En faisant la promotion d’un « guide européen pour une communication inclusive », la commissaire européenne à l’égalité - Helena Dalli – était certainement loin de s’imaginer devoir le retirer quelques semaines après l’avoir présenté (document en anglais disponible ici en téléchargement) ! Il faut dire qu’on ne pouvait pas faire plus contradictoire : l’inclusion, dans ce guide, se manifestant par l’exclusion !
Ce document est une sorte de code de la pensée et de la communication orale ou écrite. Mais du code de la pensée à la police de la pensée, il n’y a que très peu de distance. En effet, le document présente une série de tableaux sur trois colonnes : « directives », « à éviter », « dire/écrire plutôt » ; le tout classé en six chapitres (le genre, LGBTQI, la race, culture et croyances, handicap, âge).
Alors que le document se revendique comme référence de la « communication inclusive » permettant, je cite, « l’unité dans la diversité », on découvre à sa lecture qu’il s’agit principalement d’un catalogue d’interdits de langage. C’est ainsi qu’on nous explique qu’il faut éviter l’utilisation de mots « genrés », exemple à l’appui : « au lieu d’écrire « le feu est la meilleure invention de l’homme », écrivez « le feu est la meilleure invention de l’humanité ». Mais que je sache l’humanité a aussi un genre (féminin) ! On nous explique aussi que l’utilisation du masculin « par défaut » doit être prohibée et l’adresse « Mesdames et Messieurs » remplacée par « chers collègues », ce qui serait – d’après le guide – plus conforme au langage inclusif LGBTQI.
Et puis dans le chapitre dédié à la diversité des cultures, des croyances et des modes de vie, le guide juge que « Noël » ne serait pas un terme suffisamment inclusif ; c’est pourquoi il nous faudrait parler du « temps des vacances » plutôt que de la « période de Noël ». Face à cette injonction qui vise à exclure du vocabulaire européen toute référence au christianisme, l’eurodéputé François Xavier Bellamy a répondu avec brio : «Noël n’est pas que le prétexte des vacances d’hiver, c’est le jour où est né le monde dont nous héritons, le début de notre ère, la référence à partir de laquelle nous comptons nos années. (…) Nier ce qui nous relie, c'est détruire toute possibilité d'appartenir à une culture commune, tout espoir d'assimilation, c'est ouvrir la voie à l'éclatement de nos sociétés, aux revendications communautaristes qui préparent les affrontements à venir». Je vous engage à écouter cette courte allocution de 2 minutes, elle est excellente.
En cette période du souvenir - Droit ou devoir de mémoire - que la bénédiction du Dieu qui s'est manifesté en Jésus-Christ vous touche, selon sa Grâce !
Et si vous n'avez pas (encore), mon petit livre sur NOÊL, sa vraie histoire et plein d'informations (historique, biblique, culturel, religieuse, astronomique même (avec la vérité sur cette fameuse et curieuse "étoile" suivie par les rois-mages...
Par internet en version papier ou ebook, ici par exemple > NOËL, NOËL ! Merry Christmas
Oui oui, avec le Réel ! Qui est bien plus large que le versant matérialiste qu'on aperçoit du monde !
Un simple virus, comme l'air qu'on respire, comme les ondes (énergétiques ou de transport) qui sont partout, comme les pensées ou les sentiments, comme l'âme (psyché) et l'esprit, comme les quantas subatomiques, toutes choses puissantes bien qu'initialement invisibles, peuvent nous aider à croire bien au delà du visible.
Bon visionnage. Attention, prévoyez, il va durer 6 h. (C'est la transcription du Réel sous forme de film de Franco Zeffirelli).
Autres articles correspondants Osez l'Évangile (textes bibliques essentiels dévoilant le véritable message de Jésus). Chronique de Corona (tous les articles relatifs au covid-19 et au confinement - vue spiritualiste du Réel)
De là, le fœtus a grandi, est né Jésus (Yeshoua en hébreu, la langue juive) et sa reconnaissance comme "fils du Dieu vivant" par des multitudes au cours des siècles, a fait les nations les plus civilisées et industrieuses (avant que l'abandon de la foi à grande échelle ne laisse la place à des puissances non-chrétiennes... pour un peu de temps, bref délai qui court défini par le prochain retour de Jésus...
Vous pouvez reprendre l'écriture initiale, voir comment elle s'applique pleinement à la venue et ascension de Jésus... comme, si on le veut, au coronavirus. Pourquoi ?
Parce que les deux sont des événements initiés par la même personne et volonté - le Dieu qui est au dessus de tout -, exerçant avec le minuscule covid-19 un jugement planétaire, et avec une incarnation semblable à celle de tous, un moyen de grâce capable de s'étendre à tous les vivants de tous les temps...
Foi salvatrice en Jésus donc, car s'il a donné sa vie pour nous obtenir le droit d'être pardonné de nos fautes par la foi, il est aussi ressuscité, et donc il n'est pas un Dieu mort, mais un Dieu enrichi d'une humanité désormais éternelle.
Bien plus puissante que l'histoire du corona covid-19, cette histoire de comment Dieu s'est fait "germe", créant un spermatozoïde tout nouveau pour l'implanter dans l'utérus d'une jeune fille juive (Marie chez nous).
Deux moyens de changer les trajectoires dangereuses - pour nous - des vies humaines... avant que l'âme ne se retrouve - Ô combien confinée, dans le séjour des morts (Shéol ou Hadès) tenu par les suppôts de Satan.
Que vous reste-t-il donc à faire (si ce n'est fait) pour être sauvé d'une vie dominée par le mal qui s'impose à vous d'une manière ou d'une autre, sauvé d'une perdition éternelle de votre âme ou psychisme (contenant votre moi conscient qui est le cœur de votre personne) ?...
En cliquant ici, un guide pour prier Dieu de manière efficace pour trouver réconciliation et paix avec lui.
La fête de la Pâque ou Pessach, juive et chrétienne, )
et la fête de Pâques (catholique, orthodoxe, voire laïque...)
commémorent toutes deux, qu'on l'ignore ou pas,
un sacrifice
qui n'a pas fini d'avoir des effets et du sens.
LA NAISSANCE DE JÉSUS, UNE IMAGE VENUE DU CIEL
Jésus est né en une période indéfinie dans une étable.
Une étable n'est rien d'autre qu'une écurie mal-odorante avec des mouches et des animaux qui dorment ou qui ruminent et font leurs autres besoins sur leur litière.
Comme image idyllique on peut trouver mieux !
Comme vérité, on est au cœur de la problématique humaine: Jésus est mis dans une crèche, c'est-à-dire dans une mangeoire, pour que les "bestiaux" que nous sommes puissent le manger !
C'est une image, mais particuli-rement significative.
La réponse, lors d'une fête de la Pâque, c'est la croix!
CRUCIFIE ! CRUCIFIE ! VIOLE, CASSE, TUE ! Jésus se laisse arrêter, prendre sa vie jusqu'à cette crucifixion barbare, ignoble, horrible, qui met en lumière cette bestialité du cœur humain, que ce soit celui de soldats endurcis, de membres d'une foule excitée ou de religieux bien-pensants.
Par là on peut comprendre que de gentils gilets jaunes, de braves paroissiens ou employés et encore des détenteurs de pouvoir puissent, aujourd'hui encore, surprendre par leurs délits ou crimes et faire l'actualité...
Pourquoi?
Parce que l'être humain sans relation vivante avec le vrai Dieu (homme ou femme à égalité!?), rempli de l'intolérance de l'athéisme ou avec des croyances idolâtres quelconques, est toujours potentiellement la proie de démons quand ils trouvent en lui des pratiques iniques (mensonge, tromperie, vol, injustice, perversion, occultisme...).
Et donc, comment sortir de ce manque, de cette absence de spiritualité divine en nous? Car sans l'Esprit de Dieu nous habitant, nous sommes chacun réduits à un corps qui porte une âme, tout comme sont les animaux!
Avec le plus de nos capacités qui peut se traduire par un plus d'amplitude dans le déploiement du mal ;
Selon que les comportements des animaux sont essentiellement tenus par des déterminismes (selon leurs espèces), alors que nous, nous sommes pourvus d'une vaste plage de liberté(s), seulement (re)tenus par une socialisation/éducation... qui peut laisser libre cours au pire de nos instincts dénaturés!
Telle est notre condition de chute adamique, avec ses conséquences malignes perdurantes dans quoi tous et chacun nous nous débattons (nous battons, souffrons, nous agitons ou nous laissons couler).
Connaissance de soi trop peu admise et transmise parmi nous par les détenteurs du pouvoir sociétal, au point où le gain est davantage pour ceux qui vivent à partir des souffrances que pour les lambda qui n'ont pas les capacités, temps ou moyen financier pour se procurer de la connaissance correspondant au Réel comme il est ; et par là s'enrichir des vérités qui fondent le bien (bien-être, mieux-vivre, paix intérieure, récupération, sommeil...).
PÂQUE (PESSACH) ou PÂQUES COMMÉMORENT LE SACRIFICE D'INNOCENTS
Les juifs sont restés au souvenir du sacrifice animal, de l'agneau pascal (animal doux et innocent par nature), institué par l'Eternel-Dieu, via Moïse, à l'occasion de la sortie d’Égypte où la descendance d'Abraham et de Sarah avait été progressivement rendue captive.
Sa mort est là un accomplissement parfait de ce besoin d'un sacrifice que Dieu avait fait connaître dès la chute du premier couple coupable, en tuant lui-même des animaux pour couvrir leur faute et la vue de leur nudité qui en découla.
Les serpents ce sont les péchés, nos fautes morales, nos mécontentements comme toutes autres formes d'injustice, qui nous tuent spirituellement (= qui font mourir Dieu en nous en obligeant son Esprit (saint, pur, qui ne peut cohabiter avec le mal) à se retirer de notre corps).
LA CRUCIFIXION, LE SACRIFICE QUI SAUVE
Ainsi entre la crèche et la croix, Jésus a grandi, puis s'est montré puissant en œuvres bonnes pour qu'on voit ce qu'il était réellement, avant d'aller au bout de sa mission de sauvetage des âmes - ce qu'on appelle la rédemption, le salut, le rachat ou grâce divine - en prenant sur lui pour nous sauver les conséquences, le jugement final de nos fautes:
Le nom de Jésus en hébreu, c'est Y'shoua, ce qui veut dire salut, Dieu sauve.
C'est pourquoi il est écrit, regardant Jésus crucifié comme l'Agneau pascal offert par Dieu pour que nous puissions chacun individuellement, selon notre foi, être pardonnés de nos fautes, que "Celui ou celle qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné." (Evang. Marc 16).
SAUVÉ-E DE QUOI? ET CONDAMNÉ À QUOI?
Sauvé de la perte absolue de notre personnalité par anéantissement final de notre âme - qui est le siège de notre ego, de cette conscience de soi qui nous fait dire Je ou Moi-je.
Sauvé dès après la mort physique du tunnel noir qui débouche (comme en témoignent plusieurs personnes revenues d'une EMI le dire) sur les tourments de l'enfer.
L'enfer est un terme non biblique par lequel en fait est désigné la plupart du temps le shéol (en hébreu) ou hadès (en grec), ce qu'on traduit en français par "séjour des morts"*, une immense "bulle" psychique temporelle faite de toutes les âmes devenues et restées captives des esprits satanisés (anges devenus des démons).
Ce qui sera plus précisément l'enfer comme on le pense, vient bien plus tard, comme jugement dernier irrévocable des fautes (de Satan, des anges dévoyés à sa suite, et de quiconque n'a pas reçu Christ comme son Sauveur).
REVENIR A DIEU PAR LA FOI EN UI, ET EN LA CROIX !
La crucifixion de Jésus est un événement et travail inouïs de Dieu le Père et de son divin Fils, qui a des vertus salvatrices en elle-même et en potentialité, substitutive, expiatoire, propitiatoire, guérissante, libératrice, de rachat (comme les esclaves pouvaient être rachetés de mauvais maîtres).
C'est le sens du dernier repas de Jésus, qu'on appelle encore la Sainte-cène (le Saint-repas, que l'eucharistie catholique ne représente pas vraiment), qui est réellement et prophétiquement le repas de la Pâque où l'agneau sacrifié pour couvrir les péchés était mangé comme il fut ordonné à Moïse de l'instituer.
Institution qui fut respectée jusqu'au changement que produisit la venue de Jésus. C'est aussi pourquoi les juifs sont mal partout où ils se trouvent, dès lors qu'ils n'offrent plus de sacrifices sanglants selon leur Loi - la Torah, dont le livre du Lévitique, explicite, ne peut être retiré sans être remplacé par une réalité supérieure.
LE GRAND REMPLACEMENT
Sans reconnaître Jésus comme "L'agneau de Dieu" qui fait cesser en les remplaçant tous les sacrifices sanglants nécessaires pour obtenir la paix avec Dieu.
Aujourd'hui encore cette expression de l'amour de Dieu se donnant pour nous secourir, est rappelée car sans cela, nous mourrons encore dans nos péchés, loin de Dieu, sans Dieu, après notre mort comme avant.
FÊTER PÂQUE(S) SANS OUBLIER, SANS CACHER!...
Une fête sous forme de jeu de piste à la recherche d’œufs et de lapins en chocolat est organisée pour des enfants.
Je demande à une animatrice s'il va être parlé aux enfants de Jésus et ce qui est à l'origine de ce temps et de ce jeu. - Non, c'est laïque ici!
- Mais la laïcité c'est la liberté d'expression, concernant ce qui est religieux ou spirituel comme le reste.
- On peut pas!
Idem qu'avec Noël! Drame de l'occultation des réalités fondamentales, en fait de l'athéisme (militant, réducteur du Réel) qui s'impose à la laïcité (qui devrait rester ouverte)!... Silence qui se paie un jour ou l'autre, d'une manière ou d'une autre. Car si on ne sait pas, et si on ne met pas les souffrances et la mort de Jésus, son sacrifice pour nous, à sa place dans et pour notre propre existence, ce sont d'autres souffrances, et une mort terrible, qui viennent, qu'il veut nous éviter, qui viendront à nous et dont nous n'aurons pas assez de moyens pour échapper à la plupart!
Pâque(s) donc, sans oublier que si la mort de Jésus est à saisir comme l'extraordinaire moyen du pardon de nos fautes et de l'éternisation de notre âme (éternisation toute personnelle, de vous, de moi), c'est aussi parce qu'il est RESSUSCITÉ et vit pour toujours que tout cela peut devenir possible, opérationnel, par l'envoi gracieux de son Esprit-Saint jusqu'en nous.
Ainsi par cette spiritualisation de la première fête, qui fit dire à Jésus expirant "Tout est accompli", chacun par toute la terre (juifs compris) peut vivre un jour pour la toute première fois (puis régulièrement) cet événement et ses effets comme lui étant particulièrement destinés.
Que Dieu y pourvoit pour vous, c'est mon vœu et ma prière.
On ne saurait trop le redire, dans un monde qui se perd (repères, valeurs, sens général, directions particulières... et même pouvoir d'achat !) : Dieu existe et Jésus est vivant !
CROIRE QUE DIEU EST UNE PERSONNE RÉELLEMENT VIVANTE !
Pour vivre régulièrement des expériences avec lui depuis plus de trente-cinq ans, et compte tenu de mes propres difficultés et insuffisances, je peux assurer que le Dieu véritable est un Dieu fidèle, qui ne manque pas quand on l'invoque... et même quand parfois on se déroute (Il sait nous retrouver).
Telle est la vérité la plus essentielle que nous ayons non seulement à connaître de manière intellectuellement (par notre âme), mais encore à connaître par notre esprit et son Esprit. C'est-à-dire dans une relation vivante, rapprochée, qui vient et tient de la connaissance que nous pouvons avoir, lui de nous et nous de lui.
Relation faite d'expériences de ses réponses à nos prières ou attentes ; parfois de ses silences - qui n'ont d'autre but que de nous interpeller, pour une raison ou une autre - à rechercher - ; aussi de muscler notre foi pour que nous ne croyons pas seulement quand nous (le) ressentons.
Relation faite aussi bien sûr de ressentis, comme par exemple le bien dans notre cœur quand on expérimente un exaucement de prière, ou face aux merveilles de la nature, ou quand nous lisons avec à propos des paroles qui viennent de lui.
On ne doit pas se contenter de savoir qu'il y a deux mille ans Jésus a rendu vivantes des paroles de Dieu à deux disciples en train de perdre la foi (lire ici), mais on doit croire que par le même Esprit, il peut aujourd'hui, à nous personnellement, parler d'une manière toute surnaturelle ou d'une autre.
PAROLE(S) DE DIEU : DIEU PARLE TOUJOURS
Si toute la Bible est parole(s) inspirée(s) du Dieu souverain, quand nous n'avons pas une direction particulière de l'Esprit, le livre des Psaumes est comme une source abondante d'affirmations et de promesses par lesquelles il peut nous parler, établir une relation avec nous.
Hier soir par exemple, je ne me sens pas suffisamment près de Dieu, notamment sans direction spirituelle. Au bout d'un moment je décide de me placer devant la Bible, demandant à Jésus de me conduire où il a quelque chose à me dire.
Il me rappelle (par une pensée qui me vient) "psaume 84", qu'il m'a déjà dit de lire 2-3 semaines en arrière (et dont j'ai a priori oublié le contenu).
En lisant je me rappelle du texte, mais surtout l'Esprit me met en relief le verset 6 "Heureux ceux qui placent en toi leur appui ! Ils trouvent dans leur coeur des chemins tout tracés." J'approuve cette affirmation et demande alors à voir dans mon cœur quel chemin...
Puis au verset 12 je lis une autre affirmation (que je connais, mais on est si oublieux !) qui m'interroge "l'Éternel Dieu est un soleil et un bouclier, L'Éternel donne la grâce et la gloire, Il ne refuse (ou retient) aucun bien à ceux qui marchent dans l'intégrité.". Il me semble que je marche dans l'intégrité !? Mais l'Esprit tout-divin me fait sentir que non ! Il y a un problème !
Comme je ne vois rien je m'humilie et demande sa lumière : Il me montre ce que je n'ai pas réglé, qui peut se régler - et qu'il est préférable de le faire - avant la fin du jour (si je veux être rapproché de lui).
Ce que je fais, et que l'Esprit atteste en moi.
Le lendemain matin, un, deux, trois chemins se tracent en moi, dont a résulté cet article.
Le Psaume 23 commence avec une affirmation similaire "L'Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien."
Cette fois c'est notre part de croyant de croire et d'affirmer que si je prends le Dieu de toute éternité comme conducteur de ma vie (comme un berger conduit les brebis/moutons qui lui sont confiés), je ne manquerai de rien !
Car si cette affirmation venue de David (le berger/poète/roi) est écrite là, c'est qu'il s'agit d'une vérité sur laquelle tout croyant authentique peut fonder sa foi. La part de Dieu est alors de répondre en rapport de notre foi, c'est-à-dire ici de faire qu'on ne manquera de rien.
On peut noter que le verbe manquer est au futur. L'affirmation est donc une promesse de Dieu. Il la tiendra quand il jugera que c'est le meilleur pour nous, et encore quand il pourra ! Puisqu'on vient de voir que peuvent exister des obstacles de notre part (manque d'intégrité mais aussi d'autres), qui empêchent Dieu de nous accorder tout le bien dont il veut nous pourvoir.
- Distinguer le bien du mal, avec, d'une manière générique "nos manifestations mauvaises", "les 10 commandements", le danger des contacts occultes, et en vis-à-vis "le fruit de l'Esprit" (ce vers quoi nous devons tendre pour le pratiquer par la force de la vie nouvelle de Christ en nous et la foi.
(Pour mieux cerner le mal selon Dieu qui pourrait vous concerner, voyez vous-même avec le Saint-Esprit pour qu'il vous conduise à voir/trouver ce qui vous est tout personnellement problématique).
PREMIÈREMENT : ARRIVER AU CŒUR PROFOND DE NOS CRISES
Les "vieux démons" !? Vous avez certainement entendu cette expression - qui réapparaît régulièrement quand il s'agit d'actes de barbarie, de terrorisme, de casse, d'addictions... !
Notre problème c'est qu'on a réduit une réalité bien vivante - les démons, sans chair et sans os mais puissants* ! - à un concept, à une forme métaphorique aussi insignifiante qu'une coquille de noix vide. Et voilà une grande cause de nos difficultés parmi les plus violences.
Parce que oui, les démons existent et continuent d'exister ! Regarder vos écrans (ou l'histoire à toutes les époques), et vous en voyez les effets.
Oui, ils sont vieux, mais surtout ils sont éternels ! On n'a donc pas fini d'y faire référence, dans une inconscience qu'il va bien falloir accepter de revoir et changer contre une réelle prise de conscience du Réel – et le plus tôt est bien sûr le mieux.
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* Anges déchus, les démons sont de l'ordre des entités (sans avoir besoin d'un corps dense) et des énergies (essentiellement invisibles en elles-mêmes, qui se découvrent et se "voit" indirectement par leurs effets : comme les forces élémentaires de l'univers, l'électricité, les ondes, l'âme et les pensées, et tout le spirituel).
1968, 2012 ou 2018 !? Les causes secondes changent, mais le fond du problème
(de la condition humaine) est toujours le même...
CHANGEMENT, CHANGEMENTS !?...
Globalement on ne peut plus ignorer qu'avec l'arrivée du IIIe millénaire christique, nous sommes entrés dans une période étonnamment nouvelle. Cela va être un bref temps-charnière, avec des changements encore largement insoupçonnés par la plupart, aussi profonds que le réveil d'un volcan ou les contractions d'une femme enceinte.
Outre que le genre humain à perdu sa souveraineté terrestre depuis que le premier esprit extra-terrestre maléfique en a pris le contrôle, nous sommes actuellement dans un temps très très particulier : Celui de l'achèvement du "temps de la grâce" autrement appelé "temps des nations". Savoir l'approche de la fin des deux derniers millénaires, qu'avait ouverts Jésus-Christ (Yeshoua le Messie d'Israël reçu comme le Christ des nations) à partir de sa mort et résurrection (probablement vers l'an 27).
En d'autres termes une mutation bien plus prodigieuse que ce qu'on imagine ou craint ou espère a commencé et se déploie dans sa fin de plus en plus rapidement et de manière choquante à sidérante, alarmante, interpellante pour l'âme ou violente pour les corps ! Sous nos yeux le plus souvent myopes ou aveugles... malgré cumulativement la fin de toutes semences saines, l'extinction impressionnante de toutes sortes d'espèces animales, des dérégulations monétaires problématiques, les dérèglements climatiques croissants, des déséquilibres écologiques dramatiques (appauvrissement des terres arables, déforestations, pollutions partout...), la montée des addictions, apparition ou réapparition de maladies souvent contagieuses, les famines, le chômage, les divorces, le recours croissant à la mort comme "solution" de libération, le retour de barbaries...
Est-on si loin des années folles ou des années 30, deux périodes de dérégulation morale ponctuées par les deux grandes guerres mondiales ? Pas tant que ça ! Même nos politiques font le rapprochement...
PLUS QU'UN CHANGEMENT, ON VIT UN CHAMBOULEMENT
C'est ce qu'on a pu notamment observer quand Nicolas Sarkozy, adhérent voire héraut (comme les autres) d'une idéologie politique mondialisante, a vendu la France (par le traité de Lisbonne, contre le résultat du référendum) à une "technocratie européenne invisible".
Depuis c'est la Bérézina (quand l'armée napoléonienne devenue incapable de conquérir la Russie sombra plus encore dans le fleuve Bérézina dont la glace des eaux céda sous leur poids). On vit le démembrement des nations, ce que la Bible nomme "la fin du temps des nations".
Depuis cette européanisation de la France perpétuée par les deux présidents suivants, la vis (les libertés) se serre au point de créer ce qu'on voit ces jours de décembre dans les rues de France (dans ses "artères"), et significativement aux ronds-points : carrefours qui parlent de différentes directions possibles : et quand on veut aller au bon endroit, il vaut mieux faire le bon choix !
La vis se serre car
- d'un côté on est engagés dans une idéologie bureaucratique (ou bureaucratie idéologique) hors-sol, prémices de la Mondialisation recherchée par les "vieux démons" qui n'en démordent pas,
- et de l'autre on a laissé Les droits universels de l'homme se muter – et là aussi on peut parler de pressions initiées par le monde infernal – en droits partisans de chacun !
... sans jamais parler des Devoirs obligés de tous ! Donc sans plus de responsabilité personnelle quant à ce qui nous arrive.
Or, est-ce une vérité qu'on se retrouve innocemment au mauvais endroit au mauvais moment, sans y être pour rien ?
Ce qui veut trop dire : Je ne suis en rien cause dans ce qui m'arrive !
Ainsi la dérive de la victimisation : Quand je suis atteint par quelque mal, et quand je fais du mal en réaction à mes souffrances, je ne suis qu'une victime !
Et encore, pourquoi pas : - On me doit quelque chose !
C'est là une conception erronée du Réel, un mensonge diabolique.
C'est au point où déjà on n'est même plus le responsable de nos actes : J'ai tué parce que je supportais plus telle situation ! J'ai violé parce que j'avais envie et l'autre n'a pas réagi au point où je n'aurais pas pu le faire !
Tout et nous-même nous enferment dans cette déresponsabilisation et irresponsabilité - alors qu'on est toujours coupable aux yeux de Dieu. Ce qui fait un profond malaise intérieur (à l'intérieur des personnes et à l'intérieur de la nation), et qu'il ne reste plus que des électrochocs de plus en plus sévères pour nous… sauver de cette "mort-fine" !
Pour réveiller dans tous les camps (gilets jaunes, casseurs sombres, dirigeants oligarques, forces de l'ordre, indifférents à tout...) de cet endormissement mortifère dans lequel on laisse toujours plus de terrain… à Satan !…
C'est ainsi qu'on a longtemps laissé les casseurs casser sans les contrarier ! ...Comme on a laissé les enfants s'élever tout seul, sans correction, juste livrés à leurs pulsions, ressentis et autres impressions… Et là aussi livrés aux démons dès lors que le laxisme parental ou institutionnel leur laisse le champ libre… Remarquez l'autorité ou la force de certains tout-petits ou de certains pré-ados !...
ANTAGONISMES, LUTTES, COMBATS, RUPTURES, EN LIEU ET PLACE DES INSIGNES RÉPUBLICAINS… IDÉAUX
Qui va gagner, dans ce contexte ?
Contexte occasionné - voyons-le ! - d'abord par l'abandon croissant de valeurs et vérités religieuses traditionnelles (chrétiennes, universelles autant que françaises) et à la suite par des développements sans conscience suffisante de philosophies et idéologies athées, et de technologies dans un but essentiellement mercantiles.
Qui va gagner ? Certainement pas l'individu ! Certainement pas l'homme, la personne humaine ! C'est-à-dire certainement pas la démocratie !
Remarquez : Il suffit d'ajouter la lettre N – la haine – dans la démocratie pour en faire une démoNcratie (une gouvernance humaine pilotée par les esprits mauvais), à la base trop large et à la tête trop indéfinie pour pouvoir gagner.
A l'opposé, par le haut, c'est la mondialisation (où le monde, c'est démon en verlan). Un autre positionnement, mais l'action est dans le même sens, au profit de l'occulte ténébreux.
Le gouvernement collégial unique inféodera les peuples à eux, croient-ils, mais ce sera, eux compris, qui seront les bernés, les benés du Malin au lieu d'avoir choisi d'être les bénis de Dieu.
Ainsi a-t-on, orientés les uns contre les autres d'un côté un immense corps sans tête (les peuples), de l'autre une tête (oligarque) coupée du corps qu'elle sait de moins en moins bien gouverner...
Dans tous les cas, c'est l'homme, la femme, les enfants, tout le genre humain qui perd en ne suivant plus les préceptes et les ordonnancements naturels divins.
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Ce sens - le plus visible - de l'histoire est d'autant plus certain et à surveiller qu'on emploie de plus en plus souvent le mot Apocalypse. Du nom de ce livre de la Bible qui (avec d'autres) prédit un système unique de gouvernance mondiale (à partir de son chap. 13 – On est à la fin du chap. 9).
C'est un impérialisme qui est là prophétisé, plus terrible que les impérialismes réunis d'Alexandre le grand et des césars romains (pour qui connait un peu ses histoires) !
Quand on sait que déjà bien plus de 100 prophéties se sont fidèlement accomplies en leur temps, on peut se dire qu'il faut peut-être mieux écouter pour anticiper sur les jours sombres et nuits noires annoncés.
SIGNES, BALISES, LUMIÈRE, ALERTE... CAR IL Y A DANS LE MÊME TEMPS UN AUTRE COURANT DE L'HISTOIRE : CELUI DU SENS !
Être attentif donc, car toujours des signes annonciateurs d'un changement au moins assez important paraissent – témoins aussi que les temps et événements ne sont livrés ni à des hasards aveugles ni à la seule conduite (inconsidérée) des créatures, mais restent sous contrôle divin.
Ainsi vient un chaos planétaire, et une solution divine comme jamais encore il n'en a fait paraître (un événement bien plus grand que la traversée à pied sec par les israélites conduits par Moïse de la Mer rouge... qui engloutit à la suite la féroce 'armée du Pharaon d’Égypte).
POURQUOI UN TRIOMPHE DE LA VIOLENCE ?
Parce que les démons ne vieillissent pas : Ils sont très nombreux (1/3 de tous les anges créés par Dieu, sortis de leur rang et du Bien, par arrogance et orgueil pour certains, par faiblesses pour d'autres, à la suite de l'ange brillant et usurpateur premier (appelé parfois Lucifer) devenu Satan, l'adversaire de tous biens véritables... dont nous !
Ainsi, à cause d'un abandon généralisé (ou apostasie) rudement (plus que savamment) orchestré, des croyances de source chrétienne, et forcément à la suite des valeurs qui allaient avec, l'être humain a naturellement tendance à se faire jusqu'à démoniser, alors que Dieu lui offre - nous offre - la possibilité d'être divinisé, en recevant (de) son Esprit.
Un don de l'Esprit de Dieu à la fois
- comme lumière intérieure, avec une conscience redonnée de ce qu'est de manière intangible le bien et le mal. Pour bien mieux voir le Réel comme il est, notamment avec sa double dimension surnaturelle spirituelle que forment les sphères asymétriques de Dieu (infinies) et de Satan (limitée puis conséquente).
Lumière intérieure qui trouve son alter-ego, ses appuis ou confirmations dans les Écritures bibliques (notamment du Nouveau Testament)… ;
- comme paix intérieure, comme confiance grandissante dans le présent et l'avenir… ;
- comme force surnaturelle pour résister au mal, pour opter pour le bien, pour prier avec efficacité… ;
- et, plus important que tout, comme vie éternelle - l'éternisation de notre personnalité psychique !
Réalisons-nous que nous sommes mortels !? Mais aussi que Jésus est venu pour nous réintroduire vivant dans La Vie intemporelle de Dieu ! En déposant en n'importe qui d'entre nous croit en Son plan christique de rédemption,"les arrhes de son Esprit éternel".
DEUX MODES D'ARRÊT DE LA JUSTICE BASIQUE DE DIEU
De l'Ouest américain (avec par exemple le feu dévastateur de la ville de Paradis…) à "la plus belle avenue du monde", on a de quoi s'interroger sur ce qui se passe !
La Bible dit que si Dieu n'exerçait pas de jugements, plus personne ne croirait qu'il existe. Et il les exerce.
Dans tous les cas si aucune repentance n'apparaît les démons peuvent vite venir ajouter à un juste jugement des forces amplificatrices. En agitant et mobilisant ceux dont les pensées et comportements humains habituels sont des portes ouvertes à leurs débordements.
Sans parler des vrais gilets jaunes au départ pacifiques, qui se sont laissés et peuvent se faire encore contaminés par les vents subtils mais potentiellement puissants libérés dans les rues et dans cette crise.
Je le rappelle ! Dieu fait grâce aux humbles et à qui s'abaisse, mais il résiste aux arrogants dont l'orgueil précède et précipite la ruine.
L'organisation divine veut et fait que tout jugement ne peut cesser que de deux manières :
a) Par l'abaissement et la repentance (contrition, amer regret, mea culpa, demande de pardon, humiliation volontaire) de celui/celle qui en est atteint/e.
C'est le signe que l'on a encore une conscience de ce qu'on est des êtres (quelque part, d'une manière ou d'une autre, pour une raison ou une autre), responsables de ce qui nous arrive. Si cette prise de conscience ne se fait même plus, il ne faut pas s'étonner si on se trouve soudain confrontés à des violences ou viols ou pillages... qui se passent dans le même genre d'inconscience de sa responsabilité propre.
b) Ou bien, quand dans un embrasement surabondant, Dieu juge que l'injustice dans le jugement est arrivée à son comble.
Quand la correction est telle qu'il ne s'agit plus d'un acte de justice, mais d'une nouvelle injustice qui doit être à son tour châtiée. Les démons alors jugés et sortis du terrain de leurs exactions doivent laisser le terrain et la paix revient comme d'elle-même. Exemple fort et typique : La chute du mur de Berlin, sans la moindre résistance.
Si donc le Président Macron s'abaisse suffisamment pour que la démocratie tienne encore face à la montée de la mondialisation, la paix reviendra vite. Sinon les démons auront encore des droits pour pousser dans l'insatisfaction et la révolte (si leurs ravages ne sont pas parvenus à leur comble).
Aparté : Quand on a choisi pour dieu Mammon, personnalisation de l'argent, de la finance, il ne faut pas s'étonner si les jugements viennent toucher aux portefeuilles ! Car il y a toujours une vraie logique en toutes ses choses : on est le plus souvent puni par où l'on pèche.
Ainsi s'exerce toujours une justice basique de Dieu, même si on n'y croit pas ou si on ne le voit pas en tant que tel. La justice du mal payé par le mal ou justice rétributive, que ne peut arrêter ou amoindrir qu'une marque réelle de regret.
DES IMAGES EUROPÉENNES SIGNIFICATIVES
Pour s'assurer qu'il y a bien continuité du passé le plus antique à ce qu'on vit aujourd'hui, l'Europe a conservé deux images fortes indéniables.
a) La tour de Babel, le parlement européen de Strasbourg étant physiquement construit sur ce schéma d'une tour... inachevée. Pour dire : NOUS, nous allons faire; finir l'unité (interrompue) des hommes que figura cette tour ancestrale !
Que faut-il comprendre de ce symbole dès lors qu'on sait que c'est le Dieu-qui-ne-change-pas qui a interrompu cette construction et sa finalité (parce qu'elle se bâtissait en liaison avec les démons justement - livre biblique de la Genèse, chap. 11) ! Et donc ?...
b) D'autre part de la mythologie grecque, l'image d'Europa chevauchant le taureau blanc qui l'avait séduite et enlevée (motif paraissant notamment à Bruxelles). Taureau figurant le Dieu souverain, Zeus chez les grecs, déguisé en une créature superbe capable de toucher le cœur de la belle Europe dont il est tombé amoureux.
Qui donc figure Zeus ?
Est-ce une expression du Dieu des dieux que découvrit Abra(ha)m et qui ouvrit lui-même par diverses révélations dans un premier temps au monothéisme, puis à l'incarnation du Verbe éternel ?
Ou est-ce le dieu de ce monde que la Bible appelle "le prince de ce monde", Satan devenu le vainqueur des hommes par une première faute adamique (dont la femme fut la 1ère victime) ?
On est encore avertis par la Bible que ce "dieu" (par sa position au-dessus de nous)peut se faire passer à nos yeux pour "un ange de lumière", pouvant donc nous séduire, tromper et enlever/entraîner dans ses conceptions artificieuses !...
NE NOUS TROMPONS PAS DE DIEU !
C'est tout l'enjeu de notre temps, de notre terre, et de l'appropriation 'définitive) ou de la perte de nos âmes qui est là sur les différentes places du monde (financières, économiques, politiques, cognitives, conceptuelles…) ! Ne nous trompons pas de Dieu ! On peut s'en donner tellement, qui ne sont au final que des supports de Satan qui en tirent les ficelles pour que nous ne venions pas dans la grâce de son salut.
Entre les paillettes et les peurs qu'utilise contre tous "le taureau" (aussi figuré à New-York devant la Bourse de Wall Street !) et les vérités et les grâces qu'offre Celui qui refuse les images représentatives et se propose à qui veut le suivre, il ne faut pas se tromper !
Entre celui qui a exulté en poussant à bout la crucifixion de Jésus (et qui s'en prend encore aujourd'hui à ceux qui croient en lui) et Celui qui l'a subie pour nous extirper de ses griffes et des condamnations, sachons faire la différence.
LE POUVOIR PERMANENT, A ACTIVER, DE LA CRUCIFIXION DE JÉSUS
Savez-vous cela !? La Bible dit avec toujours la même constante actualité jusqu'à maintenant :
"Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné (Jésus, Yeshoua en hébreu, Issa en arabe…), nous n'avons fait de lui aucun cas. 4 Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié. 5 Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. 6 Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie ; Et l'Éternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous. 7 Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent ; Il n'a point ouvert la bouche. 8 Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment ; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu'il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple ? 9 On a mis son sépulcre parmi les méchants, Son tombeau avec le riche, Quoiqu'il n'eût point commis de violence Et qu'il n'y eût point de fraude dans sa bouche. 10 Il a plu à l'Éternel de le briser par la souffrance... Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, Il verra une postérité et prolongera ses jours ; Et l’œuvre de l'Éternel prospérera entre ses mains. 11 A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards ; Par sa connaissance mon serviteur juste justifiera beaucoup d'hommes, Et il se chargera de leurs iniquités.
12 C'est pourquoi je lui donnerai sa part avec les grands ; Il partagera le butin avec les puissants, Parce qu'il s'est livré lui-même à la mort, Et qu'il a été mis au nombre des malfaiteurs, Parce qu'il a porté les péchés de beaucoup d'hommes, Et qu'il a intercédé pour les coupables."
Réalisez-vous ce qui a été écrit là de Jésus (7 siècles avant que cela n'arrive) au sujet de cette mort unique qui fut la sienne : comprise comme indispensable, acceptée, rédemptrice, potentiellement salvatrice de l'âme de tout être humain !?
Pourquoi a-t-il "plu" à l’Éternel de voir mourir ainsi Jésus ? Parce que ce fils unique bien-aimé a accepté de prendre cette place des coupables que nous sommes tous.
Parce que c'était le seul moyen juste pour stopper la justice basique de Dieu qui nous condamne tous à mourir sans pouvoir dès lors connaître tout le Bien qu'est Dieu et une vie en relation avec lui.
Et pour cela il fallut "que le Fils de l'homme soit élevé, 15 afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle.
16 Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.
17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.
18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. 19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises.
20 Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dévoilées ; 21 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses œuvres soient manifestées dans une conformité à ce qui se fait en Dieu."
- POURQUOI !?
LA QUESTION À TOUJOURS SE POSER
Je la pose souvent à Dieu, sinon comment comprendre certaines choses qui nous arrivent ou qu'il cherche à nous dire ! Et il répond !... si on attend vraiment qu'il nous réponde (ce qui nous manque souvent).
Pourquoi donc Paris et la France encore à feu et à sang ? Pourquoi Mai 68 réitéré un demi-siècle plus tard – en pire parfois ?
Parce que les démons ne changent pas, et sont toujours dynamiques quand nos comportements – surtout ceux des leaders politiques quand on parle en terme de nation – deviennent trop injustes ;
Parce que le cœur des hommes/femmes/enfants ne change pas (Jérémie chap. 17.9) ;
Parce que sans foi en regard de la mort secourable – secouriste ! – de Jésus, on reste tous et chacun livrés à nos insuffisances, à nos dérèglements, égarements, perversions, méchancetés, illusions, égoïsme coupable, convoitise, jalousie, addictions, incompréhensions…
MAIS LA BONNE NOUVELLE...
c'est que si les situations sont globalement en marche vers le mal, planétairement, de manière irréversible, la nôtre à chacun, la vôtre, est encore individuellement modifiable pour que vous marchiez, même parmi le chaos, dans un présent transformé (par votre regard éclairé par la foi) et vers un avenir sans fin où le mal ne sera plus !
C'est vrai pour chacun qui cherche et trouve, reçoit dans sa vie le seul vrai Dieu :
- Celui qui s'est donné pour le genre humain en la personne de Jésus, en vue de la repentance individuelle et du pardon des péchés (fautes) de chacun ;
- Celui qui donne de plus son Esprit à quiconque croit, afin que nous n'ayons pas une religion ou une autre à suivre comme une contrainte (de plus) et entrave à notre liberté intérieure. Mais que par cette force de vie surajoutée nous trouvions la paix en nous-même, le meilleur de la liberté psychique et spirituelle, des solutions à nos problèmes de relations, d'inconfort et autres addictions les plus contraignantes…
...SE SAISIT VRAIMENT INDIVIDUELLEMENT
Ainsi chacun, chacune de nous peut potentiellement se faire démoniser (assujettir à, par, des oppressions ou même possession(s) démoniaque(s)).
A l'inverse chacun, chacune peut être divinisé (réconcilié et en paix avec Dieu dès ici-bas et pour vivre la création suivante).
Jésus n'a pas promis à ceux qui veulent le suivre la facilité, une vie rose-bonbon ! Mais il a dit qu'avec lui on pouvait être plein d'assurance dans les adversités, car il avait vaincu les forces mauvaises de ce monde ! Lire aussi le Psaume 91 par exemple.
L'apôtre Pierre dit qu'il est préférable pour un enfant de Dieu (chrétien) de souffrir pour sa foi, dans sa foi, plutôt que de souffrir à cause de nos péchés comme incrédule ou religieux hypocrite.
Gilet jaune, casseur sombre, gouvernant subjugué, citoyen jusque-là indifférent ou encore étranger déraciné, qui que nous soyons, nous pouvons tous entendre et répondre à ces affirmations percutantes de Jésus :
"Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi."
"Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie."
On accède aux choses d'abord par leurs formes et par notre subjectivité (reçue, partielle, partisane...).
Mais pour connaître le réel, il y faut
de l'attention détachée pour mieux discerner la réalité dans son objectivité, c'est-à-dire approcher et con-
naître en vérité, sans être trompé et se tromper soi-même.
Quel rapport y a-t-il entre notre psychologie (et regard sur la psychologique) et celle d'un être humain qui vivait il y a 2, 3, 4... millénaires ?
ÉVOLUTION, MAIS PAS QUE...
Il y a presque 2 000 ans, l'heure est à des peuplades ou tribus primitives disséminées sur la terre, peureuses ou vindicatives, qui se cachent ou s'envahissent, et à un empire - romain - immense autant que féroce, dont la main de fer tient soumises la culture grecque et des multitudes rustres et barbares, tout autour du bassin méditerranéen.
Est-on là dans une vue objective de l'homme/la femme générique ?
La vérité, la sincérité envers soi-même, nous oblige à répondre : Oui ! On est bien comme ça !
Et l'étude confirme que c'est là un universalisme, une vraie loi au plan de notre psychisme (âme), qui nous empêche de faire ce qui serait bien.
C'est "la loi du péché"dans notre être intérieur, comme il y a une loi de la mort au plan des corps.
Le sens original du mot péché est "manquer le but", passer à côté de ce qui aurait été bien, bon, le mieux, le meilleur.
UN TESTAMENT - QUI EST TOUJOURS UNE EXPRESSION FORTE Je vous invite à découvrir ou relire dans cette perspective le "testament philosophique" d'un de nos contemporains qui a le plus extraordinairement réussi au niveau professionnel et commercial : Steve Jobs, pionnier de l'avènement de l'ordinateur personnel (Mac), du baladeur numérique, du smartphone, de la tablette tactile (Apple), milliardaire mort à 56 ans d'un cancer au pancréas :
"J'ai atteint le summum du succès dans le monde des affaires. Dans les yeux des autres, ma vie est une réussite.
Cependant, mis à part le travail, j'ai eu peu de joie. En fin de compte, la richesse n'est qu'un fait auquel je me suis habitué.
En ce moment, allongé sur mon lit d’hôpital, et me rappelant toute ma vie, je me rends compte que toute la reconnaissance et la richesse dans laquelle j’ai pris tant de fierté, a pâli et est devenue insignifiante face à la mort imminente.
Vous pouvez employer quelqu'un pour conduire votre voiture ou gagner de l'argent pour vous mais c’est impossible d’engager quelqu'un pour supporter la maladie et mourir pour vous.
Les choses matérielles perdues peuvent être trouvées. Mais il y a une chose qui ne peut jamais être trouvée quand elle est perdue - "la vie ».
Quelle que soit l'étape de la vie à laquelle nous sommes actuellement, avec le temps, nous serons confrontés au jour où le rideau se ferme.
Aimez votre famille, votre conjoint et vos amis ... Traitez-les bien. Chérissez les.
Au fur et à mesure que nous vieillissons, et devenons plus sages, nous réalisons lentement que porter une montre à 300 $ ou 30 $ - les deux donnent la même heure...
Que nous ayons un portefeuille ou un sac à main de 300 $ ou de 30 $ - le montant à l’intérieur est le même;
Que nous conduisions une voiture de 150 000 $ ou une voiture de 30 000 $, la route et la distance sont les mêmes, et nous arrivons à la même destination.
Que nous buvions une bouteille de vin à 1000.$ ou à 10 $, la gueule de bois est la même;
Que la maison dans laquelle nous vivons mesure 300 ou 3000 pieds carrés - la solitude est la même.
Vous réaliserez que votre véritable bonheur intérieur ne provient pas des choses matérielles de ce monde.
Que vous voyagiez en première classe ou en classe économique, si l'avion tombe en panne, vous tombez avec lui ...
Par conséquent .. J'espère que vous vous rendez compte, quand vous avez des amis, des copains et des vieux amis, frères et sœurs, avec qui vous discutez, riez, parlez, chantez, parlez du nord-sud-est ou du ciel et la terre, .... c'est le vrai bonheur !!
Cinq faits incontestables de la vie:
1. N'éduquez pas vos enfants à être riches. Éduquez-les pour être heureux. Donc, quand ils grandiront, ils connaîtront la valeur des choses et non le prix.
2. Mangez vos aliments comme médicaments. Sinon, vous devez manger des médicaments comme nourriture.
3. Celui qui vous aime ne vous quittera jamais pour un autre, car même s'il y a 100 raisons d'abandonner, il trouvera une raison de se retenir.
4. Il y a une grande différence entre un être humain et l'être humain.
Seuls quelques-uns le comprennent vraiment.
5. Vous êtes aimé quand vous êtes né. Vous serez aimé quand vous mourrez. Entre les deux, vous devez gérer!
REMARQUE: Si vous voulez juste marcher vite, marchez seul! Mais si vous voulez marcher loin, marchez ensemble!
Six meilleurs médecins au monde :
1. Lumière du soleil
2. Repos
3. Exercice
4. Régime
5. Confiance en soi
6. Amis
Gardez-les à tous les stades de la vie et profitez d'une vie saine."
Percevez-vous le décalage entre ce qu'il a fait, et ce qu'il dit, c'est-à-dire ce qu'il aurait aimé bien mieux faire !?
C'est cela la loi du péché en action dans l'existence des plus riches en dons comme des plus démunis.
Et là on ne parle que des manques et des pertes au plan terrestre ! Mais l'âme - son âme, notre âme - où part-elle quand elle est détaché par la mal du corps qui l'a véhiculée ?
(Lire Les 5 types de mort pour en savoir plus).
Si donc nous sommes globalement un peu moins barbares aujourd'hui du fait de l'influence psycho-génétiquement et culturellement transmise, ne croyons pas que cette socialisation est très solide !
Car la loi du péché reste une permanence dans notre cœur naturel (adamique, irrégénéré).
Avez-vous personnellement trouvé en la personne vivante de Dieu l’Éternel et de Jésus son incarnation comment dominer sur cette loi qui cause l'essentiel de nos problèmes personnels et relationnels ?
Sinon, dans l'immédiat du temps qui reste disponible, allez-vous chercher à savoir et trouver la clé de cette métamorphose psychique dont nous avons tant besoin ?
La clé ? La foi !
Le prix ? Gratuité !
Car Jésus a payé le prix en prenant sur sa vie la condamnation que méritent nos fautes morales, nos égarements, notre impiété : Lire cela par exemple ici au 53e chapitre du livre du prophète Ésaïe.
Et si vous voulez faire une prière de réconciliation pour trouver la paix de Dieu (en vous et avec lui), cliquez ici pour avoir une trame qui vous aidera à formuler votre propre prière.
Soyez béni-e.
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* Aujourd'hui, on entend de plus en plus parler de "vieux démons" qu'on ne voudrait pas voir revenir (dixit E. Macron). Mais si nous ne réalisons pas qu'il s'agit de "vrais" démons, des entités angéliques encore puissantes et éternelles (tombées par l'orgueil et la séduction dans l'égarement des sens, méchancetés et perversions), comment pourra-t-on les contrer ?
Ils sont d'autant puissants qu'on est ignorant de leur existence...
** Avant d'être arrêté et de recevoir la lumière de Christ (Jésus en qui il reconnaît le messie d'Israël), Paul (qui s'appelle Saul) est un juif brutal dans l'exercice de sa religion contre les chrétiens.
Toute religion a pour effet majeur de révéler à ceux-là mêmes qui s'appliquent à la pratiquer, la dureté de leur cœur, leur intolérance, leur nature de pécheur - personne incapable naturellement d'aimer - ce qu'on est tous.
Vous avez pu voir jusque là que je fonde mes affirmations sur les dires bibliques - qui englobent les paroles de Jésus. Ni donc sur une vue personnelle imaginée du Réel, ni sur des écrits (innombrables) qui ne concordent pas suffisant avec le message christique (évangélique) telle que toute la Bible nous le met à disposition.
En science des hommes cherchent une modélisation (représentation, explication, schéma) du réel mesurable. Elle vise à en inclut toutes les lois et mouvements (en laissant le moins possible d'"anomalies" qui ne collent pas avec ses propositions, car ce sont elles qui démontrent l'insuffisance de notre compréhension et modèle imaginé).
De la même manière, il y a, concernant nos dimensions psychique et spirituelle (ce qui touche à ce qu'il y a de plus essentiel de nous-même), des hommes qui ont été au service du Créateur pour recevoir les bases de la compréhension de la vie et de nos existences, ce qui a donné la Bible.
C'est cette somme de données que je prends pour argent comptant, pour valeur sûre, pour transmission sécurisée, pour parole vivifiante, car elle répond mieux que tout autres, avec l'Esprit Divin qui en est l'inspirateur et le révélateur, à mes besoins immédiats de connaissances (essentielles et existentielles), de sens, de paix, de bienveillance, de biens divers, et encore à mes attentes et/ou espérance les plus profondes (pour le présent monde et pour notre devenir sans fin)... sans laisser d'"anomalies" hors de ses lignes directrices.
Si vous préférez un autre ouvrage, une autre idéologie ou trame religieuse, il y a du choix. Mais ne nous contentons pas d'adhérer innocemment à une vue des choses parce que c'est une tradition dont on a héritée ; ou parce que nos parents ou d'autres avant vous ou à côté de vous ont cru ou croient comme ça. Voyez de manière responsable en quoi vous croyez dans ce qui est le plus juste selon ce qui est, et le plus éclairant selon ce qui se déroule jour après jour en nous et alentour, et jusqu'en éternité...
Et voilà qu'ici on est arrivés au point où Jésus vint révéler que nous devons naître de Dieu si nous voulons être de son Royaume et de son éternité...
5 – LA RÉSURRECTION SPIRITUELLE INTÉRIEURE OU "NOUVELLE NAISSANCE"
Lorsqu'on vient à Christ comme au Sauveur, on réalise qu’on a besoin de lui
- pour que nos péchés soient pardonnés,
- pour que notre âme soit délivrée de diverses contraintes (physiques à démoniaques) et
- sauvée au delà de la mort corporelle, en ne vivant pas celle-ci comme un drame mais comme un passage et accès à Dieu.
C'est dans cette foi qu'on échappe aussi à la seconde mort dont on a traitée précédemment.
Quand cette démarche est sincère, authentiquement humble (voire se passe dans l’humiliation), on reçoit de Dieu sa vie, c’est-à-dire le don de son Esprit (dans un premier temps sous forme d’arrhes).
Cela s’appelle nouvelle naissance ou naître de nouveau.
Ce qui fait de nous non seulement un croyant, mais en réalité une nouvelle créature – de la même manière qu'un papillon préexistant mais non automatiquement advenu se forme dans une chrysalide à partir d'une chenille. (La chrysalide figure alors le temps qui nous reste à vivre sur terre après notre résurrection intérieure)… Selon cette image on peut dire que tous les êtres naissant comme des chenilles, ne parviendront pas fatalement au stade de papillon...
La nouvelle naissance est une résurrection en ce sens que spirituellement on était mort, et par la foi on reçoit à nouveau de Dieu (de) son Esprit qui est vie éternelle. Par cette alliance, nous devenons enfant de Dieu, pour partager ses biens - dont l'amour permanent (qu'il est et communique) - et son éternité.
Cela n'a rien à voir avec des pratiques religieuses sur lesquelles on s'appuie dans l'espoir d'être méritant pour pouvoir être sauvé, où c'est par notre âme et non par l'Esprit issu de Dieu qu'on s'évertue et qu'on espère - avec plein de fautes, d'injustices, d'insuffisances et/ou de de faussetés - plaire à Dieu. Lire éventuellement EsaÎe 64.6.
Ainsi, aussi simplement que le disait Tertullien au IIe siècle : "On ne naît pas chrétien, on le devient." Et un chrétien n'est pas quelqu'un qui devient religieux pour suivre une règle religieuse ou une autre qui va le sauver à cause de ses forces mises au service de sa nouvelle foi. Mais quelqu'un qui, à partir des écritures bibliques (et ce qui s'accorde avec elles), va suivre Christ en "nouveauté de vie"...
:
Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.