Dieu s'occupe de tous les hommes.
Même de ceux qu'il abandonne à eux-mêmes... pour qu'ils atteignent plus facilement la vue du fond de leur cœur, car c'est dans l'épreuve qu'on se révèle le plus ce qu'on est vraiment. Aux autres, mais surtout il faut que ce soit à soi-même !
Car apprendre à se connaître est primordial... si du moins on ne veut pas passer cette existence à souffrir en refaisant plusieurs fois le même genre d'erreur.
Car la vie - celle-ci - est une école. L'avez-remarqué ? Si non, vous n'apprenez rien ! Si oui, il y a tant de choses à découvrir, de l'émerveillement de l'amour véritable ou de ce que nous découvre la biologie, aux horreurs de nos vices égotiques, nos penchants égocentriques, notre duplicité, la traitrise dont on est capable, toutes sortes de peurs et ce qu'elles peuvent nous faire faire, ou manquer !...
N'est-ce pas cela que nous somme ? Chacun une somme contradictoire de quelques belles choses, et d'une somme triste et obscure de critiques, de jugements à l'emporte-pièces, de mépris ou de cynisme, d'orgueil et de fatigue, de grandes envolées et de chutes vertigineuses : On est tous Icare !
L'homme !? Un curieux cocktail qui devient de plus en plus détonant, avec de la culture de méninges comme on dit - en fait un développement de la puissance de notre âme avec ses capacités psychiques. Et développer le mental, l'intellect ou quelque chose qui y ressemble, c'est se trouver une force bien difficile à gérer en réalité.
Car nous sommes des êtres abîmés, mal sortis du giron divin et en payant la note (par toutes sortes de ruptures douloureuses) avant d'avoir compris ce qui nous arrive.
Nous disons que nous ne croyons qu'à ce que nous voyons ! Mais on est plus aveugles qu'éclairés sur le Réel dans son entier.
Qui est aussi fait de ce qui ne se voit pas mieux et pas moins que dans le très petit (de la physique quantique) - par ses effets -, et qui s'étend dans le très grand, par une transversale qui va de Dieu à Satan, ce qui nous gêne beaucoup, nous dualise, nous schizophrénise, et on ne sait pas ce qui se passe. Et pire encore, on ne cherche pas sérieusement les causes maîtresses : on ne cherche plus qu'un remède à avaler, et on en avale des choses !...
Et on avance, car les aiguilles trottent sans arrêt au cadran de la montre ou du portable, en se soumettant et/ou en résistant, plus ou moins, mais avec un minimum de conscience (qui fait peur, ou devrait nous faire peur !) de si en fait on fait bien ou on fait mal.
Car le bien et le mal dans son objectivité prédéfinie - et non dans nos conceptions individuelles ou collectivisées - nous devient étranger, sans importance, comme la mort en fait, qu'on a banalisé pendant quelques décennies sans pouvoir s'en défaire, et qu'on veut maintenant apprivoiser pour jouer - on joue à se tuer ! -comme un enfant sur un nid de cobra ! Mais a-t-on seulement la moindre idée ou connaissance sur ce qui suit la mort physique ?
Je vous invite à lire cet article si ne voulez pas être surpris-e dans votre ignorance : Les 5 types de mort (cliquez dessus).
Johnny est mort (un exemple parmi tous les autres). Mais l'album posthume qu'on sort de ses dernières sueurs (car il se donnait) met plus en mouvement l'émotion et les jambes pour vite pouvoir l'écouter - tout comme s'il était encore là - que sa mort qui devrait faire bouger l'âme, interroger encore n'importe lequel de ses fans tant qu'il ne sait pas où on va après la mort ! Non !?
Savez-vous où est Johnny en ce moment et pour longtemps ?
Sous la terre, dans une tombe ? Non ! Le corps tombe et retourne à la poussière d'où l'humain comme l'animal a été créé. Mais l'âme, le siège ou support de Johnny en tant que personne à part entière, avec ses sensations, ses réflexions, sa mémoire, et avec une volonté qui ne peut plus faire comme sur la terre, où est-elle ? Où est-il ?
Et vous, où irez-vous ? Vivez-vous comme une personne qui est montée, voire née dans le 1er train venu, et se laisse porter sans la moindre idée d'où il va et quand il faudra descendre - et pour continuer où, et quoi, et avec qui ? Est-ce que c'est ce qu'on peut appeler raisonnable ?
Peut-être même avez-vous une certaine croyance, en un au-delà, un paradis des chanteurs et un paradis des boxeurs, ou avec des vierges qui vous attendent... Permettez-moi de vous dire : Faut se réveiller ! Car même la meilleure religion u monde n'a pas le pouvoir de sauver le moindre homme, la moindre femme ! Renseignez-vous bien, en cherchant la vérité...
Et ainsi, ne connaissant pas Dieu en esprit et en vérité, ce sont ses lois d'encadrement morales qui jouent, contre lesquelles en aveugle on se jette ou on se heurte.
Nous avançons ainsi tous vers la mort* et la résurrection**. Et la première se voit suffisamment pour qu'on s'interroge sur la suite.
Dans tous les cas, nous n'avançons toujours que par deux versants possibles.
Celui des voies de la connaissance fondée sur du rocher*** - qui induit bien sûr une obéissance, bien comprise, et des bénédictions, autrement inatteignables - ;
Et celui des épreuves, des souffrances qui pourraient être évitées - comme des contraventions ou la prison peuvent être évitées. Sans doute aussi un AVC ou autres problèmes majeurs****...
_______________________
* Pour plus de détails comme déjà dit, vous pouvez lire Les 5 types de mort
**** Dans nos épreuves il y a toujours plusieurs aspects positifs :
a) elles sont des jugements portés sur nos comportements, ce qui établit par cette forme de justice que Dieu existe bel et bien : "Si l'on fait grâce au méchant, il n'apprend pas la justice : il s’adonne au mal dans le pays de l’intégrité et ne tient pas compte de la majesté de l’Eternel."
Quand quelqu'un est licencié, c'est peut-être qu'il a trop "profité" de l'entreprise, ou qu'il a trop tapé dessus par ses paroles malveillantes, et comme l'un ou l'autre n'est pas bon pour l'entreprise, on coupe ainsi la branche sur laquelle on est posé ! Idem dans le couple, le pays, et avec Dieu... etc.
b) elles tiennent de l'avertissement : Quand une femme qui trompe son mari est surprise et menacée par la loi d'être lapidée, Jésus la sauve in-extremis en lui disant "Va et ne pèche plus." C'est dire que la honte de ce qu'elle a été découverte et exposée ainsi à la foule lui est comme un avertissement dont elle a désormais à réellement tenir compte.
c) les épreuves les plus lourdes - qu'il vaut mieux comprendre comme des retours de boomerang que comme des tuiles qui nous tombent dessus par hasard, par pure malchance -, sont aussi préventives, en ce que notre comportement ainsi jugé était déjà soumis à une influence démoniaque - ce qui fait les addictions - qui à terme conduisait notre âme directement dans "le séjour des morts" tenu par les esprits satanisés (parabole de Lazare et du mauvais riche).
Il y a donc toujours quelque chose à apprendre ou découvrir quand une épreuve nous atteint. Sous forme de livre, de film ou de chant, plusieurs témoignent que d'avoir été atteint d'un cancer ou du sida les a conduits à trouver la foi qui délivre et sauve l'âme.
¤
DU VERSANT SOMBRE AU VERSANT QUE LA LUMIÈRE ÉCLAIRE ET RÉCHAUFFE
Le Dieu vivant et vrai s'occupe de tous, mais pas de tout !
Car il nous a dévolu (laissé) des plages de liberté, qui sont un avantage notoire sur le règne animal, mais aussi une responsabilité (personnelle et collective). D'où les jugements qui tombent par moment, avertissements et autres préventions - car il n'est pas non plus si loin que cela de nous !
Et donc changer de mode de fonctionnement ! Changer de pratique, changer de vie !?
Heureusement, que ce soit par la crainte d'avoir à payer encore plus cher, ou par un réel désir de vouloir se mettre en ordre et en paix avec Dieu, c'est encore possible.
Mais pour cela c'est à nous à adhérer à son plan de réconciliation et de sauvetage éternel des âmes, opération qu'il a mené et manifesté en et sur la personne de Jésus en laissant tomber sur lui le pire des châtiments. Non celui qu'il méritait, mais celui que nous méritions, à la fois tous et chacun !
Vous entendez bien ici qu'il ne s'agit que de notre foi placée au meilleur endroit (car nous avons tous foi en une chose, une valeur, une personne, une croyance ou une autre...).
Une chaîne de télévision vient de (re)diffuser une rétrospective animée par Laurent Delahousse de la vie de Michel Delpech (qui a quitté la scène terrestre début 2016).
Cela aurait pu être un mémorial édifiant... si le réalisateur ou la chaîne, n'avait pas choisi d'amputer cette biographie...
LA GLOIRE ET LE MAL-ÊTRE - ça va souvent ensemble - L'émission aborde les principaux épisodes-clés de son existence, avec ce mal-être intérieur qu'engendrait sa nouvelle condition de star. Comment être bien quand on devient une idole, c'est-à-dire un simulacre de Dieu - comme Dieu - pour des milliers de personnes ? C'est le problème que rencontrent tous ces jeunes artistes soudain adulés parce qu'ils ont produit un tube ou un album. Et la solution est toujours la même : tenter de se tenir en retrait de la scène publique, de résister aux pressions de toute la machinerie artistico-médiatio-commerciale enclenchée, ou se soumettre comme un citron qui va donner tout son jus sans respect pour la personne. Certains réussissent ce pari de ne pas succomber à l'attrait de la gloire et de l'argent vite gagnés, refusant des contrats, des compromis, des propositions, et restent dans l'ombre qui leur assure de la sérénité. D'autres avancent en franchissant tous les obstacles - moraux notamment, bafouant leur conscience, sourds aux avertissements de leur corps ou de certaines personnes lucides et désintéressées - jusqu'à n'avoir plus pour continuer que le recours à des stimulants médicaux, des stupéfiants, alcool, drogue, plaisirs sexuels dépravés... toutes choses qui ouvrent rapidement la porte à des démons véritables*. On parle alors de "descente aux enfers", de démons ou "vieux démons", mais sans réaliser le contenu réel que renferment ces mots. ____________________________ * Démons : entités spirituelles invisibles capables d'agir sur notre âme, dans nos pensées et jusque sur notre corps dès lors qu'on se livre à des comportements déréglés, acceptent des accords ou liaisons injustes ; présences qui rendent irritables, colériques, exigeants, toujours plus dépendant de la recherche du bien dont elles privent. Certains vont jusqu'à signer des pactes avec Satan, sans s'en cacher, pour obtenir de son pouvoir gloire, succès, argent, biens et plaisirs en tous genres... jusqu'au jour où il faut payer la note ! Ce n'est plus alors en argent, mais par la perte croissante de notre liberté (addiction, dépression, troubles dits psychiatriques), de notre vie corporelle (mort accidentelle), de notre âme (notre moi personnel, le cœur durable de notre personne, alors transporté dans le séjour des morts tenu par le diable). "Et que servira-t-il à un homme de gagner le monde entier, s'il perd son âme ?" avertit Jésus depuis longtemps. ¤
SA QUÊTE D'UNE SOLUTION SPIRITUELLE - bonne mais mal orientée - Et comme bien d'autres, Michel Delpech se perd dans le surmenage, dans l'alcool, la drogue, les mauvais plaisirs (qui n'en sont plus), dans les flots qu'un environnement qui ne le laisse plus en paix. Il sent bien qu'il lui faut trouver un secours supérieur, non frelaté, sans effet secondaire, spirituel donc, pour ne pas succomber, pour tenir.
Il part en Inde - la grande séduction d'alors -, pour trouver des "maîtres", des gourous, pour essayer d'intégrer quelques concepts nouveaux dans son existence... Mais c'est en vain ! Et ça se comprend : si ça marche si mal sur des populations qui partagent (subissent) ces croyances, les laissant dans le dénuement, la misère, la stagnation, comment cela pourrait-il sortir de leurs difficultés des occidentaux, même dans l'opulence ? L'exotisme séducteur et la sérénité artificieuse ne peuvent jouer bien longtemps. Mais la recherche est pourtant bien dans cette dimension de la spiritualité. Il reste à trouver la bonne - car là aussi, il n'en existe des fausses, des simulacres, que parce qu'il y en a une véritable - l'originale - la seule véritablement divine.
LA FONCTION DES ÉPREUVES - jamais gratuites mais effet et aussi cause nouvelle - Et il faut finalement à Michel Delpech, après de surplus un divorce douloureux, un mal plus contraignant encore que beaucoup, pour l'arrêter : un cancer de l'organe qui précisément en fait un chanteur, une idole, un jouisseur et un pantin en même temps. C'est ainsi que nos épreuves ont du sens, bien plus que nous ne sommes enseignés à le voir ! Elles résultent de nos erreurs accumulées, de nos fautes morales ou spirituelles, de nos obstinations, de notre aveuglement ; mais surtout elles sont significatives, des signes* qui veulent parler à notre conscience, pour qu'on se détourne du mal qu'on pratique, dans lequel on est enferré, dans lequel on est... mal forcément ! N'ayons pas peur des mots ! Les épreuves (accident, divorce, mort d'un proche, maladie grave, orpheline, trouble psychique, addictions, licenciement même...) sont des jugements personnels (comme il y a aussi des jugements collectifs sur les groupements humains, dont les nations). Mais en même temps qu'effet de cause, elles sont également positivement cause (à discerner, potentielle) d'un revirement possible de soi, d'une prise de conscience, d'une métanoïa ou conversion (changement total de point de vue, regard soudain tout nouveau). _________________ * Cela a été particulièrement bien perçu quand le sida est apparu à partir de 1981 : c'était évident pour beaucoup qu'on était face à une conséquence directe d'une sexualité problématique. Depuis, cela nous mettant trop personnellement en cause, on a occulté la relation causale, cherchant la solution du problème dans un médicament (au prix de millions d'euros) au lieu d'une remise en cause de la cause. On est tous tellement comme ça, dans un domaine ou dans un autre... et surtout les démons se régalent de nous voir souffrir - alors que dans la foi en Jésus il y a(urait) un remède gratuit et à portée de main à s'approprier. De fait on tourne en rond en s'usant, on souffrant, au lieu de sortir de nos captivités. ¤
QUAND LA TÉLÉ - qui sait très bien exhiber - SE FAIT DRAMATIQUEMENT CENSEUR On sait que les flots d'informations diffusées par les radios ou télévisions manquent d'objectivité (surtout où il en faudrait un minimum). C'est bien sûr déplorable, mais aussi une expression (de plus) du monde dans lequel on vit : un univers tenu par des forces maléfiques - bien autres qu'humaines, bien supérieures et souveraines que même les sectes et autres clubs très spéciaux d'êtres humains qui voudraient gouverner le monde -.
Et voilà donc que cette émission avançant vers sa fin, on passe d'un coup du cancer à la mort du chanteur ! Logique pour quelqu'un qui n'en sait pas plus. Mais réellement indigne d'un support d'informations qui, dans un monde qui prétend à la liberté, devrait transmettre sans parti pris, de manière non partisane. Car entre le travail physique obscur du cancer pour détruire jusqu'à la mort, et cette fin corporelle* advenue, on sait par ailleurs que Michel Delpech a expérimenté une vraie découverte de la foi qui sauve, de la foi au Christ Jésus.
Une conversion tellement vraie qu'en sont sortis deux livres**, et encore une dernière chanson écrite quand il sait que son Dieu et Père va le reprendre. Et cela parce que ce qui importe le plus pour Dieu n'est pas la longueur de notre existence terrestre, avec ses douleurs et ses tentations jusqu'à nous faire renier notre foi salvatrice, mais son parachèvement par la foi. La réussite cardinale de cette existence, aux effets réellement bons et durables comme aucun autre, est celle de notre réconciliation et paix avec Dieu par le pardon de nos fautes. Et cela par la foi qui permet la réception du Saint-Esprit. C'est par ces trois choses principalement (pardon, foi et réception de l'Esprit divin), que nous (en tant qu'âme scellée de l'Esprit, entité consciente qui choisit sa réponse face à l'offre de la grâce pour être éternisée), que nous entrons dans le Divin Royaume éternel, qui d'une part vient en nous, et d'autre part est et sera un prochain cadre de vie, une création consécutive à cet univers, le Paradis véritable sans fin. _______________ * Fin ou mort physique qui n'est pas la fin ou mort de l'âme, mais seulement sa séparation, la sortie de son véhicule. Voir article Les 5 types de mort ** Livres de Michel Delpech : J'ai osé Dieu - Vivre ¤ COMME UN HOLD-UP ! - la vérité pouvant se voler comme d'autres biens - Et donc la poursuite de vie de Michel Delpech - notre poursuite la meilleure possible de vie à tous, sauf preuve contraire ! - a été zappée*, étant rien pour ceux qui se perdent sans foi (ou dans quelque croyance dérivative) et peuvent agir sur des moyens puissants de transmission d'informations. Que Dieu leur pardonne "car ils ne savent pas ce qu'ils font. » ] Ils se partagèrent ses vêtements en tirant au sort."
Censure donc sur sa foi chrétienne, et aucun écho sur son dernier chant La fin du chemin. Un dernier chant quand même, de quelqu'un qui sait qu'il va en finir avec le lot pesant de ce monde !? N'est-ce pas un testament à respecter, un message - public en l'espèce - à laisser décacheté ? Le témoignage digne de foi d'un homme connu qui, même si c'est difficile dans cette circonstance de manifester la joie du salut, dit, chante, sa foi et son espérance que tout ne s'arrête pas ici-bas. ______________ * Je me souviens d'un rapt pareil dans une émission sur les personnes qui continuaient à vivre dans la zone irradiée mortelle de Tchernobyl. Lors de la première diffusion ces gens qui ramassaient régulièrement des champignons pour les manger - et n'en mourraient pas ! - disaient au journaliste qu'ils avaient la foi en Dieu et que Dieu les garder des radiations. Lors d'une rediffusion un an ou deux après, ce court passage avaient été coupé. ¤
C'est tellement vrai qu'on ne peut ainsi retirer ne serait-ce que du répertoire de Michel Delpech son dernier chant sans sortir du cadre même de la laïcité - qui s'est posée comme la gardienne de la liberté des expressions religieuses comme des autres ! Sinon ce qu'on appelle laïcité n'est qu'un athéisme déguisé, une idéologie partisane qui veut s'imposer alors qu'elle ne peut se prouver comme étant LA vérité quant à la connaissance du Réel tel qu'il est, dans toutes ses dimensions. Cela dit pour ne pas se laisser duper, abuser voire endormir ou subtiliser par un organe puissant de communication ou tout autre chose les vérités les plus essentielles de l'univers, celles dont notre destination éternelle personnelle dépend.
Soyez gardé-e pour avoir la liberté de laisser le vrai Dieu se faire connaître à vous et/ou vous instruire "dans toute la vérité".
Soyez béni-e dans votre lecture. (Dis autrement : Que le Dieu vivant soit avec vous pour donner à cette lecture le relief qui vous concerne afin que vous soyez interpelé-e jusqu'à vouloir échapper aux effets de ce que vous découvrez de problématiques dans votre généalogie).
Vous avez pu voir jusque là que je fonde mes affirmations sur les dires bibliques - qui englobent les paroles de Jésus. Ni donc sur une vue personnelle imaginée du Réel, ni sur des écrits (innombrables) qui ne concordent pas suffisant avec le message christique (évangélique) telle que toute la Bible nous le met à disposition.
En science des hommes cherchent une modélisation (représentation, explication, schéma) du réel mesurable. Elle vise à en inclut toutes les lois et mouvements (en laissant le moins possible d'"anomalies" qui ne collent pas avec ses propositions, car ce sont elles qui démontrent l'insuffisance de notre compréhension et modèle imaginé).
De la même manière, il y a, concernant nos dimensions psychique et spirituelle (ce qui touche à ce qu'il y a de plus essentiel de nous-même), des hommes qui ont été au service du Créateur pour recevoir les bases de la compréhension de la vie et de nos existences, ce qui a donné la Bible.
C'est cette somme de données que je prends pour argent comptant, pour valeur sûre, pour transmission sécurisée, pour parole vivifiante, car elle répond mieux que tout autres, avec l'Esprit Divin qui en est l'inspirateur et le révélateur, à mes besoins immédiats de connaissances (essentielles et existentielles), de sens, de paix, de bienveillance, de biens divers, et encore à mes attentes et/ou espérance les plus profondes (pour le présent monde et pour notre devenir sans fin)... sans laisser d'"anomalies" hors de ses lignes directrices.
Si vous préférez un autre ouvrage, une autre idéologie ou trame religieuse, il y a du choix. Mais ne nous contentons pas d'adhérer innocemment à une vue des choses parce que c'est une tradition dont on a héritée ; ou parce que nos parents ou d'autres avant vous ou à côté de vous ont cru ou croient comme ça. Voyez de manière responsable en quoi vous croyez dans ce qui est le plus juste selon ce qui est, et le plus éclairant selon ce qui se déroule jour après jour en nous et alentour, et jusqu'en éternité...
Et voilà qu'ici on est arrivés au point où Jésus vint révéler que nous devons naître de Dieu si nous voulons être de son Royaume et de son éternité...
5 – LA RÉSURRECTION SPIRITUELLE INTÉRIEURE OU "NOUVELLE NAISSANCE"
Lorsqu'on vient à Christ comme au Sauveur, on réalise qu’on a besoin de lui
- pour que nos péchés soient pardonnés,
- pour que notre âme soit délivrée de diverses contraintes (physiques à démoniaques) et
- sauvée au delà de la mort corporelle, en ne vivant pas celle-ci comme un drame mais comme un passage et accès à Dieu.
C'est dans cette foi qu'on échappe aussi à la seconde mort dont on a traitée précédemment.
Quand cette démarche est sincère, authentiquement humble (voire se passe dans l’humiliation), on reçoit de Dieu sa vie, c’est-à-dire le don de son Esprit (dans un premier temps sous forme d’arrhes).
Cela s’appelle nouvelle naissance ou naître de nouveau.
Ce qui fait de nous non seulement un croyant, mais en réalité une nouvelle créature – de la même manière qu'un papillon préexistant mais non automatiquement advenu se forme dans une chrysalide à partir d'une chenille. (La chrysalide figure alors le temps qui nous reste à vivre sur terre après notre résurrection intérieure)… Selon cette image on peut dire que tous les êtres naissant comme des chenilles, ne parviendront pas fatalement au stade de papillon...
La nouvelle naissance est une résurrection en ce sens que spirituellement on était mort, et par la foi on reçoit à nouveau de Dieu (de) son Esprit qui est vie éternelle. Par cette alliance, nous devenons enfant de Dieu, pour partager ses biens - dont l'amour permanent (qu'il est et communique) - et son éternité.
Cela n'a rien à voir avec des pratiques religieuses sur lesquelles on s'appuie dans l'espoir d'être méritant pour pouvoir être sauvé, où c'est par notre âme et non par l'Esprit issu de Dieu qu'on s'évertue et qu'on espère - avec plein de fautes, d'injustices, d'insuffisances et/ou de de faussetés - plaire à Dieu. Lire éventuellement EsaÎe 64.6.
Ainsi, aussi simplement que le disait Tertullien au IIe siècle : "On ne naît pas chrétien, on le devient." Et un chrétien n'est pas quelqu'un qui devient religieux pour suivre une règle religieuse ou une autre qui va le sauver à cause de ses forces mises au service de sa nouvelle foi. Mais quelqu'un qui, à partir des écritures bibliques (et ce qui s'accorde avec elles), va suivre Christ en "nouveauté de vie"...
C’est celle des défunts qui auront cru en Jésus comme au fils de Dieu, Messie pour les juifs et Christ pour les goïm (les non-juifs). Cette résurrection ne saurait plus tarder à s’accomplir, car des infos relatives aux contextes sociétaux précédant cet événement nous en avertissent.
SIGNES DE CE TEMPS La Bible annonce depuis longtemps dans quelles circonstances généralisées ce double évènement va se produire. Lisez vous-même en cherchant à savoir si cela est véridique – ce que l’Esprit de Dieu peut toujours attester en nous personnellement quand nous sommes sincère, humble et vraiment intéressé : Lectures proposées : 2Timothée 3.1 - 2Pierre 3.3 - 1Timothée 4.1 - Comme au temps de Noé - Comme au temps de Sodome
La Bonne Nouvelle de Jésus-Christ est actuellement prêchée jusqu'à des peuplades et ethnies les plus reculées. En 2017, la Bible entière avait été traduite et imprimée en 674 langues et au moins un livre de la Bible est accessible dans 3 324 langues et dialectes (source Alliance Biblique Universelle). Ce qui fait aussi que depuis longtemps la Bible est le livre le plus traduit, le plus imprimé et le plus lu (mais pas toujours le mieux compris) par toute la terre... C'est un des signes des temps dont l'accomplissement est lié à l’avènement (ou parousie) que va constituer cette 1ère résurrection.
b) coordination de deux événements à la fois semblables et distincts. Cette résurrection est donc liée à un autre événement majeur appelée l'enlèvement de l’Église... La parabole de Jésus appelée des 10 vierges (avec des insensées et des sages) fait référence à cet événement des plus surnaturels et spectaculaires. Il s'agira de la part de Dieu de sortir ses disciples des temps (tribulations) terribles qui vont arriver sur le monde du fait des mauvaises actions des hommes qui, pour la satisfaction de plaisirs, perversions et autres intérêts égoïstes et égarements dans beaucoup d'illusions, livrent la terre (outre à des appauvrissements physiques critiques déjà bien connus) à la puissance de myriades de démons...
Malheureusement comme le prophétise Jésus par cette parabole, en plus des autres, tous les chrétiens n'auront pas suffisamment pris au sérieux ses avertissements... (Pour les curieux, ce qui suivra ce double-événement est développé à partir du chap. 13 de l'Apocalypse, temps terrible comme la terre n'en a jamais connu, ce qui est encore appelé "la grande tribulation"...).
Une certitude de plus qu'on peut avoir, c’est qu’il vaudra mieux être de cette résurrection collective que de la suivante… qui surviendra plus de 1 000 ans plus tard, nous est-il. Si donc on a des chances d'être encore vivant dans quelques années, il est bien, voire urgent et vivement conseillé, de saisir comment Dieu veut que nous soyons, un croyant sage plutôt qu'insensé*...
Il est écrit que la seconde résurrection collective sera d’une toute autre teneur, survenant après que Jésus revenu sur terre y ait régné 1 000 ans (le millénium, un âge d’or pour cette terre mais qui ne sera pas le paradis sans fin...). Avec celles et ceux qui auront cru et auront été ressuscités ou enlevés, il remettra tout en ordre suite au chaos phénoménal provoqué sur toute la terre par la conjonction des forces des humains et des démons livrés à eux-mêmes et à Satan (alors précipité de sa sphère céleste sur la terre du fait de la 1ère résurrection et l’enlèvement (Apocalypse, chap. 12).
Étant donné que nous serons TOUS et CHACUN pour soi d’une ou de l’autre des deux résurrections collectives, comprenons bien que cela va dépendre de nous, de notre connaissance et de notre positionnement personnel (attitude, réaction, réponse) en rapport direct avec notre conscience, notre désir et notre possibilité de connaître le Réel en vérité, concernant la personne de Jésus-Christ et la vertu surnaturelle intemporelle de son sacrifice pour nous sauver.
Le libre rapport que nous pouvons avoir aux vérités que contiennent ces connaissances, en vue que nous y adhérions ou pas, appelle et offre une démarche toute personnelle de réconciliation et paix avec Dieu... que vous pouvez faire par exemple en vous aidant de cette prière-guide.
Sans cette démarche de foi qui permet que nous devenions bénéficiaires de ce premier événement planétaire (qu'on a vu et qui vient), c'est la résurrection suivante qui nous sera réservée...
Que voici un titre qui pose question(s) ! Savez-vous par quelle(s) résurrection(s) vous allez poursuivre (et non achever !) votre périple terrestre, peut-être dans peu de temps (étant dans cette vie) et/ou plus tard (une fois mort) ?...
Attachez vos ceintures, car Dieu n'en a pas fini avec nous et la terre, malgré les apparences... et aussi selon certaines apparences (réalités, images, écritures, préfigurations)...
Suivez ici une discussion intéressante qui eut lieu entre Jésus et les saducéens (membres d'un parti religieux où l'on ne croyait pas à la résurrection des morts).
CETTE EXISTENCE N'EST-ELLE PAS UN CHAMP EXTRAORDINAIRE POUR S'INTERROGER ET APPRENDRE... ET S'ENTHOUSIASMER DE SAVOIR ? C'est ce que j'ai découvert, avec l'aide de Dieu. Et voilà une autre bonne nouvelle : Heureusement, si vous ne savez pas encore ce qu'il en est pour vous au sujet des résurrections, il n’est pas trop tard pour changer ce qui se passe dans votre dos ! Car si la Bible fait savoir qu’il y a 5 expressions ou formes de résurrection bien distinctes, on peut déjà soupçonner que leurs effets et destinations ne vont pas tous dans le même et bon sens pour nous. Ici comme ailleurs, l'ignorance peut être un handicap grave pour notre avenir.
La Bible, notamment par Jésus, parle plus que tout autre ouvrage de ce phénomène surnaturel qu’est une résurrection d'entre les morts, en apportant un enseignement complet.
TROIS PRÉCISIONS PRÉLIMINAIRES : a) Résurrection et apparition Notons qu’une résurrection n’est pas à confondre avec une apparition, d’une personne défunte, qui peut s’apercevoir de manière plus ou moins diffuse (fantomatique, ectoplasme, en vision, ombre ou sensation de présence) suite à invocation par un médium ou pour peu qu'on cherche ou aspire à entrer en contact avec un mort... Dans ces cas-là, on ne peut jamais être sûr d’avoir réellement affaire à celui ou celle qui se présente, car les esprits peuvent nous berner sans difficulté, d’autant que Dieu déconseille vivement ce genre de pratique spirite (en Deutéronome chap. 18 notamment). Dans le 1er livre de Samuel, on lit aussi le récit du roi Saül qui transgresse l'avertissement divin et va en payer très chèrement la conséquence (jusque sur sa descendance).
b) Résurrection et réincarnation Et pendant qu’on y est, la résurrection ne peut pas non plus être confondue avec la réincarnation ou métempsychose., car les affirmations révélatrices bibliques infirment catégoriquement la réincarnation (qui consisterait en passages successifs d’une même âme dans des corps à des périodes différentes). Le verset le plus clair est celui-ci : "Il est réservé aux êtres humains de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement." Qu’on se le dise ! Et si on doute, on peut demander directement à Dieu qui accorde des lumières sans reproche à quiconque cherche humblement à savoir en vérité.
c) Résurrection et immortalité Les deux expriment la même conviction d'une survivance après la mort de notre être individualisé en sa forme et dimension psychiques (de psyché = l'âme en grec), mais la résurrection - révélée par le Dieu Un(ique) d'Abraham et de Moïse que les grecs n'envisageaient pas - se distingue assez nettement de leur approche et notion grecque d'immortalité de l'âme (qui vit éternellement par elle-même et se balade dans le temps et les espaces sans avoir besoin de corps). C'est la connaissance des résurrections qui permet de voir plus clair sur ce qui est... quand même, quoi ? si ce n'est l'essentiel de nos personnes, de vous ou de moi : c'est-à-dire ce qu'on va devenir une fois sorti de notre corps !
5 formes et effets donc de résurrection, dont voici la première, à la conséquence pas si définitive que les quatre autres.
1- LA RÉSURRECTION SURSIS D'EXISTENCE Il s’agit du fait miraculeux d'un retour à la vie incarnée déjà connue et qui avait été stoppée par une mort physique (qui s’opère par un retrait de l’âme hors du corps occasionnant un arrêt général (progressif) des fonctions physiologiques et cellulaires. On en trouve des exemples dans le Nouveau Testament comme dans l’Ancien. - Celle du fils d'une femme de Sarepta ; - Celle d’un homme mort qui ressuscite à l’instant où jeté dans une fosse son corps touche celui du prophète Élisée déjà enterré là ;
A ce niveau de miracle, le corps corruptible reprend vie tel qu'il était, toujours mortel, et donc dans ces cas-là (le sommeil de) la mort revient un jour - mais on va voir que ce n'est pas fini pour autant !... Car tous les corps tombés en terre seront, pour certains une ultime fois, pour la majorité une seule fois, ressuscité lors de l’une ou de l’autre de deux phénoménales résurrections collectives dont parle clairement et abondamment la Bible. Ce sera notre deuxième point. Mais avant, on peut noter qu'existent de nos jours des preuves substantielles nombreuses et dignes de foi de résurrections individuelles. On ne les appelle pas résurrection, mais c'est de cela qu'il s'agit. On les appelle EMI ou NDE.
LES EMI ou NDE* Peut-être est-ce en vis-à-vis de l’incrédulité montante ou des fausses croyances qui continuent à sévir de nos jours, la résurrection est un phénomène de plus en plus connu à travers les expériences dites EMI (abrégé en français de Expérience de Mort Imminente) ou NDE (en anglais Near Death Expérience). Des personnes déclarées mortes par la science (médecins ou instruments de mesure) racontent comment leur âme est sortie de leur corps pour un trajet ou transfert surnaturel vers soit un espace merveilleusement divin, soit un lieu de tourments des plus horribles. Des expériences on ne peut plus crédibles qui viennent donc confirmer la réalité d’un paradis (ou royaume des cieux) et d’un enfer (pas encore en service mais qui va paraître à l'occasion d'un jugement dernier...).
Maintenant que de tels récits aient commencé à paraître (surtout à partir des années 80) et à se répandre (notamment par des vidéos sur internet), la peur des jugements a été dépassée, ce qui fait que ce sont maintenant des millions de témoignages par tous les continents qui ont été dénombrés.
Ces résurrections sursis d'existence, tout à fait exceptionnels mais temporaires, sont là pour nous interpeler sur deux choses : a) L'âme (ou psyché en grec), siège de notre psychisme, de notre personne consciente (qui se prononce en tant que moi-je individualisé unique avec sa faculté de cognition, de volonté, de mémoire et de ressenti, survit à l'arrêt des fonctions physiologiques (du corps).
En cela, on est une âme, bien plus qu'un corps, une personne (qui n'a pas besoin d'un corps pour avoir une existence autonome), dont la nature fondamentale psychique se forme et se situe temporairement dans un corps (jusqu'à sa mort, ce qu'on appelle couramment la mort, sans qu'il s'agisse réellement de cela. En effet, parlant de cette mort, Jésus révèle qu'il s'agit plus exactement d'un sommeil, un endormissement par rapport à ce côté du Réel dans lequel nous vivons ici-bas....
b) ces résurrections sursis d'existence sont aussi des images pour nous aider à croire à deux faits génériques du même ordre, deux résurrections collectives bien plus grandioses, de dimension planétaire, qui sont à venir, qui vont atteindre, l'une après l'autre, tous les défunts de tous lieux et de tous temps de la terre.
Plusieurs livres du Nouveau Testament décrivent de manière plus précise ce que vont être ces deux résurrections collectives ce que nous allons considérer à la suite.
L'histoire de ces animaux a-t-elle un rapport avec la nôtre ? C'est bien certain, et c'est la pensée du poète fabuliste que par ces images nous nous comprenions mieux nous-même, ici aussi en tant que communauté.
LES ANIMAUX MALADES DE LA PESTE
Un mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom) Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre. Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés : On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni Loups ni Renards n'épiaient La douce et l'innocente proie. Les Tourterelles se fuyaient : Plus d'amour, partant plus de joie. Le Lion tint conseil, et dit : Mes chers amis, Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune ; Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux, Peut-être il obtiendra la guérison commune. L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents On fait de pareils dévouements : Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence L'état de notre conscience. Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait ? Nulle offense : Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le Berger. Je me dévouerai donc, s'il le faut ; mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi : Car on doit souhaiter selon toute justice Que le plus coupable périsse. - Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ; Vos scrupules font voir trop de délicatesse ; Eh bien, manger moutons, canaille, sotte espèce, Est-ce un péché ? Non, non. Vous leur fîtes Seigneur En les croquant beaucoup d'honneur. Et quant au Berger l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Étant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire. Ainsi dit le Renard, et flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du Tigre, ni de l'Ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses. Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient de petits saints. L'Âne vint à son tour et dit : J'ai souvenance Qu'en un pré de Moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et je pense Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Un Loup quelque peu clerc prouva par sa harangue Qu'il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal. Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable ! Rien que la mort n'était capable D'expier son forfait : on le lui fit bien voir. Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Jean de la FONTAINE (1621-1695)
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La peste parmi nous tous, c'est ce que la Bible appelle "le péché" ; une propension, une tendance marquée à ne pas réussir ce qui serait essentiel ; à devoir laisser "en plan" des projets ou des réalisations qu'on doit quitter ; à vivre avec difficulté nos relations les plus obligées, bref tout ce qu'on connaît chacun et chacune qui fait que le bonheur nous échappe facilement et que les malheurs nous atteignent sans exception.
Et face à tout cela et à la mort - qui en est un effet et un terme dans la dimension corporelle - il fallait, comme c'est illustré par la fable, une solution : quelqu'un qui prenne sur lui la cause et les effets du mal, un bouc-émissaire. C'est la place qu'accepta de prendre Jésus pour nous aider dans nos difficultés immédiates et pour que nous - notre moi-je, notre personne dans sa dimension psychique, nous en tant qu'âme - ne mourrions pas éternellement. Ce que la Bible dit ainsi : "Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur."
Ce poème est parti de cette pensée : Liberté post-chrétienne (à partir du XVIIIe) : Pour construire le temps qui passe et demain, on a voulu monter des moellons sans ciment, et assemblés d’autres façons. Libertés post-soixante-huitardes : On coule dans le présent des bétons faits de sable des déserts, très peu ferraillés... et sans coffrage.
On peut assembler ainsi plein de mots en corps Pour décrire ou peindre tout notre décor, Mais on est sans force, sans à propos, sans rôle Pour de sûres solutions, pour la bonne parole.
On joue à s’épuiser des matchs incessants Mais sans gagner jamais contre le cours du temps, Et jamais on ne voit en prenant du recul Qu’à zéro-zéro, ou trois partout, c’est matchs nuls.
L’impiété tient la dragée haute à la foi Qui se dilue dans des ego trop gros ou fond dans des moi Trop maigres, handicapés autant que boursouflés, Unijambistes quand l’Esprit n’ a pas où poser son pied.
Et là vient la pensée de s’arrêter ! - C’est bien dit, c’est fait, C’est parlant pour ceux qui voudront lire et écouter ; Tourne la page, publie sur tes réseaux comme une gourde Mise à la mer… - Mais non ! Encore j’ajoute pour les âmes sourdes
Dans sa puissance le nom de Jésus - qui ouvre l’ouïe, Qui rend la vue, qui chasse les ombres et qui nourrit Aujourd’hui comme hier les faibles, les esseulés, les indigents, Les pécheurs (que nous sommes) qui s’avouent et prennent le temps
De lire le Réel jusqu’au bout, pour y trouver un Ciel Tout autre, à peine soupçonné, un astre différent, éternel, Devenu un jour un homme - Jésus - porteur de notre cause, Pour payer de sa vie le prix de nos psychoses,
De nos vols, de nos frasques, de nos infanticides, De nos idées coupables, de nos échanges acides... En somme le prix du péché - cette loi du mal qui nous habite - Qui à Golgotha le perce, le saigne et le tue tel un rite
Exorciste, Jésus bouc-émissaire volontaire, nécessaire Face à la justice, divine, qui gronde sur la terre A cause des collusions des hommes et des démons Qui de leur invisible dirigent et orientent les faits et décisions.
Mais la mort de Jésus - très juste châtiment des pécheurs Que l'on laisse à l’ire vengeresse de leurs sombres vainqueurs - Est injuste au possible, quant à lui qui n’a jamais fait mal, Au point où Dieu lui rend la vie d’un geste inaugural.
Regarde-le vraiment cet homme comme encorné Par Satan, déchiré par les hommes méchants, attaché, paralysé, Nu juste couvert par son sang ; vois-le bien, touche-le car c’est pour toi Qu’il se livre, se donne, se substitue pour que ta propre fin ne soit pas
Dans ce délire de jouissances infâmes, d’horreurs, d’ignominies, Qui se passe quand l’âme sans pardon rejoint les ennemis Célestes du bien, du juste, du vrai, au shéol séjour des réprouvés Qui n’ont compté que sur du vent et sur eux pour durer.
C’est ce regard et la foi maintenant depuis deux millénaires Qui ouvrent à tous pécheurs l’accès au Paradis, Croire en Jésus étant depuis ici la terre L’unique moyen, dit Dieu, pour vivre tout, sans les gâchis.
Claude T. - 29 juillet 2018 - ALGDDV
Que la bénédiction du 3e Ciel tombe sur vous... si vous répondez : Amen (Qu'il en soit ainsi).
L'être humain cherche toujours à toucher au Ciel - à l'éternité - par de la connaissance - qu'il se donne ou reçoit d'esprits obscurs comme s'il s'agissait de Dieu ! ...Alors que la connaissance typiquement divine accessible à tous, non ésotérique, n'a jamais été aussi proche. Qui serait assez sot pour s'en priver !
Ne voudriez-vous que tout ce qu'il peut y avoir de bon, de bien, de beau dans cette existence (l'amour, la joie, la liberté, la fraternité, la paix...) - et plus encore - soit votre partage sans fin - éternellement !?...
Savez-vous que le mot Évangile - qui vient du grec evangelion - signifie en réalité Bonne Nouvelle ? Bonne Nouvelle et pas religion (comme on le croit généralement, par traditions et mauvais préjugé).
C'est pourquoi, comme l'eau d'un fleuve est bien plus claire et bonne à sa source qu'après avoir parcouru de longues distances au cours desquelles elles se chargent de pollution, je vous invite là à revenir au texte biblique qui est le fondement de la transmission évangélique - dont l'accès nous est aujourd'hui encore largement ouvert (par la page imprimée, internet et autres supports récents de communication ).
La Bonne Nouvelle de Jésus-Christ, c'est celle - de sa venue, - de son message original, accessible à tous et qui n'a pas vieilli, - de sa puissance divine manifestée pour confirmer la véracité (vérité) de ses paroles, - de sa mort comme sacrifice sanglant ultime de la Loi judaïque et de la Pâque, bénéfique une fois pour toutes pour nous, suivie de sa résurrection, - puis de son ascension et glorification célestes attestées par l'envoi de l'Esprit de Dieu vers nous le jour de la fête juive de Chavouot ou Pentecôte... - en vue que nous le recevions - Jésus et son Esprit - individuellement, pour notre réconciliation et paix avec Dieu par le pardon de nos fautes et notre éternisation en lui.
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.