conséquences malignes perdurantes dans quoi tous et chacun nous nous débattons (nous battons, souffrons, nous agitons ou nous laissons couler).
Connaissance de soi trop peu admise et transmise parmi nous par les détenteurs du pouvoir sociétal, au point où le gain est davantage pour ceux qui vivent à partir des souffrances que pour les lambda qui n'ont pas les capacités, temps ou moyen financier pour se procurer de la connaissance correspondant au Réel comme il est ; et par là s'enrichir des vérités qui fondent le bien (bien-être, mieux-vivre, paix intérieure, récupération, sommeil...).   

PÂQUE (PESSACH) ou PÂQUES COMMÉMORENT LE SACRIFICE D'INNOCENTS
Les juifs sont restés au souvenir du sacrifice animal, de l'agneau pascal (animal doux et innocent par nature), institué par l'Eternel-Dieu, via Moïse, à l'occasion de la sortie d’Égypte où la descendance d'Abraham et de Sarah avait été progressivement rendue captive.

Les chrétiens (et assimilés), notamment les "nés de nouveau"comme Jésus expliqua à ce maître de la Loi en Israël, Nicodème, venu le trouver de nuit) célèbre pour leur part le don sacrificiel de la vie de Jésus, "l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde". 

Sa mort est là un accomplissement parfait de ce besoin d'un sacrifice que Dieu avait fait connaître dès la chute du premier couple coupable, en tuant lui-même des animaux pour couvrir leur faute et la vue de leur nudité qui en découla.

Accomplissement prophétisé aussi par l'épisode de la vie d'Abraham lorsqu'il est appelé à sacrifier son fils Isaac, où Dieu lui donne de comprendre qu'il se pourvoira lui-même du nécessaire pour l'expiation des offenses qui lui sont faites:
"
Abraham leva les yeux, et vit derrière lui un bélier retenu dans un buisson par les cornes ; et Abraham alla prendre le bélier, et l'offrit en holocauste à la place de son fils.14 Abraham donna à ce lieu le nom de Yawhé Yiré. C'est pourquoi l'on dit aujourd'hui : A la montagne de l'Éternel il sera pourvu." (Genèse 22)

La montagne de l’Éternel c'est alors Morija, devenu Golgotha, le mont du crâne, d'où on va pouvoir en finir avec toutes les tempêtes de pensées qui sévissent sous nos crânes. Ceux-ci figurent notre âme sans l'Esprit de Dieu, déspiritualisée, qui est dès lors livrée à tous les égarements, à toutes les tentations et dépravations, toutes les injustices et l'impiété jusqu'à l'athéisme militant et armé.
"Car mes pensées (dit l'Eternel-Dieu) ne sont pas vos pensées, Et vos voies ne sont pas mes voies, Dit l'Éternel.9 Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, Autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, Et mes pensées au-dessus de vos pensées." (Ésaïe 55)

C'est pourquoi il est encore proposé (en Philippiens 4) aux croyants:
"Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces.7 Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus Christ.

POUR DIEU, HIER ET AUJOURD'HUI, RIEN DE CHANGÉ
Et cette année encore, le temps de Pâque(s) est un rappel à regarder à cette croix dressée sous un ciel de plomb, où, Parole du Dieu éternel incarnée par son Esprit, un fils d'homme bien-aimé de Dieu et unique est tué... comme un des pires brigands.
"
Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu." (2Corinthiens 5).

C'est ce que Jésus dit encore au chef juif Nicodème en lui rappelant un épisode de la vie de son peuple, ce qu'on appelle Les serpents brûlants:
Bien que délivré miraculeusement de L’Égypte concentrationnaire,  le peuple "parla contre Dieu et contre Moïse : Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d'Égypte, pour que nous mourions dans le désert ? car il n'y a point de pain, et il n'y a point d'eau, et notre âme est dégoûtée de cette misérable nourriture.6 Alors l'Éternel envoya contre le peuple des serpents brûlants ; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens en Israël.7 Le peuple vint à Moïse, et dit : Nous avons péché, car nous avons parlé contre l'Éternel et contre toi. Prie l'Éternel, afin qu'il éloigne de nous ces serpents. Moïse pria pour le peuple.8 L'Éternel dit à Moïse : Fais-toi un serpent brûlant (en bronze), et place-le sur une perche ; quiconque aura été mordu, et le regardera, conservera la vie.9 Moïse fit un serpent d'airain, et le plaça sur une perche ; et quiconque avait été mordu par un serpent, et regardait le serpent d'airain, conservait la vie." (Nombres 21)

A partir de là, Jésus expliqua ce qui allait se produire le concernant et ce qui en résulterait:
"Personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel.14 Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé (par sa mise en croix),15 afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle." (Evang. Jean 3)

Les serpents ce sont les péchés, nos fautes morales, nos mécontentements comme toutes autres formes d'injustice, qui nous tuent spirituellement (= qui font mourir Dieu en nous en obligeant son Esprit (saint, pur, qui ne peut cohabiter avec le mal) à se retirer de notre corps).

Le serpent de bronze élevé sur une perche, c'est Jésus qui accepte qu"on le monte sur la croix pour mourir à la place de tout être humain, pécheur/pécheresse, imparfait-e, coupable, dont la mort spirituelle, psychique (de l'âme) et corporelle sont en marche.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle." (Evang. Jean 3).

"Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas.4 Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié.5 Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.6 Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie ; Et l'Éternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous.7 Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent ; Il n'a point ouvrt la bouche.8 Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment ; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu'il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple ?" (Ésaïe 53).

LA CRUCIFIXION, LE SACRIFICE QUI SAUVE
Ainsi entre la crèche et la croix, Jésus a grandi, puis s'est montré puissant en œuvres bonnes pour qu'on voit ce qu'il était réellement, avant d'aller au bout de sa mission de sauvetage des âmes - ce qu'on appelle la rédemption, le salut, le rachat ou grâce divine - en prenant sur lui pour nous sauver les conséquences, le jugement final de nos fautes:

"Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur." (Romains 6).

Le nom de Jésus en hébreu, c'est Y'shoua, ce qui veut dire salut, Dieu sauve.
C'est pourquoi il est écrit, regardant Jésus crucifié comme l'Agneau pascal offert par Dieu pour que nous puissions chacun individuellement, selon notre foi, être pardonnés de nos fautes, que "Celui ou celle qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné." (Evang. Marc 16).

SAUVÉ-E DE QUOI? ET CONDAMNÉ À QUOI?
Sauvé de la perte absolue de notre personnalité par anéantissement final de notre âme - qui est le siège de notre ego, de cette conscience de soi qui nous fait dire Je ou Moi-je.

Sauvé dès après la mort physique du tunnel noir qui débouche (comme en témoignent plusieurs personnes revenues d'une EMI le dire) sur les tourments de l'enfer.
L'enfer est un terme non biblique par lequel en fait est désigné la plupart du temps le shéol (en hébreu) ou hadès (en grec), ce qu'on traduit en français par "séjour des morts"*, une immense "bulle" psychique temporelle faite de toutes les âmes devenues et restées captives des esprits satanisés (anges devenus des démons).

Ce qui sera plus précisément l'enfer comme on le pense, vient bien plus tard, comme jugement dernier irrévocable des fautes (de Satan, des anges dévoyés à sa suite, et de quiconque n'a pas reçu Christ comme son Sauveur).

C'est pourquoi  "nous faisons les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation." (2Corinthiens 5)

REVENIR A DIEU PAR LA FOI EN UI, ET EN LA CROIX !
La crucifixion de Jésus est un événement et travail inouïs de Dieu le Père et de son divin Fils, qui a des vertus salvatrices en elle-même et en potentialité, substitutive, expiatoire, propitiatoire, guérissante, libératrice, de rachat (comme les esclaves pouvaient être rachetés de mauvais maîtres).

Et croire, y croire, c'est pouvoir se nourrir spirituellement de la vérité vivifiante de cette "Bonne nouvelle" (ce que signifie le mot grec Evangélion) introduite par Jésus, qui dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'avez point la vie en vous-mêmes.54 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle ; et je le ressusciterai au dernier jour.55 Car ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang est vraiment un breuvage.56 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi, et je demeure en lui.57 Comme le Père qui est vivant m'a envoyé, et que je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi.58 C'est ici le pain qui est descendu du ciel. Il n'en est pas comme de vos pères qui ont mangé la manne et qui sont morts : celui qui mange ce pain vivra éternellement.59 Jésus dit ces choses dans la synagogue, enseignant à Capernaüm." (Evang. Jean 6)

C'est le sens du dernier repas de Jésus, qu'on appelle encore la Sainte-cène (le Saint-repas, que l'eucharistie catholique ne représente pas vraiment), qui est réellement et prophétiquement le repas de la Pâque où l'agneau sacrifié pour couvrir les péchés était mangé comme il fut ordonné à Moïse de l'instituer.

Institution qui fut respectée jusqu'au changement que produisit la venue de Jésus. C'est aussi pourquoi les juifs sont mal partout où ils se trouvent, dès lors qu'ils n'offrent plus de sacrifices sanglants selon leur Loi - la Torah, dont le livre du Lévitique, explicite, ne peut être retiré sans être remplacé par une réalité supérieure.

LE GRAND REMPLACEMENT
Sans reconnaître Jésus comme "L'agneau de Dieu" qui fait cesser en les remplaçant tous les sacrifices sanglants nécessaires pour obtenir la paix avec Dieu.

Aujourd'hui encore cette expression de l'amour de Dieu se donnant pour nous secourir, est rappelée car sans cela, nous mourrons encore dans nos péchés, loin de Dieu, sans Dieu, après notre mort comme avant.

Cette mort si particulière de Jésus et son sang d'innocent versé en sacrifice volontaire sont liés à une grande libération des captifs, non plus de l’Égypte de pharaon mais de la force du péché qui réside dans notre cœur.
Cette fête (comme aussi la Sainte-cène demandée par Jésus) figure, rappelle donc l'inimitié qu'il y a naturellement entre nous et Dieu, qu'il veut changer en amitié et intimité, restauration relationnelle possible pour qui vient à la croix et à Jésus:
"Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint Esprit.39 Car la promesse (de Dieu, du don de son Esprit qui est vie éternelle) est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera." (Actes des Apôtres 2)

"Car la vie est dans le sang" (Lévitique 17) et "sans effusion de sang, il n'y a pas de pardon" (Hébreux 9).
De la sorte, "Si nous confessons nos péchés, Dieu est fidèle et juste pour nous les pardonner et nous purifier de toute injustice" et "si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché."

FÊTER PÂQUE(S) SANS OUBLIER, SANS CACHER!...
Une fête sous forme de jeu de piste à la recherche d’œufs et de lapins en chocolat est organisée pour des enfants.
Je demande à une animatrice s'il va être parlé aux enfants de Jésus et ce qui est à l'origine de ce temps et de ce jeu. - Non, c'est laïque ici!
- Mais la laïcité c'est la liberté d'expression, concernant ce qui est religieux ou spirituel comme le reste.
- On peut pas!

Idem qu'avec Noël! Drame de l'occultation des réalités fondamentales, en fait de l'athéisme (militant, réducteur du Réel) qui s'impose à la laïcité (qui devrait rester ouverte)!... Silence qui se paie un jour ou l'autre, d'une manière ou d'une autre. Car si on ne sait pas, et si on ne met pas les souffrances et la mort de Jésus, son sacrifice pour nous, à sa place dans et pour notre propre existence, ce sont d'autres souffrances, et une mort terrible, qui viennent, qu'il veut nous éviter, qui viendront à nous et dont nous n'aurons pas assez de moyens pour échapper à la plupart!

Pâque(s) donc, sans oublier que si la mort de Jésus est à saisir comme l'extraordinaire moyen du pardon de nos fautes et de l'éternisation de notre âme (éternisation toute personnelle, de vous, de moi), c'est aussi parce qu'il est RESSUSCITÉ et vit pour toujours que tout cela peut devenir possible, opérationnel, par l'envoi gracieux de son Esprit-Saint jusqu'en nous.

"Car Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.9 A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère.10 Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie (retrouvée, ressuscitée)."

Ainsi par cette spiritualisation de la première fête, qui fit dire à Jésus expirant "Tout est accompli", chacun par toute la terre (juifs compris) peut vivre un jour pour la toute première fois (puis régulièrement) cet événement et ses effets comme lui étant particulièrement destinés.

Que Dieu y pourvoit pour vous, c'est mon vœu et ma prière.

Un chant  -  un résumé en audio, cliquez ici (3'47")

une prière (de paix avec Dieu)

_________________________
* article annexe ici d'un clic ! Les 5 types de mort

Aussi pour vous aider si vous en ressentez le besoin, une trame guide de prière

 

Partager cet article
Repost0
14 mars 2019 4 14 /03 /mars /2019 09:09

Ce matin je me retrouve devant la page blanche d'un nouvel article à publier. Mais qu'ai-je à écrire des dizaines de (bonnes) réflexions et de pensées qui viennent à ma conscience et se succèdent bien plus vite qu'on a le temps de les matérialiser sur un clavier ?

Pourquoi suis-je là à ce moment et vide en même temps ? Je demande à Dieu (Celui qui est devenu mon Dieu) s'il veut que j'écrive maintenant, et quoi ? La réponse est immédiate :

"Je vous aime.

Je vous chéris, homme, femme, âmes perdues, égarées, déboussolées dans ce monde de souffrances qui m'a rejeté.

Ce monde se vante de savoir, multiplie les connaissances, mais sans rien ajouter à sa compréhension.

Et quand certains comprennent (un peu plus que d'autres), ont une certaine lucidité sur ce qui se passe qui les fait déjà refuser ou s'opposer aux systèmes, à la politique comme aux religions, ils n'ont pas de solution.
Ils voudraient une solution qui soit bonne, mais ils ne la trouvent pas. Ils ne l'ont pas.
Parce que le pouvoir du bien n'est pas en eux. Le pouvoir du bien n'est pas en l'homme.

Ils ne trouvent pas la solution à chacun de leurs multiples problèmes, parce qu'elles ne sont pas dans leurs valeurs ; et même pas dans les valeurs qui sont les miennes - parce que les concepts même justes n'ont pas de force en eux-mêmes. C'est Moi la force de toute justice.

Les solutions à ce qui est chaotique ne sont pas dans leurs pensées, parce que leur fondement, leurs idéologies, idéalistes, utopiques, pas plus que les religions, idéalistes, utopistes, ne sont attachées à Moi le vivant, qui possède le pouvoir, qui suis la force du bien.
Oui, je suis.

Je suis, et ils ne le savent pas. Et quand ils croient le savoir, ils marchent, vous marchez sans assez me connaître, et sans une relation établie avec Moi.
Alors c'est comme si je n'étais pas. Mais Je suis.

Alors vous dépérirez, à mal faire ou à ne pas savoir que faire. Vous êtes trop actifs, à la réflexion trop courte ; ou bien abattus, sans capacité pour en sortir par vous-même.

Et encore vous vous confiez en des humains, tout semblables à vous, alors que ma Parole dit : "Maudit soit l'humain qui se confie dans l'humain."
Car il n'y a pas d'autres dieux que Moi seul, pour sauver, pour délivrer, pour guérir, qui puisse débrouiller les problèmes dans lesquels vous vous enfermez par vos comportements coupables, par votre manque de justice, de justesse, d'à propos, de compassion, d'humilité, de juste vue de vous-même.

Revenez à Moi et vous vivrez ! Ne croyez plus que les choses vont s'arranger, que les impies vont parvenir à solutionner leurs crises.
Les crises sont les conséquences de leurs actes, de leurs choix, de vos actes, de vos choix. Elles sont les signes, les symptômes qui devraient vous amener avec leurs conséquences et mes jugements à la repentance. Au renoncement à vos œuvres mauvaises, sans effet positif sur la vie, pratiquées en dehors de Moi.

Je ne mettrai personne dehors de qui vient à Moi. Lavez-vous, purifiez vos âmes. Regardez-vous comme responsable et coupable et je vous pardonnerai si vous re-venez à Moi de tout votre cœur.

Je suis humble de cœur et compatissant, mais je ne peux tenir le coupable pour innocent. Seule la foi dans le sacrifice parfait de mon Fils bien-aimé peut obtenir la purification, la paix par la réconciliation avec Moi.

Car c'est une loi que "sans effusion de sang, il n'y a pas de pardon des péchés". Mais ma solution c'est que si vous confessez le mal que vous avez fait, dit ou même seulement pensé, je suis fidèle à l'alliance faite par ma crucifixion et juste pour vous pardonner toutes vos iniquités."

Je vous aime. Je l'ai prouvé.
Ne restez pas loin de Moi pour périr maintenant et pour l'éternité.

______________________________
Référence biblique à cette preuve de l'amour de Dieu manifesté envers nous : la Bible, lettre aux Romains chap. 5. versets 6 à 8 - 1ère lettre de Jean chap. 4, versets 9 et 10.

Croyez, et vous verrez bien que Dieu répond à une foi simple et sincère.

Partager cet article
Repost0
4 mars 2019 1 04 /03 /mars /2019 11:29

Voici un florilège de témoignages que je crois réellement sincères et authentiques.
Et bien sûr le récit de mes propres expériences avec Dieu dont le lien est à la fin.

A vous de voir, en cliquant ici ou là... au hasard ! Hasard dont Albert Einstein a dit que c'est le nom de Dieu quand il veut rester incognito.

"Je vivais de l'occultisme"

De la rue à Jésus – (Témoignage de Thierry Perez)

Témoignage d'Azadeh

TÉMOIGNAGE : « J'ÉTAIS LE DERNIER À SAUVER… »

Témoignage Renversant : Après 50 ans de souffrance, d’occultisme, de divination, de spiritisme etc, elle finit par rencontrer le seul vrai Dieu vivant !

TÉMOIGNAGE : DE LA DROGUE À LA VIE EN CHRIST

Mon témoignage personnel de la réalité de Dieu - et autres expériences...

Soyez... attiré-e par la lumière, la vérité, la vie qui est bien plus que l'existence...

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
  • Contact

Recherche